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 ∞ this can't be real. - anderson&campbell

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Alexie R. Wilson
Alexie R. Wilson
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(#)Sujet: ∞ this can't be real. - anderson&campbell  |   Mar 7 Juil - 21:33


∞ this can't be real.


a l e x i e . a n d e r s o n. f t . m a d i s o n . c a m p b e l l .


L’expression : avoir son univers qui s’écroule n’avait jamais eu autant de signification pour moi qu’à l’instant précis où j’avais reçu cet appel de ma sœur en larmes, c’était à propos de ma mère. Je me souviens encore que mon cœur s’était affolé à une vitesse déconcertante lorsqu’elle m’avait appris que notre maman s’était évanouie au boulot et que les médecins ignoraient encore ce qu’elle pouvait avoir. Ironiquement parlant, ma mère était infirmière donc elle n’avait jamais quitté l’hôpital depuis son entré au boulot, il y a trois jours. Je m’étais empressée de tout laisser à Londres pour venir aider ma sœur, pour venir montrer à ma mère que j’étais présente pour elle. Je ne réalisais pas encore ce qui se passait, mais je venais de tout laisser derrière, je n’avais plus rien. Plus d’école, plus de travail mais ça… je n’y pensais pas. Mon plus grand souci était la santé de ma mère, rien d’autre.

La veille, je n’avais pas pu lui rendre visite car les heures de visite étaient terminées et même si j’étais sa fille, elle était sous observation mais on m’avait informé qu’il serait peut-être possible de la voir le lendemain, tout dépendant de son état. Je m’étais levée tôt le lendemain…. Levée étant un grand mot puisque j’avais à peine dormi. Je m’étais rendu seule jusqu’à l’hôpital, beaucoup plus à l’avance que l’heure qu’on m’avait suggérer de passer. Je m’en moquais… je voulais juste voir ma mère. La voir de mes propres yeux et ne pas essayer de comprendre à travers les paroles de d’autre comment elle allait. J’avais besoin d’avoir ce contact avec elle, de la retrouver sous mes yeux, près de moi.

Je marchai rapidement jusqu’à la réception et demanda le nom de ma mère. On m’informa alors d’attendre à la salle, qu’ils avaient besoin de l’avis d’un médecin mais je n’avais pas envie d’attendre car je savais très bien qu’on me laisserait pas la voir. J’étais épuisée… j’avais juste envie de pleurer et le décalage horaire n’aidait en rien. Je laissai donc la réceptionniste faire ses appels et je poussai un soupire en restant debout, tout en regardant les numéros de chambres autour. C’est à ce moment que je vis Madison s’approcher de moi. Elle semblait surprise de me voir et moi, j’étais tellement soulagée d’avoir un visage familier devant moi que je m’élançai pour aller la serrer dans mes bras. J’ignorais si elle était au courant pour ma mère ou bien si c’était un pur hasard de la croiser ici. Je savais bien qu’elle était interne… mais bon. J’avais accoté mon menton contre son épaule en la serrant fort contre moi. « T’es… au courant pour ma mère? » Je me reculai pour la regarder, essuyant mes yeux du revers de ma main. Elle semblait savoir de quoi je parlais. Je ne la laissai pas ajouter quelque chose que je la regardai droit dans les yeux,  le regard suppliant. « Dis-moi qu’elle va bien Madi… dis-moi qu’elle est ok… » Elle savait très bien que je ne parlais plus à mon père, ma mère était tout ce qui me restait.


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(#)Sujet: Re: ∞ this can't be real. - anderson&campbell  |   Mer 15 Juil - 16:46


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h a y d e n . f i t z d u n c a n . f t . m a d i s o n . c a m p b e l l .


J’étais dans le service pédiatrie aujourd’hui et comme souvent, je m’occupais moi-même de l’opération. En effet, il nous manque plusieurs titulaires et mon savoir-faire a été reconnu par le chef de la chirurgie. Heureusement que Hayden a longtemps fait mes louanges. Il n’y a qu’une seule Madison Campbell en chirurgie et ça, dans cet hôpital, tout le monde le sait. Les autres résidants sont même jaloux puisque je suis ce qu’ils appellent un « vautour » mais je l’assume. Je veux être la meilleure, je suis la meilleure et je resterai la meilleure. J’aspire toujours à me surpasser et il est inconcevable pour moi que je ne le fasse pas. « Docteur Campbell, on voit vous souvent avec le docteur Armstrong ces temps-ci… » Dit naturellement le docteur Ramirez. Un léger sourire se dessina alors sur mon visage. Je ne paraissais pas froide en sa compagnie pour la simple et bonne raison que le docteur Ramirez est une femme que j’apprécie et que je connais depuis très longtemps. Je n’irai pas jusqu’à dire que nous nous confions mutuellement nos vies mais disons que lorsque l’on peut, on le fait. C’est important de pouvoir avoir quelqu’un avec qui partager sa vie lorsque l’on passe autant de temps dans cet hôpital. Néanmoins, je voulais rester crédibles auprès des autres et je fis donc disparaître ce petit sourire. « C’est vrai. Il est de bonne compagnie. »  Dis-je simplement en refermant le ventre de cette jolie dame enceinte. « Il est tellement sexy, je vous envie d’avoir une relation intime avec ce bel âtre. » Continua la jeune femme. Légèrement surprise par ses propos, mon visage se leva en sa direction. Elle était face à moi et je ne comprenais pas d’où elle sortait ça. «  Je vous demande pardon ? »  Lui demandais-je intriguée en ne la lâchant pas du regard, stoppant légèrement les points de sutures que j’étais en train de faire.  «  C’est le mexicain qui m’a dit ça. Il m’a même montré les caméras de surveillance présente dans l’ascenseur. »  Je ne répondis rien et je me remis à suturer le patient. William et moi avions oubliés la présence de ses camaras. Mince ! Je ris alors intérieurement en restant sérieuse à l’extérieur. « Terminée pour moi, je vous laisse finir. »  Dis-je simplement avant de sortir du bloc et de jeter mes gants à la poubelle afin de me laver les mains.
Une fois sortis, je marchais dans le couloir en direction de l’accueil pour récupérer mes autres dossiers en bipant mon équipe d’interne. Oui, lorsque l’on est résident, nous avons la charge d’internes. Choses fabuleuse, j’aime donner des ordres.
Cependant, lorsque je fus devant l’accueil, je reconnu cette ravissante rousse… C’est ma cousine, Alexie. Celle-ci m’aperçue et me pris dans ses bras aussitôt. Elle n’avait pas l’air bien et je pense savoir pourquoi. Mes bras l’entourèrent pour la consoler. Elle me fessait beaucoup de peine. « T’es… au courant pour ma mère? » Demanda la jolie rousse. Je n’eus pas le temps de répondre que cette dernière repris la parole aussitôt. « Dis-moi qu’elle va bien Madi… dis-moi qu’elle est ok…» Son regard persistant ne me déstabilisait pas mais ne me laissait pas tellement de choix. Mentir à ma cousine ? Je ne peux pas. Je l’aime bien trop pour ça. Malgré ce que l’on peut penser, Alexie est comme une sœur pour moi. C’est ma cousine, mon sang, ma famille et je ferai tout pour elle je suppose. « Je voulais venir t’apprendre tout ça à Londres mais visiblement, quelqu’un t’a déjà mis au courant malgré mes instructions. Je sais ce que tu vas dire et tu as tout à fait raison. Je n’avais pas à te tenir à l’écart de tout ça et je n’en ai pas le droit mais je t’aime. Et comme je t’aime, je veux te protéger. Je ne veux pas que tu souffres et j’ai pris la décision qui me paraissait juste. Je suis paradoxale, je le sais aussi mais c’est délicat d’être docteur et de t’aimer aussi fort, tu comprends ? »  Lui dis-je simplement en la regardant. Je ne tournais jamais autour du pot avec ma cousine, je l’aime, nous sommes proches et j’emploie les mots qui me viennes : « Disons que tu ne retourneras pas à Londres avant un bon moment. Ta mère aura besoin de toi… Elle a déjà besoin de toi… » Lui dis-je simplement. Normalement, je devrais la ménager mais je ne peux pas faire de faux semblant et jouer avec les mots. C’est la famille d’un patient certes mais c’est aussi ma famille. C’est une Campbell, même si elle n’en porte pas le nom. « Elle a besoin de toi parce qu’on ne sait pas ce qu’elle est et ce n’est pas une bonne chose. Ça peut vouloir dire un milliard de chose. Elle peut ne rien avoir de grave, juste un mauvais virus mais elle peut aussi avoir une maladie orpheline, elle peut aussi être en train de mourir… Il y a tant de possibilité et aucune réponse pour le moment. Elle doit rester sous observation… Mais tout le monde est là pour elle, tout le monde vient la voir. C’est plus qu’une infirmière dans cet hôpital, c’est notre maman-gâteaux à tous. » Lui dis-je en la reprenant dans mes bras par la suite. Sa mère ne cesse de nous cuisiner des gâteaux et on l’aime pour ça. On l’aime aussi parce qu’elle est formidable et nous sommes tous très peiner par ce qui lui arrive. Et puis, c’est ma tante, n’oublions pas que même sans ses gâteaux, je l’aime.  

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(#)Sujet: Re: ∞ this can't be real. - anderson&campbell  |   Lun 20 Juil - 4:39


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Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre en arrivant à l’hôpital. J’avais beaucoup de mal dernièrement et j’avais l’impression que tout partait de travers. En fait, ce n’était pas juste une impression que c’était ce qui se passait. Je ravalais mes larmes de la conversation que je venais d’avoir avec Nate au téléphone, sur le trottoir. Je lui avais demandé si Nightmare disait vrai concernant sa relation avec India et il m’avait dit clairement dit qu’il ne voulait plus me parler, qu’il avait fait le choix de me sortir de sa vie. J’avais raccroché juste après lui avoir dit que je n’étais plus à Londres. Je l’avais bien entendu continué à me parler, mais je ne voulais plus non plus lui parler tellement tout ça m’avait ébranlé. J’aurais bien dû m’en douter que tout se terminerait ainsi.

Le soulagement que j’eus en voyant me cousine apparaître devant moi. Je m’étais empressée de la serrer dans mes bras. Cette accolade me fit un grand bien. Je la questionnai à propos de ma mère car je voulais savoir si elle était au courant et si cette dernière allait bien. Ma cousine commença par me dire qu’elle aurait eu envie de venir à Londres tout me dire mais que la nouvelle s’était rependue plus rapidement. En même temps, ma sœur se retrouvait un peu seule donc c’était normal qu’elle m’ait passé un coup de fil. Madison n’avait pas voulu que je sois au courant dès maintenant. Je pouvais comprendre son point de vue mais je lui répliquai quand même : « Ma sœur a paniqué… elle ne savait pas quoi faire. » Et puisque j’avais toujours été là pour elle quand ma mère était trop occupée à travailler pour ramener de la nourriture à la maison et nous offrir un semblant de vie normale… c’était parfaitement normal.

« Je ne retournai plus à Londres tout simplement. » Pour la simple et bonne raison que j’avais tout abandonné là-bas pour revenir ici dans le but de m’occuper de ma maman souffrante. Je regardai ma cousine dans l’espoir d’en savoir plus à propos de ma mère. Ma sœur avait tenté de me donner des nouvelles mais bon, elle était tellement perdue qu’elle manquait des bouts et qu’elle n’avait pas compris non plus le charabia médical. Madison ne pouvait pas m’en dire énormément plus que j’en savais déjà. En fait, personne dans l’hôpital était foutu de savoir ce que ma mère pouvait bien avoir. C’était inquiétant et la fait que ma cousine m’affirma que ma mère était apprécié m’arracha un semblant de faible sourire car en dépit du fait qu’elle n’avait pas un super salaire, ma mère adorait son travail et c’était inspirant, c’était beau à voir. Ma mère était une grande femme d’avoir été aussi forte après son divorce de mon père qui nous avait tous abandonné. Elle était un grand exemple pour moi. « Merci de ta franchise Madison. » lui dis-je alors car ce n’était clairement pas les autres membres du personnel qui m’aurait clairement dit tout ce qu’elle venait de m’annoncer. On voulait toujours en dire le moins possible habituellement et ça, c’était chiant. « Je sais que je suis avant les heures de visite… mais est-ce que tu crois que je peux aller le voir? J’ai réellement besoin de la voir de mes propres yeux... Est-ce qu’elle est consciente au moins? »



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(#)Sujet: Re: ∞ this can't be real. - anderson&campbell  |   Mer 5 Aoû - 21:27
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