(#)Sujet: I will always love you my darling. | Sam 8 Aoû - 14:50
Hayden D. Fitzduncan et Geane K. McCallister I will always love you my darling.
Le 4 juillet deux mille douze à 10h41, à New-York dans la demeure McCallister.
J’avais fini le lycée depuis cinq ans maintenant, aujourd’hui j’étais à New-York, à l’école de médecine, l’une des meilleures des États-Unis, et je m’en sortais pas mal. J’avais même rencontré une jeune femme, lors d’une fête en début juin, d’une chevelure brune, et d’un regard que je ne pouvais plus quitter aujourd’hui. J’étais enfin en vacances d’une semaine afin de réviser mes examens, c’était le dernier examen que je devais passer, qui dictera mon avenir si je serais chirurgien ou pas. J’avais quitté la maison familiale de la Nouvelle-Orléans, et je dois dire que je me portais mieux sans les vieux, surtout je ne vivais plus la pression de mon père, même si ce dernier insistait encore, j’en avais rien à faire, j’ignorais pratiquement ses messages. J’étais très patient avec Geane, mais on passait du bon temps ensemble, elle voulait prendre son temps, de me découvrir, et je pouvais le comprendre. Depuis le jour où on sortait ensemble on ne se quittait plus, on sortait beaucoup aux soirées mondaines, même si je détestais ça, Geane adorait, ça lui faisait changer les idées de discuter avec autant de monde. Et hier soir, nous sommes rentrés avant ses parents, car on voulait profiter d’être un peu seuls, puisque les parents de Geane m’adorait, et me lâchait plus d’une semelle depuis qu’ils m’avaient rencontré. Pour eux, j’étais le gendre parfait, j’avais un avenir assuré, j’allais devenir médecin, et j’étais fortuné, mais excepté, ils ne connaissait pas encore ma situation familiale, seule Geane savait. La nuit dernière, on avait bu pas mal de champagne sur le chemin pour rentrer, il faisait frais, surtout nous étions en tenue blanc, vu le temps d’été, la nuit tombait pile poil, et apportait de la fraîcheur après cette journée transpirante. Cette nuit fut spéciale pour nous deux, puisqu’on venait de coucher ensemble pour la première fois, et tout s’était bien passé, en douceur, bon c’est sûr que la première fois, on ne peut pas prendre autant son pied. Le matin était déjà là lorsque j’ouvris mes yeux, Geane était allongée sur moi, toute nue, nos jambes entremêlés, comme si on allait jamais se quitter. Je poussais doucement le draps jusqu’au haut des fesses de Geane. Puis j’effleurais les bouts de mes doigts de sa hanche à ses côtes en remontant vers le bras pour la réveiller, j’entendis un grognement, et un mouvement qui fait qu’elle s’étale encore plus sur moi. Puis j’écartais ses cheveux pour les mettre de l’autre côté de son cou, afin que je puisse admirer son visage, elle semblait parfaitement heureuse. « Geeeeeane. » Dis-je en chuchotant presque d’une voix rauque, avant de recommencer à effleurer sa peau, je sentis sa main se plaquer contre mon torse comme pour me donner une tape. Je sorti sans voix, un petit aouch, mais il fallait qu’elle se réveille sinon la maman McCallister allait venir nous réveiller et il était hors de question qu’elle nous retrouve comme ça. « Bébé, il est onze heures là, debout, ou je te chatouille encore ! » Dis-je d’une voix plus haute et rauque. Puis je senti sa jambe se frotter contre mon entre-jambe, elle me cherchait déjà, j’attrapais sa jambe afin de la tirer plus haut afin d'arrêter, elle était réveillée depuis le début. « T’es d’humeur ce matin toi dis-moi un peu ? » Demandais-je en reculant un peu ma tête, je voyais qu’elle souriait d’un coin.
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(#)Sujet: Re: I will always love you my darling. | Sam 8 Aoû - 22:22
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~ Hayden & Geane
10 juin 2012 ; 21h24 - New- York Je traversai une période difficile depuis plusieurs mois maintenant. Mon frère avait quitté la maison sans se retourner et sans prendre la peine de nous prévenir non plus. Il avait quitté notre nid douillé et il n’était pas revenu. Il était mon pilier, mon point de repère bien que ce ne soit pas réciproque. Il me repoussait, il ne m’aimait pas. Je lui faisais honte. J’étais un garçon manqué et j’étais en surpoids, peut-être était-ce pour cela qu’il me reniait à ce point. Je ne sais pas, mais depuis sa disparition, j’ai perdu du poids, j’ai arrêté de manger. Je suis tombée dans une dépression assez sévère. Personne ne pouvait m’adresser la parole sans se faire agresser, personne ne pouvait poser la main sur moi. Je voulais rester seule, et je préférais mille fois m’enfermer dans ma chambre et réviser que de voir du monde. Il ne me restait que quelques semaines avant mon examen final et je comptai bien le réussir. Seulement ce soir, je devais me rendre à une soirée. Voilà plusieurs journées que ma mère me baratinait pour que je la suive elle et mon père à cette foutue soirée de bourge. Je ne comprenais absolument pas pourquoi elle insistait autant pour s’y rendre puisqu’après touss, nous étions loin de ressembler à ce genre de personne mais ça avait le don de rendre ma mère plutôt excitée et cela faisait bien longtemps que je ne l’avais pas vu sourire ainsi, et je n’avais finalement pas pu lui refuser cela. Alors que je rentrais de cours, ma mère se précipita vers moi et me tira avec elle jusqu’à ma chambre pour me montrer la tenue qu’elle m’avait choisit pour la soirée. Une magnifique robe bleue marine avec une paire d’escarpin. Elle me demanda tout de même d’éviter de la salir et de l’abîmer puisque cette dernière appartenait à notre chère voisine. J’avais acquiescé en soupirant et j’étais partis me laver avant d’aller enfiler cette robe. Elle était plutôt jolie bien que ce genre de vêtement ne me plaise pas particulièrement, et concernant les talons disons que j’avais plutôt l’impression d’être monté sur des échasses. Ma mère arriva à cet instant et se mit à rire en me voyant marché comme un robot avec ses escarpins. Ca va pas être possible.. Confiai-je en soupirant et redescendant de mon escabot. Cette dernière passa derrière moi et libéra mes cheveux avant de me faire asseoir sur mon lit afin de me maquiller un peu. Du mascara, un peu de rouge à lèvre discret et un léger coup de blush et nous y étions. A vrai dire je m’impressionnais moi-même mais je me voyais vraiment mal m’habiller comme ceci tous les jours. Arrivé l’heure nous avions rejoins une maison immense afin d’aller fêter je ne sais quoi. A vrai dire je ne m’étais pas spécialement attardé sur le sujet, je ne faisais que suivre mes parents. Ou du moins, mon père et moi suivions ma mère. Je ne connaissais personne et je ne voulais connaitre personne. J’avais pris place là où était indiqué mon nom et je m’étais mise à scruter l’horizon. C’est fou ce que ces bourgeois pouvait paraître superficiel. Ils me donnaient envie de vomir sans compter leur façon de parler. Ce qu’ils pouvaient paraître hautin. C’est au bout de plusieurs minutes que je le vis. Ce bel homme aux yeux bleus et au sourire d’ange. Il était parfait, trop parfait.. Ou tout du moins pour moi. Nous ne faisions pas partis du même monde, je n’étais rien à côté de lui, seulement une petite fille totalement paumée. Il fallait que j’arrête de le regarder, oh mon dieu, il fallait que je parte d’ici. Je m’étais donc levée rapidement pour finalement m’étaler plusieurs mètres plus loin.. Oh non.. Oh non.. Dîtes moi qu’il ne m’a pas vu, ou bien que je suis morte.. M’étais-je dis sans relever la tête. Puis plusieurs secondes, j’entendis une voix tellement sensuel que je su que c’était lui. Le cauchemar.. J’étais morte de honte oui ! Ca va ? Tu ne t’es pas fais mal ? Demanda-t-il. Je sentis le rouge me monter aux joues avant de finalement me redresser, honteuse. Ca va.. Je viens seulement de me ridiculiser devant l’ensemble des invités mais ça va. J’avais finalement finis par le regarder dans les yeux, et c’est fou comme j’avais envie de m’y plonger. Il était tellement craquant et je ne me doutais pas une seule seconde qu’il serait encore avec moi aujourd’hui. 04 juillet 2012 ; 10h41 – New-York Je l’avais fais.. Nous l’avions fait. Après cette soirée plus ou moins ennuyeuse nous avions finit par retourner chez moi accompagné d’une bouteille de champagne, nous étions tout deux bien trop saoule pour pouvoir conduire et c’est pourquoi nous avions décidé de rentrer à pied. L’alcool m’avait rendue toute chose et je dois bien avouer que ça m’avait bien aidé à passer le cap. Pour la première fois de ma vie, j’avais fais l’amour et pour le peu que je m’en rappelle j’avais plutôt bien apprécié. Je lui était plutôt reconnaissante d’avoir patienté, j’avais déjà eu beaucoup de mal à lui accorder ma confiance suite aux récents évènements qui venait de se passer mais je dirais que maintenant, je ne pouvais plus me passer de lui. Et je crois que je l’aimais, oui je l’aimais. J’étais réveillé depuis un petit quart d’heure déjà mais j’étais resté collé contre lui parce que je me sentais bien. Je le regardais dormir jusqu’à ce qu’il ne se mette à bouger. J’avais alors refermé les yeux afin de faire semblant de dormir et de profiter encore un maximum de lui. Je sentis alors le drap descendre jusqu’à mes fesses et les mains du jeune homme caresser les courbes de mon corps. Je fis un léger grognement et je m’étais allongée encore plus contre lui afin qu’il ne puisse plus du tout bouger. Ca me faisait doucement rire, il était tellement mignon. Je sentis ensuite sa main passer dans mes cheveux pour les arranger, j’aurai vraiment aimé que le temps s’arrête à cet instant. Geeeeeane. Chuchota-t-il en me caressant encore. Je posai ma main sur son torse comme pour lui dire de se taire et de profiter du moment, tandis qu’un petit sourire demeurait sur mon visage. Bébé, il est onze heures là, debout, ou je te chatouille encore ! Avait-il reprit, en me menaçant. Il était hors de question qu’il m’afflige ce genre de punition, je détestais ça. Je préférais plutôt jouer à autre chose. Mon genou remonta contre son intimité comme si de rien était avant que ce dernier ne m’attrape la jambe pour me stopper dans mon mouvement. T’es d’humeur ce matin toi dis-moi un peu ? J’émis un léger rire et remonta mon visage vers le sien pour lui voler un baiser. T’es mignon quand tu dors tu sais ? Lançai-je afin de lui montrer que je m’étais réveillée avant lui. Et j’adore quand tu me réveilles comme ça.. Soufflai-je en caressant sa joue.
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(#)Sujet: Re: I will always love you my darling. | Dim 9 Aoû - 0:51
Hayden D. Fitzduncan et Geane K. McCallister I will always love you my darling.
Le dix juin deux mille douze à 10h24, appartement de Fitz et durant la soirée mondaine.
J'étais dans mon appartement, ou bien l'appartement de mon père qui avait payé autrefois, mais j'étais seul ici depuis plusieurs années déjà. Même si j'étais parti de la maison depuis mes seize-ans, je me démerdais, et je n'avais aucune envie de revoir mes parents, j'étais juste une roue de secours, et une protection pour mon père. Je dois dire que cet appartement quand même, était bien luxueux, je ne manquais de rien. Sur les tables, on pouvait y trouver des classeurs où je passais des heures à réviser l'anatomie humain, et tel d'autres trucs de médecines. J'étais parti me brosser les dents, lorsque le téléphone sonnait, toujours la brosse à dents dans la bouche, c'était mon ami, qui lui était souvent invité aux soirées, il savait que j'étais duc, et il insistait pour que je vienne. « Fraté ! Vient au gala dans la 15eme ! Il y a un neuro ! » Dit-il d'une voix excité. Je n'avais pas envie, je devais réviser, et j'étais en boxer. « Charles, j'ai pas envie mon vieux. » Répondis-je en soupirant avant de frotter la brosse à dents. « Aller vient, ça peut être une bonne soirée, t'as ma parole, on ira se fumer un bedo après au pire si ça te fait tellement chier ! » Dit-il, je sorti ma brosse à dent, et éclata de rires, puis j'éloignais le téléphone pour cracher dans le lavabo. « Ok, je viens, fait pas chier. » Dis-je en avant de raccrocher, bon, je devrais me préparer. Je devais faire bonne impression, l'un des meilleurs neurochirurgien était présent durant la soirée. J'attrapais mon costume noir, avec des rayures blanches, et de belles chaussures, que je m'enfilais, j'avais pris ma douche à l'instant. Une fois en tenue, j'attrapais ma cravate, puis la noua, un vague souvenir me prenait, je me rappelais où mon père m'apprenait à faire un noeud de cravate à l'âge de quatre ans, et quand je me trompais, il m'engueulait, je soupirais. Voilà, j'étais prêt, je me regardais dans le miroir, j'arrangeais deux-trois mèches avant de fermer la porte à clef. Au bout d'une trentaine de minutes plus tard, j'arrivais à la soirée mondaine, il y avait une tonne de personnes connues. Je guettais autour de moi, afin de trouver mon ami, qui apparemment avait trouvé une nana pour s'occuper, je soupirais en le voyant, c'était un cas désespéré, je me demandais comment il avait pu intégrer en médecine. Mon regard fit le tour de la salle, je cherchais un serveur qui puisse m'apporter à boire, mais j'étais complétement paumé dans ces soirées, quand mon regard croisa une jeune femme. Je lui adressais un sourire, j'étais rassuré que je ne sois pas le seul à être paumé ici, je m'avançais donc vers elle, plus je m'approchais, plus je voyais qu'elle était belle, elle était même plus que ça, radieuse dans sa tenue. Elle se leva d'un bond, comme effrayer de venir à ma rencontre, elle prit les pieds dans sa robe et s'étala devant moi, sur le sol, j'ouvris les gros yeux avant de me baisser rapidement pour lui venir en aide. « Ça va ? Tu ne t'es pas fait mal ? » Demandais-je doucement, je lui tendais la main où elle l'attrapait gêner avant de prendre appuie pour se relever, et d'arranger rapidement la robe. Je souriais, elle était toute rouge, elle n'était pas habituée à ce genre de soirée, on pouvait le voir. Mais elle était tellement mignonne, nos regards se croisèrent de nouveau, où je m'apprêtais à dire quelque chose, mais celle-ci me coupa. « Ça va.. Je viens seulement de me ridiculiser, devant l'ensemble des invités mais ça va. » Dit-elle timidement, je posais ma main délicatement sur son bras, elle était inquiète de ce que les autres allaient penser, mais moi je m'en foutais, ça pouvait arriver à n'importe qui. « Tu veux des détails croustillant ce qui est ridicule ? » Demandais-je à la jeune demoiselle timide, je glissais ma main dans son dos, pour qu'elle puisse admirer tout le monde. Je levais un doigt pour montrer tel personne. « Regarde, Madame Ferguson, elle est alcoolique, et parle comme un trou. Ce n'est pas humiliant pour son mari ? Ensuite, il y a Monsieur Hampt qui trompe sa femme, et elle le sait. Il a même un string hors de la poche de son costume. » Radotais-je, avant de me tourner vers celle-ci, elle sentait bon, mon nez était près de ses cheveux, je vis un petit sourire s'illuminer quand regardait l'ensemble des personnes. « Je m'appelle Hayden au fait. » Dis-je en me présentant.
Le 4 juillet deux mille douze à 10h41, à New-York dans la demeure McCallister.
Je voyais que Geane était d’humeur ce matin, nus sous les draps, et le soleil qui s’étalait sur nos peaux. Elle rigolait lorsque je venais de découvrir que cette petite maligne ne dormait pas, avant de se lever vers moi et de m’embrasser, qui me fait sourire. « T’es mignon quand tu dors tu sais ? » Demandait-elle, j’étais pas rasé, et tout décoiffé, mais j’avais bien dormi cette nuit c’est vrai. J’avais été patient, et j’espérais que Geane n’aurait pas eu de regrets par rapport à ce qu’on avait fait. « Ah bon , petite maligne ? » Dis-je en me penchant pour déposer un baiser sur le nez, ma main glissait sur les courbes de son corps, je la laissais se promener. « Et j’adore quand tu me réveilles comme ça.. » Dit-elle en me caressant la joue, mon autre main se dirigeait vers la nuque de Geane, puis j’inversa nos positions, j’étais dessus Geane, tout nu contre sa peau nu. Je glissais mes mains sur ses jambes avant de continuer à l’intérieur de la cuisse. « Comme ça ? » Demandais-je en souriant, avant de me pencher sur elle et de l’embrasser langoureusement en attrapant ses cuisses, pour qu’elle les resserres à ma taille pendant que je bougeais mon bassin à de manière que je frotte mon entre-jambe contre le sien, qui durcissait rapidement. « Les enfants vous êtes réveillés ?! » Une voix apparaît, c’était la mère de Geane. Elle frappa à la porte, et soudainement, je sentis les mains de Geane se poser sur mon torse, et me pousser de l’autre côté de lit, je me mordis la langue pour éviter de crier, et lui jeta un t-shirt, je me levais comme un babouin, et j’attrapais mes vêtements avant de me cacher derrière le lit. Elle ouvrit la porte, elle constata que Geane était toute seule puisque j’étais caché de l’autre côté du lit. Geane trouva une chaussette et essaya de la faire passer, mais sauf qu’elle le faisait en plein milieu de mon visage, limite le nettoyer. J’attrapais la chaussette brusquement. « Il est où Hayden ? Vous êtes rentrés tôt ! » Dit-elle la mère. Si vous saviez à quel point je vous en veux là maman Geane.
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(#)Sujet: Re: I will always love you my darling. | Dim 9 Aoû - 2:25
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10 juin 2012 ; 21h24 - New- York Je venais littéralement de me casser la gueule devant le mec le plus canon de la soirée. Décidément je n’avais vraiment pas de bol, moi qui voulais m’éclipser discrètement, c’était franchement raté. Tous les regards s’étaient tournés sur moi, notamment ceux de mes parents qui n’avaient pas daigné bouger le petit doigt pour venir m’aider à me relever. Je comprenais, ils avaient honte, comme moi en ce moment. Je pense que si on avait rajouté des petites flèches rouges clignotantes au dessus de ma tête, ça aurait fait le même effet. On ne pouvait pas plus me remarquer qu’à cet instant. Et je ne pu me sentir encore plus mal lorsque j’entendis la voix du jeune homme repérer plus tôt. Pourquoi ? Pourquoi fallait-il que ce soit lui qui me ramasse bordel ? Super rencontre, à noter dans les annal quoi ! Il me demanda ensuite si ça allait et si je m’étais blessé, mais je m’étais contenté de lui répondre que j’étais juste morte de honte.. Cependant ça il aurait certainement pu le deviner tout seul vu la couleur de mon visage à cet instant. Tu veux des détails croustillant ce qui est ridicule ? Me questionna-t-il comme pour me rassurer. J’avais haussé les épaules gênée tout en détournant mon regard. Il se plaça alors à mes côtés et glissa sa main dans mon dos afin que nous nous orientions dans une certaine direction. Regarde, Madame Ferguson, elle est alcoolique, et parle comme un trou. Ce n'est pas humiliant pour son mari ? Ensuite, il y a Monsieur Hampt qui trompe sa femme, et elle le sait. Il a même un string hors de la poche de son costume. Reprit-il avant de se tourner vers moi en affichant son beau sourire. Mon dieu ! Il avait une dentition vraiment parfaite ! Puis il était vraiment gentil, bien différents de ces crétins portant de la haute couture. Je m'appelle Hayden au fait. Lança-t-il en guise de présentation. Je m’appelle Geane, enchantée. Dis-je à mon tour tout en me frottant les mains qui se trouvaient être légèrement égratignées. Tu sais où ce trouve les toilettes ici ? Demandai-je tout en évitant encore son regard. Si je comptai fuir ? Certainement. Ce mec me plaisait clairement, et je savais qu’entre nous il y avait un vide, un trou noir même. Nous n’avions pas les mêmes valeurs.
04 juillet 2012 ; 10h41 – New-York J’étais d’humeur taquine aujourd’hui. Je l’avais regardé dormir quelques minutes avant qu’il ne se réveille. Puis j’avais fais semblant de dormir par la suite afin de profiter de ses bras autour de moi. J’étais tellement bien et ses caresses me rendaient toute chose. Je m’étais légèrement redresser pour lui voler un baiser et lui avouer au combien j’aimais qu’il me réveille ainsi. Ce dernier fit un petit sourire et glissa sa main à ma nuque pour inverser les positions, il se trouvait désormais sur moi et me caressait les jambes du bout des doigts, c’était exquis, d’autant plus lorsqu’il remonta ses caresses à mes cuisses intérieurs. J’avais laissé un frisson m’échapper tandis que ce dernier se penchait sur moi pour m’embrasser passionnément. Il attrapa dans un même temps mes cuisses afin que je les enroule autour de sa taille et que je sente son sexe frotter contre le mien. C’était tellement excitant. Je pense qu’il faut rattraper le temps perdu.. Soufflai-je à son oreille dans un élan de plaisir. Je nous ai vraiment fais perdre du temps pour rien.. Ajoutai-je de la même manière avant que la voix de ma mère ne se fasse entendre du bout du couloir. Les enfants vous êtes réveillés ?! Mes mains se placèrent immédiatement sur le torse d’Hayden et ce dernier arriva au sol rapidement. Il m’envoya l’un de mes hauts tandis que je lui refilais ses fringues. Puis quelques coups se firent entendre avant que ma mère ne rentre. J’eu tout juste le temps d’enfiler mon haut et de me cacher sous la couette. Il est où Hayden ? Vous êtes rentrés tôt ! Me demanda-t-elle en observant les lieux. J’espérais sincèrement n’avoir rien oublié de lui redonné. Oh il est partit à la salle de bain je crois ! Lançai-je en guise de réponse à sa première question. Et oui, on est rentré tôt, j’étais assez fatiguée. Si elle savait à quelle point j'avais été fatigué la veille... Je fis un petit sourire et tourna légèrement la tête afin de me gratter le cou. Et c’est à cet instant que mes yeux s’arrêtèrent sur le boxer d’Hayden pendue à mon abat-jour. Mes yeux s’écarquillèrent, mais comment ça avait pu atterrir ici ?! Je retournai ma tête vers ma mère comme si de rien était jusqu’à ce qu’elle ne reprenne la parole. Euh… Dis moi ma chérie, ce n’est pas le boxer d’Hayden pendu à ta lampe par hasard ? J’avais fais un sourire gêné, il me fallait une excuse, une excuse bordel ! Ouais c’est quand il a voulu se laver tout à l’heure. Il m’a jeté son boxer dessus pour me réveiller ce crétin et comme tu peux le voir, il ne sait pas viser ! Plaisantai-je en laissant un rire nerveux sortir de ma bouche. Je m’en emparai, et le jeta du côté d’Hayden. Bon maman, prépare nous le petit dej, on arrive ! Je fis un beau sourire de petite fille sage, et ma jolie maman quitta la chambre en fermant la porte derrière elle. Je me jetai sur le lit pour atteindre le côté opposé et ainsi parler au jeune homme. Mais ? Tu m’expliques comment c’est arrivé ici ? J’avais ris avant de lui voler un énième baiser et enfin me lever. Je vais prendre une douche.. Je sais pas si ça te dit mais.. La porte est ouverte. Je fis un petit sourire angélique et pénétra dans la salle de bain pour me prendre une petite douche revigorante.
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(#)Sujet: Re: I will always love you my darling. | Dim 9 Aoû - 14:20
Hayden D. Fitzduncan et Geane K. McCallister I will always love you my darling.
Le dix juin deux mille douze à 10h24, appartement de Fitz et durant la soirée mondaine.
J’étais partie à la recousse d’une jeune fille qui s’était étalée devant tout le monde, après tout cette soirée n’allait pas être si mauvaise. J’étais complètement sous son charme, elle était timide, et complètement durant cette soirée, je pouvais comprendre, c’était le même cas que moi. Je n’aimais pas ce genre de soirée, j’avais envie de retirer la cravate qui me serrait le cou, comme si on m’étranglait, et de défaire le premier bouton pour être plus à l’aise, mais c’était une soirée mondaine, je devais être présentable, tout le monde connaissait les Fitzduncan, et que j’étais celui qui était prometteur pour reprendre les responsabilités de mon père. Mais cette fille, elle me faisait oublier tout ça pendant l’espace d’un moment. J’essayais de la rassurer et de la réconforter, qu’elle n’était pas la seule à être ridicule. « Je m’appelle Geane, enchantée. » Dit-elle, elle se frottait les mains, elle devait avoir mal après cette chute, je pris ses mains, elles étaient légèrement rouges. « Tu as mal ? Je peux regarder si tu veux, je suis un futur médecin. » Dis-je en souriant d’un coin, mais légèrement un peu inquiet. Elle évitait mon regard et ma question, comme par peur de m’adresser un mot. « Tu sais où se trouve les toilettes ici ? » Demandait-elle, cherchant autour d’elle, je levais la tête à mon tour pour guetter où il pouvait bien en avoir, je voyais un serveur passer, et j’attrapais une bouteille de champagne discrètement avant de la cacher dans ma veste. « Je t'accompagne mais à une condition, tu reviens après me rejoindre sur le toit ? À ce qu’il paraît, c’est l’une des plus belles vues de New-York, et c’est calme ! » Dis-je en proposant, j’espérais vraiment qu’elle vienne avec moi, car j’aimais pas être à ce genre de soirée. Je me penchais vers celle-ci, qui frottait toujours ces mains. « Et puis, je déteste ce genre de soirée… Tu pourrais me sauver aussi. » Dis-je en souriant avec la bouteille de champagne.
Le 4 juillet deux mille douze à 10h41, à New-York dans la demeure McCallister.
Alors que les choses allaient devenir sérieux, la maman de Geane avait fait son apparition dans la chambre, et j’étais caché de l’autre côté du lit, sur le carrelage gelé, j’avais envi que Geane se dépêche. Celle-ci demanda à Geane où es-ce-que je me trouvais, oui, j’étais caché, tout nu, et je me gelais le cul. « Oh il est parti à la salle de bain je crois ! » Dit-elle, pressée de se débarrasser de sa mère, j’étais en train de faire le signe de dépêcher, et en faisant semblant de parler avant de lever les yeux en l’air. « Et oui, on est rentré tôt, j’étais assez fatiguée. » Dit-elle en regardant sa mère, fatiguée ? C’est ce qu’elle croit, elle était assez en forme hier soir pour dire. J’espérais que sa mère goberait ce qu’elle disait Geane, sinon je me faisais déchiré la peau du cul par le père, et je n’avais aucune envie de l’affronter si ça se savait. Je vis la tête de Geane tourner vers l’abat-jour, où son regard se posait directement sur mon… BOXER, avec des imprimés de sushis. Mes yeux devenaient ronds, comment expliquer ça ? On est dans la merde, on est fini. « Euh… Dis-moi ma chérie, ce n’est pas le boxer d’Hayden pendu à ta lampe par hasard ? » Demandait-elle, je mis ma main sur mes yeux, c’était pas possible, ça n’en finissait jamais, trouve une excuse rapidement ! J’étais prêt à me lever nu… Ou pas. « Ouais, c’est quand il a voulu se laver tout à l’heure. Il m’a jeté son boxer dessus pour me réveiller ce crétin et comme tu peux le voir, il ne sait pas viser ! » Dit-elle d’un ton naturel, que moi-même j’aurais gobé. Elle l’attrapa avant de me le jeter vers moi, je l’attrapais afin de cacher mon intimité, on ne savait jamais si la mère de Geane faisait le tour. « Bon maman, prépare nous le petit-dej, on arrive ! » Dit-elle en faisant un sourire, au bout de quelques secondes, la porte se referme, et je vis la tête de Geane au bord du lit, qui souriait bêtement. « Mais ? Tu m’expliques comment c’est arrivé ici ? » Demandait-elle en riant, puis je me relevais, et m’embrassait une nouvelle fois. « Tu étais tellement excitée hier soir, que tu as attrapé mon boxer et que tu l’as jeté par dessus ton épaule. » Dis-je en rigolant, avant de me relever, et je pouvais apercevoir Geane se lever du lit, où je regardais ses formes, surtout le bas de son t-shirt, je regardais ses fesses dénudées. « Surtout marche doucement. » Dis-je en la regardant toujours assis sur le sol, puis je baissais ma tête pour regarder la bosse qui se formait. « Tu te calme oui ? » Dis-je en chuchotant, et levant d’un doigt pour qu’il m’obéisse, mais au contraire, ça empirait. Je levais la tête dès que j’entendis Geane, qui s’était retournée pour me parler. « Je vais prendre une douche.. Je sais pas si ça te dit mais.. La porte est ouverte. » Dit-elle avant de rentrer dans la salle de bain, je me laissais tomber doucement contre le carrelage, avant de soupirer, et je me relevais d’un bond, en attrapant mes nouvelles affaires, avant de rentrer dans la salle de bain qui était bien enfumée, même le miroir était embuée. Je jetais mon caleçon dans le panier à laver, avant de pénétré dans la douche où Geane était sous le jet en train de se laver les cheveux. « Et toi ça va ? Tu n’as pas trop mal ? » Demandais-je en entourant mes bras autour de sa taille, son dos s’appuyait contre mon torse, tandis que mon sexe durcissait contre ses fesses. Je me penchais un peu afin de déposer des baisés sur le cou d’une manière sensuelle, je glissais ma main vers son entre-jambe afin de masser un peu cette zone sensible.
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(#)Sujet: Re: I will always love you my darling. | Dim 9 Aoû - 17:11
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10 juin 2012 ; 21h24 - New- York Après m’être présentée au jeune homme, je lui avais demandé où se trouvait les toilettes afin de me passer les mains sous l’eau mais également pour pouvoir l’éviter et sortir de sa vue assez longtemps pour me faire oublier. Seulement ce dernière ne me répondit pas et se contenta de piquer une bouteille de champagne au serveur avant de la cacher sous veste. Il n’est pas le moins du monde discret, mais alors pas du tout. Je t'accompagne mais à une condition, tu reviens après me rejoindre sur le toit ? À ce qu’il paraît, c’est l’une des plus belles vues de New-York, et c’est calme ! M’annonça-t-il. Il me faisait clairement du chantage et à l’écouter il avait d’assez bons arguments pour que j’ose le suivre ensuite. Et puis, je déteste ce genre de soirée… Tu pourrais me sauver aussi. Il avait dit cela en souriant de plus bel, ce qui me faisait doucement rire. Il se prenait vraiment pour un héro ? Peu importe. Je lui avais rendue son sourire avant de répondre. Je n’aime pas le chantage. Montre-moi où sont les toilettes, je prendrais ma décision par la suite. Quoi ? Pourquoi j’avais vraiment dis ça ?! Bien sûr que j’avais envie de monter sur ce putain de toit ! Ce mec était carrément romantique, je le boufferai des yeux si je pouvais. Il n’avait cependant fait aucune remarque et m’avait accompagné aux toilettes pour dames avant de me laisser ici. Je le regardai s’éloigner en direction de la sortie de secours afin de prendre l’escalier amenant sur le toit. Mon dieu, mon dieu. Il fallait que je me détende. J’étais donc rentré dans les toilettes et je m’étais lavé les mains avant de me regarder quelques minutes dans le miroir. Mes anglaises tombaient parfaitement dans dos tandis que ma jolie robe affinait les quelques formes encore présentes. Si j’avais su que je ressemblerai à cela ce jour, je serai certainement morte de rire. J’étais sorti des toilettes, désormais j’avais le choix. Rentrer chez moi et m’apitoyer sur mon sort, ou monter ces foutus escaliers pour rejoindre ce qui ressemblait de loin à un ange. C’était vraiment trop beau pour être vrai, comment tout cela avait pu arriver si rapidement ? Je n’eu pas le temps de me poser la question que je me retrouvai déjà sur le toit. Le jeune homme était assit sur le muret, les pieds dans le vide. Je ne voulais pas lui faire peur en faisant encore la fille maladroite. Je m’en voudrais toute ma vie d’avoir tué un pauvre innocent. J’avais donc avancé tranquillement en direction du jeune homme sans pour autant cacher mes bruits de pas, Et lorsque je fus à sa hauteur, je l’attrapai par les épaules au cas où il aurait eu un mouvement de pur défense et qu’il ne s’écrase quelques mètres plus bas. Ce n’est que moi ! Désolé, je voulais pas me montrer si.. Avenante mais disons que je ne voulais pas te retrouver le crâne exploser en bas. Déclarai-je en relâchant. Ce n’était tellement pas dans mes habitudes de me coller aux hommes ou même de leur parler. En général j’étais même plutôt froide et distance, et encore plus depuis que mon frère était partit. Wooh.. Lançai-je en m’asseyant à ses côtés. Le paysage est vraiment superbe ! Il faisait relativement nuit maintenant, la ville était éclairée de petites lumières comme si ces dernières étaient le reflet de cette multitude d’étoiles. Je suppose qu’il fera beau demain.. Ajoutai-je en examinant le ciel étoilé.
04 juillet 2012 ; 10h41 – New-York Ma mère venait de pénétrer dans ma chambre alors qu’Hayden commençait réellement à me donner chaud. J’avais fais en sorte qu’elle ne remarque rien en rendant tous les habits à son propriétaire actuellement caché à côté de mon lit. Tout se passait pour le mien jusqu’à ce que ma mère et moi découvrions le boxer du jeune homme pendant à mon abat-jour. J’avais dû lui sortir une excuse ridicule, bien que venant de moi, cela pouvait paraître tout à fait crédible. J’étais la reine des menteuses. Elle quitta donc ma chambre et je me jetai sur le lit pour rejoindre Hayden qui attendait patiemment allongé par terre, nu. Tu étais tellement excitée hier soir, que tu as attrapé mon boxer et que tu l’as jeté par dessus ton épaule. M’expliqua-t-il. Vraiment ? Demandai-je en riant un peu avant de me rendre à la salle bain. Surtout marche doucement. Lança-t-il afin de pouvoir reluquer mes fesses à sa guise. Fais gaffe tu baves. Lâchais-je en riant avant de me retourner afin de l’inviter à prendre une douche commune. Il pouvait aussi bien accepter que refuser, il faisait ce qu’il voulait. J’avais donc fais couler l’eau puis j’étais rentré sous le jet afin de me détendre un peu. Mh.. J’étais bien, et encore plus lorsque je sentis les bras du jeune homme m’encercler la taille. Et toi ça va ? Tu n’as pas trop mal ? me demanda-t-il tandis que sexe appuyait contre mes fesses et que ses lèvres se promenaient le long de mon cou. C’était tolérable je crois.. A vrai dire, je ne me souviens pas de grand-chose. Je sais juste que je me suis levée cette nuit pour aller chercher un doliprane.. Si tu veux mon avis, on devrait recommencer pour être sûre. J’avais fais un petit sourire en coin avant de sentir sa main caresser mon intimité. J’avais glissé mes mains à ses bras afin de m’accrocher à lui tandis que l’eau ruisselait sur nos corps dénudés. Plus les secondes passaient et plus je sentais son membre gonflé contre moi. Ici.. ? Demandai-je incertaine tandis que ce dernier s’afférait à me faire du bien. Il me murmura un léger oui avant de m’attraper le lobe de l’oreille pour le mordiller un peu. Je ne me sentais pas vraiment à l’aise ici, disons que je n’y connaissais rien dans ce domaine et que je n’avais pas vraiment envie de tout bousiller dû à mon incompétence. Je m’étais alors retournée, chaude comme de la braise afin de le stoppé dans son activité et ainsi lui murmurer ces quelques mots. On ne peut pas Hayden, pas ici. On a pas de préservatif.. Déclarai-je en glissant ma main le long de ses côtes et les faire ainsi atterrir à ses fesses. J’avais continué ce petit manège malgré tout, puisque même s’il était pour moi inconcevable de le faire ici, j’en avais tout de même envie. Je fis passer mes mains à l’avant pour attraper son membre déjà bien dur.
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(#)Sujet: Re: I will always love you my darling. | Dim 9 Aoû - 20:02
Hayden D. Fitzduncan et Geane K. McCallister I will always love you my darling.
Le dix juin deux mille douze à 10h24, appartement de Fitz et durant la soirée mondaine.
J’avais abordé une jeune femme, qui était magnifique, je n’étais pas du genre à aller directement vers les femmes, mais avec elle, je sentais qu’il y avait quelque chose de spécial, et je me devais à tout prix essayer. Je la regardais comme si c’était la seule femme dans la pièce lorsque je lui demandais de me rejoindre sur le toit. « Je n’aime pas le chantage. Montre-moi où sont les toilettes, et je prendrais ma décision par la suite. » Dit-elle avec assurance, ce qui me surpris, je lâchais un petit rire, elle avait du caractère, et ça me plaisait. Je commençais à prendre la marche pour l’accompagner dans les toilettes, avant que celle-ci ne rentre à l’intérieur. « Hé, ce n’est pas du chantage, c’est une condition. Tu as le droit de dire oui ou non, à toi de voir. » Dis-je en m’adossant sur le mur près de la porte, alors que celle-ci me regardait avec des yeux ronds, elle était surprise soit, elle ne savait pas quoi dire, celle-ci rentra en souriant, à ce que j’en déduis, elle ne préférais pas répondre. Je m’étais dirigé vers la porte de secours, afin de monter vers le toit avec la bouteille en main, puis je m’étais assis sur le muret où on pouvait admirer la belle vue de New-York, tout était illuminé, et en plus de cela, le ciel était clair ce soir-là. On voyait que l’été commençait à être présent, et qu’il ferait très chaud. Je balançais mes pieds dans le vide, avec la bouteille entre les jambes, je tentais de retirer le papier, et j’attendais cette dernière, du moins si elle venait, je préférais attendre une bonne dizaine de minutes. Puis je senti des mains se posés sur mes épaules, je levais la tête pour voir, ce n’était que Geane, un sourire s’affichait sur mon visage, j’étais content qu’elle soit venu. « Ce n’est que moi ! Désolée, je voulais pas me montrer si.. Avenante mais disons que je ne voulais pas te retrouver le crâne exploser en bas. » Dit-elle en me relâchant, il était clair qu’elle était timide, ce qui me fit sourire doucement. Elle s’asseyait à côté de moi, et surtout, elle se collait bien, comme par sécurité de ne pas tomber aussi. « Pas de soucis, je suis content que tu sois là. » Dis-je en souriant, puis celle-ci se met à admirer la vue, avant de lâcher un grand ouah, rien que de la regarder, ses yeux s’illuminaient aussi, je ne pouvais pas m’en lasser. « Le paysage est vraiment superbe ! » dit-elle en regarde de la gauche à droite, tandis que moi je la regardais que elle, je souriais comme un idiot effectivement. « Ma vue est encore plus belle. » Dis-je doucement, avant de prendre la bouteille qui était entre mes jambes. Avant d’entendre qu’elle suppose qu’il fera beau demain, je ne sais pas, peut-être, je levais la tête pour admirer le ciel. « Peut-être, qui sait ? » Demandais-je intrigué par le ciel. Puis je déchirais complètement le papier qui enroulait le bouchon, avant de défaire le fil de fer qui entourait complètement le bouchon. « Met ta main là. » Dis-je en attrapant sa main doucement, elle était confiante, et elle attrapait le haut de bouteille, puis j’appuyais sur son pouce pour le bouchon parte. Un grand bruit se fit entendre, mais sauf que lorsqu’elle avait ouverte la bouteille, je n’avais pas bien tenu, le bas de la bouteille rentrait brusquement dans les bijoux de famille, que je me mordais les lèvres tellement que ça faisait mal. « Oh putain…. » Lâchais-je en levant les yeux en l’air, j’avais envie de pleurer, je soufflais à plusieurs reprises.
Le 4 juillet deux mille douze à 10h41, à New-York dans la demeure McCallister.
Après que la maman de Geane soit partie, celle-ci me demandait comment mon boxer était arrivé là, je lui avais donc répondu qu’elle était tellement excitée qu’elle l’a jeté par dessus l’épaule, celle-ci surprise me regardait. « Vraiment ? » Demandait-elle avant de rire, je lui lançais un petit regard noir. « Vraiment. » Dis-je en m’asseyant sur le sol, puisque j’étais caché. Je lui avais demandé de marcher doucement pour que je puisse admirer cette magnifique vu qui se présentait à moi, à moi tout seul. « Fait gaffe tu baves. » Lâchait-elle avant de rigoler et de pénétrer dans la salle de bain. « Y a de quoi en baver ! » Dis-je en rigolant avant de me relever et de la rejoindre après sa proposition. J’avais enroulé mes bras autour de sa taille en déposant mon menton sur son épaule pour lui chuchoter à l’oreille, et savoir si elle n’avait pas mal depuis sa première fois. « C’était tolérable je crois.. À vrai dire, je ne me souviens pas de grand-chose. Je sais juste que je me suis levée cette nuit pour aller chercher un doliprane.. Si tu veux mon avis, on devrait recommencer pour être sûre. » Dit-elle, tandis que je glissais ma main vers son intimité pour caresser d’une manière sensuelle, et circulaire, je lâchais un petit mhmhmh avant de déposer plusieurs baisers sur la clavicule et sur le cou. Le jet envoyait de l’eau tiède, pendant l’été, ça faisait parfois du bien de se raffraîchir. Je me frottais délicatement contre les fesses de Geane et mon sexe durcissait rapidement, j’étais excité rien qu’en voyant Geane nue. « Ici.. ? » Demandait-elle, elle était prude parfois. Je lui murmurais que oui, ici, sinon on aurait plus l’occasion vu que ses parents adoraient passer du temps avec nous. J’attrapais doucement le lobe de son oreille avec mes dents et de le mordiller. puis celle-ci se retourna vers moi, ses mains se glissait sur mon dos. « On ne peut pas Hayden, pas ici. On a pas de préservatifs.. » Dit-elle, le temps que je réponde, sa main s’était déjà glissé sur mon sexe, faisant des mouvements qui m’excitait encore plus. « Si on peut.. J’ai des préservatifs dans ma trousse, mais si tu n’as pas envi, arrête .. c.. ce que tu es en tr.. » Dis-je difficilement, avant de poser ma main sur la sienne qui massait mon sexe. Je pris une grande inspiration, avant de parler. « Ce que tu es en train de faire. » Dis-je en la regardant.
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(#)Sujet: Re: I will always love you my darling. | Mar 11 Aoû - 22:18
I'll always love you darling
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10 juin 2012 ; 21h24 - New- York J’avais finis pas rejoindre le jeune homme sur le toit. Il faisait plutôt bon et la nuit était tombée. Tout était parfait et je dois bien avouer que sa proposition avait été une bonne idée. En approchant de lui, j’avais passé mes mains à ses épaules afin de le tenir près de moi si jamais il décidait de sauter dû à la surprise. Je m’étais ensuite excuser avant de prendre place à ses côtés. Pas de soucis, je suis content que tu sois là. Lança le jeune homme en souriant, j’en avais fais de même avant d’admirer la vue qui était tout bonnement somptueuse. J’avais d’ailleurs fais quelques remarques sur cette dernière, déclarant à quel point j’aimais la vue et ce dernier me répondit que la sienne était encore plus belle. Lorsque je me tournai vers lui pour voir ce dont il parlait, il me regardait tendrement, comme si j’étais la 8e merveille du monde. J’avais alors échappé un petit rire angélique avant de lui répondre. Vraiment ? Un petit sourire s’était dessiné en coin avant de me mettre à parler du temps qu’il ferait le lendemain, il fallait que je change de sujet avant que je ne me mette à rougir. Peut-être, qui sait ? Déclara-il en regardant le ciel quelques secondes. Oui.. On voit les étoiles, ça veut dire qu’il n’y a pas de nuage et que le ciel est dégagé. Donc il fera beau demain. Avais-je expliqué comme très intéressée par le sujet. Et quelques secondes plus tard, ce dernier me demanda de poser ma main sur le haut de la bouteille de champagne afin que nous l’ouvrions ensemble. Ce dernier avait déjà ôté le papier du bouchon et il ne nous restait plus qu’à propulser le bouchon en liège. Le jeune homme appuya légèrement sur ma main et le morceau de liège s’envola dans le ciel tandis que la bouteille tapa tout droit dans ses parties intimes. Oh putain… Lança-t-il en se mordant sévèrement la lèvre. Ca va.. ? Demandai-je en le regardant, impuissante. Il était évident que ça n’allait pas mais je ne savais absolument pas quoi faire pour l’aider. T’as besoin de quelques choses ? Demandai-je en me passant une main dans les cheveux.
04 juillet 2012 ; 10h41 – New-York Y a de quoi baver ! Rigola-t-il tout en me regardant avancer à moitié nue. J’avais joins mon rire au sien avant d’aller me laver, tout en l’invitant. Ce dernier n’avait pas tardé à me rejoindre sous la douche. Il avais glissé ses bras autour de moi et avait posé son menton sur mon épaule afin de me demander comment s’était passée ma nuit. Je lui fis part que je ne m’en rappelai pas vraiment et qu’il serait peut-être préférable de recommencer une nouvelle fois. Il approuva alors ma décision et commença à me caresser afin de me faire du bien. J’avoue que ça marchait plutôt bien, même très bien. Cependant, il était presque hors de question qu’on le fasse ici. Je m’étais donc retournée pour l’embrasser et ensuite attraper son membre tout en lui disant qu’il fallait qu’on bouge. Si on peut.. J’ai des préservatifs dans ma trousse, mais si tu n’as pas envi, arrête .. c.. ce que tu es en tr.. C’était à mon tour de faire quelques vas et viens avec son sexe et apparemment c’était plus que déstabilisant. J’avais tout de même continué puisque je trouvais ça à la fois drôle et excitant. Il posa alors délicatement sa main sur la mienne afin que je cesse ma torture et qu’il puisse enfin parler correctement. Ce que tu es en train de faire. Avait-il conclu en me regardant. J’avais fais un petit sourire en coin avant de me défaire de son emprise pour lui caresser la joue. Bien sûre que j’en ai envie.. C’est juste que.. J’y connais rien tu sais.. Lançai-je plus ou moins timidement en faisant allusion au sexe. Je n’étais encore qu’une débutante après tout.
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(#)Sujet: Re: I will always love you my darling. | Mer 12 Aoû - 3:42
Hayden D. Fitzduncan et Geane K. McCallister I will always love you my darling.
Le dix juin deux mille douze à 10h24, appartement de Fitz et durant la soirée mondaine.
On fixait le ciel, il faisait nuit, et des petites pointes de lumières qui étaient des étoiles parfaitement bien dessinées et nettes, puis mon regard s’était posé sur la jeune femme à côté de moi, qui était venue me rejoindre sur le toit. J’étais un parfait étranger, et elle, elle était une magnifique femme, où je contemplais sa beauté, ses joues légèrement rosées par la fraîcheur de la nuit, et ses mains jointes posées sur ses genoux. J’admirais chacun de ses mouvements, avec une grande observation que je n’aurais pas cru avoir, d’une manière tendre, je lui avais fais savoir que j’avais la meilleure vue qu’on pouvait avoir. À ce moment là, à cet instant là, je me sentais comme l’homme le plus chanceux au monde. J’entendis le plus beau son, son rire. - À ce moment là, j’ai su. - « Vraiment ? » Demandait-elle avec petit sourire timide, je lui souris en retour, où mes fossettes se dessinaient sur mes joues. « Oui. » Dis-je avant de relever ma tête vers au ciel puisqu’on discutait du temps qu’il ferait demain. Je regardais du coin de l’oeil Geane en même temps, à l’écouter. « Oui.. On voit les étoiles, ça veut dire qu’il n’y a pas de nuage et que le ciel est dégagé. Donc, il fera beau demain. » Dit-elle, en concluant, de plus être belle, elle était intelligente ! « C’est vrai… Mais je préfère toujours ma vue. » Insistais-je en souriant bêtement en me retournant vers elle, où je voyais que le rouge lui montait aux joues. Puis, j’avais pris la main de Geane, de poser sa main délicatement, et de pousser mon pouce d’une petite pointe sur le bouchon du champagne, mais j’avais mal calculer mon coup. Mes bijoux de famille avaient amortis le choc, et j’en souffrais. Je pinçais les lèvres sévèrement, voire même la mordre tellement que j’avais mal. « Ça va.. ? » Demandait-elle, elle voyait bien comment je m’étais ridiculisé, je posais la bouteille entre nous deux, et me pliait devant en mettant mes mains sur la zone où je m’étais maladroitement fais mal. « Mh, mh.. » Dis-je, aucun mot sortait, j’arrivais juste à acquiescer, puis elle me demandait si j’avais besoin de quelque chose, je respirais fort à de manière de pouvoir oublier la douleur, de me concentrer sur autre chose que la douleur. « Ça ira, je fais le con parfois. » Dis-je doucement avant de me relever doucement, et de faire basculer une jambe de l’autre côté du muret pour être complètement en face de Geane. Puis j’attrapais de nouveau la bouteille avant de regarder Geane. « Tu veux trinquer à quelque chose de particulier princesse ? » Demandais-je en levant la bouteille, les dames d’abord avant tout. J'avais affreusement mal cependant.
Le 4 juillet deux mille douze à 10h41, à New-York dans la demeure McCallister.
Alors que les choses devenaient sérieuses dans la douche, celle-ci frottait sa main délicatement contre mon sexe, qui me procurait un immense plaisir d’être touché, il durcissait à chaque caresse. Et je voyais que cela lui plaisir de me torturer de la sorte, j’avais posé ma main sur la sienne, en lui suppliant presque d’arrêter ce mouvement, plus loin, et je prenais mon pied. Mais ce qui me rendait furax, c’est qu’elle n’aurait pas eu de plaisir. Sa main remontait vers ma joue pour me caresser tendrement, je penchais légèrement la tête afin de la regard, elle était inquiète. « Bien-sûr que j’en ai envie.. C’est juste que.. J’y connais rien tu sais.. » Dit-elle, d’une voix timide, je posais mes mains sur ses joues humides, l’eau qui ruisselait sur ses épaules épousant ses courbes sur le long de son corps. « Ce n’est pas une question de savoir, ça vient naturellement une fois que tu l’as fais. Fait ce dont tu as envi, ne réfléchis pas, pense au plaisir que tu veux avec la personne que tu aimes. » Dis-je doucement en glissant mes mains sur son corps avant d’attraper sa main et de la poser mon sexe, puis je la faisais reculer contre la vitre de la salle de bain afin qu’elle puisse avoir un truc pour se tenir, je la regardais intriguer, tandis qu’une autre de mes mains glissait sur son intimité, où je caressais doucement. « Fait ce que tu veux, si tu veux que je te prenne ici, on le fait, si tu veux faire autrement, on le fait, mais quoi que tu fasses, tu m’exciteras toujours autant. » Avouais-je.
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(#)Sujet: Re: I will always love you my darling. | Dim 16 Aoû - 18:21
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10 juin 2012 ; 21h24 - New- York Assise aux côtés du jeune homme fraîchement rencontré, nous avions parlé de la pluie et du beau temps avant que dans un jeune geste, je dirais romantique, Hayden me prenne la main afin que nous ouvrions la bouteille de champagne ensemble. Tout se passait plutôt bien jusqu’à ce que le bouchon ne s’envole et que la bouteille ne vienne se loger dans les bijoux de famille du jeune homme. J’avais retenu un rire face à cela puisque de toute évidence, ce n’était absolument pas drôle pour lui. Il devait carrément souffrir là et j’étais plutôt désemparé puisque, je ne pouvais absolument rien faire pour lui. Après quelques secondes à souffler plutôt fortement, ce dernier passa l’une de ses jambes par-dessus le muret pour se retrouver face à moi. J’aurai bien fais la même chose mais disons qu’avec une robe c’était légèrement plus compliqué. J’avais donc passé mes jambes du côté toit et je m’étais tournée assez pour pouvoir être face à lui. Tu veux trinquer à quelque chose de particulier princesse ? Me demanda-t-il en reprenant la bouteille. Hm.. Je ne peux pas paraître contrariante, mais on ne peut pas trinquer, on n’a pas de verre. Dis-je en riant un peu alors que le jeune homme affichait une moue du genre : Et merde.. Il allait se lever quand je lui attrapai le bras pour le faire asseoir. Non laisse, c’est bon. On fera sans, reste. Il fronça alors les sourcils, comme s’il ne comprenait pas. Je lui arrachai la bouteille des mains et la leva un peu vers lui pour porter mon propre toast. A cette soirée qui commençait si mal et qui pour l’instant m’a l’air de continuer si bien. J’avais fais un petit sourire avant de porter la bouteille à mes lèvres afin de boire quelques gorgées. Le champagne pétillait en bouche et laissait un coup doux et sucré derrière lui, il était vraiment exquis. Mh.. Lâchais-je en fermant les yeux. Il est délicieux ! Ajoutai-je avant de lui donner la bouteille à son tour. Oh attend. J’essuyais le goulot de la bouteille avant de la lui laisser. On ne sait jamais si tu n’aimes pas spécialement boire après les personnes que tu ne connais pas. J’avais un petit sourire avant que ce dernier ne se mette à boire à son tour. 04 juillet 2012 ; 10h41 – New-York Cette douche commençait doucement à devenir crapuleuse. J’aimais ses mains sur moi, j’aimais ses baisers, ses caresses. Seulement, je n’avais encore jamais l’amour sobre. Tout ce qui s’était passée la veille me semblait tellement flou. Je ne me souvenais pas de grand-chose, seulement que nous n’avions pas dormis en nous couchant. J’étais juste novice dans cette matière et tellement gênée face à un homme comme lui. Je savais que je pouvais lui parler en toute sincérité, que je pouvais lui faire confiance. C’est pourquoi je m’étais permis de lui confier mes doutes. Ce n’est pas une question de savoir, ça vient naturellement une fois que tu l’as fais. Fait ce dont tu as envi, ne réfléchis pas, pense au plaisir que tu veux avec la personne que tu aimes. J’avais souris en le regardant, tout cela me semblait si simple et si compliqué à la fois. Le jeune homme prit ma main afin de la reposer sur son sexe, là où elle se trouvait plus tôt tandis que lui me poussait contre la vitre de la salle de bain. Une fois contre celle-ci, Hayden entreprit de glisser également sa main à mon sexe ce qui me fit lâcher le sien. Fait ce que tu veux, si tu veux que je te prenne ici, on le fait, si tu veux faire autrement, on le fait, mais quoi que tu fasses, tu m’exciteras toujours autant. J’avais fermé les yeux en essayant de garder tout de même le contrôle, il était si sexy, si doux. J’aimerai que tu ailles chercher un préservatif.. Susurrai-je avant d’ajouter rapidement. Je t’attends ici. Après tout, pourquoi ce sera à moi de sortir de l’eau pour me cailler le cul ? Il m’avait alors embrassé la joue avant de quitter la douche quelques instants. J’en avais profité pour me regarder sous tous les angles. Pas un poil en vue, chic ! J’eu tout juste le temps de m’installer sous l’eau qu’Hayden fit son retour. C’est bon ? Demandai-je en m’approchant de lui pour l’embrasser amoureusement.
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