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Donc la nouvelle Nessa était censée rester clean. Loin des drogues en tout genre, de l'alcool, même des relations trop compliquées. Il parait que c'était en suivant ce genre de règles super strictes que j'étais censée aller mieux. Je trouvais personnellement ça débile, me privé allait me frustrer et me pousser à craquer. Pourtant, je devrais m'y tenir, tenir la promesse que j'avais faite à certaines personnes, comme Charlie & Dawson. Ca allait être dur mais je me devais d'essayer. Dans ce foutu "nouveau programme réussite !" Il y avait aussi la mention, "savoir s'assumer seule" résultat, je devais bosser. Je sais. La blague de l'année, Nessa Tate, la dernière personne qu'on s'attendait à voir se tuer au travail. Habituellement je piquais ce qui me faisait envie, arnaquait qui j'avais besoin pour obtenir ce que je convoitait. C'était plus simple, plus rapide et beaucoup plus amusant. Mais je devais devenir une nouvelle moi, à ce qui parait. Par conséquent, je devais bosser comme tout le monde ou presque. J'étais démotivée avant même d'avoir commencer, mais Dawson qui avait finalement des relations dans presque tout (ça doit aider d'être prof) m'avait trouver un job' d'été. Fallait y aller doucement et commencer lentement, un job d'été c'était l'idéal d'après lui. Donc il m'avait dégoter ce truc de serveuse dans un restau' sur le lac. C'était déjà perdu au milieu des bois, le truc qui fait bien flipper. Faut dire que ça avait son charme, en quelque sortes. Après six heures de dure labeur, je terminais mon service. Ce n'était que mon troisième jour et l'abruti de gérant qui devait filer à un rencard me laissait les clés pour la fermeture, quel inconscient. Il était dans les 1h00 du mat' et je me retrouvais à faire la fermeture d'un foutu restau paumé au milieu de nul part. J'en avais pour une demi heure de route pour rejoindre la ville, autant dire que j'étais non seulement hs mais aussi très agacée. Pourtant, je fermais mon clapet et fit ce qui m'étais demander. Après avoir fini de ranger la salle, j'attrapais ma veste aux vestiaires et me dirigeais vers la sortie. Je fermais les portes à doubles tours, laissait la clés dans le petit coin censé être secret où on me l'avait demander, puis je me rendais sur le parking où seul la voiture que Dawson me prêtait se trouvait.  Tel que dans un film d'horreur de mauvais goût, c'est à ce moment que j'entendis un bruit dans les bois derrière moi. Je ne flippais pas rapidement, mais plus le bruit se faisait fort et plus j'accélérais le pas. Une fois arrivée à la caisse je l'ouvrais rapidement et entrait à l'intérieure. J'eu un léger soulagement à l'instant où la porte se refermait, malheureusement, cela ne dura pas. La porte s'ouvrait de nouveau d'un coup sec et un mec cagoulé m'attrapait le poignet et me tirais en dehors. Sans attendre, je me mis à hurler comme une dingue.

« Ahhhhhhhhh ! Mais lâche moi ! Lâche moi je te dis ! » M'époumonais-je en me débattant dans tout les sens.

Wayne, qui m’avait lancé un cap de kidnapper quelqu’un, et de lui faire la peur de sa vie. Et j’avais décidé de choisir Nessa, une des personnes qui lui tenait à coeur, pour bien le faire chier, et puis, j’avais déjà quelques idées en tête. J’avais passé la soirée à l’est de la ville dans un petit pub sympa, après avoir travaillé toute la journée, en surveillant Nessa de près, je pouvais voir qu’elle était sympa comme fille, même si je ne la connaissais pas spécialement. J’avais mangé un hamburger et des frites avec une pinte de bière dans mon coin sombre, où la musique du jukebox se faisait entendre, la musique était minable. Je sorti une quinzaine de minutes plus tard, en attendant dans la voiture, où je préparais mon plan en détails dans ma tête, comment faire une mauvaise farce à Nessa? J’étais prêt à tout sauf à lui faire du mal, mais quoique. Puis je vis une jeune fille à la chevelure claire sortir, j’avais garé ma voiture dans un lieu où on ne la verrait pas à la vue directement, je sorti doucement en claquant doucement la porte. Il faut dire que l’armée m’avait apprit à être silencieux. La jeune fille se retournait, comme si on la poursuivait. - C’était le cas, hein! - La faible lumière me permettait de me cacher, de plus cela j’étais habillé en noir, et d’une cagoule à la main, que j’enfilais lorsqu’elle rentrait dans la voiture, je sorti de l’obscurité en me précipitant sur la poignée de la portière en tirant d’un coup sec, j’attrapais aussitôt le poignet de la blonde en la tirant hors de la voiture. Elle se mit à hurler comme une folle, que mes oreilles eût mal. « Ahhhhhhh ! Mais lâche moi ! Lâche moi je te dis ! » Criait-elle de toutes ses forces en essayant de se débattre, je mis mes bras musclés autour d’elle pour éviter qu’elle se débatte, et mit ma main sur sa bouche en appuyant fort, je ne voulais pas me faire remarquer. Je la plaquais contre la voiture, afin de prendre ses mains et de les liés avec une corde dont je faisais un noeud bien serrer puis pour finir, je lui bandais les yeux. « Soit silencieuse, sinon… Ça va très mal, très très mal se finir poulette, j'irais même à te trancher la langue. » Dis-je d’une voix sensuel et obscur, en tirant sur la corde afin qu’elle commence à marcher, on rentrait dans les bois les plus sombres, et je guidais la jeune fille vers le lac où quelque chose l’attendait.

 

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Je crois véritablement que Miami ne me porte pas chance. Même pas un an que je vivais ici et déjà j'avais été agressée quatre fois, cinq désormais, droguée plusieurs fois, on avait aussi essayer de violer ou de me tuer plusieurs fois. Je sais pas ce qu'il se passait ici mais le sort semblait s'acharner sur moi. Je devrais véritablement me mettre aux arts martiaux ou me balader avec un tyzer dans mon sac partout où j'allais. Maintenant alors que j'allais paisiblement rentré un malade me choppait et me tirait hors de la voiture. Bien évidemment, je m'époumonait, chose qui ne servait strictement à rien puisqu'il n'y avait pas âme qui vive à des kilomètres à la ronde ! Je flippais véritablement à ce moment là. Je me débattait dans tout les sens, hurlait de toutes mes forces jusqu'à ce qu'il m'en empêche en plaçant sa main sur ma bouche et ne m'attrape fermement. Être petite et menue ne me réussissait pas, j'étais une proie bien trop facile pour ce genre de psychopathe. En une seconde il m'avait maîtrisée et je ne pouvais malheureusement rien y faire. Il me liais les mains et finit par me bander les yeux, pour dire vrai j'étais à deux doigts de me faire pipi dessus tellement il m'avait foutu les jetons. Ou de pleurer comme une enfant. Mais je me retenais du mieux que je le pouvait. Puis alors que je n'y voyait rien et que je continuait à flipper, il s'approchait de moi et me murmurait à l'oreille : « Soit silencieuse, sinon… Ça va très mal, très très mal se finir poulette, j'irais même à te trancher la langue. » A dire vrai, je n'avais jamais eu aussi peur de ma vie. Surtout après ma dernière aventure avec ce gars sur le plage qui m'avait drogué au ghb et apprendre la mort de cette pauvre fille sur la plage. « J'vous en pris, j'ai rien ! Juste les clés de ce foutu restau à la con, allez voir là-bas moi j'ai.. » Mais je n'eu pas le temps de finir qu'il tirait sur la corde attachée à mes poignets et me forçait à avancer. Je faillit trébucher mais il me rattrapait et me me guidais je ne sais où. Je ne savais pas quoi faire, j'étais attachée, je n'y voyait absolument rien, je n'étais pas du genre croyante, mais à ce moment précis je priais le seigneur pour qu'il m'aide à me sortir de là. A m'échapper, à ce que quelqu'un vienne m'aider, n'importe quoi ! Je suis bien trop jeune pour mourir. Et j'ai pas envie de mourir ! Etrangement, j'ai toujours cru que je n'aurais pas peur de la mort le jour où elle arriverait mais là, tout ce à quoi je pensais était que je ne voulais pas finir la gorge tranchée dans ce foutu lac au milieu de nul part. « Où est-ce qu'on va ? Relâchez moi ! Pitié ! » "Pitié" ? Plus pathétique tu meurt ma pauvre fille. Mais j'étais à bout de nerfs. Je ne criais plus, je tenais à ma langue, mais j'étais nerveuse normal et quand j'étais nerveuse je n'arrêtais pas de parler.

J’avais choisi Nessa, car elle était importante pour Wayne, et rien que pour le faire chier, je voulais lui faire vivre un véritable cauchemar. Je venais de la kidnapper après le travail, et je l’avais tiré hors de la voiture, celle-ci était apeurée comme jamais puisqu’elle parlait beaucoup. Je lui avais murmuré près de l’oreille qu’elle ferait mieux de se taire ou que je lui couperais la langue toute crue. « J’vous en prie, j’ai rien ! Juste les clefs de ce foutu restaurant à la con, allez-voir là-bas, moi j’ai… » Dit-elle, mais elle parlait beaucoup trop, que je tirais sur la corde attachés à ses poignets qu’elle prit un élan plus rapide, elle manqua de trébucher, je la rattrapais, je voulais surtout ne pas lui faire du mal, mais qu’elle ai la peur de sa vie. On continuait à traverser le long de la forêt, mon plan se mettait correctement en marche, et juste je le suivais à la lettre. On commençait à arriver près du lac, c’était glissant, j’attrapais donc le coude de celle-ci, et pris soin qu’on avance doucement. « Où est-ce-qu’on va ? Relâchez-moi ! Pitié ! » Dit-elle en suppliant, je lâchais un rire presque sardonique, je me retournais vers Nessa, en l’arrêtant. J’attachais la corde autour d’un arbre, elle avait les yeux bander, heureusement pour moi, elle y voyait rien du tout. « Ne bouge pas, où je te découpe. » Lâchais-je d’une voix flippante, avant de m’emparer de son t-shirt et de son short que je pris le soin de déposer sur l’herbe. Puis je défais le noeud attacher à l’arbre, je la poussais doucement, puis lui tendis une corde, qu’elle attrapait, c’était une corde qui allait lui permettre de jeter dans le vide. Mais celle-ci attrapait bien la corde, mais parlait trop, qu’aussitôt, je la poussais dans le vide pour qu’elle atterrisse dans l’eau, heureusement que j’avais mis des lumières aux alentours. Elle criait de toutes ses forces, ce qui me fit rire. Je retirais aussitôt ma cagoule, et me mit en boxer avant de sauter pour la rejoindre et la rattraper, par rapport à elle, j’avais pieds. « Nessa, calme toi ! » Dis-je en la rejoignant, j’attrapais le noeud de ses poignets et la ramenait au larde, je retirais son bandeau, et défis la corde autour de ses poignets. Il y avait de légères marques, les yeux de celle-ci s’écarquillait en voyant mon visage, je souriais bêtement. « C’était fun de te faire peur » Dis-je.