Lorsqu'elle sauta sur le dos d'Orel.. il ne put s'empêcher de sourire et secoua la tête de gauche à droite en levant les yeux au ciel : « soit.. Huuu ! » il ouvrit la porte, la tenant d'un main étant donner qu'il devait prendre aussi la bouteille, attention très important. Il ouvrit la première porte qu'il trouva et entra alors dans ce qui devait être la chambre d'amis au vu de... rien en réalité. La chambre n'avait rien de personnel, aucun cadre, aucune odeur et le lit était trop propre et trop bien fait pour témoigner de la présence de quelqu'un vivant dans cette chambre. Il regarda donc autour de lui et posa la bouteille sur la table de cheveux avant de lâcher soudainement Daniella sur le matelas mouelleux du lit et se tourna vers elle en mettant ses mains dans ses poches : « tu sais que tu es très désirable là ? » il sourit en coin. Devait-il réellement avoir d'inhibition entre eux. Après, c'était une belle femme, il ne s'était pas revu depuis des années et la revoir avait provoquer quelque chose qui lui donnait presque envie de l'embrassait. Mais bon, Orel n'embrassait jamais. Il vint se mettre à côté d'elle se le flanc et la regarda un instant avant de se mettre dos contre le matelas, regardant le plafond et sentit la peau de la cuisse de la jeune femme contre ses doigts, le bras tendu. Il se mit à bouger les doigts légèrement, caressant la peau douce et fine de la blonde. Sa main remonta petit à petit, glissant le tissu de la robe et il tourna la tête son regard tournant vers elle : « quand on était jeune. T'as déjà songer à nous autrement qu'en ami ? Enfin, pas en couple j'entend hein, mais tu vois. Plus. » sa voix était suave, basse, comme s'ils étaient dans un cocon tout le deux. Il y avait une atmosphère spécial entre eux : « Je ne veux pas profité de ton état. Même si c'est tentant » dit-il en se mettant à rire avec ironie : « mais la nécrophilie c'est pas mon délire » dit-il en rigolant sentant qu'elle le frappait en taquinant. C'était comme s'il redevenait ado, à l'époque où ils étaient si jeune et innocent, enfin plus ou moins...

 

Il embrassait Daniella. Oui, en effet, Orel était bien sur elle, en train de l'embrasser langoureusement, une main dans ses cheveux, sentant sa langue douce et chaude caresser la sienne lui rendant son baiser sans le repousser. Elle remonta sa cuisse contre la hanche du jeune homme et finit par les faire basculer, se retrouvant donc sur lui, à califourchon.. elle plongea de nouveau ses lèvres sur celle d'Orel, toujours torse nu et il put d'ailleurs sentir les mains de la jeune femme caresser son torse, avec ses mains douces et froides. Il attrapa sa lèvre inférieur entre ses dents et ouvrit ses yeux doucement, juste assez pour voir ses yeux, son visage, son expression. Elle était divine. Plus que divine, elle était désirable. En cet instant, avec la drogue et l'alcool il oublia qu'elle était sa meilleure amie d'enfance et qu'il ne l'avait jamais vu autrement que de cette façon. Et il n'arrivait plus à se contrôler, se disant qu'il ne fallait pas profiter de la situation. Mais la bosse dans son pantalon témoignait qu'il n'était plus maître de lui. Il la tira contre lui, ses mains dans son dos glissant jusqu'à ses reins, appuyant sur ceux-ci pour qu'elle sente son désir. Il leva son regard vers elle : « si tu continue.. je vais te prendre, et tu ne pourras revenir en arrière.. » il ne lui laissa pas le temps de répondre qu'il fit glisser ses mains dans son dos et fit descendre la fermeture de sa robe, frôlant ses lèvres sur sa nuque et souleva son jupon pour passer sa robe par dessus sa tête. La jeune femme se retrouva alors en sous vêtement et Orel s'allongea sur le dos pour admirer son corps de déesse : « tu es trop sexy putain.. » il se mordit la lèvre, son érection grandissant davantage s'appuyant contre l'intimité de la jeune femme : « Je me sens serré dans mon jean là.. » il souffla alors, tant son slim moulait parfaitement son sexe dressé dans son jean. Il s'assit de nouveau et attrapa un des seins de la belle blonde par dessus le tissus de son soutien gorge et attrapa l'autre d'une main : « ta poitrine est parfaite.. tu es parfaite Daniella.. » il fit glisser un des balconnet du soutien gorge, dévoilant un des seins ainsi que son téton bien dressé. Il le regarda avec envie, glissant son pouce dessus et releva son regard vers elle, guettant sa réaction et alors, tirant sa langue, il passa celle-ci sur le mamelon, fixant le regard de la jeune femme.

 

Orel n'avait clairement plus les yeux en face des trous. Quand il buvait et fumait il devenait un vrai baiseur et même si Daniella était sa meilleure amie d'enfance, qu'il ne l'avait jamais vu autrement qu'ainsi, dans l'état où il était, il ne pensait qu'à une chose : la prendre sur le champ et la faire hurler de plaisir. Elle se trouvait à califourchon sur lui, il se sentait déjà à l'étroit dans son pantalon, sa virilité gonflant proportionnellement au désir qui montait en lui tandis qu'il goutait ses seins, dévoilant l'un d'entre eux de son balconnet, la regardant dans les yeux tandis qu'elle déboutonnait son jean. Il mordit légèrement le mamelons dresser, jouant avec de sa langue quand elle le poussa doucement afin qu'il s'allonge sur le dos. Elle se vira son pantalon et passa sa main sous son boxer, attrapant son membre dur, gonflé d'envie. Orel se mordit la lèvre, peu habituer à laisser une femme prendre le contrôle sur lui de la sorte. Il se mordit la lèvre en grognant lorsqu'elle baissa son boxer pour venir prendre son sexe en bouche. Elle était doué, même complètement défoncer : « ha Ptin Dani.. » il passa sa main dans ses cheveux avant de l'a tirer vers lui pour qu'il récupère ses lèvres : « fait de moi ce que tu veux, ce soir je suis à toi » murmura-t-elle à son oreille en lui mordillant. Il grognan en griffant le dos de la jeune femme et sentit alors quelques reliefs sur celui-ci. Il passa sa tête par dessus son épaule et vit alors sa cicatrice sur son dos. Il passa son doigt dessus en la frôlant.. elle était avant tout sa meilleure amie d'enfance et il fronça un instant les sourcils : « qui a oser te faire ce mal » dit-il en l'embrassant ensuite. Il passa sa langue sur la sienne, dégrafant son soutien gorge en embrassant chaque cellule de son corps... puis, il tourna sur le côté pour qu'elle se retrouve de nouveau sur le matelas. Il embrassa sa poitrine et descendit sur son ventre, mordillant sa peau et descendit sa culotte doucement, frôlant ses cuisses de ses doigts et arriva au niveau de son intimité, qu'il embrassa doucement en écartant doucement ses cuisses de ses mains : « dans ce cas, je compte te faire hurler.. » il aimait ça, avoir le pouvoir, entendre les gémissement plaintif d'une femme jusqu'à ce qu'elle le supplie d'arrêter, de mettre fin à ce calvaire de plaisir intense. Il sortit doucement sa langue et commença à jouer avec ce petit bout de peau si sensible qu'il aimait tant titiller. Voyant la jeune femme se tortillée dans tous les sens. Il saisit brutalement ses cuisses en les tenant fermement : « tiens-toi tranquil" dit-il d'une voix grave.. Il avait envie de la prendre, mais il aimait jouer.. il aimait tant jouer..