01. d'origine irlandaise, elle a suivi sa mère lors de son déménagement après son divorce à ses cinq ans.02 elle n'a jamais manqué de rien, sa mère lui apportant toute l'affection qu'elle désirait et dont elle avait besoin 03. elle n'est jamais vraiment tombé amoureuse 04.elle a le syndrome de kleine-levin, ce qui signifie qu'elle est hypersomniaque 05.même si elle n'a manqué de rien, elle joue les pick-pockets. Elle s'amuse à voler les gens, en quête d'adrénaline 06. elle déteste les riches et leurs façons de démontrer qu'ils ont de l'argent avec leur voitures de luxe, leurs montres qui n'équivaut même pas le prix du salaire qu'elle touche 07. elle est passionné par le théâtre, elle en a fait pendant des années avant de commencer ses études et de ne plus pouvoir concilier son travail et ses études 08. elle a d'ailleurs arrêté en deuxième année de psychologie et s'est pleinement intéressée par la fleuristerie 09. sa patronne qui n'était autre que sa voisine lui a d'ailleurs léguer la boutique à sa mort 10. elle est très bavarde, possessive, maniaque, bout-en-train, un peu jalouse, travailleuse, passionnée 11. elle s'est prise de passion pour la photographie, mais cela ne reste qu'un passe-temps, cependant, elle expose ses photos dans son petit appartement 12. elle n'a jamais touché à la drogue, ni même à la nicotine 13. elle a un demi-frère qu'elle considère comme son frère, même s'il est en tout point différent. Mais elle l'aime comme à la prunelle de ses yeux, les gens ont eu tendance à penser qu'ils étaient en couple alors qu'ils étaient au lycée, mais l'inceste, ce n'est pas trop son truc 14. elle ne couche pas à droite à gauche, elle n'a pas envie de passer pour une fille facile, et elle ne comprend pas les filles qui le font. .
a little bit about the real you
Pseudo : HARLEEN. Prénom : Marion Âge : vingt-deux ans Pays : France Fréquence de connexion : 7/7 Inventé ou scénario : inventé Comment as-tu connu le forum? : Par mon chaton de l'amour @Wyatt D. Jefferson Commentaires : poney et chocolat
l'irlande, la famille, le divorce :Andrea, sans le é, c'est la douceur incarnée. Née un jour de décembre à Dublin en Irlande, elle a grandi dans les contrées irlandaises pendant une durée de six années. Six années rythmées à la vie dans la boulangerie de son père et dans le bureau de sa mère, qui était journaliste. Journaliste de renom si on peut en croire le nombre d'articles signé de la plume de sa mère. Six années qui se sont transformées en un simple cauchemar. Sa mère ayant fait deux fausses couches et son père ne l'ayant pas supporté, ils ont tout simplement divorcés. Ils ont forcés Andrea a alterné une semaine chez l'un, une semaine chez l'autre du haut de ses six ans. Mais les semaines n'étaient plus au moment où mademoiselle Cartwight de son nom de jeune fille a accepté un poste à Miami. L'Amérique. Loin de son père. La jeune Andrea avait compris qu'elle ne le reverrait plus que durant les vacances scolaires, mais au fur et à mesure que les années passaient, elle ne se sentait plus à sa place en Irlande. Comme si, l'Irlande n'était finalement plus rien dans son cœur de jeune américaine. Son père avait retrouvé quelqu'un de douze ans de plus jeune que lui et Andrea ne l'avait pas supporté tout simplement. Alors elle était restée en Amérique et n'avait plus jamais remis un pied en Irlande.
la belle famille, l'amérique : Puis, il y a eu la rencontre avec Dan. Dan, son beau-père, en comparaison avec Sophie, sa belle-mère, cette mégère, le courant est de suite passé. Comme si Dan avait toujours été là pour elle. Il ne voulait pas prendre la place de son père mais était plutôt conseiller, meilleur ami. Dan est arrivé dans la maison familiale avec Steve, son fils du même âgé qu'Andrea. Seize ans. Ils se sont tout de suite bien entendu, l'un comprenant quand l'autre n'avait pas envie de parler. Ils étaient même tellement ensemble qu'on leur prêtait une relation sans savoir vraiment qu'ils étaient demi-frères et soeurs, ce qui les faisait rire d'ailleurs. L'inceste, ça n'a jamais été vraiment le truc d'Andrea est quand bien même son demi-frère était assez canon, elle ne s'imaginait pas avoir des sentiments pour lui. C'était juste impensable et inconcevable. Steve était toujours là, à la défendre quand elle en avait besoin, l'Irlandaise avec son accent bizarre, l'irlandaise avec son style vestimentaire décalé, l'Irlandaise qui ne s'ouvrait pas aux autres. Tant de surnoms qui lui avaient été affublés alors qu'elle ne demandait strictement rien. Elle voulait seulement et simplement que les gens la laisse tranquille.
le diagnostique, le syndrome, l'envol
Puis il y a eu la première crise, celle que l'on attend pas. La première dépression et les heures de sommeil qui s'allongeaient au fur et à mesure, les premières nuits n'avaient pas inquiétés sa mère, en même temps, elle était rentrée à huit heures du matin donc elle avait dormi le temps qu'il lui fallait pour rattraper, mais les jours passaient et elle dormait toujours autant, ne voulant voir personne, et le peu de choses qu'elle faisait, la plupart du temps, elle ne s'en souvenait plus. Elle oubliait parfois, le prénom de ses parents, le prénom de son frère. Alors le diagnostic est tombé après des batteries de test, elle était malade. Elle avait le syndrôme de Klein-Levine. Ça lui avait fait peur, à la brunette, mais elle vivait avec, simplement. Peu de personnes sont au courant de sa maladie, et elle ne s'en porte pas plus mal.
Il y a aussi eu ce jour dans sa vie, où elle sortait avec son demi-frère et une amie. Ce jour-là, où ils avaient eu une discussion assez houleuse mais drôle sur le fait de se tenir la main quand on est en couple. Alors elle avait tenu la main de sa meilleure amie, trente secondes. Et elle les avait vu, ces hommes en costards taillés Ralph Lauren, leur montre Rolex sur le poignet. Ils avaient ris et les avaient insultés. Ils étaient montés dans leur bagnoles à un million et ils étaient partis sur les chapeaux de roues. Depuis ce temps là, elle s'amuse à leur faire les poches dès qu'elle le peut, elle se prend pour une demoiselle riche et elle leur fait les poches pour se faire un peu d'argent, pickpocket qu'elle est.
Mais tout cela n'est rien dans la vie de la jeune O'Callaghan, sa vie, elle l'écrit au fur et à mesure que les jours passent, s'acclimatant à un syndrôme, au fait que les gens peuvent être cons. Mais elle, elle est fière du chemin qu'elle a parcouru, de son métier de fleuriste, de sa licence de psychologie abandonné et de sa boutique qui tourne aussi bien que quand c'était sa voisine qui la tenait. Elle est tout simplement heureuse de vivre.
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