(#)Sujet: Re: When Everden's riled, it makes sparks. | Everden's & Rodriguez. | Sam 26 Déc - 20:29
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Alrs que je repartais dans mes pensées en me concentrant sur la route du mieux que je le pouvais, Wayne lança la fameuse question, j'eu un soupire, comment ça pouvait être possible ?. La question a un million de dollars, je ne sais pas vraiment le pourquoi du comment, mes parents ne m'ont jamais vraiment dit pourquoi ils avaient abandonné Wayne et maintenant seul notre père pouvait y répondre mais je doutais sincèrement qu'il accepte un face à face avec Wayne de sitôt et puis, si je prenais le risque de les mètres en contacte mes études ne serait plus financer, parce que mon père aurait comprit que ma venu ici n'était pas innocente, même si ce sont les derniers désires de maman. Je soupirais une secondes fois après quelques minutes de silence. - Il étaient jeune et... je suppose qu'ils n'avaient pas d'autre choix... Pour tout te dire je ne sais pas vraiment... Quand j'ai eu quinze je suis rentré dans le bureau de notre père, je cherchais des cigarettes... Doucement je ricanne, mélancolique et une larme à l’œil, je pris une bouffés d'air et repris - En fouillant dans son bureau j'ai trouver un dossier, dedans il y avait quelques renseignement sur toi... Et quand j'ai voulu leur en parlé, papa à crié... notre mère elle est parti dans sa chambre, après ça je n'en ai plus parlé... Plus personnes n'en à parler en faite... Ca a jeté un grand froid, notre mère à sombrer dans une dépression et ne sortait pas vraiment, notre père lui ne rentré jamais... Il s'évitaient et moi j'étais au milieu de tout ca... Je me suis occupé de notre mère et j'ai mis ça de coté . J'eu un "hum" qui remonta du tréfonds de mes entrailles, je n'avais pas vraiment eut de parents lors de mon adolescence, mais je ne pouvais pas me plaindre, j'avais eut une enfance vraiment heureuse malgré tout, et puis ils avaient était la quand Eric est décédé et qu'ils on découvert que j'étais impliqué.
Doucement je lancé un regard à Wayne jaugeant sa réaction et surtout pour apercevoir son approbation, si il me donné l'autorisation de continuer,alors je le ferrais bien que je pensais lui avoir révélé déjà pas mal de choses sur notre famille, il avait déjà beaucoup d'informations à assimilé et j'avais pris la décision de lui donné le temps qu'il voudrait.
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(#)Sujet: Re: When Everden's riled, it makes sparks. | Everden's & Rodriguez. | Lun 11 Jan - 3:38
Je n’étais pas certain de vouloir entendre ce qu’elle avait à me dire. Durant toute ma vie, je m’étais demandé pourquoi mes géniteurs m’avaient abandonné. Est-ce que c’était de ma faute ? Est-ce que j’avais fait quelques choses ? J’étais pourtant très jeune à cette époque mais peut-être avais-je fait une bêtise si grosse que ma propre famille avait décidé de continuer le reste de leur vie sans moi ? Peut-être même que je ne leur correspondais pas . Ou alors la femme qui m’avait mise au monde avait trompé son compagnon et je n’étais qu’un bâtard parmi tant d'autres ? Je ne savais pas. Les possibilités étaient infinies, et je les avais absolument toutes étudiées une par une. Cependant, je n’avais jamais trouvé la réponse à ma question. Les services d’adoption n’avaient jamais rien voulu me dire, si ce n’est mon origine pakistanaise et anglaise. Quel chanceux ! Qu’est-ce que j’en avais rien à foutre ! Finalement, quelques années plus tard, lorsque l’on m’apprenait que le nom que je portais était celui de mon géniteur, je n’avais pas cherché plus loin. Je m’étais fait une raison depuis bien longtemps, même à mon jeune âge. Je n’avais eu aucunement envie de faire des recherches. Ils m’avaient abandonné, je n’allais pas leur courir après. Quand bien même j’avais été détruit par mon abandon et le système. Je m’étais reconstruit peu à peu, et je n’allais pas risquer de tout faire s’effondrer en apprenant une quelconque réalité.
Mon cœur battait la chamade, je tentais de contrôler ma respiration. Après tout ce temps… J’allais finalement avoir les réponses à mes questions. Et si ça n’allait qu’aggraver la situation ? J’étais frustré, tendu et je m’étais comme figé. Je gardais les yeux sur la route, mais regardais de temps à autre la jeune femme du coin de l’œil. Elle m’annonça au bout de quelques minutes, qu’ils étaient jeunes. Mon cœur se serra immédiatement. Je la laissais poursuivre et tendais l’oreille. Elle me parlait d’un dossier qui me concernait, et comment, après en avoir parlé à ses parents la situation avait pu se dégrader. Avaler ma salive se révélait être difficile. Je n’avais jamais été aussi bouleversé. Dieu merci, nous arrivions au garage à la fin de son récit. Je ne pensais pas être capable de conduire plus longtemps. Je me garais, et gardais mes mains sur le volant un long moment, pensif. C’était très dur à entendre et je ne savais absolument pas quoi dire, ni même penser. Ces dernières s’embrouillaient, me chamboulait encore plus. Au bout d’un moment, je tournais mon regard vers la brunette tout en retirant mes mains du volant. « Je vois… » Je sortais ensuite du véhicule puis faisait le tour afin de venir à ses côtés. « Merci pour les renseignements. Je... Je vais m’occuper de ta voiture, c’est rien de grave. J’voudrais pas que t’aies des problèmes. » Je me forçais à sourire légèrement, je n’avais qu’une envie : me défoncer la gueule. Je me dirigeais donc vers la voiture, et la détachais du camion. Après une vingtaine de minutes, le moteur s’alluma, je le faisais rugir quelques fois puis sortais du véhicule. « Eh voilà ! »
chef d'oeuvre terminé.
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