Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility //-->
 
Le Deal du moment : -29%
DYSON V8 Origin – Aspirateur balai sans fil
Voir le deal
269.99 €

Partagez

 I'm here to make you happy. - Cesario & Geane

 :: saison une :: sujets.

Invité
Anonymous
Invité

I'm here to make you happy. - Cesario & Geane Empty
(#)Sujet: I'm here to make you happy. - Cesario & Geane  |   Dim 26 Avr - 16:47
I'm here to make you happy.
Cesario & Geane

J’étais revenue de New-York, il y a tous justes deux jours. J’avais revue Joe, mon ancien collègue. Il avait apprit ma démission par le biais de mon patron et il m’avait fait une scène en me disant que je faisais la pire connerie de ma vie. Il avait sûrement raison, mais j’avais eu des soucis personnels et je n’avais pas pu faire autrement. Ma mère et mon frère avaient subitement disparus et je ne pouvais pas laisser mon père tout seul à New-York. Maintenant que j’étais ici, j’allais faire en sorte de reprendre une vie normale bien que mes pensées étaient la plupart du temps tournées vers ma famille. J’allais mener une vie bien tranquille et récupérer un travail digne de ce nom, puisque non, je ne comptai pas reprendre mon poste dans l’agence où je travaillais. Cependant, plusieurs jours après, mon ancien patron m’appela. « Mademoiselle McCallister ? » commença-t-il. C’est moi.. Répondis-je en prenant appuie contre mon bar. « Excusez moi de vous dérangez.. Je sais que vous ne souhaitez pas revenir au sein de notre entreprise mais j’aimerai vous faire une proposition. » J’avais alors froncé les sourcils, que me voulait-il ? « Nous avons un gros dossier sur le dos, Monsieur Di Battista. Un homme d’affaire très réputé et très pointilleux par la même occasion. Il recherche une immense villa.. » Je ne lui laissai pas le temps de continuer son monologue que je le coupai. Qu’est-ce que vous me voulez au juste ? Demandai-je un peu perplexe. Il marqua une pause puis reprit. « C’est à vous qu’on confiait ce genre de gros dossier, vous êtes l’une des seules à trouver les bons arguments pour que ces messieurs acceptent d’acheter les logements. » Avait-il dit plus ou moins gêné. C’est non. Lâchais-je. « Mais enfin Geane ! Ce mec est un pété de tune ! Il recherche une villa avec plus de dix chambres ! S’il arrive à avoir ce qu’il veut, on fait presque notre chiffre d’affaire pour l’année. Et.. Si vous y arrivez, je vous laisse tranquille et vous serez payé trois fois votre mois de salaire. » Termina-t-il. Ce dernier argument n’était pas négligeable pour une fille comme moi. J’avais besoin d’une voiture, et de régler les quelques petits crédits que j’avais pu faire ces derniers mois. Quand puis-je vous donner ma réponse ? Lui demandai-je froidement. Demain soir maximum. Passé ce délai, je prendrai votre silence pour un non. Très bien, au revoir monsieur Keyn. Puis j’avais raccroché. J’avais donc passé ma soirée et ma journée suivante à y réfléchir. Je n’avais rien à perdre après tout. C’est pourquoi, le soir même je pris mon téléphone et appela mon ancien patron pour lui donné ma réponse. Il avait sauté de joie. Quand puis-je passé chercher le dossier ? Avais-je demandé. « Passez demain dans la journée, vous devez voir monsieur Di Battista dans la semaine qui suit. » Déclara-t-il. Et bien à demain monsieur. Concluais-je avant de raccrocher.

--  UNE SEMAINE PLUS TARD  --

C’était aujourd’hui ou jamais, j’avais rendez-vous avec l’homme qui nous ferait peut-être l’affaire de l’année. J’avais longuement bossé sur son dossier et trois villas s’étaient démarquées. Je ne connaissais pas vraiment l’homme qui se cachait derrière ce nom à consonance italienne mais en tout cas, on pouvait deviner beaucoup de chose derrière ses exigences. L’homme souhaitait une villa avec une dizaine de chambres équipées, un grand jardin, des pièces lumineuses, un grand garage, une piscine, une belle vue et beaucoup d’ouvertures. J’imaginais donc qu’il devait avoir une grande famille, qu’il devait posséder un bon nombre de véhicules, qu’il devait aussi certainement être ouvert d’esprit, bosseur et surtout riche. Le genre de mec tout de même un peu aigri, âgé minimum de 50 ans, les cheveux grisonnant et qui sourit quand bon lui semble. Le genre de mec avec une vie parfaite et qui nous insupporte. Je lui avais donc envoyé un texto pour lui donné l’adresse de la première villa et je m’y étais rendue, en taxi encore une fois. J’étais arrivée la première et je l’attendais devant l’entrée. J’avais tout de même pris la peine d’enfiler ma jolie jupe de tailleur ainsi qu’un chemisier et j’avais remonté mes cheveux en un chignon d’où quelques mèches ondulées tombaient. Il avait dix minutes de retard et autant dire que je détestais les personnes qui n’étaient pas ponctuelle bien que je n’étais pas un exemple car il m’arrivait bien souvent de ne pas arrivée à l’heure. Cinq minutes plus tard, une magnifique voiture noir se gara devant le portail et un super homme aux cheveux noir et à la peau mate en sortie. Waaaw, le chauffeur de ce mec était carrément une bombe ! Cependant, lorsque ce dernier arriva près de moi et qu’il me serra la main, je ne compris pas immédiatement. Où était mon monsieur avec les cheveux gris? Euh.. Bonjour ? Je jetai un œil en direction de la porte côté passager et reprit la parole.  Monsieur Di Battista a eu un empêchement ? Le questionnai-je plutôt surprise.



Emi Burton
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Anonymous
Invité

I'm here to make you happy. - Cesario & Geane Empty
(#)Sujet: Re: I'm here to make you happy. - Cesario & Geane  |   Mar 28 Avr - 11:18
You'r Here to make me happy
Geane & Cesario

Autre chose à dire ?




"Mister, Your name please? Mister?" "Excuse-moi maman..." Tu écartes le téléphone de ton oreille et regardes le vendeur qui visiblement ne se sent pas à sa place. "Were is your boss? I saw him last week. I'm Cesario Di Battista JR. I ordered a car." Tu fais un léger sourire au jeune garçon et reprends ta conversation téléphonique. "Non, j'attends juste ma voiture ; [...] Merci maman, mais non, elle ne finira pas comme la dernière. Je n'ai même pas repris le même modèle." Tu remarques soudain qu'à la porte du bureau, le boss en question, t'attend. Une vraie bonne excuse pour pouvoir enfin racrocher. "Maman, je dois te laisser. Moi aussi, je t'aime." Tu raccroches et te lèves du siège pour venir serrer la main du patron des lieux. Un Français que tu as rencontré lors de tes précédents séjours. "J'espère que ma voiture est arrivée, j'en ai besoin." Tu vois tout de suite le visage de l'homme se ternir et tu te pinces intérieurement la joue droite. Tu l'entends déjà te dire que tu n'auras pas ta voiture aujourd'hui. "Navré, Cesario, mais le bateau sur lequel elle se trouve est coincé au port... Une affaire de papiers qui me pompe l'air depuis dès jours. Dans tous les cas, je te laisse prendre n'importe qu'elle voiture de la concession. Dis-moi et je te donne les clefs." C'est déjà ça, tu auras une voiture et n'importes laquelle en plus. Tu as de nouveau un grand sourire sur les lèvres ce que ton ami remarque. Il te fait alors un petit spitch sur certaines voitures, mais tu ne l'écoutes pas tellement. Mains dans les poches, tu vas circuler entre elles. Tu demandes parfois le nombre de chevaux et finalement, tu optes pour une sportive noire. Celle-ci, tu ne l'as pas, pas encore. Tu as juste pris le temps de remplacer celle que tu as explosé il y a quelques mois en France.Quant à tes autres voitures, car tu en as quelques-unes, elles attendent patiemment que tu puisses en accueillir certaine à Miami. "Je prends celle-là." Tu pointes la voiture du doigt et regardes ta montre une première fois puis une deuxième fois pour vérifier si tu as bien lu l'heure. Tu es en retard. "Chef, il me la faut tout de suite." Tu en avais presque oublié que tu avais rendez-vous avec une certaine McCalister pour visiter des villas. Il fallait bien que tu te trouves un pied à terre pour accueillir toute ta petite famille. Surtout qu'une fois trouvée, tu aurais à la faire redécorer. Comme lorsque tu avais acheté une villa en Italie, tes frères et soeurs iraient choisir chacun ou par deux une chambres. Chambres qu'ils fraudaient redécorer suivant leurs goûts. Cette fois-ci, tu allais faire en sorte de faire la surprise à tous d'une chambre leur correspondant dès leur arrivée. "Voilà les clefs Cesario. D'ici deux jours, j'aurais ta Ferrari." Tu attrapais les clefs que l'on te lançait et rentrais tout de duite dans l'habitacle de la voiture. Tu mettais le contact et démarrais la voiture avant de sortir du parking concessionnaire. À peine étais-tu parti que ta mère te téléphonait de nouveau. Loin de stopper ta voiture, tu décrochais en te disant que de toute manière, tu avais une boite automatique."Oui, maman ? [...] Félicites Luna de ma part. Je lui enverrais un petit quelque chose pour m'excuser de ne pas être venu. [...] Je ne vais pas avoir le temps, j'arrive à un rendez-vous. [...] Oui, bisous maman." 5 ou 6 éme fois que ta mère t'appelle aujourd'hui. Elle ne changera jamais. Tu raccroches enfin et le GPS t'indique que tu es arrivé. Tu te gares et remarques une jeune femme qui semble attendre. Tu as un léger sourire, si cette jeune femme est ton agent immobilier ces visites vont être plus agréable que d'ordinaire. Tu sors de ta voiture en enlevant tes lunettes de soleil et te dirige vers elle pour aller lui serrer la main. "Bonjour, mademoiselle McCallister." Te saluant elle aussi, tu remarques que quelque cloche. Tu la vois regarder en direction de la voiture et lorsqu'elle te demande si monsieur Di Battista à eu un empêchement, tu retiens un rire avant de répondre. "Et bien...disons qu'il a seulement eu un empêchement d'un quart d'heure. D'ailleurs, il s'excuse pour ce retard et il s'excuse également pour ne pas correspondre à l'idée que vous vous faisiez de lui. " Lui faisant un regard amusé, tu observes sa réaction et poursuis. "Laissez-moi me présenter. Je suis Cesario Di Battista ou du moins l'un des deux, mais il n'empêche que c'est bien moi qui ai fait appel à vos services." Ne pouvant contenir ton amusement, tu laisses échapper un rire. Tu sens que cette journée va t'amuser. Surtout avec une si jolie femme pour te guider dans ces monstres de villas que contient Miami. 
Code by AMIANTE
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Anonymous
Invité

I'm here to make you happy. - Cesario & Geane Empty
(#)Sujet: Re: I'm here to make you happy. - Cesario & Geane  |   Jeu 30 Avr - 18:44
I'm here to make you happy.
Cesario & Geane

J’attendais mon dernier client. Lorsque j’en aurai terminé avec lui, je disais à dieu à mon métier d’agent immobilière, j’avais un projet en vue, mais pour qu’il puisse aboutir je devais en parler avec l’une de mes amies qui je l’espère deviendrait l’une des cogérantes. En attendant, je me demandai quelle villa lui ferait le plus plaisir. Monsieur Di Battista semblait être quelqu’un de très pointilleux et j’espérais sincèrement que l’un de ces logements lui convienne. C’est quinze minutes  après l’heure convenu qu’une voiture s’arrêta devant la première villa. Un charmant jeune homme en sortit et se dirigea droit vers moi. Il devait avoir la vingtaine et il était vraiment très élégant. « Bonjour mademoiselle McCallister. » Déclara-t-il en me prenant la main. Je fronçai les sourcils et jeta un coup d’œil en direction de la voiture. C’était quoi la blague ? Comment connaissait-il mon nom et où était mon vieux monsieur ? Je fis un léger sourire et lui demanda gêné si la personne concernée par le rendez-vous avait eu un empêchement aujourd’hui, et ce dernier répondit. « Et bien...disons qu'il a seulement eu un empêchement d'un quart d'heure. D'ailleurs, il s'excuse pour ce retard et il s'excuse également pour ne pas correspondre à l'idée que vous vous faisiez de lui. » Je l’avais regardé d’un air vraiment surpris, j’avais vraiment du mal à y croire. Ma bouche format alors un O avant qu’il ne reprenne la parole. « Laissez-moi me présenter. Je suis Cesario Di Battista ou du moins l'un des deux, mais il n'empêche que c'est bien moi qui ai fait appel à vos services. » Avait-il dit avant d’échapper un rire. Ce genre de situation ne m’était jamais arrivé à vrai dire, et je devais ressembler à une tomate à cet instant. Je suis vraiment.. Désolé ! Déclarai-je en le regardant morte de honte. C’est juste que je m’attendais pas du tout à.. Ça ! Lâchais-je en le regardant de bas en haut. Enfin à vous je veux dire ! Je me mis à rire avant de remettre l’une de mes mèches derrière mon oreille. Vous êtes.. Beaucoup plus jeune que ce dont je m’étais imaginé. Confiais-je en le regardant d’un air amusé. Je mordis légèrement la lèvre avant de finalement reprendre la parole. Bref, repartons sur de bonnes bases. Je tendis ma main avec rigueur et déclara. Geane McCallister, votre agent immobilière mais également celle qui fera votre bonheur ! J’émis un petit rire, espérant sincèrement qu’il n’y voit pas d’ambiguïté  puis l’incita à me suivre à l’intérieur du logement. Alors.. Si j’ai bien lu votre dossier. Vous souhaitiez une villa avec au minimum dix chambres, de grands séjours lumineux avec de nombreuses ouvertures. Un grand garage, une piscine extérieure et un terrain plutôt étendu. C’est bien cela ou avez-vous autre chose à ajouter ? Demandai-je en me retournant pour lui faire face. Ce dernier acquiesça tandis que nous continuions à avancer dans la villa. Très bien, donc ici vous avez un grand séjour avec une baie vitrée qui vous conduit tout droit vers votre terrasse.  Vous avez également une grande cuisine ouverte sur le salon. Cinq chambres au rez-de-chaussée et cinq à l’étages ainsi qu’une salle de jeux ou de sport déjà équipée, elle possède des barres de tractions, un tapis, un vélo ainsi qu’un billard et tout ce genre de jeux. Expliquais-je en avançant dans le couloir séparant les chambres avant de reprendre en entrant dans l’une d’elle. Sinon chaque chambre à sa propre salle-de-bain, toilettes compris, hormis l’une d’elles se trouvant à l’étage. Le jeune homme me suivit et inspecta chaque recoin de la chambre. Elle était plutôt grande, enfin à mon point de vue mais cependant je ne pu m’empêcher d’ajouter lorsque je le vis grimacer. C’est la plus petite des dix chambres, les autres sont beaucoup plus grandes ! Argumentai-je en sortant. Dans la plus grande des chambres se trouve une cheminée uniquement nourrit aux granulés pour le bien de la planète. Expliquai-je un fin sourire aux lèvres. Elle se trouve à l’étage, si vous voulez bien me suivre. Je fis un léger sourire et grimpa les escaliers en bois noir pour finalement nous retrouver devant une grande porte en chêne redécoré. C’est ici.. Dis-je lorsqu’il poussa la porte. Il entra et fit le tour de la pièce tout en affichant un air intéressé. Excusez-moi mais, vous avez autant d’enfant que de chambres ? Questionnai-je plutôt stupéfaite. Ce dernier resta muet un moment tandis que je m’appuyai contre la porte.



Emi Burton
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Anonymous
Invité

I'm here to make you happy. - Cesario & Geane Empty
(#)Sujet: Re: I'm here to make you happy. - Cesario & Geane  |   Lun 1 Juin - 23:00
SUJET ABANDONNÉ.
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé


I'm here to make you happy. - Cesario & Geane Empty
(#)Sujet: Re: I'm here to make you happy. - Cesario & Geane  |  
Revenir en haut Aller en bas
 

I'm here to make you happy. - Cesario & Geane

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» I'm really happy to see you again ! -Hayden&Geane.
» what ever you decide to do, make sure it makes you happy. - Hannah & Jason
» Ballet is the ultimate optical illusion. we make effort appear effortless. And we make gravity our bitch. | IVY.SAREH
» Make excuses or make changes, the choice is yours (Blaysia)
» Why make simple when can one make complicate?

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: saison une :: sujets.-