(le monde ou rien) ave

Invité

“ Sawyer Avery Rhodes ”

24 pîges

américaine

moyen (pour pas dire pauvre)

sexy mofo

max irons

who i am

(des infos, vite fait) avery, c'est le corps qui vient du Bronx, alors tu vois, les conneries, les drogues, les choses louches, le sang, il connait bien. ¤ avery, c'est pas un mec bien, sauf pour les gens qui aiment les choses compliqués. ¤ avery, c'est un mec qui a toujours kiffé faire rire les gens. ¤ sanguinaire, capable de fouttre un mec à l'osto. mais depuis son séjour en prison, il commence à se contrôler niveau pulsion (mais c'est pas encore ça). ¤ avery & les tigres en embuscade quand elles viennent se glisser sous ses draps. y'a des cris qui le remercient, y'a les lèvres qui s'plaquent ensemble, y'a les va-et-vient qui font plaisir, y'a elle, y'a lui, pour une nuit et le lendemain, y'a plus que lui pour faire place à un autre elle. ¤ avery, il aime s'épuiser. donc, les sports de frappe, il aime bien, puis ça l'canalise un moment. ¤ avery, il fait quand même bien rire avec ses paroles ou ses gestes pour te redonner le sourire. par exemple, met lui des patins aux pieds, sur une glace, t'auras fait ta séance d'abdos. ¤ avery, il en a peut-être pas l'air comme ça, mais c'est quelqu'un de super sociable, il peut parler à n'importe quels inconnus dans la rue. ¤ c'est aussi un mec bien. c'est pas qu'un mal, avery. parce que, tu peux compter sur lui aussi.
(de l'ancienne fiche)
le sexe fort, les hommes.
parce qu'il a toujours vu les choses comme ça, avery. matcho jusqu'au bout de sa queue, il hésite pas à envoyer quelques vannes sur les meufs. depuis môme, il a toujours cru et il croit toujours, que les femmes sont inférieurs aux hommes.
avery, l'homme au coeur fumeur.
avery, c'est le genre de mec qui porte avec honte, le poumon du fumeur qu'on voit sur les paquets de cigarettes. avery, c'est le mec qui ose pas dire qu'il est essoufflé au bout de cinq minutes de course avec un de ces potes. avery, il a un cœur détruit, noir, petit depuis qu'il a quinze ans. il te dira que la clope c'est mal, mais il te dira pas non plus qu'il faut pas s'en priver. avery, c'est un camé et puis c'est tout.
un pote, comme un frère.
avery, c'est pas la réincarnation du mal, comme dans tout les contes. avery c'est un rouge avec un peu de bleu. du noir avec pas mal de blanc, quand on se lie d'amitié avec lui. avery, il trahit pas ses frère. avery, il est toujours derière s'il se passe un truc. avery, c'est un mec qui a tellement pas connu l'amour familial, qu'il comble ça avec l'amour de l'amitié. dit comme ça c'est beau. mais vu, c'est moche. mais avery, il peut être aussi, derrière l'esprit froid, hautain qu'il dégage, il est déconneur, souriant, fêtard, drôle. un pote de l'extrême.
.

a little bit about the real you

Pseudo : SHAMELESS (dédi à la meilleure série susu)
Prénom : Marie-Odile
Âge : 85 ans
Pays : le japon, tu connais les bails
Fréquence de connexion : vu que j'serai interne à la rentrée, niveau rp se serait 2/7j et pour la connexion j'dirai un peu tout les jours
Inventé ou scénario : inventé, tu crois quoi toi (le monde ou rien) ave 3844000791

Comment as-tu connu le forum? : grâce à MA BITE. (le monde ou rien) ave 3877631104

Pour nous aider :

Code:: ○ MAX IRONS - S. AVERY RHODES

GASMASK

Invité

VOTRE HISTOIRE.

Maman, elle rentre dans la chambre, encore dans la pénombre, toujours avec son odeur de clope et sa clope à la bouche. Maman, elle a toujours ce truc entre les dents qui la tue à petit feu. Tu t’es juré, toi, de ne jamais y touché. De toute manière, maman, avec ce truc entre les dents, tu l’as toujours trouvé pathétique. Maman, elle fait comme les autres. Elle fume, parce que les voisines fument et que maintenant, quasiment tout le monde fument sans aucune honte. Toi, dès ton âge quatre, quand maman a commencé à se mettre à fumer, t’as toujours limite eu la nausée en la sentant avec sa vieille odeur de fumée morte. Mais regarde-toi, lennon, fumeur comme un pompier. Pourtant, tu te l’étais juré. « Lève-toi Avery ! » jamais dans la douceur, toujours dans la brusquerie. C’est qu’une question d’habitude. Toi, tu le lèves en ouvrant la fenêtre. « Eh, Ave, vient jouer, on va s’faire un foot. » qu’il crie, ton pote pour que tu puisses entendre depuis ton quatrième étage. « Ouais, j’arrive. » le quartier & ses habitudes. Toi, t’as jamais connu les strass et les paillettes qui ont toujours fait rêver maman qui s’trouve derrière les vitrines de hautes coutures. Toi, t’as toujours connu les quartiers qui craint, les quartiers où le sang bah ça fait partie de la vie de tout les jours, là où les gens cache leur sales mains dans un gant de velours. Toujours se méfier des gens, ça doit être la première règle que t’as apprit. T’as tellement été habitué à la pauvreté et aux quartiers qui craignent que, même devant un centre commerciale de luxe, tu t’sens mal à l’aise (et encore aujourd’hui). Mais dire que la pauvreté, t’aime ça, c’est te mentir à toi-même : toi aussi, secrètement, comme tous les gens du quartier, t’as toujours rêvé des chemises de haute couture, des montres aux bracelets en cuir et toutes ses choses qui t’font briller les yeux. Mais en attendant, t’es un pauvre gamin d’âge dix. Tu sors de ta chambre, ta mère avait fait le petit déjeuner. « J’voulais un chocolat chaud, moi. » dis-tu en ronchonnant. elle s’assied à côté de toi, en soupirant. « et moi, j’voudrai la veste cachemire Chanel. » en buvant son café (sans doute froid). Alors, toi, tu la fermes et tu bois ton chocolat, sagement. tu vas ensuite dans ta chambre, te changer, prêt à aller faire un foot avec tes amis. « Maman, j’vais faire un foot au city stade du quartier. » de sa chambre, elle te cria. « Fait attention aux grands du quartier hein. » tu lèves les yeux. Quand va-elle arrêter de te répéter cette phrase à chaque fois que tu sors dehors ? Pour elle, le quartier a toujours ressemblé à une jungle. en même temps, le Bronx ça rime avec peur, viol, sang froid, sombre, sale. Tu ouvres la porte et avant de partir, t’as mère te dit d’attendre. Elle te tend une lettre.
et tu sais de qui elle est.
« Pour ton anniversaire, de la part de ton père. » tu l’ouvres. Des billets verts, ça t’mets dans le rouge. Tu lui donnes les billets verts, à maman, brusquement. « Garde-le, j’m’en fou de cette argent, j’m’en fou de papa. Va acheter ta veste cachemire avec. » avant de partir en claquant la porte.
Maman, elle avait rencontré papa, y’a déjà dix ans. dix ans de haine contre ton géniteur. Maman, à cause de lui, elle rentre pas forcément sobre (et pas forcément seule). Papa, s'il aurait pu découvrir à son adolescence qu'il était gay, ça aurait pu être bénéfique pour tout le monde.

tu vois ta mère en pleure, ta sœur en train de te regarder « ça va aller » que t’arrives à lire sur ses lèvres. tu réponds même pas, parce que même elle, elle le sait que tu vas finir au trou. y’a ses bracelets autour de tes poignets, y’a ses deux flics à tes côtés, y’a ton avocate qui prépare ses mots. des mots qu’elle lâchera surement dans l’vide. parce que, toi, tu sais que c’est l’début de la fin. t’as tué un mec et tu t’es fait choppé. alors, elle va dire quoi madame l’avocate, hein ? que t’es un mec qui vient du Bronx ? parce que, qui dit Bronx dit les choses inégales ? que t’es un mec qui aime bien.. frapper qu’elle va surement dire pour pas t’blesser ? tu sais ce qui t’attends, c’est tout ce qui compte.
après un mois, la décision du juge avait tomber. t’as eu d’la chance, t’as eu le minimum, cinq ans de taule avec du surcis. mais toi, t’as eu que deux/trois ans de taule parce que papa, quand il a su, bah il a pas vraiment kiffé. fils de monsieur rhodes en prison pour crime. ça passe pas vraiment, ça fait moche. alors, monsieur le politicien a parlé au juge, à payer des cautions et au bout de deux ans, on t’enlève pour de bon ces bracelets.

« Va t'en Avery, t'es plus mon fils. » et ses mots qui font mal au coeur. à ton coeur de sale mec. elle te jete tes affaires à tes pieds, et ta fierté, elle te dit de t'en aller. y'a ta petite soeur qui pleure, parce que y'a qui maintenant pour la réconforter, y'a qui maintenant pour la protéger ? bah y'a plus personne. mais sur le coup, t'as pas vraiment penser à ça. tu prends ton sac d'un poing bien fermé. ta mère elle te regarde dans les yeux, et ses yeux remplient de larme et tes yeux d'homme froid. tu regardes ta soeur avant de claquer la porte, tu descends des escaliers. « Avery ! » tu regardes derrière-toi et tu souris. tu l'savais. elle allait pas te laisser partir sans un calin et tes beaux mots qui l'ont toujours donner de la force. elle te jette dans tes bras et toi, tu plaques ta main sur sa nuque en mettant ta tête dans son cou. « Maman, elle était pas sérieuse quand elle te disait de partir hein ? tu reviendras dans une semaine, pas vrai ? » la voix qui tremblait, la peur de perdre son frère. tu souris faiblement. « je t'aime. » et voilà, y'a ses larmes qui sortent toutes seules, elle colle son corps contre ton torse pour pleurer un bon coup. tu plaques un simple bisou sur son front. « tu vas aller où, maintenant ? » « je sais pas, mais en tout cas, je vais pas rester à New-York. » elle te lâche. « prend soin de toi. » elle retient ses larmes, et d'une voix maitrisée elle lâcha « t'es plus son fils mais sache que, tu restes mon frère pour moi. » tu souris et tu partis quand tu commenças à avoir les yeux humides.
« passe nous voir quand même frère, tu vas nous manquer. » tu tchek tes potes avant de leur promettre que tu reviendras de temps en temps les voir. on part jamais vraiment du Bronx. tu seras obligés de revenir. « mais au pire, je t’héberge stuv ? » qu'un pote te lâche gentillement. « non mais tranquille, j'vais partir de New-York un moment t'façon, ça fera du bien. » parce que chaque personne rêve dans l'fond, de quitter le Bronx. tu pars, le sac à la main.
t'es prêt à aller à Miami.

Invité

Mon amour de meilleur de ma vie (le monde ou rien) ave 2577391662

te revoilà (le monde ou rien) ave 3844000791

mais bon pour combien temps ? Rolling Eyes

a choisir , harvey newton haydon (le monde ou rien) ave 3877631104

Invité

REBIENVENUE BEAU P'TIT MEC (le monde ou rien) ave 2577391662

. Enfin, tu vas être beau si tu prends Max (le monde ou rien) ave 448661255

l'autre je connais pas. Bien contente que tu aies choisi de revenir parmi nous (le monde ou rien) ave 776115001

Invité

Tu reviens et repart aussi souvent que Michael Mayers, mon vieux. Rolling Eyes

Re-Bienvenue en tout cas, moi je vote Max parce que je vois pas Ave sans c'te tête !

(ici nessa, au fait, au cas où tu serais toujours aussi con qu'avant (le monde ou rien) ave 2031913027