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 it's never too late to apologize.It's never too late to tell the truth

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(#)Sujet: it's never too late to apologize.It's never too late to tell the truth  |   Dim 25 Oct - 20:50
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Bassidy




«  Bell... Je» Fronçant les sourcils, Cassidy raya ce qu'elle venait de rédiger. Elle soupira, avant de rouler en boule la feuille sur laquelle elle avait écrite, et la jeta dans la corbeille de papiers. Malgré tout ses minces efforts, elle n'arrivait pas à totalement savoir comment commencer le début de sa lettre. Soit cela sonnait trop dur ou alors trop gentiment. Aussi étonnant que cela pouvait être, elle n'arrivait pas à faire le juste milieu. Pourtant, il le fallait. C'est en s'accordant une minuscule minute de silence que la jeune femme décida de se concentrer un maximum afin d'essayer de rédiger une lettre digne de ce nom, la jeune femme était trop peu démonstratif et c'était un gros problème surtout lorsqu'elle souhaitait s'excuser, chose qui ne lui était jamais arrivé. Un silence. Le noir total. Les mains sur son visage, l'esprit concentré dans ses pensées ; l'étudiante releva la tête après quelques instants. Troquant son stylo pour son portable  dans sa main gauche, elle ne mit pas à longtemps a commencé a rédiger un sms. Il fallait qu'elle ait une discussion avec lui, elle n'en pouvait plus de devoir le fuir et de le voir la fuir quand ils se croisaient. C'est fou combien on se rend compte de ce qu'on a lorsqu'on a tout perdu.

Cassidy ne savait même pas combien elle avait été attaché à Bellamy jusqu'à ce qu'elle le perde à petit feu. Le message envoyé elle souffla de soulagement avant de recevoir une notification, il venait de lire son message, son coeur se mit à battre à toute vitesse. Tu sais quoi, j'ai pas envie qu'on en reparle encore une fois, je t'ai dit tout ce que j'avais à te dire, mais j'ai surtout pas envie qu'on fasse ça par sms. On se voit à 19h alors. C'était presque comme si pour le moment elle était vide d'intérieur, vide de sentiment. Toutefois, la jeune femme se disait qu'elle avait une nouvelle fois agit avec sincérité et que pour cela elle n'avait pas à se sentir coupable, elle s'était excuser maintes fois et avait rangé sa fierté à plusieurs reprise. Elle avait merdé en effet, mais tout cela ne se serait pas produit s'il lui avait tout dit, Hannah était sa meilleure amie d'enfance il n'est pas étonnat qu'elle aille lui confier tout ce qu'elle avait entendu.  Pensant que cela ne servait à rien, que cela allait encore être beaucoup plus dure, Cassidy cherchait à éviter la confrontation, à éviter les mots blessants. Pourtant, c'était peine perdue. Elle avait beau se le faire croire, il était évident qu'une mise au point, une confrontation allait être présente. Il fallait se faire une raison.

Elle prit son sac et quitta la villa de son frère dans lequel elle avait passé le plus clair de son temps depuis leur dispute.  Elle était rentré discrètement dans l'appartement, Bellamy était dans sa chambre en train d'écouter de la musique, elle retira ses chaussure avant de regarder l'horloge qui indiquait   18h30, il ne s'attendait sûrement pas à ce qu'elle soit rentré à cette heure-ci. La porte entre-ouverte, elle ne prit même pas la peine de toquer, elle poussa doucement la porte avant de toquer.


Alors qu'il vit enfin sa présence , elle, perdu  le fil, débranché la prise et recyclé le chargeur. Elle avait décidé de fonctionner à l‘énergie solaire. Manque de bol, ce-dernier ne semblait décidé à s’empêcher de se glisser sous ses draps de coton sale et humide violacé dans lesquels il se roulait depuis bien trop longtemps. Je ne veux pas te perdre, Bell.. s'il te plaît ne me déteste pas ...  [Putain Cassie qu'est-ce qu'il te prend à te dévoiler comme ça? ]  pensa t-elle Il n'avait pas l'air de comprendre les paroles prononcées bien trop brusquement à ses goûts aseptisés par l’ennui, ou avait décidé de ne pas faciliter la tâche à la jeune femme . Poésie concrète pour nourrir les esprits, pour être dévorée alors qu’on en énuclée les arêtes, le symbolisme qui reste en travers de la gorge et blesse les deux hémisphères, deux univers, asymétriques et méthodiques, si tu les frottes, ça pique. Il  était une icône, ou tout du moins une métaphore, il  ne se laissait pas comprendre. Ils ne se laissaient pas se faire comprendre.  Si il y a bien une chose qui trahissait Cassidy c'était son regard elle n'avait pas regarder Bellamy dans les yeux jusqu'à ce moment précis, elle le frappait de son ressenti, il était rare qu'elle se laisse lire , mais elle ne controllait rien actuellement, son regard était remplit de tristesse, de culpabilité, on pouvait sentir sa gêne. Bien loin de ce regard rigide et impénétrable, l'on pouvait lire en elle librement.

Une nano-seconde, des plus longue selon elle. Fierté retrouver c'était comme si son regard c'était refermé, comme si elle s'était ressaisi,  la seule fois ou elle avait ressentie cette culpabilité c'était avec Wayne le seul à pouvoir percer la carapace de Cassidy. Cela prouvait que Bellamy était bien plus qu'un simple colocataire mais également un frère. Il est juste triste que la demoiselle s'en rende compte que maintenant. Elle baissa de nouveau son regard avant de venir s'asseoir sur son lit  à ses côtés  pliant ses jambes et regardant droit devant elle.  J'ai merdé, je le sais, je n'aurais pas dû lui en parler , mais j'ai toujours eu l'habitude de tout lui dire chose que la jeune femme réfléchira à deux fois avant de parler à sa meilleure amie qui lui avait caché grossese et le père de l'enfant pendant deux semaine. Je n'ai pas à justifier cet acte stupide et je ne saurai t'expliquer c'qui m'est passé par la tête Bell, je veux juste que t'arrêtes de m'ignorer comme tu le fais. C'est con mais j'aurais jamais pensé que ça me ferait autant de mal de plus te parler. Je t'en voulais de ne pas me l'avoir dit avant,je me fiche que tu sois bi je me fiche de tout ça, je croyais juste qu'on était assez proche pur que tu m'en parles, je me suis sentie trahis en quelque sorte mais je me rends compte que c'était un sentiment excessif de ma part étant donné que si moi je ne me dévoile peu à toi tu n'as pas de compte à me rendre.
Elle serra son poing plantant ses ongles dans sa paumes. C'était peut-être facile pour les autres de se dévoiler comme ça à quelqu'un et de ranger sa fierté mais c'était une épreuves des plus difficile pour la jeune femme. son ton était grave et bas, elle avait baissé le regard et fermé les yeux par peur du jugement elle reprit sa respiration même si sa voix tramblottait et ajouta Je.. je t'apprécie beaucoup trop pour te perdre Bellamy, je te considère plus comme mon frère que comme mon colocataire, t'es le frère jumeau  que j'ai perdu Bellamy, et je supporterais pas de perdre ce jumeau encore une fois avoua t-elle alors que ce dernier n'était même pas au courant de la vie de Cassidy.  Je .. je veux qu'on soit honnête l'un envers l'autre Bellamy. J'me vois pas continuer comme ça... nos soirées Netflix and chill me manque, nos tournées de bar aussi, nos danses stupides devant le mirroirs du hall me manque énormément, le complice que j'ai trouvé en toi me manque, je sais que tu me déteste et que tu ne me pardonneras pas comme ça, je te comprends, prends le temps qu'il faut pour digérer la connerie que j'ai faites.
elle se stoppa soudainenemnt, elle ne savait pas quoi dire elle se redressa sur le côté avant de croisé ses jambes. Je suis désolé , vraiment, je sais que c'est simple de s'excuser après avoir blesser une personne c'est comme cassé le vase préféré de quelqu'un de s'excuser comme si de rien n'était mais je suis prête à récolter les morceaux de verre et a tout reconstruire. Je ne veux vraiment pas te perdre  Il était plus facile de jouer la forte tête que d'assumer ces petits moments de faiblesse. Elle ravalaît ses larmes avant de lui donner un coup amicale sur son torse. Saches que le seule pour qui je serais capable de remuer ciel et terre c'est wayne et que j'ai jamais fait d'efforts envers n'importe qui d'autre. Elle ria doucement avant de baisser les yeux. Elle disait vrais, elle ne rangeait sa fierté que pour Wayne il était sa pire faiblesse. eseul qui comptait véritablement pour la jeune femme pourtant elle intégrait dans ce petit carré fermé de sa vie Bellamy. Elle était même prête à dévoiler ses pires secrets.
AVENGEDINCHAINS
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(#)Sujet: Re: it's never too late to apologize.It's never too late to tell the truth  |   Dim 29 Nov - 10:04

 

it's never too late to apologize
 



Un goût amer dans ma bouche. Une sensation de brûlure dans ma gorge. Une envie incroyable de frapper le mur jusqu'à m'en briser les phalanges. Une rage sourde au fond de moi. C'était ça, la trahison. Ça vous retournait les tripes jusqu'à vous en faire vomir, ça laissait une trace qui ne s'en allait pas tout de suite. Il m'avait fallu beaucoup, beaucoup de temps pour digérer ce que Cassidy m'avait fait. J'avais cru tomber d'un gratte-ciel le jour où Hannah m'avait annoncé être au courant pour Matthias et moi. J'avais eu cette sensation écrasante et vertigineuse que tout était en train de se casser la figure et que je ne pouvais rien faire pour empêcher cela. Hannah, c'était toute ma vie. La raison pour laquelle j'étais encore là, bien vivant. La femme pour laquelle j'avais envie de devenir meilleur et d'arrêter mes conneries une fois pour toute. Ça n'avait jamais été très facile entre nous. J'étais beaucoup trop secret, et elle avait mis du temps avant de m'accorder sa confiance. Je ne l'ai jamais blâmée pour cela. Elle avait raison, elle ne connaissait rien de ma vie. Et pourtant, je n'étais pas prêt à lui dire. Les mots ne voulaient pas sortir de ma bouche, quand je tentais d'aborder le sujet de mon passé violent et douloureux. Il y avait trop de honte, trop de saleté. L'univers dans lequel j'avais grandi, celui qui me collerait toujours à la peau et que j'adorais malgré moi, oui, mon univers n'était pas fait pour une fille comme Hannah. Elle et moi, c'était la théorie des contraires. Elle avait toujours eu, malgré le décès de ses parents et la perte de son premier enfant, une vie relativement aisée, facile, alors que j'avais toujours dû me battre pour tout. Rien ne m'était arrivé servi dans une cuillère d'argent. Je venais d'une famille nombreuse, pas bien riche, vivant dans un quartier chaud où nous étions très mal perçus en tant d'étrangers. Cela m'avait forgé un caractère d'acier et un tempérament de feu. Mais j'avais également dû me créer une carapace pour me protéger, protéger ceux que les autres n'approuvaient pas. J'avais dû refouler ma bisexualité et tout ce qui me définissait réellement pour me fondre dans la masse. Mais ce n'était pas de la lâcheté, ça non. Je leur aurais bien hurler en pleine figure que j'aimais les queues, à ces petits cons. J'avais simplement peur des retombées sur ma famille et mes proches. Hannah pouvait me blâmer pour lui avoir cacher tout cela, je le comprenais parfaitement, mais elle avait bien compris que ce n'était pas pour lui faire du mal que j'avais omis de lui dire ces choses-là. J'avais simplement toujours été habitué à cette vie de mensonge, de tromperie. Je ne parvenais jamais à accorder pleinement ma confiance, car j'avais été trop souvent trahi. Je ne portais pas une grande confiance ni un grand amour pour l'espèce humaine, plus généralement.

Une question s'était néanmoins posée : comment Hannah avait-elle pu être au courant ? Si je ne lui avais rien dit, qui l'avait fait ? Sûrement pas Matthias. Jamais il n'aurait pris le risque de lui annoncer, car lui aussi jouait sa peau sur ce terrain. Nous avions conclu une sorte de pacte, tous les deux. Aucun n'aborderait le sujet avec elle. Alors, oui, ma conscience n'avait pas été tranquille pendant un certain temps. Je m'en voulais d'ailleurs toujours d'avoir menti à Hannah. Mais je ne pouvais quand même pas lui dire que j'avais eu une relation avec son meilleur ami, alors qu'elle ignorait tout de ma bisexualité ! J'avais envie que ça fonctionne entre nous, et j'étais prêt à tout pour cela. Malheureusement, la vérité finit toujours par s'apprendre, et notre couple n'a pas fait exception à la règle. Mais comment l'avait-elle découvert ? Je m'étais retourné la tête pendant mes nuits d'insomnies, entre deux réminiscences de ce qu'Hannah et moi étions autrefois. Avant qu'elle n'apprenne l'horrible vérité. Qu'elle apprenne à me connaître, moi, Bellamy. Et puis, j'avais moi aussi appris la vérité. C'était Cassidy. Cassidy qui avait tout fait capoter. Cassidy. Au début, je n'y avais pas cru. C'était pas possible. Elle ne ferait jamais cela. Et pourtant, si. Il fallait croire que je ne la connaissais pas aussi bien. Je considérais Cassidy comme une soeur, comme une très bonne amie. Plus qu'une simple colocataire, la jeune Stark me fascinait. Elle avait toujours su lire en moi comme dans un livre ouvert, et ce dès notre rencontre. Avec elle, je n'avais pas besoin de me cacher. Elle faisait tomber mes défenses en un regard. Elle voyait clair en moi et j'avais cru voir clair en elle. Il fallait croire que je m'étais trompé.

Cassidy avait des remords. Évidemment. Je ne lui avais pas adressé un mot depuis, ce qui était légèrement pesant étant donné que nous habitions ensemble. Je voulais qu'elle ait mal, oui, qu'elle souffre. C'était sûrement idiot, viscéral, puérile. J'étais plutôt du genre rancunier, quand je m'y m'étais. Je voulais qu'elle ait mal, même si je savais qu'elle ne souffrirait pas autant que j'avais souffert. Après cette révélation, notre couple avait franchement battu de l'aile et j'étais retombé dans mes sombres démons. L'héro, ma vieille amie, était venue me rendre de nouveau visite. J'étais redevenu cet ado troublé d'à peine dix-sept ans, qui vivait d'amour et de drogue. La tête dans le brouillard toute la journée, un assourdissant silence autour de moi. La drogue était mon dernier rempart contre la réalité quand je n'étais plus assez fort. J'aimais paraître indestructible, mais je ne l'étais pas. J'étais beaucoup plus fragile que l'on eut cru. Mes fondations étaient fragiles. Qu'est-ce que j'avais été, pendant cette période, au fond ? Un grand gamin qui avait peur et qui cherchait à fuir, par n'importe quel moyen. C'était ce que j'avais toujours été que je ne cesserais jamais d'être. Hannah m'avait vu. Hannah avait rencontré le vrai Bellamy, celui que j'essayais généralement de cacher. Celui qui n'était pas beau, pas gentil, pas poli. La part sombre qui sommeillait en moi, la part de bestialité et de violence. L'enfant blessé avait grandi, et il était devenu dangereux. Si j'avais croisé Cassidy, pendant cette période, j'aurais été véritablement dangereux pour elle. Je ne frappais jamais les femmes, mais je n'étais plus moi-même. Ou plutôt, si, c'était le véritable moi qui s'était réveillé, et celui-ci n'avait aucune limite.

Assis sur mon lit, je l'attendais. J'attendais Cassidy et notre face-à-face qui s'annonçait plus que houleux. Même si cette mauvaise passe était derrière moi, que j'avais retrouvé Hannah et jeté pour un temps mes seringues, j'étais toujours très remonté contre elle. Cassidy Stark m'avait fait du mal, et pire encore, elle m'avait trahi. Elle avait souillé mon honneur. Et ça, oui, ça je ne le supportais pas. Oui, j'étais un arrogant petit connard dans ces cas-là. Mais je refusais que l'on me marche sur les pieds, que l'on s'appelle Cassidy ou non. Cependant, si j'avais accepté cette entrevue, c'était parce que dans un sens j'étais curieux de voir ce qu'elle aurait à dire pour sa défense. Et puis, étrangement, j'avais envie de la voir. Elle me manquait, elle ou plutôt ce que nous étions autrefois. La pilule avait du mal à passer et j'ignorais si j'aurais l'envie de la pardonner à un moment. Megalomania résonnait dans mes oreilles. Allongé sur mon lit, cette chanson m'apaisait. Elle avait quelque chose de si particulier, une sorte de langoureuse mélancolie. Je la trouvais absolument puissante et triste à la fois ; ce devait être dans la voix du chanteur. Et puis, il y avait cette fin, cette envolée vocale et musicale absolument magnifique, géniale. C'est à ce moment précis que Cassidy entra. Ses boucles blondes se balançaient presque sur le rythme de l'orgue. J'arrachai mes écouteurs de mes oreilles. Je planta mon regard dans le sien. C'était maintenant. Si Cassidy voulait me présenter des excuses vraies et sincères, il fallait qu'elle le fasse. Un certain temps s'écoula avant qu'elle ouvre la bouche. « Je ne veux pas te perdre, Bell.. s'il te plaît ne me déteste pas ... » m'annonça-t-elle de but en blanc. Pour le coup, j'étais un peu surpris. Cassidy n'était pas du genre à s'ouvrir comme cela. Mes sourcils se froncèrent et je lui lançai un regard plein d'interrogation. Et puis, alors que je cherchais à découvrir dans son attitude quelque chose qui m'apporterait des explications, elle planta son regard dans le mien. Un frisson me parcourut l'échine.

Il y avait quelque chose de nouveau. Je pouvais lire quelque chose dans ses yeux océans. J'y lisais une profonde détresse, une totale désolation. Je n'avais jamais vu ça chez Cassidy. D'ordinaire, et même avec moi, elle n'abandonnait jamais son air froidement courtois, son regard glaçant et pétillant à la fois. Mais là... Elle avait fait tomber ses défenses. Je lisais en elle, et si j'en étais capable, c'était qu'elle me permettait de le faire. Cassidy se contrôlait beaucoup trop pour que ça ne soit pas volontaire. Cela me perturba. Ses excuses étaient sincères. Et pourtant, même si je sentais le trouble s'insinuer doucement en moi, je ne pouvais pas oublier cette blessure encore chaude au fond de moi. Ressentir autant de sentiments contradictoires, alors que j'étais à fleur de peau ces temps-ci, m'agaçait. « J'ai merdé, je le sais, je n'aurais pas dû lui en parler , mais j'ai toujours eu l'habitude de tout lui dire Je n'ai pas à justifier cet acte stupide et je ne saurai t'expliquer c'qui m'est passé par la tête Bell, je veux juste que t'arrêtes de m'ignorer comme tu le fais. C'est con mais j'aurais jamais pensé que ça me ferait autant de mal de plus te parler. Je t'en voulais de ne pas me l'avoir dit avant,je me fiche que tu sois bi je me fiche de tout ça, je croyais juste qu'on était assez proche pur que tu m'en parles, je me suis sentie trahis en quelque sorte mais je me rends compte que c'était un sentiment excessif de ma part étant donné que si moi je ne me dévoile peu à toi tu n'as pas de compte à me rendre » Encore une fois, elle semblait sincère. Et pourtant, ses remarques ne firent qu'augmenter la flamme vengeresse qui brûlait au fond de moi. « T'as merdé ? Ouais, c'est pas rien de le dire ! J'crois pas que tu te rends compte à quel point tu m'as mis dans la merde, la merde la plus totale ! T'étais pas là, tu sais pas ce que j'ai vécu après. Tu veux que je te dise honnêtement ? Hannah, c'est la putain de meilleure chose qui m'soit jamais arrivé. Et toi, t'arrives avec tes gros sabots et tu casses tout, tu brises tout, comme ça, en une petite phrase. Ah ouais, dis donc, t'as plutôt bien merdé ! Et secundo, oui, tu as à te justifier. Tu dois me rendre des comptes, c'est exactement ce pourquoi je suis là. J'veux savoir pourquoi t'as fait ça, pourquoi tu t'es mis dans la tête de t'immiscer dans mon couple. On peut être proche, certes, mais t'avais rien à foutre dans MES histoires » crachai-je d'un ton rageur. Je parlais vulgairement et mon accent hispanique revenait au galop, signe que je ne me contrôlais plus vraiment. Les vannes étaient ouvertes. « Je t'ai pas dit que j'étais bi tout simplement parce que t'as pas à savoir ça. C'est encore ma vie privée et j'en informe qui je veux. Tu dis que tu t'es sentie trahie de ne pas avoir été mise au courant ? Mais bordel t'as quel âge ?? C'est donc ça qui t'as poussé à tout révéler à Hannah, parce que t'étais pas contente ? J'crois pas que tu te rendes vraiment bien compte à quel point tu m'as fait mal, ouais j'te l'dis comme ça même si j'aime pas l'avouer, tu m'as énormément blessé car à ce moment là tu as failli m'enlever Hannah, ma Hannah. Ça t'es pas venu à l'idée qu'il y avait une raison derrière mon silence ? C'était à MOI de dire cela à Hannah, à moi et surtout pas à toi » Cette fois, j'étais réellement énervé. Je m'étais levé du lit et j'hurlai presque. Peut-être que Cassidy était effrayée. Sûrement en fait. Il était temps qu'elle rencontre enfin le Bellamy qui sommeillait au fond de moi, la part sombre, le vilain garçon. « Tu sais quoi, Cassidy, tu crois me connaître et je le croyais également. Mais en fait, tu sais rien, tellement rien. Tu m'as pris pour un con, un menteur, un lâche. T'as cru que j'allais faire du mal à Hannah, n'est-ce pas ? T'as vraiment cru ça, hein ? C'est bien la dernière personne à qui je ferais du mal. Tu me connais pas, tu connais rien de mon histoire, tu ne sais pas les raisons qui m'ont poussé à cacher tout cela. Ravale tes explications pourries, elles ne valent rien » lâchai-je finalement, en soupirant.

J'étais réellement déçu d'elle. Déçu de son acte mais aussi de sa défense. Les raisons qu'elle avançait étaient encore pire que ce que j'avais imaginé. Ses arguments n'étaient pas recevables. Un silence s'installa entre nous. J'y étais peut-être allé un peu fort, là. Il fallait juste que tout cela sorte. Cela faisait des mois que je retenais tout au fond de moi, que je bouillonnais intérieurement à chaque fois que je pensais à elle. Je soupirai. En réalité, je ne me sentais pas mieux qu'avant. Je croyais que tout lui balancer dans la tronche me ferait du bien, me libérerait, mais je me trompais lourdement. C'était Cassidy, merde, et je l'adorais. Elle était très importante pour moi et lui dire de telles choses ne me réconfortait pas, loin de là. Je n'avais pas envie de la faire souffrir, enfin, pas réellement... Je voulais surtout qu'elle se rende compte de ce qu'elle avait. Je ne savais pas vraiment comment agir, en fait. J'étais partagé entre la rancune et le pardon. Finalement, Cassidy reprit la parole. « Je.. je t'apprécie beaucoup trop pour te perdre Bellamy, je te considère plus comme mon frère que comme mon colocataire, t'es le frère jumeau que j'ai perdu Bellamy, et je supporterais pas de perdre ce jumeau encore une fois. Je .. je veux qu'on soit honnête l'un envers l'autre Bellamy. J'me vois pas continuer comme ça... nos soirées Netflix and chill me manque, nos tournées de bar aussi, nos danses stupides devant le mirroirs du hall me manque énormément, le complice que j'ai trouvé en toi me manque, je sais que tu me déteste et que tu ne me pardonneras pas comme ça, je te comprends, prends le temps qu'il faut pour digérer la connerie que j'ai faites » D'accord, elle essayait de faire un pas vers moi. Cassidy était honnête, et ça, c'était déjà pas mal. Je tentai de calmer le feu qui brûlait toujours au fond de moi. « Bien sûr que tu m'as manqué pendant tout ce temps, Cass', bien sûr que ça a été dur pour moi ces derniers temps. Mais tout ce qui nous arrive, c'est de ta faute. Je vais avoir vraiment du mal à oublier, tu sais. Et pourtant, je fais des efforts. J'en fais même beaucoup » Elle continua ses excuses, et je l'écoutai attentivement. « Je suis désolé , vraiment, je sais que c'est simple de s'excuser après avoir blesser une personne c'est comme cassé le vase préféré de quelqu'un de s'excuser comme si de rien n'était mais je suis prête à récolter les morceaux de verre et a tout reconstruire. Je ne veux vraiment pas te perdre. Saches que le seule pour qui je serais capable de remuer ciel et terre c'est wayne et que j'ai jamais fait d'efforts envers n'importe qui d'autre » Je sentais bien qu'elle était véritablement désolé, mais je ne pouvais pas me contenter d'accepter ses excuses et d'oublier. Rien n'allait redevenir comme avant aussi facilement. « Tu veux que je te dise ce qui est le plus dur ? Le fait que ça vienne de toi. Tu vois, ç'aurait été X ou Y personne, j'aurais simplement rayé cette personne de ma vie. Mais toi, toi, non, je peux pas le faire. À chaque fois que je te vois, je me rappelle de toute cette... souffrance que tu as engendré dans ma vie et... c'est dur ».
C O D E © W H A T S E R N A M E .

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(#)Sujet: Re: it's never too late to apologize.It's never too late to tell the truth  |   Sam 5 Déc - 0:22
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T'as merdé ? Ouais, c'est pas rien de le dire ! J'crois pas que tu te rends compte à quel point tu m'as mis dans la merde, la merde la plus totale ! T'étais pas là, tu sais pas ce que j'ai vécu après. Tu veux que je te dise honnêtement ? Hannah, c'est la putain de meilleure chose qui m'soit jamais arrivé. Et toi, t'arrives avec tes gros sabots et tu casses tout, tu brises tout, comme ça, en une petite phrase. Ah ouais, dis donc, t'as plutôt bien merdé ! Et secundo, oui, tu as à te justifier. Tu dois me rendre des comptes, c'est exactement ce pourquoi je suis là. J'veux savoir pourquoi t'as fait ça, pourquoi tu t'es mis dans la tête de t'immiscer dans mon couple. On peut être proche, certes, mais t'avais rien à foutre dans MES histoires

Elle se haïssait, se détestait, se tuait intérieurement, sa cage thoracique se faisait beaucoup trop étroite pour contenir tout le poids qui la faisait coulé, tel un bateau frapper par les bourasques de vents, tel le titanic avait été coulé par l'Iceberg. Offrez lui une poubelle pour qu'elle puisse vomir sa fierté, vomir sa faiblesse,  frappez là pour qu'elle ravale sa politesse. Est-cela le sentiment de culpabilité ? Est-cee normal de se sentir honteuse lorsqu'on s'ouvre à une personne ?



Secouant sa tête, elle retint les larmes de honte  qui grésillaient au bord de ses paupières. Non. Une Stark , ça ne pleure pas. Même une Stark apparut par magie à quelques kilomètres de son appartement sans qu’elle en comprenne quoique ce soit. Il y a une seconde à peine, son oeil s’attachait à l’humidité coupable de ses péchés de vie commis sous la caresse de l’hydrogène mêlé, souillé, d’oxygène, comme une cape. Désormais, c’était comme une balle éclatée, au métal dilaté sous la peau lacérée, qui perçait ses entrailles. De super-héro entièrement nu au super héro frissonnant d’un froid hormonal qui n’avait rien de météorologique, il n’y avait qu’un battement de cil. Oui, c’était ces glandes. Sinon, comment expliquer l’assaut d’émotions qui stoppait sa course, qui achevait sa destination avant de s’y trouver ? Son cœur, griffé par une émulsion acide de passions avortées et de honte, ne saignait qu’une fine poudre blanchâtre qui étourdissait ses sens, le menant doucereusement vers le coma commis d’office, . De honte. De dégoût. Regret parut délictueux à sa nature bien trop volontaire pour concéder ce genre de faiblesses, ce genre de… souffrance. Rien de tout cela ne serait arrivé si elle ne s'était pas attaché à lui.  Mais pourquoi s'était-elle attaché à lui de cette façon. N'avait-elle pas retenu la leçon avec Wayne. Elle avait peur du rejet, peur de l'abandon et se privait de tout sentiment d'attachement pour éviter d'être blessé. A ce moment même. Bellamy avait l'occasion de la mettre à terre et il ne se retenait pas de le faire. Son coeur saignait criait. Ses paroles lui faisait mal elle n'avait jamais voulu s’immiscer dans leur couple, elle avait entendu une conversation téléphonique et avait pensé à ce qu'elle aurait voulu qu'Hannah sa meilleure amie fasse pour elle si cette dernière avait le malheur de tomber amoureuse de quelqu'un et que celui-ci venait à lui cachait quelque chose.

Ses paroles était malheureusement indélébile dans l'esprit de Cassidy, elle n'oubliait jamais les propos qui blessent. Elle était la clé de sa propre destruction mais également la raison qui avait détruit le jeune  homme, personne ne savait le peu d'estime qu'elle avait au fond pour elle, elle s'en voulait encore plus. "Tu casses tout , tu brises tout" - "c'est de ta faute" Aïe, la dernière fois qu'elle avait ressenti cette sensation est lorsque sa mère lui avait balancé au parloir que si son frère était mort c'était de sa faute. Elle chassait ses images de sa tête difficilement et se sentait tout aussi pathétique.  [ Tu ne mérites pas son pardon] soufflait une voix dans ses songes. Des maux sans mots voici ce qui l'a traversait actuellement. Elle le regardait la détruire, il détenait son coeur et appuyait dessus, griffait sans aucun scrupule et elle le laissait faire car elle méritait de souffrir.

Je t'ai pas dit que j'étais bi tout simplement parce que t'as pas à savoir ça. C'est encore ma vie privée et j'en informe qui je veux. Tu dis que tu t'es sentie trahie de ne pas avoir été mise au courant ? Mais bordel t'as quel âge ?? C'est donc ça qui t'as poussé à tout révéler à Hannah, parce que t'étais pas contente ? J'crois pas que tu te rendes vraiment bien compte à quel point tu m'as fait mal, ouais j'te l'dis comme ça même si j'aime pas l'avouer, tu m'as énormément blessé car à ce moment là tu as failli m'enlever Hannah, ma Hannah. Ça t'es pas venu à l'idée qu'il y avait une raison derrière mon silence ? C'était à MOI de dire cela à Hannah, à moi et surtout pas à toi  Elle le laissait craché ce qu'il avait sur le coeur sans osé dire quoi que se soit, elle ne l'avait jamais vu autant en colère. Elle était effrayé , car c'est l'une des rares fois ou elle se montrait à quelqu'un. Un super-héro entièrement nu sans défense face à son pire ennemi, le rejet, la souffrance, sa kryptonite, elle n'avait pas le choix que de subir. Elle n'avait plus la force de battre.   Tu sais quoi, Cassidy, tu crois me connaître et je le croyais également. Mais en fait, tu sais rien, tellement rien. Tu m'as pris pour un con, un menteur, un lâche. T'as cru que j'allais faire du mal à Hannah, n'est-ce pas ? T'as vraiment cru ça, hein ? C'est bien la dernière personne à qui je ferais du mal. Tu me connais pas, tu connais rien de mon histoire, tu ne sais pas les raisons qui m'ont poussé à cacher tout cela. Ravale tes explications pourries, elles ne valent rien Ces dernières paroles résonnèrent  en écho. Elle était sincère pourtant il n'avait pas l'air de la croire [Tu vois ça t'apprendra à t'ouvrir aux autres pauvre conne, tu n'es qu'une garce,qu'une meurtrière , tu te détruits et détruit tout sur ton passage, fais un cadeau à l'humanité, éradique ton espèce de la terre ou éradique cette humanité qui est en toi pour de bon] cette voix criaient dans ses songes. elle serrait le poing avant de poser ses mains comme pour tenir la douleur qui résonnait dans sa tête. Oh mais est-ce des larmes qui perlaient sur ses joues? Elle criait le nom de Wayne dans sa tête ce nom qui la rassurait tant mais qui ne faisait pas effet à ce moment même, car il ne pouvait apparaître pour la consoler.


Bien sûr que tu m'as manqué pendant tout ce temps, Cass', bien sûr que ça a été dur pour moi ces derniers temps. Mais tout ce qui nous arrive, c'est de ta faute. Je vais avoir vraiment du mal à oublier, tu sais. Et pourtant, je fais des efforts. J'en fais même beaucoup Cela ne la rassurait même pas bien au contraire, elle se bouffait intérieurement car elle était en position de faiblesse et qu'elle ne pouvait plus ravaler sa fierté. Tu veux que je te dise ce qui est le plus dur ? Le fait que ça vienne de toi. Tu vois, ç'aurait été X ou Y personne, j'aurais simplement rayé cette personne de ma vie. Mais toi, toi, non, je peux pas le faire. À chaque fois que je te vois, je me rappelle de toute cette... souffrance que tu as engendré dans ma vie et... c'est dur Elle ouvrit de nouveau ses yeux, pour un regard qui se faisait vide cette fois-ci , elle ne le regardait pas mais continuait de parler. Elle n'avait même pas la force de parler pour fuir.  


Tu as raison, c'est de ma faute, j'ai agis tel une garce et je ne mérite pas ton pardon, tu as beaucoup trop souffert Bellamy dans vie pour que j'en rajoute une couche, si tu peux me rayé de ta vie fais le, dans ce ca. Elle le regardait comme si elle lui demandait, un service comme i elle l'implorait.  J'ai merdé c'est à moi d'assumer les conséquences de mes actes de cette putain de connerie irréfléchi. Dans tout les cas j'aurai blessé quelqu'un dans cette histoire mais au fond j'aurai dû choisir de blesser Hannah, car je sais que tu l'aimes et je sais que tu aurais pris soin d'elle j'aurai certes perdu mon pilier, 'aurai peut-être perdu mon frère de coeur, mais je vous aurai fais un cadeaux à vous deux. Je m'en veux, crois-moi et au fond je savais que tu n'allais pas me pardonner facilement et tu n'as pas à me pardonner, n'oublie pas ce que je t'ai fais!  si ça peut te permettre de me détester dans ce cas fait-le.  Elle plongea son regard vide mais remplit de désolation, même si elle l'aimait beaucoup, elle n'assumait pas ce rôle, elle n'assumait pas de l'avoir blessé, cette culpabilité, elle vivait bien avec celle de son frère, elle pourrait vivre avec celle de Bellamy, mais pour cela elle devait se nourrir de sa haine. Il l'avait blessé oh que oui , comme elle l'avait blessé. Rien n'était pire pour elle que de blesser les personne qu'elle aimait. Plus elle avait été faible lors de cette discussion plus elle trouvait que cette discussion ne rhymait à rien, et qu'elle aurait mieux fait de ravaler sa fierté et de se nourrir de cette haine beaucoup plus tôt pour qu'il l'a déteste encore plus, il aurait finit par oublier et par ne plus en souffrir. Non vous ne rêvez pas, la garce préférait souffrir plutôt que de le voir souffrir, cela ne vous rappelle pas, les sacrifices qu'elle a pu faire pour Wayne ? Cela témoigne de l'attachement qu'elle a envers Bellamy. Wayne était sa faiblesse et la clé de sa destruction et pourtant Bellamy l'avait blessé et elle était prête à assumer ce sacrifice. Dieu savait ce qu'elle était prête à faire pour les personnes qu'elle aimait. Bellamy était important à ses yeux et pourtant elle s'en rendait compte trop tardivement. Elle était fatigué mentalement et cela se voyait. Pourtant c'était comme si elle avait reprit du poil de la bête comme si elle s'était habitué à la douleur de la kryptonite. Comme si sa carapace s'était remis, pourtant la faiblesse persistait.


Continue, fais ce que t'as à faire détruit moi... elle le regardait prête à assister à sa destruction, son regard n'était pas froid mais vide, fatigué,son ton n'était pas froid mais implorateur, sa voix n'était pas tremblante mais doté d'une assurance presque perverse. Déteste-moi y a que comme ça que tu réussiras à oublier.... Après tout c'est vrai j'ai foutu la merde, j'ai pas réfléchis qui mérites quelqu'un comme ça dans sa vie Bellamy?je viens là, je pleure, je m'excuse comme si ça allait réparer ma connerie.


Elle se leva enfin avant de le confronter. T'as raison, la meilleure excuses que je peux te donner c'est de fuir. Le meilleur des pardons que je puisse t'offrir c'est d'alimenter ta haine. Sache une chose, je n'aie jamais voulu te blesser comme je l'ai fais j'ai juste fais ce que j'aurais voulu qu'Hannah fasse si elle était à ma place. En prenant du recul, si ça avait été toi qui m'aurait trahis je ne t'aurais jamais pardonner, alors tu sais quoi fait de même. Moi et mes explications pourries te laissons enfin tranquille  faux, elle l'aurait malheureusement fait, mais elle ne voulait pas l'assumer. Amertume, elle avait été blessé par sa propre faute, elle avait allumé la brèche et c'était brûler les doigts et ne trouvait pas d'autre moyen que de mettre une source de chaleur sur cette blessure pour la raviver plutôt que de la calmer. C'est comme ça qu'elle marchait, on détruit le mal par le mal. Bellamy avait la voir dans un état dans lequel elle ne se montrait jamais, il en avait profité, certes elle aurait fait de même , mais elle ne pouvait pas rester faible plus longtemps, on détruit tout sauf la fierté. Ses yeux rouges trahissait sa carapace, mais elle s'en fichait   Au moins je ne m'immiscerai plus dans tes histoires,  j'ai dis ce que j'avais à dire, Bellamy, je ne vais pas t'implorer encore et encore, alors t'as la carte entre tes mains, fais en ce que tu veux. J'ai merdé j'assume, je t'ai fais du mal, t'en fais pas que je n'en veux bien assez comme ça. Maintenant tu veux pas oublier ça, je te comprends, tu ne veux pas me pardonner non plus, il n'y a pas de soucis ! alors assume également, on peut continuer comme ça je veux dire on se croire presque jamais depuis un mois l'appart est assez grand pour qu'on se grille à peine.  Elle avançait vers la porte de sa chambre.  Si t'avais pas parlé aussi fort au téléphone ce soir là , je n'aurai rien entendu assumes tes torts également puis si t'étais un minimum réfléchis en sachant que j'étais dans ma chambre au lieu de quitter l'appart tu aurais pu vérifier que je sois là et me dire de ne rien dire à Hannah... c'est pas comme ci une bonne meilleure amie cache à sa meilleure amie une connerie de son mec, c'est malheureusement comme ça. Au fond je vous dois rien à vous deux, entre toi qui t'embrouilles avec ton ex ou je ne sais quoi de façon des plus discrète et Hannah qui tombe enceinte de mon meilleur ami qui ne me dit rien... Je pense qu'au fond mon erreur était là ,d'avoir essayé d'être une bonne amie pour l'un et pour l'autre. Tu penses que tu lui aurais dis à Hannah ton homosexualité bisexualité ou jsais pas quoi? Au fond je ne t'ai pas arrangé un peu? Réfléchissons un peu ensemble je ne dis rien je perds hannah, je lui dis rien je la perds, je lui dis je perds Bellamy, Hannah me cache la grossesse de mon meilleur ami, dans tout les cas chacun se fait douillé. Toi,Moi, Hannah on est quittes dans l'histoire ... Elle essayait d'atiser sa haine pourtant beaucoup de vérités  se cachaient dans ses propos, tout les deux avaient été trahis. Je t'ai trahis, Hannah m'as trahis, sauf que je lui ai pardonné, je n'oublie pas certes, mais je lui pardonne, même si comme toi, la pillule passe mal, tu veux savoir pourquoi Bellamy? Parce que je tiens à elle tout comme tu tiens à elle et que malheureusement c'est les personnes les plus proches de nous qui nous trahissent , ne jamais sous estimer l'ami, contrairement à l'ennemi c'est lui qui nous plante un couteaux derrière notre dos alors que l'ennemi le fera de face.Donc bon déteste moi si tu veux, mais même si je t'ai blessé sache une chose, j'ai toujours été sincère avec toi et tu le sais au fond de toi. En tout cas j'ai appris de mes torts , je ne veux jamais me sentir coupable de la sorte maintenant je ne m'immiscerais plus dans vos conneries que hannah fasse une connerie je l'a garderai pour moi que tu en fasses une de nouveaux pareils. Je ne chercherai pas à faire ce qui est le mieux selon moi, puisque dans ce cas cela s'est avéré être bien pour Hanah/ mal pour toi. Je vous laisserais dans votre merde, faudra juste pas pleurer.... Si Hannah t'avais caché un truc, t'en fais pas que même si c'est ma meilleure amie je t'en aurais parlé car je fais ce qui semble juste pour moi Si tu n'avais pas été avec Hannah mais que tu étais tout de même amoureux d'elle bien évidément, et que tu aurais appris qu'elle était enceinte de Wayne et que je n'étais pas au courant, tu vas me dire que tu ne m'aurais jamais mise au courant alors que tu savais que je l'aurais mal pris ? elle lui laissa sa petite seconde de réflexion. Tu m'aurais mis un couteau dans le dos également... même si je sais que cela n'aurait pas été ton but premier. Bref je te laisse digérer toute cette discussion, j'ai faim je vais me faire un truc à manger, calme tes nerfs et viens me parler, ou alors ramène tes nerfs dans la cuisine dit-elle de façon sarcastique avant de foncer dans la cuisine, elle n'avait même pas faim, elle vint se servir un verre de whiskey comme pour se consoler de tout ce qui venait de se passer de la culpabilité qu'elle avait ressenti, de la blessure qu'il avait engendré ainsi que la forte tête qu'elle avait joué qui ne l'a confortait également pas, même si elle pensait que ca l'a soulagerait elle se sentait encore plus mal.

AVENGEDINCHAINS
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(#)Sujet: Re: it's never too late to apologize.It's never too late to tell the truth  |   Mer 13 Jan - 19:22

 

it's never too late to apologize
 



Elle était là, devant moi, Cassidy Stark. La tigresse blonde aux yeux lapis-lazuli. Des semaines sans se parler, des semaines passées à haïr son souvenir, des semaines passées à réparer la zizanie qu'elle avait semé dans mon couple. Dans la meilleure chose qui me soit arrivée. Je l'avais détestée pendant longtemps. J'avais repensé à elle et à tout ce que nous avions partagé ; je passais dans cet appartement et je revoyais tous ces rires échangés. C'était comme si ils résonnaient encore entre les murs de cet endroit aujourd'hui rempli de souvenirs lourds. Je repensais à notre rencontre, à la confiance que j'avais placé en elle. J'avais longtemps cru qu'elle était particulière, pas comme les autres. Que notre relation était bénie par une quelconque entité supérieure. Oui, je pensais que Cassidy était un être à part dans mon existence, au même titre qu'Hannah ou Charlotte, ma fille. Des gens qui faisaient désormais partie de ma famille. Oui, j'aurais tout fait pour Cassidy. Je l'aurais tiré des pires ennuis, je l'aurais invité à ma table aux côtés de mes sœurs et de ma mère. Je ne lui avais jamais dit toutes ces choses là, tout ce que je pouvais éprouver pour elle, mais j'avais dans l'idée qu'elle le savait. Elle savait très bien tout cela car Cassidy savait lire en moi comme dans un livre ouvert, et ce depuis le début. J'étais faible, face à elle. Il suffisait d'un de ses regards pour briser mes barrières. Elle lisait ma colère derrière mon silence et ma lassitude derrière mes sourires. J'aurais aimé pouvoir dire la même chose d'elle, mais même pour les plus privilégiés, Cassidy Stark était et resterait toujours un mystère. L'amertume m'avait secoué pendant longtemps. Je m'en voulais de m'être attaché à elle, d'avoir placé de si grands espoirs pour me rendre finalement compte qu'elle était comme tous les autres. Une immense déception. Je l'avais donc haï, de toutes mes forces, et l'avais maudite à la face de tous les dieux.

« Tu as raison, c'est de ma faute, j'ai agis tel une garce et je ne mérite pas ton pardon, tu as beaucoup trop souffert Bellamy dans vie pour que j'en rajoute une couche, si tu peux me rayé de ta vie fais le, dans ce ca. Elle le regardait comme si elle lui demandait, un service comme i elle l'implorait.  J'ai merdé c'est à moi d'assumer les conséquences de mes actes de cette putain de connerie irréfléchi. Dans tout les cas j'aurai blessé quelqu'un dans cette histoire mais au fond j'aurai dû choisir de blesser Hannah, car je sais que tu l'aimes et je sais que tu aurais pris soin d'elle j'aurai certes perdu mon pilier, 'aurai peut-être perdu mon frère de coeur, mais je vous aurai fais un cadeaux à vous deux. Je m'en veux, crois-moi et au fond je savais que tu n'allais pas me pardonner facilement et tu n'as pas à me pardonner, n'oublie pas ce que je t'ai fais!  si ça peut te permettre de me détester dans ce cas fait-le. » Déclara-t-elle après que j'aie tout déballé. Je n'aimais pas du tout cette situation dans laquelle nous étions. Nous nous faisions mal mutuellement à cause de nos fiertés. Parce qu'après tout, j'aurais dû la pardonner. J'aurais dû prononcer ces trois petits mots qui auraient tout arrangé. Cette histoire était terminée et les choses s'étaient arrangées entre Hannah et moi. Mais c'était trop dur, trop dur pour moi de passer à autre chose. Je ne pouvais pas passer au-dessus d'une trahison comme cela. C'était comme une blessure encore ouverte qui saignait de temps en temps. J'aurais réellement aimé envoyer toute cette dispute valser, mais... Je ne pouvais pas. Ça avait duré trop longtemps et il fallait mettre un terme à tout cela. Il fallait qu'on en parle. Son discours me laissa néanmoins perplexe. Je ne savais pas vraiment ce qu'elle cherchait à faire en me demandant de la détester. Était-ce une sorte de psychologie inversée ? C'était moi l'étudiant en psychologie, ici, mais Cassidy avait toujours été bien plus forte que moi dans ce domaine. Je restais sans rien dire, et baissai les yeux. Je me sentais un peu con, sans trop savoir pourquoi. « Continue, fais ce que t'as à faire détruit moi... »  Continua-t-elle. Je ne comprenais plus rien. Oui, elle jouait un jeu, ce n'était pas possible autrement. J'ignorais complètement ce qu'elle faisait. Peut-être cherchait-elle à me mettre face à ce que j'avais fait, la détruire, pour que je réalise mieux mon erreur. Elle continua à m'expliquer que la haine était la meilleure solution, une sorte d'exutoire. Que la meilleure façon dont elle pouvait se faire pardonner était d'attiser ma haine pour elle. Encore une fois, je n'avais pas mesuré mes paroles. Certes, je l'avais haï pendant un temps. Mais était-ce réellement de la haine ? Aucunement. J'avais comme d'habitude transformé mon chagrin en haine, pour me protéger. La colère avait toujours été mon armure. Au fond, Cassidy devait le savoir. Si je me comportais comme une bête enragée, c'était uniquement car j'étais été extrêmement déçu et que j'en avais souffert. Je détestais souffrir. C'était dans ces moments là que je devenais faible, inutile, inintéressant. C'était dans ces moments là que je me rendais compte que j'étais un humain normal, que je retrouvais ma part d'humanité, cette sensibilité enfouie sous des années de vie dans la rue. Dès que celle-ci se retrouvait face à moi, nue, brûlante, je ne trouvais rien d'autre à faire que de la faire taire, de la faire retourner au fond de moi, refoulée directement à son origine. J'avais craché mes mots à la figure de Cassidy parce que je ne pouvais faire autrement. Il n'était pas dans ma nature de céder aux émotions. Enfin, c'était ce que je m'efforçais de me mettre en tête. La réalité était toute autre. C'était mes sentiments qui m'avaient guidés dans toute cette affaire. Mais comment lui expliquer cela ? Comment lui dire que je n'avais jamais su gérer tout cela et que j'avais donc décider d'utiliser la seule chose que je connaissais : la colère ? Aucun moyen. Le savait-elle, l'avait-elle remarqué ? C'était probable, mais j'en doutais encore. Je l'entendais, ma part de sensibilité, hurler au fond de moi. Et elle criait d'une voix fébrile : Cassidy !

Alors Cassidy entra dans une longue tirade où elle m'expliqua son point de vue. Elle paraissait décidée à ne plus s'apitoyer sur mon sort, et à laisser le destin de notre relation entre mes mains. C'était une jeune femme toute différente de celle qui s'était présentée à la porte de ma chambre seulement quelques minutes plus tôt. C'était de nouveau la Cassidy Stark que je connaissais. Une femme forte, courageuse et déterminée, qui ne se laissait pas abattre. En un sens, cela me faisait plaisir de la voir comme cela. Je n'aimais pas la voir souffrir, même si c'était ce que je m'étais appliqué à faire pendant de longues semaines. Mais après tout, Stark ne veut-il pas dire « fort » en allemand ? Mon amie portait bien son nom. Elle m'expliqua qu'elle aussi avait été trahie, de nombreuses fois, et par Hannah elle-même. Je prêtais une oreille attentive à son propos. Je n'étais pas du tout au courant de cela. La jeune femme m'annonça qu'Hannah ne lui avait pas annoncé tout de suite être enceinte de Wayne, qui se trouvait pourtant être son meilleur ami. Wayne non plus ne lui avait rien dit. Et pourtant, elle avait su trouver la force de leur pardonner à tous les deux. Elle se montrait également très philosophe et sûrement beaucoup plus mature que moi face à notre situation. Je l'écoutais toujours aussi attentivement. En réalité, je m'écrasais face à la domination de la jeune femme. J'étais plutôt du genre grande gueule, d'habitude, à ne jamais vouloir la fermer et à vouloir en placer une même quand ce n'était pas le moment. Pourtant, là, je me taisais. J'écoutais et je réfléchissais. Cassidy avait un charisme incroyable. Quand elle se mettait à expliquer et à démontrer, il me semblait que le temps s'arrêtait. Je ne voyais plus que cette chevelure blonde qui encadrait un regard d'un bleu glacial, ces yeux qui étaient en train de sonder mon âme. Je me sentais tel un enfant que sa mère gronde. Je ne pouvais plus rien dire. Bizarrement, je m'étais calmé, et mes ardeurs du début de conversation me semblaient être un lointain souvenir. Cassidy finit par annoncer qu'elle me laissait méditer sur cela et que je pourrais venir lui parler une fois calmé. Elle avait raison. Parler sous l'impulsion de la colère me menait à rien et faisait prendre des décisions hâtives.

Mais je n'eus pas besoin de me calmer. J'étais déjà d'un calme olympien. Son discours m'avait en quelque sorte apaisé. J'avais dorénavant l'impression de voir le problème d'un point de vue scientifique, mathématiques. Il y avait une solution quelque part, mais où ? Comment la trouver et surtout comment l'appliquer ? Il y avait les faits. Cassidy avait dit à Hannah que j'étais bisexuel et que j'avais couché avec son meilleur ami par le passé. Il y avait également les complications ; le fait qu'Hannah ne savait rien et que je tenais à tenir tout cela par le passé. J'essayais de comprendre la situation de Cassidy, de me mettre à sa place. Effectivement, qu'aurais-je fait ? Ce n'était pas dans mon habitude de me mêler des affaires des autres, mais tout devenait différent quand il s'agissait de mes proches. Et si elle n'avait fait cela que parce qu'elle nous aimait l'un comme l'autre ? Elle avait aidé Hannah à voir plus clair dans mon jeu et elle m'avait, d'une certaine façon, enlevé le devoir d'annoncer cela moi-même. Jamais je n'aurais eu le courage de dire cela à Hannah, après tout ce temps. Le goût de la trahison se dissipait lentement dans ma bouche. J'avais l'impression d'avoir pris de la maturité en à peine quelques minutes. C'était dingue l'effet que Cassidy pouvait avoir sur moi. Je me rendais compte que j'avais réellement besoin d'autorité dans ma vie, d'une personne pour me recadrer quand tout partait en live dans ma tête. Il était sûrement un peu tard, mais c'était bon pour moi que Cassidy me recadre comme elle venait de le faire. Je n'étais pas sans savoir d'où venaient mes pétages de câble et mon impulsivité naturelle. Un manque d'éducation, de contrôle surtout. Ma mère avait fait ce qu'elle avait pu pour m'inculquer de bonnes valeurs, et pour cela, je la remerciais. Mais mon père, ou plutôt son absence, avait engendré en moi une haine sans nom. Une colère naturelle. Allongé sur mon lit, je m'allumai une cigarette. Ce labyrinthe avait-il une fin ? Probablement. Il suffisait que je me lève et que je me décide enfin un parler. Comme un adulte, et non plus comme un enfant capricieux. Il fallait que j'accepte avoir fait des erreurs et c'était sûrement ça, le plus dur. J'éteignis ma cigarette et allai rejoindre Cassidy dans la cuisine.

Je sortis un verre au passage, et me servis un peu de whisky en m'asseyant en face d'elle. Nous nous regardâmes pendant un temps, sans rien dire. Enfin, je pris la parole. Je choisissais mes mots avec soin. « Je n'étais pas au courant qu'Hannah ne t'avait rien dit par rapport à ta grossesse. Et j'en suis navré. J'ai bien réfléchi à propos de cela. Je sais que ça n'a pas grand chose à voir avec notre histoire, mais... À ta place, je pensais que je n'aurais jamais pu laisser passer cela. Que j'aurais tiré la tronche pendant très longtemps. Que j'aurais même vu ça comme une trahison. Pourquoi ? Aucune idée. Peut-être parce qu'en tant que meilleur ami des deux, je me serais cru en droit de savoir. Et je pense que c'est ce que tu as ressenti quand tu as appris pour ma bisexualité. Que t'es ma pote et que t'es en droit de savoir ça. Je me suis mis à ta place, et j'ai compris. J'ai compris ce que ça faisait de vivre avec quelqu'un dont on ne connaît rien » commençai-je d'un ton calme. « Car oui, c'est vrai, même si tu connais mon caractère —et mieux que personne je crois—, tu ne connais pas grand chose de mon histoire. J'en suis désolé, mais ce n'est pas vraiment dans ma nature de révéler ces choses-là. J'ai un certain passé que je préfère taire. Mais j'ai compris ce que tu as pu ressentir. Je crois que tu n'as voulu que protéger tout le monde, protéger Hannah mais également me protéger de la connerie que j'allais faire, c'est à dire mentir à Hannah. Je mentirai si je te disais que je suis totalement d'accord avec le fait que t'aies révélé ça mais disons que... je comprends mieux maintenant ». J'avalai mon verre d'un trait. J'avais les mains moites. « Maintenant, je pense que vu comme je t'ai traité ces derniers temps, tu as le droit à des explications. C'est la moindre des choses, non ? Savoir pourquoi j'ai si mal réagi. Je n'ai jamais révélé ce que je m'apprête à te dire, même pas à Hannah. Et je tiens vraiment à ce que cela reste entre nous. De toute façon, tu vas le comprendre, ce n'est rien si elle ne l'apprend pas. Je n'aime pas raconter cela mais je pense que je te le dois. Prends ça comme une excuse, en gros ». Je soufflai. Si longtemps que son prénom n'avait pas effleuré mes lèvres... « Il y a trois, quatre ans maintenant, j'ai rencontré un type. Tout mon contraire. Calme, posé, vachement intelligent. Tu vois le genre ? Il s'appelait Andrea. Je vivais à Tijuana à cette époque. Ça a été... je ne sais pas comment te décrire le truc. Ce que j'ai vécu avec lui, c'était fort, puissant. C'était magique. Je te l'avoue, j'étais raide dingue de lui, fou amoureux. C'était génial ». Je m'arrêtai un instant. C'était bizarrement d'évoquer Andrea là, maintenant. « Tu dois te demander pourquoi je te raconte cela. Ça vient. Bref, c'était parfait avec lui. Mais au Mexique, et en particulier dans mon milieu de Tijuana, l'homosexualité était très mal vue. Comme une maladie. Les homosexuels étaient traités comme des bêtes. Ils étaient des déshonneurs pour leur famille, pour leur gang. Si tu étais fiché comme étant ce qu'ils appelaient un pédé, tu risquais très cher. Tu risquais ta peau. Et un jour, le frère d'Andrea —Hamri, il s'appelait— a découvert ce qui se passait entre nous. Alors, pour venger sa famille qui avait été déshonoré, il est venu un jour me trouver, et il m'a planté. Sans rien de plus. Je me souviens de ses yeux et de ses dernières paroles. « Sale pédé ». J'ai été à l'hôpital pendant trois mois. Au procès, ensuite, l'avocate d'Hamri a fait un si beau portrait de moi, me dépeignant comme étant un prédateur sexuel, un sodomiste et violeur, que c'est Hamri qui a gagné le procès. Je soupçonne l'avocate et la juge d'avoir été de mèche avec un cartel quelconque. Ma punition ? 3 ans de sursis et interdiction formelle d'approcher Andrea. Je ne l'ai plus jamais revu depuis ». Je passai mes deux mains sur mon visage. Il me manquait terriblement. J'avais trouvé Hannah, et je l'aimais elle aussi, mais pas un jour ne passait sans que je pense à Andrea. « Je n'aime pas parler de ma bisexualité. Je sais que la situation est différente aux États-Unis, mais je n'aime pas que les gens soient au courant. Là d'où je viens, c'est un défaut, un gros défaut. C'est une anomalie, une honte. Et je pense que j'ai fini par y croire au fur et à mesure des années. J'ai sûrement réagi trop fort envers toi, et j'en suis désolé. Mais j'estime avoir mes raisons, qui ne justifient rien certes, mais qui tout du moins expliquent. Et ces raisons, tu te devais de les savoir ».
C O D E ©️ W H A T S E R N A M E .



HRP : Je suis vraiment désolée de la lenteur de ma réponse!!! J'irais plus vite la prochaine fois c'est promis it's never too late to apologize.It's never too late to tell the truth 2577391662 it's never too late to apologize.It's never too late to tell the truth 2577391662
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(#)Sujet: Re: it's never too late to apologize.It's never too late to tell the truth  |   Mar 26 Jan - 23:00
Take off your mask to the  friends  you trully love
Bassidy




Voilà pourquoi je détestais montrer mes faiblesses! voilà pourquoi je n'osais jamais exprimer ne serait-ce qu'une fine ligne de mes sentiments!  le Rejet ! rien n'est pire que cela n'est-ce pas, montrez vos sentiments à quelqu'un pour ne recevoir en retour qu'une déception montrer ses sentiments équivaut à une attente et les attentes mènent à la déception toujours! C'est vrai, quand on dit je t'aime à quelqu'un on veut entendre un moi aussi, sentir que l'être nous aime en retour, lorsqu'on avoue ses peurs l'on veut être rassuré aidé: si l'on obtient pas le résultat voulu, nous sommes déçus, j'avais assez été déçue comme cela dans ma vie, déçu de n'avoir vécu qu'à travers mon frère, de ne pas avoir été à la hauteur de l'opinion des autres, mais oui moi même je n'avais été que déception et ceux depuis ma plus tendre enfance dans ma scolarité, je n'avais jamais été peste comme l'on voulait que je le sois, je n'avais jamais été séductrice comme l'on voulait que je le sois au collège et au lycée, je n'avais jamais été cette fille criant et cherchant une quelconque popularité comme l'on voulait que je le sois pour je ne sais quelle raison puériles. J'avais moi même été une déception, demandez à cet inconnu dehors qui ne voit que ma façade il vous dira des choses négatif et quand bien même ces dires seront positifs lorsqu'il m'aura découvert il vous dira être déçue. "Pas assez garce" -"pas assez e confiance en elle" -"froide" que sais-je. N'en restera pas moins que cette personne sera déçu. Est-ce la fin de toute bonne chose: la déception?  A quoi bon se laisser envahir par des sentiments plus ou moins humain?  je n'aurai jamais dû venir m'excuser auprès de lui après tout, la prison ne m'avait-elle pas enseigné que nous finiront seul dans notre merde ? Non , je ne mérite ni son pardon car l'avoir déçu fait de moi  un être horrible comme ma plate existence, mais surtout à quoi bon m'attacher à des gens qui finiront par partir?

La solitude ! voilà la réponse! je me sentais constamment seule et même si je m’efforçais de penser que je le vivais bien depuis ma sortie de prison mais surtout depuis la merde dans laquelle je m'étais foutue avec Ilhan, je m'étais rendu compte que ce dont je recherchait c'était des piliers sur lesquelles me reposer car j'en avais eu assez de devoir me reposer sur moi et moi seule. J'avais pris pour pilier un homme dont j'étais tombé amoureuse et qui m'avait  blessé malgré lui, puis ensuite je recherchais des piliers amicaux comme Bellamy pur compenser l'éloignement de Wayne mais qui au final devenait des êtres chers, je devenais faible voilà tout, tout ça à cause d'une foutue rencontre dans un ascenseur , une homme qui avait réussi à me blesser et à révéler une once d'humanité caché en moi... Il fallait se ressaisir  et ceux au plus vite.

J'étais partie dans la cuisine prenant un verre de Whisky, je n'aimais pas l'alcool même si je m'y plongeais parfois, le vice  voilà ce que j'aimais malgré moi. je laissais cette liqueur à la recherche d'un effet similaire à un anti-douleur... Voilà ce que tu gagnes Cassie à exprimer tes sentiments du rejet, pauvre conne. Deception trahison c'est tout ce que tu gagnes tapis dans l'ombre, même Wayne et Hannah t'ont trahis, tu te donnes pour les autres mais qui est-ce qui au fond se donne pour toi. Voilà ce que j'étais une pauvre conne et voilà pourquoi c'était plus simple pour moi d'être froide, de jouer un rôle dans lequel j'aimais me perdre. Car tout est si simple lorsqu'on prétends s'en foutre de tout, the only way to handle the pain is o think that you don't care, disait mon frère jumeau, j'étais devenue son ombre malgré moi. J'ai toujours voulu être ce genre de personne qui se fou de tout et de tout ce que pense les autres mais au fond je me rendais compte que je n'y arrivais pas, la preuve j'avais été blessé par ses dires. Le spleen voilà ce que j'étais .



Je grimaçais face à ces gorgées enflammées. Tandis que des pas vinrent interrompre mes pensées.  Je le regardais froidement sans rien dire, j'avais repris cette façade, car après tout si il y a une chose que j'ai tiré de cette dispute: montres tes faiblesses et on viendra te les détruire comme jamais. Si lui paraissait bien calme, j'étais comme une mer au courant caché qui attends le moindre signe pour exploser, comme une allumette caressant un produit inflammable , attendant la bonne friction pour allumer sa méchanceté. Après tout j'étais bonne à ça n'est-ce pas ?    Je n'étais pas au courant qu'Hannah ne t'avait rien dit par rapport à ta grossesse. Et j'en suis navré.
Elle n'était pas la seule fautive   Ni Wayne c'est cool de se faire trahir par les deux seules personne en qui t'avais confiance dans ce putain de monde n'est-ce pas ? dis-je, j'aimais bien mes commentaires sarcastique remplit de vérité . Il y était habitué, je parlais beaucoup trop et je pensais trop vite pour laisser passer mes pensées fallait qu'elle sorte  ... J'ai bien réfléchi à propos de cela. Je sais que ça n'a pas grand chose à voir avec notre histoire, mais... À ta place, je pensais que je n'aurais jamais pu laisser passer cela. Que j'aurais tiré la tronche pendant très longtemps. Que j'aurais même vu ça comme une trahison. Pourquoi ? Aucune idée. Peut-être parce qu'en tant que meilleur ami des deux, je me serais cru en droit de savoir. Et je pense que c'est ce que tu as ressenti quand tu as appris pour ma bisexualité. Que t'es ma pote et que t'es en droit de savoir ça. Je me suis mis à ta place, et j'ai compris. J'ai compris ce que ça faisait de vivre avec quelqu'un dont on ne connaît rien Je l'ai ressenti comme une trahison de la part des deux, j'étais en droit de le savoir tout comme tu es en droit de savoir si un jour jme tape par je ne sais quelle substance ton meilleure pote,n,'est ce pas ? oui je me suis sentie trahis par vous trois, sauf que je te l'accorde je n'avais aucun droit de me sentir trahis par ta sexualité après tout c'est ton choix, un trou c'est un trou n'est-ce pas .  Cru , elle était, honnête elle était dans ses propos, même malgré les nerfs elle réussissait toujours à mêlée sarcasme et humour bien que son humour ne soit pas susceptible de faire rire tout le monde. Car oui, c'est vrai, même si tu connais mon caractère —et mieux que personne je crois—, tu ne connais pas grand chose de mon histoire. J'en suis désolé, mais ce n'est pas vraiment dans ma nature de révéler ces choses-là. J'ai un certain passé que je préfère taire.[je ne t'en veux pas je ne t'ai jamais tout dit sur moi non plus et si t'apprenais que j'étais une pseudo meurtière tu m'en voudrais encore plus... pensa t-elle] Mais j'ai compris ce que tu as pu ressentir. Je crois que tu n'as voulu que protéger tout le monde, protéger Hannah mais également me protéger de la connerie que j'allais faire, c'est à dire mentir à Hannah. Je mentirai si je te disais que je suis totalement d'accord avec le fait que t'aies révélé ça mais disons que... je comprends mieux maintenant ». C'est déjà ça il comprenait ma réaction, je m'étais resservie à boire.


Maintenant, je pense que vu comme je t'ai traité ces derniers temps, tu as le droit à des explications. C'est la moindre des choses, non ? Savoir pourquoi j'ai si mal réagi. Je n'ai jamais révélé ce que je m'apprête à te dire, même pas à Hannah. Et je tiens vraiment à ce que cela reste entre nous. De toute façon, tu vas le comprendre, ce n'est rien si elle ne l'apprend pas. Je n'aime pas raconter cela mais je pense que je te le dois. Prends ça comme une excuse, en gros . Je fronçais les sourcils quelque peut intrigué, il allait me confier quelque chose qu'il n'avait pas confier à Hannah, ça me touchais car pour dévoiler quelque chose à quelqu'un on lui confie sa confiance et j'étais étonnée qu'il ose me refaire confiance vu comment il m'avait traité .

Il y a trois, quatre ans maintenant, j'ai rencontré un type. Tout mon contraire. Calme, posé, vachement intelligent. Tu vois le genre ? Il s'appelait Andrea. Je vivais à Tijuana à cette époque. Ça a été... je ne sais pas comment te décrire le truc. Ce que j'ai vécu avec lui, c'était fort, puissant. C'était magique. Je te l'avoue, j'étais raide dingue de lui, fou amoureux. C'était génial L'amour? elle l'avait connu avec un homme, le meilleur amie de son frère qui l'avait quitté le jour même de la perte de son frère. Elle connaissait bien cette sensation si génial et particulière qu'il décrivait, elle bu son verre lentement  avant de se resservir à nouveau, elle fit cela tout le long de la conversation.


Tu dois te demander pourquoi je te raconte cela. Ça vient. Bref, c'était parfait avec lui. Mais au Mexique, et en particulier dans mon milieu de Tijuana, l'homosexualité était très mal vue. Comme une maladie. Les homosexuels étaient traités comme des bêtes. Ils étaient des déshonneurs pour leur famille, pour leur gang. Si tu étais fiché comme étant ce qu'ils appelaient un pédé, tu risquais très cher. Tu risquais ta peau. Et un jour, le frère d'Andrea —Hamri, il s'appelait— a découvert ce qui se passait entre nous. Alors, pour venger sa famille qui avait été déshonoré, il est venu un jour me trouver, et il m'a planté. Sans rien de plus. Je me souviens de ses yeux et de ses dernières paroles. « Sale pédé ». J'ai été à l'hôpital pendant trois mois. Au procès, ensuite, l'avocate d'Hamri a fait un si beau portrait de moi, me dépeignant comme étant un prédateur sexuel, un sodomiste et violeur, que c'est Hamri qui a gagné le procès. Je soupçonne l'avocate et la juge d'avoir été de mèche avec un cartel quelconque. Ma punition ? 3 ans de sursis et interdiction formelle d'approcher Andrea. Je ne l'ai plus jamais revu depuis ».   tout ce qui est souligné est ce qui m'avais touché, on était beaucoup plus proche et similaire qu'on ne le pensait, je comprenais mieux sa haine... je m'en voulais encore plus, je décidais de ne rien dire me taire pour une fois.

Je n'aime pas parler de ma bisexualité. Je sais que la situation est différente aux États-Unis, mais je n'aime pas que les gens soient au courant. Là d'où je viens, c'est un défaut, un gros défaut. C'est une anomalie, une honte. Et je pense que j'ai fini par y croire au fur et à mesure des années. J'ai sûrement réagi trop fort envers toi, et j'en suis désolé. Mais j'estime avoir mes raisons, qui ne justifient rien certes, mais qui tout du moins expliquent. Et ces raisons, tu te devais de les savoir Je baissais les yeux honteuse. Il doit te manquer... je comprends mieux maintenant, non ce n'est pas une honte, vous vous aimiez et je pense que tu l'aimera toujours au fond pareil pour lui, c'est juste horrible ce qui t'es arrivé. Ils t'ont détruits ces fils de pute out ça parce que ça ne réponds pas aux standards de notre société. elle était plus que touché par cette acte et se devait de faire de même, elle ne s'était même pas rendu compte qu'elle versait une larme. Merci, Bellamy, je te promets d'être muette comme une tombe sur ce sujet et pour que tu en sois sûre je vais également te confier une chose que même Wayne et Hannah bien qu'ils en ont été témoins ne sont pas au courant de tout, je crois que personne le sait au fond ... et tu pourras peut etre rassuré comme ça, être sur que tout ce qui est sortie de ta bouche ne sortira pas de ces quatres mur je ne savais pas si je faisais la pire erreur de ma vie mais si je voulais que notre relation s'améliore et si je voulais être sur de regagné sa confiance il fallait que je le fasse, j'avais cassé un vase et si je devais me blessé en le reconstruisant je prendrai le risque, pourquoi ? Car j'avais besoin de Bellamy. Je baissais les yeux à mon tour jouant avec mon verre encore remplit.

Si je me sentais trahis c'est parce que je savais qu'on était connecté toi et moi depuis notre première rencontre, j'ai vu en toi le frère que j'avais perdues et j'avais besoin de retrouvé ce frère, tu m'as toujours mis sur un pied d'estale, j'en ai fais de même. T'étais mon Bellamy, mon frère, mon camarade, mon double, tu l'es toujours au fond.T'étais devenu mon pillié malgré moi, crois moi je me déteste d'avoir baissé ma garde, mais j'en avais besoin et j'en ai encore besoin, alors peut-être que je fais la pire erreur en te donnant la clé de ma destruction maintenant mais si ça te permet de me comprendre, de ne plus te sentir trahis et de pas avoir l'impression que je te connais et que toi en revanche tu ne sais rien de moi, je prends le risque  elle bu sa dernière gorgée avant de finir la bouteille dans son verre, elle en avait besoin.


Il y a trois ans, j'étais avec mon frère jumeau à une fête sur Londres. Mon frère jumeau et moi on était comme les deux doigts de la main, les deux inséparables pourtant bien différents, j'étais la petite fragile, c'était le rebelle , j'étais 'lange il était le démon, un démon qui ne cachait rien d'autre qu'un ange également . *rires* Il avait ses secrets, il était dealeurs il avait beaucoup d'ennemies, il était beau aimé de tous, avait du succès avec les filles, le mec adulé de tous.  C'est moi qui est insisté pour conduire lorsqu'on est rentré, bien que j'avais bu j'avais bu et que j'avais un mélange de drogue dans mon sang, j'étais parfaitement consciente. Je crois que mon frère avait fait une connerie ce soir là, on s'est fait suivre en voiture. elle le regarda un instant perturbé, elle avait peur du jugement.   Cette voiture nous a suivi, puis une autre, mon frère était paniqué, j'avais accéléré, trop accéléré n je n'arrivais pas à contrôler la voiture, tout est allé si vite alors que j'avais enchaîné ruelles sur ruelles pour arriver à l'autoroute du pont qui menait au centre ville, la deuxième voiture que je pensées avoir semé et arrivé par devant, j'ai tourné le volant, trop vite, je l'ai lâché.... sa voix avait déraillé prenant un ton encore plus grave, elle regardait le fond de son verre ailleurs, sa respiration se faisait plus difficile .  

La voiture à frapper la première barre, puis la deuxième, avant de s'engouffrer dans l'eau ...  tout est allé si vite j'avais mal très mal, mais je devais agir vite, l'eau montait si vite, mon frère était coincé, sa c.. Ceinture ne voulait pas s'ouvrir, je te jure, Bell, que j'ai tout essayer et que c'est pas de ma faute ...  
elle revoyait la scène dans son verre, elle pleurait sans bruit.  

Je lui ai demandé de prendre sa respiration et j'allais chercher le peu d'air pour le lui transmettre, on était coincé , je le serrais dans mes bras, je le sentais partir et moi aussi, quand je me suis réveillé, à l'hopital, ils ont essayer de le réanimer, mais ils n'ont pas réussi, je l'avais serré une dernière fois avant qu'on ne m'administre je ne sais quoi car je devenais folle. Il y avait une autre voiture Bellamy, c'est pas moi, je te jure. personne ne m'a cru... elle s'essuyait le visage avant de respirer un instant buvant son verre.   Personne ne m'a cru, ni la police, ni mes amis, ni mon ex pas même mes parents ... mon ex m'a quitté ce soir là en me traitant de meurtrière, c'était son meilleur ami., la police m'a dit que mon taux d'alcool et de drogue m'avait fait halluciné et je n'ai aucune preuve concrète, car les ruelles que j'ai prise n'était pas surveillé, mais je te jure bellamy que j'ai rien inventer, je l'ai pas tuer! ya que mon grand frère qui me croyait car il était au courant des bails de mon frère, mais personne d'autre ne m'a crû, je me souviendrais à vie du dégout de mes parents de leur regard.  J'ai été condamné, la justice londonienne n'est pas aussi clémente que celle des états unis quand il s'agit de la drogue. Je n'ai même pas pu assister à ses obsèques. non, je ne le méritais pas, j'ai fais 6 mois de prison ferme et j'ai continuer le reste de ma peine en prison juvéniles par je ne sais quelle magouille de mon père. 10 appels puis neuf puis  je n'avais que le soutient de mon frère, et de Wayne,  qui ne me connaissait pas si bien que ça  à l'époque pourtant il m'a cru. Hannah a appris ça vers la fin, elle n'était plus à Londres au moment des faits, ou dans les médias peut-être que sas-je ... Pas besoin d'un dessin sur le traitement qu'on te fait en prison...    elle avait arrêter de parler son regard était redevenu froid. J'ai finis ma peine ici pour obtenir mon A-level,je ne me doutais pas que les américain étaient aussi taré, j'étais à Newport en Californie... les gardes là as ne sont pas commodes, ils aiment les blondes , les gamines, au début c'était que de l'humiliation de la violence elle montra sa fameuse cicatrice sur sa jambe avant de reprendre puis  ça à commencé une fois sous la douche, puis deux, puis trois, puis dans une salle en collectif, c'est toujours plus amusant n'est-ce pas? pendant 6 mois...6 mois jours pour jours, personne ne croirait une meurtrière qui à soit disant menti sur un accident de voiture n'est-ce pas ?   elle n'avait pas besoin de mettre des mots juste, il l'a comprendrait, elle était honteuse cela se voyait.     J'ai retrouvé en toi Bell, le frère que j'ai perdu et mon dieu ce que sa faisait du bien, quelqu'un qui ne vous juge pas et qui vous voit comme quelqu'un de bien ,  jusqu'a ce que je me rende compte que tout n'était qu'illusion, jusqu'à me rendre compte que toi aussi tu pouvais me cacher des choses, qu'au fond on ne se connaissait pas aussi bien que ça , j'ai réagis de façon puérile je me suis sentie trahis et j'ai laissé cette colère influencé mon choix ... C'est tout ce que t'as à savoir sur moi, tu te doutes que je ne veux pas que ça se sache, tu peux être sur que ce tu me dis resteras entre nous  elle reniflait quelque peu avant de se lever pour jeter la bouteille, elle n'osait même pas le regarder .


PS : t'en fais pas  <3 <3 <3 <3 <3
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