(#)Sujet: Joana • Life goes on | Mer 6 Juil - 16:38
“ Joana Wright ”
22 ans
américaine
célibataire
be mine
Taissa Farmiga
who i am
Notre petite Jo, ça a toujours été, selon ses camarades de classes, l'intello du premier rang, toujours plongée dans ses bouquins. Il a fallu qu'un jour on fasse l'appel pour que ses camarades apprennent son prénom. Et ça, ça n'a pas changé. Elle perd très rarement son calme olympien, et a toujours été de ceux qu'on ne remarque pas. Sa solitude n'a jamais été un fardeau pour elle, en fait, elle a toujours préféré éviter la compagnie des gens, surtout des garçons (ils la mettent mal a l'aise). Le fait qu'elle ne s'attache pas très rapidement et, de manière générale, qu'elle ne court pas après ses connaissances pour créer des liens l'handicapent un peu, elle n'a que très peu d'amis, ce qui ne l'empêche pas de rire, et d'être agréable avec ceux qui prendront le temps avec elle. En effet, sa franchise et sa loyauté en font une personne qu'on n'oublie rarement. Ce qui la caractérise le plus, c'est sa douceur. Dans ses traits, dans ses gestes, dans son sourire, dans sa voix, tout est calme et inspire confiance. Cependant, ce n'est pas parce qu'elle est calme, et est l'incarnation d'une gentille fille qu'elle n'a pas de caractère du tout. Elle est très persévérante, et n'abandonnera qu'après y avoir mûrement réfléchit. Car elle ne fait rien a la légère, Joana. On lui reproche souvent de trop rationaliser les choses, ce qui la vexe un peu. Elle a traversé une période durant laquelle elle a tout fait pour contrarier son père, qui voulait en faire une fillette modèle. Elle a essayé la drogue (pas de drogue dure, elle n'a jamais osé), a même volé quelques petites choses a droite a gauche. Rien de bien méchant, une adolescente qui essaye de se détacher de ses parents. Joana a aussi tendance a vivre beaucoup dans le passé, au point de ne pas profiter de l'instant présent au maximum. Elle est souvent mélancolique, et a traversé une époque où elle a frôlé la dépression, quand l'alcoolisme de son père a tué la jumelle de ce garçon qu'elle aimait beaucoup, et qui a tout lâché derrière lui. Elle ne s'en ai jamais vraiment remise, et il lui arrive de se réveiller au milieu de la nuit, en sueur, en repensant au regard de Charlie. .
a little bit about the real you
Pseudo : revy_ Prénom : J'en ai pô Âge : majeure Pays : France Fréquence de connexion : A peu près tous les jours Inventé ou scénario : scénarii Comment as-tu connu le forum? : une pub sur fb Pour nous aider :
Joana a vu le jour dans la brumeuse capitale des Etats Unis. Fruit d'un couple assez étrange, elle vécut les premières années de sa vies avec une mère peu responsable, très fêtarde et indépendante et un père simple et presque effacé. C'est dans ce nid d'amour déséquilibré mais heureux, qu'elle fit ses premiers pas, dit ses premiers mots, eut ses premiers rires et pleurs. Malheureusement, ça ne dura pas longtemps. Les responsabilités de la maternité eurent raison de sa chère mère. Elle les quitta quand Joana n'avait pas 5 ans, pour continuer une vie de bohème sans attaches. Ca aurait pu s'arrêter la, mais non. Ca ne faisait que commencer pour petite Joana. Son père, qui était très amoureux de son ex femme, fut complètement retourné par sa fuite. Il quitta son travail pour en trouver un autre, un job avec lequel il pourrait se permettre d'éduquer sa fille chez lui. Cependant, la fuite de son amour l'avait également fait sombrer dans le puits sans fond qu'est l'alcool. Au début, ce n'était qu'un petit verre après le repas, de temps en temps, rien de bien méchant. Mais ça devint régulier, puis de plus en plus grande quantité. Joana ne s'en rendait pas compte. Elle, ce qu'elle voyait, c'était son papa cerné, qui pleurait des fois, le soir. Elle était trop jeune pour comprendre ce qui se passait. Puis, vint son adolescence. Son père lui avait toujours demandé de travailler a l'école, d'être meilleure que les autres. Elle avait des facilités et aimait l'école, donc elle avait accepté sans rechigner, lui amenant encore et toujours de très bonnes notes. Mais ça n'était jamais assez. Et c'est ça qui la fit tester les drogues douces, elle, la timide petite blonde de la bibliothèque. C'est ça qui lui fit commencer a voler des choses, au début petites, puis de plus en plus grandes. C'est ça qui lui fit fréquenter les soirées glauques dans lesquelles elle ne se sentait pas réellement bien. Elle se forçait, pour contrarier son père. Pour qu'il comprenne que la petite fille docile n'était pas bonne poire pour autant. Elle aimait son père, bien sur, mais elle le trouvait pathétique, a se morfondre d'une histoire vieille de presque 15 ans. Elle lui en voulait de s'être servit d'elle, a l'âge ou on ne comprend pas, comme d'une béquille, alors que ça la dépassait totalement. Ces soirées ne furent heureusement pas qu'une simple excuse pour faire enrager papa. Car c'est la qu'elle y rencontra Charlie. Son Charlie. Tout d'abord, c'est son rire qui l'avait attirée. Puis elle avait vu son visage, et s'était sentie fondre. Jamais elle n'avait ressenti ça. Ce torrent d'émotions qui l'envahissait lui était totalement inconnu. Ils lièrent une relation assez forte, mais jamais elle n'eut le courage de lui parler de ce qu'elle ressentait dans son corps, dans son coeur et dans son crâne.
Elle n'eut cependant pas le temps de goûter a ces nouveaux sentiments et a une vie plus calme. Son père brisa tout le petit univers qu'elle s'était construit un soir, très tard. Elle l'apprit quand la police l'appela pour lui donner des nouvelles de son père. Il avait renversé June, la soeur de Charlie, et elle avait perdu la vie. Son sang se glaça. C'était sa faute. Elle aurait du le surveiller ce soir la. Elle avait changé, avait mûri prit la décision de prendre soin de son père, imbibé jusqu'à l'os, a l'époque. Elle l'avait sorti de situations difficiles, et avait plusieurs fois négocié avec la police pour qu'ils le laissent partir. Mais cette nuit la en particulier, elle avait révisé ses cours jusque tard dans la nuit, il avait du prendre sa voiture sans qu'elle ne l'entende. En effet, elle était a l'université et étudiait la philosophie, se sentait enfin a sa place. Elle avait des amis, des cours qui lui plaisaient, et malgré la surveillance de son père, tout allait bien. Mais la, tout était renversé, envolé. Les larmes lui avaient monté aux yeux, elle avait tenté d’appeler Charlie, mais personne ne lui avait répondu. Il lui en voulait, elle le savait. Elle s'était rendue a l'enterrement de June, et avait vu Charlie partir. Sans attendre le procès de son père, elle se renseigna, elle chercha. Il était parti a Miami. Ce fut probablement la chose la plus impulsive qu'elle fit, mais, déchirée par les remords, elle fit ses valises et quitta la capitale pour la chaleur de Miami, n'assistant même pas au procès de son père.
Cette année dans une nouvelle ville fut très éprouvante, elle réussit tant bien que mal a renouer des liens avec Charlie. Il ne lui en voulait plus, elle se sentait mieux, tellement mieux. Ils essuyèrent des choses difficiles tous les deux, mais ils tinrent bon. Ils en étaient venus a s'avouer leurs sentiments, chose que Joana n'aurait jamais pu concevoir, quelques années en arrières. Elle était si heureuse que ça ne pouvait pas durer longtemps. Car un soir, elle rentrait chez elle du restaurant où elle faisait la plonge a cette époque, lorsqu'une voiture s'arrêta violemment devant elle. On ouvrit la porte, et l'homme a l’intérieur lui tira brutalement le bras pour la forcer a rentrer. Quand elle le reconnut, elle n'y crut tout d'abord pas. Son père, c'était son père qui était au volant. Ses joues étaient creusées, son regard hagard, et ses gestes très saccadés. Il avait une cigarette aux bouts de ses doigts qui tremblaient nerveusement, alors qu'elle ne l'avait jamais vu fumer auparavant. Il lui expliqua, en conduisant trop vite, sûrement pour lui éviter de sortir en sautant par la porte, qu'il avait été relâché, sûrement a cause d'une erreur de matricule, et qu'il avait voulu la récupérer. Elle comprit avec horreur que son père était en cavale, et l'avait prit avec lui. Elle avait ignoré tous ses appels depuis la prison dans laquelle il était incarcéré, il devait lui en vouloir. Il continuait de répéter qu'il ne pouvait pas laisser partir sa fille comme il avait laissé partir sa femme. Elle se crispa. Son téléphone était tombé au moment où il l'avait tiré son bras a l’intérieur, elle n'avait pas de plan de secours. Elle se résigna a s'enfermer dans son mutisme habituel tandis que son géniteur roulait toujours plus vite, s'éloignant de l'agglomération.
Il a fallut attendre de longues heures pour qu'il s'arrête dans un motel miteux a la frontière de la Georgie. L'objectif de son père était d'atteindre le Mexique le plus tôt possible et de se fondre dans la masse de gens. Joana avait préparé un plan durant le trajet. Elle avait prévu de sortir dès qu'il se serait endormi, d’appeler la police et de rentrer a Miami en voiture. Mais son père avait prévu. Au moment où ses ronflements atteignaient son apogée, elle se faufila hors du lit et alla vers la porte. Ce fut pour trouver une porte verrouillée, impossible de chercher les clés sans le réveiller. Elle tenta la fenêtre : fermée elle aussi, et c'était trop risqué de briser la vitre, car même si elle sortait, son père était suffisamment grand et en forme pour la rattraper de suite. Elle jura et du se résigner a remettre son plan a plus tard. Malheureusement, il n'y eut pas de plus tard. A chaque fois, son père prévoyait une option de plus pour empêcher sa fille de partir. Ils atteignirent le Mexique rapidement, franchirent la frontière. Elle vécu plusieurs mois presque séquestrée par son père, enfermée a clef dans une des pièces minuscules de l'appartement qu'il louait. Chaque plan auquel elle pensait, il l'avait anticipé. La prison l'avait rendu paranoïaque, méchant et insomniaque.
Si elle réussi a s'enfuir, ce fut par chance. Elle profita d'un moment de flottement, un voisin qui rendait visite, pour sortir de l'appartement, sauta dans la voiture de son père et roula jusqu'à la frontière. Revenir a Miami ne fut pas de tout repos. Ces quelques mois en compagnie de son père l'ont beaucoup secouée et elle a beaucoup maigri. Ses voisins de Miami ne la reconnurent pas lorsqu'elle arriva, grise de poussière, devant sa porte, ouvrant tant bien que mal son studio.
La vie reprend son cours, mais elle vit désormais dans la peur que son père risque de croiser la route de la police qui le recherche pour la récupérer une seconde fois.. .
Gabriel S. Baker
Desigual
- messages : 7107 - feat. & crédit : Douglas Booth - anniversaire : 29/02/1992 - activité : Educateur spécialisé dans un foyer pour mineurs - double compte : Spenc'
(#)Sujet: Re: Joana • Life goes on | Mer 6 Juil - 16:43
Bienvenue madame et bon courage pour ta fiche Charlie doit être content **
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(#)Sujet: Re: Joana • Life goes on | Mer 6 Juil - 16:49
Taissa est tellement parfaite Mon DC est le coloc de Charlie alors on pourra peut-être se trouver un lien Bienvenue et bon courage pour ta fiche en tout cas
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(#)Sujet: Re: Joana • Life goes on | Mer 6 Juil - 17:27
Bienvenue parmi nous Bon choix de scénario!
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(#)Sujet: Re: Joana • Life goes on | Mer 6 Juil - 17:52
Bienvenue à toi! Bon courage pour l’écriture de ta fiche.
Alexie R. Wilson
i'm a sexy pnj
- messages : 10323 - feat. & crédit : holland roden. - anniversaire : 18/02/1991 - activité : agente enquêtrice en chef
(#)Sujet: Re: Joana • Life goes on | Mer 6 Juil - 18:28
Quel bon choix d'avatar et de scénario Je te souhaite la bienvenue ici :)
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(#)Sujet: Re: Joana • Life goes on | Mer 6 Juil - 22:15
OAIJEDOANEDOJNZEODJNAONDndaozndonoazdnoKNDOKNZOD t'imagine pas comment je t'attendais bienvenue parmi nous bon courage pour la fiche et surtout n'hésite pas à me mpotter si tu as la moindre question merci d'avoir pris mon scénario, j'ai hâte de te lire
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(#)Sujet: Re: Joana • Life goes on | Mer 6 Juil - 23:16
Bienvenuuuuuuuue parmi nous On discutera pour un lien (aa)
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(#)Sujet: Re: Joana • Life goes on | Jeu 7 Juil - 3:15
Merci pour votre accueil ça fait plaisir :pleease:
Arielle : Je suis partante! Un lien Taissa/Emma ça peut qu'être cool
Charlie : Amour sur toi on va bien rigoler dis moi ce que tu penses de mon petit vrillage sur la fin, si ça te conviens x') (j'avoue, je suis fatiguée et je me suis laissée emporter haha)
Mischa : Oui je veux ! Et si je peux me permettre, très bon choix d'avatar
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(#)Sujet: Re: Joana • Life goes on | Jeu 7 Juil - 3:39
Avant de te valider, je vais simplement attendre l'avis de Charlie @Charlie N. Wexforth
Mon DC est le coloc de Charlie alors on pourra peut-être se trouver un lien 
