Je me sentais renaître, nos corps en parfaite harmonie, tous les deux en synchronisation parfaite. Depuis le temps que l'on attendaient ça tous les deux. Mais nous avions bien fait d'attendre car le moment en était meilleur, plus intense, presque parfait.

Notre dernier enchainement est des plus parfait. Elle se cabre et laisse tomber sa tête en arrière pour sentir le plaisir encore plus profond, ses cheveux tomber dans son dos. Qu'est ce qu'elle est belle. Je suis bien, même si le lit n'est pas des plus confortable, j'ai complètement oublié, je ne suis qu'avec elle. Un dernier coup sec et c'est la délivrance. Je laisse s'échapper un souffle de soulagement. Elle reste un instant dans la même position laissant nos deux souffle se calmer. Elle laisse glisser ces mains le long de mon torse avant de pencher pour m'embrasser rapidement avant de se laisser tomber a mes côtés. Je me tourne pour m'appuyer sur mon coude pour la regarder. << Que c'est bon>> dit-elle en lâchant un grand souffle. " C'était bien non ? " dis-je en caressant son corps du bout des doigts.

Je pris mon boxer qui était au sol afin de pouvoir le remettre, et je couvre Joy d'un drap fin. Avant de me repencher sur elle et de poser ma main dans son cou afin de déposer ma bouche sur la sienne pour l'embrasser tendrement. " Tu es si belle." lâchais-je en la regardant dans les yeux.

C’est vrai que je n’avais jamais réellement eu confiance en moi, du moins de mon physique. Adolescente, les hommes ne m’ont jamais vraiment regardé mais il faut dire que je n’allais pas vers eux non plus, ce n’était pas ma priorité. En vérité, je n’y pensais même pas avant de rencontrer James. Quand je l’ai vu, quand mes yeux se sont posés sur lui, j’ai tout de suite su. C’était une évidence, un coup de foudre. Il nous avait fallu un petit moment avant qu’on se mette ensemble, qu’on s’apprécie, qu’on s’aime. Mais une fois que cette passade était passée, tout avait été très vite. Et puis, Logan est arrivé et j’avais en moi l’image de ce que je me faisais de la famille. J’étais heureuse et pourtant, en quelques instants j’avais réussi à tout foutre en l’air. Quoi qu’il en soit, je pense avoir fait mes preuves auprès de James et il avait réussi à surmonter ce que j’avais pu lui infliger. Maintenant qu’on pouvait reprendre où l’on s’est arrêté, je comptais bien être une femme exemplaire et digne d’être celle qu’il aime. « T’exagères » Dis-je en rigolant bien que je sentais le rouge me monté aux joues. Ca faisait du bien d’entendre ça, surtout de la part du jeune homme. « Oui c’est vrai, je dois plaire à toi et personne d’autre. Et puisque tu viens de me dire que tu me trouves belle, c’est le principal. » Dis-je avec un sourire alors que sa main vient se déposer dans le bas de mon ventre. « Arrête de dire des conneries et même si c’était le cas, aucune n’arriverait à ma hauteur. » Dis-je en rigolant. « Mais je suis sûr que beaucoup de femmes rêvent de t’avoir dans leur lit. Un homme aussi sexy que toi … » Son corps vient doucement se coller au mien, ses lèvres se déposent dans mon cou nu. « Mais les prisonniers se doivent d’être attaché, je ne suis pas certaine que tu apprécierais, si ? » Il me dit qu’il aimerait redescendre à la fête – ce que je comprends tout à fait. Il me parle d’Aloysia. « Oui, tu as raison, on ne va pas rester enfermé ici toute la soirée, je suis sûre qu’elle est pleine de surprise. Puis c’est vrai que je dois aller voir ta sœur, j’angoisse un peu à cette idée, vraiment. Mais bon, quand il faut il faut. Je pense qu’on devrait mettre un peu d’eau dans notre vin toutes les deux. Même si sincèrement, je lui cherche pas d’embrouille. Reconnaitre certaines personnes ? Je pense pas, je connais encore personne ici, depuis que je suis arrivée, j’avais d’autres problèmes en tête… » Je l’embrasse avant de doucement me dégager pour me lever et aller choper mes sous-vêtements que j’enfile. Je m’habille finalement de ma robe et jette ma tête en avant, passant mes mains dans mes cheveux avant de la relever et de les dompter. « Ca va comme ça ? » Dis-je en me tournant vers lui. J’avais peur de ressembler à une qui venait de se retrouver dans le lit d’un homme – bien que c’était le cas mais ça, ça ne regardait personne.

Le moment tant attendu était arrivé et nous avions pu nous retrouver, nos corps se sont retrouvés comme il se devait. C'était parfait comme a chaque fois. Tout roulait encore entre nous, c'était important de voir que nous n'étions pas bloqué l'un en face de l'autre et que nos corps avaient envie l'un de l'autre comme au premier jour. Maintenant reste plus qu'à voir si on peut rester une journée sans se taper dessus, sans se disputer sans se lancer des piques, c'était a voir, nous allions être rapidement fixé, vu qu'elle allait venir s'installer chez moi.

<< Encore mieux que ça. >> dit elle en guise de réponse a ma question. Je souris alors avant de déposer une nouvelle fois un petit baisé mais cette fois ci au coin de ces lèvres. Je me penche alors satisfait de sa réponse pour remettre mon boxer et couvrir Joy d'un drap frais. Bon ok, le lit n'est pas des plus confortable maison fait avec les moyens du bord. Je l'admirais passant mes doigt sur sa peau si douce en disait qu'elle était belle. Elle me regarde de façon bizarre, comme ci j'avais dis une bêtise. << Tu dis ça parce que je suis la mère de tes enfants.>> Je la regarde alors en fronçant les sourcils.
" N'importe quoi, si je le dis c'est que je le pense." Dis-je simplement avant de reprendre la parole.
" Arrêtes de te sous estimer. Tu es très belle, et très sexy, je t'assure, parole d'homme " Dis-je en souriant " Assumes d'être belle, je serais ravi de rendre certains mecs jaloux en t'ayant a mon bras ce soir." Dis-je une nouvelle fois en souriant. C'est vrai Joy est une femme naturelle et très belle, un brin de maquillage et elle pouvait être une bombe, mais elle n'en était pas consciente, elle a toujours eu un manque de confiance de ce côté là, pourtant, je lui ai souvent dis qu'elle était belle. " Et puis, après tout, le principal c'est que moi je te trouve belle non? " Dis-je en souriant tout en déposant ma main sur le bas de son ventre en la regardant fixement dans les yeux.

<< tu es en train de me faire passer une soirée au-delà de mes espérances. >> Je souris alors qu'elle dépose sa main sur ma joue en la caressant de son pouce. Je n'avais pas finis de la taquiner. " Je suis content alors de t'avoir fais plaisir et du bien, j'ai d'autre femmes qui m'attendent maintenant." Dis-je en plaisantant, je n'avais rien de spécial a faire, mais c'est vrai que je ne comptais pas rester enfermé ici, il fallait bien profité de la fête.

<< Tu sais, si tu veux rejoindre ta sœur ou encore tes amis, je ne te retiens pas, je n'ai pas envie que tu te sentes prisonnier de mon emprise.>> dit elle avec un leger rire. " Oouh, mais j'aime être ton prisonnier, fais de moi ce que tu veux." Dis-je en me mettant doucement sur elle en embrassant son cou dégager.

" Mais c'est vrai qu'on pourrait redescendre faire un peu la fête? Tu pourrais aller voir Aloysia, et je te présenterais a des gens, ça peut être sympa. Tu vas surement reconnaitre certaines personnes. " Dis-je avant de lui voler un baisé.

C’est vrai que je n’avais jamais réellement eu confiance en moi, du moins de mon physique. Adolescente, les hommes ne m’ont jamais vraiment regardé mais il faut dire que je n’allais pas vers eux non plus, ce n’était pas ma priorité. En vérité, je n’y pensais même pas avant de rencontrer James. Quand je l’ai vu, quand mes yeux se sont posés sur lui, j’ai tout de suite su. C’était une évidence, un coup de foudre. Il nous avait fallu un petit moment avant qu’on se mette ensemble, qu’on s’apprécie, qu’on s’aime. Mais une fois que cette passade était passée, tout avait été très vite. Et puis, Logan est arrivé et j’avais en moi l’image de ce que je me faisais de la famille. J’étais heureuse et pourtant, en quelques instants j’avais réussi à tout foutre en l’air. Quoi qu’il en soit, je pense avoir fait mes preuves auprès de James et il avait réussi à surmonter ce que j’avais pu lui infliger. Maintenant qu’on pouvait reprendre où l’on s’est arrêté, je comptais bien être une femme exemplaire et digne d’être celle qu’il aime. «  T’exagères » Dis-je en rigolant bien que je sentais le rouge me monté aux joues. Ca faisait du bien d’entendre ça, surtout de la part du jeune homme. «  Oui c’est vrai, je dois plaire à toi et personne d’autre. Et puisque tu viens de me dire que tu me trouves belle, c’est le principal. » Dis-je avec un sourire alors que sa main vient se déposer dans le bas de mon ventre. «  Arrête de dire des conneries et même si c’était le cas, aucune n’arriverait à ma hauteur. » Dis-je en rigolant. «  Mais je suis sûr que beaucoup de femmes rêvent de t’avoir dans leur lit. Un homme aussi sexy que toi … » Son corps vient doucement se coller au mien, ses lèvres se déposent dans mon cou nu. « Mais les prisonniers se doivent d’être attaché, je ne suis pas certaine que tu apprécierais, si ? » Il me dit qu’il aimerait redescendre à la fête – ce que je comprends tout à fait. Il me parle d’Aloysia. «  Oui, tu as raison, on ne va pas rester enfermé ici toute la soirée, je suis sûre qu’elle est pleine de surprise. Puis c’est vrai que je dois aller voir ta sœur, j’angoisse un peu à cette idée, vraiment. Mais bon, quand il faut il faut. Je pense qu’on devrait mettre un peu d’eau dans notre vin toutes les deux. Même si sincèrement, je lui cherche pas d’embrouille. Reconnaitre certaines personnes ? Je pense pas, je connais encore personne ici, depuis que je suis arrivée, j’avais d’autres problèmes en tête… » Je l’embrasse avant de doucement me dégager pour me lever et aller choper mes sous-vêtements que j’enfile. Je m’habille finalement de ma robe et jette ma tête en avant, passant mes mains dans mes cheveux avant de la relever et de les dompter. «  Ca va comme ça ? » Dis-je en me tournant vers lui. J’avais peur de ressembler à une qui venait de se retrouver dans le lit d’un homme – bien que c’était le cas mais ça, ça ne regardait personne.

Le cap était passé, et ça c'était plutôt très bien passé, j'étais ravi depuis le temps que j'en avais envie. La passion était là et l'amour aussi, du moi c'est ce que je ressentais. De l'amour pour cette femme qui est la mère de mon fils. Je retrouvais la femme dont j'étais tombé amoureux quelques années auparavant. J'avais l'impression de ne l'avoir jamais quitté, même si je dois avouer qu'elle avait changé un peu, elle avait l'air plus féline. Elle voulait peut-être, être parfaite pour que je ne regarde qu'elle a l'avenir. Même si mon cœur a balancé entre deux femmes ces dernières semaines, j'ai toujours su au fond de moi que c'était elle et personne d'autre, mais je me voilais la face de peur de souffrir, car oui, Joy m'avait fait souffrir comme jamais personne ne l'avais fais. Même mon père n'avait pas fait mieux.

<< T'exagères. >> Je souris alors en voyant qu'elle rougissait. " Non, au contraire, il n'y a pas de mot même pour d'écrire comme tu es belle. " Dis-je en souriant, des paroles de lover quoi, je me surprenais moi même. << Arrêtes de dire des conneries et même si c'était le cas, aucunes n'arriverait à ma hauteur. >> Je me mis a rire doucement alors la regardant avec des yeux pétillants. " C'est vrai que tu étais parfaite " dis-je en faisant référence a notre ébat amoureux. Elle reprit la parole << Mais je suis sûr que beaucoup de femme rêvent de t'avoir dans leur lit. Un homme aussi sexy que toi..>>. Je souris a sa remarque. " C'est vrai, je suis beaucoup demandé." Dis-je en plaisantant. Oui j'avais été très convoité plus jeune, mais je n'ai jamais céder du moins le temps que j'étais avec elle. Je ne dis pas qu'avant elle j'étais un ange, au contraire. Et puis après son départ, j'ai eu quelques aventures d'un soir, sans lendemain, j'étais perdu et triste c'était purement physique. C'est vrai, avec Alysse ça n'était pas que physique mais entre elle et moi c'est différent, une sorte d'attirance et d'affection, mélanger a l'alcool a fait que nous nous sommes retrouver dans le même lit. Peu importe, c'est du passé, et j'ai mis une croix dessus.

<< Mais les prisonniers se doivent d'être attaché, je ne suis pas certaine que tu apprécierais si ? >> me demandait elle. Un sourire très coquin apparu sur mon visage. " Ca dépend ce que tu me fais après m'avoir attaché. " Dis-je en frottant mon cœur doucement contre elle, le drap s'éparait nos deux corps quasiment nus.

<< Oui, tu as raison, on ne va pas rester enfermé ici toute la soirée, je suis sûre qu’elle est pleine de surprise. Puis c’est vrai que je dois aller voir ta sœur, j’angoisse un peu à cette idée, vraiment. Mais bon, quand il faut il faut. Je pense qu’on devrait mettre un peu d’eau dans notre vin toutes les deux. Même si sincèrement, je lui cherche pas d’embrouille. Reconnaitre certaines personnes ? Je pense pas, je connais encore personne ici, depuis que je suis arrivée, j’avais d’autres problèmes en tête… >>
" T'en fais pas, ça va bien se passer, c'est ma sœur, pas un démon. " Dis-je en riant. " Mais ça me tiens vraiment a cœur. Les deux femmes de ma vie doivent s'entendre... " Dis-je en lui souriant avant qu'elle ne dépose ces lèvres contre les miennes avant de se dégager.

Je m'allonge donc sur le lit en boxer, montant mes bras afin de placer mes mains dernière ma tête afin de pouvoir regarder Joy se rhabiller. Elle jette ces cheveux en avant puis en arrière. << Ca va comme ça ? >> me demandait elle en se retournant vers moi. " C'est parfait." dis-je le sourire aux lèvres, la regardant de haut en bas. " J'aime quand tes cheveux sont lâchés." Avouais-je a la jeune femme.

Bizarrement j'avais plus du tout envie de me lever et de descendre a la fête. La sensation que je ressens après avoir fait l'amour est tellement bonne, que je n'ai pas envie de la coupé, j'ai envie d'apprécier ce moment, regardant la femme que mon cœur a choisit et ne penser a rien. Mais la raison refis surface, et je me devais d'être présent a la fête pour profiter avec mes amis et ma sœur. " Aller" Dis-je en soufflant tout en me penchant pour reprendre ma chemise. Je me lève du lit pour l'enfiler, je tire doucement dessus pour la défroissé. Je referme chacun de boutons avant de mettre mon pantalon et d'enfiler mon pull et mes chaussures. Je passe doucement ma main dans mes cheveux pour les remettre en position. " Et moi ça va comme ça ? " demandais-je a la jeune femme.

J’avais envie de lui mettre des claques, bien sûr je le prenais avec humour. Il disait donc qu’il était beaucoup demandé, j’allais donc devoir faire attention à ce qui se passe autour de moi et être plus vigilante. De toute façon, je n’allais pas pouvoir m’en empêcher. Surtout depuis que je sais qu’il y a eu deux femmes après moi dont une avec qui il a couché. Ca va devenir quelque chose d’incontrôlable et je pense qu’il me faudra beaucoup de temps pour avoir confiance de nouveau en lui. Même si j’étais partie, je n’aurais jamais osé coucher avec un autre homme que lui, du moins pas si rapidement. Et je sais que ça crée en moi une angoisse, l’angoisse de le perdre de nouveau et surtout l’angoisse de me sentir de nouveau brisée à l’intérieur.
Bon sa sœur n’est pas un démon en effet, mais elle a un grand caractère et pas un très bon. Je dois dire que j’ai toujours été celle qui se faisait marcher dessus et ça aurait très bien pu être par des personnes comme Aloysia. Je n’ai jamais été une leadeuse et je ne le serais sans doute jamais. Je suis quelqu’un de très susceptible et on sait lire en moi comme un livre ouvert, en gros, on savait piquer ou ça fait mal. Et ça, elle était forte. Il me dit que ça lui tient a cœur que les femmes de sa vie s’entendent, je souris à sa remarque en me faisant remarquer que je fais partie de la catégorie « femme de sa vie » et que ça me fait chaud au cœur.
Il me dit que c’est parfait, tant mieux car j’ai pas envie de perdre mon temps à me préparer de nouveau. Et je ne pouvais pas non plus aller à la fête en ressemblant à n’importe quoi. Il me dit alors qu’il aime quand mes cheveux sont lâchés. « Je vais les laisser comme ça alors, même si c’est énervant des fois de les avoir dans les yeux … » Il se penche pour prendre se vêtements et se rhabiller, on aurait dit qu’il avait une grosse flemme qui venait de prendre part de son esprit et qu’il devait se donner du courage. Je passe mes pieds dans mes escarpins. Il passe alors à son tour sa main dans ses cheveux avant de me regarder. Je m’approche de lui, et passe mes bras autours de son cou. « Tu es parfait, l’homme le plus sexy et le plus beau de ce château. » Je dépose mes lèvres contre sa joue et attrape sa main. « Tu es prêt ? C’est partit… » Dis-je alors que nous refermons la porte derrière nous.