(#)Sujet: if you're not drinking, then you're not playing ∆ bellamy | Dim 17 Mai - 22:38
bellamy océan frobisher
I'm untouchable darkness, a dirty black river to get you through this. In the mouth of madness, down in the darkness
Nom : frobisher. Prénom : bellamy, océan, camille. Âge : 20 ans. Date de naissance : 15 mai 1995. Situation familiale : célibataire ; papa d'une petite fille. Orientation sexuelle : officiellement hétéro, officieusement… gay ? bi ? Particularités : de très nombreux tatouages + des cicatrices partout sur le corps. une voix très grave. un très fort accent espagnol. Habitudes : fumer, beaucoup trop. prendre des photos. lire. s'énerver tout seul. Groupe : winter. Avatar : ash stymest le merveilleux.
Anecdotes
+ Il a beaucoup de cicatrices sur tout le corps. La plupart viennent de bagarres, quand il était adolescent. Il en a néanmoins une immense sur l'abdomen. Quand il avait dix-sept ans, le frère d'Andrea —le garçon avec qui il avait une relation— lui a enfoncé un couteau dans la ventre. Sa raison ? C'était un "sodomite", et il rendait Andrea pareil. + Il est devenu père à l'âge de dix-neuf ans. La mère, Adela, était une sorte de sex-friend ; pas vraiment une amie, et pas vraiment une petite-copine non plus. La grossesse était accidentelle, et la famille de la jeune fille était très en colère envers Bellamy. En gros, deux familles voulaient sa mort, à cette époque : celle d'Andrea et celle d'Adela. Ça l'a motivé à s'en aller.
Caractère
Bellamy, c'est une boule de nerfs. Il est fougueux, bruyant, et très impulsif. Il s'énerve très vite et ne réfléchit généralement qu'après. Il est littéralement impossible à arrêter ; une fois qu'il est parti, il n'y a plus rien à faire. Bellamy est aussi bagarreur, de par cette impulsivité maladive. Il est du genre à s'embrouiller avec tout le monde, juste parce qu'au fond il aime les problèmes. Il adore se battre et il adore s'engueuler. Il adore insulter les gens et il aime aussi qu'on l'insulte. Son truc, c'est la provocation. Il adore jouer les gros durs mais il sait qu'il ne l'est pas. Au fond, Bellamy, il s'en fout de tout. Il s'en fout de se battre, il s'en fout de se faire mal, il s'en fout des autres, il s'en fout de l'amour, il s'en fout de lui-même. Il se fout du monde. Tout est un jeu. Il vit à trois cents à l'heure, en fait. Et puis Bellamy il s'adore aussi. Il se trouve très drôle et très intéressant. Soit on le trouve très amusant, soit on le trouve insupportable. Et souvent, on le trouve à la fois amusant et insupportable. Bellamy il fait trente-six choses à la minute. Il fait toujours tout pour se faire remarquer. Et puis, parfois, on ne sait pas trop pourquoi, mais il reste calme. C'est assez rare. Parfois, il semble pensif. Au fond, il est très intelligent, Bellamy. Il a toujours été très bon élève, même s'il n'allait pratiquement pas en cours étant ado. Désormais, il essaie de se concentrer sur ses études, et c'est un bon élément. Et puis, c'est un sensible. Mais il a grandi dans un univers impitoyable et on l'a éloigné des deux personnes qu'il aimait vraiment, celles pour qui il aurait fait n'importe quoi. Alors forcément, sa sensibilité elle a un peu morflé. Au fond, il s'attache à personne, y'a personne qui compte vraiment pour lui à part Andrea et sa fille. Mais ces deux-là, ils sont au Mexique, loin de lui. Et puis toutes ses émotions, il a appris à les refouler. Là où il a grandi, y'a pas la place pour la sensibilité, pour les artistes. Si tu te t'affirmes pas, tu te fais bouffer. Alors Bellamy il a grandi comme ça, assez loin de qui il était vraiment, un petit gars sensible et aimant. Mais il s'en rend à peine compte, de tout ça. Bellamy, c'est en fait le genre de garçon qui fait dire aux personnages âgées : "Les jeunes, de nos jours!".
Pour résumer, Bellamy est : exubérant , bruyant, impulsif, colérique, grande gueule, je m'en foutiste, vif, bagarreur, amusant, sensible, intelligent, narcissique, nerveux, loyal envers ceux qu'il aime vraiment.
crackle bones
Derrière l'écran
Pseudo : stockholm syndrome Prénom : solène Âge : quinze ans Pays : france Fréquence de connexion : tous les jours, à peu près Inventé ou scénario : inventé Commentaires :
Code:
○ [color=darkred]ASH STYMEST - BELLAMY O. FROBISHER[/color]
crackle bones
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(#)Sujet: Re: if you're not drinking, then you're not playing ∆ bellamy | Dim 17 Mai - 22:38
Histoire
Tijuana, Mexique. Située près de la frontière américaine, c'est le principal passage de drogue entre le Mexique et les USA. Longtemps considérée comme la ville la plus violente du monde, elle occupe désormais la deuxième place. Ici, vous trouverez passeurs de drogues, cartel, mafia, réseaux de prostitution, trafic d'êtres humains… Quelques chiffres : plus de 5500 décès par an liés aux activités des cartels (ce nombre n'inclue donc pas tous les autres crimes divers et variés). C'est dans cette ville fort sympathique que monsieur et madame Frobisher, deux anglais, ont posés leur valise en 1994. Mr Frobisher était reporter/photographe/journaliste, et on l'avait envoyé ici. Vu la dangerosité de sa situation —les étrangers sont plutôt mal vus à Tijuana—, il était payé une petite fortune, et ne pouvait donc pas refuser une opportunité pareille. Mme Frobisher, quant à elle, se contentait de suivre son mari et de rester cloîtrée chez elle, tant cette ville l'effrayait. Elle ne parlait pas un mot d'espagnol et ne pouvait se lier avec personne. De plus, la présence permanente de divers passeurs de drogue juste en face de la maison familiale était, pour elle, une raison suffisante pour ne jamais franchir le seuil. C'est dans ce joyeux contexte que naquit Bellamy Océan Camille Frobisher, premier (et pas le dernier) enfant du jeune couple. Après lui suivirent cinq filles : Lumen, Vanilla, Leo, Roxanne et Cendre (cette dernière, la plus jeune, est née en 2007). Autant vous dire qu'enfant, la vie n'était pas très drôle pour le petit Bellamy, enfant turbulent et seul garçon de la famille. Papa n'était jamais à la maison et maman y était en permanence, s'occupant de sa ribambelle de filles. Bien sûr, il y avait l'école, mais étant jeune, ce n'était pas trop son truc. Il ne pouvait pas tenir une minute en place, et pendant quelques années, il suivit même un traitement pour essayer de le calmer. En fait, Bellamy, il passait sa journée dans les rues. C'était déjà un gosse très sociable, et il avait tout un tas d'amis. La plupart était des enfants des taudis, non-scolarisés, fils de mafieux ou de passeurs. Bellamy, il était assez différent des autres ; les guetteurs —ces hommes plantés devant certaines maisons, surveillant l'arrivée des forces de l'ordre (qui ne venaient d'ailleurs jamais à Tijuana)— l'adoraient. Ils le trouvaient drôle, parce que quand Bellamy passait espagnol, il avait un accent anglais, et quand il parlait anglais, il avait un accent espagnol. Et puis, il était tout pâle et presque plus maigre que ces enfants anémiques avec qui il traînait. Bellamy, dès son plus jeune âge, se fondait dans la masse de la rue. Mais il eut un enfance heureuse. La rue, il aimait cela. Il aimait les guetteurs, les passeurs, les proxénètes, il aimait toute cette vermine. Pour lui, ce n'était que des gens qui faisaient leur travail.
C'est à l'adolescence que tout a mal tourné, pour Bellamy. Plus il grandissait, et plus il se sentait différent. Il aimait regarder les paysages, il aimait les cours (quand il y allait) et il aimait lire les bouquins anglais de sa mère. Mais de toute façon, à Tijuana, Bellamy l'avait toujours su : il n'y avait aucune place pour les marginaux. Ici, tu t'affirmes tout en fondant dans la masse. Tu marques ton territoire sans faire de vague. Les petits garçons des taudis avec qui traînait Bellamy étant gosse avaient grandi, eux-aussi ; et généralement, ils suivaient la voie toute tracée de leurs paternels. Bellamy, lui, il ignorait complètement où était son paternel. Il pouvait très bien ne pas le voir pendant des semaines. Mr Frobisher et son fils étaient tous les deux très peu présents à la maison. En grandissant, le jeune homme a dû s'adapter. Il a du grandir vite, pour ne pas se faire bouffer. Pour ne pas se faire tuer, aussi. Il avait à peine quinze ans lorsqu'il effectua son premier passage de drogue. Comment les douanes pouvaient se douter qu'un garçon au visage si pur puisse transporter plusieurs kilos de cocaïne ? Bellamy, ça lui plaisait. C'était un milieu dangereux, et il adorait. Il se bagarrait tout le temps, pour un oui ou pour un non. Il s'est très vite mis à consommer. L'héro, surtout. Quand il en prenait, c'était une pile, une bombe. Puis après, c'était l'héro et la coke, le LSD aussi. Des cocktails aussi dangereux qu'agréable pour le jeune homme. À dix-sept ans, il était à la fois passeur, dealer et gros consommateur. On le connaissait très bien, à Tijuana. Bellamy ne rentrait plus chez lui, n'allait plus en cours. Il adorait cette vie mouvementée. C'était le pied pour lui. Et puis, un jour, il a rencontré Andrea, et sa vie entière fut bouleversée.
Andrea. Bellamy avait toujours eu un succès monstre avec les filles. Mais il s'en fichait pas mal. L'amour c'était que des conneries, d'après son avis d'expert. Tout ce qu'il aimait, c'était son nombril, son héro, ses bagarres. Son petit trafic de drogue. Il se croyait être un dur, un vrai. Et un jour, y'a ce gars qui s'est pointé. Il voulait acheté du cannabis. Il s'appelait Andrea. Bellamy, ça n'a pas manqué, il s'est foutu de lui, il l'a insulté. Comme si lui, il vendait du cannabis ! Trop bas de gamme. À Tijuana, le cannabis, c'était pour les gosses de huit ans. Le gars, Andrea, il avait l'air paumé. Il était calme, et Bellamy avait beau cherché les emmerdes avec lui, il se retrouvait toujours face à un mur. Ça le rendait dingue. Andrea revenait presque chaque jour, parce qu'il voulait absolument du cannabis. Bellamy perdait toujours un peu plus son calme. Il était bizarre, Andrea. Il était si calme mais si ferme à la fois. C'était l'exact contraire de Bellamy, toujours excité, défoncé et nerveux. Et un jour, Andrea s'est pointé en disant qu'il voulait une dose d'héro. L'occasion pour Bellamy de se fiche royalement de ce petit gars qui voulait jouer dans la cour des grands sans avoir jamais pris la moindre drogue dure. « Alors montre-moi » avait dit Andrea. Bellamy se rappellera toute sa vie de son regard vert, de son ton si déterminé. Après… C'était parti. Bellamy, il ressentait un truc différent pour Andrea. Il avait toujours envie de s'engueuler avec lui. Ça lui faisait plaisir qu'il vienne l'embêter pour qu'il lui vende un cannabis qu'il n'avait jamais. Il y avait un truc chez lui. Bellamy était amoureux d'Andrea, et Andrea était amoureux de Bellamy, mais ça lui a pris du temps pour qu'il mette les mots sur ça. Ouais, Bellamy il l'aimait comme un dingue, son Andrea. Il pouvait s'exciter comme un fou qu'Andrea restait toujours impassible. Il souriait juste légèrement, et lui disait doucement qu'il était con. Et ça, ça faisait craquer le jeune Frobisher. Ces deux-là, c'était le blanc et le noir ; un équilibre parfait. Et puis, encore un fois, tout est parti en cacahuète. Bellamy, il se fout d'absolument tout, et il se fichait complètement qu'Andrea soit un homme. Mais ça n'était pas l'avis de tout le monde, à Tijuana, surtout pas du frère d'Andrea. Il est venu le voir, un jour. Bellamy, ça la tout de suite foutu en rogne et il s'est énervé comme un fou. Parce qu'on le traitait de sale enculé, de sodomite, de zoophile, ce genre de choses. Le frère d'Andrea s'est pris un poing dans le visage au bout de deux phrases ; mais Bellamy ne se doutait pas un seul instant qu'il se prendrait un couteau dans le ventre. Direction l'hôpital. Hémorragie interne et tout le tintouin.
Après tout cela, il y a eu Charlotte. Andrea, c'était terminé. Mme Frobisher avait bien évidemment porté plainte, sauf qu'elle ignorait que l'homosexualité au Mexique était presque un crime à part entière. Le verdict ? Interdiction de voir ou d'approcher Andrea. La dernière fois que Bellamy le vit, ce fut lors du jugement. Après l'annonce du résultat, Bellamy se sentit bizarre. Il avait drôlement envie de voir Andrea, de se disputer avec. Mais il savait qu'il n'aurait plus le droit de le faire, et ça le rendait toute chose. Bellamy était triste, mais encore une fois, ça lui prit du temps avant de comprendre. Les émotions, ça n'était pas son fort. Et puis, une fois remis de sa blessure, il a repris ses trafics, son métier de passeur. Mais il n'arrivait plus à toucher à l'héro. Ça lui faisait mal, ça lui rappelait des souvenirs. Alors il s'est mis à prendre du cannabis. Parce que c'était ce qu'Andrea voulait, au fond. Et du LSD aussi. Même s'il ne s'en rendait pas compte, ne plus voir Andrea, ça lui en foutait un coup, à Bellamy. Il était encore plus nerveux qu'avant. Et puis il ne supportait plus les garçons. Il n'y avait plus que les filles qui comptaient. Il plaisait, le reste il s'en fichait. Plus il se shootait, moins il pensait à Andrea, et au bout d'un moment, il l'avait oublié. Il y avait cette fille, Adela. Bellamy ne l'aimait pas, non, c'était sûr ; il n'aimait que lui. Et Andrea. Mais Adela, elle était cool et ils avaient de chouettes disputes. Bellamy adorait l'insulter, parce qu'elle se mettait hors d'elle à chaque fois. C'était super drôle, et ça finissait toujours en réconciliation sur l'oreiller. Même si les relations avec les femmes, ça ne lui faisait guère d'effets. Enfin, Adela, elle était cool. Et un jour, elle est tombée enceinte. Ça s'était moins cool. Bellamy avait dix-neuf ans et elle, à peine dix-huit. Bon. Le jeune Frobisher ne réagit pas tout de suite. De toute façon, il s'en fichait qu'elle soit enceinte. Elle s'occuperait du gosse. Les deux jeunes gens ont tenté de cacher la grossesse à la famille d'Adela, mais tout fut découvert après l'accouchement. La famille avait franchement les nerfs. Déjà que Bellamy avait une sale réputation à Tijuana à cause de l'histoire avec Andrea, et maintenant il mettait une fille en cloque ! Le truc, c'est que Bellamy, en fait, ça lui a fait tout drôle d'être père et de tenir Charlotte, sa fille, dans ses bras. Il ressentait un truc. Comme avec Andrea. C'était de l'amour. Le jeune homme l'avait presque reconnu de suite, cette fois. Cette gosse, il l'aimait trop. Il n'avait jamais prêté attention aux enfants avant, mais elle, elle le faisait fondre. Et il n'avait même pas envie de lui crier dessus. L'instinct paternel était là.
La larme à l'oeil. C'est le nom de Bellamy, désormais ; enfin pour les connaisseurs et les gens du milieu. On l'appelle comme ça à cause de son tatouage en forme de larme, près de son oeil gauche. Normalement, ce tatouage signifie que l'on a tué un homme. Je vous rassure, Bellamy n'a jamais tué personne, même si parfois, ce n'était pas passé si loin. Un mois après l'accouchement, Mme Frobisher a embarqué toute sa clique. Direction Miami. Pour elle, c'en était trop. Bellamy leur avait fait courir trop de risques, et elle craignait les représailles. Le jeune homme aurait dû se sentir coupable d'avoir fait courir des risques à sa famille, mais il s'en fichait assez royalement. Maintenant, il devait s'habituer à Miami. Il devait surtout améliorer son terrible anglais. Il a réalisé, en étant si loin de Tijuana, sa merveilleuse cité de décadence, ce qu'était le manque. C'était un peu la même chose que ce qu'il avait ressenti après qu'il ait reçu l'interdiction de voir Andrea. Ah, Andrea. Lui, il lui manquait sacrément, même si Bellamy pensait rarement à son amour. Le seul homme qu'il ait jamais aimé, et celui qu'il aimait toujours d'ailleurs. Celui pour qu'il pourrait tout faire. Enfin, tout cela, Bellamy ignore qu'il le ressentait. Il sait qu'il est amoureux, mais le reste il s'en fout. De toute façon, il continue de coucher avec toutes les filles. Il s'en fiche. Il s'en fiche. Il s'en fiche. C'est son slogan. Et il y a aussi Charlotte. Impossible pour lui de la voir grandir, impossible pour lui d'être présente pour elle. Et il ne savait pas pourquoi, mais il avait vachement envie de faire tout cela. Il a commencé des études de psychologie, mais il baigne toujours dans le milieu mafieux. Loin de Tijuana, mais toujours près des affaires. Au fond, ça l'éclate moins qu'avant, même si une bonne bagarre de gang, ça le branche toujours. Mais il gagne beaucoup d'argent, et il l'envoie à Adela. Pour Charlotte. Bellamy, il vit maintenant sa vie à fond. Tout le temps. Il pense jamais à e qu'il ressent. Il sait qu'il aime Andrea et il sait que sa fille lui manque, mais il sait aussi qu'il ne les reverra sûrement jamais.
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(#)Sujet: Re: if you're not drinking, then you're not playing ∆ bellamy | Dim 17 Mai - 22:47
Putain ce que ça te change !! x) Sinon rebienvenue sous cette nouvelle apparence !
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(#)Sujet: Re: if you're not drinking, then you're not playing ∆ bellamy | Dim 17 Mai - 22:49
Mdrrr j'avoue que ça change quelque peu Merciiiii
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(#)Sujet: Re: if you're not drinking, then you're not playing ∆ bellamy | Dim 17 Mai - 22:56
Blake Harmon a écrit:
Putain ce que ça te change !! x) Sinon rebienvenue sous cette nouvelle apparence !
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(#)Sujet: Re: if you're not drinking, then you're not playing ∆ bellamy | Dim 17 Mai - 22:58
MDRRRRRR merci patate
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(#)Sujet: Re: if you're not drinking, then you're not playing ∆ bellamy | Dim 17 Mai - 23:02
Ouin l'avatar dans la présdentation me fait craquer ! Rebienvenue Solène !
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(#)Sujet: Re: if you're not drinking, then you're not playing ∆ bellamy | Lun 18 Mai - 0:06
Bienvenue
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(#)Sujet: Re: if you're not drinking, then you're not playing ∆ bellamy | Lun 18 Mai - 0:22
Geane : C'est vrai qu'il a une tête de bébé dessus Merci chère homonyme Nate : Merci beaucoup
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(#)Sujet: Re: if you're not drinking, then you're not playing ∆ bellamy | Lun 18 Mai - 1:17
Re-bienvenue avec ce personnage qui s'annonce prometteur !
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(#)Sujet: Re: if you're not drinking, then you're not playing ∆ bellamy |
if you're not drinking, then you're not playing ∆ bellamy