Lehonidas Kristian Mills

I'm untouchable darkness, a dirty black river to get you through this. In the mouth of madness, down in the darkness

Caractère

VIOLENT. c'est ce qu'il y a écrit sur mon ravissant dossier d'enfant orphelins depuis presque toujours. est-ce ma faute si à l'âge de trois ans je n'avais pas envie de jouer avec mes petits camarades et de partager des jouets avec eux ? est-ce ma faute si à l'âge de sept ans je n'arrivais pas à faire comprendre à mon professeur que je n'avais aucune envie d'aller au tableau pour répondre à un putain de calcul ? (et c'est pas faute d'avoir essayer ... à croire qu'on ne lui a jamais appris à ne pas forcer un enfant à faire ce qu'il ne voulait pas) est-ce toujours de ma faute si un pré-adolescent complètement débile ne comprend pas les mots casse-toi tu mes fais chié ? est-ce encore et toujours de ma faute si je préfére frapper avant de parler ? (bah oui c'est histoire de mettre au claire certaine petit chose et surtout ne pas perdre du temps ... je suis pragmatique c'est tout !) En fait, ce n'est pas moi qui suis violent, c'est le monde qui me force à leur faire comprendre violemment les choses nuances !

POSSESSIF/PROTECTEUR. ce qui est à toi est à moi, ce qui est à moi est à toi. quel belle connerie ! en fait cette phrase a été inventé par un gars qui n'avait rien. du coup tout prend son sens : il n'avait rien et l'autre personne avait tout, et avec cette phrase il avait tout et rien ! au fond, je suis sur que j'aurais pu inventer cette phrase seulement j'avais pas envie de passer pour l'idiot qui n'avait rien alors que j'ai déjà pas mal de chose. des choses non négligeable et que je ne partage pas. tu as faim et tu veux ce qu'il y a dans mon assiette ? tu l'auras pas. tu es assis par terre demandant de l'argent et tu veux que je te passe le billet de dix dollars que j'ai dans la poche ? Rêve en couleur et éveillé ... ah non pardon tu le fais déjà ! t'as froid et tu veux que je passe ma veste ? ah ah fallait prendre une veste chez toi poupée ! et si j'avais de réel amis en qui j'ai réellement confiance -je suis sur que si je réfléchis comme il le faut je vais pouvoir te sortir un nom autre que Nathan mon ami le plus fidèle et imaginaire- n'essaye pas de gratter l'amitié avec eux, il te rejetterons comme un morceau de papier q qu'il ont finis d'utiliser pour se torcher les fesses !

IMPULSIF. je suis quelqu'un de très réactif je l'avoue. tu me frappes de ta main droite et au moment ou tu effleures ma joue -parce que rêve pas c'est tout ce que tu vas faire- tu es déjà couché au sol grâce -ou à cause tout dépend du point de vue- de ma main droite. tu me fais chié à trop parler, je passerais pas par mille chemin pour te dire ferme-là et si tu comprends pas, c'est que tu vas me forcer à devenir violent -mais ce sera de ta faute pas de la mienne. tu me bouscules dans la rue et tu t'excuse même pas ... bah franchement tu es con et les événements qui s'en suivrons seront encore une fois de ta faute. je fais ce que je dis, je dis ce que je pense, et si tu es pas content ... bah je m'en fou comme de la couleur de la culotte de ta mère ... même si je sais qu'elle était rouge puisqu'elle est venu se donner à moi et que impulsivement j'ai pas vu m'empêcher de la faire crier de plaisir !

MENTEUR/MALIN. je ne mens pas, j'arrange simplement la vérité. tout le monde sait que la vérité est dur a supporter. on a tendance à poser des questions dont les réponses sont insupportable pour notre personne. alors moi dans un élan de gentillesse, je l'arrange. pas besoin de me remercier je fais ça avant tout pour moi. j'ai pas envie de retrouver devant une nana pleurnicharde ou un mec qui sait pas gérer sa colère ou le contraire. et puis mine de rien, c'est tout un de mentir et de manipuler les gens ! On devrait de décerné une de ses conneries d'award pour être le gars qui mens mieux qu'un politiciens qui dit à ses citoyens que c'est pour le bien de la nation !

ARROGANT. détrompez-vous, ce n'est pas de l'arrogance que vous voyez chez moi, c'est plutôt de l'assurance ! il n'y a pas de mal à savoir oui je suis bon et ou je suis mauvais -même si je pense pas être mauvaise en quoique ce soit !-. et là oui je suis bon -c'est à dire presque partout- je le fais savoir. faut bien que les gens sachent que comparé à moi ... bah c'est plutôt des sacrés merdes, faut bien que quelqu'un leur dise. et puis ce n'est pas de l'arrogance -de l'assurance- mal placé : si je suis comme ça c'est pour aussi ... bon okay c'est simplement pour démontrer que je suis meilleur que vous. mais y'a pas de mal à ça puisque c'est la vérité ... mais oui c'est vrai vous et la vérité vous y arrivez pas. mais bon disons que cette vérité là, il va falloir que vous vivez avec alors autant s'y faire maintenant non !?!

SARCASTIQUE. le sens de l'humour particulier et non sarcastique je dirais. mais bon apparemment vous êtes comme les chiens qui aboie sans raison dès que tu rentres dans la pièce alors qu'il était en train de se lécher les boules : bruyant et complètement dégouttant ! j'ai jamais dis que mon humour était fait pour vous faire rire, il est avant tout là pour m'amuser à moi. si vous voulez rire, aller voir un clown dans un cirque qui vous balancera de la tarte -avouez eux leurs humours est vraiment à chier ! Mon humour à moi il est mordant, amer, blessant et surtout il ne fait rire que moi -bien souvent- et c'est tout ce qui compte !

DÉLICIEUSEMENT MÉCHANT

crackle bones

Derrière l'écran

Histoire

Né sous X, je ne connais absolument pas mes origines. J'ai été abandonné à la maternité de l’hôpital de New York City il y a de ça 19 ans. Après ma naissance, j'ai très vite été placé dans une famille d'accueil et ça jusqu'à ses quatre ans. Mais n'allons pas trop vite. Vous devez absolument savoir la raison de mon prénom ! Pas que ce soi essentiel, mais pour vous ça l'est ... comme il s'agit de moi, vous comprenez ou pas !? On pourrait croire que Lehonidas est une référence au Spartiate mais que pour rajouter du charme au prénom on n'a pas rajouté un h. Vous avez tout faux ! On pourrait croire aussi que c'est ma mère -peu importe qui elle sois- à choisir mon prénom ? Vous avez encore toute fausse ! C'est l'infirmière qui avait un faible pour le chocolat Leonidas -oui celui qui vient de Belgique- qui s'est dit que ce serait pas mal. Et sa collègue s'est dit qu'un H serait pas mal ! Vous comprenez maintenant . Quelques heures après ma naissance j'avais déjà reçu deux injustices de la vie. Deux grosses vaches immondes -en fait ça se trouve c'était des infirmières trop sexy! - et complètement débiles qui ont choisi mon prénom parce qu'elles aimaient du chocolat. Quelquefois je perds fois en l'humanité ... et puis je me rappelle que j'existe et ça me rassure. Après je me dis que je ne suis tellement pas con comme la plupart des gens que je ne suis surement pas un humain. Mais revenant à l'année de mes quatre ans. J'ai quitté la belle ville de New York pour atterrir à Miami -même si j'y suis pas resté longtemps. j'ai été adopté par la famille Mills : une belle petite famille de riches. Je l'avouerai jamais mais j'étais bien là-bas ! J'ai enfin eu un vrai nom de famille "Mills" ... en fait j'ai eu une famille tout court. J'ai hérité, d'un père et d'une mère mais surtout d'une soeur -okay une grande soeur mais elle est tellement petite et puis on n'a qu'un an d'écart. Hannah a été la première personne à laquel je me suis attaché. Elle a rapidement été tout mon monde : mon soleil, ma lune, mon coeur, bref ma soeur ! Malheureusement, elle n'a pas su écarter les ténèbres qui m'envelopper! -je parle comme un poète ... je me choque !- À croire que la plupart des orphelins deviennent comme ça -sauf Superman évidemment ... mais il n'existe pas ce gars à collant ! - : violent, incontrôlable, refusant l'autorité. J'ai rapidement été remis dans le système à l'âge de quatorze ans. À ce moment-là, je n'avais plus rien à perdre : mes soi-disant "parents" venaient de lâchement m'abandonner et ma sœur n'était plus à mes côtés.


Une fois retourné en foyer, je suis devenu encore plus turbulent que jamais. Dans un foyer ce n'est pas la joie. On peut penser à une bande de potes qui sont en colocation. Tu parles d'une colocation. Des goss sans parents du tout ou qui ne sont pas assez responsables pour s'occuper d'eux, qui pensent être de gros dur ou des tapettes qui passent leur temps à pleurnicher. Une fois en foyer, j'ai dû m'endurcir plus que jamais. En même temps ça n'a pas été si dur que ça. J'avais déjà en moi cet esprit soi-disant rebelle. Les gens pensent que j'étais un pauvre gamin en pleine crise, je devais leur donner tort. Alors j'ai joué mon rôle à fond. Je ne respectais aucune règle à par les miennes -et comme j'en avais pas c'était plutôt sympa ! Je me suis lancé dans des trafics plus au moins dangereux. J'ai l'air posé au premier abord, je ne parle pas beaucoup -surtout parce que personne n'est assez cultivé pour tenir une conversion assez intéressante avec moi- et je frappais dès que quelqu'un veut croire qu'il était au-dessus de moi. Je me suis rapidement fait une sale réputation -selon les termes des assistantes sociales. À l'école, j'étais doué sans le vouloir mais je me battais bien trop souvent pour rester dans la même école plus de trois mois. J'étais un aimant à problème et j'adorais ça. Le pire -ou le mieux tout dépend du point de vue- c'était que j'arrivais toujours à m'en sortir, ce qui énervait les policiers et les juges. Ils ne pouvaient pas faire grand-chose contre moi : j'étais déjà dans une tornade de "punition", sans parents, sans famille, sans rien. C'est à cet époque que j'ai découvert le sport : j'ai pris une masse musculaire hors norme pour mon age et depuis je l'entretiens. On pourrait croire que j'arrive à me canaliser comme ça, mais ça ne fait que renforcé la rage qui règne en moi.

Un moment sur ma route j'ai rencontré l'amour
J'lui ai dit tient tu tombes bien, j'veux t'parler d'puis toujours
Dans l'absolu t'es une bonne idée mais dans les faits c'est un peu nul
Tu pars en couilles une fois sur deux, faudrait qu'tu r'travailles ta formule
L'amour m'a dit, écoute petit ça fait des siècles que j'fais mon taff
Alors tu m'parles sur un autre ton si tu veux pas t'manger des baffes
Moi j'veux bien être gentil mais faut qu'chacun y mette du sien
Les humains n'font aucun effort et moi j'suis pas un magicien
On s'est embrouillé un p'tit moment et c'est là qu'j'me suis rendu compte
Que l'amour était sympa mais que quand même il s'la raconte
Puis il m'a dit qu'il d'vait partir, il avait des rendez-vous par centaine
Que ce soir il d'vait diner chez sa d'mi soeur : la haine
Avant d'partir j'ai pas compris, il m'a conseillé d'y croire toujours
Puis s'est éloigné sans s'retourner, c'était les derniers mots d'amour
J'suis content d'l'avoir connu, ça j'l'ai bien réalisé
Et je sais qu'un d'ces quatre on s'ra amené à s'recroiser

Vanessa Winnona Tate. Belle blonde aux yeux bleus, comme ne pas succomber à son charme . Simple grâce à son caractère de merde ! Une vraie rebelle dans l'âme, ce n'est pas pour rien que je l'ai rencontré dans un foyer. Ce n'est pas pour rien que je l'ai entraîné dans mes conneries. Si elle n'avait pas le gène du crime en elle, je n'aurais pas dû -du moins pas comme je l'ai fait. En même temps, quand on regarde sa famille, on comprend tout de suite le comment du pourquoi ! La première fois que je l'ai vu, je me suis dit que c'était une sacrée nana dans le sens ou elle était vraiment bonne mais qu'elle paraissait un peu paumée -comme la plupart des Goss dans un foyer ! Et puis Dieu seul sait comment, on s'est lié. On a eu une relation réellement fusionnelle jusqu'à qu'on soit complément en couple. Ça a commencé par des regards, puis des sourires et puis sa fragilité à embarquer mon coeur. Du coup, je l'ai entraîné dans mes conneries. Elle était Bonnie, j'étais Clyde -enfin pas vraiment parce que pour se laisser piéger dans une fusillade c'est plutôt con ! On avait notre petit quotidien, notre petit train de vie entre foyers, activité illicite, traîner avec les partenaires de crimes et nos moments entre nous. C'était la première fois où j'étais vraiment bien avec quelqu'un. Malheureusement, le système s'en est mêlé comme d'habitude. Les personnes s'occupant du foyer ont découvert qui on était moi et Nessa -non pas la réincarnation de Bonnie and Clyde ! Dans les foyers, nous n'avions pas le droit d'entretenir des relations plus qu'amical avec les autres. Alors Nessa s'est fait en quelque sorte virer -placé ailleurs en fait- et moi ... bah moi je suis resté. J'aurais pu m'enfuir et partir la retrouver mais je ne l'ai pas fait. Peut-être c'était ma plus grande erreur ... peut-être pas. Du coup, j'ai continué dans mes actives sans ma Bonnie et j'ai avancé -enfin c'est un bien grand mot- dans ma vie.


Le problème quand tu te lances dans la carrière du crime c'est que ce n'est pas sûr que tu sois des amis. En réalité, tu n'en as pas. À tout moment les gens peuvent te trahir et je les rapidement appris ! Ça devait être un coup simple mais qui rapporteraient gros. Braquer un fourgon qui transportait de l'argent dans une banque. On connaissait l’itinéraire par coeur, on savait en combien de temps la police allait débarquer, on avait trouvé le lieu idéal pour attaquer ! Tout ce qu'on n'avait pas prévu -ce que je n'avais pas prévu- c'était la trahison ! Je venais tout juste d'être émancipé et j'avais envie de partir loin de New York. Pour ça, j'avais besoin d'argent, assez d'argent pour refaire ma vie ailleurs. Alors j'avais formé une bande rapidement pour le coup le plus simple au monde. Il n'y avait pas beaucoup de danger. Enfin c'est ce que je me disais jusqu'au jour-je quand on a pointé une arme sur ma tempe. Je vous avoue que je ne suis jamais passé aussi prés de la mort -un passage à tabac c'est rien comparé à ça. Au moment où j'ai compris ce qui se passait, il était presque déjà trop tard mais pas assez tard pour que je puisse réagir. J'ai bien cru que j'allais y passer, il y avait 99% de chance pour que j'y passe. Mais j'ai tenté le coup et je ne suis pas mort. Oh quelqu'un est bien mort ce jour-là mais ce n'était pas moins. J'ai donné un coup assez fort dans l'arme pour qu'elle tombe au sol, puis j'ai attrapé la mienne et j'ai tiré. Et avant que les autres ne s'en rendre compte, j'avais déjà disparu avec mon sac à moitié rempli. En moins de deux heures, j'avais quitté la vie : je me trouvais dans un avion direction Miami, ma seconde ville après New York.

C'était sur une grande route, j'marchais là d'puis des jours
Voir des semaines ou des mois, j'marchais là d'puis toujours
Une route pleine de virages, de trajectoires qui dévient
Un ch'min un peu bizarre, un peu tordu comme la vie

crackle bones