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 :: sujets et autres

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(#)Sujet: you're not welcome.   |   Lun 23 Avr - 19:30




je ne pensais possible, autant de monstruosité au sein d'une seule et unique personne.  

☁️
Je comprenais pas trop comment ma vie en avait pu en arriver là. J’étais en couple et enceinte et… rien qu’à y penser, je trouvais ça complètement con. Pour ce qui est du fait que j’étais amoureuse de Matt et techniquement, avec lui, il n’y avait rien à faire, bien malgré moi. J’étais tombée comme une grosse faible/lâche et je devais que assumer le fait que j’étais émotivement capable d’avoir quelqu’un dans ma vie. Du moins, pour l’instant. Je ne savais pas trop si ça allait durer tous les deux, on était tellement pas habile, on savait tellement pas comment faire que je sentais que ça allait très rapidement devenir une vraie catastrophe et j’allais finir par le détester à mort, une fois de plus. Quoi qu’il en soit, aujourd’hui, c’était pas une très bonne journée, j’avais des nausées, j’avais passé la journée pas mal tranquille chez moi à travailler de là. Je venais de finir de manger, j’étais à la cuisine en train de justement, faire des recherches pour des cliniques d’avortement lorsqu’on cogna à la porte. Je fronçai les sourcils, regardant mon téléphone : pas de message pour me dire qu’on allait passer me voir et je n’attendais personne. Je détestais lorsqu’on se pointait chez moi sans m’avertir d’avance. C’est tout en soupirant que je me dirigeai vers la porte, en espérant que ça soit Joe qui avait oublié sa clé. En ouvrant la porte à la va-vite, je ne tombai pas sur ma meilleure-amie, ni même Matt. En fait, c’était un homme que je connaissais. Je savais que j’avais déjà couché avec lui et ça me prit quelques secondes avant de récupérer son nom, quelque part de ma mémoire.

« Sawyer… qu’est-ce que tu fais là? »

Je me souvenais qu’il était un franchement bon coup… il n’y avait pas à dire mais depuis cette fois-là, on ne s’était pas vraiment vu. Je me doutais bien de la raison de sa présence ici mais il allait bien vite comprendre que j’étais pas du tout en état de faire quoi que ce soit. Puis, comme s’il était dans le grand confort de chez lui, il passa à ma droite pour entrer chez moi. Je restai un peu surprise par son manque de respect et je m’empressai de me reculer pour lui bloquer le passage.

« Euh non… je t’ai pas invité, tu rentres pas chez moi comme ça. » dis-je en l’arrêtant en posant une main sur son torse comme pour le faire reculer un peu.

J’étais pas d’humeur là… je voulais pas qu’on me fasse chier.


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(#)Sujet: Re: you're not welcome.   |   Mer 25 Avr - 21:50
emma, sawyer

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▼▲▼

Je me faisais abominablement chier dans ma chariote à regarder les mouches voler. Je n'avais plus de quoi me faire partir dans une autre galaxie alors autant dire que la journée risquait d'être très longue. Je n'avais pas spécialement l'envie de voir du monde, comme d'habitude me diriez-vous mais aujourd'hui encore plus. Je savais que si je me risquais de sortir de ma caravane pour aller me fournir auprès de mon dealer, je n'allais pas pouvoir marcher cent mètre que je craquerais déjà et exploserais la face d'un des passants. Je n'avais plus non plus de traitement, mon infirmière m'a prévenu du retard dans la livraison et rien que ça, ça m'a bien bousillé le moral. J'attendis, assis comme un con sur ce qui me servait de canapé tout pourri, que la journée passe, les yeux dans le vide jusqu'à me souvenir d'une nenette que je m'étais tapé un soir. Je l'avais rencontré sur Tinder et fallait avouer qu'elle était pas mal bonne. Son cul m'avait chamboulé et encore plus marqué que les autres. Disons qu'Emma était une très belle femme et très douée dans le domaine sexuel. J'ai gardé son adresse en tête et m'en va par ailleurs vers chez elle, cul posé sur le siège de la voiture, je démarre en trombe, soudainement excité. Sonnant chez elle, je fus étonné de voir qu'elle n'avait pas l'air chaude de me voir plus que ça. Quelques mois que je ne l'avais pas vu et voilà qu'elle s'était rendue comme mère Térésa à ne plus vouloir se faire taper dans le fond. J'hausse les épaules et entre tout de même dans son appartement, ne comptant pas y repartir sans avoir vidé ma paire de couille qui me démangeait pire que des oursons dans le fion. Je fronce des sourcils quand elle m'arrête et dévisage sa main posée sur mon torse. Elle avait l'air ferme, mais moi aussi. S'il fallait que je la prenne de force pour me faire plaisir, j'allais le faire. « Arrêtes tes conneries t'es aussi ouverte que la chatte d'une actrice porno. » Je m'approche d'elle en posant ma main au niveau de ses reins, la collant soudainement à moi. « J'ai envie de baiser, alors baisons. » Ma main glisse vers ses fesses que j'empoigne, fermement décidé à ne pas lâcher l'affaire jusqu'à ce qu'elle ne me donne ce que je suis venu prendre. J'avais certainement pas fait la route pour me manger un stop, mon égo ne l'aurait certainement pas accepté.

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(#)Sujet: Re: you're not welcome.   |   Sam 28 Avr - 3:23




je ne pensais possible, autant de monstruosité au sein d'une seule et unique personne.  

☁️

J’étais pas dans mon assiette, entre le stress et les nausées, c’était juste pas ma journée quoi! Donc la dernière chose que je voulais, c’était d’avoir quelqu’un chez moi, si je voulais des invités, je proposais : sinon pas la peine de venir me faire une surprise, j’allais rapidement devenir désagréable. Surtout que là, j’avais ouvert la porte et c’était ce Sawyer que j’avais vu une fois dans ma vie et que depuis qu’on avait sauvagement baisé deux fois chez moi, on s’était pas parlé de nouveau. Disons même que jusqu’à maintenant, jusqu’à ce que je le vois devant moi en ouvrant ma porte, je ne me souvenais plus trop de loin, il ne m’avait pas traversé l’esprit. Pas que ça avait été mauvais, j’avais bon souvenir de nous deux à poil en train de se faire du bien mais… si je commençais à m'attarder à chaque personne avec qui je baisais, j’aurais pas assez d’une journée pour me mettre à penser à eux tous. Par contre là, comme je le disais, je voulais être toute seule donc encore moins qu’on se permettre de rentrer chez moi comme ça. Je lui fis bien rapidement comprendre en l’arrêtant brusquement. Il se permettait de faire comme chez lui, chose que j’acceptais pas particulièrement. Lorsqu’il se mit à froncer des sourcils en disant que j’étais aussi ouverte que la chatte d’une actrice porno, je haussai les sourcils. Est-ce que j’avais bien compris? Bonjour le gros connard oui!

« Non mais t’es vraiment une merde toi! Tu vas fermer ta gueule de fils de pute et sortir ton cul de mon appartement immédiatement! »

J’allais pas le laisser me parler comme ça, en plus. Il se prenait pour qui lui? Le roi du monde? Visiblement… oui puisqu’au lieu de s’éloigner, il s’approcha encore plus de moi pour me tenir contre lui en me disant qu’il voulait baiser donc qu’on allait baiser. Je le repoussai à deux mains assez fortement.

« Non mais t’es débile ou quoi? J’ai une petite nouvelle pour toi c’est pas comme ça que ça fonctionne. J’te le dirai pas une fois de plus, tu fous le camp! »

Il commençait sérieusement à me faire perdre patience… et en même temps, je craignais un peu le pire. Il avait un regard de malade ce mec, j’avais trouvé ça sexy au début mais là, c’était assez déplaisant. C’était pas vrai que j’allais avoir affaire à un autre cinglé une fois de plus. J’avais assez donné. Puis, comme il vint pour s’approcher de moi de nouveau en me prenant par le bras, je lui balançai mon poing dans la gueule, sans y penser davantage… moyen de défense quoi! On me touchait pas si je voulais pas fuck! Je lui avais foutu un coup sur le nez et ça me faisait un mal de chien à la main mais sur le coup, j’en avais rien à foutre. Ma priorité était de me débarrasser de l’attardé que j’avais dans mon entré qui voulait faire de moi, son trou comme bon lui semble.

« C’était bien mérité, c’est ça qui arrive quand on fait pas ce que je dis!!!! Maintenant, va te branler, va te vider les couilles dans chaussette s’il le faut mais TU DÉGAGES! »



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(#)Sujet: Re: you're not welcome.   |   Dim 13 Mai - 22:47
emma, sawyer

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▼▲▼

Là pour le coup, je ne m'étais pas attendu à une entrée comme celle-ci. C'était assez simple à voir, Emma était une fille facile, le genre à ouvrir ses cuisses aussi rapidement qu'une porte automatique dans les centres commerciaux. Évident. C'est pourquoi je fus étonné de sa réaction. Mais l'étonnement avait rapidement laissé place à la colère quand j'entendais les mots qu'elle employait. Quoi, maintenant elle allait se la jouer Vierge Marie? Il était trop tard pour elle de se repentir, une fois qu'on se la joue aguicheuse et prostituée de bas étages, fallait pas qu'elle s'étonne de recevoir du monde chez elle. « Quoi, tu crois que tu mérites qu'on te respectes à toi? Toi la fille la plus facilement baisable de Miami? » Je lui ris ouvertement dessus, le regard fou lorsqu'elle me repousse et qu'elle vient me coller une droite monumentale sur le nez. Là, j'ai bien senti le coup et j'avoue douiller ma race. C'est qu'elle m'a fait mal cette salope en plus de ça! Je regarde ma main portée à mon nez pour y voir une giclée de sang. C'était déjà humiliant de se faire recalé par une pute, alors si en plus elle me frappe à en saigner, ça n'allait absolument pas le faire. Elle avait l'air d'être fière de ce qu'elle venait de faire en plus. Mais elle allait vite déchanter. C'est certain. « Attends. Tu viens de me taper là? » Je ris jaune, je deviens fou. Je la regarde avec l'envie soudaine de la tuer. L'envie de lui arracher les doigts ainsi que les orteils et de les lui enfoncer droit dans l'anus, de l'égorger, boire son sang et l'éventrer pour bouffer ses intestins cuits sur un putain de barbecue. Je m'approche d'elle, le regard fou, les poings serrés jusqu'à détendre une main pour attraper sa gorge et la plaquer violemment contre le mur, serrant ma main droite de toute mes forces pour l'empêcher de respirer, écrasant sa tête contre le mur à deux reprises. « LA PETITE PUTE DE MIAMI VIENT DE ME FRAPPER?!! » Je la vois devenir rouge et manquer de souffle, je la vois et la sent me frapper pour essayer de se détacher de l'emprise, son regard aller de droite à gauche pour trouver une porte de sortie, pour ne pas crever ce soir. Mais à cet instant précis, je ne contrôlais plus rien, je ne voulais plus rien contrôler non plus. Tout ce que je désirais ce soir là, c'était de la saigner pour ensuite la baiser. Voilà ce que je voulais. Alors je l'attrape à nouveau pour la jeter au sol à quelques mètres plus loin, l'entendant tousser et se serrer la gorge elle-même pour tenter de respirer à nouveau tandis que je me rapprochais une nouvelle fois d'elle, l'attrapant par les cheveux. « Quoi, tu pensais me faire saigner et me voir partir juste après? Tu vas mourir ce soir ma belle. Tu vas souffrir et crever. » Mon pied vient claquer contre sa mâchoire alors qu'une giclée de sang sort de sa bouche. Se tordant de douleur, je la vois recroquevillée alors que mon pied continue de la frapper sur toutes les zones qu'il rencontre, son ventre, son visage, ses jambes. Je me stoppe, sentant que mon nez ne cessait de couler du sang. Je connaissais l'appartement pour y être resté de longues heures la première fois, heureusement que j'avais une excellente mémoire en plus de ça. Me dirigeant dans la cuisine, je laissais Emma seule dans le salon alors que je prenais du papier absorbant pour en entrer dans ma narine, afin qu'elle s'arrête de saigner. « Putain elle m'a pas loupé celle-là. » Je me dirige vers le frigo où je prenais une bière, la buvant même cul sec tout en revenant dans le salon. Mon sourire ne faisait que s'élargir à la vue de l'état d'Emma. Elle n'était pas encore assez amochée pour que je parte. Et encore, je ne comptais pas partir les couilles vides en plus de ça. Je m'allonge à côté d'elle alors qu'elle reste recroquevillée, la regardant avec des yeux brillants. « T'es encore plus canon avec du sang partout putain. » Je dépose ma main sur sa joue pour la caresser, venant lécher ses lèvres pour essuyer le sang qu'elle venait de cracher.

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(#)Sujet: Re: you're not welcome.   |   Lun 14 Mai - 5:25




je ne pensais possible, autant de monstruosité au sein d'une seule et unique personne.  

☁️

« Ouais, je viens de te taper et je vais pas me gêner pour recommencer. »

Il me manquait de respect, je disais non, il disait oui et clairement, la soirée n’allait pas se terminer comme il l'espérait. Non mais il se prenait pour qui de débarquer chez quelqu’un en disant qu’on allait baiser, comme ça. Je jouais pas les effarouchés, j’en avais juste pas envie. Il ne pouvait pas comprendre ça? J’étais enceinte, nauséeuse et j’allais rejoindre mon petit-ami dans quelques instants. Il disait que j’étais facile, il pouvait bien me traiter de pute et tout, ça me faisait plus rien, on me l’avait tellement sortie celle-là! Je réalisais à quel point c’était une déchet. Mais pas juste un déchet, je compris qu’il allait bien au delà de ça lorsque son regard se changea du tout au tout. Il se mit à s'agiter, comme prise d’une vraie syncop avant de s’approcher de moi brusquement, m’appoignant par le cou fermement. Mes mains se posèrent sur les siennes, comme pour tenter de me déprendre pendant qu’il serrait encore de plus en plus fort, de sorte que plus aucun air arrivait à passer à ma gorge. Je paniquais un peu, j’essayais de me débattre comme je pouvais, mon instinct de survie embarquait, mon besoin de respirer. Puis d’un coup, il me lança au sol, comme une vulgaire chose… L’impact de la chute me fit mal, mais j’étais incapable de laisser aucun son sortir de ma gorge qui me brûlait énormément pendant que je cherchais ma respiration. Quelques secondes, à peine, ce fut tout ce qui me donna comme temps avant de m’empoigner par le cheveux, j’avais déclenché quelque chose en lui d’assez horrible en lui frappant au visage, il me disait que j’allais mourir ce soir et pour la peine, je le croyais, je le voyais dans son visage, dans son regard de malade.

« Calme-toi… merde. »

J’eus tout juste le temps de dire ça, d’une voix faible avant de me prendre un coup de pied au visage, me faisant perdre complètement contact avec ce qui m’entourait. Mon visage collé au plancher, le jeune homme s’attarda au restant de mon corps comme un vulgaire punching bag. J’aurais aimé être en mesure de crier, mais j’en étais incapable, il m’avait tué les cordes vocales en m’intranglant, personne pouvait m’entendre et la seule chose que j’étais capable de faire, c’était pleurer et espérer qu’il reprenne raison mais cette raison, j’en perdis espoir à force que ses coups ne s’arrêtaient pas. Je me sentais de plus en plus faiblir, jusqu’à ce qu’il ne se décide de me lâcher. Mais même s’il ne s'attardait plus sur moi, les dommages étaient déjà grands. Je ne faisais que tousser, incapable de bouger de ma position foetus. Je m’étouffais avec le propre sang que j’avais dans ma bouche, et tousser me faisait un mal de chien, je devais avoir plus qu’un côtes de fracturées, c’était certain. Mes yeux s’ouvrirent tout doucement, je voyais à peine, j’avais mal à la tête, j’avais mal dans tout mon foutu corps en fait! Je voyais mon téléphone sur la table basse de mon salon… mais ça me semblait tellement inaccessible. J’étais vulnérable, comme rarement je l’avais été dans ma vie. Au bout d’un petit moment, Sawyer revint vers moi, se couchant également au sol, me regardant avec son sourire de malade mental en me complimentant sur mon allure. J’avais envie de l’envoyer balader mais je savais me fermer la gueule quand c’était le temps. Je sursautai lorsque sa main se posa sur ma joue, tentant de le repousser alors qu’il combla la situation en posant sa langue sur mes lèvres pour y lécher le sang. Je tentais de bouger ma tête, mais j’étais incapable de bouger, j’étais peut-être crisper par la peur ou bien il venait de me péter la colonne.

« Aaar… arrête… stp. » marmonnais-je alors qu’il prenait place au-dessus de moi en détachant mon pantalon.

Les larmes coulaient de chaque côté de mes yeux, juste le fait qu’il déplace mon corps sur le dos me fit extrèmement mal, tellement, que je parvins à arracher un cri qu’il arrêta en posant sa main sur mes lèvres, je profitai du moment pour le mordre fortement, aussi fortement que je pouvais le faire malgré ma mâchoire qui me faisait un mal de chien. Je pouvais pas ne pas me battre, je ne pouvais pas croire que j’allais vivre une fois de plus ce genre de chose. N’avais-je pas assez donné? Visiblement… la vie en avait rien à chier de ma situation, et encore plus le jeune homme, maintenant à califourchon sur moi, ayant réussi à départir mes dents de l’intérieur de sa chaire, remontant les manches de sa chemise pour commencer à frapper à mon visage, sans arrêt, ça n’arrêtait plus, ça s’enchainait, son choix était fait, il n’allait pas arrêter jusqu’à ce qu’il obtienne ce qu’il veut. Peu à peu, je me sentis partir, comme m’éloigner de tout ça, je ne sentais plus rien, je ne voyais plus rien… peu à peu, je commençais à être bien, parce que j’étais juste plus conscience de tout ce qui se passait. Le mal était si fort… qu’il venait de me soulager, qu’il venait de me faire du bien, plonger dans le néant. Je pensais à Joe, j’espérais qu’elle n’allait pas trouver mon corps, je voulais pas qu’elle vivre ce genre de souffrance, je pensais à Matt, à qui j’avais fait de belles promesses, avec qui j’aurais pu vivre quelque chose de beau, je pensais à ma mère, qui n’allait plus recevoir de visiteur et qui allait probablement penser que je l’avais abandonné, je pensais à mon frère, qui n’allait jamais savoir qu’au final, je l’aimais plus que tout au monde et que j'aurais tant aimé avoir une belle relation avec lui.



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(#)Sujet: Re: you're not welcome.   |   Mer 16 Mai - 21:04
emma, sawyer

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▼▲▼

J'étais heureux, en extase des plus totales. Bien qu'Emma ait refusé une partie de jambes en l'air, rien n'était plus excitant pour moi que de briser quelqu'un. Elle m'avait chauffé, elle avait voulu se la jouer grande gueule, femme qui sait se défendre et qui décide où, quand et comment. Sauf que ce soir, elle n'allait décider de rien du tout, surtout pas de son sort. Il était déjà tracé et mes coups ne pouvaient que confirmer. Je n'en avais rien à faire de la tuer ou non, elle ne m'intéressait pas, sa vie ne m'intéressait pas. C'était son cul que je voulais, et je l'aurai. Coûte que coûte et puis si il fallait que je me fatigue avant à la frapper pour la rendre inconsciente, j'allais le faire, le prix final n'en sera que meilleur. « Arrêtes s'il te plaît. » me suppliait-elle. Et mon sourire ne faisait que s'élargir, mes yeux fous s'illuminaient de plus en plus tandis que mes poings allaient se choquer contre sa face et mes pieds contre toutes les parties de son corps. Et plus les secondes passaient, moins elle résistait, elle s'en allait. Je la pensais même déjà morte, avec tout ce que je venais de lui infliger, il serait idiot de penser qu'elle ait survécu à ça. Alors comme récompense de ce dur travail, j'enlevai ma ceinture ainsi que ma braguette, laissant tomber mon jean à mes chevilles ainsi que mon caleçon pour m'occuper des bas de Emma, inconsciente. J'avais une trique de malade, plus excité que ça me paraissait totalement impossible. Mon corps ressentait chaque décharge électrique tandis que mon pénis en main, je me rapprochais de l'anus d'Emma que je pénétrais avec violence, fermant les yeux, mains accrochées à ses fesses, balançant les coups de reins en gémissant. J'allais y aller vite mais efficacement sans oublier les parcelles de son corps. Ses fesses avaient été mon premier coup de coeur et ce depuis le début, j'en étais raide dingue, elles étaient juste parfaite pour moi. Continuant ce viol sur macabé, je me lâchais à la raie de ses fesses, m'allongeant même sur elle pour reprendre ma respiration et jouer entre temps avec ses seins que je m'amusais à mordiller au sang et à même déposer mon pénis entre eux, faisant des vas et viens tout en resserrant la paire pour y jouir une seconde fois. Une fois l'affaire terminée, je ne pu m'empêcher de rire face au spectacle qui me tendait les bras, enfilant mon jean. « T'es encore plus bonne quand tu fermes ta gueule en fait. » Je caresse ses cheveux et part de l'appartement, riant aux éclats pour rentrer chez moi.

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(#)Sujet: Re: you're not welcome.   |   Jeu 17 Mai - 3:40
emma, sawyer & daniel

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▼▲▼

Robert était venu me voir alors que j’étais en train de prendre le petit-déjeuner tranquille dans la cuisine. Pour une rare fois, il était là. On se croisait que très rarement, bien que l’on vivait dans la même maison. Ce jour-là, il me tendit une enveloppe. Le regardant pour savoir ce qu’il s’agissait exactement, il me dit que je devais aller porter le tout à ma sœur. À ce moment, le seul réflexe que j’avais eu était de jeter l’enveloppe un peu plus loin sur le comptoir.

- Quelle bouge son cul pour venir la chercher. Je suis pas son esclave ! Ni le tien d’ailleurs, me permis-je de dire.


Non mais ! Je ne savais pas trop pour qui il me prenait, mais d’autant plus que de jouer les messagers, il fallait que j’aille chez ma sœur. Je ne comprenais pas pourquoi Robert ne s’en chargeait pas lui-même ou qu’il ne demandait pas à un de ses larbins. Il savait très bien que je ne supportais pas Emma. Nous n’avions jamais rien de bon à se dire, que des insultes. Bien sûr, mon père était fâché que je réagisse de la sorte. Il reprit l’enveloppe et me la ramena près de moi. Je poussai un soupir. Il m’ordonna que je pouvais bien lui faire ce service étant donné que je foutais rien ici. Comment tuer ma journée en moins de 2 minutes. Et apparemment je n’avais vraiment pas le choix de faire ce qu’il me disait si je ne voulais pas me faire confisquer ma voiture ! God ! J’avais maintenant 8 ans. Je lui fis remarquer que c’était MA voiture payée avec MON argent pour finalement me faire dire qu’à la base l’argent que je reçois est la sienne. Bref, j’étais brûlé à ce moment. Je n’avais pas réellement envie de me ramasser dans la rue et sans voiture, donc j’arrêtai d’argumenter. Ça ne servait à rien…

- Bon… j’irai tout à l’heure en allant à l’université.

- Ah encore étonnant que tu ailles à tes cours ! Mon argent va peut-être te servir à quelque chose de rentable au bout du compte.

Je serrai les poings. Sérieusement ? Lui s’était clairement levé ce matin en disant qu’il voulait faire chier son fils. J’en étais persuadé. Parce que là, j’avais plutôt envie de lui lancer mon petit déj en plein visage. Heureusement pour moi il quitta la pièce avant que je puisse le faire. Je décidai d’ouvrir l’enveloppe qui était dédiée à ma sœur. Bien oui… je n’allais quand même pas lui apporter sans que je sache ce qui s’y cachait dedans. Puis, un peu déçu d’y voir que des papiers reliés à sa compagnie de disque. C’était vraiment sans importance. Son adresse se trouvait sur le dessus. Comme je n’avais pas contact avec elle, je n’avais aucune idée jusqu’à maintenant où elle habitait. Ce n’était pas très loin d’ici. Je terminai mon repas pour ensuite aller m’habiller. Je ramassai mon sac bandoulière pour l’école et je quittai la maison au volant de ma voiture. Sur le chemin je, comme il était prévu, je décidai de faire un arrêt chez Emma pour aller lui porter ses papiers ennuyeux. Au premier abord je voulus laisser le tout dans la boîte aux lettres pour ne pas voir ma soeur, mais la porte entre-ouverte me laissa perplexe quelque peu. Elle avait oublié de la fermer comme il faut ? Je la refermai alors sans y entrer. Je fis demi-tour pour retourner dans ma voiture, mais je m’arrêtai. Je me trouvais un peu con de ne pas vérifier si tout était okay. Elle s’était peut-être fait voler ou vandaliser. J’en savais rien. Je retournai donc à sa porte et je sonnai. Pas de réponse. Je frappai. Pas de réponse non plus. Et la porte qui était déverrouillée ! C’était quoi ce bordel ? J’ouvris donc la porte.

- Y’a quelqu’un ? Emma ? T’es là ?

Je pouvais entendre les mouches volées. Personne. Je décidai de passer le seuil cette fois, car je ne trouvais pas ça normal. À cause de tout ça j’allais être en retard. Si ça se trouvait, elle était en train de baiser avec quelqu’un dans sa chambre… là je me sentirais vraiment idiot d’être débarqué ici. Puis là… je vis ce qui me semblait être du sang sur le sol…  

- FUCK ! C’est quoi ça ? Emmanuelle t’es là ? C’est pas drôle là ! Putain réponds !


Encore aucune réponse et je commençais à flipper un peu. Le courage c’était pas ma plus grande qualité. Je sortis mon téléphone de ma veste et j’étais prêt à appeler les services d’urgence. J’avais seulement mon putain de téléphone pour me défendre s’il y avait des malfaiteurs dans l’appartement. Mon cœur battait la chamade. Je n’aimais pas ce silence qui était trop présent dans la pièce. Je fis quelques pas vers l’avant malgré le fait que j’avais envie de prendre mes jambes à mon cou. Ce que je vis dépassait tout raisonnement. Mon téléphone alla heurter le sol en voyant la scène. Il y avait une marre de sang juste devant le canapé. Et le corps d’Emma y baignait. Je me précipitai vers elle, me foutant bien du sang, essayant de la réveiller. Je remarquai qu'elle était à moitié nue en même temps, mais ce n'était pas le plus important à considérer.

- Non non non fuck fuck fuck…. Emma ? Emma ? Réveille-toi !

Aucun signe de vie émanait d’elle. Elle ne pouvait pas être morte. J’étais beaucoup trop agité pour pouvoir prendre calmement ses signes vitaux. Je ne voyais aucune vie, pour moi elle était bel et bien morte. Je ne pouvais pas croire que c’était réel tout ça. C’était sans doute foutu. Mon corps tremblait de tout son long. J’allai prendre mon téléphone et je dû m’y reprendre 2-3 fois avant de réussir à faire le 911. Il se retrouva couvert de sang. J’en avais partout sur moi. Un opérateur répondit à savoir quel était l’urgence…

- Je viens…je..je viens de trouver ma sœur morte dans le salon….y’a du sang… sang partout…. C’est pas possible… merde ! C’est pas vrai.

L’opérateur d’urgence me demanda de me calmer. Me calmer ? Il était drôle lui ? C’était pas lui qui venait de trouver sa propre sœur assassinée. Il me posait des questions à la con… à savoir qui avait fait ça et tout. Il me demanda d’aller prendre les signes vitaux de ma sœur. Je n’avais pas envie de retourner auprès de son corps. Je le fis puisqu’il insistait. Je trouvais pas le PUTAIN de pouls. Des larmes coulaient le long de mes joues. Je pouvais pas croire que je vivais ce cauchemar. J’étais peut-être en froid avec ma sœur, mais je ne lui souhaitais pas ça. Vraiment pas. Je n’arrivais pas à entendre correctement ce que la personne ressource me posait comme question…  C’était des questions que je ne pouvais pas donner de réponse… « Qu’est-ce qui était arrivé ? » « Qui lui avais fait du mal ? » « Pourquoi je me trouvais là? ». Malgré ça on me rassura en me disant qu’il y avait une ambulance et des policiers qui étaient en route. Je posai une couverture sur ma sœur comme on me le suggérait de faire. Je ne pouvais pas bouger le corps.

11 longues minutes s'écoulèrent avant que les policiers n'arrivent. J'avais l'impression que cela faisait 2 heures. Encore là, le tout se déroula au ralenti autour de moi. Je n'entendais plus. Je ne pouvais plus raisonner non plus. Les ambulanciers voulurent m'emmener avec eux pour que je sois évalué, mais je refusai. Je voulais y aller avec ma soeur. Ne plus la laisser toute seule. Je ne pouvais pas croire que c'était arrivé. Les policiers m'empêchèrent toutefois de l'accompagner puisque j'étais la première personne à être arrivé sur les lieux, je devais subir un interrogatoire... pour qu'on m'enlève des suspects potentiels. Moi tuer ma propre soeur ? Jamais j'aurais pu. J'embarquai donc dans un véhicule de police pour aller au poste. J'étais incapable d'appeler mon père pour lui annoncer...


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(#)Sujet: Re: you're not welcome.   |   Jeu 17 Mai - 21:27
emma, & daniel

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J'en avais vécu des choses dans ma vie. J'en avais enduré beaucoup et c'était pas parce que ma famille avait de l'argent, que j'avais une carrière qui fonctionnait très bien que j'avais plus de chance. Bon fallait pas se leurrer la face non plus, mon mode de vie assez rock and roll me faisait rencontrer des gens pas toujours très fréquentables. Mais de toutes ces gens rencontrés, Sawyer se dressait au premier rang des plus abominables. Il avait un regard de vrai malade qui donnait froid dans le dos et clairement, se faire dire non n'était pas une option. Je l'apprenais à mes dépends. À partir du moment où il m'avait dit que j'allais mourir, accompagné des coups dont j'étais victime, j'eus soudainement un gros doute concernant une possibilité de m'en sortir. Il me frappait, m'insultait de sortes que je perdais totalement mes repères, la vue puis totalement conscience. Juste avant de plonger vers le néant, je n'avais pu faite autrement que de penser à ces personnes, soit très peu mais si importantes pour moi. Je ne savais pas trop ce que cette pensée voulait dire, si ça en était une dernière, un genre d'aurevoir mais je préférais largement que ça se termine ainsi que d'avoir en dernières images, le visage d'horreur de Sawyer au-dessus de moi en train de m'infliger mille et une douleur dur l'ensemble de mon corps.

Jamais je n'aurais voulu que mon frère ne soit témoin d'une pareille scène. Autant qu'on pouvait se détester l'un l'autre, autant que je lui souhaitait simplement que du bon, au final. Et disons que trouver sa soeur en sang dans son salon, c'était loin d'u  moment de bonheur. Mais on peut dire que c'était un mal pour un bien car à lui seul, il avait probablement tout changé la suite des choses. Naturellement, j'étais inconsciente mais une équipe d'urgence était arrivée assez rapidement pour nous venir en aide, à Daniel et surtout à moi. Mon frère m'avait déclaré morte et il n'eut pas la chance d'en savoir plus sur mon état puisqu'on chercha à l'interroger immédiatement sur la situation. Un ambulancier, après s'être approchée de moi avait déclaré à ses collègues, dans un regain d'espoir :

"Il y a un poul, il n'est pas fort mais il est là! Amenez moi un masque d'oxygène immédiatement pour l'aider à respirer!"

Quand un corps subit autant de violence, de blessure, il est difficile pour lui de continuer à fonctionner normalement, étant dépourvu de toute force. Probablement que je m'en allais directement vers un mort lente mais là, malgré le fait qu'on avait du mal à me reconnaître et que je n'avais pas retrouvé connaissance, j'étais toujours belle et bien vivante, avec l'immense aide d'un masque d'oxygène.

"On la déplace sur la civière, elle a besoin d'une transfusion de sang au plus vite! On se dépêche les gars! On laisse la place aux policiers de faire le restant du boulot."

Restant du boulot parce qu'il fallait bien trouver le coupable derrière tout ça! Suite à mon départ rapide, mon appartement devient bien rapidement à son tour, une scène de crime où on prit des photos, où on chercha des preuves dont une bien assez précieuse qu'était mon téléphone cellulaire. En l'ouvrant simplement, plusieurs SMS et appels manqués apparurent, venant tous de la même personne. L'agent en charge d'observer le tout communiqua avec son collègue, en tête à tête avec Daniel au poste.

"Hey Thompson, tu peux demander au frère s'il connait un certain Matthew Sanders? Il a tenté de communiquer ridiculement pleins de fois avec la victime depuis hier"

CODAGE PAR AMATIS

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