Caractère Impulsif et impatient, je cultive les blagues pas drôles avec talent et j'ai à peu près l'âge mental de ma fille de six ans. Néanmoins, que ce soit sur le terrain ou à mon bureau, je deviens automatiquement sérieux et méticuleux. Très observateur, mon esprit d'analyse se met en route tout seul et je n'ai alors qu'à suivre le fil de mon instinct pour résoudre une enquête. J'ai ce qu'on appel du flair et j'ai aussi cette curiosité qui me pousse toujours à en savoir plus, ce qui sont deux qualités essentiel pour mon travail, mais dont je me trouve complètement dépourvu dans ma vie privée. Ma fille ne fait que me jouer des tours et je la vois jamais venir. A part, à quelques rares reprises. Elle me mêne par le bout du nez, on ne va pas se mentir. Elle est très joueuse, maline et, en prime, elle est dôtée d' un caractère de cochon... autant dire que c'est sa mère tout craché.   Néanmoins, pour ces deux personnes, je deviendrai très protecteur et si on venait à leur faire du mal, je dévoilerai une facette de ma personnalité que vous ne souhaitez certainement pas découvrir. Sinon, dans l'ensemble, je suis un homme attentionné et qui souhaite profiter de ce que la vie peut lui offrir. En somme, je suis un homme assez simple.
Physique Grand, le cheveux noir, les yeux marron-vert, on peut dire que je suis le genre de mec sur lequel les femmes se retournent. Mon métier m'oblige à m'entretenir, de ce fait, je suis assez bien foutu. J'ai aussi un léger défaut au niveau de la lèvre inférieur, néanmoins certains disent que cela fait parti de mon charme. Depuis une semaine, j'ai tatoué le prénom de ma fille sur mon avant-bras. J'aime arborer une barbe de deux-trois jours.
Quelque chose te différencie ? J'exerce le métier qui me passionne, je vis avec la femme que j'aime, même si c'est compliqué entre nous en ce moment, et sous notre toit réside notre fille Cassy, âgé de six ans, qui ignore que nous sommes ses parents biologiques.

J'ai jamais été le genre de mec à espérer une vie de famille. D'ailleurs, plus jeune, j'étais typiquement le gars qui va préférer entretenir son réseau social, profiter de l'instant présent et se foutre de tout le reste. C'était une façon de penser assez étrange, mais depuis le jour de mes 15 ans, je m'étais toujours considéré comme seul face au reste du monde. Dans le foyer familial, cela n'avait jamais été normal. Combien de fois mon père a levé la main sur ma mère ? Combien de fois j'étais intervenu et que tout avait fini en bain de sang ? Et surtout, combien de fois ma petite soeur avait souffert de voir la famille se déchirer ? J'avais été obligé de quitter le domicile familial sinon je savais qu'un jour j'allais vraiment commettre l'irréparable. Néanmoins, j'étais jeune, je ne pouvais pas vivre sans un tuteur légal. J'étais donc parti m'installer chez mon grand-père. Il s'était acheté une maison en Californie pour finir ses vieux jours officiellement, pour reluquer les jolies filles en maillot de bain officieusement. Grand-père me ferait toujours rire. Enfin bref, nouveau lycée, nouveaux amis. Je suis arrivé avec cette lueur sombre dans le regard d'un passé qui ne m'avait pas encore quitté. Naturellement, additionné à mon physique avantageux et mon charme, j'attirai les filles vers moi. Au début, je ne m'en souciais pas vraiment. Puis avec le temps, je me suis rendu compte du jeu de séduction et j'ai sérieusement commencé à en jouer. Cependant, c'était aussi un moyen pour moi de tirer un trait sur mon passé. Puis, j'avoue que j'ai découvert de nouvelles choses, notamment la drogue. Celle-ci m'aidait à faire une croix sur ceux que j'avais laissé derrière. Particulièrement ma petite soeur... Même si je repensais souvent à elle, je n'avais pas conscience qu'un jour, elle me retrouverait et m'en voudrait.

Même si j'étais populaire, j'avais un style vestimentaire à part... Je me la jouais aventurier/rock vous voyez... Oui, j'ai honte... Enfin, ce style plaisait beaucoup à l'époque. Toujours les cheveux en bataille, la veste en cuire sur un débardeur souvent déchiré, le pantalon en toile de parachute. Sans oublier les grosses chaussure de randonné évidemment...  j'ignore vraiment où je parvenais à me dénicher des fripes pareilles... Je n'étais pas le premier de la classe, mais je me défendais pas mal niveau note. Ce qui me pénalisait, c'était mon comportement en classe. Je préférai provoquer les professeur que les brosser dans le sens du poil. Ce qui m'a valu plusieurs fois des avertissements et des heures de colles. A ce moment-là, j'ignorai ce que je voulais faire de ma vie. J'étais juste un ado perdu qui allait de soirée en soirée et qui passait son temps à fumer tous type de drogues dans son 4x4  tout en profitant des filles qui voulait faire un petit séjour sur la banquette arrière de son véhicule. Puis en fin de seconde, j'ai rencontré une fille qui a changé ma façon de voir les choses. Pour la première fois de ma vie, je me suis senti con en levant les yeux sur une fille. On s'est à peine échangé quelques mots. je l'avais aidé à ramasser ses affaires qu'un mec avait fait tomber parterre. Déjà, j'avais essayer d'aider quelqun d'autres que moi. Cela n'était plus arrivé depuis que j'avais quitté le domicile familial. Même si l'aide était minime, j'aurai du commencé par me rendre compte que cette fille ne serait pas comme les autres. On s'est revu plusieurs fois par la suite, pour son plus grand malheur et mon plus grand plaisir. J'ai apprit à la découvrir. Elle n'avait pas un tempérament des plus facile, et elle ne me faisait aucunement confiance, en partie à cause de ma réputation. Cependant, je ne sais pas trop pourquoi, mais j'avais arrêté de coucher avec n'importe qui, je m'étais mis dans la tête que c'était avec elle que je devais et voulais être et j'étais prêt à tout faire pour qu'elle le réalise. J'ai abaissé ses barrières les une après les autres autres pour m'approcher d'elle. Néanmoins, sur le coup, je ne me suis pas rendu compte que je me dévoilais moi aussi en faisant cela, que quelque part, je lui donnais une part de moi. Et c'est ainsi, au bout de quelques mois de dure labeur qu'elle a finit par craquer. Sans même m'en rendre compte, elle a fait du ptit con perdu que j'étais, quelqun de meilleur. Quelqun de souriant déjà, qui ressentait vraiment la joie de vivre. Elle avait apporter un nouveau souffle à ma vie terne et routinière. Pour la première fois de ma vie - et la dernière - j'étais tomber amoureux. Mes amis avaient du mal à me reconnaître. Ils m'ont poussé plus d'une fois à la tromper pour récupérer leur pote connard que j'étais. Mais jamais une fois, j'ai fais un faux pas. Je me tenais vraiment à carreaux. Et ils ont du s'y faire. Car pour moi, il était évident que ce ne serait pas qu'une amourette de lycée.



Or, après un an de relation, elle s'est mise à m'ignorer. Comme cela du jour au lendemain. J'ai essayé de lui parler, mais le dialogue était impossible. J'ai finit par pêter un plomb. J'ai repris mes anciennes habitudes, je couchais avec toutes les filles qui passaient mon chemin. Si c'était des amies à elle, c'était encore mieux. Je devenais un véritable connard. Mais tout cela, c'était pour la faire réagir. C'était par amour en fait... Mais elle n'en fit rien. Elle s'en foutait. Et plus elle s'en fichait, plus cela me détruisait. Cette fille dont j'étais si follement tomber amoureux me brisa le coeur et fut aussi le déclencheur d'un mode de vie peu conseillé sur le long terme. Mais que je comptais bien tenir. Après deux mois, elle quitta le lycée et la ville. C'était encore pire de ne plus la voir du tout et c'est le soir où j'ai réalisé qu'elle ne reviendrait pas que je me suis promis de ne plus jamais laisser des sentiments intervenir dans une relation. Dès qu'une fille voulait plus que ce que je pouvais lui offrir, je me cassais, tout simplement.


Après le lycée, je suis parti vivre à Chicago, j'y ai fait mes études pour devenir flic. Je n'avais pas pu sauver ma famille, mais je comptais bien aider celle des autres. Une enquête me ramena à Newport. C'était sans m'y attendre que je retrouvais la fameuse blonde dont je vous ai parlé précédemment. Malgré les années écoulées, j'avais encore cette rancoeur au fond de moi... Au bout d'une longue discussion qui ressemblait davantage à un règlement de compte, elle me lâcha qu'elle était tombée enceinte au lycée. Sur le coup, j'avais été complètement sous le choc, mais tout se rassemblait, tout prenait alors forme. Néanmoins, c'est la colère, plus que la déception, qui s'éleva en moi. Elle ne m'avait pas fait confiance. Et pour cela, je lui envoulais. Elle me sorti alors l'excuse du fait qu'elle était jeune, qu'elle avait écouté ses parents. Mais ses mots m'avaient plus fait de mal qu'autre chose. Car, je réalisais alors que si elle était parti ce n'était pas parce qu'elle ne m'aimait plus, mais parce qu'elle n'avait pas vraiment eu le choix... Et parce qu'elle avait prit sa décision seule, nos vie avaient prit un tournant tout à fait différent. Surtout la mienne. Je n'étais pas fier de ce que j'étais devenu. Je n'avais laissé aucune femme m'atteindre comme Kaylee l'avait fait. Et je lui envoulais parce que cette histoire c'était terminé connement. Néanmoins, elle finit par me dire qu'elle l'avait mise dans une agence d'adoption. Elle ne l'avait pas gardé. Deuxième coup de poignard. Ma fille penserait toute sa vie que son père l'avait abandonné alors que je n'avais strictement rien fait dans cette histoire. Néanmoins ce qui me fichait le plus les nerfs, c'était que quand je la voyais, je n'arrivais pas à la détester... pire... quand je la voyais je revoyais la fille que j'avais aimé. Et autant vous dire que c'était un sentiment très déstabilisant.


On s'est alors revu par la suite, pour poursuivre les recherches qu'elle avait entamé. Or, j'avais eu la bonne idée de l'inviter un soir chez-moi... J'aurai du savoir que la revoir ainsi, n'allait clairement pas m'aider à reprendre mes esprits. Et effectivement, notre complicité revint de même que nos sourires et nos regards. Très rapidement, nous sommes entrés dans une ambiance bien différente de celle de la plage où nous nous étions retrouvés. Là quand je la voyais, je n'avais qu'une envie, c'était de l'embrasser. J'ai tenu le plus longtemps que j'ai pu, je changeai de sujets, je chassais mes envies, j'oubliais tout ce qu'elle m'inspirait pour me concentrer sur le dossier. Sauf qu'à un moment, je lui ai proposé de monter sur le toit. On s'est échangé quelques mots, nous étions bien trop proches et pourtant j'ai poussé un peu le jeu, approchant mes lèvres des siennes, ce n'était pas l'envie qui manquait, mais quelque part, j'avais peur des conséquence et je m'étais reculé. C'était sans compter sur le fait que elle, m'embrasse. Puis tout s'est très vite enchainé. Une chose s'était véritablement libéré en moi. Je ne voyais même plus pourquoi je ne l'avais pas embrassé avant. Il était clair que je n'avais jamais réussi à vraiment l'oublier et qu'à présent que nous étions tous deux plus murs, plus adultes, tout était bien plus intense. Et cela je le réalisais pleinement en l' embrassant en retour. Puis, nous avions repris nos marques petit à petit. Les mois qui suivirent furent vraiment parfait. J'avais tout ce que je voulais sauf une petite choses... Et j'avais réalisé que si je la voulais, j'allais devoir enfreindre la lois. Et je ne voulais pas que Kaylee soit arrêtée pour complicité. C'est donc pourquoi, je lui ai laissé une note un matin. " Prend soin de toi... Je la retrouverai. " J'étais alors parti, sans faire un bruit, pendant qu'elle dormait encore dans le lit. J'avais trouvé le foyer dans lequel ma fille grandissait. Cela ne se passait pas bien. Le père était alcoolique et battait sa femme... Elle grandissait dans le même schéma familial que le mien. Alors je pouvais mesuré à quel point ce n'était pas saint. J'avais aussi apprit que ma fille était muette. Elle ne parlait jamais. Du coup, les familles ne la gardaient jamais ou la maltraitaient.



Je l'avais suivi dans sa nouvelle famille. Cela faisait trois mois qu'elle était avec eux. Franchement ma fille était juste super mignonne. Je veux pas faire le père fier de lui, mais pour moi c'était une merveille de la nature, on aurait dit un ange. Enfin, pour l'instant, je remarquais qu'à l'école c'était pas cela aussi. Elle était du genre solitaire. Elle n'avait que cinq ans et déjà elle restait dans son coin... J'aurai préféré la voir heureuse et épanouie. Un soir alors que j'avais mis la maison sur écoute et que je restais en planque dans la voiture. J'ai entendu alors des cris... Ils étaient différent de ceux de la mère... Ils étaient ... enfantin... J'ai alors réalisé que c'était Cassy qui criait... J'ai même pas réfléchi cinq minutes, j'ai ouvert ma boîte à gant et j'en ai sorti mon flingue avant de me jeter sur la porte d'entrer et de la défoncer d'un coup de pied. Je pointais mon arme sur la tempe de l'homme qui avait sorti sa ceinture et qui la fouettait, je l'avais fait se plaquer contre le mur. " Alors là, je suis à deux doigts de t'exploser ta gueule d'enculer alors tu lâches cette putain de ceinture et tu fermes ta gueule." Cassy se mit alors à me regarder avec de grands yeux, elle était clairement entrain de pleurer. Mon regard noir ne déviait pas de celui du père, j'étais à la limite de lui cracher dessus tellement j'avais la haine. "Lâche ta putain de ceinture. " ordonnais-je, mon ton était froid, glacial en fait. Il s'exécuta. Je tournais alors mon regard vers la fillette. " Je suis flic. Vient." énonçais-je à la petite, il était hors de question qu'elle reste dans cette maison avec ce taré. Celui-ci me regardait comme s'il préparait quelque chose, il y avait un truc tellement malsein dans son regard. Néanmoins, j'avais tellement de rage dans le regard qu'il finit par détourner les yeux. Je repartais alors dans ma voiture et plaçait Cassy sur le siège passagé. Elle attacha d'elle-même sa ceinture. Je roulais jusqu'à ce qu'à la première cabine téléphonique. J'informais alors à la police qu'une femme se faisait battre au 33 riverstreet. Puis je me mis à rouler dans la nuit tendis que la petite s'endormait sur le siège à côté. Je n'avais pas du tout prévu ce qu'il venait de ses passer et j'ignorai ce que je devais faire. Pour la retrouver j'avais enfreint la lois, je ne pouvais pas clamer sa garde étant son père biologique, on me demanderait comment je pouvais être au courant. D'énervement je frappais contre le volant. Il n'y avait pas trois milles solutions. Les services de l'adoptions se rendraient vite compte qu'elle n'était plus avec sa "famille". Il l'a chercherait. Je la regardais en réfléchissant à une solution. Mais il n'y en avait pas. La seule serait de partir et de se trouver de nouvelles identités et recommencer à zéros. Etant dans la police, j'avais des contacts. C'est pourquoi ce fut assez facile.


Les semaines passèrent, je n'avais toujours pas dit à la petite que j'étais son père biologique. Elle me voyait comme le héros qui l'avait sauvé d'un homme qui allait la battre et qui l'avait probablement déjà battu. Et aussi comme le gars qui l'emmenait souvent au McDo. Donc elle ne pouvait que m'idolatrer. Elle se mit à s'attacher à moi, je le sentais. Parfois, elle venait me faire un câlin, à défaut de me parler. Une idée me traversa alors l'esprit, c'était quand même surréaliste... Mais j'allais adopter ma propre fille. A présent, il fallait que je rentre à Newport pour informer Kaylee. Celle-ci entra dans la chambre d'hotel dans laquelle je me trouvais. Je me reculais d'un pas sous la surprise, un sourire s'était dessiné sur mes lèvres naturellement. On était vraiment super synchro quand même, " Je vois que je ne suis pas le seul à être doué pour retrouver les gens. " énonçais-je avec un léger sourire aux lèvres, amusé par la coïncidence. Pour toute réponse, elle m'a foutu une claque dans la figure. Bon... elle ne trouvait pas la plaisanterie à son goût... Elle m'a alors dit que j'aurai pu la prévenir, qu'elle serait venu avec moi. Mais bon maintenant qu'elle m'avait trouvé, il fallait qu'on parte. Si elle avait réussi, d'autres le pourraient aussi. Elle a alors vu Cassy sortir de sa chambre... Elles se sont toutes les deux regarder. Moment assez intense. " Cassy, prépare tes affaires, on y va. " lançais-je alors. Je me tournais vers Kaylee " Tu viens ? " lançais-je avec une touche d'humour, à croire que je voulais m'en prendre une autre. On sorti alors, monta en voiture avant de se décider pour une nouvelle destination : Miami.


Avec Kaylee, on est tous les deux flics, alors on sait parfaitement assurer nos arrières. Quand c'est pas l' un qui joue de ses contacts, c'est l'autre. Cela faisait maintenant deux mois qu'on gardait Cassy. Elle allait dans une école, souriait, elle semblait vraiment aller bien. Elle vivait enfin comme une petite fille normale, si on peut dire. Et même si elle ne savait pas qu'on était ses vrai parents, elle s'attachait à nous, cela se voyait. De plus, un jour, elle prouva que son rapport médical était faux, elle n'était pas muette, elle parlait. " Du coup... on est une famille tous les trois... ? " demanda-t-elle un jour alors qu'on était en viré en voiture et qu'il y avait une bonne ambiance. J'ai faillit faire un arrêt cardiaque sur le coup. " Oh la petite maline... " laissais-je échapper avec un léger sourire aux lèvres, je me tournais vers Cassy, en haussant un sourcil, en ayant envie de rire. Elle me fit un petit sourire super gêné. Avec son mensonge, elle prouvait déjà qu'elle était une Hawkins. Le mensonge c'est un trait de famille. Néanmoins pour répondre à sa question, on était même pas sûr de ce que Kaylee et moi on était... Alors tous les trois ? Une famille ? Difficile à dire... " Officiellement, je dirai que oui... " soufflais-je en voyant, via le rétroviseur, que mes mots peinaient la petite, je grimaçais, je savais vraiment pas parler aux enfants... Je laissais alors Kaylee prendre la parole. Elle trouva les bons mots puisque la gamine passa à l'avant pour aller la prendre dans ses bras. Elle n'avait que six ans, tout ce qu'elle voulait s'était surement être aimé. Et vu comme elle n'avait jamais eu de famille, elle ne savait pas ce que c'était. En tous cas, Kaylee s'y prenait vraiment bien avec elle. Les mois continuèrent à passer. On vivait tous les trois ensemble dans une maison à Miami. J'avais réussi à avoir les papiers, nous avions officiellement la garde de Cassy... Néanmoins, il ne fallait pas que quiquonc sache que c'était notre vrai fille. Car si je devais répondre de mes actes, on saurait alors que j'avais trempé dans l'illégalité et je n'étais pas sûr de vouloir être démis de mes fonctions et faire un tour en prison... Alors il était clair que j'aurai voulu dire à tout le monde que c'était bel et bien notre fille. Mais pour le bien de tous, on garderait cela secret.

Prénom/pseudo : Coldy
Age : 19 ans
Où as tu trouvé le forum ? Je sais plus lequel est venu m'en parler en premier xD
Comment le trouves-tu ? Sympatique et attirant  
Ta fréquence de connexion : quand j'en ai envi ( tous les jours )
Un dernier mot ? SHAKE THAT LAFFY TAFFY  
Je veux bien vous aider avec la célébrité, je remplis le code à la suite :

Code:

MILO VENTIMIGLIA [color=#FF0000]✱[/color] Devon Hawkins.