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 The alcohol can make miracles.

 :: sujets et autres

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(#)Sujet: The alcohol can make miracles.  |   Mar 5 Avr - 20:02

   
ft. Hannah & Avery

   
The alcohol can make miracles 

   
   

   

  Ce soir c'était les 21 ans de la fille de ma marraine. Amélia était venu en ville avec ses copines de New york pour fêter son anniversaire dans une grosse boite brancher de la ville. J'avais pris les soins de tout organiser car 21 ans c'était un anniversaire important. Elle allait pouvoir faire la fête comme il se doit. Ma marraine avait pris Carter pour tout le week-end elle qui se plaignait de ne pas le voir assez souvent et puis il était vrai qu'il grandissait vraiment très vite. Mon bébé avait déjà quatre mois et je réalisais tout doucement encore que j'étais maman. En début d'après-midi j'avais convié tout monde dans un institut en ville. Elle avait le droit a un anniversaire dont elle allait se souvenir toute sa vie et ça commençait par une mise en beauté et une robe du tonnerre. Après tout cela je les déposais toute a leur hôtel et les informait qu'une voiture viendrait les chercher à 21h pour se rendre au restaurant. La petite fête ne commençait que seulement à 23 h. J'avais le temps de peaufiner les derniers détails et de me préparer à mon tour. Quand tout fut parfait. Je rentrais chez moi pour me préparer. J'avais faits pour l'occasion une magnifique robe, c'était un modèle unique. Une robe en bustier rouge vraiment très belle que je porterais pour la première fois ce soir. L'avantage de créer ses propres vêtements. Je glissais sous la douche en prenant les soins de me mouiller mes boucles que la coiffeuse m'avait fait.Vingt et une heures j'étais prête, je sortais de la maison et montais dans la limousine pour rejoindre les filles qui devaient sans doute m'attendre au restaurant. Amélia et moi étions comme des soeurs depuis que nous étions petites et j'étais vraiment heureuse de pouvoir lui faire plaisir.La voiture me déposait devant le restaurant où je retrouvais le groupe de filles qui était composé de cinq. Je les connaissais toutes très bien certaines étaient dans la même classe que moi quand j'étais à NY. On dînait en rattrapant le temps que nous avions perdu. Je n'avais pas vu certaine depuis quatre déjà et je me rendais compte que ma vie était très différente de la leur. Je payais la note et le chauffeur nous emmenais à notre prochaine destination. Cette boîte était ouverte depuis à peine un an et c'était la plus brancher de Miami. Le propriétaire était devenu un ami. On rentrait par l'entrer VIP. La fête pouvait enfin commencer. 

Quatre heures du matin
Je crois avoir bu plus que je n'avais jamais bu de ma vie. La musique était tellement forte que je pouvais la sentir tambouriner dans ma tete. L'alcool avait coulé à flo depuis le début de la soirée et je n'arrivais plus à aligner un mot correct. Les filles étaient tout entrain de se déchaîner sur la piste de danse alors que moi je n'avais qu'une envie c'était de sortir d'ici. Je m'approchais d'Amélia pour lui dire que je rentrais et que je lui laissais la limousine la maison n'était pas très loin et j'avais besoin de prendre l'air . Je sortais de la boîte et marchais le long de la route. Il n'y a aucune voiture qui ne passait et c'était normal vu l'heure tardive qu'il était. Je prenais par un raccourci et passais devant chez Avery. Cet appartement que j'avais si souvent été à une époque c'était comme une deuxième maison pour moi. Notre dernière entrevue m'avait laissé un gout amer. Certaines choses avaient été dites certaines que je pensais d'autres pas vraiment et pourtant je n'arrivais pas à me la sortir de la tete. L'appartement était légèrement éclairé et sa voiture était garée dans l'allée. L'envie de le voir était grande et je savais qu'ivre comme j'étais ce n'était vraiment pas une bonne idée et puis on était samedi soir il était peu être accompagné. Je rentrais pourtant dans le bâtiment et montais les escaliers en retirant mes talons qui commençaient à me faire horriblement mal. Le jeune homme avait toujours caché sa clé au-dessus de la porte car il lui arrivait trop souvent de la perdre. Je la prenais et ouvrais doucement la porte pour la refermer. Son appartement était identique, aucun changement comme si le temps c'était arrêter. J'entrais dans le salon et le trouvais endormie assise la manette dans la main et des bières sur la petite table, je contournais la table et laissais tomber mes chaussures sur le sol pour m’asseoir à côté de lui. Ma présence ici allait lui faire un choc et il était évident que je me souviendrais de rien demain matin et que j'allais me détester d'avoir franchi la porte de chez lui " Je suis désolé pour tout Avery " dis-je doucement pour ne pas le réveiller trop brusquement. Il y avait deux options où il me jetait de chez lui sans aucun scrupule ou bien il acceptait que je reste et on poursuivait cette conversation cette fois-ci dans le calme. Avery ouvrait les yeux et me regardait surprit " Salut " dis je simplement , j'avais vraiment beaucoup trop bu. 
   
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
   
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(#)Sujet: Re: The alcohol can make miracles.  |   Sam 9 Avr - 14:01

 
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The alcohol can make miracles

 
 

 

t'avais dégueulé tes trips, limite. t'es malade comme un chien. comme un sale chien. ton meilleur pote, aujourd'hui, c'était les chiottes et personne d'autre. à croire tu dégueulais toutes les sales cuites que tu t'étais prit pour faire taire tout ces problèmes qui ne s'arrêteront jamais. rébellion. on dirait qu'ils en avaient eu assez de se faire taire par de sales boissons amers, assez fort pour pouvoir les calmer, alors ils ont décidé de te donner une sale claque, les mêmes claques que tu te prenais par ton imbécile de père quand t'avais désobéit. ils ont décidé de te montrer qu'ils sont encore bien là, même si tu te prends des cuites.
victime qui veut pas l'admettre. alors il boit, mais ça se retourne toujours contre lui. aujourd'hui, il s'en veut. il s'en veut parce qu'il est dans un sale état, à être la tête prêt des chiottes, à dégueuler ses trips. mais demain, ça ira mieux, alors demain, il ira en soirée, à boire, à draguer, à sauter des meufs. y'a rien qui peut le calmer. avery, c'est un putain de têtu, qui ne vit que pour lui, qui fait ce qu'il veut. dans sa vie de maintenant, il n'y a plus que lui.
tu veux pas sortir. puis, t'as une conscience. tu vas pas sortir avec un sale état. tu décides alors de rester dans ton sale T2, un véritable enfer pour les claustros avec, pour seule issue à la vie, un petit balcon. enfin, petit balcon c'est un grand mot. tu peux juste passer tes jambes qui font face au vide, mettre un cendrier et c'est tout. mais pour aujourd'hui, c'est déjà une grande chose, pour Avery qui va passer toute sa journée sur. passer toute sa journée dessus, à penser à ses problèmes. mais il essaye de pas trop y penser, parce qu'Avery, il veut pas y penser et il y pensera jamais. mais faut croire que, pour ça, c'est pas lui qui décide. parce qu'il arrête pas d'y penser.
t'arrêtes pas d'y penser. ça te fait mal à la tête, pas vrai ? ça te gonfles. ça te gonfles de penser à Hannah surtout. parce que, c'est un grand problème. un grand problème, qui prend une grande place dans ton crâne. t'en penses quoi d'elle, maintenant ? et ce mensonge qui a duré huit mois ? et tu crois à ce qu'elle t'a dit, sur la plage, du coup ? t'as envie de tout péter. de tout péter parce que ça t'énerves de ne pas trouver réponses à ces questions. toi, qui a toujours une réponse à tout, là, tu peux pas. t'as beau chercher, tu sais pas quoi enfaite. tu sais pas quoi. tu sais plus et ça te fatigues. c'est difficile tout ça.
t'as fini par trouver le sommeil et à dormir toute l'après-midi. enfin, entre deux vomissements. t'as même fini par dormir dans ta salle de bain. même dormir c'est devenu difficile. parce que même ta maladie ne veut pas te lâcher, pour pouvoir dormir tranquillement. non, ta maladie, tes problèmes, c'est comme ta vie, c'est sans-pitier. mais bon, on va dire que t'en a prit l'habitude. t'as apprit à rester calme face à tout ça.
tu te fais royalement chier. tu te fais vraiment chier et ça t'énerves. toi, qui est toujours occupé. occupé à sortir dehors et voir tes potes et vendre de la came et à sortir en boite et à draguer. là, t'as rien à faire. t'as tellement rien à faire que toi, Avery Rhodes, à trouver la foi à faire le ménage, à faire la vaisselle, à faire du linge. tu pries pour que cette journée passe vite. passe très vite. même si ça va être difficile vu que t’arrive pas à trouver le sommeil, il est deux heures du matin et, t'arrêtes pas de te dire qu'à cette heure-là, t'es dans une boite à draguer des nanas ou dehors, avec ta bande de pote à fumer, à boire, à déconner. tu soupires en sortant ta manette de jeu. bah ouais, y'a que ça à faire. même si, les vomissements se sont calmés, tu prends pas le risque de sortir. puis, t'as la flemme. puis, c'est trop tard.
une voix te fit sortir de ton rêve. tu t'es endormit devant ton jeu. tu pris une grande respiration avant de t'étirer les bras. tu tournes la tête vers la voix que t'avais entendu et ouvrir doucement les yeux sans vraiment trop les ouvrir, encore habitués à la pénombre. puis, tu ouvris les yeux correctement, d'un air surprit, en voyant le silhouette à tes côtés. tes mains viennent de poser sur ton visage, pour frotter tes yeux. puis, tu refixas la femme à tes côtés. non, c'était pas dans tes rêves, elle était bien vers toi, Hannah. Ha.. Hannah ? d'une faible voix du réveille. tu.. enfin.. tu fous quoi ici ? les yeux plissés, la tête dans les vapes.
 
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
 
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(#)Sujet: Re: The alcohol can make miracles.  |   Sam 9 Avr - 21:16

   
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 En temps normal j'avais toujours de mauvaise idée après une soirée à trop boire mais je crois cette fois-ci se devait bien être la pire idée de ma vie. Être chez lui après tout ce drame à la plage était vraiment une erreur. Avery me détestait et je crois dans le fond c'était aussi mon cas. J'avais beaucoup de mal avec tout ce qu'on avait pu se dire, certaines choses étaient sincères et d'autres pas vraiment mais malheureusement la colère et la déception avaient pris le dessus et maintenant il était impossible de faire marche arrière. huit jours sont passé depuis notre confrontation et pourtant je n'arrive pas à penser à autre chose que son regard si froid si méprisant une chose auquel je ne pourrais jamais m'habituer. L'alcool me pousse à venir le voir lui dire que je l'aimais que mon seul mensonge fût de pas lui avoir dit vraiment ma vraie identité et pourtant je sais qu'à présent ce mensonge a pris toute son importance pour lui. Notre histoire et fausse à ses yeux et c'est insupportable.
Je me retrouve devant sa porte. Une part de moi me dit de retourner en arrière et d'oublier tout cela et une autre me pousse à entrer dans cet appartement qui dans le passé avait tellement représenté a mes yeux. Et comme l'alcool me pousse à faire le mauvais choix je prends la clé cachée et entre dans l'appartement plonger dans la pénombre. La télévision me donne de la visibilité. Avery est endormi sur le canapé. Il a une petite mine, pour un samedi soir je suis étonné de le trouver ici et pas en boîte de nuit ou à faire je ne sais quoi dehors. Je lâche mes chaussures et m'assois juste à côté de lui et l'observe une bonne minute, je n'ose pas vraiment le réveiller et j'ai peur de sa réaction .Je lui murmure doucement que je suis désolé. désolé de quoi ? de lui avoir menti ? d'avoir été horrible avec lui sur la plage ? de mon manque de courage il y a trois ans ? je ne sais plus vraiment de quoi je regrette. Il ouvre les yeux difficilement , il est malade car je sais très bien voir quand un truc ne va pas chez lui. L'alcool commence doucement à redescendre en même temps que mon courage à venir ici. Je me sens horriblement stupide, il ne voulait pas de ma présence ici et je crois que je ne voulais pas y venir et pourtant je suis incapable de partir. Avery me demande ce que je fous ici. excellente question je dois bien l'avouer " En sortant de la boîte de nuit j'ai atterri ici " dis je doucement en le regardant, je souffle un bon cou et détourne le regard en regardant autour de moi. Si seulement l’alcool n'était pas autant redescendu, si je ne parle pas il va perdre patience. Un Avery malade et pire qu'un Avery ivre " De base je pensais c'était une bonne idée j'allais venir ici et te dire que je te déteste et puis je viens de me rendre compte que je dois assumer d'avoir absolument tout gâché entre nous tu avais raison mon manque de confiance a gâché absolument toutes mes relations " dis-je d'une petite voix, on avait tellement hurlé sur la plage que ce soir je n'avais aucune envie que cela se passe de la même façon " Cet appartement na absolument pas changer " dis je en croisant de nouveau son regard, sa façon de me regarder me déstabilise et me fait vraiment regretter ma venu ici " Je t'aimais vraiment avery j'ai pas mentis sur cela je te le jure ". 
   
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(#)Sujet: Re: The alcohol can make miracles.  |   Mer 13 Avr - 0:11
et merde. ça te tombes dessus, comme ça. en même temps, c'est hannah. hannah, elle te surprenait tout le temps. hannah, elle était pas comme toi. elle osait, elle. elle voyait les choses en grands, elle. la hannah hamilton. mais elle t'a apprit à faire les choses en grand, à faire les choses bien, hamilton. un corps qui cache deux âmes. c'est grandiose. c'est tellement grandiose que tu trouves même pas les mots face à elle. tu la regardes avec de l'incompréhension. tu parles à la quelle là ? tu pries pour parler à la hannah mills. mais t'as peur d'être déçu. encore une fois. alors tu recules tes pensés de voir en grand, de voir mills, et tu veux voir hamilton. ou les deux. enfaite, tu veux la vraie avec le tempérament de la fausse. décidément rhodes, tu seras jamais vraiment ce que tu veux. t'es foutu. c'est pt'être pour ça que t'as une vie comme ça aussi. on a que la vie qu'on mérite, pas vrai?
non, t'as tord.
si, t'as raison.
je sais pas, en fin de compte.
tu sais pas vraiment rien. pourquoi elle est là ? pourquoi hannah ? pourquoi le passé resurgit ? pourquoi y'a pas eu l'avenir hannah rhodes ? pff, et puis tu t'en branles. t'es malade là. pour une fois que tu peux te plaindre.. enfin non. non tu peux pas là. malade ça arrive à tout le monde et personne s'en plains.
alors tu l'écoutes. tu l'écoutes avec ses mots qui sent la soirée arrosée. qui sent le mensonge ou la vérité. tu sais pas.
mais dans l'fond, t'as vraiment envie de savoir rhodes ?
mais dans l'fond, tu crois que t'es en état de parler ?
ferme les yeux un moment, t'as raison. en espérant que le noir ça efface tout. parce que le noir ça absorbe, ça efface. comme le blanc.  comme les blancs.
masse tes tempes. ça monte au cerveau, comme un putain d'ascenseur à 100.
laisse la parler. entend et essaye de faire en sorte que ses mots passent à la case "compréhension" de ton crâne tout défoncé à cet heure.
redresses-toi. tu poses tes coudes sur tes genoux en continuant, éternellement, le même mouvement, en espérant que ta maladie parte, comme par magie.
tu poses enfin ton regard sur elle, par l'arrière, les yeux à moitié ouverts. tu vois vite fait qu'elle s'était fait belle. t'avais raison, elle était de sortie, la Mills. pendant que toi, toi, toi et ta manette. toi et ton vulgaire trou carré qui donne sur l'extérieur pour un peu d'air, un peu de liberté. resté cloîtré dans ta piaule, t'aurais jamais cru. ton regard sur ses talons. talons que tu connais bien. talons que t'avais retiré avec douceur et tendresse avant de l'avoir dans tes draps. ses talons & la chance. tu t'en souviens de chaques gestes doux, tendres sur hannah, comme si tu voulais prendre soin d'elle. ne pas la déchirer, lui faire de mal, tu te l'étais promis, cette soirée là.
et maintenant, c'est des promesses hautes dans les airs.
parce que maintenant t'es brute avec elles. t'en veux toujours plus, d'elles. éclater ta rage chez elles, ton gout amer de la rancoeur.
tu laissas un blanc s'installer. mais cete fois, c'était sans faire exprès. tu voulais pas mettre le mal aise. je..enfaite, je t'avoue que là je m'en fou. c'était ditect mais clair. là, t'avais la flemme de chercher à être moins brute. enfin, tu croisas son regard c'est juste qu'aujourd'hui j'suis pas vraiment bien pour parler "problèmes" et puis.. sache que si t'es venue là pour t'excuser parce que tu veux plus que j'te regarde comme un monstre bah.. tu cherchas tes mots, t'es vraiment pas bien. ça servait à rien de venir parce que c'est pas tes mots qui vont calmer ma rage envers toi. d'un ton froid. t'avais pas calculé ce que tu disais. la flemme joue sur tout. tu la regardas prendre ses talons pou partir. partir pour ne plus jamais revenir. parce que là, c'est toi, toi qui tient l'ame du monstre. tu souffles. t'es con rhodes elle oure la porte d'entrée pour en sortir. mais tu te plaças derrière elle, la main qui claqua la porte et gardas ta main sur. tu veux pas qu'elle t'échappes. elle partira pas. tu la bloque. non, ça n'a pas changé. rien n'a changé. j'en ai eu envie à un moment.. mais j'étais trop attaché au passé. tu retiras ta main de l'entrée et reculas, captant juste maintenant que t'étais un peu trop proche d'elle. mais ça va mieux maintenant et dans pas longtemps, j'vais tout refaire. tu plaças ton regard dans le siens. pour plus qu'il y est une seule trace du passé avery & sa voix simple qui cache du complexe.
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(#)Sujet: Re: The alcohol can make miracles.  |   Mer 13 Avr - 12:20

   
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  Pourquoi je suis venu chez lui ce soir et surtout complètement ivre. Ce n'était vraiment pas le bon moment pour une confrontation avec lui. Avery était déjà un con de base avec tout ce qui l'avait pu me cracher à la gueule sur la plage mais il était malade c'était encore pire car quand il était comme sa il se comportait comme si la terre lui en voulait et qu'il voulait pouvoir faire du mal a chaque personne qui croisait son chemin. Un homme malade était toujours plus chiant qu'une femme c'était un secret pour personne et Avery n'avait pu échapper à un truc comme cela.Toute la semaine je me suis répété encore et encore que le mieux était d'oublier ce mauvais moment depuis trois ans les choses c'était peu être pas passé comme je l'aurais voulu mais j'avais réussi à avancer comme je le pouvais.Et un contact avec Avery et tous mes efforts c'était comme envoler, Je le refusais j'étais bien plus forte que cela c'était peu être moi qui avais pris la décision de le quitter mais ce n'était pas parce que je ne l'aimais pas bien au contraire et maintenant j'en avais vraiment marre de culpabiliser j'étais un monstre à ses yeux très bien j'allais le confronter une bonne fois pour toutes qu'il le veuille ou non.



Il était désagréable limite très méchant et le fait d’être bourré n'allait en rien arranger ma situation. J'avais envie de lui foutre une bonne claque et de lui dire d’arrêter d’être un tel connard et pourtant je n'en ferais rien, il était en colère et il déversait sa haine sur moi pour pouvoir se libérer Je reste à côté de lui sur le canapé, lui laisse le temps de se réveiller et de réalisé que je suis bien sûr son canapé. L'homme que j'ai connu n'existe plus il a laissé place à un homme plein de rage, de colère et d’amertume et je crois que la femme qu'il aimait n'existe plus aussi. Notre histoire a terminé ici en même temps que nos cœurs briser. L'entendre me dire qu'il s'en fiche me fait mal mais je ne lui montre pas, aucune expression ne passe sur mon visage. Je me contente de me lever et de récupérer mes chaussures par terre et me diriger vers la porte d'entrée.Je cesse de l'écouter de toute façon chaque parole sa toute autant méprisante les unes que les autres, je le connais même s'il est différent il reste quand même l'homme que j'aimais il y a trois ans . Son seul but et de me pousser à bout pour que j'explose, je ne lui donnerai jamais ce plaisir. J'ouvre la porte , il la claque violemment en gardant sa main dessus. Hannah garde de ton calme s'il te plaît ne lui donne pas ce plaisir " D'accord Avery tu me détestes je suis un monstre tu regrettes chaque moment passé avec moi j'ai compris commence à changer de refrain " dis-je en croisant son regard plein de rage " Je sais même pas pourquoi je suis venue une des choses stupides que j'ai pu faire dans ma vie je crois je vais arrêter de boire " dis je en le regardant s'éloigner de moi comme si ma présence le brûler . Il me parle de son appartement comme quoi il pense à tout changer pour ne plus pensé a son passé, je lui souris pour lui montrer que cela ne me fait rien " Tu as raison change tout tu aurais dû le faire trois jours après notre rupture à non excuse-moi tu étais occupé à rouler une pelle à cette fausse blonde qui était vulgaire et qui gloussais a chaque fois tu prononçais un mot  " dis je en le regardant , cette image ne m'avait pas quitter pendant un long moment. Il avait vraiment l'air très mal , être débout avait l'air d'une torture pour lui  . Je le poussais pour qu'il se rassied dans le canapé " Tai toi Avery " dis je en me dirigeant vers la cuisine pour chercher dans sa pharmacie de quoi le soigner.  Par chance il n'avait pas changé la place des médicaments, il disait vrai absolument rien n'avait changé. Je lui préparais une tasse de lait chaud un truc que me donnait ma mère quand j'était malade et un verre d'eau et revenais avec le nécessaire et lui tendait les médicaments " Prend sa et commencent pas à râler " dis je en le regardant droit dans les yeux. Je touchais légèrement son front " Tu à de la fièvre tu devrais prendre une douche car j'ai comme l'impression que cela n'est pas arriver depuis quelques jours et commence pas à me hurler dessus tu devrais garder ta force pour autre chose  " J'avais pratiqué une ou deux fois pendant notre relation le Avery malade, c'était une version de lui que j'avais détesté. Et malheureusement j'allais en payer les frais.
   
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(#)Sujet: Re: The alcohol can make miracles.  |   Ven 15 Avr - 11:16

 
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t'avais pas b'soin d'ouvrir les yeux pour savoir qu'Hannah, elle avait bu. rien qu'en entendant ses mouvements, tu l'savais. avery t'es comme ça, que tu le veuilles ou non. tu connaitras toujours hannah, que tu le veuilles ou non. tu savais aussi que, si hannah elle était venue te voir, c'est que ça la rendait grave. grave de se savoir monstre à tes yeux. elle t'avait soulé. elle t'avait fait mal. alors, c'est mort. y'aura pas un avenir à la avery et hannah. tu te le dis et le répète dans ta tête. parce que c'est elle, la cause. mais dans l'fond, y'a elle puis y'a toi. toi & ton envie d'femme omniprésent, tu peux plus faire le gentlemen comme tu le faisais avec hannah y'a déjà trois ans d'cela. tu peux plus, maintenant, avery c'est un croqueur de femme. il en veut toujours plus de ces courbes sensuels, des coups d'reins qui peut passer à chaque minettes qui veulent passer sous sa couette. il en veut toujours plus que ses croqueuses d'homme car ensemble, pour une fois, avery a trouvé un truc qui lui va. qui lui correspond. un truc qui fait la paire.
ça te fait plaisir le geste d'hannah, sérieusement, c'est vrai, ça le touche quand même. mais, elle va dire quoi appart "désolé avery, j'avoue, j'ai tout foutu en l'air" ? c’est pas des mots magiques ça, même si tu les espères parce que ça t’fais chier d’avoir la haine pour tout. alors ouais, s’il pourrait avoir moins la haine pour hannah, il serait partant parce que c’est fatiguant d’être en rage sur tout. sur tout et sur n’importe quoi. ça te fait plaisir le geste d’hannah mais à cette heure, t’as pas envie de parler « problème » que t’aurais espérer un peu échapper grâce à tes sales maux de ventre. mais non, faut croire que ça va t’suivre. tout le temps. chaque jours. tu lui gueules un peu dessus en disant que ça sert à rien de venir s’excuser. ta haine, tu sais que tu l’auras toujours, même si elle se met à terre. tu commences à bien la connaitre ta haine. autant qu’hannah. c’est des mots durs qui font mal ce que t’as dit. c’est les mots qui résonnaient dans ta tête. t’aurais pu un minimum réfléchir, t’arrives à la faire fuir. non, mais enfaite, tu peux pas là, t’as pas envie de réfléchir. pas envie de réfléchir comme tout les jours parce que, t’as, devant toi, le résultat quand tu réfléchis pas tes mots. tu l’as rejoint.
part pas hannah, désolé d’avoir parlé comme ça, mais tu sais, tout les mots gentils que j’ai pu te dire sur la plage, c’était réfléchit. mais là, je suis malade alors j’réfléchis pas, ça m’gave de réfléchir à des moments, alors hannah, ouais, excuse-moi de t’avoir parler comme ça. parler avec mes vrais mots & non des mots calculés qui commencent à d’venir une habitude.
t’avais envie de tout jeter dans sa gueule, tellement que t’étais pas bien. parce que, dans le fond, tout ça là, tout ce bordel, il a trois ans.
trois ans.
et tu vois, trois ans, ça fait un peu beaucoup. même beaucoup, beaucoup.
tu baissas la tête, t’en a déjà marre de cette discussion, pourtant, tu l’attendais fortement cette discussion, pour que ça aille un peu mieux entre vous. parce qu’hannah ça t’fais un peu d’mal de la détester. « c’est pas ce que je voulais dire. t’es pas un monstre. » et tu sais de quoi tu parles. « tu vois, j’t’en veux même plus que t’as tout foutu en l’air entre nous. ce qui m’fait chier c’est ton putain de secret qui aurait encore pu durer dans l’lfutur. » t’imagines tu l’aurais présenter à maman ? c’est hannah hamilton. à ta sœur ? c’est hannah hamilton. à ton père (même si tu le vois plus) ? hannah hamilton. t’es obligés de te l’imaginer, même si ça t’ronges. tu recultes et te plaquas contre le mur d'en face, et tu l'écoutas. tu l'écoutas. tu l'écoutas. tu t'en fou pas. ok, un peu. t'as envie de dormir là. ou t'as envie de faire un truc mais autre chose que parler d'vous. tu roulas des yeux. elle te fait des reproches. tu t'en fou là, alors, tu lui souris en lâchant un beau « exactement, princesse » même si t'as pas vraiment rouler un pelle à c'te nana. tu l'avais juste embrasser, croyant que ça pouvait oublier les lèvres d'hannah. tu atterrissais sur le canapé, poussée par hannah et, pour une fois après trois ans, tu la laissas faire. tu souris un peu. tu te souviens de toutes ces fois où elle a pu jouer l'infirmière avec toi. t'en avais bien profité. maintenant, c'est plus bizarre. tu la hais, mais t'aime quand elle s'occupe de toi. elle me tendit un verre avec un cachet. tu avalas. sans rechigner. elle posa sa main sur ton front et t'annonças que t'avais d'la fièvre. sans blague, hannah ? tu l'aurai bien sortit c'te phrase. mais elle est trop gentille pour que tu lui sortes ça, à c'te heure. elle savait que tallais râler, personne donne des ordres à avery. pas jusqu'à là. elle le savait. « alors tu viens avec moi, sous la douche ? » en rigolant un petit peu, parce que t'en avais pas trop la force. puis, tu croisas son regard. « je rigoles hannah » d'un ton neutre. tu te levas et allas à la douche, mais avant, tu te retournes et lui adresse un sourire sincère. « merci » premier mot après trois ans que tu lui adresses de gentil. grande première.
tu pris ta douche, enfilant un boxer, un sarouel & un simple tee-shirt. le cachet avait fait effet, alors, pour le moment où t'étais un minimum gentil et pas chiant, tu t'installas sur le plan de travail de la cuisine, pendant qu'elle était entrain de préparer une tasse de lait chaud. elle parlait pas, tu l'as regardas faire et un petit sourire s'intalla sur ton visage. tu brisas le silence en montrant du doigt l'endroit où se trouvait les aspirines. « y'a des aspirines là-bas, si tu veux » d'une voix aimable. « mais, tu le sais déjà ça » elle avait trouver ton médoc alors l'aspirine elle la forcément repérée. et tu repris ta phrase « hamilton »  avec un simple sourire taquin. « c'était pour te taquiner, hannah » ouais, tu sais pas comment elle peut réagir.
 
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(#)Sujet: Re: The alcohol can make miracles.  |   Dim 17 Avr - 14:28

   
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The alcohol can make miracles 

   
   

   

  Bon ce n'était pas si catastrophique que cela. Il me détestait toujours autant et pourtant il voulait que je reste du moins ce soit cette impression qu'il me donnait. depuis la nuit que j'ai passée avec Wayne il y a presque un an et demie de cela je n'avais plus bu une goutte d'alcool et à présent je regrettais chaque goutte ingurgitée. Ma tête commençait à me faire horriblement mal et Avery n'était pas en si grande forme que moi. le pauvre semblait vraiment très malade et quand il était comme cela il n'avait aucun scrupule avec personne et encore moins avec moi. Il m'en voulait tellement que sa haine l’empêchait de m'écouter et tout ce que je pouvais lui dire sonnait comme un terrible mensonge. Oui j'avais menti sur mon identité mais jamais sur l'amour que je lui avais porté, ce n'était impossible de donner autant à un homme pendant huit mois sans l'aimer. Je refuse d'en écouter plus. Sa haine il la déversera sur quelqu'un d'autre.
Il continue de parler, d’être l'homme que je déteste quand il se comporte comme cela, têtu et sans aucune envie d'écouter " Je m'en fiche de ce que tu penses de moi j'avais juste besoin te le dire comme tu viens de me le dire tu t'en tapes " dis je en le regardant " D'accord j'ai tout foutu en l'air j'ai compris tu me le répète sans cesse sans pour autant prendre en compte le pourquoi du comment alors va y avery dit moi déverse ta haine sur moi si ensuite sa peut te faire te sentir mieux ". Je n'arrive pas a le regarder,  trop souvenir me revienne en tête surtout dans cet appartement où nous avons vécu tellement de chose. Partir serait la solution et pourtant je suis incapable de le laisser comme cela. Je le pousse et lui demande de ne pas bouger et de ne pas dire un mot , autant qu'il garde ses forces pour autre chose. Et puis avec du recul je pense qu'il n'y a pas grand-chose à ajouter. Il me déteste je l'accepte.Je me rends dans la cuisine. Pas besoin fouiller pour savoir où se trouvent les médicaments. Rien n'a absolument changé ici.Je reviens vers lui et lui donnent ses médicaments. Son front est chaud et ses yeux tout rouge.Je lui conseille de prendre une douche pour faire baisser la température. Sa petite réplique ne me fait même pas sourire " Je devais rire ? excuse- moi j'attendais la chute de ta blague " dit je en le regardant , être aussi froide ne me ressemble pas . Il se lève pour prendre une douche , avant de quitter la pièce il me remercie. 
Je ne réponds pas et ramasse la vaisselle qui traîne sur la petite table, mon crâne me fait horriblement mal mais heureusement l'alcool ne fait plus effet.Je dépose le tout dans l'évier. Avery revient quelques secondes plus tard , habiller et s'installe sur le plan travaille " J'en ai pas besoin " dis je en lui donnant la tasse de lait avec du miel dedans. C'était franchement horrible à boire mais c'était efficace. Je croise son regard quand il prononce mon nom famille du moins Hamilton " C'est toi qui as un problème avec cela pas moi... " dis-je alors que la sonnerie de mon portable sonnait à 4 heures du matin, qui pouvait m'appeler à cette heure-ci. J'attrapais mon portable qui se trouvait dans ma pochette et décrochait, c'était ma marraine. Je tourne le dos à Avery " Marie , oui Carter va bien ? ... Oui je sais il a du mal à dormir en ce moment ... prend le contre toi et marche de long en large dans la maison il va finir par s’endormir et si vraiment il ne se calme pas je vais venir le chercher ... d'accord prend lui sa température au cas où je le trouvais un peu chaud hier soir ... pas problème appelle-moi je vais rentrer et travailler un peu ... oui je sais mais je n'ai pas sommeil ... embrasse mon bébé pour moi " dit je en raccrochant. je me retournais vers lui " Prend sa deux fois par jour et boit beaucoup d'eau d'ici demain soir cela devraient aller mieux " dis je en prenant ma pochette pour ranger mon portable. Je voyais pas l'utilité de rester ici, on avait fait le tour de tout ce qu'on pouvait ce dire et puis rien ne changerait de toute façon. Je rentrais ensuite chez moi.
rp terminé. 
   
- Adrenalean 2016 pour Bazzart.
   
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