On avait souvent rendez-vous dans cette chambre, avec Wyatt. Depuis que j'avais été son escort, j'étais... son petit plan cul quand il voulait. Ouai, c'est pas le réglement en effet. Logiquement, on accompagne et jamais de la vie il ne nous touche, le petit client. Mais Wyatt n'est pas quelqu'un comme les autres. Lui, il déjoue les règles. Et sans vous mentir, ce n'est pas pour me déplaire. Ce garçon est vraiment appétissant, comment dire non à de telles avances? Surtout dans cette magnifique chambre d'hôtel qui était notre QG à chaque fois que l'un ou l'autre avait besoin d'un petit.. remontant. Je remettais du rouge à lèvre, là dans la salle de bain de la chambre. Je portais une longue robe noire entre-ouverte à la jambe, des talons, mes cheveux était bouclés et j'avais fais un smoky eyes. J'étais de sortie quand il m'avait appelé, et c'était parfait. J'avais quitté mon client déjà bien occupé pour venir ici le rejoindre et lui offrir ce qu'il voulait. Tu avais besoin du dessert? demandais-je le voyant à présent dans le reflet du miroir. je me retournais vers lui, rangeant mon rouge à lèvres. tu es en retard, il a falloir que tu te rattrapes lui dis-je m'approchant de lui avec un regard malicieux.

Chambre réservée, et appel lancé. Je m'ennuyais terriblement dans cette soirée organisé par mon père, entouré de ses amis politiciens. Il fallait que je m'échappe, que j'aille rapidement retrouver mon plaisir quotidien. C'est une belle demoiselle. Une fille qui m'a escorté un soir et qui, malgré l'interdit, a terminé dans mon lit. Depuis, c'est inlassablement que nous recommençons cette nuit. Comme ci nous nous appartenons quand personne ne peut nous satisfaire. Et les règles nous passent au-dessus de la tête. Dans le hall de l'hôtel, ma main dénoue ma cravate que j'enfouis ensuite dans la poche de ma veste de costard ouverte. Pas le temps pour l'ascenseur, j'emprunte les escalier la carte de chambre prête. Une fois devant la porte, j'ouvre et je souris d'avance de retrouver ce regard fougueux. Je ferme derrière moi, laissant tomber ma veste. Mes doigts ouvrent les premiers boutons de ma chemise, et j'avance d'un pas lent. Je pousse la porte de la salle de bain, d'où sort la lumière, et j'aperçois son visage dans le miroir. "Pas du dessert... De ce dessert la." Et son corps pivote pour approcher du mien. Je hausse un sourcil en relevant ma tête, comme pour afficher un air supérieur. Oh, ce regard qui m'active. Je souris, tout autant malicieusement. "C'est toi qui dirige ce soir?" Ma main lui caresse la joue, et descend sur son épaule pour rejoindre sa hanche. Une fois bien posée, j'avance son corps contre le mien, rapprochant nos visages. Ma bouche effleure la sienne, tout sourire encore "Fais moi confiance. Je vais me faire pardonner."

même si j'étais là depuis peu, je le considérais tout de même comme en retard. Parce que sinon, ce n'était pas drôle. Il fallait que je m'empresse de le lui reprocher, d'ailleurs, quand il entrerait dans la pièce bien connue de tous les deux. Je tentais alors la nana un peu froide et en colère comme approche, histoire qu'il se mette à genoux pour moi. On aimait bien jouer, Wyatt et moi et c'était plaisant. J'adorais ce genre de relation. Qui n'aimerais pas, en même temps? Je me retournais alors vers lui tendais qu'il me répondait. j'avais un sourcil levé et une absence total de sourire. Lui, il prit cet air supérieur qu'il sait si bien prendre. Encore une fois, je me retrouvais avec deux caractères de domination. Mais, C'est là que ça devient intéressant car on cherche à prendre le dessus l'un sur l'autre sans cesse, et c'est excitant. C'est toujours moi qui dirige, tu le sais bien.[/b dis-je recevant l'électricité de sa main contre mon épaule, mon bras, et ma hanche. Il m'attira contre lui, me serrant là dans cet espace restreint entre lui et moi. [b]il y a plutôt intérêt dis-je ne le lâchant pas du regard, ne flanchant pas vers ses lèvres. Puis j'aggripais sa chemise et je le fis reculer doucement avant de le faire plaquer contre le mur de la chambre le plus proche. je suppose que tu le veux flambé, ce dessert.. soufflais-je retirant un à un les boutons qu'il restait de sa chemise, glissant mon doigt dans l'ouverture qui se faisait, de haut en bas. Je lui souris alors doucement, malicieusement. Je décrochais les épingles de mes cheveux pour qu'ils tombent en cascade sur mes épaules et je reculais alors ouvrir la bouteille de champagne et nous en servir. tchin soufflais-je. Même s'il s'agissait entièrement d'une introduction à une scène de sexe torride, on restait classes et raffinés. je trempais mes lèvres rouges dans mon verre et je tournais le regard vers lui. Je posais doucement mon verre sur le côté et m'approchais à nouveau de lui. A un pas de séparation, je commençais à faire glisser doucement ma robe de mon corps élancé, restant sur mes talons, laissant une lingerie fine et sexy à souhait apparaître. Je fis un pas en avant pour me débarrasser de l'emprise de la robe, maintenant par terre. Doucement, je retirais la chemise du corps de Wyatt et je le poussais contre un fauteuil, pas loin. moi aussi, je veux mon dessert dis-je alors ouvrant son pantalon, faisant glisser son boxer et m'emparant de son sexe déjà durci dans ma bouche et je commençais des va et vient.

La seule raison pour laquelle j'avais sûrement accepté de faire partie de ce dîner mondain, c'était parce que je savais ce que l'après me réservait. Et quand j'étais en bas, les minutes s'étiraient inlassablement, comme si les minutes étaient devenues des heures. Mais quand mes pas foulaient le couloir, les minutes ne devenaient plus que des secondes, quelques infimes secondes avant que je puisse retrouver celle qui allait être mienne le temps d'une nuit. J'avais l'impression que cela faisait des années que je ne l'avais pas vu mais c'était tout le contraire, on se voyait souvent. Lorsque j'entrais dans cette chambre d'hôtel qui m'était plus que familière, je la laissais commencer à prendre les rênes en lui demandant si elle souhaitait diriger, je lui laissais le choix, mais elle savait bien que d'un instant à l'autre, je pouvais changer d'avis et prendre le dessus sur la tournure de notre petit moment de plaisir. « Intéressant. » Le ton assez neutre, je la laissais déboutonner ma chemise avant de me laisser guider contre l'une des parois de la chambre, mes mains, malicieuses au possible la collait contre moi. « Plus que flambé... » Un murmure, je la regardais attentivement effectuer des gestes qu'elle semblait connaître par cœur, tant elle les faisait avec un professionnalisme à couper le souffle. Je me mordais l'intérieur de la joue quand elle laissait ses cheveux glisser le long de son dos et j'attrapais la coupe qu'elle me servait, le sourire aux lèvres et un oeil malicieux glissait de la manière la moins subtile du monde le long de son corps avant que je ne prenne une gorgée de ma coupe de champagne en la fixant avant de déposer le verre sur un meuble à proximité tandis qu'elle s'approchait de moi. Le spectacle qu'elle m'offrait était presque habituel mais ce soir, je prenais un plaisir qui avait un goût particulier. A croire qu'elle savait pleinement comment me faire craquer. Je la laissais me contrôler, encore et encore. Lorsque je me sentais pousser dans le fauteuil, je posais mes mains sur chaque accoudoir et je souriais en l'entendant s'exclamer « Alors prend le, ton dessert bébé... » Bébé, je ne l'avais jamais appelé comme cela mais en même temps, les surnoms pour moi sont d'une inutilité sans nom et ne signifient clairement rien. Lorsque j'étais libéré de l'emprise que m'offrait le tissu qui me recouvrait le membre, j'admirais le spectacle qu'elle m'offrait penchant quelques instants la tête en arrière avant de reprendre le contrôle de notre ébat en la redressant pour la porter avant de la bloquer contre le mur le plus proche de nous et de balader mes lèvres contre son cou et mes mains contre son corps, libérant sa poitrine de tout tissu et laissant glisser mes lèvres sur sa poitrine, mordillant sa peau qui m'était offerte. Quelques pas plus tard, je nous faisais basculer sur le lit, et retirant le seul tissu qui lui restait ainsi que le mien, je la possédais de la plus chaleureuse des manières, commençant par des vas et vient assez lents, mais je savais que la cadence allait accélérer bien plus vite que je ne le pensais.