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 Quand une rencontre peut bousculer toute une vie... ( feat. Nathan Daniels )

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(#)Sujet: Quand une rencontre peut bousculer toute une vie... ( feat. Nathan Daniels )  |   Ven 25 Sep - 2:50

Alysse J. Purple & Nathan Daniels
Who are you ? Get out of my home !


La soirée semblait ne plus finir, et le bar était complètement bondé de monde et il n'y avait pas assez de serveuses pour assurer le service. Mais fort heureusement, Alysse était présente, nouvellement embauchée et prenait son travail vraiment à cœur et ne faisait pas les choses à moitié. Depuis son retour à Miami, la jeune femme n'était plus la peine. Elle avait pris le temps de se reprendre en main. Il avait fallu du temps pour qu'elle se reconstruise et qu'elle balaye son passé d'un revers de la main. Elle ne s'était pas rendu compte à quel point cela avait pu l'empêcher d'avancer dans la vie. Il n'y avait pas seulement son agression qui l'avait traumatisé.. Mais tout son passé ! William, sa fille, son père.. elle n'avait jamais accepté de vivre avec cela, mais vivait malgré ce qui était arrivé dans sa vie. Mais en faisant le tour des Amérique, elle réussit à s'accepter elle-même, avec son présent, son avenir et son passé. Bien entendu, elle n'était pas encore prête à étaler sa vie face à son entourage. Mais au moins, en revenant ceux-ci avait su voir en elle ce quelque-chose qui l'avait grandi. En effet, lorsqu'elle s'était arrêtée à New-York, elle passa par plusieurs stades, et finit par faire un peu de mannequinat, pour une boîte assez prodigieuse. C'est ainsi qu'elle trouva sa voie. Mais elle devait travailler à présent, pour atteindre son but. C'est ainsi que la jeune femme trouva un emploi au Fifty Shades of McQueen où elle avait un poste de serveuse. Elle avait été assez angoissée à l'idée de travailler pour la première fois de sa vie à l'âge de 25 ans.. Mais elle fut rapidement prise au jeu et à ce cercle immense qu'était le travail et elle ne mit pas longtemps à se faire sa place et sa petite réputation dans la boîte. Courant toujours partout tout en gardant un sourire figé sur son visage, elle était toujours agréable et serviable avec les clients et savait user de son sarcasme pour remettre à leur place les plus désobligeants d'entre eux. Et ce soir-là, ils ne manquaient pas à l'appel. Entre ceux qui avaient les mains baladeuses et ceux qui étaient absolument désagréables, elle n'avait pas une minute à elle pour s'offrir une pause. Mais heureusement, elle aimait beaucoup ce travail et au moins elle ne voyait pas le temps passé. Mais ses escarpins noirs lui faisaient horriblement mal au pied si bien qu'elle eût l'impression de marché sur des clous à chacun des pas qu'elle faisait. Mais il fallait tenir la soirée pour que son service soit impeccable. Que personne n'attende était sa priorité et elle le faisait comme il fallait... La soirée passa rapidement, même s'il sembla à la jeune femme qu'elle dura une éternité.. Lorsqu'elle vit partir les derniers clients, elle se laissa tomber sur une des banquettes avec une de ses collègues, laissant leur plateau sur la table, le temps de se poser ne serait-ce qu'une petite seconde. La soirée avait été génial, comme tous les samedis soirs en réalité, mais à chaque fois, la jeune blonde était étonnée de voir autant de monde réunit dans un même endroit. Il fallait dire que lorsqu'elle était encore une fêtarde, elle ne sortait que dans des bars rustiques avec un charme et une histoire, qu'elle aimait et qui était côtoyer par de vrais hommes, pas comme ici où les gens étaient d'un niveau légèrement plus supérieur.. Mais bon, ce travail était bien payé et la jeune femme ne voulait plus dépendre de son père, qui voulait toujours se racheter sa trahison en lui versant de l'argent tous les mois, qu'elle plaçait sur un compte épargne pour économiser et faire du profit. La soirée se termina doucement, le temps que la salle soit nettoyer et que le personnelle profite d'un dernier moment ensemble, parlant des péripéties de la soirée.. Mais Alysse préférait toujours partir en première, n'aimant pas rentrer trop tard là nuit. Elle quitta donc les lieux, son sac sur l'épaule et son manteau dans la main, cigarette à la bouche et monta dans sa voiture sans perdre de temps. La belle ne se sentait plus vraiment rassurer en pleine nuit, et il était bien plus de minuit ce soir-là lorsqu'elle arriva enfin chez elle.

Ouvrant la porte du bas de cet immeuble ancien, elle regarda la grande porte ancienne et lourde qu'elle devait pousser tous les jours. Elle aimait le fait qu'ils aient gardé le côté rustique de ce bâtiment pour rénover les appartements tous si imposant. Chaque appartement faisait plus de la moitié d'un étage. Il y avait donc un appartement à chaque étage, la jeune femme se trouvant au 7ème, donc le dernier avant les fondations et le toit. Et bien entendu, étant donné qu'il s'agissait d'un vieil immeuble, il avait un vieil ascenseur qui lui n'allait jamais être rénové pour garder le cachet des lieux et qui donc ne fonctionnait pas.. elle devait donc monter les marches jusqu'à son domicile, en talon haut, jupe noire et chemisière blanche, un sac à la main et son manteau toujours sous le bras. Durant le trajet en voiture, elle avait retiré ses baguettes qui maintenaient ses cheveux en arrière sur sa tête et les avaient enfin laissé respirer pour qu'il tombe délicatement sur ses épaules, complètement décoiffés et emmêlés à cause de la soirée de dingue qu'elle venait de passer. Éreintée et fatiguée, elle arriva enfin à son appartement, mais s'arrêta net en voyant que la porte n'était pas fermée à clef.. Tiens, elle avait donc oublié de fermer derrière elle ? La jeune femme savait qu'elle parfois être distraite.. Mais, elle avait un mauvais pressentiment. Elle se mordit la lèvre, passant sa main dans ses cheveux et tendit l'oreille, guettant le moindre bruit dans son appartement qui pourrait trahir une présence.. Mais c'était le silence total.. Jusqu'à ce qu'elle sursaute tout d'un coup en voyant sa porte s'ouvrir en grinçant dévoilant son chat à ses pieds, miaulant, heureux de retrouver sa maîtresse. Une main sur la poitrine, la jeune femme respira de nouveau et se pencha pour prendre son animal dans ses bras, le caressant et souriant, se trouvant stupide de flipper pour rien. Elle entra donc enfin dans son logement, refermant à clef derrière elle et posa ces dernières sur le buffet de l'entrée. Elle posa son sac par terre, et son manteau sur le portant prévu à cet effet avant de rentrée dans le séjour en s'étirant doucement, se dirigeant directement, dans le noir vers son frigo, enlevant ses chaussures au passage, afin de se servir quelque chose à manger et à boire. Chantonnant en regardant dans son frigo, elle ne remarqua pas des yeux posés sur elle, tapis dans l'ombre. Elle ne savait pas ce qui se tramait et qui allait changer sa vie.. Elle prit le litre de lait dans le frigo et ferma celui-ci. Mais lorsqu'elle se tourna tout d'un coup, la lumière du séjour s'alluma, la faisant sursauté. La jeune femme, sous le choc, lâcha sa bouteille qui vint retrouver le sol, déversant le liquide blanc sur le sol que le chat s'empressa de venir lamper en ronronnant. La jeune femme découvrit alors devant ses yeux, la personne qui venait d'appuyer sur l'interrupteur de la lumière, se tenant à quelques mètres d'elle, juste là, dans son séjour. Il allait vraiment falloir qu'elle change de serrure, où qu'elle installe une alarme, car les gens semblaient pouvoir entrer bien facilement chez elle. Elle resta un instant planté là, pied nu et complètement décontenancer face à la situation. Le silence commençait à devenir pesant, mais des tonnes de questions se bousculèrent dans la tête de la jeune femme.. Qui était cet homme ? Lui voulait-il du mal ? Comment était-il entré ? POurquoi ? Elle le toisa un instant, afin d'évaluer s'il portait une arme, et en profita pour voir davantage à quoi il ressemblait. Grand, quoiqu'il n'était pas difficile d'être plus grand qu'elle au vu de sa petite taille, il avait dans son allure un charisme et une stature qui le rendait imposant. Son visage, dur et son regard bleu lui donnaient ce côté mystérieux et sombre qui faisait qu'elle n'arrivait pas à ce décidé s'il était bienveillant ou non... mais de toute évidence, il était entré par effraction chez elle et ça, ça commençait à devenir une salle habitude chez les gens. Elle finit par enfin prendre la parole, sans bouger : "qui êtes-vous ? Et que faites vous chez moi si tard dans la nuit ?" le ton de la jeune femme se voulait dur, insistant et froid. Mais en même temps, elle n'était pas vraiment rassurée. Il avait cet air si intimidant, et son calme n'aidait pas du tout à la mettre à l'aise.

Alysse finit par enfin bouger, ne voulant pas se retrouver les pieds couverts de lait et s'avança vers l'homme, voulant montrer qu'elle n'était pas le genre de femme à être terrifiée à la moindre occasion. Il était réellement plus grand qu'elle et avait une carrure imposante et on pouvait tout de suite deviner qu'il avait une musculature assez développée. Elle se surprit à le regarder de haut en bas, comme s'il émanait quelque chose qui faisait que son regard était automatiquement tourné vers lui, mais le regard de la jeune femme redevint rapidement dur et celle-ci croisa les bras devant sa poitrine en insistant, bien que dans cet état, elle n'avait rien de crédible, les cheveux décoiffés, le chemisier froissé et sa jupe également froissée.. Mais elle était chez elle, lui non, et il était hors de question qu'on vienne encore lui chercher des problèmes sur son territoire. Elle voyait bien qu'il était sûr de lui, rien que dans son regard azur, et elle devait avouer qu'il avait quelque chose de très intimidant et dégageait un charme si fort qu'elle essayait de ne pas se laisser distraire. Elle ne se trouvait pas dans un de ses films où un inconnu apparaissait comme par magie dans votre appartement, non, là, il s'agissait de quelque chose de plus grave et le fait qu'il soit aussi peu locace n'arrangeait rien. Elle se mordit la lèvre, impatiente et ajouta enfin : "comment êtes-vous entré chez moi ? Et que me voulez-vous ? Sortez immédiatement !" elle voulait dormir, se reposer et surtout, allez mettre son pyjama en profitant d'une douche chaude pour ENFIN retrouvé son lit douillet... Elle était épuisée et avait du mal à hausser la voix, ayant celle-ci fatiguée, après avoir passé la soirée à crier pour communiquer avec ses collègues et les clients. Elle finit par se rendre vers son téléphone : "Je vous préviens, je vais appeler la police !" Mais elle n'eut en aucun cas le temps de toucher le combiner... Son regard croisa celui de l'homme qui se trouvait maintenant plus proche d'elle et son cœur ne loupa un bond pendant que son sang se figea dans son corps, un frisson lui parcourant l'échine jusqu'au sommet de son crâne. Il avait un regard qui pourrait transpercer n'importe quelle âme et la jeune femme se sentait comme prise de décharge alors qu'elle était à la fois presque effrayée.. elle était épuisée, cet homme aurait l'avantage.. Mais que lui voulait-il ? Du bien ? Du mal ? Elle était confuse et perdue à une heure si tardive de la nuit..


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(#)Sujet: Re: Quand une rencontre peut bousculer toute une vie... ( feat. Nathan Daniels )  |   Sam 26 Sep - 3:29
une rencontre peut bousculer toute une vie.



feat : Alysse J. Purple & Nathan Daniels



- Maitre Daniels ? J’entendais cette question, la voix d’un homme plus âgé, presque hésitant, une femme accrocher à son bras. « Oui ? .. » Je les dévisage, il s’approche, la femme pleure contre son mari totalement dévaster, me tendais une photo d’un jeune homme « La question est, qui vous a amené ici ? »  L’ombre de ma voix grave, tremblante à la fois, ils me dévisageaient, l’homme s’approche d’un pas très lourd, le visage déformer par la colère, pose un dossier, ces yeux remplis de rage brillants tellement. « Alysse ? Votre fille ? .. Je suis pas un assistant sociale. » Je répondais froidement, catégoriquement aux deux, la femme attrape le bras de son mari, lui tient fermement la main, ces doigts s’enlacent avec celui-ci, le mari - Non.. cette jeune femme à tuer notre fils… Il se stoppe les yeux pétillants, presque des larmes, j’inspirais lourdement, laissant ma main sur mon bureau, tapotant étant ennuyer par eux. « Oui.. Il est où mon souci ? » Je demande d’un ton détacher, tout aussi calme, le mari de la femme frappe sur le bureau, son visage change de couleur, devenait tout rouge, les veines se gonflent, qui s’imposent sur son visage, se refilait sur son visage dû à la lumière dans mon bureau qui nous éclaire, le bureau tremble. « Vous allez vous calmer ou dégager.. » Je hurlais sur l’homme en me levant brusquement, d’une main je pousse ma chaise,  qui reculait, entendant un bruit métallique qui touche le mur, se laisse tomber au sol.  « Ici c’est mon bureau !!! » Je lui répond d’un ton très amer. « Écoute moi bien.. soit vous parlez, soit… » Il m’arrête directement en me tendant une enveloppe, je la regarde avant d’attraper l’enveloppe, elle pesait, j’ouvrais alors,  remarquant des billets d’argent. « Voilà.. Qui est bien mieux.. » Je soufflais alors simplement, impassible, en remarque des photos que j’attrape dans le dossier ouvert de mon bureau, un homme allonger sur le sol. « Votre fils ? » Je  questionnais calmement le couple, le gloussement de la mère, du jeune homme, hoche désespérément la tête, ses larmes glissent sur sa joue. « Ci ? Que je lise bien, la police à constater qu’il serais mort.. Pas encore trouver qui aurait fait ça ?.. » Le ton de ma voix était assez dure, l’homme me dévisage, s’approche puis attrape durement une des photos qu’il serre entre la paume de sa main, les traits de son visage dépités me dit que cette Alysse Purpule, les doigts se replient, froisse la photo entre la main du père, hors de lui, tout son corps tremble, vivement, crache durement chaque mots de colère qui résonnent dans mon bureau, il la traite de garce, tous les mots possibles, sa femme qui tente de le calmer désespérément les larmes aux yeux remplis. « Lui fait avouer ? .. À ce que je peux voir votre fils à aussi un casier juridique aussi… Délit de fuite… Bagarre…Possession de drogue… Agression aggraver, cet enfant est loin d’être un enfant de cœur ! » Je les dévisage,  quelques secondes, d’un regard presque amer. « Bien-sûr… Vous avez autre chose ? .. » Je tente de garder mon calme, la mère s’approche en serrant fort le mouchoir dans sa main, pose l’autre main sur mon épaule, me supplie presque, anéantie de la retrouve, de lui faire avouer. « Vous avez fini ??? .. » Je questionnais, en aucun cas toucher par celle-ci, me dégage brutalement de celle-ci. « Je vais le faire … À condition que j’ai tous les éléments possibles ?!! .. » Le père hoche la tête dégouté, les lèvres serrés, j’entendais presque ses dents se fissurés quand elles se touchaient tellement, sa main agripper contre la chaise, ses ongles s’enfoncent  contre l’accoudoir de ma chaise, son bras tendu tremblant. « Ramenez votre femme.. Me déranger plus pour n’importe quoi… » D’un ton presque soulager et ironique, tout autant plus l'homme se levait brusquement, en s’avançant vers moi l’air menaçant envers moi. « Attention .. » Je soufflais d’un air plus sombre, la noirceur de mes yeux s'étaient assombries en quelques secondes, mon corps entier devient très tendu. « Vous devrez vraiment dégager d’ici.. Dès que j’ai les aveux je vous le dirais… Compris ? » Je demande toujours autant tendu, hors de moi, la mâchoire serrer, il hoche la tête,  dépité, puis agrippe sa femme par le bras, murmurait qu’il les voulais très vite, sa voix étrangement mêler de frustration, de dégoût, encore haletant fortement, son nez gonfle, ces trous de nez se dilatent à chacun de ces respirations, ils jettent un dernier regard à la photo de la scène du crime à l’hôtel, et à celle d’Alysse.  - Je la veux, je vous en prie.. Monsieur Daniels… Il essaye de calmer son rythme cardiaque, il me dévisage d’un ton très glaciale, ouvre la porte. Quelques jours plus tard, je me retrouve devant un vieux immeuble, remarquant au loin cette Alysse qui tire la porte très lourde, une blonde habillée d’une jupe, d’un haut blanc.  « Alysse .. » Je murmurais pour moi-même d’un ton très calme, la respiration régulière, attendant quelques secondes, avant de plus voir cette jeune femme, j’ouvrais la portière, m’avance vers la porte, l’ouvrais en grimaçant quand cette porte grince à chaque rentrer, j’entre, j’aperçois des boites à lettres remplies, de couleurs gris, des numéros inscrits dessus, une plante  verte sur le côté, une longue vitre qui montre la cour dehors, un escalier assez vieux en béton, j’approche, laissant mon pouce passer sur le relief et du prénom de Alysse, mon pouce passe sur celle-ci, de ce métal, c’était au troisième étages aussi, à la porte de celle-ci, regardant quelques secondes autour de moi, attrape une boite en l’ouvrant, il prenait quelque chose pour crocheter la serrure, sans laisser de traces ou de fissures sur celle-ci. Puis pose son oreille contre celle-ci, bouge sa main avant d’entendre alors un petit clique,  la porte s’ouvre. « Un jeu d’enfants.. » Je soufflais, si facile tout en me relevant, j’entend chez celle-ci, sous le bruit de mes chaussures  qui grincent sur le parquet de cet appartement, chacun de mes pas et plus lourds, fait grincé le parquet, m’avance, vers une commode près de la porte, remplie de photos, quelques encadrements, un bouquet de fleurs, j’avance en prenant une fleur, je pris l’air dégouté, puis je la lâche au sol, m’avance de plus en plus vers le salon, me penche vers le le téléphone branché près du côté de la porte qui se trouve vers une chambre, sur le combiner où l’écran du téléphone qui clignote, il y avait quelques messages vocales « Lassant .. » Je dis d’un ton très amer. Quelques heures plus tard le bruit de la porte d’entrer, s’ouvre sous le bruit d'un grincement, attend impatient celle-ci qui arrive, dû au bruits de ces talons sur son parquet, je reste dans un coin sombre dévisage celle-ci qui tenait une bouteille de lait, je pose ma main sur l’interrupteur, appuyé avec mon pouce d’une légère pression, la pièce s’éclaire, bruyamment Alysse se tourne paniquée, ses yeux étincelles de peur, la bouteille de lait tombe sur le sol, d’un bruit plus dur, en voyant le lait s’engouffrer comme des vagues, le liquide sorti de la bouteille s’éparpille sur le sol, j’avance d’un pas lourd vers celle-ci qui  démasque mon visage entièrement, très calmement, je la laisse parle, la dévisage dangereusement . Je la laisse venir vers moi, de sa petite taille, l’ombre d’un sourire sur mon visage qui s’efface aussitôt, elle me dévisage de haut en bas. « Beau spectacle ? » Je la questionne froidement en crachant chaque mots durement, d’un ton tout aussi froid, elle reste stupéfier, elle se mordille la lèvre de ses lèvres pulpeuses  en me dévisageant, confuse, quelques secondes. « Une femme de crâne… » J’articulais d’un ton plus ironique devant celle-ci, la mâchoire serrer, l’ombre cache la moitié de mon visage d’une main, j’attrape alors d’un geste rapide, son visage, mon pouce glisse sur sa joue pour allonger vers sa lèvres inférieur. « Pensez-vous que appeler la police soit une bonne idée ? » Je murmurais chaudement face à celle-ci, je sens son corps se crisper, ses yeux essayent d’éviter mon regard sombre, je murmurais presque à demie voix, menaçant et doux à la fois. « Je vous conseille… plutôt… de coopérer… ou je vous promet que vous finirez en prison.. » Je sentais sous la caresse de mon pouce qu’elle frisonne, pris de spasmes, ses yeux se reflétaient à la lumière, sa respiration plus rapide, avec l’aide de mon pouce, j’appuyais sur celui-ci,  lui caresse la lèvre. « Si… Seulement… J'avais pas à faire mon travail… » Je crache entre mes dents, sèchement, fixe intensément ses yeux. Presque paralyser, j’approche délicatement encore plus proche de ces lèvres, qu’elle sente mon souffle sur ses lèvres. « Je suis ici pour le meurtre de William…» À peine j’ai le temps de parler, son corps se cambre, ses membres de son corps s’est crispés. Elle me scrute du regard paralyser sur place avec son corps tremblant. « Je vois.. Qu’on est sur la même longueur d’ondes… » D’une voix plutôt chaude et menaçante a la fois, elle inspira brutalement son rythme cardiaque qui s’accélérait rapidement, ses yeux brûlant de rage, ses lèvres s'étaient crispés. Je la lâche pus du regard, l’air très songeur, sans quitter ses lèvres du regard. Je vois bien que la poitrine se soulevait au rythme des battements de son cœur, très difficilement. Sa main s’agrippe timidement à ma main, mon air très intimidant. « Vous.. Avez.. du crâne… très chère mademoiselle.. » J'inspirais à mon tour plus intensément, les mains replient sur celle-ci,  sur ma main devenue moite, glissante, presque humide. Comme son regard perdu, elle essaye de parle aussi, rien ne sort, qu’elle se mordille la lèvres. Son souffle fait dégager quelques mèches de ses cheveux qui étaient collés sur le devant de son visage, ses mèches rebelles retombent sur le devant de son visage, qui frappent d’une légère brise sur son visage très troublé.

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(#)Sujet: Re: Quand une rencontre peut bousculer toute une vie... ( feat. Nathan Daniels )  |   Mer 30 Sep - 19:28

Alysse J. Purple & Nathan Daniels
Who are you ? Get out of my home !


La soirée fut mouvementée pour la jeune femme, et l'idée de se retrouver chez elle profiter de son logit en prenant une bonne douce et de s'installer devant un bon film, une tisane à la main l'enchantait parfaitement. Mais en arrivant à la porte de son appartement, elle remarqua que celle-ci n'était pas fermée à clef. Tout d'abord sceptique et quelque peu angoissée, plusieurs possibilités, toutes plus désagréable les unes que les autres vinrent à son esprit. Cependant, se connaissant plutôt distraite et allant dans la précipitation, il n'était pas impossible qu'elle eut oubliée de fermer cette dernière à clef. Elle entra donc chez elle, laissant ses affaires derrières elles et abandonnant avec un plaisir immense ses escarpins noir à talons qu'elle avait porté durant toute la soirée. Ses pieds apprécièrent donc le contact du parquet froid, brillant par le reflet de la nuit et des lumières de la ville qui brillaient à la fenêtre. Elle s'avança vers son frigo, son chat se tenant assit sur le plan de travail du salon, fixant le séjour comme si quelque chose le tracassait, mais la jeune femme n'y prêtant pas attention, ayant envie de boire à grand goulet dans sa brique de lait. Mais alors qu'elle venait de fermer le frigo, ouvrant la brique, la lumière de la pièce s'enclencha comme par magie, la faisant sursauté soudainement. La jeune femme, prise au dépourvue, lâcha sa bouteille de lait qui, ouverte, laissa son liquide se rependre doucement sur le sol, attirant l’appétit du chat qui se laissa tomber par terre. Elle lui parla froidement, en ayant plus qu'assez que des inconnus viennent dans sa maison sans y être invité. Elle avança d'un pas ou deux vers lui, prouvant son courage et sa détermination sans faille, le regard dur et l'air déterminé. Il était clair, que c'était cet homme qui avait ouvert sa maison, sûrement en crochetant la serrure, ce qui présageait qu'il n'avait rien d'un homme aimable et en qui on pouvait avoir confiance.. c'était du moins la première impression qu'il donnait. En l'observant, tandis qu'il s'avança vers elle d'un pas, elle put le toiser avec un regard plutôt intrigué. Il était beaucoup plus grand qu'elle, ayant une carrure imposante et le visage dur, le regard perçant et un air très dominant et sauvage qui la laissait perplexe, ne sachant pas quoi penser de cette inconnu en face d'elle. Il y avait dans tout les cas une certitude, elle voulait qu'il s'en aille et elle n'hésitait pas à lui faire comprendre, malgré son apparence et sa voix fatiguée en lui disant de bien vouloir débarrasser les lieux de sa présence, auquel cas elle appellerait la police. La jeune femme s'était rendu en direction du téléphone, passant alors devant lui, quand soudainement, celui-ci lui attrapa le visage de sa main s'étant donc rapprocher d'elle dangereusement. La jeune femme se retrouva donc nez à nez avec l'homme en face d'elle qui passa son pouce sur sa lèvre inférieur, son regard dur planté dans le sien, lui provocant un frisson allant de l'échine jusqu'au sommet de son crâne. Elle ne put détacher ses yeux des siens, son sang se glaçant dans ses veines et son cœur se mettant à battre rapidement dans sa poitrine, lui faisant monter le sang à la tête, lui provocant un vertige qu'elle ne sut décrire. Il répliqua si elle pensait que c'était une bonne idée d'appeler la police, sa voix semblant presque sonner comme un avertissement et la jeune femme se sentit crisper, et mal à l'aise, comme si elle savait que le ton de sa voix ne présageait rien de bon « Je vous conseille... plutôt...de coopérer... ou je vous promet que vous finirez en prison » Alysse écarquilla les yeux, sa respiration se coupant brutalement sans qu'elle ne comprenne ce qu'il voulait dire par là, mais une vague de peur la saisit soudainement et tandis qu''elle sentait le pouce de l'homme en face d'elle appuyer contre sa lèvre inférieur, elle poussa un respiration, reprenant de l'air dans ses poumons et celle-ci se fit plus rapide, plus empresser et surtout, plus nerveuse face à cette homme qui l'a troublait et l'effrayait à la fois. Elle était comme tétaniser et l'observant, épiant son visage sous ses moindres formes et ne pouvant plus bouger, comme perdu dans son propre esprit l'espace d'un instant. Il souffla ces mots, qui la perturbèrent davantage : « Si... seulement...j'avais pas à faire mon travail... » la jeune femme était totalement bouleversée.. et murmura comme dans un souffle : « Qu.. quoi.. ? » elle ne comprenait pas ce qu'il entendait par là et peut-être ne voulait-elle pas le savoir. Son visage s'approcha d'autant plus de celui de la jeune femme, ses lèvres frôlant presque les siennes, mettant celle-ci dans un état encore plus fou. Que faisait-il donc, pourquoi s'approchait-il autant alors qu'il semblait si enclin à ne pas être amicale envers elle. Pourquoi était-il ici ? Que lui voulait-il... Mais lorsqu'elle eut sa réponse, la jeune femme écarquilla les yeux, n'osant toujours pas bouger, et son corps sembla se crisper davantage, prit de spasme et son cœur s'arrêtant comme de battre dans sa poitrine.

Son regard devint plus sombre, prit d'une haine immense qu'elle n'avait pas ressentit depuis ses 18 ans.. Lorsque son père l'avait trahit, lorsque personne ne l'avait comprise et elle se sentit de nouveau seule face au monde entier. Il savait, il savait pour William et il savait qu'elle l'avait tué et là.. elle était vraiment dans une merde totale, dans une situation dans laquelle elle ne savait pas comment se sortir.. elle agrippa la main de son interlocuteur, déterminée, sa main devenant moite à son contact et après plusieurs minute, sa respiration forte et son regard froid dans le sien, elle le repoussa fortement, recula d'un pas pour mettre une distance entre eux et le fixa, le corps avancer comme un air de défi, sur la défense. Les poings serrer et reprenant son souffle, ses joues étaient légèrement rose par ce rapprochement furtif qu'il y avait eu entre eux. Elle passa sa main dans ses cheveux pour retirer les mèches qui venaient de tomber devant son visage et répliqua froidement : « Je ne vois pas de quoi vous voulez parler. Je n'ai pas vu William depuis plus de 8 ans. Vous n'avez rien à faire ici, et aucune raison de vous montrez aussi familier à mon égard » elle serra les dents, se retenant de trembler et ne voulant pas se montrer faible en la présence de cet homme. S'il se montrait trop insistant de toute façon, elle avait toujours sa batte de base-ball dans son placard ou son flingue dans sa chambre... Mais elle se trouvait déjà en situation délicate, de toute manière, aucune poursuite n'avait jamais été établie contre elle, pourquoi fallait-il que cela arrive après huit ans d'absence et huit ans qu'elle avait tuer son ex... Mais pourquoi fallait-il que cela arrive aujourd'hui,  pourquoi son passé funeste devait-il réapparaître ? Elle savait qu'elle pouvait dire qu'il y avait eu de bonne raison, qu'il la frappait depuis toujours, qu'il l'aurait tuer avec ses coups elle et son bébé si elle ne s'était pas défendu, mais elle n'avait aucune preuve pour témoigner de ça.. mise à par les quelques cicatrices qu'elle avait garder de leur relation... Mais la seule chose qu'il y avait, c'était sa mort et elle avait été la dernière personne à l'avoir vu et peut-être avait-elle mal effacé ses empreintes sur l'arme du crime... des tonnes de questions bousculait son esprit et la présence de cet homme dans son salon ne l'aidait pas à se calmer. D'autant plus qu'il avait cette posture, cette allure et ce charisme qui l'a perturbait davantage, la mettant dans tous ces états. Il l'avait prise au visage, passant son pouce contre sa lèvre, approchant ses lèvres des siennes alors qu'il semblait venir l'accuser de son crimes, mais il avait aussi sous entendu qu'il n'aurait pas voulu être là pour ses raisons... Pourquoi ce comportement la tourmentait-elle autant. Elle reprit son calme doucement, sa respiration redevant régulière et ajouta : « Qui êtes-vous pour venir ainsi chez moi de la sorte, présentez-vous ! » elle devait se défendre, elle devait montrer qu'elle était forte et ne surtout rien lâcher, plus aucun homme ne viendrait la prendre au dépourvu chez elle, sous son propre toit.. Mais cette homme avait une telle lueur dans le regard qu'elle avait l'impression qu'il lisait en elle comme dans un livre ouvert. La jeune femme était épuisée.. Physiquement oui, à cause des heures de travails qu'elle venait d'accomplir, de l'heure tardive qu'il était également, mais elle était aussi mentalement épuisé. Elle n'en pouvait plus de se battre au quotidien pour atteindre un bonheur et sérénité qui n'arrivera jamais... Devait-elle sans arrête combattre ses vieux démons.. et bien soit, puisqu'elle devait sans arrêt vivre dans son passé, il était enfin temps de le prendre en pleine face. Le regard toujours de défi et l'air toujours aussi déterminée, elle croisa les bras : « Je parie que vous venez m'accuser de ce meurtre, sinon votre présence dans MA maison n'aurait aucun sens.. Et bien vous perdez votre temps. Je ne vous dirais rien du tout car il n'y a rien à dire, vous ne me connaissez pas et vous n'êtes pas le bienvenu ici ! » Elle s'avança vers lui, voulant prouver à cet homme qui avait eu l'audace de s'introduire chez elle sans invitation qu'elle n'avait pas peur de lui. Elle n'aurait plus jamais peur de qui que ce soit. Se trouvant donc face à lui, elle leva son visage pour le fixer droit dans les yeux, son regard azur brillant d'une rage sans pareil, d'une fatigue immense et d'un soupçon de crainte face à ces accusations.. Un trouble naissait peu à peu, sentant alors se rapprochement comme s'il avait un impact sur le jeune femme, cet homme semblait plein de mystère.. et il la troublait vraiment... et son regard dur dans le sien était dur à maintenir, si bien que la jeune femme sentit déjà son coeur battre dans sa poitrine, alors qu'elle se trouvait juste en face de lui, à quelques centimètre, les bras croiser devant sa poitrine.


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(#)Sujet: Re: Quand une rencontre peut bousculer toute une vie... ( feat. Nathan Daniels )  |   Ven 2 Oct - 23:56
une rencontre peut bousculer toute une vie.



feat : Alysse J. Purple & Nathan Daniels


« Qu.. quoi.. ? » Elle ne s’empêche de souffler, les yeux troublés, ses lèvres gonflés, parfaitement souligne, d’un ton rouge sang. « Vous m’avez bien compris .. » Je murmurais à mon tour, le souffle couper, caresse sensuellemment sa lèvre humide, elles tremblent, presque perdue reculait d’un pas tétaniser. « Je vous fais peur ? » D’une voix plus séducteur à glace le sang, elle abandonne presque quand je fis un pas de plus vers celle-ci, ses yeux s’agrandies, sa respiration plus forte gémissant contre mon visage, sa poitrine se soulève rapidement comme si c’était difficile pour elle de parler, ses lèvres très appétissantes, son souffle tellement chaud contre mon corps, sa chemise froissée coller à sa peau dessine la finesse de ses seins qui pointes déjà sous le souffle de mes lèvres, près de son oreille d’un ton presque doux et menaçant, cette gravité dans la voix que j’ai, tremblant tellement. « Alysse.. » Mes dents éraflaient sensuellement son oreille, elle étouffe un gémissement entre ses lèvres presque douces à mes yeux, je mordille la ligne de sa mâchoire plus durement mes dents vient éraflés, taquine sa peau, délicieuse, l’odeur de son parfum m’enivrais mon nez. « Tu sens tellement bon .. » Je soufflais d’un ton plus satisfait de celle ci, ma main se pose près de son autre oreille, avec l’aide de mon pouce caresse d’une douceur insupportable très longuement son oreille chaleureusement, rien que le contact de ma main sur sa joue, lui procurais des spasmes. « Très respective... À un simple toucher.. » Il crache d’amertume au creux de l’oreille de celle ci, d’un ton plus instant, tourne la tête vers celle ci, la sens doucement incessamment pencher la tête vers ma joue, laisse écrasée sa joue contre la mienne dans un soufflement presque à couper le souffle, je regarde ses mains moites, presque déstabiliser, qui s’étaient posés sur mon torse, délicatement, les yeux se ferment sous la pression de la respiration plus rapide, totalement troublée, elle avait le cœur serré presque incapable de respire normalement, son visage devenu rouge, elle essaye à chaque bouffés, qu’elle essaye de respirer difficilement, je suis fixé sur ses lèvres, qu’elle mordille durement pour s’empêcher de gémir contre ma joue, son souffle frappe vivement mon visage, je pouvais presque entendre chaque battements de son corps, ses ongles s’enfoncent contre mon t-shirt, le froissant, ses cheveux remballés tombent en cascade sur son visage à chaque de ses respirations profondes contre moi, puis quand je soufflais assez catégoriquement brutalement, d’un ton d’amertume à chaque des lettres du nom de William, de dégoût, le corps de celle-ci se crispe, elle ouvrait les yeux rapidement ses joues avaient prit un teint plus rosé, les lèvres reluisant dû à l’humidité de ses lèvres, elle est presque prise de convulsions, me dévisage très méfiante, ses yeux se détournent, me repousse brutalement en me poussant, je me reculais, la regarde plus sévèrement d’un ton plus sombre, les yeux de cette noirceur, d’excitation en la dévorant du regard, mes yeux remplie de dégoût à la fois, le corps cambrer, debout crisper tout mon corps était tendu, l’écoute me parle de ce Willam. « Je ne vois pas de quoi vous voulez parler. Je n'ai pas vu William depuis plus de 8 ans. Vous n'avez rien à faire ici, et aucune raison de vous montrez aussi familier à mon égard. » Rajoute t-elle en me dévisageant du regard, l’aire vraiment de se braque voire tétaniser sur place. « Vous mentez…. À chaque des mots vous dites… J'ai les photos du crime… » Je lui dis sèchement plus gravement avec ce dégoût que j’avais prononcé le prénom du jeune homme, le visage tirés soulignant parfaitement ma mâchoire carré, les dents serrent à mon tour, cette rage commence à m’envahir, les joues plus creuses, accentuent mon aire furieux contre celle-ci. « Regardez pas votre chambre, je suis clair là-dessus ou vous cherchez quelque chose ? » Je demande sèchement en m’approchent de nouveau d’un pas très distant, à chacun de mes pas, le parquet grince vraiment. L’audace se relie sur mon visage, l’ombre cache la moitié de mon visage, simplement mes yeux étincelles de furieux. « Tu cherches… Ton arme ? » J'inspirais brutalement, soufflait, menaçant envers celle-ci, attrape son bras durement, enfonce chaque doigts dans sa chair, la vois gémir de douleur. « Bouge pas.. » Je lui ordonnais d’un ton très autoritaire, passe sa main sous ma veste en cuir, qu’elle touche alors l’arme. « C'est ça ? » Lui hurlais dessus d’une manière très glaciale, les veine de mon cou avaient gonflés, mon visage s’était vraiment assombris, mon regard en la fusillant du regard. « Prend le … » Lâche brutalement sa main, avant de la plaque contre le mur derrière celle-ci à côté d’un encadrement accrocher au mur. « Prend ton arme merde .. » Elle me dévisage, perdue, sa main toujours sur l’arme, tétaniser sur place, je l’aide en agrippement son arme avec sa main, ses mains tremblent presque, une fois qu’elle tenait fermement son arme, la main sur la gâchette me regarde troublée, ramenait son autre main sous l’arme pour la maintenir, ses yeux reflètent la lumière du salon. « Pointe la sur moi.. Si ça peut te faire plaisir.. » Je murmurais si proche de celle-ci qui se redresse, d’une manière plus rassurant, son indexe très hésitante sur la gâchette, ce qui me fait presque sourire, cette ombre passe presque rapidement. Mon sourire s’efface, laisse place à cette froideur. « J’aime... La manière, tu le tien... Surtout tu l’avais caché dans tes sous-vêtement en dentelle.. » Je continue plus froidement, étant séducteur et calme à la fois, Alysse tremblait vraiment, en écoutant les battements de son coeur, je vois vraiment qu’elle me fixe. Ses bras tendu, sa jupe froissée sur des côtés, comme sa chemise, je vois alors la bretelle de son soutien gros, sur son épaule, la lâche plus du regard. « Pourquoi ? .. » Alysse secouait la tête toujours autant effrayée. « Je compte pas te faire du mal … » J’ajoute plus durement, reculait d"un pas, relevait les mains d’un sourire sournois sur mes lèvres, soutenais son regard très intéressants, mes yeux se dilatent, quelques secondes le désire venait remplir chaque parties de mon corps, tendu le t-shirt collant contre mon torse ,dessine la forme de celui-ci comme le t-shirt, s’engouffre contre mon torse, dessine mes muscles, souligne alors chaque traits de celui-ci, Alysse toujours collée contre le mur les bras tendu, tenait fermement son arme, troublée son corps réagisse à mes paroles comme une caresse, ses yeux douloureusement vient rencontrer les miens. D’un teint plus glaciale. « Qui êtes-vous pour venir ainsi chez moi de la sorte, présentez-vous ! » Me demande t-elle sur un ton plus sur la défense. « Qui je suis ? Celui que les parents de ce cher William, engagé pour trouver des preuves contre vous.. Vous faire vivre l’enfer.. » Je crache plus sèchement avec force plus grave le son de ma voix, résonne encore dans ce salon, le regard foudroyant, que me lance Alysse me fait simplement sourire. « C'est tout ? ... Vous pensez m’arrêter peut-être avec cette arme ??!!! » Je hurlais plus sèchement, je vois alors Alysse tenait vraiment l’arme, laisse me prendre pour cible. « Vous oserez jamais ... N’est pas… » J’articulais instantanément, brutalement de manière sur chaque mots, très froidement de manière à la provoquer, ses épaules se soulevaient, son visage se déforme comme paralyser sur place, son corps tenait debout encore grâce au mur, ses yeux évitant rapidement de croiser les miens. J’applaudis celle-ci qui me dévisage très confuse, les traits de son visage tendus, ses lèvres crispés. « Donc vous l’avez fait !!.. » Je sifflais entre mes dents très en colère, approchant d’un pas très lourd, elle me garde en visuelle avec son arme, bouleversée elle répond pas, se contente de baisser son visage, ses cheveux recouvrait le devant de son visage, je suis plus sérieux cette fois, attrape d’un geste rapidement l’arme, elle soulevait son visage ses yeux brillants de cette dureté, fonce le nez serrant des dents, lui arrache pas encore l’arme, elle est perdue, elle tente de calme les battement rapide de sa poitrine. « Respirer.. Doucement.. » Je lui dis simplement d’un ton très calme presque rigide, en la regardant, secouait la tête, la lumière du salon éclaire très mal le salon, je vois seulement son visage s’était endurcie de rage, ses lèvres tremblant tellement, essoufflée, sa main glisse prés de la gâchette, ses yeux remplis de ce vide, tétanisés me fixent froidement, c’était palpable dans un silence trop calme. Cette tension, son pouce touchant l’arme en métal, sans appuyer dessus. « Nathan.. » Je lui dis calmement d’un ton très évasif sans la quitter du regard, ses membres se détends, me dévisageait toujours autant, troublée elle entrouvrait les lèvres, tremblant encore. « Je suis Nathan Daniels… Avocat.. Pas que ça… La famille de votre ex William.. m’ont engagé pour vous retrouver.. » J'inspirais brutalement intéressement, de manier très méfiant, serrant l’arme du bouts des doigts, avance d’un pas lourd vers celle-ci, pointe l’arme sur mon torse très provoquant, tout en restant silencieux par la suite, mes yeux s’enflamment vivement, ardemment, s’assombrisse assez rapidement sans la quitter du regard.

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(#)Sujet: Re: Quand une rencontre peut bousculer toute une vie... ( feat. Nathan Daniels )  |   Dim 4 Oct - 1:29

Alysse J. Purple & Nathan Daniels
Who are you ? Get out of my home !


« Vous m'avez très bien compris » murmura-t-il alors qu'elle se trouvait toujours si proche de lui, tendis qu'elle pouvait sentir son pouce contre son visage, sa lèvre humide appuyée contre celui-ci. La jeune femme ne comprenait pas ce qui se passait à l'intérieur d'elle en cet instant et surtout, elle ne comprenait pas ce que cet homme faisait là en cet instant alors qu'il avait pénétré dans son appartement sans son approbation et qu'il l'avait presque menacer de la mettre en prison... en avait-il seulement le pouvoir ? Était-il dans les services de l'ordre ou pire encore ? La jeune femme n'arrivait plus à respirer, pire encore, elle n'arrivait plus à penser par elle-même, son corps semblant en totale adéquation avec sa raison. Elle recula d'un pas, comme si elle combattait avec elle-même, laissant paraître cet acte pour un signe de faiblesse de sa part, de la crainte et ce fut prouvé lorsqu'il lui demanda si elle avait peur de lui, mais la seule chose qu'elle trouve à répondre, fut le silence, dans un gémissement en tournant la tête de droite à gauche, ses cheveux se trouvant devant son visage, glissant et se collant à ses peaux encore collante de la transpiration qu'elle avait eu ce soir et n'ayant pas eu le temps de se doucher en rentrant, au vu de la surprise énorme et péjorative qui l'attendait. Il était si grand, si imposant qu'il était presque impossible pour elle de ne pas le désirer, en quelque sorte.. il était beau, séduisant et son charisme était à l'épreuve des balles et cela, oui, ça l'a rendait vraiment dingue, car il fallait qu'elle soit méfiante, avant tout, qu'elle le chasse de son domaine et qu'elle cesse de vivre des situations aussi extravagantes et compliquées que celle-ci. Heureusement, elle constata qu'après le pas en arrière qu'elle venait de faire, sa respiration fut plus rapide, et elle sembla moins réceptive à son tour de charme absolument direct qu'il était en train de faire, comme si son aura se mélangeait à celle de la jeune femme et qu'il savait exactement comment lui faire perdre ses moyens, mais là, comme libérer un peu en s'éloignant, elle retrouvait peu à peu ses esprits, mais pas assez pour dire encore une mots. Il s'approcha de nouveau, l'empêchant davantage de reprendre conscience et le souffle d'Alysse se coupa de nouveau, sa poitrine se soulevant soudainement comme si elle se sentait attirée comme un aimant face à un sorcier des plus habiles qui semblait l'envouté à chacune de ses paroles. Ho, comme elle pouvait le haïr déjà au simple fait qu'il soit entré chez elle de la sorte, mais sa haine n'était que d'autant plus grande qu'il arrivait à la mettre totalement hors d'elle même en mêlant dans son corps et son esprit tout ce qui pouvait chambouler les sens d'une femme. Le corps de cet inconnu était presque collé au sien, sa poitrine touchant son torse à chacune de ses respiration longue et poussé comme s'il était difficile pour elle de prendre une bouffé d'air... Son regard baissé vers le sol, doucement, en un battement de paupière et comme si une musique imaginaire entrait en scène, elle releva ses yeux en battant doucement des paupières, croisant le regard si dur de ce protagoniste si mystérieux.. Il approcha ses lèvres de son oreille, murmurant son nom avec cette voix si suave, si grave et avec une ton qui lui donnait envie de céder sous le poids de ses jambes. Elle ne contrôlait plus rien et elle savait que si elle se laissait aller à ce jeu, elle finirait sûrement par le regretter.. mais c'était plus fort qu'elle, il semblait à chacune de ses paroles, pénétrer son âme et il était si proche d'elle, alors qu'il ne se connaissait même pas, qu'elle en éprouvait une excitation d'autant plus grande... lorsqu'elle sentit ses dents frôler son oreille, elle retint un gémissement de surprise, comme un écho dans son salon, son dos se cambrant et les muscles de ses reins se bandant pour lui procurer une décharge dans la hauteur de la colonne vertébrale. Ses dents se baladèrent sur sa peau, sa mâchoire et descendant dans sa nuque, sa respiration se coupant et son corps se retenant de partir en une fumé de convulsion, tant elle ne pouvait contrôler les frissons et le feu qui se réveillait en elle. Elle n'avait jamais ressentit ça, c'était comme s'il connaissait déjà son corps par cœur alors qu'il n'en avait exploré aucune partie. Elle se mordit la lèvre lorsqu'il lui dit qu'elle sentait bon, sa tête tournant soudainement. Ce fut comme si elle en oubliait même l'instant présent.. ; la porte crocheté, la brique de lait au sol, ses escarpins traînant dans l'entrée... tout cela n'existait plus, il n'y avait que son corps brûlant qui semblait réagir à chacun des appels de cet homme... qui était-il donc.. ? Sa main monta le long de l'oreille de la jeune femme, le souffle chaud de celle-ci soufflant à côté de sa joue, comme si elle était à la fois suppliante et complice de ce qu'il se passait.. Il tourna sa tête vers lui, la joue de la jeune femme entrant en contact alors avec sa joue à lui, sa respiration se faisant lourde, pesante et chaude, dans l'oreille de cet homme. Alysse leva ses mains sur le torse de cet homme murmurant doucement : « Je.. j'ai.. vous.. » elle leva son regard azur et humide, battant des paupières comme si elles étaient lourde et serra la chemise de cet homme entre ses mains, comme s'il pouvait supporter son poids lourdes qui semblait près à s'effondrer à chaque instant. Les lèvres de la belle blonde dont les cheveux tombaient en cascade devant son visage, s'approchaient dangereusement des siennes, se trouvant si proche, leur souffle chaud se croisant tandis qu'elle montait sur la pointe des pieds nus.. mais lorsqu'il prononça le nom de William, la jeune femme eut l'effet d'une douche froide, écarquillant les yeux et revenant brutalement à la réalité, se demandant avec horreur ce qu'elle était bien en train de faire. Brusquement, elle poussa l'inconnu d'une main, le faisant reculer et reculant à son tour également.

Elle vociféra à son égard, ayant reprit totalement ses esprits se trouvant si loin de lui à présent, mentant parfaitement à ce sujet, quoiqu'il ne s'agissait pas d'un mensonge, vu qu'elle n'avait en effet pas vu son ancien amour depuis qu'elle l'avait tué il y avait de cela huit ans. Mais elle ne perdait pas une miette de ce qu'il se passait et ne comptait pas rester sans se défendre face à un homme qui ne savait rien : « Vous mentez…. À chaque des mots vous dites… J'ai les photos du crime… » Elle s'arrêta un instant, son corps se crispa et son regard brillant d'une inquiétude horrible. Comment cela se pouvait-il.. pourquoi fallait-il que cela arrive après huit ans, HUIT ANS !! Alysse devenait complètement folle, ou du moins, c'était la dernière étape avant qu'elle devienne complètement folle... Enragée, elle serra les poings, et s'exclama, les yeux humides et le visage déformer par la rage : « Cela ne prouve rien du tout ! Vous ne savez rien... RIEN DU TOUT ! » Elle avait envie qu'il s'en aille, qu'il parte, et qu'il ne revienne jamais... elle tourna son regard vers sa chambre... son arme était là.. même si dans une jarretière sous sa jupe, elle avait toujours un couteau.. au cas où.. silencieux, plutôt inoffensif mais suffisant pour blesser quelqu'un, ou faire peur. Elle frôla sa cuisse de ses doigts, prête à le tenir, mais il fut plus malin qu'elle et remarqua bien qu'elle cherchait quelque chose. Elle le regarda d'un air de coupable, surprise et tétaniser lorsqu'il avança vers elle d'un pas lent, comme un animal s'approchant de sa proie. Il saisit son bras durement, la faisant geindre de douleur et celle-ci voulu riposter : « Bouge pas » son ton glaciale et sa proximité de nouveau plus affirmé la rendait de nouveau incapable de quoi que ce soit, comme s'il avait une sorte d'impact sur elle... elle le regard de son regard azur, des poches sous les yeux et le visage sombre, comme si elle le défiait, et c'était exactement ce qu'elle faisait, elle ne voulait pas être une de ses femmes soumises et prête à dire amen à tout, non, elle se défendrait pour ses valeurs et la vérité quoiqu'il en coûte et s'il fallait menacer cet homme avec une arme, elle n'hésiterait pas une seule seconde. Mais ce qui allait arriver était totalement inattendu. Alors qu'il ne lâchait pas son bras, d'une main de fer et lui faisant un peu mal. Il tira la main d'Alysse brusquement sous son veston en cuir, la faisant froncer les sourcils, que faisait-il donc ? Cet homme était réellement étrange.. Mais son regard devint énorme lorsqu'elle toucha un revolver, SON revolver, elle reconnaissait bien les détails de celle-ci... elle releva son regard vers lui, une once de crainte et d'inquiétude brillant dans ses pupilles azurs. Elle déglutit, n'osant pas prononcer une seule parole, tandis que la distance qui les séparait enfin précédemment. Elle trembla des lèvres, ne sachant que dire et sursauta soudainement : « C'est ça ? » hurla-t-il alors. Elle sursauta, sa tête entrant dans ses épaules et son cœur s'arrêtant de battre.. là il lui faisait peur, un peu, voir beaucoup.. ce type était complètement malade, un vrai fou ! « Prend le » lâcha-t-il d'un coup en la plaquant contre le mur, la faisant encore sursauté : « Non, non arrêtez...je... » sa voix tremblait, presque suppliante, son ton changeant radicalement lorsqu'il se trouvait trop père d'elle, mais elle savait parfaitement qu'elle était plus forte que ça : « Je ne vois pas ce que vous voulez dire.. » elle releva son regard vers lui, se tenant droite contre la paroi du mur, sa poitrine se soulevant à chacune de ses inspirations, relevant son menton bien droit pour lui faire face malgré sa petite taille. Avant qu'elle n'est pu reprendre ses esprits dû à leur corps si rapprocher et le fait de tenir son arme entre ses mains, elle ne put faire quoique ce soit. Ses mains tremblait, non par crainte, ou stress... Mais simplement parce que ce rapprochement mélanger à ce comportement de la part de cet homme allait en totale contradiction l'une avec l'autre. Il la força à prendre son arme, alors qu'elle allait bien évidemment le faire elle-même.. elle lui avait dit à deux reprises de sortir de chez elle, et il se montrait trop agressif et aussi trop tactile avec elle.. Elle se mordit la lèvre en le regardant lui placer les mains sur l'arme comme si elle ne savait pas le faire.. Il était en train de la provoquer mon dieu ou rêvait-elle... En l'entendant, il semblait croire qu'elle était prête à tirer sur n'importe qui.. ou qu'au contraire, elle n'était qu'une femme fragile incapable de tenir un arme sans trembler. Elle sera les dents en gardant les mains tendu devant elle, pointant l'arme sur lui, sans réellement s'en rendre compte pour le moment. Elle le regardait droit dans les yeux tandis qu'il se trouvait à bout portant.. : « J’aime... La manière, tu le tien... Surtout tu l’avais caché dans tes sous-vêtement en dentelle.. » Elle écarquilla les yeux, abaissant légèrement son arme, comme complètement outrée par ce qu'elle venait d'entendre. Etait-il réellement sérieux... il était fou de constater à quel point il était capable d'être aussi désirable qu'irritant et détestable à la fois.. : « Vous avez fouillez dans mes affaires en plus.. Non mais je rêve.. »

Elle serra les dents, remontant son arme face à elle, tremblante de rage en se sachant dans cette situation.. Son passé lui revenait en plein dans la figure, et elle trouvait cela.. si injuste. Ses yeux s'emplissait de larmes de rage et de haine tandis que ses mains se serraient contre le revolver, pointé sur cet homme pour qui elle avait tant d'amertume en cet instant : « Laissez-moi tranquille ! » s'exclama-t-elle presque en gémissant et sentant une larme couler sur sa joue, une larme de rage témoignant autant de son état que ses tremblements et de ses mains si crispé sur son flingue qu'elle n'arrivait plus à bouger, comme tétaniser et n'arrivant à rien.. elle s'en voulait tellement, tellement d'avoir été si jeune et naïve et d'avoir fait les mauvais choix de vie.. Mais alors que sa vie semblait s'arranger en fin, alors qu'elle semblait toujours tout détruire sur son passage... cet homme venait de faire son apparition, comme si le démon venait de nouveau de toquer à sa porte. « Pourquoi ? » murmura-t-il enfin, tandis qu'elle ne voulait plus rien entendre, secouant la tête comme si elle était... Non, CAR elle était épuisé : « Je compte pas te faire du mal » ajouta-t-il de sa voix rauque, reculant d'un pas, un sourire triomphale aux lèvres, comme s'il voulait la faire passé pour la méchante de l'histoire.. elle releva son regard humide et rouge, des poches sous les yeux d'un regard plein de défi, le dos toujours coller au mur, se retenant de ne pas tomber et sa respiration toujours forte et lente pour que chaque parcelle de ses poumons se remplissent d'air. « Qui êtes-vous pour venir ainsi chez moi de la sorte, présentez-vous ! » ajouta-t-elle enfin, d'un ton cette fois dur, sec, les dents serrez, presque en hurlant, tenant le revolver fermement en main et se penchant pour l'approcher davantage de lui. « Qui je suis ? Celui que les parents de ce cher William, engagé pour trouver des preuves contre vous.. Vous faire vivre l’enfer.. » La jeune femme écarquilla les yeux, comme effarer... Les parents de William.. ? Mais.. Il n'avait jamais eu des parents aimant... ceux-ci l'avaient virer de leur maison en apprenant qu'il se droguait mais.. quoi... ? La jeune femme ne comprenait plus rien, après huit ans.. si ce n'était plus, les parents de William se souciaient du sort de leur fils... et cet.. cet individu semblait assez stupide pour la prendre pour fautive directement. Il lui donnait envie de vomir !! Les hommes étaient donc tous aussi décevant ? S'approchant d'un pas, plus près du revolver, Alysse leva celui-ci pour viser son crâne son regard planté dans le sien et sa respiration se coupa : « Vous n'oserez jamais... n'est-ce pas ? » elle resta un instant silencieuse, son regard bleu dans son regard si sombre malgré ses pupilles clairs.. elle resta un instant confuse, tremblante et les yeux humides.. Mais elle ne voulait pas se laisser intimider, elle était une femme forte et plus aucune personne ne la rendra faible.. son visage changea d'expression et un sourire s'afficha au coin de ses lèvres : « Pour me défendre.. Ho que si j'oserais. Vous devriez le savoir... mais vous ne savez rien, j'oubliais » elle serra les dents, sachant pertinemment qu'elle n'aurait pas du dire ça, mais elle le pensait et elle ne voulait plus mentir et quittes à finir en prison, autant qu'elle y aille en disant la vérité. Mais il siffla alors soudainement entre ses dents : « Donc vous l'avez fait.. !! » il approcha alors d'un pas lourd, encore une fois et la jeune femme sentit de nouveau son corps envahit de frisson et son cœur se mit à battre fortement dans sa poitrine. Elle baissa son regard, ses cheveux tombant devant ses yeux, comme si chaque centimètre qui le rapprochait d'elle suffisait à la réduire au silence et la faire perdre tous ses moyens. Elle était pire qu'intimidé par lui.. Oui, elle avait peur. Peur car elle savait qu'il était au courant pour William et qu'il était là pour elle, juste pour elle et pour qu'elle paie pour ce crime dont elle était plus victime.. Mais comment le prouver. Mais elle avait aussi peur car … pour la première fois de sa vie, elle n'arrivait pas à se contrôler face à un homme. Alysse était une femme qui planifiait tout et aimait garder le contrôle sur sa vie et sur tout en général, ayant toujours un agenda et programme pour tout ce qu'il y avait à faire.. Mais cet homme, cet homme... elle n'arrivait plus à respirer. Lorsqu'il attrapa l'arme, sans lui arraché, la gardant dans cette même position, elle inspira fortement en gémissant presque, sa respiration se faisant horriblement saccadé, presque comme une crise d'asthme.. Puis, la voix de cet homme, ces mots : « Respirez... Doucement.. »... sa voix quoique toujours froide et rigide, s'était fait plus douce, et elle se calma un peu, reprenant peu à peu une respiration toujours forte, mais plus contrôler avec des inspirations longues et prolonger. Elle avait toujours ce regard dur, plein de rage et d'inquiétude, mélanger à cette confusion qu'il faisait naître en elle.. Trop d'émotion d'un coup pour un si petit corps.

Elle avant toujours le doigt près de la gâchette, sans appuyer dessus, trop troubler par cette homme au regard si intense : « Nathan » elle écarquilla les yeux, surprise qu'il dise ainsi son nom, et qu'il est un aussi... enfin, aussi joli en réalité. Elle se détendit doucement, ses doigts se détendant, endolorie autour du revolver. Elle déglutit, la gorge sèche, voulant parler mais il finit enfin par ajouter une dernière chose.. Il était avocat.. ce qui expliquait tous.. Même si la jeune femme se demandait s'il était autorisé de la sorte à pénétrer chez les gens. Elle le vit avancer, son torse touchant le bout du flingue qu'elle tenait toujours, elle bougea les lèvres, ne sachant quoi dire. Elle inspira alors, fermant les yeux et réfléchis avant de le regarder droit dans les yeux : « Je n'ai pas besoin de ça. » elle mit le revolver entre eux, face à elle et appuya sur un bouton pour faire tomber le chargeur dans son autre main.. Puis, elle laissa tomber les deux à terre, ses bras ballant de chaque côté de son corps.. elle inspira de nouveau, reprenant son calme et releva enfin son regard, plus posé vers lui, quoique toujours aussi dur et défiant : « Donc.. Monsieur Daniels n'est-ce pas ? Avocat ?.. Je suis donc accusé de meurtre ? Pourquoi ne pas m'arrêter alors ? Puisque je semble de toute évidence coupable d'un meurtre que j'ai apparemment commis d'une main froide et sans regret hein ?.. » Elle serra les dents et monta sur sa pointe des pieds pour cracher entre ses dents : « Vous.. ne...savez...rien... du tout ! » elle le poussa en le bousculant avec son épaule, et respira de nouveau, restant assez éloigner de lui.. elle pensa toujours à son couteau contre sa cuisse sous sa jupe et de toute évidence, elle n'avait aucune chance de se débarrasse de lui donc autant qu'il reste.. Mais un seul faux pas, et elle n'hésiterait pas à lui tailler la joue. Elle posa ses mains sur ses hanches, la tête droites malgré son air franchement fatiguée, son menton baissé elle regarda l'homme de son regard froid et dit directement : « Vous n'avez aucune idée de qui il était.. Vous ne savez rien de moi et de ce que j'ai pu endurer.. vous n'avez que des photos, des empreintes et les paroles de deux vieux richoux qui ne désirent qu'une chose : DU POGNON ! » elle hurla ses derniers mots, ses yeux emplis de larme de rage. Elle avança vers lui, le doigt lever et l'air accusateur, grognant encore : « Vous venez chez moi, vous m'accusez d'être la pire des salopes, comme si j'aurais pu tuer un homme sans aucune raison ! Vous venez chez MOI, en osant vous approchez comme si je n'avais aucune valeur ni sentiments ! J'ai trop souffert d'homme comme vous qui pensez connaître la vérité.. Mais la vie n'est que mensonge et le voile entre les deux.. Il ne manque rien pour le franchir » elle s'était approcher assez pour que son doigt frôle son torse, son regard froid dans le sien.. elle sentit de nouveau son cœur battre dans sa poitrine, quand un silence poignant s'installa entre les deux. Elle se mordit la lèvre, ses yeux dans les siens, comme si ces mots lui avait révéler quelque chose.. Peut-être cet homme comprendra-t-il... Peut-être voudra-t-il l'écouté et entendre qu'elle n'était rien d'autre qu'une victime dans cette histoire : « Vous vous demandez sûrement pourquoi.. pourquoi je vous dis ça si vite. Mais à quoi bon me cacher... après tout, je n'ai rien fait de MAL » elle inspira et recula de nouveau, dos à lui et avança à la baie vitrer, son visage dans ses mains.. cette soirée était dingue, vraiment dingue.. elle poussa sa tête en arrière, et passa sa main sur son épaule tandis que son autre bras tomba contre son corps, frôlant l'endroit ou était cacher son couteau.. Dans le reflet de la baie, celui de la lune, elle murmura, d'une voix tremblante, changeant et suave : « Vous arrivez dans ma vie, avec vos regard, votre voix et vos paroles.. et vos.. » elle passa ses doigts contre son oreille et frissonna en se rappelant ce contact et tourna son regard vers lui toujours dos à lui : « Vous êtes un avocat bien étrange Monsieur Daniels.. » elle se mordit la lèvre, le visage de profil caché dans l'ombre de la pièce et la lumière de la lune. Elle savait qu'il ne lui ferait aucun mal.. Mais pouvait-elle en dire autant d'elle ? Elle avait ce don pour tout détruire... Mais cette homme semblait l'effeuillé comme une fleur fanée..une rose aux épines acérés....


good vibes.
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(#)Sujet: Re: Quand une rencontre peut bousculer toute une vie... ( feat. Nathan Daniels )  |   Jeu 8 Oct - 3:52
une rencontre peut bousculer toute une vie.



feat : Alysse J. Purple & Nathan Daniels


Alysse avait toujours ce regard tétanisé, perdu à la fois, ses lèvres entrouvertes, tout autant crispées, le teint plus pale, respirais plus difficilement. Ses yeux plus tristes, remplis de rage, son doigts toujours sur la gâchette de l’arme, me menaçant encore, sa respiration plus dure, difficile, tout doucement elle me fixe intéressement, quelques cheveux retombent sur le devant de son visage, en sueur dû à la rage, sa mâchoire crispée, ses lèvres le teint plus bleu, humidifiée, haletante encore très lourdement, essayant de reprendre son souffle, surprise que je lui dis mon prénom, elle laisse ses mains accrochés à son arme, pourtant très endoloris par la manière qu’elle tenait d’épuisement, je fis un pas vers celle-ci, laisse celle-ci toujours me tenir en ligne de mire, elle finit par se calmer, fermement, les yeux quelques secondes doucement, son corps bat rapidement sa poitrine gonfle au rythme de ses battements de coeur, ses lèvres entrouvertes, respire plus régulièrement, ses yeux avec une lenteur s’ouvrent de nouveau assez intensément, ses yeux rouges injectés de sang, dans ses pupilles encore rétractées, cette douleur hante ses yeux brillants de rage. « Je n'ai pas besoin de ça. » Elle soufflait presque de fatigue, son visage très pale, ses yeux évitant les miens, quelques secondes, son souffle plus chaud. « Je suis parfaitement au courant. » Je réplique d’un ton tout aussi dur envers celle-ci, la fixe sévèrement, me reprend alors d’une voix dure, et sèchement en insistant sur les mots qui vont sortir de ma bouche avec rancœur. « Vous posez beaucoup de questions pour une jeune femme autant tourmentée. » Je crache sèchement en m’avançant d’un pas vers celle-ci, le corps tendu, crispé à la fois. « Je vous accuse ce qui est vrai, vous l’avez tué.... » J’articulais très cruellement, d’un air très détaché, le sourire qui s’affiche sur mes lèvres était très froid, force en la regardant quelques secondes à la fois désirant, en savoir plus, étant curieux, je l’a vois s’approché, pose sa main sur mon torse. « Tu es coupable… Ce qui en fait aucun doute.. Cette manière tu as de prendre cette arme, ou encore de cacher ton couteau entre tes cuisses est très excitant à la fois, si je l’aurais voulue. » Je dis très menaçant cette fois-ci. Mon visage se renferme dans l’obscurité, du salon très mal éclairé, ces volets encore ouverts, du bruit à l’extérieur de cet appartement. Je soupire cette fois, si en voyant qu’elle est prête à tout me dire, elle se renferme froidement, ses talons claquent sur le sol, elle appuie sur le bouton de l’arme pour retirer, le charger sans me quitter du regard très froidement. « Tu essayes de m’intimider ? » Je la questionne simplement d’un ton très calme, sauvage à la fois, détaille ses lèvres si fines, parfaitement dessinées, son regard brûlant de rage, brillants dans ce salon très sombre, seul la lumière tamiser au plafond encore mal éclairé, qui grisonne quelque fois, le bruit qu'on entend de chez elle, dû à une fenêtre encore mal fermé, les stores baissés d’un côté. « Vous.. ne...savez...rien... du tout ! » Celle-ci rajoute hors d’elle ses membres de son corps encore rigides, implacable, en haussant le ton de sa voix, très fébrile comme son corps tremblant, incontrôlable, son corps quand elle hurlait de cette rage, elle s’avance vers la baie vitré du salon, donnant sur un petit balcon. « Je crois bientôt le savoir non… Comme pour m’amadoué.. Aussi Alysse. » Je prononce son prénom de manière possessif, insistant bruyamment sur celle-ci, plus durement entre mes lèvres, doux à la fois. Celle-ci se tenait contre la baie, tendue, la tête entre ses mains. « Je vais pas m’apitoyé sur votre sort, fini de jouer.. Vous l’avez tué.. Un homme par de sang froid. » J’articulais d’un ton à la fois sombre, résonnant dans le salon, très ironiquement, elle glousse, je vois le reflet de son visage prit d’un dégout, une larme collante sur sa joue, laissant alors une trace humide sur celle-ci, la goute de sa larme tombe sur le sol, dans un bruit d’eau sur le sol. « Vous n'avez aucune idée de ce qu’il était.. Vous ne savez rien de moi et de ce que j'ai pu endurer.. Vous n'avez que des photos, des empreintes et les paroles de deux vieux richoux qui ne désirent qu'une chose : DU POGNON ! » Elle hurlait ses derniers mots, qu’elle avait prononcé, je suis très songeur, cette rage tremblante, ses cheveux humides en sueur, collantes sur son front, souffle pour retirer ses mèches rebelles encore, son corps qui était horriblement tendu, presque un sanglot dans sa voix. « Vous arrivez dans ma vie, avec vos regard, votre voix et vos paroles.. et vos.. » dans un murmure qu’elle dit ça presque un gémissement en parlant, elle est toujours dos à moi, ses jambes écartées, je souris malicieusement en voyant parfaitement un porte-jaretière où son couteau tenait, c’était assez excitant. « William, cet homme vous à briser, votre manière de vous défendre... De tenir l’arme.. Vous êtes une femme bien entrainée.. D’habitude ce sont des femmes battues. » Il se stoppait voyant le corps d’Alysse réagir, son oeil palpitait, se crisser, sa main tenait les rideaux vers le coin de la baie vitrée, ses ongle s’acharnaient contre le rideau, je l’observerais longuement, d’un pas m’approche derrière elle, elle entend mes pas sur le sol, s’alourdir à chacun de mes pas. « Vous êtes un avocat bien étrange Monsieur Daniels.. » Je l’entendais alors murmuré, ses yeux brulants, ses lèvres parfaitement humides, je l’a dévisage à travers la baie, elle sentait alors cette forte attirance, je reste silencieux, seul mon visage s’était assombri, de cette noirceur qui se dégage de son comportement, l’œil plus méfiant, le visage tendu, crispé, les traits tirés, comme celle-ci, des cernes sous ses yeux, ses joues plus creuses, le teint qui rougie. « Tu n’es pas la première à me le faire remarque, bien la seule... À ce qui je veut faire cet effet. » Je soufflais très proche de celle-ci au creux de son oreille, elle ferme les yeux, inspire fortement, commence à expirer, sa main gauche s’agrippe à mon jean, quand je m’approche de celle-ci, me colle à dos à elle, fermant les yeux, inspire intéressement l’odeur de son parfum, tout mon corps gonfle, elle pouvait sentir mon torse se coller durement contre celle-ci, elle est prit d’une convulsion. « Tu es une jeune femme très bandante... » Je murmurais assez froidement, la sentant se cambrer, ses fesses frottant alors sur mon jean, ma main agrippe alors sa cuisse d’une pression de mon pouce, avec une plus forte pression. « Écarte tes cuisses tout de suite ! » Je murmurais alors d’un ton plus froid, qui résonne contre son oreille, caresse sa cuisse, elle est hésitante, fortement elle voit alors mon regard cacher dans l’ombre, rien que le sourire qui se crispe, presque forcer, la forme vers mes dents très tendue, je pousse avec mon genou sur sa jambe, l’écarte ma main de libre, l’a laisse sensuellement glisser sous sa jupe, froissée, entend alors brutalement la respiration d’Alysse rapidement, autrement ses yeux se ferment sous ce supplice, ses ongles tiennent fermement le rideau. D’une main plus accrocher, me suppliant presque d’arrêter. « J’ai pas d’ordre à recevoir de toi ...» La voix était si douce menaçante à la fois, près de son oreille que je pris entre mes dents, son corps s’est plaqué contre mon torse, elle plie ses jambes, sur ses pieds nus, encore déstabilisée, ses cheveux frappent mon visage. « Pensais-tu vraiment… Que j’avais pas remarqué ton couteau presque à l’intérieur de ta cuisse, ce shorty en dentelle, sur le devant si lisse de couleur rouge sang. » J'inspire plus durement, calme mon excitation, à la fois d’amertume qui vient se mêle à sa voix quand il l’a fixe a travers cette baie, qui reflète totalement son état d’excitation, comme Alysse, les cheveux sur le côté de son épaule essoufflée, ses lèvres gonflés, relevant avec lenteur sa cuisse où le bord de son porte-jaretière se vois fortement, sa tête posé sur mon épaule, ses cheveux cachent vraiment mon visage, le grognement qui sort de mes lèvres, remonte mes doigts vers le tissu froissé de sa jupe, que je plie entre mes doigts, ses yeux encore rouges, remplie de larmes, elle gémit en essayant fortement de le camoufler, au toucher de mes doigts sur sa peau dénudée aussi, sa main remonte vers ma nuque, me touche du bout des doigts, très hésitant, méfiant à la fois, elle touche la peau de ma nuque sensuellement. « Non …» Je refuse catégoriquement, agressivement attrape de ma main droite, sa main près de ma nuque, ses doigts frôlant mes cheveux, ma main agrippe alors son poignet brutalement, elle grince de douleur, je plaque sa main contre la baie, c’était très tendu. La baie qui commence à se remplir de buée, presque qui se forme sur la baie dû à la tension palpitante, Alysse laisse toute sa main s’appliquer contre ma main, gloussant fortement aussi, quand elle sent une bosse se former durement, gonfler assez vers mon sexe, déjà rigide, appuyer contre ses fesses, le tissu de sa jupe frottant longuement, ses yeux avaient cette étincelle très coquine, baisse sa tête pour gémir bruyamment. Ses cheveux retombent sur le devant, sa poitrine se soulevait, se contracte, comme mon torse, quand elle se cambre contre mon torse, chacun traits de mon torse se contractes, souligne ma musculature se dessiner, les reflets du torse, qui moulent, le t-shirt qu’il s’enfonce dans les traits de la musculation. La respiration plus chaude, autant pour moi que pour Alysse, avec pas mal de difficulté dû au désire, ardent entre nous, me penche dangereusement vers sa nuque, le souffle de ma voix si chaude, Alysse soulevait sa jambe, ses doigts touchent alors le bord du couteau. « Tu compte le sortir? ...» Je lui demande froidement comme un murmure en détachant chaque mots au creux de son oreille, elle convulse presque comme un spasme violent, dû à ma voix très froide, le tombe assez grave, brutale à la fois, Alysse tente de à tout prix de reprendre son souffle. Ses lèvres ouvertes expirant, son coeur battant à tout va, celle-ci le regarde du coin de l’œil vers de la baie, qui reflet le visage tendu que j’ai, l’a regarde très soupçonnant à la fois, ignorant les mots qui me frappent en plein fouet, sur William.. Son visage comme un flash back, ses yeux remplie d’eau, le visage essoufflé, épuisé, les joues creuses accentuent sa fatigue, cette rage, plus je pensais, plus ma respiration augmentait, m’appuie contre celle-ci. L’expression accentué, assombrie et vide, perdu de que j’ai dû à ses mots, que je tente d’ignorer, en serrant les dents, qui ondulait son corps, j’ai le corps tendu, crispé à la fois, ma main ressent sur la jupe de celle-ci, que je froisse entre mes doigts, je m’étais totalement raidi contre elle, elle le sentait parfaitement, chaque membres de mon corps se crisper, sous mon t-shirt, mon air très tendu sur mon visage, qu’elle voit sur le reflet de la baie, qui brille dû à la lune qui nous éclaire encore. « J’ai une horreur.. de m’impliquer dans mes affaires personnellement. » Je crache entre mes dents d’une dureté presque écœurant qui se dégage de sa voix basse, près de son oreille, cette rage impitoyable, détacher dans mon regard redevenu vide, aucune émotions, intimidant à la fois.

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(#)Sujet: Re: Quand une rencontre peut bousculer toute une vie... ( feat. Nathan Daniels )  |   Dim 11 Oct - 3:48

Alysse J. Purple & Nathan Daniels
Who are you ? Get out of my home !


Alors qu'elle venait juste de désarmer son revolver juste devant ses yeux, la jeune femme ne quittait pas Nathan du regard, comme si elle voulait montrer qu'elle ne démordrait pas de ce qu'elle lui disait et qu'elle n'était pas une faible femme qui allait se laisser accuser de la sorte. Cet homme ne l'a connaissait pas, n'avait pas vécu son histoire et s'était lancé de façon précipité dans une lutte qui était vaine, car oui, elle savait qu'elle avait bien fait, elle savait que si elle ne l'avait pas tué, William l'aurait sûrement fait en tuant son bébé par la même occasion. Il n'était pas là les fois où il l'a violentait, la faisait fumer de la drogue et l'emmenait dans des soirées absolument glauques où les hommes la regardaient avec une sorte de perversion immonde, la bave leur pendant aux lèvres comme des chacals. La jeune femme, face à cet homme si sûr de lui, serra les poings le regard dur et humide tant la haine lui faisait monter les larmes aux yeux, mais elle ne flancherait pas, non, elle ne lui donnerait pas ce plaisir. S'approchant davantage de lui, au risque que son cœur accélère de nouveau, elle se mit sur la pointe des pieds, le provoquant de ses mots et murmurant dans son oreille ces paroles. C'était un avocat donc, qui semblait avoir été engagé par la famille de William après huit ans de silence. N'y voyait-il donc rien de louche dans tout ça. La jeune femme était prête à parier que ceux-ci se retrouvaient à la ruine et la fortune du père d'Alysse devait être fort alléchante.. Ho comme elle voulait leur faire du mal !! Serrant les poings à s'en briser les phalanges et tremblant, elle le regardait droit dans les yeux, son regard mélangeant sa colère avec les sentiments étranges que cette proximité lui procurait. Cet homme... Nathan Daniels.. Comment pouvait-elle autant le haïr et le désirer en un même sentiments ! Elle se mordit la lèvre, presque à sang en entendant ses paroles froides et sombre, qu'il prononçait de son timbre si suave et masculin, rauque et doux à la fois qui faisait frissonner chaque cellule de sa peau : « Tu es coupable… Ce qui en fait aucun doute.. Cette manière tu as de prendre cette arme, ou encore de cacher ton couteau entre tes cuisses est très excitant à la fois, si je l’aurais voulue. » Elle écarquilla les yeux, surprise par ces mots.. il avait donc deviné qu'elle cachait son couteau dans l'intérieur de sa cuisse, dans une jarretière.. Cet homme semblait avoir l'air de voir au delà de tout, mais il n'avait pas chercher à savoir qu'il est était ni même son passé avant de venir la voir jusque chez elle. Il lui donna tout d'un coup envie de vomir. Posant une main sur le torse de celui-ci, elle fut surprise de constater à quel point il était brûlant.. la chaleur qui émanait de lui était aussi concordant que la froideur avec laquelle il prononçait ses mots.. La jeune femme, par ses gestes, ses actions et ses paroles, lui montrait bien qu'elle ne se laisserait pas faire à son jeu de séduction, non elle était plus forte que cela : « Tu essaies de m'intimider ? » elle ne répondit même pas à sa question, le contournant en faisant glisser sa main sur son torse, et le frôlant avec son épaule, pour se diriger vers sa baie vitrée, cherchant à mettre le plus de distance possible entre eux. La jeune femme ne saurait expliquer pourquoi il avait un tel impact sur elle, sur son corps et la réaction qu'une simple caresse pouvait avoir sur l'ensemble de son organisme. Dos à lui, elle ferma les yeux, n'ayant même pas besoin de le voir pour se rappeler de son visage dans les moindres détails... Il semblait comme imprimer dans chaque particules de son être et cette idée l'effrayait plus encore que sa présence et ses accusations sur sa personne. Ses traits carrés, dur, son teint si pâle et parfait avec une grin de peau qui semblait dur comme un rock, son regard, si clair mais sombre à la fois, la transperçant.. un frisson parcouru son corps en entier, passant de la plante de ses pieds jusqu'au sommet de son crâne. Dos à lui, elle se mordit la lèvre, croisant les bras pour compresser sa poitrine qui semblait l'empêcher de respirer.. malgré son chemisier plutôt ample, la jeune femme avait peine à respirer à l'idée même de sentir l'odeur de cet homme dans toute la pièce. Il avait prit possession des lieux, il était partout, et si elle se laissait aller, elle ne pourrait plus tenir ses jambes, s'écroulant et le laissant faire d'elle ce qu'il désirait. Nathan Daniels, quel homme bien étrange qui semblait lui avoir jeter un sort à l'instant même où elle avait croisé son regard. Le son de sa voix interrompu les pensées de la jeune femme qui retomba de nouveau sur terre et se rappelant la gravité de la situation, le dos crisper face à la vitre reflétant son reflet. Elle releva son regard vers lui, qu'elle voyait à travers celle-ci également : « Je crois bientôt le savoir non… Comme pour amadouée.. Aussi Alysse. » Entendant son prénom, de cette façon, comme si elle n'était qu'à lui et rien qu'à lui, la fit frissonner et elle ne put s'empêcher d'aimer ça, comme si un soupire sortit de ses lèvres, elle se mêla à la rage dans son être quand à ses accusations venant de sa part. Oui elle avait tué William. Oui, elle avait tué un homme. Elle passa ses mains sur son visage soupirant, comme ayant du mal à reprendre son souffle et se retenant de tout cassé sur son passage : « Je vais pas m’apitoyer sur votre sort, fini de jouer.. Vous l’avez tué.. Un homme par de sang froid. » Elle écarquilla les yeux, un hoquet sortant de sa bouche, choquée. C'est ainsi qu'il l'a voyait ? Comme une simple meurtrière ? Elle sentit une larme couler le long de sa joue, tant ce qu'il venait de dire lui fit du mal.. comment pouvait-il lui dire ça, sans savoir les conséquences, sans connaître les faits réels.. Elle se mordit la lèvre en tournant le tête pour ne pas craquer. Elle tourna alors son visage vers lui, le visage déformer par le dégoût et dévoila alors : « Vous n'avez aucune idée de ce qu’il était.. Vous ne savez rien de moi et de ce que j'ai pu endurer.. Vous n'avez que des photos, des empreintes et les paroles de deux vieux richoux qui ne désirent qu'une chose : DU POGNON ! »

De nouveau, elle se tourna vers lui, lui prouvant qu'elle n'avait pas peur de lui. Mais chaque fois qu'elle croisait son regard et se rapprochait de lui la faisaient de nouveau tomber dans ce tourbillon de sensation qu'elle semblait ne pas pouvoir contrôler en la présence si proche de cet homme.. Monsieur Daniels. Elle lui vociféra des paroles pleines de hargne et de férocité à son égard. L'accusant à son tour de juger la situation sans la connaître. Oui, elle avait été fautive évidemment.. mais pas dans cet acte envers William. L'erreur qu'elle avait commise fut de s'enfuir avec ce jeune homme de 26 ans lorsqu'elle n'en avait que 16... elle n'était qu'une adolescente, amoureuse pour la première fois et rêvant d'aventure et de liberté.. mais jamais elle n'aurait pensé que l'homme qu'elle avait tant aimé de son cœur de jeune fille, puisse être quelqu'un de violent à ce point, se servant d'elle comme un objet ou comme un simple amusement. La jeune femme se droguait, buvait à outrance et faisait tout ce qu'il désirait, guidé par un amour naïf et sans avenir... comment, avec un si jeune âge, aurait-elle pu comprendre la gravité de la situation. Elle ne connaissait rien à la vie à l'époque, et jamais elle n'aurait pensé tomber enceinte... encore moins d'un homme tel que lui. Mais elle l'apprit trop tard pour avorter... mais que pouvait-elle faire d'autre.. elle l'aimait.. ou elle s'en persuadait, comme une victime s'étant attachée à son bourreau. Il l'avait frapper en l'apprenant, ivre et riant à gorge déployé, la laissant à terre en la frappant à sang, la tête lui sonnant. Qu'aurait-elle pu faire autrement... ? Le tuer en saisissant cette arme avait été une meilleure solution. Oui, elle savait manipulé une arme, il lui avait apprit lors de leurs nombreux crimes.. enfin, des petits crimes, comme des vols à l'étalage.. Mais.. tuer un homme. Oui, le tuer n'avait fait que la rendre plus folle qu'elle ne l'était déjà.. et la trahison de son père à la suite, qui lui arracha sa propre fille.. eut raison à jamais du cœur de la jeune femme, qui semblait ne plus jamais vouloir se laisser aller aux ivresses de l'amour. Mais cet homme.. ce Monsieur Daniels.. il faisait naître en elle des sentiments qu'elle n'avait encore jamais connu et encore moins mélangés ensemble de la sorte. Elle se mordit la lèvre, posant sa main sur son torse et baissa alors les yeux, se retournant de nouveau vers la baie vitrée d'un pas lent après lui avoir dit cette dernière phrase : « Vous venez chez moi, vous m'accusez d'être la pire des salopes, comme si j'aurais pu tuer un homme sans aucune raison ! Vous venez chez MOI, en osant vous approchez comme si je n'avais aucune valeur ni sentiments ! J'ai trop souffert d'homme comme vous qui pensez connaître la vérité.. Mais la vie n'est que mensonge et le voile entre les deux.. Il ne manque rien pour le franchir....Vous vous demandez sûrement pourquoi.. pourquoi je vous dis ça si vite. Mais à quoi bon me cacher... après tout, je n'ai rien fait de MAL » Elle resta de nouveau là, près du rideau, en regardant dans le reflet, du coin de l'oeil, cet homme si beau et si grand... avec ce charisme et ce mystère qu'elle n'arrivait pas à résoudre. D'ordinaire, Alysse était du genre à cerner facilement les gens.. plutôt du genre à vouloir que tout soit parfait, organisé et planifier, elle avait de plus en plus l'impression que celle qu'elle était partait en fumer au fil des mois.. elle se mordit de nouveau la lèvre.. baissant les yeux vers la ville dehors, illuminée par ses lumières.. soupirant, elle reprit doucement son calme.. :« William, cet homme vous à briser, votre manière de vous défendre... De tenir l’arme.. Vous êtes une femme bien entraînée.. D’habitude ce sont des femmes battues. » se crispant et levant soudainement le visage vers son interlocuteur dans le reflet, ses yeux devinrent de nouveau humide et sa respiration se coupa, comme si le temps venait de s'arrêter le temps d'une minute après qu'il est prononcé ses mots.. Il l'avait dit.. il avait donc comprit ? Etait-ce le cas ? Elle n'arriva pas à prononcer un mots... une femme battue.. Oui, elle ne pouvait plus le nier, c'est ce qu'elle avait été, mais elle ne voulait pas se l'avouer. Alysse ne voulait pas avouer ses faiblesses, elle ne voulait pas qu'on l'a prenne pour une pauvre chose fragile. Mais en cet instant, elle ne voulait pas passer pour le monstre.. non, car le monstre.. c'était William. Le monstre dans son placard dont elle s'est elle-même débarrasser.. car le monde était trop aveugle pour voir son désespoir. Elle l'entendit s'approcher d'elle, tandis que son regard était toujours perdu dans l’immensité de l'horizon : « Vous êtes un avocat bien étrange Monsieur Daniels.. » murmura-t-elle dans un souffle. Plus elle le sentait se rapprocher d'elle, plus son cœur semblait se serrer dans sa poitrine, ses lèvres humides haletant davantage, ses yeux humides se relevant pour voir son reflet juste derrière elle.

Elle pouvait désormais sentir son souffle dans sa nuque. La jeune femme respirait lourdement, non pas rapidement, mais lentement, sa poitrine se soulevant comme au rythme d'un son inexistant. Le silence se plaça entre eux, laissant place à une tension palpable. Un désir qu'elle ne pouvait nier s'installait dans son être, prenant place dans la pièce toute entière, autour d'eux et planant au dessus de leur tête. La jeune femme tourna son visage sur le côté, dévoilant son profil dans l'obscurité. Elle n'osait le regarder dans les yeux, comme si elle savait qu'il pourrait y voir l'intérieur de son âme et ce désir si visible dans son corps se révéler à lui comme une évidence, comme une autorisation de faire d'elle ce qu'il désirait. « Tu n’es pas la première à me le faire remarque, bien la seule... À ce qui je veut faire cet effet. » Elle releva son regard de profil vers lui, voyant légèrement son visage la fixant dans le reflet de la vitre.. elle déglutit, son cœur battant à une vitesse folle dans sa poitrine. Il s'approcha davantage, son torse collant au dos de la jeune femme.. Alysse, comme pour ne pas tomber, agrippa le jean de celui-ci sans même réellement s'en rendre compte, fermant les yeux en prenant une profonde inspiration en sentant l'homme humer le parfum dans ses cheveux. Qu'était-il en train de se passer... l'air entre eux semblait se charger en une électricité, comme si plus rien ne semblait compter dorénavant. Comme s'il avait toujours été dans son salon, sans qu'il est eu besoin d'entrer dans cette maison en utilisant un crochet, comme s'il n'avait pas été présent pour l'accuser de meurtre.. Non... mon dieu, comme sa tête pouvait lui tourner. En sentant son souffle dans sa nuque, la belle blonde se sentit prise d'une convulsion, comme si un simple souffle suffisait à la mettre dans un état de transe intense. Il commençait à la rendre folle, encore plus folle qu'elle ne l'était déjà. Sa tête lui tournait, comme si une pression se formait sur ses tempes, tambourinant au rythme de son cœur qui faisait vibrer son corps d'un désir irrépressible.. Ho oui, en cet instant, elle désirait cet homme... mais comme elle pouvait le haïr de la rendre aussi faible. « Tu es une jeune femme très bandante... » Elle rougit subitement en l'entendant murmurer ses mots près de son oreille. Que lui arrivait-il pour prononcer de tel mot en une telle situation. Mais ce qui l'a surpris davantage... fut qu'elle rougit. Elle qui était si forte et dominante d'ordinaire semblait être à la merci complète de cet homme... cet avocat si attirant et charismatique. Elle se mordit la lèvre en se laissant comme peser contre son torse, cambrant son dos pour que sa tête si lourde s'appuie à lui, la cambrure de ses fesses frottants son jean dont elle restait si ardemment agrippée. Elle sentit alors la main de Nathan agripper sa cuisse.. cette cuisse où plus haut, cacher sous sa jupe, se trouvait son couteau. Elle ouvrit grand les yeux, ouvrant la bouche pour prendre une grande respiration de surprise, comme un hoquet et se mordit la lèvre pour ne pas gémir comme une pauvre sotte, fermant alors durement les paupières.. elle ne devait pas perdre son sang froid, non, elle.. elle devait.. rester forte.. Mais ses pensées était si confuse, si pleine de... désir. « Écarte tes cuisses tout de suite ! » murmura-t-il de nouveau entre ses dents, comme un souffle dur et ardent dans l'oreille de la jeune femme qui ouvrit de nouveau les yeux en quittant sa main du jean de cet homme, agrippant alors le rideau à côté d'elle. Le regard de la belle blonde croisa le sien, dans le reflet de la vitre, la fixant avec un sourire sur son visage qui eut comme effet de la faire rougir davantage. Elle sentit son genoux venir presser entre ses cuisses, l'aidant à les écarter, tandis qu'elle faisait de son mieux pour résister : « Non... Non Monsieur Daniels.. je vous inter.. » Alysse avait du mal à respirer, la chaleur de son corps devenant brûlant, son corps se crispant, tandis que la main de l'avocat se frayait sensuellement un chemin sous sa jupe, la faisant soupirer, sa respiration haletante l'empêchant de parler tant elle avait l'impression de ne plus avoir aucune force, la fatigue n'aidant en rien : « J’ai pas d’ordre à recevoir de toi ...» Sa main s'immobilisa sur sa cuisse, à proximité de son couteau. Tandis qu'il saisit son oreille entre ses dents après avoir murmurer ses mots. La jeune femme, surpris, hoqueta en basculant sa tête en arrière, se laissant d'autant plus aller contre le torse de Monsieur Daniels, son corps frissonnant de toute part : « Pensais-tu vraiment… Que j’avais pas remarqué ton couteau presque à l’intérieur de ta cuisse, ce shorty en dentelle, sur le devant si lisse de couleur rouge sang. » La jeune femme ouvrit les yeux doucement, mi-clos en entendant la voix de cet homme à son oreille, comme un souffle, un animal près de sa proie qu'il pouvait dévorer à tout instant : « Comment... comment avez-vous vous.. » elle soupira entre ses lèvres humides, gonflé à force de les mordre entres ses dents et ferma de nouveau les yeux. Elle ouvrit difficilement les paupières, ses jambes tremblant et ne mouvant doucement comme ne pouvant s'empêcher d'onduler lentement près de lui.. le désir avait totalement prit possession d'elle, elle ne contrôlait plus rien. Alysse sentait de plus en plus sa tête lui tourner, son corps prit de vibration au rythme de son cœur qui n'en pouvait plus, faisant bouillir son sang dans son corps comme si elle était sur le point d'exploser. Elle sentit ses mains contre sa peau nu, remonter le tissu de sa jupe, dévoilant peu à peu sa jarretière contenant son couteau. Elle essayait de résister, murmurant des non parfois, mais gémissant en se retenant, les dents serrer et se mordant les lèvres à chaque contact de ses doigts sur sa peau nu et brûlante en contraste avec ses grandes mains froides et habile...Elle lâcha le rideau d'une main, relevant son bras vers lui, frôlant doucement ses cheveux comme si elle cherchait à s'agripper à lui, frôlant de ses doigts la nuque de celui-ci d'un geste qui fut rapidement interrompu. Il vint saisir sa main durement, la faisant grimacer et gindre, son regard croisant le sien, comme surprise et celui-ci vint la plaquer contre la baie vitrer, la cambre davantage en avant, se retrouvant dans une position des plus tendus, sa jupe presque totalement remonter, et deux boutons de son chemisier dévoilant doucement son décolleté déjà humide tant la chaleur la consumait de l'intérieur : « Mais.. je.. » elle ne savait quoi dire, les mots lui manquait.. elle devait absolument s'éloigner de vite..elle devait reprendre le dessus sur elle-même au plus vite..

La main plate contre la baie vitre, était comme caché par la main de Nathan.. des mains si imposante, si grande et docile.. la jeune femme leva les yeux vers lui, croisant un instant son regard en sentant alors contre la courbure de ses fesses, une bosse se former dans le jean de l'avocat.. elle baissa les yeux, gloussant doucement, comme trouvant la situation complètement absurde, ayant comme retrouver ses esprits tout d'un coup, mais ce fut de courte durée lorsqu'elle mouva doucement, sentant la virilité de Monsieur Daniels contre elle, sachant l'effet qu'elle semblait lui faire, la faisait d'autant plus perdre conscience. Elle baissa la tête, ses cheveux tombant en cascade devant son visage, essayant de se contrôler, comme un combat avec elle, même, sa respiration se faisant lourde, lente et haletante, ouvrant la bouche à chaque expiration en sentant le corps de cet homme contre elle aussi durement et attractivement... elle le désirait. Mon dieu comment était-ce possible. Lui qui était si... si... mon dieu, mais n'était-il pas sensé être un ennemie entre autre. Mais il avait reconnu alors qu'elle avait été frapper.. qu'elle s'était défendu. Les rôles s'étaient-ils donc si rapidement inversé. Elle n'en pouvait plus de toutes ses pensées qui rongeaient son esprit, mélangeant raison et sentiments. Elle devait réagir.. ce n'était pas bien. Il... il n'avait pas demander l'autorisation après tout non ?? Donc elle pouvait se défendre ?... Mais en avait-elle réellement envie... ? Ou était-ce son propre combat entre sa conscience et son désir ?... Elle se mordit la lèvre, ses yeux humides.. l'envie de hurler la submergeant, tandis qu'elle entendait aussi la respiration chaude et lourde de Nathan derrière elle qui se pencha contre elle, murmurant à son oreille si elle comptait sortir son couteau, alors qu'elle pouvait le sentir du bout de ses doigts.. Elle releva alors son visage vers lui, n'en pouvant plus, sa respiration se faisant rapide, dur et comme si elle était sur le point de s'évanouir. Elle était comme prise de panique, de peur, de désir, de haine... elle était complètement perdu. Cet homme la rendait dingue. Elle croisa son regard dans la baie vitré et il semblait comme lire en elle, si facilement, si horriblement facilement que ça l'a rendait malade. C'était comme si... lui aussi se battait contre quelque chose. Elle sentait ses muscles se crisper à chaque respiration, son regard dans le sien, la provoquant jusqu'au bout.. Mais elle sentait qu'il n'était plus réellement son ennemie. Mais que cela ne lui plaisait pas plus que ça. L'état dans lequel ils étaient tout deux était presque similaire à un post coït.. comme si l'un l'autre n'avait aucunement besoin de se toucher pour ressentir le désir et le plaisir. Il y avait une connexion.. et Alysse avait honte de se l'admettre alors qu'elle ne connaissait rien de cet homme.. Elle devrait simplement le haïr et utiliser ses cours de combat contre lui en lui donnant une bonne leçon, le virant à coup de pied au cul de son domicile. Mais elle n'y arrivait pas.. Non en cet instant, alors qu'elle voyait son visage tendu dans la baie vitrée, elle n'arrivait pas à le haïr... elle essayait, sans parler de communiqué avec lui.. comme lui suppliant son aide pour qu'elle ne se retrouve pas au purgatoire pour un crime dont elle n'était pas le bourreau mais la simple victime. Mais... elle avait en elle une peur envers lui qui perdurait. Car il était.. malgré tout... elle ne savait comment lire en lui. Il était imprévisible, et elle ne savait pas s'il jouait un rôle, s'il se moquait d'elle ou se préparait juste à lui faire du mal comme tout homme l'aurait fait avant : « J’ai une horreur.. de m’impliquer dans mes affaires personnellement. » elle tourna son regard vers lui, essayant de voir son visage autrement que dans la vitre et murmura : « Qu... Quoi.. ? » elle ne voulait pas être faible, elle ne le serait pas.

Il lui avait demander si elle comptait sortir son couteau... elle n'en avait pas la moindre idée. Mais à trop réfléchir, elle risquait de passer à côté de sa chance de voir qui était cet homme en réalité. Tout d'un coup, elle saisit son couteau et se tourna brutalement, se retrouvant dos à la baie vitré, le corps de Nathan pratiquement coller au sien étant donner qu'il s'était rapproché quand elle bougea, et sans perdre de temps, et même instantanément, elle plaça la lame sous la gorge de l'avocat, son regard toujours plein de désir, chaud, les joues rouges et le regard humide, sa respiration se faisant rapide et ses lèvres gonflés à force de les mordres. Elle leva son regard vers lui, l'air plus menaçant, avec toujours cette fougue dans le regard, comme une tigresse qui, même si elle se trouvait dans ses filets, ne se laisserait pas aller sans gagner en partie la guerre. Elle se mordit la lèvre, une once de peur dans le regard et murmura : « Vous savez. N'est-ce pas... ? Vous savez que c'était lui le monstre.. vous le voyez dans mon regard. Alors.. » elle déglutit, baissant un instant le regard : « Po.. Pourquoi être aussi proche de moi. Pourquoi me.. toucher de la sorte. Pourquoi faites-vous ça ? Vous moquez vous de moi... ? Où... est-ce autre chose.. ? » elle ne voulait pas vraiment de réponse, elle voulait juste voir dans son regard la même chose qu'elle, ce trouble, même infime, qui expliquerait cet agissement envers elle. Il avait toucher son corps, mordu sa peau... un homme ne ferait ça que pour deux choses... jouer avec le corps d'une femme.. ou parce qu'il y avait autre chose. Elle n'arrivait pas à se résoudre à admettre qu'il en était de même pour lui que pour elle... mais comment faire confiance à un homme qu'on vient de rencontrer alors qu'on avait été si longtemps trahie par la gente masculine... Elle prit une regard plus sombre face à son silence et appuya un peu plus la lame : « REPONDEZ MOI ! Vous... vous me touchez com... comme si je.. comme si vous me désiriez.. mais.. » elle sentit une larme couler contre sa joue, son corps toujours autant en feu, sa main tenant le couteau tremblant dans sa main, elle se mordit de nouveau la lèvre baissant le regard. Elle ne voulait pas paraître faible... : « J'ai été tant de fois trahie, utiliser, user, détruite.. par les hommes. William.. je l'ai détruit avant qu'il ne le fasse... Mais vous.. j'ai l'impression que je peux vous faire confiance mais... j'ai.. » elle recula doucement sa main, laissant apparaître une marque rouge sur la peau de Nathan, qu'elle ne remarqua pas, ne le quittant pas des yeux : « J'ai peur. Peur de me tromper encore une fois... » elle laissa alors tomber la lame sur le sol, faisant sonner le bruit dans toute la pièce, et s'approcha doucement de lui, ses lèvres si proche des siennes, son souffle chaud contre le sien, son corps se collant davantage à celui de cet homme, dont elle pouvait sentir de nouveau la bosse sur son pantalon : « vous croyez toujours que je suis une tueuse de sang froid... Monsieur Daniels.. ? » elle releva son regard vers lui, prenant un peu plus d'assurance, comme se donnant du courage pour ne pas flancher. Elle voulait être sur qu'il ne pensait plus qu'elle était juste une tueuse, ayant assassiné quelqu'un d'innocent.. mais il était vrai, qu'elle se sentait comme joueuse en cet instant, ayant comme oublier la situation dans laquelle ils se trouvaient tous deux. Il n'y avait plus que le désir qui animait la jeune femme,et cette peur d'être encore plus détruite qu'elle ne l'était déjà. Mais il était avocat non... les avocats n'étaient-ils pas sensé être des hommes justes en qui on pouvait avoir confiance. Peut-être était-il entrée chez elle dans le seule but d'obtenir la vérité et non pas de l'accuser à tord.. ce serait une faute professionnel absolument abominable.. et peut-être avait-il déjà eut des informations sur elle.. Peut-être la désirait-il avant même de l'avoir rencontrer. Etait-ce possible... ? Était-ce possible ou bien la jeune femme fantasmait-elle sur des faits qui étaient irréels.. Elle essayait de trouver une explication possible à ce tel élan chez cet homme qui manquait totalement de pudeur envers elle et de respect.. mais la jeune femme n'avait jamais ressenti ce tel désir, ce tel tourbillon de sensation en un seul corps jouant à l'unisson à l'en faire perdre la raison. Elle se colla à lui, frollant du dos de sa main la joue de cet homme, durement, le regard plein de méfiance : « Puis-je.. vous faire confiance, Monsieur Daniels. » Elle voulait l'embrasser, là en cet instant, elle ne désirait qu'une chose, l'embrasser, tant ils étaient près, mais s'il l'a repoussait, s'il ne faisait que jouer d'elle.. et... tant de question, sans agissement alors qu'elle avait déjà la jupe si remonter sur ses cuisses et son chemisier froisser, ses cheveux tombant sur son visage lui donnant un air de femme fatale presque intimidante mélanger à ce côté si juvénile et sexy, soumise à cet homme, si bien qu'elle tentait tant bien que mal à chaque fois de cacher son désir, et son trouble, mais ses jambes qui tremblait et son corps répondant à l'appel de ses caresses ne mentait pas... le corps ne mentait jamais : « Monsieur Daniels.. je.. » leur lèvre étaient si proche, leur corps si coller contre cette baie vitrée, elle se mordit la lèvre, frôlant alors celle de l'avocat. Ho non c'était mal.. si mal.

« Je.. je ne peux pas. » elle se recula donc d'un pas pour s'appuyer à la baie vitré, mais soudainement, elle trébucha contre le couteau, sans avoir le temps de passer devant lui, ne faisant que se coller de nouveau à lui. Elle bascula en avant, comme au ralentit poussant un léger cri de surprise, et sentit les mains de Nathan la maintenir pour qu'ils ne tombent pas tous les deux, mais alors, dans le mouvement, sans qu'ils ne puissent le prévoir, leur lèvres se retrouvèrent l'une contre l'autre, dans un baiser comme voler à chacun.. la jeune femme ouvrit doucement les yeux, et voulu reculer comme pour s'excuser ensuite, rougissant à vue d'oeil et son cœur se serrant de nouveau dans sa poitrine, mais elle sentit l'emprise de l'avocat contre elle, et ne put s'empêcher de fermer les yeux, les mains contre ses torses, finissant alors par lui rendre ce baiser.. mais ce qu'elle ne pouvait prévoir, ce fut le torrent d'émotion que provoquèrent ce baiser. Elle sentait ses lèvres chaudes contre les siennes, son corps si fort et brûlant contre le sien. Troublé, la jeune femme recula, se retrouvant coller à la baie vitré, sentant le genoux de Nathan se frayer un chemin entre ses cuisses, relevant davantage sa jupe, dévoilant son shorty en dentelle rouge de plus en plus, elle soupira entre les lèvres de Monsieur Daniels, gémissant en sentant son corps se coller au sien et voulu le repousser, en vin, ses poings serrer poussant désespérément son corps d'athlète. Mais malgré tout, elle sentait l'excitation monter en elle comme une tornade dans son corps, son sang étant en ébullition, ses jambes chancelant son corps si bien qu'elle du s'agripper au torse de l'homme qu'elle embrassait pour ne pas tomber : « Monsie...Monsieur Daniels..han.. » murmura-t-elle haletante avant que leur lèvre ne se rejoignent de nouveau, la tête de la jeune femme relever par sa petite taille et fermant les paupières fortement en gémissant contre sa bouche, le laissant passer le passage de sa langue pour venir rencontrer la sienne. Elle avait chaud, si chaud... elle sentait son corps prit de convulsion, son être entier ne voulant plus qu'une chose : cet homme. Elle serrait de plus en plus sa prise, sentant le baiser devenir de plus en plus fougueux, animal. A chaque minute, la pression sur ses lèvres était d'autant plus forte, sentant l'empreinte de cet homme parcourir chaque particule de sa peau.. Elle était comme sienne, en cet instant et comme si plus rien ne pourrait effacer cet instant. Leur baiser prit enfin fin, la jeune femme reprenant difficilement sa respiration, les joues rouges et le regard humide presque clos croisant celui de Nathan, qui la regardait de ses yeux si perturbant et envoûtant. Elle se mordit la lèvre, baissant le regard, pour la première fois gêner d'être regarder comme si elle était nue, comme si tout d'elle se retrouvait dévoilé face à cet homme : « Je.. je suis désolée j'ai.. j'ai trébucher et je... Monsieur Daniels.. Vous êtes si... si.. je.. » elle releva son visage vers lui, se mordant la lèvre, comme si elle n'était pas rassasier, son corps et son esprit devenant le parfait chao.. cet homme la rendait complètement folle... au point qu'elle en oubliait tout, complètement tout. Plus rien n'existait autour d'eux. Elle pouvait sentir le corps de l'homme en face d'elle si fort, si crispé et la bosse sous son jean... lui donnait encore plus le vertige si bien qu'elle ne savait que penser


good vibes.
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(#)Sujet: Re: Quand une rencontre peut bousculer toute une vie... ( feat. Nathan Daniels )  |   Ven 16 Oct - 18:09
une rencontre peut bousculer toute une vie.



feat : Alysse J. Purple & Nathan Daniels


« Vous savez. N'est-ce-pas... ? Vous savez que c'était lui le monstre... vous le voyez dans mon regard. Alors... » Demande t-elle encore essouffler, le visage étonné, ses lèvres si fines gonflées, reluisant dû à l’humidité sur celle-ci, son bras tendu tenait fermement le couteau, la lame de celle-ci contre ma gorge, j’inspirais lourdement, l’a fixe, défiant, très impassible. « Que je sache ou pas, en quoi cela vous soit si important ? » Je hurlais brutalement, furieux contre celle-ci de manière assez provocateur, les yeux remplis de ces lueurs très moqueur, serre les dents, en sentant le métal de la lame tranchante sous ma gorge, l’a dévisage en grognant de façon très lasse. « Alysse tu peux faire ce que tu veux, je compte pas lâcher l’affaire… » Je murmurais d’un ton très sombre, menaçante à la fois en voyant celle-ci, tremblais la main tendue vers moi, j’appuie plus durement contre la lame, l’ombre d’un sourire narquois sur mon visage qui scrute celle-ci intensément, le regard brulant comme des flammes qui dansent dans mes yeux de fureur, je grimace durement en l’a fixant, l’a voir autant hors d’elle, essoufflée, le coeur battant, son dos plaqué contre la baie vitrée, sa respiration plus lourde, elle est toujours autant haletante, le souffle plus rude encore, ses joues, le teint très rosé. « Po... Pourquoi être aussi proche de moi. Pourquoi me… toucher de la sorte. Pourquoi faites-vous ça ? Vous moquez vous de moi... ? Où... est-ce autre chose... ? » Elle murmurait presque d’un souffle rapide, me fixe dans les yeux, je secouais la tête en serrant la mâchoire, penche la tête sur le coté, la lame se presse plus durement contre ma gorge, elle avait un air menaçant, sérieusement, en attendant simplement mes réponses. « Parce que je peux... Te toucher, te caresser, sentir, ton corps se raidir sous mes doigts, cette adrénaline, tu ressens ton corps pris par des spasmes. Ton visage troublé tout autant Alysse. » Je soufflais simplement, très envieux, avec un malin plaisir à insister d’une manière très brusque sur son prénom, j’inspirais alors plus brutalement, le visage crispé, les muscles plus tendus. « Vous êtes toujours autant curieuse de chaque choses que je fais ? Bien-sûr que je vous désire. » Je conforme sèchement en essayant de garder mon calme, devant l’aire presque désespérée de celle-ci, le visage en sueur, essoufflée, tellement que sa poitrine se soulevait plus lentement, ses lèvres se pressent contre ses dents qui mordillent sa lèvre, ses yeux étincèlent de désire tout comme moi, sa main s’était agrippée à ce couteau, la pointe de la lame contre ma gorge, je soufflais tout en gardant mon air très sombre, l’a fixe très défiant, sourit alors malicieusement en fixant sa main qui tremble dû au fait qu’elle soit nerveuse, sa jupe remontée sur ses jambes, que je savoure à regarder, le porte-jarretière que je vois parfaitement. « J’aimerais tellement te le retirer. » Je crache, très excité par celle-ci, le timbre de ma voix plus tremblant, grave, un petit sourire presque forcé sur mon visage qui se crispe de rage, mes yeux s’assombris dangereusement, très cruellement, mes lèvres s’entrouvraient, durement dans ma voix, j’avais cette nuance très assombris, de désire ardent pour celle-ci, ses yeux reflétant alors cette étincèle désespérer à ses mots qui claquent durement dans le salon. « J'ai été tant de fois trahie, utiliser, user, détruite… par les hommes. William… je l'ai détruit avant qu'il ne le fasse... Mais vous… j'ai l'impression que je peux vous faire confiance mais... j'ai.. » Elle rajoute très durement, hors d’elle, ses yeux se referment quelques secondes pour souffler, reprendre son souffle, cette voix presque suppliant de l’a croisé. « Vous êtes une femme vraiment sexy, je peux pas trop les en vouloir de vous avoir eu dans leur pieu… » Je crache de manière très cynique en voyant cette rage grandir dans ses yeux, très choquée, elle reculait d’un pas, baisse son bras mais tenait ce couteau, je soufflais, reste très droit, presque rigide devant celle-ci, m’avance menaçant. « Pauvre petite fille très naïve tout ce que vous étiez à mes yeux... » Je grogne, frustré par celle-ci, sentant encore cette marque invisible à mon cou, qui tirait de ce coté là, très intimidant. Je l’a fixe très intéressement sans quitter ses yeux qui se remplis d’eau, j’inspire en levant les yeux au ciel. « Faut toujours se méfier des apparences Alysse.. » Je murmurais assez simplement, sans émotions dans ma voix, pris gout à cette amertume, les traits tirés de mon visage rigides, creuses presque ma joue de rage, quand je joue avec mes dents en serrant ma mâchoire, une boule se forme vers mes joue de rages, puis je reste presque immobile en fixant cette larme coulé sur sa joue, qui roule sur cette joue laissant une trace humide sur celle-ci : « Merde.. » Je lui dis assez sèchement en colère, tourne la tête sur le coté, cette rage commence assez à m’envahir, mes muscles étaient tendus, crispés. Je soupire en refusant de l’a voir dans cet état, fixe simplement, très déterminé, la baie vitrée où le reflet de la lune s’était accentué, mes doigts me démangent fortement, comme engourdies, le simple bourdonnement qui résonne presque à l’arme de celle-ci qui s’étale sur le sol, cela me crispait encore d’avantage. J’entend des bruits de pas, des pieds nues de Alysse qui s’approche timidement vers moi, je tourne très lentement le visage vers celle-ci, si proche de moi. Ses mains avec cette délicatesse se posent sur mon torse, j’essaye de ne pas trop montrer, en fermant durement ma bouche, restant très silencieux, simplement la dévisage assez durement, de cette douloureuse envie d’elle. « Tu es loin d’être une meurtrière. » Je lui répond d’un ton très blasé, en insistant avec intimidation sur chaque mots que je prononce si près d’elle, ses yeux toujours autant troublés par ce désire, qu’elle se met sur la pointe des pieds en se penchant près de mes lèvres, retenant son souffle. « Je suis pas votre prince charmant, redescendez sur terre Alysse.. Quoi que je suis pas insensible à l’envie de te prendre. » Je lui dis d’une voix ferme très autoritaire envers celle-ci, l’a fixe assez pour faire un pas près d’elle pour que ses seins viennent s’écrasés brutalement contre mon torse, qu’elle gémisse contre mes lèvres. « Une femme forte qui croit encore aux contes de fée pathétiques. » Je crache horriblement, presque d’un ton très froid à glacé le sang, elle sent que je me raidis encore plus en pressant mon sexe entre ses jambes, brutalement lui écarte la jambe sur le coté, Alysse essoufflée et troublée se tenait accroché contre mon torse, sa respiration plus rapide, son rythme cardiaque augmentait, elle baisse la tête assez rapidement, je pose un baiser sur son front murmurait très menaçant et doux à la fois. « Alysse.. » Je soufflais sur le front de celle-ci, d’un ton plutôt moelleux, écoeurant à la fois, très menaçant bruyamment aussi. « Plus jamais.. Tu te mords la lèvre devant moi... » Je lui ordonnais sèchement comme un sarcasme tremblant qui sortait de ma bouche, me penche vers son cou, son parfum, cette odeur de son corps, elle sentait mon nez frôler son cou sensuellement. « Bouge pas.. » Je crache entre mes dents d’un son très lourd très en lenteur pour accentuer vraiment la torture qui, presque un supplice près d’elle, elle frisonne pris de convulsion contre mon torse, sa voix enivrante, pourtant à la fois hésitante aussi, restant haletante, très près de mon visage rigide . Je sentais cette goute salée de sa sueur sur le front de celle-ci, cette chaleur quand elle bouge contre moi, je grognais assez sèchement. « Monsieur Daniels.. je.. » Elle rajoute toujours autant troublée le souffle coupé, haletante bruyamment, sa respiration était très forte cette tension entre nous était vraiment palpable. « Dit rien.. » Je lui répond en reculant d’un geste assez sèche l’a fixe tout simplement. La voix troublante que je lutte contre cette envie, je serre le poing tellement, mes ongles entrent dans la paume de ma main, entrent dans ma chair, que je sens pour me calmer, l’ombre cachait mon visage encore presque cette noirceur, qui m’envahie, ma respiration qui claque à chaque fois que je respire entre mes lèvres, mon torse se gonfle fortement, le t-shirt collant à mon torse, les traits de ma musculation se forment sous mon t-shirt qui moule les formes de mes muscles, cette ombre cache fortement mon visage dû à la lumière du salon, qui grisonne presque à s’arrêtez, mes muscles tendus, les reliefs de mon t-shirt font surfaces parfaitement sur mon torse. « Me retouche plus jamais.. » Je l’a menace alors d’un ton très glaciale après j’avais pris l’air dégouté, attrape durement son poignet en articulant brutalement contre celle-ci de me lâcher en hurlant, penche la tête sur le coté. Après qu’elle caresse ma joue avec l’aide du dos de la main tendrement, je grogne, en sentant sa main caresser contre ma joue, allant vers mes lèvres, je l’a dévisage simplement en voyant qu’elle s’était hissée sur la pointe des pieds, sa main caresse toujours ma joue, à chacune de mes respiration mon torse se gonfle, c’était très tendu, ce qui m’écoeure malgré moi, de dégout à la fois, d’où la grimace sur mes lèvres crispés, me renferme rapidement, je m’étais raidi sur place, très tendu, après qu’elle lâche le couteau le bruit métallique de la lame tombe sur le sol, résonnait dans le salon. Alysse se reculait d’un pas, sa main sur la baie vitrée celle-ci glisse, ses genoux se replient ses cheveux virolent devant son visage, elle entrouvre les lèvres surprises soupire, quand elle tombe vers l’avant, après avoir glissé sur le bout du couteau, ses mains se posent brutalement d’un geste rapide sur mon torse, je fais un pas déterminé, l’a tenant par les hanches, mon pouce s’appuie vers le bas de son ventre, mes doigts agrippent sa chemise, le tissu se coince dans mes doigts de chaque coté, l’a tenant l’air très calme impassible, ses cheveux retombent en cascade sur son visage, elle relevait timidement le visage contre moi, essoufflée les joues qui rougies encore plus, l’ombre cache son coté du visage gêné, ses lèvres gonflées d’un rouge, dans tous ses états, ses doigts très hésitant à se tenir, elle soufflait sur ses cheveux, je tendais les bras pour la tenir fortement avant qu’elle essaye de bouger, elle grimace dû à son pieds qu’elle s’est tordue, je l’agrippe, l‘a plaque contre mon torse mes lèvres s’écrase brutalement contre les seins, j’inspire lourdement, l’a dévisage, très rigide en sentant ses lèvres, contre les miennes, celle-ci panique timide, me regarde, je laisse une main vers sa taille avec mon pouce que je presse sur son ventre, vers le bas de sa jupe que je caresse sensuellement, ma main libre l’apporte vers sa joue mes doigts, caresse alors sa peau. Mes yeux bleus brillant de fureur qui étincellent assez sombre, je remarque qu’elle tremble de tout son corps, sa main agrippe contre mon t-shirt, sa respiration s’était accéléré rapidement fortement, son souffle frappe mon visage durement, ses sein gonflent alors, la poitrine de ces seins durcies. « Très sexy.. tes seins.. pas mal... pour que j’y goute très bientôt. » Je soufflais durement contre ses lèvres d’un ton très intimidant chaud à la fois, en fixant ses seins qui se redressent durement, qui épouse vraiment son chemisier, envieux, très admiratif par sa poitrine, avec l’aide de ma main étalé sur sa joue, je la ramenais assez brusquement contre mes lèvres, elle gémit quand elle sentait mes lèvres s’écrasées contre les seins, qu’elle entrouvrait les lèvres, j’attrape sa lèvre inférieure, la tire d’un coup très sec vers moi, l’entend gémir, camoufler contre mes lèvres, c’était très douloureux à la fois que j’avais écrasé mes lèvres contre celle-ci, elle semble être surprise, pris sa langue entre mes dents de manière très provocateur, l’embrasse plus sauvagement, en jouant avec sa langue, très sensuellement, je l’a sens presque à bout de souffle, ses yeux se ferment doucement, je remarque grâce à la lune qui nous éclaire, qu’elle était en sueur, son visage relevait vers mes lèvres, encore très confuse, sa jupe froissée remonter vers ses fesses, son shorty rouge sang en dentelle, sur le devant le tissu, très lisse, d’un rouge, qui m’excite encore plus durement, je bandais vraiment, elle est très fibrille sous mes lèvres dures, chaudes à la fois, ma langue rentre dans sa bouche, elle laisse sa main remonter vers ma nuque alors qu’elle tremblait, vers comme ses lèvres qui se referment contre ma lèvre inférieure qu’elle serre mes cheveux, qu’elle a entre les mains ses doigts étalent sur ma nuque ses ongles s’enfoncent contre celle-ci, je grimace fortement, Alysse essaye désespérément de se retenir contre moi. « Pourquoi vous excusez-vous ? .. » Je soufflais d’un murmure toujours intimidant d’une voix assez dure, tout autant très doux aussi, caresse alors son menton d’une main, le pouce dessine inconsciemment ses lèvres que je presse avec le bout de mon pouce, elle est humide, tellement chaude aussi, je sentais aussi qu’elle inspirait, souffle sur mon pouce aussi, elle joue timidement en me regardant de ses yeux brillants en me fixant tendrement très envieux, surtout elle continue à descendre ses yeux vers mes lèvres qu’elle dévore du regard. « Petite chose fragile.. » Je crache durement, quand elle me dévisage soudainement, toujours haletante, je vois qu’elle replie sa jambe nerveusement, mon pouce lui caresse l’élastique de sa jupe, enfouis alors avec une envie ma main sous sa jupe. « Ce petit bout de tissue qui gâche pas mal la vue.. » Je dis sourdement d’un ton tellement détache, en grognant contre ses lèvres durement, j’avais prononce ses mots très lourds remplie de promesses, très menaçant à la fois, avec cet rigidité dans ma voix, elle se raidit sous le toucher de ma main sous sa jupe, elle pose son front contre mon visage, essoufflée ses ongles érafle mon t-shirt, l’odeur de ses cheveux, ou encore de ses lèvres, j’inspirais brutalement assez intensément, elle gémit bruyamment contre mon torse, tout son corps était bouleversé, chaud, elle reprenait son souffle, son corps réagit à ma main sous sa jupe, glisse de manière très tendu vers son shorty m’appuie sur le tissu, avec la paume de ma main, j’appuie sur son clitoris, elle gémissait bruyamment, relevait les yeux avec une lenteur insupportable, me regarde longuement, ses lèvres se retroussent dans un murmure, très chaud près de mes lèvres, mordille sa lèvre, glisse ma main bien fermement sur le tissu en soie, je remarque assez facilement qu’elle est mouillée, avec l’aide de ma main, j’appuie alors sensuellement sur son clitoris fessant des cercles très doucement, elle replie ses jambes à ma merci. Son corps se cambre contre ma main avec mes doigts vers le bas de son sexe entre, recouvert par ce tissu, caresse lentement le tissu, elle gémit soudainement, ma main se trouve coincer sous sa jambe, qui se colle au dos de celle-ci, je sens juste l’élastique se colle contre ma main, dénudée qui s’appuie contre ma main se cambre, Alysse alors pousse son corps pour que ma main caresse plus lentement le tissu qui froisse quand j’appuie sur son clitoris brutalement, ce qui lui arrache un gémissement, elle me regarde très confuse, essoufflée encore. Sa main se replie durement vers ma nuque, ses lèvres gonflées effleurent alors ma mâchoire, cambre sa poitrine qui s’écrase douloureusement contre mon torse, sentait que je bande vraiment pour que celle-ci, j’inspire lourdement, fortement cette lourde brulant, mon sexe devenu très épais redressé aussi, je grognais près de l’oreille d’Alysse, quand sa main effleure alors mon jean serrer, tendu et froisser, touchant mon érection imposant, dur, s’appuie contre sa main. Je m’arrête, reculais d’un pas très déterminé, qu’elle me regarde très étonnée, ses jambes allaient lâchées. « Une chose est sûr.. tu me donne envie de ton corps.. » J’articulais froidement d’un ton très autoritaire, les traits de mon visage soulignent cette froideur sur mon visage tendu, très séducteur d’une voix plus calme chaude, sombre qui résonne dans le salon, je soufflais alors en me penchant dangereusement, le souffle plus lourd vers l’oreille de celle-ci. « Ton porte-jarretière donne le moi.. » Elle inspirait alors d’étonnement, les lèvres pincés, elle me regarde encore toute émoustillée, cherchant dans l’ombre de mon visage crispé de désire ardant, je prenais alors une mèche de ses cheveux très provocateur, laisse mon pouce jouer sur ses cheveux ébouriffés entre mes doigts, Alysse reste face à moi, son visage calme détendu, les cheveux sur le devant de son visage sa respiration saccadé chaud, sa poitrine se soulevait rapidement dû à sa respiration très lourde, elle gémie bruyamment, j’approche d’un pas vers celle-ci, mes chaussures claquent sur le sol, l’a tient alors par la taille, de mon pied gauche pousse sur sa jambe pour que je puisse l’a plaqué durement contre la baie vitrée, elle inspira simplement, perdue, ses lèvres suspendues à mes paroles. « Ma petite Alysse.. Je meurs d’envie de te prendre.. » Je murmurais alors d’une voix moelleuse douce, près de son visage, frôlait ses lèvres chaudes, reluisantes tellement, elle se raclait la gorge, se sentait défaillir, ses muscle se contractent sous le poids de mes lèvres qui venaient caressés ses lèvres presque engourdies, fines, parfaitement dessinées, envieuse à la fois. Je regarde sa poitrine généreuse, le tissu de la chemise froissé engouffrer contre ses seins, je vois qu’elle pointe, durcie déjà en sueur qui dégouline près de son cou, glisse vers ses seins. Je pose alors un doigts entre ses seins, caresse l’arrondie de son mamelon bien ferme, presse avec ma main, la sens totalement soumise, ses yeux se ferment délicatement en essoufflant entre ses lèvres brulant, ses joue qui ont le teint rouge, serre le tissu de sa chemise, d’une main sentait fortement, le tissu approché alors tend ma main avec l’autre main, j’agrippe brutalement alors l’autre bout de sa chemise, puis d’un geste brusque déchire sèchement de désire celui-ci sous le bruit assourdissant de son haut qui craque, dévoile alors ses seins, ferme sous le bonnet encore de son soutif. Son ventre plat, qui bouge au rythme de sa respiration, en reluisant dû au rayon de la lune qui passe par la baie vitrée, elle contracte fermement les muscles de son ventre. Je mordille alors le trait de sa mâchoire avec mes dents, brulant de cette ardeur qui me consume. « Je veux ton… Porte-jarretière.. » Je lui demande très exigeant d’un ton menaçant aussi à la fois, passe mon pouce sur le haut de sa lèvre, puis je glisse vers l’inférieur. « Chut... ton corps réagit à chaque fibres de ton corps en réclame encore plus, cette chaleur qui envahie ton corps, te faire si mal c’est douloureux à chaque secondes.. » Je lui crache brutalement au creux de son cou, la tension dans mon corps aussi était très tendue, ma main qui plonge alors sous l’un de ses seins, que je prenais sous la paume de ma main, sens seulement le bonnet de son soutif qui me bloque. Cette excitation palpable me rendait dingue, je reste très impassible.


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Quand une rencontre peut bousculer toute une vie... ( feat. Nathan Daniels )

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