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 Your absence began be felt

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(#)Sujet: Your absence began be felt  |   Dim 17 Avr - 21:39

Your absence began be felt
Wayne & Hannah



Carter était encore malade. Le pédiatre m'avait expliqué que c'était l'âge ou il chopait tout et n'importe quoi que je devais pas m'en faire. Le problème était que Carter ne dormait pas beaucoup déjà en temps normal et depuis deux nuits c'était bien pire. Le travail me prenait énormément de mon temps et de mon énergie et m'occuper seul du petit n'était vraiment pas facile. Wayne était toujours introuvable. Aucun signe de vie de sa part, aucune réponse à mes nombreux messages. Louise n'avait pas eu de nouvelle de Noah, c'était claire que quelque chose n'allait pas et pourtant personne ne voulait me croire. Wayne avait la réputation d’être un mec qui ne prenait jamais rien au sérieux et qui passait son temps à faire la fête. Pourtant avant son départ, les choses avaient changé entre nous. Carter était devenu important pour lui comme il l'était pour moi. On n'était pas la définition de la famille parfaite car notre relation était tendue encore, les rancœurs du passer étaient encore présentes mais on était prêt aux mètres de côté pour le bonheur de Carter. 

Aujourd'hui après un bref passage au magasin en fin de journée a discuté du prochain défilé qui allait se dérouler à NY dans deux semaines avec Alexie, je rentrais directement à la maison pour m'occuper du petit. Le pédiatre m'avait dit que pour faire baisser sa fièvre un maximum je devais lui prendre un bain tiède. Je montais à l'étage avec le petit pour me rendre dans sa chambre et le déposais sur la table à changer, le déshabillais et entrais dans sa salle de bain pour lui faire couler l'eau dans sa baignoire. Carter adorait l'eau et c'était un moment que j'aimais beaucoup partager avec lui. Il barbotait en me regardant, la maladie n'avait pas l'air de le déranger plus que cela même s'il lui arrivait de me piquer des grosses colère " T'aime sa le bain mon amour " dis je en souriant, je prends son gel douche et le lave. Quelques minutes après je le sors pour qu'il n'attrape froid pas. Je le sèche et lui enfile un pyjama pour la nuit. Je lui chauffe son biberon et lui donne en marchant dans le salon, il ne mangeait pas beaucoup. Devenir maman était vraiment un boulot à temps plein surtout quand on était seul. Carter avait besoin de son père et j’appréhendais de ne pas avoir de nouvelle de lui. 


Minuit trente.
Je dormais allongé sur le canapé, Carter était dans son berceau juste à côté de moi. C'était impossible de dormir à l'étage , je pré-ferais le savoir à côté de moi. On frappait à la porte à plusieurs reprises ce qui me fit sursauté. Le petit dormait beaucoup trop bien pour que je veuille que quelqu'un le réveille. Chaque seconde était du temps de gagner pour la nuit. Je me précipitais et ouvrais la porte, et le choc était vraiment le mot. Wayne se trouvait là devant moi, sur le seuil de ma porte. Le visage avait quelque bleu et le regard assez vide, je m'approchais pour lui foutre une claque car il le méritait et me ravisait quand le petit se mit à pleurer " Et merde " dis je en laissant la porte ouverte. C'était un moment pour moi de lui faire comprendre de rentrer. La porte claquait alors que je prenais le petit dans mes bras pour faire face de nouveau à Wayne " Il est malade " dis-je simplement sans trop savoir quoi dire, je n'avais aucune envie de lui hurler dessus " Je ne vais pas te demander où tu étais et pourquoi tu as mis autant de temps à rentrer mais maintenant tu vas pouvoir un peu penser à lui " dis je berçant le petit contre ma poitrine. C'était comme si Carter avait senti la présence de Wayne.
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(#)Sujet: Re: Your absence began be felt  |   Mer 27 Avr - 1:53

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Wayne & Hannah



Ses vacances au Mexique ne s’étaient pas passé comme prévu. Mais alors pas le moins du monde. Le séjour de trois semaines c’était transformer à un mois, et ce, sans mon consentement. Ni même celui de Noah. Bon, techniquement, c’était un peu de notre faute. Nous avions apparemment volé quelques dizaines de kilos de cocaïne à la mafia mexicaine. Pourquoi ? Comment ? Je m’étais posé les mêmes questions. Je n’avais absolument aucun souvenir de cette partie de l’iceberg. Je me rappelais de chaque minute ou presque des deux premières semaines de notre voyage. Cependant la troisième, c’était autre chose. J’arrivais à trouver quelques bribes de mémoire par ci et par là, mais rien de concluant. C’était le trou noir, et je n’avais aucune explication possible. Peut-être les drogues ? Je n’étais pas convaincu. Cela faisait des années que je me droguais. En effet, depuis mes quatorze ans c’est tout ce que je connaissais, et je n’avais pourtant jamais rien vécu de tel. Me droguer au point d’avoir perdu une semaine de ma mémoire ? Impossible. À moins qu’une tierce personne nous avait fait ça, à mon meilleur pote et moi-même ? Allez savoir. J’avais essayé tant bien que de mal de me souvenir de cette semaine manquante, en vain. Et enfin, la quatrième semaine. La moins plaisante. Tout à fait, nous nous étions fait kidnapper, et attacher telle des carcasses dans un abattoir au-dessus d’une bâche… Ouais je crois que j’avais difficilement fait pire niveau embrouille. On s’était fait tabasser à longueur de journée. Mon état passait de conscient, à demi conscient à plus conscient. Et ça, en repeat durant une putain de semaine. Ces fils de putes nous avaient bien fait la misère. Nous alimentant juste avec ce qu’il fallait de nourriture et d’eau pour ne pas avoir deux cadavres sur leur bras. Tout ce qu’ils les avaient retenu de ne pas nous butter directement, c’était l’emplacement de leurs kilos de drogue. Emplacement, que Noah et moi ignorions bien sur. Mais nous avions réussi à tenir sept jours, et c’est ce dernier jour, que nous avions réussi à nous échapper. Détruisant la si belle voiture de Noah par la même occasion.

Dès que nous étions arrivés à Miami, après un long vol des plus désagréables, je m’étais directement dirigé à l’hôpital. J’y avais passé quasiment toute la journée. J’étais dans un assez piteux état. Des hématomes partout sur le corps, une putain de dent cassée –ouais mon dentiste commençait à avoir l’habitude- heureusement que cette fois-ci, c’était une dent du fond qui ne se voyait pas vraiment. Bref, la majorité de mes côtes étaient cassés, ainsi qu’une épaule luxée et une brûlure de cigarette dans le dos. Il m’avait bien amoché, et pourtant je m’estimais chanceux. C’était la mafia mexicaine, ces mecs-là ne plaisantaient pas, ils étaient redoutables. Je me demande comment Noah et moi avions pu être aussi stupides pour leur chercher des emmerdes. J’avais toujours fait en sorte d’être en bon terme avec ces derniers. Mieux valait être leur ami que leur ennemi… Et maintenant, regarder où nous en sommes. Si je tenais à ma vie, j’avais intérêt de rester bien à l’écart du Mexique, ce qui me peinait d’ailleurs fortement. J’adorais tellement ce pays. Je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même.

Bref, lorsque je fus rentré chez moi, la nuit était déjà tombée. Ça me faisait un bien fou de retrouver mon appartement. Plus que je ne l’aurais pensé. J’étais complètement épuisé, et pourtant mes pensées ne se dirigeaient que vers une personne, et c’était bien mon fils. Il me manquait terriblement. Et puis Hannah dans tout ça ! La pauvre, sans nouvelles de ma part pendant des semaines… C’était pas cool. Elle avait dû paniquer ! Ou pire encore, pensé que j’avais changé d’avis et que je ne voulais plus assumer mon fils ! J’eut un pincement au cœur à cette pensée. Je n’avais plus de portable, et quand bien même je retrouvais un  cellulaire qui traînait dans un tiroir, je me voyais mal après tout ce temps lui envoyer un message, ou même lui passer un coup de fil. C’était beaucoup trop impersonnel et de toute manière je mourrais d’envie de voir Carter. Je décidais donc de passer chez elle. Mais juste avant, de prendre une douche et d’enfiler de nouveau vêtement.

Trente minutes plus tard, je frappais à sa porte. Il était tard, la brunette devait probablement dormir, ainsi que Carter mais je devais bien l’avouer, ça m’était égal. Je n’aurais pas pu attendre le lendemain matin. De ce fait, quelques secondes plus tard à peine, celle-ci vint m’ouvrir. Un éclair de colère illuminait son regard, elle avait le visage dur, et comment lui en vouloir. Notre fils commença alors à pleurer et Hannah s’éloignait de la porte après avoir juré. J’entrais à l’intérieur en refermant cette dernière. Un pincement de culpabilité me traversa mais se dissipa aussitôt à la vue du petit bonhomme. Oh putain ce qu’il m’avait manqué. La jeune femme m’annonça qu’il était malade, je m’approchais et fus surpris de voir à quel point il avait déjà grandi. Un regret immense m’empara immédiatement. J’étais franchement, très loin de gagner le prix du meilleur père de l’année. « Je ne vais pas te demander où tu étais et pourquoi tu as mis autant de temps à rentrer mais maintenant tu vas pouvoir un peu penser à lui. » Je grimaçais à ses dires en m’approchant jusqu’à être auprès d’eux. « C’est... compliqué. » dis-je dans un soupire. « Mais je suis la maintenant, et pour de bon cette fois. » ajoutais-je sincèrement en regardant Carter. Je retirais très doucement mon épaulière et la posais sans trop regarder ou. « Je peux ? » demandais-je à la mère de mon fils en désignant ce dernier.
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(#)Sujet: Re: Your absence began be felt  |   Jeu 5 Mai - 15:37

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Être maman n'était vraiment pas facile. Carter me prenait beaucoup de mon temps et j'avais beaucoup chose à régler depuis mon retour d'Europe. Par malchance le petit était tombé malade , vraiment par le bon moment mais malheureusement je n'avais pas le choisir de pouvoir contrôler cela.Wayne avait décidé de prendre ses responsabilités. Sur le coup cette idée ne m'avait pas paru la bonne, toute ma grossesse il n'avait en rien voulu savoir sur l'avenir de cette enfant et pourtant c'était grâce à lui si mon accouchement c'était passer sans trop de problèmes. Je lui devais beaucoup.Son départ au Mexique ne m'avait en rien surpris et puis je n'avais pas vraiment eu mon mot à dire. J'avais seulement demandé à avoir des nouvelles de temps en temps pour le petit, il était petit mais c'était par principe.Carter était tombé très malade et avait dû être hospitalisé de toute urgence car son cas était assez préoccupant. Wayne fut prévenu a la seconde de mon arrivée aux urgences et pourtant a la suite de cela je n'avais pas eu de réponse à mon texto ni à ma multitude d'appel passer juste ensuite. Le Mexique était un pays ou faire la fête était la priorité mais un mois sans nouvelles c'était exagérer.Chaque personne à qui je parlais de l'absence prolonger de Wayne me certifier qu'il était juste trop occuper à s'amuser pour consulter ses messages. Wayne avait pas mal de défaut mais je savais qu'il aimait le petit. Quelque chose clochait. Mes doutes avaient été confirmer par mon ami Khloé la semaine passer m’avertissant qu'elle avait rencontré un Wayne et un Noah au Mexique et qu'il c'était passer un événement tragique qu'elle n'avait pas su m'expliquer car la pauvre avait été agresser et à son réveil plus personnes n'étaient là. Après cette révélation je n'avais pas su quoi faire. La police d'ici n'avait aucun pouvoir sur la police du Mexique. Attendre avait été la seule chose à faire.

Ce soir Carter était encore patraque. Le pédiatre avait conseillé de le sortir le moins possible.Depuis quelques jours je dormais sur le canapé pour avoir le petit a coter de moi. Je me levais précipitamment pour ouvrir à la personne derrière la porte. Wayne était de retour et pas en bon état. Ma première réaction aurait été de le gifler et de lui demander de partir et ne plus jamais revenir mais ce n'était pas dans l’intérêt de notre fils. Le petit s'était mis à pleurer. Un simple petit bruit le réveillait à chaque fois. Je le berçais tout contre moi quand Wayne apparut dans le salon. J'informais le père de mon fils qu'il était malade et que je n'avais pas envie d'entendre une explication car la seule chose que je voulais c'était qu'il se préoccupe un peu plus de Carter " Compliqué ? " dis-je alors qu'il s'approchait pour prendre le petit dans ses bras. Je lui donnais et le calais dans son bras valide " Wayne ce n'est pas un jouet tu ne peux pas disparaître un mois entier et revenir en pensant que je vais accepter ce genre de chose " dit je en le regardant " Carter et ton fils et je sais tu l'aimes mais tu dois commencer à penser à te priorité j'ai besoin de toi vraiment besoin car il va grandir très vite et je sais tu ne veux pas rater les meilleures choses le concernant " dis je au jeune homme qui ne quittait pas le petit du regard, chaque fois que Wayne prenait Carter dans ses bras il se calmait " Il a eu son premier vaccin il y a trois jours depuis il a de la fièvre " dis je en m'installant dans le canapé. 
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(#)Sujet: Re: Your absence began be felt  |   Mar 31 Mai - 1:39

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Compliqué ? répétait-elle. Je sentais son regard sur moi, mais je ne relevais pas mes yeux pour autant. Ces derniers ne quittaient pas mon fils. Je n’étais pas tout à fait encore habitué à ces nouveaux sentiments que j’éprouvais envers la chair de ma chair. Jamais je n’avais aimé un être humain de la sorte. Jamais je n’avais ressenti ce sentiment de manque, de vide que lorsque j’étais loin de mon enfant. Mes vacances au Mexique avaient été ma première expérience loin de lui. Une expérience que j’avais jugée largement faisable. Après tout, c’était moi, Wayne, les sentiments, la famille, c’était loin d’être mon fort. Et bien malgré ça, je m’étais bien trompé. J’avais pris sur moi durant les deux premières semaines. Je ne voulais pas paraître faible devant mon meilleur pote et toutes ces femmes que l’ont côtoyaient. Alors ouais, je faisais mon dur, je souriais, je déconnais mais en vérité, j’avais toutes les peines du monde pour ne pas courir prendre mon téléphone et appeler en facetime Hannah pour me montrer mon adorable fils que j’aimais tant. De ce fait, dès que l’envie me tentait trop, je reprenais une dose de drogue, je buvais encore plus. Je faisais tout pour me changer les idées, et essayer de profiter de ce séjour paradisiaque. Grâce au ciel, la plupart du temps, cette technique avait été efficace. Excepté la quatrième semaine lorsque j’étais aux mains de la mafia. En effet, j’avais eu peur pour ma vie, mais la plupart de mes pensées étaient également dirigés vers Carter, et même Hannah. Je ne voulais pas leur faire traverser ce genre d’épreuve. Mon fils avait certainement besoin d’un père, son véritable père et non pas le petit ami de sa mère. J’allais devoir faire de sacré effort pour ne plus agir égoïstement envers ma nouvelle famille. Ça n’allait pas être simple…

J’étais tellement soulagé d’avoir enfin mon fils dans mes bras. J’avais rêvé de ce moment de nombreuses fois, presque à en perdre la tête. Le simple fait de le porter faisait crier de douleur tout le haut de mon corps mais qu’importe. Je pourrais endurer n’importe quoi pour ce petit bonhomme. J’embrassais délicatement mon enfant, tout en écoutant Hannah me sermonner. Une année en arrière et je ne lui aurais même pas laissé terminer sa première phrase. Je serais immédiatement passé à l’attaque. Lui balançant sans la ménager qu’elle n’avait absolument rien à me dire, et encore moins sur mon comportement à adopter. Cependant, désormais… Tout était si différent. Elle avait entièrement le droit de me faire la morale tel un gosse de 14 ans. J’étais égoïste et immature, et la preuve était là. C’était toujours moi qui passais en premier, et je ne réfléchissais que très peu aux conséquences pour la plupart du temps.
Je berçais calmement Carter, qui s’était arrêté de pleurer. J'osais penser que le contact avec son papa l'apaisait. Je ne savais pas quoi répondre à la jeune femme. J’avais l’habitude de fuir ce genre de conversation plutôt sérieuse. Excepté que celle-ci, je ne pouvais pas l'esquiver. J’étais coincé pour le meilleur et pour le pire.
Au bout d’un moment, je relevais mon regard vers celle-ci. « Tu as raison. » Ça m’en coutait énormément de lui dire ça, mais le moment était mal choisi pour faire son fière. « Je vais faire des efforts. » Je n’allais pas tenir encore très longtemps avec le petit dans les bras, mais je ne voulais pas le reposer, non pas maintenant. Hannah eut l'air de lire dans mes pensées puisqu’elle s’installa au salon. Je lui emboitais le pas, et allais m’asseoir doucement, en essayant de ne pas brusquer Carter qui commençait à se rendormir. Elle m’informa qu’il avait eu son premier vaccin trois jours auparavant et qu’il avait de la fièvre depuis. « Ah ouais… Et c’est normal ? T’es aller chez le médecin ? Enfin... C’est censé durer combien de temps ? » Ouais. J’étais complètement à la ramasse. Je n’y connaissais rien moi en ces trucs ! Un vaccin, j’avais déjà donné, et la fièvre qui en suivait également. Je supposais donc que c’était normal. À moins que pour un nourrisson c’était différent ? La galère… Qu’est-ce-que je ferais pas sans la brunette. Bon, ça, bien sur, je me gardais bien de lui dire. « Il a grandi en un mois… » dis-je à haute voix sans vraiment le vouloir.
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(#)Sujet: Re: Your absence began be felt  |   Mer 15 Juin - 19:52

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Notre relation n’avait rien de simple. On avait passé une nuit ensemble pour au final devenir parent 9 mois plus tard. Wayne avait très mal pris cette nouvelle. Au départ les choses avaient été très claires pour lui, il ne voulait en rien avoir avec moi et cette enfant. Comment obliger un homme à assumer ses responsabilités. J’avais donc passé ma grossesse seule pour lui laisser le temps de se faire à cette idée. Par chance ou malchance cela dépend ce qu’elle point de vue on pouvait être, Wayne avait assisté à mon accouchement enfin assister il avait mis au monde notre fils dans un ascenseur qui devait nous conduire devant un avocat pour qu’il renonce à ses droits sur le petit. Un mois après cela il se pointait devant ma porte pour me demander de voir son fils, refuser aurait été mon droit mais pour Carter j’ai accepté. Je voulais donner à mon enfant la chance d’avoir son père dans sa vie comme le mien avait toujours été présent. On avait donc conclu que notre fils passait en premier et qu’on ferait chacun des efforts pour lui. 
Il y a un mois le jeune homme m’avait annoncé son départ en vacances pour le Mexique, sur le moment cette idée m’avait fortement déplu mais encore une fois je n’avais pas mon mot à dire. Le problème fut que cela était devenu un problème très rapidement, le petit était tombé malade et Wayne avait été introuvable les jours était devenu des semaines et un mois était vite arrivé. Ma première réaction aurait été de lui claquer la porte au nez ce soir pour ne pas avoir donné de nouvelles et prit de nouvelles de son fils mais j’avais besoin d’entendre ce qu’il avait à dire. Je le laissais donc rentrer, Carter dormait à côté de moi pour que je puisse le surveiller. Wayne s’approchait directement de lui et me demandait s'il pouvait le prendre, je lui donnais. Carter était toujours très calme dans les bras de son père « Wayne je ne suis pas là pour te faire la morale je voudrais pas que Carter se retrouve sans un père à 5 mois je comprends que ta vie d’avant ne prenait pas en compte ce genre de responsabilité et crois-moi ce n'était pas mon cas non plus mais il a besoin de nous de toi et de moi « dis je en regardant le jeune homme qui semblait subjuguer par notre fils qui s’endormait contre lui. À cause de son vaccin, le petit avait de la fièvre et dormait difficilement « Oui le docteur m'a dit qu’il en aurait pendant deux voire trois jours il ne dort pas beaucoup et puis il a une dent qui commence à pousser je crois qu’il a mal donc il pleure énormément « dis je en me frottant les yeux, le sommeil commençait doucement à se faire ressentir. Carter ne dormait pas beaucoup en ce moment et avec le travail je n’avais pas une minute à moi « Oui il commence à avoir du caractère « dis je.
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