(#)Sujet: This should not influence our spending. | Mer 6 Juil - 21:42
Isaac & Hannah × This should not influence our spending.
Après avoir passé plusieurs jours à New York pour des réunion , j'étais enfin de retour chez moi. Mon petit homme fêtait ses 7 mois aujourd'hui même. Le temps avait passé à une allure folle et j'avais parfois l'impression que c'était hier que j'apprenais que j'attendais un bébé. Il était vrai que ce n'était pas facile tous les jours mais avec le temps j'avais appris à prendre le rythme, aujourd'hui les choses allaient beaucoup mieux.D'habitude j'aurais été au magasin mais aujourd'hui c'était une journée que je voulais totalement consacrer à mon fils. Il était actuellement 14 heures quand je décidai de me préparer pour me rendre au rendez-vous que j'avais au Ouest de la ville, je me changeais et enfilais une tenue convenable et m'occupais de préparer mon fils qui était malheureusement grognon aujourd'hui.
Mon rendez-vous n'avait en rien eu avec ceux que j'avais d'habitude pour le travail. Dans cette ville il était très difficile de trouver de bonne école et les bonnes écoles étaient souvent surchargées et la liste d'attente était interminable. La crèche où je voulais laisser mon fils avait refusé ma candidature pour cause d'avoir fait la demande beaucoup trop tard, alors que je n'étais enceinte que de 5 mois au moment de ma demande. Pour l'école maternelle je voulais pas faire la même erreur. Je voulais le meilleur pour mon fils et cette école avait la meilleure réussite et le meilleur programme. Il était vrai qu'il n'avait pas encore un an mais le temps allait sans doute passer très vite et si la liste était déjà longue je voulais donner toutes les chances à mon fils.Je me gardais bien de parler de mon projet à Wayne. Nous n'étions pas d'accord sur certain point de l'éducation de notre fils et je savais que l'école publique aurait très bien convenu au jeune homme, moi je voulais qu'il soit dans le privé et c'était une chose qui me tenait à cœur. Je lui en parlerais plus tard quand les choses seront plus concrètes.
Je prenais la voiture et me rendais donc à l'école. Mes parents avaient toujours fait en sorte de m'envoyer dans les meilleures écoles il était donc important que mon fils en soit de même. Arrivée sur le parking de l'école, je sortais et déposais le petit dans sa poussette. La secrétaire avait réussi à m'avoir un rendez-vous assez rapidement avec le directeur. Je rentrais et me présentais à l’accueil " Bonjour je suis Hannah Mills j'ai rendez-vous avec le directeur je suis désolé je n'ai pas reçu le mail avec tous les renseignements " dis je en souriant à la petite brune derrière le comptoir " Bonjour Mademoiselle Mills je suis la personne que vous avez eue au téléphone Mr Fitzgerald va vous recevoir dans un petit instant, je vous laisse vous installer " déclara-t-elle très poliment. L'évocation de son nom m'échappa un petit crié d'étonnement qui je l’espère ne c'était pas laisser voir. Je m'installais sur une chaise non loin du bureau en question et regardais mon fils qui me tendait sa tétine " Tu va aider maman d'accord elle a vraiment merdé alors ... " dis-je alors qu'on prononçait doucement mon nom famille, la jeune femme m'invitait à entrer dans le bureau.Je soufflais et y entrais alors que la porte se fermait derrière moi, a l'instant où je croisais son regard froid ne présageait rien de très bon . En le regardant, des moments qui ne le devraient pas me revenaient en tête. Pour me concentrer de nouveau, je m'approchais " Sa fait longtemps ... " dis-je en m'installant sur la chaise en face de lui , je comprenais sa rancœur envers moi j’espérais juste qu'il fasse la part des choses " Isaac je te présente mon fils Carter " dis je en regardant le jeune homme qui semblait étonner par ma révélation. La Hannah qu'il avait connue il y a 4 ans n'avait rien d'une figure maternelle
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(#)Sujet: Re: This should not influence our spending. | Sam 9 Juil - 18:09
Ne regrette jamais quelque chose qui t'as fais sourire
L’année était désormais terminée. Du moins, pour les enfants. Pour moi, il en était tout autre. J’avais encore toute la paperasse à terminer, et encore bien des rendez-vous. Les rendez-vous de dernières minutes. De plus, il fallait que je revoie les effectifs de chaque classe afin que tout cela soit équilibré. Ce n’était pas une mince affaire mais quand on aime, on ne compte pas, et malgré le soleil rayonnant et l’envie de me rendre à l’océan piquer une tête, je me retrouve dans mon bureau à clôturer des dossiers d’admission. J’enchaînais rendez-vous sur rendez-vous, ce qui avait tendance à me ralentir dans mon boulot, mais c’était ça ou je devrais caser ces rendez-vous là à la rentrée, et autant vous dire qu’à la rentrée, j’aurai bien des choses à faire. Alors je préférais sacrifier la deuxième semaine de juillet à ça plutôt que devoir tout revoir à la rentrée. Je voulais boucler toutes ces inscriptions pour pouvoir partir en vacances tranquillement et paisiblement, sans avoir à me prendre la tête avec le travail qui m’attendrais à la rentrée. Une fois que je quitte l’école, ce n’est pas pour y penser chez moi. Bien au contraire, mon travail, c’est mon travail, j’y passe beaucoup de temps afin de satisfaire pleinement les familles, et à mener à bien mon travail auprès des enfants, en revanche, car l’heure de la débauche sonne, je quitte mon rôle de directeur et maître d’école pour le rôle de Isaac César Fitzgerald. Autant vous dire que ce n’était pas un métier toujours évident pour moi. Je devais me montrer plus sérieux que je ne l’étais, du moins, avec les parents, parce qu’avec mes collègues et les enfants il m’arrivait de me lâcher. Clairement, passer une journée en étant sérieux, ce n’était même pas envisageable. J’étais une véritable boule d’énergie. Mais au moins, ce métier me permettais de me tempérer. C’est grâce à cela que j’avais pris la notion qu’il y a un temps pour tout. Un temps pour être sérieux, et un temps pour déconner. Avec tout ça, je n’avais même pas pris le temps pour une pause repas, alors, sur les coups de quinze heure quarante, je prévenais mes collègues que si un de mes rendez-vous arrivait, qu’ils le fassent patienter, car mine de rien, je commençais à avoir faim. Quittant l’établissement une dizaines de minutes, je me rendais à la petite supérette pour me prendre un sandwich, ainsi qu’une boisson et une petite douceur. Après avoir payé, je retournais dans mon école pour aller me poser dans la salle du perso. Tout en mangeant, je renais mon téléphone pour consulter mes mails persos et faire un petit tour sur les réseaux sociaux histoire de voir la connerie humaine. Très vite, je terminais mon repas, et après avoir bu quelques gorgées de ma boisson, je me levais pour regagner mon fidèle bureau. Habituellement, je mangeais dans mon bureau, mais ces derniers temps, je l’avais trop vu pour manger une énième fois à l’intérieur, et puis en mangeant à l’extérieur de ce dernier, cela me permettais de faire une coupure. La coupure désormais terminée, je me retrouvais assis derrière mon bureau, regardant les rendez-vous qui m’attendais. Plus qu’un. Courage. Cependant, j’attendais, j’attendais, et j’attendais encore, mais personne. L’heure tournait et toujours personne. J’appelais alors la famille que j’attendais mais tombant sur le répondeur, je laissais un message espérant qu’ils me rappellent. Là, une de mes collègue frappait à ma porte. « Entrez » lâchais-je doucement, tout en relevant le regard en sa direction. « Isaac, il y a quelqu’un qui attend pour un rendez-vous » Finalement, cette famille avait peut-être juste du retard. « Fais là entrer » répondis-je à l’attention de cette dernière. Pendant ce temps, j’ouvrais le dossier de la famille en question, mais lorsque je relevais les yeux en direction de la personne qui entrait à l’intérieur, le dossier ni même le nom de famille ne correspondait à cette jeune femme que je ne connaissais que trop bien. La surprise était flagrante, et elle devait sans doute avoir remarqué que j’étais surpris de la voir ici. La rancune voulait prendre le dessus, mais je ne pouvais pas, et encore moins sur mon lieu de travail, je me devais de rester neutre, et de ne pas y mêler mes histoires, et encore moins devant un enfant. Car quoi que l’on dise, un enfant entend tout, qu’importe l’âge, et un enfant retient tout. Et l’enfant d’Hannah n’avait pas à attendre ma rancœur. J’essayais alors de faire comme si de rien était. « Vous pouvez vous asseoir » lâchais-je en lui présentant la chaise face à elle. Je reportais mon regard sur l’écran d’ordinateur, fermant par ailleurs le dossier de la famille que j’attendais. Je regardais ensuite sur le listing des familles que je devais rencontrer, mais le nom Mills n’y apparaissait pas. Sans doute une erreur, ou alors, je n’avais pas eu le message. Quoi qu’il en soit, elle avait de la chance puisque le rendez-vous précédent avait visiblement décommander. « Effectivement » rétorquais-je lorsqu’elle me faisait la remarque que cela faisait longtemps. Ca pour faire longtemps, ça le faisait oui. Depuis cette nuit passée ensembles, je n’avais eu aucunes nouvelles. J’imaginais qu’elle devait sans doute avoir regretté, mais avant ça nous étions amis et j’aurai préféré qu’elle soit honnête avec moi, plutôt que de m’éviter comme la peste. Surtout quand on sait que l’on s’était croisé, à deux ou trois reprises à Miami, mais où on s’était mutuellement évité. En même temps. Cela se comprenait. Elle n'avait cependant pas changé. Enfin, si, quand même, mais je la reconnaissais, je reconnaissais la Hannah que j'avais connu. Sauf que là elle me présentait alors son fils, qui était loin d’avoir un an. « Bonjour Carter » lâchais-je tout naturellement à l’attention du petit bonhomme, un sourire aux lèvres. Sourire qui s’échappait de mes lèvres lorsque je retrouvais le regard de Hannah. « Qu’est-ce que je peux faire pour toi ? » J’avais quitté le vouvoiement pour le tutoiement car je me voyais mal la vouvoyez. Bien que ce soit une formule de politesse, et que je sois sur mon lieu de travail, j’avais un peu de mal. Je me demandais bien ce qu’elle pouvait faire ici, avait-elle un… deuxième enfant, âgé de 2 ans et demi voir trois ? Je restais sceptique quant à cette hypothèse, mais je ne l’excluais pas pour autant, car son petit Carter était loin de pouvoir entrer à l’école.
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(#)Sujet: Re: This should not influence our spending. | Sam 30 Juil - 19:36
Isaac & Hannah × This should not influence our spending.
Mon idée semblait au départ une bonne idée et après mur réflexion je commençais à doucement le regretter. Mon fils avait à peine 7 mois et je pensais déjà à lui trouver une école. Pour l'inscrire à la crèche je m'étais pour mes 4 mois de grossesse à l'heure actuelle je me heurtais à des refus à chaque crèche de la ville. Mes entretiens avec les nounous n'avaient jamais donné suite , je leur trouvais toujours un truc qui fallait pas et je refusais de confier mon fils à n'importe qui. Wayne n'était pas d'accord avec moi sur cela, pour lui je voyais le mal partout et c'était moi qui cherchais à compliquer trop les choses. Alors cette fois-ci je voulais faire les choses bien a l'avance. Une amie de ma marraine m'avait expliqué qu'elle avait inscrit sa fille alors que celle-ci n'avait tout juste un an et qu'elle avait été sur une longue liste d'attente. L'école était la meilleure de la ville je voulais pouvoir m'assurer que mon fils en face partie et reçoive la meilleure éducation possible, si je devais payer je le ferais sans problème. J'appelais donc pour avoir un rendez-vous, je ne savais pas grand-chose mise à part que le directeur actuel était arrivé il n'y a pas si longtemps de cela est qu'il était assuré dans son poste.La secrétaire me demandait de patienter. Le directeur allait vite me recevoir. Le choc ne fut pas quand je constatais qui était le nouveau directeur, une très veille connaissance avec qui les choses ne c'était pas bien terminer.
Je rentrais dans le bureau en prenant une grande inspiration, cet entretien allait être plus compliqué que je l'avais imaginé.La surprise sur son visage était assez flagrante. Je m'approchais pour m'installer sur la chaise juste en face de lui et le saluais poliment. Quatre ans sans se voir cela pouvait paraître court pour certaine personne pour nous cela était une éternité. Isaac et moi nous nous étions rencontré à mon arrivée ici il y a des années de cela, le feeling était de suite passé et l'attirance aussi. Nous n'avions jamais rien fait a part cette nuit là, et ensuite quand mes parents font partie je n'ai pas supporter j'ai tourné le dos à tout les gens qui m'entouraient et faire une fausse couche. Isaac avait essayé de me contacter à plusieurs reprises, je n'ai jamais suite à aucun de ses appels.Je lui présentais mon fils, la situation était vraiment étrange " Quand je suis tombé enceinte j'ai faits les démarches pour une crèche j'ai eu que des refus et donc une amie de ma marraine ma dit qu'elle avait inscrit sa fille alors qu'elle n'avait pas un an donc je viens savoir si cela est possible pour mon fils cette école et la meilleure de la ville et elle a beaucoup de bon écho " dis je en le regardant. Isaac semblait en colère contre moi, le lieu était peu as approprié pour lui expliquer pourquoi je n'avais jamais donné de suite il y a quatre " Isaac m'excuser semblerais déplacer après ce que j'ai fait mais je vais quand même le faire après ... je suis désoler après cette nuit là je comptais te téléphoner a mon retour a NY et puis il y a eu des choses ... ensuite " dis-je sans pouvoir trop lui dire, c'était pas le moment de remuer le passer je ne pouvais pas lui dire qu'on avait été à deux doigts d’être parent. Parfois certain secret était préférable de ne pas être révélé. Je reportais mon attention sur le petit " Son père n'est pas au courant pour tout cela je fais les démarches seule " dis-je simplement.
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(#)Sujet: Re: This should not influence our spending. | Mer 3 Aoû - 14:38
Ne regrette jamais quelque chose qui t'as fais sourire
Les vacances, voilà tout ce que j'attendais avec impatience. L'école semblait vide. Il n'y avait pas un enfant. Les enseignants étaient déjà en vacances, du coup, je me retrouvais quasiment seul ici, fort heureusement pour moi, les ATSEM étaient là pour réaliser les grands nettoyages d'été. Quand je les voyais faire, je réalisais combien cela devait être physique pour une femme de faire ce métier. Ce n'était pas évident. Elles devaient vider chaque classe pour les nettoyer de fond en comble, mais pourtant, cela ne semblait pas les ennuyer. Elles le faisaient avec la musique, et avaient décidé de se mettre en binôme pour aller plus vite. Ce n'était pas moi qui allait leur dire quoi que ce soit, tant que les locaux étaient dans un état irréprochable à la rentrée, le reste m'importait peu. Moi. Je me retrouvais dans mon bureau, à enchaîner les rendez-vous. Il faisait une chaleur monstrueuse, c'est pour cette raison que je mettais le ventilateur en marche. Tant je voulais en finir avec mes rendez-vous, j'en avais raté ma pause déjeuner, comme j'avais un petit trou. Je décidais de quitter mon école pour aller déjeuner à l'extérieur, enfin, du moins, pour aller me chercher de quoi manger. Je prévenais toutefois les filles que je sortais et que si l'un de mes rendez-vous arrivé qu'elles disent que j'étais de retour d'ici peu. Quant à moi, je me dépêchais pour aller à la supérette la plus proche et me prendre de quoi manger, une fois chose faite, je retournais à l'école, je n'avais pas envie de perdre de temps, il me restait plus que deux jours de travail avant d'être en vacances, alors autant vous dire que je devais avoir bouclé toutes les inscriptions, et que les listes des classes devaient être mise au propre et posés dans chacune des salles de classe afin que mes collègues enseignantes les aient pour la rentrée. Alors que je mangeais à la vitesse grand V, je retournais rapidement dans mon bureau, et comme personne ne m'attendais, je me mis à faire les listes de classe, à les ré-équilibrer. Il y avait cinq classes, toutes étaient divisées en double niveau, vu le nombre d'enfant que j'avais pour la rentrée, il valait mieux faire des classes à double niveau. Et puis, j'aimais bien ce concept. Je trouvais que cela apportait tant aux plus petits qu'aux plus grands. C'est alors que plongé dans mon travail, quelqu'un frappait à la porte de mon bureau, je voyais la tête de ma collègue passait entre la porte. Je riais légèrement face à cet image, d'ailleurs je fus surpris de la voir car je pensais être seul avec seul les ATSEMS. Elle m'informait qu'un parent était là pour une inscription. Je lui dis alors qu'elle pouvait la faire entrer, pendant ce temps, je faisais de la place sur mon bureau. S'il y avait bien une chose à laquelle j'étais loin de m'imaginer, c'était qu'un jour je me retrouve face à Hannah. Oui, la jeune femme qui se trouvait face à moi n'était autre qu'une ancienne amie d'enfance. Quand je dis ancienne, c'est tout simplement parce que du jour au lendemain, je n'ai plus eu de ses nouvelles, j'ai eu beau lui envoyer des messages, rien, elle ne m'a jamais rappelé, donc pour moi, cela faisait parti du passé. Elle tenait à ses côtés, un petit garçon, vraiment adorable ceci dit, j'en déduis très rapidement que c'était son fils, mais, il était bien jeune pour une telle inscription ici, il devait encore être à la crèche. Peut être que finalement, elle avait un enfant plus grand qui n'était pas là avec elle. Je tâchais de faire comme si de rien était, car je n'étais pas du genre à étaler quoi que ce soit en public, et encore moins à amener mes problèmes sur mon lieu de travail. Donc je la laissais prendre place, puis attraper un nouveau dossier d'inscription. Je saluais son petit garçon, puis je recentrais mon attention sur la demoiselle, en lui demandant ce que me valais sa visite. Je suis désolé, je ne prends pas d'inscriptions deux ans à l'avance. Pour la simple et bonne raison que je suis actuellement le directeur, et on ne sait pas de quoi est fait demain. Il suffit que je sois muté ailleurs tout simplement, ou que le poste de direction ne me plaise plus. C'est pour cette raison que je ne peux pas m'engager à inscrire ton enfant. En revanche, si tu veux un conseil, et pour être sûre d'avoir une place. On ouvre très souvent les inscriptions à partir de Mars. Donc si dans deux ans, je suis toujours là, ou bien si tu veux absolument avoir une place ici pour Carter, il te suffit juste de venir début janvier pour procéder à une inscription, et comme peu de parents s'y prennent à l'avance, la preuve, j'ai encore deux jours de rendez-vous pour des inscriptions de dernières minutes, tu auras toutes tes chances d'avoir une place pour ton fils, lui répondis-je avec en toute honnêteté. Il est vrai qu'il était compliqué pour moi de pouvoir prendre une inscription pour une date aussi tardive. Ce n'est pas que je voulais lui refuser la place, c'est juste que professionnellement parlant, je n'étais pas en droit de faire une telle chose. Et quand bien même sa situation changerait, et qu'elle quitterait la ville, ça aurait été une place de gardé pour rien. Mais je lui avais donné un bon tuyau pour qu'elle soit sûre d'avoir une place à l'aube des trois ans de son enfant. Je m'amusais avec mon stylo nerveusement, quand cette dernière décidait de mettre sur le tapis ce qu'il avait plus se passer quelques années auparavant. De mon côté, je n'avais pas vraiment envie de discuter de tout ça ici, sachant que les ATSEMS se baladaient dans l'école pour les grands nettoyages. Ce n'est pas grave Hannah, ce n'est pas le moment d'en parler. Ton fils n'a pas nécessairement besoin d'entendre tout ça, et mes collègues non plus. Je ne suis pas seul dans l'école comme tu as pu le constater, répondis-je simplement. On avait beau dire quoi que ce soit sur les enfants, même du haut de ses quelques mois, Carter comprenait toujours. On se dit toujours qu'un bébé ne comprend rien, mais c'est totalement faux. C'est comme les douces violences, c'est pareil. Quand on ne travaille pas dans le milieu de la petite enfance, on ignore ce terme, mais en réalité, il veut dire beaucoup de chose. Si des parents n'ont jamais voulu leur enfant, et qu'ils se tuent à le répéter à voix haute près de lui, l'enfant sera marqué d'une certaine manière, et tout ceci se répercutera plus tard sur sa façon d'être, son caractère. C'est pour cette raison que si nous devions parler du passé, ça serait uniquement entre elle, et moi. Tu n'es plus avec son père ? la questionnais-je alors lorsqu'elle me dit que le père de l'enfant n'était pas au courant de cett démarche.
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