Margot Irina Keating

La vie n'est pas un long fleuve tranquille.

Caractère

Margot est très vite devenue une fille responsable. S'être faite enlevé à l'âge de cinq ans l'a rendue comme cela. Mais ça lui a appris aussi à être courageuse. Si elle pleurait, on la battait et elle ne voulait pas l'être. Petit à petit elle est devenue très méfiante et craintive envers les gens mais au lieu de le montrer, elle est devenue très directe. Elle ne montre pas sa peur. Elle déteste ça. Du coup, tout le monde croit qu'elle est une personne forte. A l'âge de dix-huit ans, elle a eut une fille. Ce qui a développé son esprit de famille, ce qu'elle n'avait pas parce qu'elle n'en avait plus. Sa fille est la prunelle de ses yeux. C'est surement son point faible le plus gros. C'est une fille ambitieuse malgré son métier. Elle est très intelligente et perspicace. C'est une menteuse née. Après tout depuis la naissance de sa fille et sa nouvelle identité, elle ment à son entourage et tout le monde n'y voit que du feu. Elle a manipulé le mec qui lui a donné les cartes pour changer d'identité. Et si elle veut quelque chose, elle fera tout pour arrivé à ses fins.  

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Derrière l'écran

Histoire

Mon histoire peut vous semblez tout droit sortie d'un film, je vous l'accorde elle n'est pas des plus simple. Mais c'est mon histoire et j'aimerais vous la racontez.

Jusqu'à l'âge de cinq ans, mon enfance fût plutôt tranquille. Je vivais en Russie avec mes parents et mes soeurs. Nous jouions toujours ensemble et nous entendions bien. Quant à mes parents, ils étaient des plus adorable. Enfin, je ne me souviens plus trop de cette période. Il faut dire que je n'ai pas eu le temps de me rattacher à tout cela. Pourquoi me direz-vous ? A l'âge de cinq ans, je jouais avec mes soeurs Aleksandra et Ana quand une voiture s'est arrêté devant la maison. Deux hommes en sont sortis et nous ont enlevé Ana et moi, devant Aleksandra qui criait. Depuis cette époque, je n'ai pas revu ma famille. Je ne me souviens que de certains parfums et des visages de ma famille. Enfin bref, j'étais trop petite pour savoir pourquoi j'étais enlevé et je ne comprenais pas pourquoi j'avais été choisie. C'est quand j'ai grandis que j'ai compris. Ces hommes étaient de la mafia Russe. J'ai grandis en travaillant dans des petites usines et si je désobéissais je me faisais battre. Ils voulaient juste m'éduquer. Pour qu'arrivé à l'âge où ils pourraient me prostitué, je sois des plus docile. J'avais peur, j'étais très mal. Mais j'ai appris à ne pas le montrer. Jusqu'à l'âge de dix-huit ans j'ai été trimballé de pays en pays pour la prostitution jusqu'au jour où je suis arrivée aux États-Unis, plus précisément à Miami. C'est là que ma vie a changé. J'ai rencontré un mec qui au lieu de me sauter comme tout les autres, m'a proposé de l'aide. Il m'a dit qu'il m'aiderait à changer d'identité,... J'ai accepté, j'en avais marre d'être la pute de ces mecs. J'ai tout fais pour obtenir ma nouvelle identité et mes papiers. Jusqu'au jour où j'ai couché avec ce mec. Il m'a fait un enfant. Sauf qu'il ne le sait pas. Parce qu'après avoir obtenu ce que je voulais, je suis partie vivre ailleurs. J'avais peur que ces gars me retrouvent. Physiquement je n'avais pas changé. Je n'ai pas prévenu mon sauveur de mon départ. Je suis juste partie avec ma fille qui grandissait en moi. Il m'a donné les deux choses les plus importante de ma vie : ma liberté et ma fille. Je ne le remercierais jamais assez.

Aujourd'hui, ma fille a huit ans. J'en ai vingt-six et j'ai décidé de revenir à Miami. Je pense que ma fille mérite de connaître son père. Je pense que la mafia m'a oublié. Enfin j'espère. Tout ce que je veux c'est reprendre ma vie à zéro, loin de tout ce que j'ai vécu. Toute cette histoire m'a cassé mais je survis. J'essaie de voir le côté positif de la chose. Mais parfois c'est difficile. N'ayant fait aucune étude, je suis escort-girl. Au moins j'arrive à vivre très confortablement dans une grande maison, offrant tout ce que ma fille veut. La journée je bosse dans un café, je suis serveuse. Comme ça ma vie nocturne n'éveille pas les soupçons.    

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