Krista - don-t judge a book by his cover

Invité

“ Krista Madison Hempton ”

24 ans

américaine

situation

let's dance

phoebe tonkin

who i am

brillante - vive d'esprit - intelligente - optimiste - altière - travailleuse - pétillante- rancunière - fière - méfiante - indocile - directe - tranchante - confiante - organisée.

Native de la nouvelle orléans, elle est d'origine américaine et italienne et a deux petites soeurs - polyglotte, parle français, italien, coréen et mandarin et envisage d'apprendre le portugais - - peut se montrer distante, hautaine et farouche avec les étrangers et arrogante lorsqu'elle est persuadée d'avoir raison (le pire c'est qu'elle veut toujours avoir le dernier mot) - derrière ce mur qu'elle s'est construit, se cache une jeune femme altruiste, sensible, fragile et généreuse. Seuls les amis de confiance connaissent la véritable Krista - adepte d'une alimentation et d'une vie saine depuis qu'elle a perdu plusieurs kilos pour se sentir mieux dans sa peau. Mais le déclic elle l'a eu bien avant, en faisant des recherches sur les cancer, après avoir appris la maladie de sa mère - c'est d'ailleurs pour cette raison qu'elle désire créer sa marque de cosmétique naturel dès la fin de ses études : elle souhaitait que sa mère puisse profiter de produits sans danger pour sa peau - cette année 2015/2016, elle a passé un an en stage en france et vient juste de revenir - sa boisson favorite est le smoothie banana mangue fraise - ses sports de prédilection sont l'équitation, l'aviron et le pilates - amoureuse de grands espaces, de voyages de découvertes et de destinations exotiques, cependant elle n'aime pas rester trop longtemps sans son confort et son portable- juste après le restaurant italien, elle fréquente souvent le mexicain et le chinois - elle aime la mode et particulièrement les accesoires ainsi que les chaussures dont elle fait collection - elle rêve de vivre dans un haras .

a little bit about the real you

Pseudo : wanderlust
Prénom : sylvia
Âge : ÉCRIRE ICI
Pays : france (guadeloupe)
Fréquence de connexion : 4 à6/7
Scénario : de sacha
Comment as-tu connu le forum? : je sais plus mais ça date de longtemps.
Commentaires : je suis déjà amoureuse du forum, des membres et de l'ambiance sans prise de tête qui y règne

Invité

VOTRE HISTOIRE.

Je me revois ce soir là humiliée et insultée. Ma semaine, pour changer, avait été désastreuse mais elle se terminai plus mal que d'ordinaire avec ce lynchage en publique. Ce soir là il avait suffit d'une étincelle pour embraser ses jeunes haineux et méprisant tel un brasier dévorant un autodafé... mon autodafé. Je voulais juste me détendre et oublier le temps de quelques heures la triste nouvelle que je venais d'apprendre, cette horreur que je refusais d'accepter. Je me suis rendue à cette soirée ridicule organisée par l'équipe de basket juste pour oublier le fait que ma mère était atteinte d'un cancer de la peau. J'admets que ce fut une idée peu astucieuse pour une fille aussi asociale que moi mais je n'avais pas vraiment d'autres options, ni aucun ami pour me prêter une oreille attentive et une épaule réconfortante. Ils se riaient de moi tout en se chuchotant des horreurs à mon sujet et leurs regards persisants se portaient sur ma personne si... troublante : peau acnéïque, bourrelets et kilos en trop, franchise arrogante et tête assez pleine pour arriver régulièrement parmis les trois premiers de la classe. Même si ça me gênait, au moins je n'étais pas triste, du moins jusqu'à ce qu'arrive de nul part ce morveau, un garçon qui semblait de plus plus jeune que moi. Lorsqu'il s'en est pris ouvertement à moi en se moquant à voix forte comme si ce qu'il faisait était bien, je n'ai pas pu retenir mes larmes. Je ne lui avait rien fait : à aucun moment je ne lui avait adressé la parole. Alors pourquoi ? Pourquoi m'avait-il prise en grippe et que trouvait-il de si drôle à cela ? A cet instant je les ai tous haïs, et lui en particulier, pour la torture mentale qu'ils m'infligaient et tous ces quolibets dont ils m'affublaient. Il fallait que je rende la pareille à cet idiot incapable de faire preuve d'empathie. Il m'attaquait alors je devais riposter, il me traita de folle à cause de mes différences alors je rentrais dans le jeu et en tirais avantage. Avec une audace et une force qui m'étaient inconnus jusque là, je me glissait dans la peau d'une de ses vielles prêtresses vaudou de la ville, et notamment en pensant à l'une d'entre elle qui faisait peur à tout le monde. Pour paraître authentique dans mon personnage je me mis à rire nerveusement, les yeux presques révulsés et le maudit... Il resterait malheureux et seul toute sa vie. Et sans demander mon reste, je quittait les lieux pour retrouver une famille qui avait besoin de moi. Si elle n'avait pas été là, j'auais sûrement fini par commettre l'irréparable et fait naître une joie immense dans le coeur de tous mes détracteurs. Oui, j'avais une raison de vivre et de me battre : je devais soutenir ma mère dans sa maladie. Il ne nous restait plus qu'elle à mes deux soeurs et moi après que notre père parti reconstruire sa vie en Californie, avec une autre femme.
Il a fallu des semaines et des mois avant que nous puissions voir le bout du tunnel, mais à la guérison de ma mère j'ai réalisé que ma vie aussi avait changé en bien. Je n'étais plus la même fille timide et peureuse. J'avais découvert que je n'avais rien avoir avec l'étiquette que mes camarades me collèrent sur le dos. Rassurée d'apprendre que ma mère était complètement remise de son cancer, je décidais de quitter cette ville Il était hors de question que je me retrouve à la même université que mes bourreaux. Alors je partis étudier la chimie à Miami, une ville assez grande et diversifiée pour que j'y trouve ma place. C'est sous le soleil de Floride que je me suis épanouie, que j'ai découvert qui je suis et à m'aimer, peut-importe ce qu'en pense les médisants. Personne de mon ancienne vie ne saurait me reconnaître : je suis bien plus belle et plus populaire. Mais par peur de souffrir une nouvelle fois de moqueries et d'insultes, je me suis forgée une personnalité de femme dure n'ayant confiance qu'en ses vrais amis. Je ne laisserai personne me ramener à cette époque, ni même de se moquer de moi à mes dépends. J'ai la langue assez acérée pour remettre quiconque à sa place
. .