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 C’est tellement plus simple de fuir que de se battre pour ce qu’on veut vraiment.

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Joshua Sullivan
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Desigual

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(#)Sujet: C’est tellement plus simple de fuir que de se battre pour ce qu’on veut vraiment.  |   Ven 24 Sep - 14:32

Vendredi 24 septembre 2021 - 02H00 ; Quartier de Wynwood. Miami.

Voilà maintenant deux semaines que j'ai appris que Ryan et Nora allaient avoir un bébé et qu’ils voulaient que j’en sois le parrain. Deux semaines que je ne comprends toujours pas leur choix, deux semaines que je me dis que je ne peux pas m’occuper de ce bébé en le voyant une fois dans l’année ou prendre le risque qu’il s’attache à moi et que je finisse un jour par ne plus rentrer parce que le champ de bataille aura eu raison de moi. Ou encore m’occuper de ce bébé s’il arrivait quelque chose à mes amis, non je n’arrête pas d’y penser depuis deux semaines. Ça et le fait qu’Eden pense que je ne suis qu’un lâche et un égoïste et surtout qu’elle pense qu’elle n’en vaut pas la peine. Je regrette tellement que ces mots soient sortis de ma bouche ce jour-là, j’aurais dû me contenter d’un “je ne suis pas d’humeur” et partir mais non il a fallu que je joue les gros cons, comme d’habitude. Il y a aussi les paroles de Roxy qui trottent dans ma tête, sur le fait que je ne sois plus le même depuis cinq ans, depuis ce qui est arrivé en Afghanistan et aussi avec elle et elle a peut-être raison, ce qu’il s’est passé changerait n’importe qui normalement constitué. Elle pense que je suis en train de faire une dépression mais le mot est fort quand même, je lui répète que non et que c’est juste une mauvaise passade, elle ne dit plus rien mais je doute qu’elle me croit.
Enfin voilà deux semaines que je cogite, que j’essaye de me changer les idées en me plongeant à fond dans ma rééducation, mais une fois le retour à la maison, je dois avouer que tout me revient en pleine tête et quand je dis tout, c’est absolument tout. Au point de ne pas réussir à dormir sans faire de cauchemars ou mieux encore, ne pas réussir à dormir tout court. C’est pour cette raison que cette nuit, alors qu’il est une heure du matin, je me retrouve en train de faire le tour du quartier pour prendre l’air, je ne peux pas encore courir mais je peux au moins marcher.

Il est environ deux heures du matin quand je suis sur le chemin du retour, je suis à quelques rues de chez moi lorsque je passe devant le bar “El patio”, un bar réputé dans le quartier, il y a toujours du monde le soir, c’est bondé à chaque fois. Lorsque je passe devant, je remarque alors une ambiance assez tendue, un mec est en train de parler avec une fille, plus jeune que lui visiblement et elle ne semble pas très réceptive à ses avances mais ce n’est pas pour autant qu’il l’a lâche. Il commence à avoir les mains baladeuses et c’est le geste de trop qui me fait intervenir. Copain ou pas copain, il n’a pas à agir comme ça avec elle. Je le pousse alors fortement en lui sommant de la laisser tranquille mais c’était à prévoir que mon intervention n’allait pas lui plaire et il réplique en me cognant au visage et me crachant qu’il fallait que je me mêle de mes affaires. Pas de bol ! Ce sont mes affaires maintenant. Je lui rends alors sa droite et enchaîne les coups jusqu’à ce qu’on se retrouve au milieu de la route à nous battre, jusqu’à ce qu’on vienne nous séparer. « EVA ! Ça va ? » lança alors une jeune fille en se précipitant vers sa copine. Eva… se prénom me parlait vaguement. Je me dégageais d’un coup de bras des mains qui me tenait éloigné de mon rival et m'approchait de la jeune fille concernée.
- Eva ? Tu es la sœur d’Eden ? Eden Mendoza ? Demandais-je alors en la regardant. Elle acquiesça d’un signe de tête et me suppliait de ne rien dire à sa sœur. Elle avait un peu de mal à tenir debout, je ne pouvais clairement pas la laisser ici dans cet état et pas après ce qu’il venait de se passer.
- Tu as quelqu’un pour venir te ramener ? Demandais-je alors à son amie qui me répondait que non. Je lui proposais alors de me suivre et lui donnait l’adresse à laquelle on pourrait venir la chercher, ça serait toujours mieux que d’attendre ici toute seule au milieu de ces mecs qui ne savent pas se tenir. Putain vraiment, ça me met hors de moi quoi, ce sont des gamines, merde.
Nous faisions alors le trajet jusqu’à mon appartement, je tenais Eva bras dessus, bras dessous pour l’aider à marcher, heureusement on était pas loin. Une fois arrivés, quelqu’un attendait l’amie d’Eva devant l’immeuble, je saluais la personne qui me remerciait de l’avoir raccompagnée. J’entrais ensuite dans le bâtiment et prenais l’ascenseur pour me rendre au troisième étage, j’ouvrais ensuite la porte de l’appartement que je refermais derrière nous. Je l’installais dans la chambre qu’occupe Roxy lorsqu’elle est dans le coin et la recouvre du plaid qui se trouvait au pied du lit. Je me rend dans la salle de bain pour y prendre la poubelle au cas où l’envie de vomir lui vienne, je prends alors son portable qu’elle tenait dans sa main afin d’y récupérer le numéro de sa sœur, puis repose l’appareil sur la table de nuit. Je me dirige ensuite dans le salon pour m’asseoir sur le canapé. Elle m’a demandé de ne rien dire à sa sœur et même si Eden me déteste, je pense qu’elle serait contente de savoir que sa sœur va bien. J’attrape mon portable et décide de lui envoyer un message.

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Eden N. Mendoza
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Desigual

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(#)Sujet: Re: C’est tellement plus simple de fuir que de se battre pour ce qu’on veut vraiment.  |   Ven 24 Sep - 17:38
✤ down the masks

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Dormir d’un sommeil de plomb. Locution nominale pour définir un sommeil lourd et profond. En d’autres termes, un sommeil que rien ni personne ne pourrait venir perturber. Le genre de sommeil réparateur qu’Eden n’avait plus connu depuis… tellement longtemps qu’elle ne pourrait sortir une date exacte. Cette nuit encore ne faisait pas exception à cette habitude qui ne lui plaisait guère, et dont elle ne pouvait se défaire. Le cœur qui bat à vive allure. La sueur qui perle sur son front. Et un bruit assourdissant dans ses oreilles. Morphée avait accueilli la belle dans ses bras quelques heures plus tôt, mais le cauchemar venait de l'en extirper. Il est deux heures du matin, selon le réveil posé sur sa table de nuit. L’heure où la plupart des Floridiens dorment à poing fermé. Machinalement, elle se redresse dans le lit, se dégage des draps, et prend la direction de la cuisine. Là-bas, elle se sert un verre d’eau du robinet, afin de calmer son palpitant qui s’affole. Toujours les mêmes images qui reviennent chaque nuit, sans manquer le rendez-vous. L’obscurité. Les balles qui fusent. Le froid. La peur. L’explosion. Et une douleur à faire crier un mort. Et puis le réveil brutal, qui rappelle que ce n’était qu’un cauchemar, avant que sa raison ne lui souffle que le cauchemar a été un jour une réalité. L’eau froide qui coule dans sa gorge l’aide à se calmer, elle sait qu’elle pourra retrouver le sommeil d’ici une bonne heure, mais que la même scène se reproduira le lendemain. Et le surlendemain. Et ainsi de suite jusqu’à ce que la Grande Faucheuse décide de l’accueillir dans ses bras pour faire taire ses démons. En attendant que ce jour arrive, Eden retourne dans sa chambre pour se glisser à nouveau dans ses draps. Du moins c’était son attention, jusqu’à ce que l’écran de son téléphone ne s’allume, signe de l’arrivée d’un message. La brune saisit l’appareil et regarde l’expéditeur : inconnu. Étrange, probablement un mauvais numéro se dit-elle, avant d’ouvrir le contenu. Les mots qui s’affichent sont à la fois clairs et incompréhensibles. Il s’agit de Joshua, qui - comment a-t-il pu avoir son numéro celui-là ?! - l’informait que sa petite sœur, Eva, avait eu des soucis, et qu’elle était désormais chez lui. Eden n’en croyait pas ses yeux, pour la simple et bonne raison qu’Eva était chez sa meilleure amie cette nuit, car elles devaient réviser pour un exposé prévu le lendemain. Eden lui avait fait confiance, car sa petite sœur était quelqu’un de responsable. Lui aurait-elle menti, droit dans les yeux ? La Mendoza composa automatiquement le numéro de la plus jeune pour en avoir le cœur net, mais elle tombait directement sur le répondeur. L’agacement montait en elle à mesure qu’elle échangeait quelques messages avec Joshua pour comprendre. Mais au bout de quelques minutes, elle ne tenait plus, et prenait une décision hâtive, comme toujours.

Okay, j’arrive. C’est ce qu’elle lui avait écrit, sans penser qu’elle le ferait au sens premier des mots. Eden n’avait pas réfléchi avant d’agir, elle avait seulement glissé ses pieds dans une paire de baskets, récupéré ses clés de voiture, et foncé à l’adresse indiqué par le militaire. À aucun moment, elle n’avait jugé bon de se changer pour mettre de vrais vêtements. Par chance, sa tenue n’était pas indécente non plus : un pantalon de nuit et un tee-shirt un peu ample qui avait tendance à redescendre d’un côté pour dévoiler l’une de ses épaules. Clairement, sa priorité était Eva, et de connaître le fin mot de l’histoire. Par chance, l’appartement de Joshua se trouvait à une quinzaine de minutes du ranch, la belle y était facilement, surtout grâce à l’heure qui rendait les routes quasi désertes. Une fois sur place, elle entra dans le bon immeuble, n’eut pas la patience d’attendre un ascenseur donc grimpa les escaliers jusqu’au 3ème étage, avant de toquer à la bonne porte. Elle n’était pas énervée, ou plutôt, elle parvenait à canaliser ses émotions à l’intérieur de son corps pour ne pas provoquer un scandale au milieu de la nuit. La dernière chose dont elle avait besoin était une plainte d’un résident pour tapage nocturne. Au bout de moins d’une minute, la porte s’ouvrit pour dévoiler Joshua. Une vision perçue comme le signal d’ouvrir les vannes. « Je te jure que si c’est la vérité, je vais lui passer un savon qu’elle n’est pas prête d’oublier ! » En même temps que les mots sortaient de sa bouche, la demoiselle était entrée à l’intérieur de l’appartement, sans en avoir eu l’autorisation, mais toujours pour ne pas faire une scène au milieu du couloir. Elle ne criait pas, contrôlait le ton de sa voix, mais elle se sentait comme un lion dans une cage, prête à exploser si l’occasion lui était donnée. « Me mentir, sortir au milieu de la semaine, consommer de l’alcool et… » La liste n’était pas terminée, mais le regard de la Mendoza venait de se poser réellement sur Joshua pour la première fois, et ce qu’elle venait de voir l’avait coupé dans son élan. « Qu’est-ce qu’il s’est passé ?! » demanda-t-elle alors, passant du coq à l’âne. Alors qu’elle avait posé la question, Eden s’était approchée de Joshua, et avait approché sa main de son visage, à l’endroit où il avait reçu un coup. Un geste spontané, sans réfléchir une seule seconde avant de le faire, avant d’effleurer avec beaucoup de délicatesse l’endroit où un hématome assez moche était en train de se former.



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Joshua Sullivan
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(#)Sujet: Re: C’est tellement plus simple de fuir que de se battre pour ce qu’on veut vraiment.  |   Dim 26 Sep - 10:45

Je ne m’attendais pas du tout à ce que ma nuit se passe de cette façon, ni à croiser qui que ce soit et encore moins une Mendoza. Mais en passant devant ce bar, je ne pouvais pas continuer mon chemin et faire comme si je n’avais rien vu -ce qui visiblement ne dérangeait pas la plupart des clients de ce bar présents au même moment- ce genre de comportement a le don de m’agacer, à quel moment on assiste à ce genre de scène en se contentant seulement de regarder ? Qui sait jusqu’où ce connard serait aller si je n’étais pas intervenu ? Je ne veux même pas y penser, sœur ou pas sœur d’Eden, Eva n’est qu’une gosse, elle ne mérite pas ça. Alors oui, certains diront que c’est bien fait pour elle, qu’à son âge, elle ne devrait pas traîner dans les bars seule… Oui je suis d’accord, mais on fait tous des conneries à cet âge-là, comme on dit : c’est l’âge con. On écoute pas nos parents, les gens qui nous entourent et on suit nos potes dans n’importe quel délire, je sais de quoi je parle mais personne, je dis bien personne ne mérite ce qu’elle a subi et a failli subir.
Après avoir collé plusieurs fois mon poing dans la figure de ce connard et qu’on vienne surtout nous séparer avant que l’un de nous ne fasse quelque chose qu’il pourrait regretter ensuite, je décidais de ramener Eva chez moi à l’aide son amie. Cette fameuse amie avait donné mon adresse pour qu’on vienne la récupérer devant chez moi, comme ça je saurais qu’elle rentre en sécurité et j’espère que ça lui servira de leçon, mais je ne suis pas son père, alors je vais laisser ce discours au concerné.
En arrivant dans mon appartement, je conduis Eva dans la chambre qu’occupe Roxy lorsqu’elle séjourne aux Etats-Unis, je la couvre avec le plaid qui se trouve en bout de lit et dépose la poubelle de la salle de bain à côté du lit au cas où son estomac décide de la torturer un peu, ce qui risque fortement d’arriver.
De retour dans le salon, je prends mon portable et note le numéro d’Eden que j’ai pris dans le portable de sa sœur, puis lui envoie un message pour la prévenir que sa sœur est chez moi et qu’elle ne doit pas s’inquiéter, qu’elle va bien. Je sais qu’Eva m'a supplié de ne rien dire à Eden, mais je ne peux pas laisser ça comme ça. Pas parce que j’ai peur d’Eden mais parce que j’aurais aimé qu’on fasse la même chose si c’était ma sœur. Eva s’en remettra, elle me détestera mais ce n’est pas grave, une Mendoza de plus, je ne suis plus à ça près. “Okay, j’arrive.” sont les derniers mots reçus de la part d’Eden avant qu’elle ne frappe à ma porte une quinzaine de minutes plus tard. « Je te jure que si c’est la vérité, je vais lui passer un savon qu’elle n’est pas prête d’oublier ! » lance-t-elle en entrant dans l’appartement, m’obligeant à me décaler. Je peux comprendre son agacement et sa colère, j’aurais sûrement réagi pareil si c’était Roxana, mais l’engueuler là, maintenant, ne servirait à rien. Je ferme alors la porte mais reste près de celle-ci, observant Eden s’agiter dans tous les sens, croisant les bras sur mon torse. « Me mentir, sortir au milieu de la semaine, consommer de l’alcool et… » dit-elle en se stoppant après m’avoir regardé pour la première fois depuis son arrivée. « Qu’est-ce qu’il s’est passé ?! » me demande-t-elle en s’approchant de moi, approchant sa main de mon visage et effleurant mon visage à l’endroit où j’avais pris les coups, ce qui me fis légèrement grimacer, il n’y était pas aller de main morte cet enfoiré mais l’état de ma main montre que je ne l’ai pas raté non plus.
- Ta soeur à un sacré crochet ! Lançais-je en riant légèrement. Voyant que ma blague ne la faisait pas rire, je repris,
- C’est rien, un mec qui m’a un peu trop chercher… Dis-je alors avec un léger haussement d’épaule, ce n’était pas ma première bagarre et ça sera sûrement pas la dernière, on me cherche, on me trouve.
- Tu sais que tu aurais pu attendre quelques heures pour venir la chercher, parce que là, je ne suis pas sûr qu’elle bouge le petit doigt. Lui dis-je alors en la regardant.

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