Loélia - Life and love never are easy.

Invité

“ Loélia E. Stilson ”

33 ans

Américaine

Célibataire

Let's dance

Rachel McAdams

who i am

« douce » J’ai toujours été plutôt douce, je ne suis pas du genre à m’énerver pour rien. Je pense que si les choses sont bien faites, on peut obtenir les mêmes résultats en étant ainsi, c’est peut-être mon côté aimant les enfants qui me fait être comme ça, je ne sais pas vraiment. ♦ « romantique » J’ai toujours cru au grand amour et au prince charmant, je pensais l’avoir trouvé, même si ça s’est fini avec un cœur brisé, le mien, mais ce n’est pas pour autant que je ne crois pas que le véritable amour peut m’arriver, il se cache juste trop bien. ♦ « sensible » Je ne saurais dire si c’est une qualité ou un défaut, mais j’ai tendance à être un peu trop sensible et à m’attacher facilement, ce qui fait que je suis rapidement et assez souvent déçue et qu’on peut facilement me faire du mal. ♦ « attachante » C’est ce que mon entourage dit de moi, j’ai toujours aimé les gens et je pense qu’ils me le rendent plutôt bien, ça explique aussi pourquoi je me suis aussi bien intégrée à Miami à mon arrivée. ♦ « maladroite » On ne peut pas avoir que des qualités, je suis même plutôt du genre très maladroite, comme un éléphant dans un magasin de porcelaine, mais je préfère prendre ça avec le sourire. Pensez juste à ne pas mettre trop proche du bord les choses auxquelles vous tenez si je suis là. ♦ « drôle » Je pense que mon côté maladroit aide à me rendre drôle, mais je préfère prendre les choses avec le sourire, la vie peut être trop courte pour ne pas la vivre pleinement et de la meilleure façon qui soit. ♦ « loyal » J’ai toujours été là pour les gens qui m’entourent et je ne pourrais jamais trahir quelqu’un qui a confiance en moi, c’est un échange de bons procédés et j’aime pouvoir compter sur certaines personnes sans retenue. ♦ « jalouse » Encore une conséquence d’un mari infidèle. Je n’ai jamais été jalouse, mais quand on surprend son mari en train de vous tromper bizarrement vous perdez facilement confiance en vous, mais surtout dans les hommes et si vous les fréquentez, c’est encore pire. J’ai beau me dire qu’ils ne sont pas tous pareils, c’est assez difficile à y croire quand même. ♦ « possessive » Ce n’est pas forcément mon meilleur côté, mais je dirai que ça va de pair avec ma jalousie, malheureusement, ce n’est pas facile à vivre pour tous .

a little bit about the real you

Pseudo : /
Prénom : Cynthia
Âge : 25 ans
Pays : France
Fréquence de connexion : Le plus possible
Inventé ou scénario : Scénario
Comment as-tu connu le forum? : Allysio.
Commentaires : Amusons-nous.

Invité

VOTRE HISTOIRE.

Que dire ? Ma vie a plutôt été du genre banal. Je suis née le 21 juin 1982, enfin il paraît, après tout je n'étais pas là pour le confirmer. Mes parents sont deux personnes totalement adorables, ils auraient et ont d'ailleurs tout fait pour moi. Mon père, John était avocat et ma mère, Kathlyn était professeur de musique, ce qui peut aussi expliquer ma passion pour ce domaine. J'ai passé toute mon enfance à New-York, vivant une enfance des plus heureuses et paisibles. Même si mes parents travaillaient beaucoup, ils ont toujours tout fait pour me rendre heureuse, et ma nounou était des plus adorables qui soient. On peut dire que je respirais la joie de vivre, il n'était pas rare de m'entendre m'esclaffer de rire, et autant dire que c'était de famille. De ce que je peux me souvenir de ma toute petite enfance, mes meilleurs souvenirs restent les fêtes de fin d'année, et plus particulièrement, le Noël de mes trois ans. Mes parents m'ont fait la plus belle surprise qu'ils auraient pu, un petit chiot, un labrador. Quand je l'ai vu, je l'ai tout de suite aimée et j'ai décidé de l'appeler Doudou. Ce fut un chien extraordinaire, il ne faisait que contribuer à ma joie de vivre.

Lorsque j'atteignis l'âge du collège, mes parents décidèrent de m'envoyer suivre mes cours dans un établissement très renommé, ce qui impliquait de me mettre en internat, mais je comprenais parfaitement les raisons de ce choix. En effet, ce n'était aucunement pour me faire du mal, au contraire, c'était pour mon bien et mon " avenir ". Je ne peux pas dire que j'ai eu à me plaindre, j'ai rencontré des personnes extraordinaires là-bas, mes meilleurs amis. Mais surtout, j'ai commencé à avoir conscience de ce qu'était la vie d'adulte.

J'ai passé toutes mes années de collège et de lycée dans cet établissement. Le lycée, c'est à cette période que je l'ai rencontré. Qui ? Me direz-vous. Tout simplement celui avec qui je pensais faire toute ma vie, ça a été un peu comme un coup de foudre entre lui et moi. Dès que je l'ai vu, j'ai senti un truc bizarre en moi, je ne comprenais pas trop au début ce qui se passait, mais j'ai bien vite compris. Heureusement, c'était réciproque, enfin je le pensais. On a passé toutes nos années de lycée ensemble, et je pensais qu'on passerait nos vies ensemble. Je sais que c'est puérile comme idée, mais je croyais en nous, je croyais en lui. A la sortie du lycée, je savais ce que je voulais faire, je voulais devenir prof de droit, c’était ce qui m’attirait vraiment. Pour lui, le choix était plus flou, il était rentré à l'université, seulement, au bout de quatre mois, il m'annonça qu'il s'engageait dans l'armée. J'ai eu beaucoup de mal à assimiler cette nouvelle, mais si c'était ce qu'il voulait, je le soutiendrais. C'est ce qu'on fait quand on s'aime non ? Et lui, je l'aimais plus que tout ... Chacun de ses départs était plus que dur à supporter, mais je restais forte pour lui, pour nous, et je me plongeais activement dans mes études pour me remplir l'esprit autrement qu'avec les craintes que j'avais le concernant.
Sans lui, je ne serais sans doute pas à Miami. En effet, je travaillais beaucoup mes cours pour palier à son absence, mais à chacun de ses retours, je m'arrangeais pour être tout à fait disponible pour lui et notre relation fonctionnait très bien comme cela. A chaque fois que je le voyais, je me sentais revivre et je profitais pleinement de lui et du peu de temps que je pouvais passer avec lui. J'étais rassurée de le voir rentrer à chaque fois, et en bonne santé, que ce soit physique ou morale. C’est pourquoi, quand il m’a demandé de l’épouser, j’ai dit oui sans hésiter, je n’avais que 22 ans, mais je savais que je le voulais, j’étais dingue de lui et ce n’était pas autrement, c’est comme ça quelques jours plus tard, on se retrouvait à Las Vegas pour se marier, non pas parce qu’on voulait un mariage à la légère mais surtout parce qu’on ne disposait que de quelques jours avant sa prochaine mission. Je crois que j'aurais pu tout donner pour lui, mais il faut croire que ce n'était pas assez... En effet, un jour, où j'étais plus qu'impatiente de le retrouver, j'eus la très mauvaise surprise de le voir avec une autre fille. Je sentis mon coeur se fendre dans ma poitrine, ce fut la chose la plus horrible que je pouvais affronter. Je pensais que ses sentiments étaient les mêmes que les miens, surtout vu tout ce que je supportais pour lui. J'avais immédiatement rebroussé chemin, pour rentrer chez mes parents. Je me devais de passer les voir et de faire bonne mine devant eux. Je l'avais évité les deux semaines où il était resté à New-York. Je lui avais tout simplement envoyé un message pour le prévenir que j’avais beaucoup de boulot avec les examens et qu'on ne se verrait pas avant. Je ne savais pas quoi faire, mais j’étais sure d’une chose, je ne voulais plus jamais le voir. Voilà comment quelques semaines après mon diplôme, je débarquais à Miami avec ma meilleure amie qui avait décidé de tenter l’aventure avec moi, pour devenir prof de droit à la fac. Mais surtout, j’ai fait une demande de divorce, quel cliché de divorcer au bout de deux ans quand on est jeunes, je voyais déjà ce qu’on pouvait dire « encore des jeunes qui se marient sur un coup de tête, qui pensent savoir ce qu’est l’amour alors que non », mais ils peuvent bien dire ce qu’ils veulent, je sais que mon cœur ne me trompait pas à défaut du sien. Ça a été plus difficile que je le pensais, il n’a cessé d’essayer de me joindre lorsqu’il a compris que c’était terminé entre nous, mais je refusais de lui parler et de me laisser avoir, il m’a fallu plusieurs mois pour qu’il daigne signer ces papiers et que je retrouve pleinement ma liberté. Depuis, autant dire que j’ai barricadé mon cœur et que je fais plus que difficilement confiance aux hommes, même si un certain jeune homme, un élève, aurait tendance à faire que je veuille laisser tomber certaines barrières, alors que c'est plus que mal dans ce cas, mais j’aime la vie que je mène ici, même si j’ignore où elle me mènera.
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