Je me mets à rire quand il me parle de combustion. J'avoue que dans son cas j'aurais réagi de la même façon. Ah non ! On vient juste de ce marier ! Puis imagine ce monde sans tes cheveux. lui dis-je hilare. J'adore le taquiner sur ses cheveux ça je ne peux pas m'en empêcher et il le sait. Alors que je suis en train de rire je sens ses mains de plus en plus baladeuses alors qu'il me dit avoir envie de moi tout de suite. Le regardant dans les yeux ma main descend dangereusement sur son pantalon pour lui déboutonner sans jamais quitter son regard. Mes lèvres se posent sur son torse traçant une ligne invisible jusqu'à son nombril. Placée entre ses cuisses, je tire sur son pantalon pour lui enlever emportant en même temps son boxer. Putain, ça fait tellement longtemps que je ne l'avais pas vu comme ça... Humidifiant mes lèvres, je le regarde laissant échapper un petit rire nerveux avant de ramper jusqu'à lui reprenant le même chemin invisible avec mes lèvres pour aller retrouver les siennes. Mes yeux encraient dans les siens, je m'installe sur ses cuisses tout en 'enlevant très lentement mon corset le balançant derrière moi. Doucement, je pose mes mains sur son torse pour lui caresser remontant sur ses épaules afin de m'allonger sur lui afin de partager un langoureux baiser. J'ai quelque chose à t'avouer... dis-je en l'embrassant tendrement avant de poursuivre. Je t'ai menti...j'ai eue le feu vert du médecin...je voulais te faire la surprise. lui avouais-je la voix rempli de désir. J'espère qu'il ne m'en voudra pas trop de ce petit jeu pervers dans lequel je l'ai entraîné. Au pire, il me torturera pendant un petit moment comme il sait si bien le faire.

   

FICHE PAR STILLNOTGINGER.

 

Tout ce qu’elle trouve à faire c’est de me taquiner encore et toujours sur mes cheveux, elle peut pas s’en empêcher de faire ce genre de farce « t’as fini de te foutre de moi, vilaine fille » Alors que mes mains sont de plus en plus baladeuses sur son corps de déesse. Elle était tellement sexy avec cet ensemble, ce corset remontant bien sa poitrine. J’en avais presque oublié à quel point ma femme était parfaite, ses courbes douces, sa peau merveilleuse. Quel crétin j’ai été de la laisser comme ça presque sans amour a juste m’occuper de ma fille. Je comprenais maintenant ce qu’elle avait pu ressentir. Je sens sa main descendre à mon pantalon pour le déboutonner, ses lèvres frivole trace une ligne imaginaire sur mon torse à mon nombril. Je ne pus que fermer les yeux, me concentrant sur la sensation de ses lèvres. Elle emporte dans son geste mon pantalon et mon boxer, exposant mon sexe à moitié durci. Je la regarde, souriant de la voir aussi coquine, refermant les yeux quand elle reprend le chemin inverse avec ses lèvres. Venant caresser son bras pendant qu’elle remonte doucement jusqu’à retrouver ma bouche, je l’embrasse tendrement alors qu’elle s’installe, la laissant poser ses mains sur mon torse pour me caresser. Je viens caresser ses cuisses, ferme et sexy. Maintenant allonger sur moi, mes mains se place sur son derrière, un langoureux baiser se fait place et finalement un aveu se fait. Je l’écoute répondant au baiser. La saleté, je comprends mieux maintenant ce petit numéro complétement aguicheur, reluquant bien sa poitrine. J’arque un sourcil « tu m’as fait ce jolie petit numéro et la joue d’avoir un si jolie ensemble pour me faire la surprise ? J’adore ça… » Je l’attrape pour la remonter encore plus alors que ses seins se frotte contre moi, je l’embrasse avec passion, entrainant ce baiser dans de l’indécence, venant caresser ses fesses, je stoppe le baiser quelque instant « je vais te faire l’amour mon ange… prépare toi… » Je sentais mon sexe durcir contre elle, je place ma main entre ses cuisses pouvoir l’état de son excitation. C’était le bon moment. Je décide de lui arrache son bas tout en lui laissant son porte-jaretelle, cela la rendait si sexy de l'avoir. Je nous fais basculer afin d’être sur le côté, je m’approche d’elle, remonte sa cuisse et viens enfoncer mon membre en elle, sentant enfin la chaleur qu’elle me procure comme à chaque ébat que nous faisions, je lâche un râle pendant la pénétration et retourne l’embrasse avec envie, commençant de bouger doucement contre elle.

   

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J'ignore comment il va réagir mais, je prends le risque de me faire torturer juste pour le plaisir de le rendre fou avant tout. Sa réaction m'étonne un peu, il a aimé ça. Il doit vraiment être très très très en manque pour réagir comme ça. Sans que je ne me rende compte de rien il arrache mon tanga en dentelle, lève ma cuisse pour ensuite me pénétrer. Bien qu'il commence à bouger, une brûle se fait sentir comme me l'avait dit le médecin. Prenant son visage en coupe, je dépose un baiser sur ses lèvres. Donne moi deux minutes s'il te plait... murmurais-je contre ses lèvres. Putain, j'ai l'impression de me retrouver lors de ma première fois. Quand on y pense c'est un peu ça puisque c'est notre première fois en tant que mari et femme. Cette image me fit sourire. Petit à petit la douleur se fait moins présente pour mon plus grand plaisir. Eh bah alors monsieur Campbell déjà fatigué ? Si c'est tout ce que tu peux faire je vais demander le divorce dès demain. lui dis-je sur le ton de la plaisanterie tout en bougeant sensuellement mon bassin alors que mes mains vont se poser sur ses fesses. On ne nous changera pas, on est comme ça et c'est comme ça que nous nous aimons. On est sans doute taré mais c'est là notre relation, c'est ce qui rend notre couple si particulier et j'aime ça.

   

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Je ne m’attendais absolument pas à cette surprise en fait. Déjà la voir dans cet ensemble super sexy était un choc puissant pour ma libido. Elle était devenue bien perverse et aguicheuse pour notre lune de miel. J’aimais la voir comme ça et elle m’excitait énormément. J’avais tellement envie d’elle là maintenant, que je lui en arrache son tanga en dentelle, au pire je lui en reprendrais un neuf. Tout ce que je voulais c’était pouvoir lui faire l’amour. Me ressentir de nouveau en elle. Cela faisait plusieurs mois que nous n’avions pu rien faire avec sa grossesse. Je m’immisce en elle, commençant à bouger, je la regarde et remarque que quelque chose n’allait pas. Elle attrape mon visage en coupe et me demande de lui laisse deux minutes, j’hoche la tête pour lui dire que c’était ok. Cela était la première fois que nous faisions l’amour en tant que mari et femme. Je ralentissais mes mouvements afin qu’elle puisse reprendre l’habitude de m’avoir en elle. D’un coup je la vois sourire et là elle me lâche une belle taquinerie, je rigole la sentant bouger son bassin et ses mains les sentir sur ses fesses « C’est plutôt moi Mme Campbell qui demandera le divorce si tu fais l’amour comme ça, je sens rien du tout. » je viens l’embrasser et viens sur elle, attrapant ses cuisses pour la rendre encore plus proche de moi, enfonçant plus profondément ma virilité au plus profond de son être. Sentant la chaleur m’envahir, je retourne l’embrasser, commençant à me mouvoir plus durement, faisant claquer nos bassin, le lit commençant à grincer « ça faisais longtemps chérie… » Je sentais bien ma virilité aller et venir en elle, ayant la respiration saccadé par autant de plaisir. Je la regarde prendre ce plaisir aussi à cœur que moi, venant l’embrasser encore.

   

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Quand on m'a dit que refaire l'amour après un accouchement était douloureux j'avais beaucoup de mal à y croire mais maintenant que j'y suis j'avoue que la douleur est assez conséquente mais ça en vaut largement la peine. J'aime ses taquineries, je l'aime tout simplement et je sais que notre amour nous permettra de tout affronter. Lui tirant la langue, je le suis dans les mouvements gémissant contre ses lèvres alors qu'il accélère les mouvements. Je pourrais jouer les égoïstes et le laisser faire tout le travail et juste profiter ? Hum...j'avoue que c'est assez tentant comme idée mais ce n'est pas ce dont j'ai envie. Mon regard dans le sien mes mains sur ses fesses les pousses d'un geste brusque me faisant pousser un cri de plaisir. Mordant sa lèvre, je nous fais basculer. Pour mon plus grand plaisir, je prends le contrôle mains posées sur son torse me mouvant sensuellement sur lui nos respirations devenant de plus en plus saccadées à force que le plaisir s'empare de nous. J'ignore si je pourrais tenir très longtemps avant de sombrer dans le plaisir...

   

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Le manque était bien présent. Je pensais que le fait d’avoir ma fille que je ne sentirais pas le manque de sexe auprès de Liséa alors que nous étions complétement accro au corps de l’autre, mais finalement là c’était une bombe qu’on avait lâché. On se retrouvait, on était de nouveau nous, lié par le besoin de l’autres. Je l’aimais et je ne voulais plus oublier la femme qu’elle était avant d’être la mère de ma fille. Elle était parfaite, malgré son cotés peste, mais c’est ça qui faisait notre amour. Notre façon de nous chercher, c’était toujours aussi chaud. L’entendre de nouveau gémir, m’excitais d’avantage, j’aimais ça, la voir ainsi. Le visage inondé par le plaisir, subissant mes coups de rein. J’accélère tout en la regardant prendre son pied. Sentant ses mains sur mes fesses afin de permettre à mon sexe de s’enfoncer encore plus.je la sens me pousser par les fesses afin de prendre le dessus, je souris et la regarde, son corps formé, ses courbes fines. Ses mains posé sur mon torse, je tiens ses hanches la regardant bouger de façon sensuelle. Nos respirations saccadé tellement le plaisir grandissait. Je me redresse un peu afin d’embrasser sa poitrine, venant passer ma langue contre chacune de ses pointes. Mon plaisir grandissait et j’espérais qu’elle n’allait pas vouloir qu’un round. Nous avions plusieurs mois de sexe à rattraper. Elle n’était pas nue encore, il fallait retirer ses bas et son porte-jarretelle. Je la regarde souriant contre ses seins et viens l’embrasse amoureusement, savourant ses lèvres et venant mêler nos langues. Je viens me mettre en tailleurs et dirige ses jambes pour qu’elle enlace ma taille. Mes mains glissant sur ses cuisses pour attraper ses fesses, que je fais soulever pour que ma virilité aille bien dans toute la longueur de son vagin.

   

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Tout était parfait, une véritable et merveilleuse lune de miel. Je ne pouvais pas rêver mieux dans ses bras. Doucement, il se met en tailleur enfermant mes jambes autour de lui. Ma langue caresse tendrement la sienne rendant petit à petit le baiser de plus en plus sulfureux. Nos mouvements sont de plus en plus rapide, notre souffles plus erratique. Mes mains plongent dans ses cheveux lui tirant légèrement alors que je me sens proche d'attendre l'orgasme. Je voudrais faire durer les choses mais nous avons toute une semaine pour ça et bien plus encore c'est pourquoi je me laisse sombrer dans le plaisir sans aucune honte. A bout de souffle, j'enfui ma tête dans le creux de son cou totalement épuisée mais surtout comblée. Il n'y a pas à dire mon homme n'a pas perdu la main pour mon plus grand plaisir.

   

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Ma peste de femme avait bien réussi son coup, ayant arboré une tenue des plus sexy et m’avait avoué qu’on ne pourrait pas faire l’amour à cause de la fin de l’après grossesse. Elle était vraiment sadique envers moi. Je m’installe autrement, faisant entourer ma taille de ses jambes et nos langues se caressent sensuellement. Le baiser devant comme de la braise. On allait encore plus vite et cela était bien de pouvoir la retrouver ainsi. Rien n’était parti et on était toujours d’aussi bon amant. Ses mains dans mes cheveux, je tenais sa taille, douce et terriblement sexy. Elle était ma femme et moi seul pourrait avoir ses courbes. Je la sens partir en vrille, se laissant complétement aller dans l’orgasme. Je sens son souffle à bout tellement cela devait l’envahir. Sa tête dans le creux de mon cou « on dirait que tu as eu le premier round chérie… » Alors que pour ma part, je n’avais pas fini de profiter de la retrouver. Je caresse ses fesses, laissant encore aller ma virilité en elle « comment souhaite tu m’achever ? Tu as les rênes tu sais ? » Venant reprendre son visage pour exercer un nouveau langoureux baiser. Cela n’allait pas être terminé vu la semaine de folie qui nous attend. Je compte bien lui faire l’amour dans chacune des pièces de notre nouvelle maison et chacun de ses meubles afin d’y laisser notre marque de chaleur.

   

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Qu'est-ce que c'était bon d'enfin retrouver mon homme de cette façon. J'ai trouvé le plus gros inconvénient à la grosse c'est l'abstinence juste après. Qu'est-ce que ça a pu être une torture de dormir à côté de lui alors que monsieur dort nu sans ne pouvoir faire ce qui est naturel chez nous mais là, je compte bien me rattraper et pas qu'un peu. Cela faisait tellement longtemps que je n'ai pas tarder à atteindre l'orgasme comme une débutante. C'était frustrant. Lui par contre n'avait pas encore jouis ce qui m'arrangeais vu que mon envie de lui n'est pas encore rassasiée. Doucement, il me caresse les fesses me demandant je voulais l'achever. Hum...bonne question... Répondant à son baiser ma langue caresse sensuellement la sienne dérivant rapidement dans un baiser des plus indécent. Surprends-moi si tu en es capable. murmurais-je contre ses lèvres après avoir rompu le baiser. La provocation est notre petit secret pour tenir notre couple hors de la routine et on fonctionnera toujours comme ça pour mon plus grand plaisir parce que c'est ce qui fait que notre couple est unique.

   

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L’abstinence était un truc qui ne devrait pas existé, je dis ça là, mais bon devoir attendre un putain de mois pour refaire l’amour franchement cela me rendait dingue. Je pense que Liséa était dans le même état que moi d’où son petit numéro avec cet ensemble afin de bien faire chauffer la pièce. Elle venait d’avoir son orgasme, et pour ma part j’étais encore bien prêt pour le second round, mais elle voulait peut-être continuer de jouer ou alors m’achever comme elle aimait si bien le faire. Tandis que je lui caressais les fesses. Prenant en otage sa bouche pour un nouveau baiser brûlant, sentant sa langue venir chercher sa jumelle afin de rendre la chose encore plus sensuelle allant dans l’indécence. Je devais la surprendre, cela était ses mots. Elle était toujours aussi provocante à ce que je vois et j’aimais cela. C’était notre moyen à nous de montrer notre amour. Je la vire de sur moi et viens la mettre sur le ventre. Venant me coller à elle et lui faisant encore sentir ma virilité entre ses fesses. Descendant jusqu’à son intimité pour la caresser avec le bout de mon sexe. Je vins lui mordre l’épaule, enfonçant finalement mon membre droit entre ses lèvres. Lâchant un gémissement contre son oreille « prépare-toi chérie… » Je commence à bouger lentement, lui faisant ainsi sentir toute la longueur de ce qui la remplissait à l’heure actuelle. Accélérant progressivement, venant taper contre son fessier. Je lui fais bien sentir, tapant bien au fond comme si nous ne l’avions pas fait depuis des semaines. Je la sentais bien et je me collais bien à elle, venant embrasser son cou et remontant à la commissure de ses lèvres.

   

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