Tout commence par une note, par une sensation, par une émotion et surtout par la clé de Sol. Tu étais avec ton piano dans ton appartement. Dans ce quartier que tu commençais à connaître. Tu n'arrivais à pas composer ce jour-là. Quelque chose te bloquait dans ta tête. Tu pensais trop et tu n'arrivais pas à faire le vide. Tu sentais que tu perdais le goût de la musique ces temps-ci. Tu avais l'impression que toutes tes notes étaient fausses. Fausse comme ta mère qui t'avait menti durant toutes ces années. Tout ça pourquoi ? Pour le divorce. Tu avais pris la défense de ton père face à ta mère et elle n'avait pas apprécié. Alors elle avait voulu détruire ce lien de famille que tu avais eu. Tu sentais encore les larmes montés sur tes yeux. Tu n'aimais pas être comme ça. Tu gardais trop en toi et cela commençait à te peser trop. Tu avais l'impression de voir l'ombre de cette fille faible. Cette fille qui baissait la tête lorsqu'on l'insultait. Cette fille qui se laissait pousser ou frapper quand elle ne répondait pas. Cette fille que beaucoup de filles détestait car elle était jolie, d'autres mecs qui pensait que c'était une faible et c'était facile de jouer avec. Cette fille qui n'était qu'une marionnette. Tu n'aimais pas cela. Tu devais réagir, tu devais surmonter cette révélation. Bon d'accord tu n'étais pas une Cheshire. Mais tu étais quoi ? Bon pas un poney visiblement. Ni un mec, ni un extraterrestre. Tu aimerais bien être un Disney mais ce n'était pas possible. Tu devais bien avoir un nom de famille, un père  quoi. Enfin un vrai, pas le faux que tu avais qui n'avait pas remarqué que sa femme l'avait trompé. Bon tu l'aimes toujours autant mais se faire berner par une femme. Bref. Tu te levas et tu te décidais qu'aujourd'hui tu allais chercher tes réponses toute seule comme une grande. Déjà que tes parents n'avaient pas vu que tu étais une bouc émissaire alors si en plus, ils s'amusaient à mettre de la zizanie dans ta tête, tu ne t'en sortirais jamais. Puis fallait bien réagir à un moment donné. Tu sois aller ouvrir un peu ta grande gueule. Tu l'avais fais à ton adolescence mais maintenant il paraît qu'il faut affronter ses parents. Donc avec ton sac à la main, tu enfilas tes van's et puis tu te dirigeas à ta maison familiale. Depuis la nouvelle, enfin la bombe que tu avais eu, tu avais quitté le nid aussi rapide qu'une gazelle. Tu sentais ton cœur se serrait devant la porte, tu n'avais pas vu tes parents depuis deux ans.. Tu avais ignoré toutes les appels, les messages... Tu avais donné aucun signe de vie et tu osais pointer le beau de ton nez devant cette porte. Il te fallut un courage énorme pour l'ouvrir et entrait dans la maison. Ta mère te vit et ne savait pas comment réagir avec toi. Tu lui offris un regard pleines de questions et de reproches. Elle comprit qu'elle allait devoir te répondre. Tu t'approchas d'elle. « Maman... j'ai besoin de savoir. Qui suis-je ? » Elle la regarda avec un air triste. Ton père avait du quitté les lieux car tu ne voyais pas sa guitare traînait au salon ou ses dossiers. « Tu es une Skywalker. » Au début tu te mis à rire nerveux. « Non sérieux maman tu t'es cru dans star wars là, et mon géniteur va arriver et va me dire : je suis ton père bientôt ? » Elle eut un sourire à ta remarque puis tu réfléchissais à ce nom de famille. « Oui il s'appelle vraiment comme ça  » Tu la dévisageais du regard comme si la nouvelle avait du mal à passer. Comme si tu avais avalé de travers et que tout le monde riait de toi au lieu de t'aider. Enfin tu refusais de l'entendre quoi. « Impossible... » Elle s'approcha doucement de toi. « Ton père travaillait souvent.. je n'ai pas d'excuses mais un soir on s'est trouvé et je suis tombé enceinte. Sauf que ton père ne l'a jamais compris. Mais moi si, je ne pouvais pas te le dire, ton père tenait à son rôle de père... » Tu t'assieds face à la nouvelle et tu la regardais. Tu n'avais plus la même vision que tu avais eu durant des années. Tu ne savais pas comment tu allais t'en sortir avec cette histoire. Puis toute ta rage, toute ta colère, toute ta tristesse montait d'un cran, tu te levas les poings fermés. « Et tu ne pouvais pas continuer à la fermer ta grosse gueule ? » Ta mère te regardas choquer de ton changement d'attitude. « Putain mais merde quoi ! Déjà que vous n'avez pas su voir que votre fille n'avait pas d'amis jusqu'à la fin de la troisième... Parce que tous les jours je me faisais insulter sur ce nom de famille pourri, puis le fait que je ne m'affirmais pas quoi... J'avais toujours l'impression d'être une étrangère dans la famille de papa, je ne les ressemble pas. A part la guitare rien ne me liait avec lui. Et puisque vous disputez sur la maison, sur l'argent, sur votre entreprise de merde ben tu lances la nouvelle le jour de mon anniversaire devant mes amis ! Putain mais tu n'es qu'une égoïste en faite ? Tu as pensé à moi ? J'ai mis des années à avoir des proches, une réputation, une personne populaire, une personne forte et pas faible et toi tu me fais ressentir de nouveau ça ! Tu sais quoi ne mêlez plus à votre divorce, papa a eu raison de te quitter et je continuerais à le voir même si tu en as pas envie. Tout ce que tu as réussir à faire c'est perdre ta fille car je te le dis aujourd'hui tu n'en as plus. » Tu laissais les larmes coulés et tu te dirigeas vers la porte en furie. Cela te fit du bien de te vider comme cela.


Tu es dans ce train pour Miami, tu sais pourquoi tu vas las-bas. Tu ne te l'avoueras jamais mais c'est pour cette femme. Cette femme qui sans le vouloir t'a aidé quand tu as emménagé à New-York. New-York, un grand pas pour ta carrière de danseuse. Mais tu l'avais bien mérité après tous ces efforts. Tu te souviens de ses deux belles années. Elle a été dans ta troupe mais aussi cela a été ta locataire. C'était une personne vraiment irremplaçable. Tu ne sais pas comment tu as pu la laisser partir, la laisser t'échapper. Pourtant les hommes ont été toujours été ton point faible mais elle a su faire la différence. Ses douces lèvres, son sourire, sa détermination. C'était vraiment une femme unique. La femme comme tu le disais souvent. Mais ce n'était pas une relation tout saine comme on peut le voir dans les Disney. Elle était ta force, tu aimais pouvoir la titiller, lui montrer que tu étais meilleure qu'elle. Tu voulais montrer qu'elle ne te surpassera jamais dans la danse. Mais elle était surtout ta source de motivation. Comme un peintre avec sa muse. Elle t'inspirait des pas de danse, des chansons mais aussi des mots. Avec elle tu étais toi, tu étais naturelle, il n'y avait aucun secret, aucun tabou entre vous. Eh pourtant, tu as fait la chose qu'il ne fallait pas faire. Il t'arrive de regretter. Ce moment où tu l'as vu avec ce prédateur. Ce moment où tu as hésité. Hésité à la sauver ou la laisser à son sort. Tu avais été bien bête. Puis cela en était fini pour elle. Sa carrière a pris fin et tu ne l'as jamais revu. Tu t'es sentie de nouveau seule et abandonnée. Tu étais perdue sans elle. Tu ne voulais pas te l'avouer et tu continuais à jouer et danser. Mais tout le monde l'a vite remarqué. Tu loupais des pas, tu faisais des fausses notes. Tu n'avais plus du tout l'inspiration. Le néant total. Tu compris d'abord que tu devrais affronter ta mère et ensuite la retrouver. Il n'était pas difficile car tu restais parfois un peu en contact avec elle. Vive la technologie. Aujourd'hui, tu es à Miami, tu l'as longtemps observé dans son cabaret. Elle ne sait pas que tu es là. Ni que tu es là pour elle. Cela te fait bizarre de penser que tu as fait tout ce chemin pour cette femme. Mais tu as besoin de la retrouver dans ta vie, tu as besoin de son énergie, de sa force. Alors tu as tout fait pour être embauchée toi aussi dans ce cabaret. Tu y es arrivée maintenant t'aimerais retourner travailler avec lui, lui dire qu'elle t'a manqué. Mais tu as trop de fierté. Tu attends juste le moment où elle va s'en rendre compte qu'elle a une nouvelle collègue de travail...

   DERRIÈRE L'ÉCRAN.
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   D'où viens-tu? ▽ la france
   Où avez-vous connu le forum? ▽ par athéna et prd
   As-tu envoyé deux terribles secrets sur ton personnage par message privé à Nightmare? C'est obligatoire. ▽ oui
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   Votre avis sur le forum ▽ j'adore le design le contexte et tout !  

   

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J'aime mes nouvelles poupées! Amuse toi bien par ici, mais n'oublie pas que je te surveille. A très bientôt!

Je t'annonce que tu es maintenant validé(e)!  Alors bienvenue officiellement dans la superbe famille de Love Me Like You Do. Là où il y a des tonnes de fou-rires, de la complicité à l’état pur, des tas de rebondissements et juste assez d’inceste pour être encore socialement acceptable.  Sans blague, c’est une joie de pouvoir te compter parmi nous et nous espérons sincèrement que tu sauras trouver ton petit bonheur ici, car nous t’aimons déjà beaucoup.

Maintenant, tu es apte à faire tes demandes mais aussi que tes liens et  tes topics. Si ce n’est pas déjà fait, il serait bien d’aller jeter un petit coup d’œil aux règles du forum afin que tout soit bien compris.

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