Chapitre I - Born this way

Le froid s'en était allé. Le givre avait fondu. La neige amaigris par la douche chaleur du printemps avait finis, elle aussi par disparaître, remplacer par l'épaisse verdure. Les arbres fleurissaient, embaumait les prairies de leurs parfums. Les oiseaux s'en revenait de leurs périples en annonçant leurs émergences par leurs chants. C'était l'apogée d'une nouvelle ère. L'intervalle adéquat pour que toi, jolie petit minois, puisse naître. Devenir le deuxieme enfant d'une si importante lignée. Si aimante famille. Tu fus donc la petite sœur de Drake, fille de Nelson et Jaysin. Ta mère, courageuse procréatrice, avait du se reposer plus de six jours après son accouchement tant l'épreuve fut difficile. Elle même se sentait trop épuisé pour t'offrir de son lait et tu faillis presque mourir de faim. Et l'abandon paternel n'avait rien arrangé. Ton frère aîné devaient s'occuper de son apprentissage auprès de votre père. Tandis qu'Inma, ta grand - mère s'atteler à prendre soin de Jaysin, votre mère, de toi, et de la maison.
Les premiers mois furent difficile malgré ton autonomie pré - acquise. La disparition quotidienne de la figure paternel n'arrangeait rien à l'absence préoccupante de Jaysin qui malgré toute l'attention dont elle disposait, ne semblait pas vouloir se remettre de cet événement. Pour les plus âgés de la famille, il était évident que cet état résultait d'une toute autre raison. Mais pour toi, si petit nourrisson, tu ne compris rien. Tu ne voulais comprendre. La seule chose que tu souhaitais était vivre. Survivre aux maladies, au froid, à la faim et à la soif. Survivre à l'abdique.

Les mois avaient passé. Ta génitrice s'était peu à peu sortis de son lit. En rampant, puis en marchant. Elle tentait de s'occuper de toi, de reprendre la vie là où elle l'avait laissé. Où ses enfants l'avaient attendu jusqu'alors.

Tu étais une petite fille pleine de vie. Tu partageais ta bonne humeur en laissant résonner dans la maisonnée ton rire tonitruant. A peine posé sur le sol, tu rampais, roulais, avançais tant bien que mal. Tu ne voulais pas être une seconde loin d'Inma. Après tout, quand bien même Jaysin était de nouveau parmi vous, il n’empêchait que pour un si petit être que tu étais, ta grand - mère correspondaient à l'allégorie qu'un enfant devait se faire de sa mère. Aussi, il t'a fallut un peu de temps pour accepter le retour prématurer de ta génitrice. Autant affectivement que physiquement. Aussi étrange que cela puisse paraître, tu ne supportais pas d'être dans ses bras. Elle te déclenchais d'horrible sanglot qui ne s'arrêtait que lorsque la fatigue te prenait. Finalement, c'est en grandissant, en apprenant la place qu'elle avait au sein de ta famille, que tu commença à l'aimer pour celle ci. Une mère. Malgré le faussée qu'elle avait toujours placer entre vous et dont tu ne comprenais la raison exact, tu l'aimais.


Chapitre II - Learn your place

On dit que c'est en grandissant que l'on comprend la place que l'on peut avoir au sein du monde. L'harmonie parfaite entre le cosmos et le temps. Que le bonheur et la joie de vivre prend enfin un sens. Tu avais six ans, presque sept, lorsque tu as compris qui tu étais. Haileen Thompson. Descendante de cette même lignée. Influente, puissante, intouchable. Il fallait un garçon pour succéder à la place de ton père. Heureusement pour toi, un petit homme naquit quelques années avant. Drake. Il en était donc le seul et unique hérité, tu n'étais là que par simple figuration. Rapidement, tu assimilais le fait que tu avais été l'essais raté de donner vie à un second mâle afin de seconder à l'aîné. Drake t'adorait, t'aimait, de tout son coeur. Il te protégeait des colères de votre père, et s'amusait avec toi dès qu'il le pouvait. Cela dit, bien vite, la réalité vous rattrapait. Tu n'en avais pas encore conscience, mais lui, si. Il savait. Tout. Tout ce que tu ne pouvais pas comprendre, du moins, en cette douloureuse époque. Tu ne pensais pas que ton paternel puisse vouloir t'éloigner de ta famille. Pourtant, c'est ce qui devait se passer.Ta mère te l'avait expliqué, mainte et mainte fois et tu avais peur de cette étrange échéance. Elle t'avait dit que tu vivrais dans une autre maison, avec d'autres personnes. Tu irais dans une autre école, et tu aurais d'autres amis. Tu jouerais à d'autres jeux, et tu rirais d'autres blagues. Mais, tu ne te réveilleras plus à côté de ton grand frère, tu n'embrasseras plus ta mère au couché, ni ta grand - mère au petit déjeuné. Plus jamais rien ne serait pareil. Plus jamais. Mais ce ne sera que plusieurs années plus tard que tu ne t'en rendras compte. Il te faudra du temps. Toi, si petite enfant, qui ne pensait que cette étrange vie ne durerait qu'un temps. Que ce ne serait qu'une sorte de période vacance pour papa et maman. Que tu pourrais de nouveau jouer avec ton frère et apprendre à lire avec grand - mère.

Mais non.
Pas du tout.
Loin, très loin, de là.

Tu prends une grande inspiration, serrant contre toi ton ours brun. Ta petite main jouait machinalement avec son oreille, comme une tique qui aurait pour unique but de calmer tes pleure. Tu suçais avidement ta tétine, tandis que tu reniflais de temps à autre, les joues trempées de larmes. Le vent frais mordait ton visage humide de tristesse. Tu sentais ton coeur se serrer, imploser de chagrin. La douleur te crispait l'estomac tant et si bien que si celui-ci n'avait pas été vide, tu aurais rendu tout son contenu. Tes yeux noisette regardaient la limousine s'éloigner, s'éloigner, s'éloigner, encore et encore. Jusqu'à totalement disparaître à l'horizon. Une large main était posée sur ton épaule, te réconfortant comme elle le pouvait de par sa simple présence. C'était ta mère dans cette limousine. Et cette main ? Elle appartenait à ton oncle. Le petit frère de ton géniteur. Tu l'avais déjà vue lors de réunions de famille, et tu l'aimais beaucoup. Mais tu le connaissais si peu, trop peu pour que ta propre mère puisse t'abandonner sous son toit. Pourtant, c'était bel et bien le cas. Il était là, lui, alors que ton pere t'avait lâchement abandonné. Et tu ne comprenais pas. Tu n'avais rien fais de mal que de naître du sexe opposé à leurs souhaits. Tu n'avais rien fais de mal que de naître en deuxième. Rien d'autre que cela. Alors non, non, tu ne comprenais pas.


Chapitre III - Change of destiny

Les années ont passé.
Tout va mieux.
Du moins, tu as accepté les meurses étranges de ta famille. Tu as compris que ta place n'était que secondaire, futile. Mais à la différence de ton aîné, tu avais la chance de vivre une vie sans tourment. Tu n'eux plus à subir les fureurs de ton père ou l’indifférence de ta mère. Personne n'avait à t'imposer quoi que ce soit. Que ce soit ta façon de t'habiller, de te conduire, ton orientation sexuelle ou bien tes poursuites d'études. Les premières années, ton frère t'envoyaient énormément de lettre, puis quelques mails, pour enfin disparaître complètement de la circulation. À chaque réunion de famille, tu te devais d'imposer ta présence en la compagnie de ton oncle. Tu avais appris qu'il était le seul à t'aimer tel que tu étais, qu'importe la place que tu avais au sein de votre famille. Aussi, tu avais placer en lui toute ta confiance. Et lors de ces événements familiaux, tu restais toujours à son bras. Déjà parce qu'il souhaitait garder un oeil sur toi et tes conversations un peu trop tranchantes au gout de ton entourage. Ensuite, parce que tu t'ennuierais sans ses blagues légèrement dévaluées. Il avait le don de te faire oublier le contexte de ces rendez-vous. Avec le temps, et après avoir acquis une certaine maturité, tu avais compris qu'il ne s'agissait simplement pas d'une sorte d'exposition de la valeur de tout à chacun. Rappeler à tous et à toutes qui étaient le chef de famille, et surtout, qui ne l'était pas. Toi, tu ne l'étais pas. Et tu ne t'en portais pas plus mal. Tu aimais la vie que tu menais avec ton oncle. Vous aviez acheté un ranch. Un magnifique ranch loin de tout, avec une bonne dizaine d'étalon, tous magnifiques. Après les cours, tu rejoignais leurs box et prenais soin d'eux. Tu ne manquais pas une seule occasion de les monter. C'était ton petit bonheur de la journée.

Enfin, toujours est - il qu'en cette soirée de nouvel an, vous étiez de nouveau convié à une de ces soirées familiales. Une longue année s'était écoulée depuis la dernière réception. Tu avais désormais dix-neuf ans et demi et tu avais entrepris des études de langues. Actuelles comme anciennes. C'était véritablement passionnant. Tu adorais le simple fait de pouvoir comprendre toutes langues parlées, entendu, compris sur cette terre. Ton père t'avait accordé cette requête, pensant qu'une bilingue pouvait être utile à ses vastes projets. Certainement. Tu avais du moins, pensé comme ci. Alors que la voiture se garait dans l'immense cour de la maison familiale, tu sentais déjà ton ventre se tordre. Tu ouvres la portière, pose pied-à-terre, et rajustes la lanière de ton sac à main sur ton épaule. Ici, tenue correcte exigée. Finis les jeans trouvés et le t-shirt décolleté à la limite de la transparence. Vous entrez tous deux au salon, et pour une fois, personne ne vos accueils. Ta mère ne te sert pas dans ses bras lorsque tu passes le pas de la porte. Ni ta grand - mère, et tu ne vois pas le regard désapprobateur de ton père au coin du couloir. Akil, ton oncle, posait les valises tandis que tu traversais l'immense corridor, rejoignant le salon. Tout le monde était là, assis, en silence, le regard vide et quelques fois rougis par des larmes désormais absentes. Ces mêmes regards se levèrent vers toi et t'accusais presque. D'autres, te couvaient de leurs compassions. Qui avait - il ? Brusquement, une l'absence d'une certaine présence te frappa. Drake. Il n'était nul parti. Ton coeur sembla louper un battement. Ton père s'approcha de toi, fidèle à lui-même, mille fois plus froid que d'ordinaire.

" - ton frère est mort. Tu prendras sa place à la tête du groupe, à sa demande. Tu peux reprendre ta chambre, définitivement. "

Quoi ? Pardon ? Hein ?
Non, impossible. Quand ? Pourquoi ? Où ? Comment ? Pourquoi personne ne t'avait appelé ? Ne serait - ce que pour prévenir de la funeste nouvelle ! L'égoïsme de cette famille t'étonnera toujours. Il n'y avait que l'avenir du groupe Thompson qui était important. Le reste, n'était que secondaire. Et pourquoi avait - il demandait que toi, petite linguiste, prenne la tête de l'entreprise ? Que s'était réellement passé ? N'avait - il plus supporter le fardeau ?
Trop de questions, aucune réponse.


Chapitre IV - Show your strength

Drake est mort. Et la vie continue.
Tu pousses un long soupiré, t’affalant sur ton lit. La fraicheur des draps te ramène brusquement à la réalité. Qui est celle-ci ; plus jamais tu ne seras libre. Ni dans tes gestes, ni dans tes paroles, ni dans tes pensées. Drake t'avait laissé sa place, écartant votre père de ce trône qui lui revenait de droit. Et tu avais appris qu'il avait tout mis en oeuvre pour que tu ne réchappes pas à ce funeste destin.  Tu ne comprenais pas pourquoi. Tu n'avais pas étudié ni la finance, ni le marketing, tu étais seulement toi, fidèle à tes principes. Seulement toi. Apparemment, ça l'avait convaincu. Mais pourquoi ? Tu ne sauras jamais parler dignement, converser et apporter toutes les informations nécessaires à tes employés, encore moins subvenir aux besoins de cette entreprise. Tu ne t'en sentais pas capable. Tout était si gros. Trop pour toi qui n'avais jamais pensé qu'une telle chose pouvait bien arriver. Tu avais, et cela depuis trop longtemps, compris que tu n'étais certes pas importante pour la gloire de ta famille, mais qu'au moins, tu étais libre de faire ce qui te plaisait de ta vie. En somme, c'était un mal pour un bien.
Tu sens ton ventre se tordre à nouveau aux souvenirs présents en ces lieux. Sur le tapis du salon, tu te souviens que Drake s'amusait avec toi aux poupons. Derrière la porte de la cuisine, tu te souviens de Drake t'apportant tes biberons au chocolat chaud. Sur le lit de ta chambre, tu te souviens que Drake te racontait moulte histoires toutes plus folles les unes que les autres. Il y en a trop. Des souvenirs. Vraiment trop. Pour que tu puisses vivre sainement ici tout en sachant que ton père saurait t'accabler de ses habituelles remarques. Après une longue discussion avec ton oncle bien-aimé, celui-ci t'ayant convaincu d'accéder à la dernière volonté de ton frère, il te conseilla plutôt de prendre les devants. Qu'il était temps qu'une femme digne de ce nom prenne les rênes de la famille Thompson et impose sa loi. Que quoi que je fasse, rien ne serait pire que celle-ci effectué par mon propre père. Ce n'était pas complètement faux et cette triste réalité te rassura un tant soit peu. Il fallait bien que les choses changent. Tu allais changer tout ça. Tu allais faire bouger les choses. Tu allais convaincre ton paternel que tu étais digne de porter son nom ainsi que l'avenir de la société. Qu'importent les moyens, c'est ce que tu feras.

Alors, après mur réflexion, tu rompis tes études pour venir définitivement t'installer en ville. Adieu Tonton. Adieu chevaux. Adieu ranch. Adieu liberté. C'était toute ta vie que tu devais reprendre. Et il n'était pas peu dit de se convaincre qu'elle serait dure mentalement comme physiquement. Tu compris bien vite que t'imposer telle que tu étais dès le début serait bien trop dur pour tout le monde. Autant pour ton père que pour ses collègues. Tu avais pris conscience de l'importance de ta place au sein du groupe et tu agissais donc en adéquation avec cette évidence. Finis les tenues décontractées, finis les effets coiffés décoiffés, finis les tatouages et les piercings. Fini de faire ce que tu veux de ton corps et de ton être. Il ne t'appartenait plus, à ton plus grand désarroi.

Allez Haileen, maintenant, c'est à toi de jouer.

Chapitre V - Lie is true

Six mois. Six longs mois que Drake est mort et que tu as pris la tete du groupe Jackson. Six mois. Ni plus ni moins. Et pourtant, tu as l'impression d'être morte depuis tout ce temps. Tu ne vis plus que pour prouver au monde entier que tu mérites vraiment ta place. Que tu n'as pas pris pour acquis tout le travail que ton aîné t'avait laissé.  Et en ce jour, rien n'était plus différent que les autres. Tu t'étais levée aux aurores, comme à ton habitude, ton irréductible café en main et tu sortais ramasser le courrier. Une ou deux cartes postales de ton oncle, un journal, deux trois factures est une lettre. Aucun expéditeur, pas de tampon de poste, elle avait été déposé devant chez toi obligatoirement par l'auteur. Tu posas ta tasse sur le rebord de ta cuisine avant de déchirer proprement le haut de l'enveloppe. Tu en sortis le morceau de papier, le déplia et reprit ton breuvage. Tes iris parcoururent les quelques lignes qui étaient manuscritement apposé. Tes doigts laissèrent glisser ta tasse, s'éclatant sur le sol. Les morceaux de verre volèrent de part et d'autres de la pièce tandis que le liquide brûlant se rependait lentement. Ton rythme cardiaque battait des records, et tu retenais péniblement tes larmes. Ta respiration se faisait courte et irrégulière. Tu ne comprenais pas. Tu lisais, encore et encore, les mêmes lignes. Toujours les même.


Il n'y avait que lui qui aurait pu comprendre ta détresse. Que lui pour te mettre ces quelques mots sur un morceau de papier. Que lui pour te rassurer ainsi. Que lui pour accepter de te dévoiler la vérité. Il n'aurait pas pris la peine de prévenir vos parents, sans quoi, il aurait dû dire adieu à sa liberté retrouvée. Comme tu le comprenais. Comme tu l'enviais. Il avait sacrifié ta liberté pour la sienne. Mais pourquoi ? Comment avait - il put te faire ça ? Il fallait que tu en sait plus. Il fallait que tu comprennes, que tu questionnes ta mère sur le pseudo mort de ton ainé. Et si ce n'était qu'un stupide canular . Impossible. C'était bel et bien son écriture. Sa signature. Sa façon de te parler. Tu relisais maintes et maintes fois les quelques mots de sa lettre. Il les avait judicieusement choisi. Il ne parlait jamais pour ne rien dire. C'était une évidence, il était bel et bien vivant.

Une larme.
Un soupire.
Un sourire.

Accroche toi Haileen, Drake reviendra. Quand il sera prêt, il reviendra. Pour toi.


DERRIÈRE L'ÉCRAN.
Prénom et âge ▽ Typhaine - 19 ans.
D'où viens-tu? ▽ Du fin fond de la France.
Où avez-vous connu le forum? ▽ Google est mon ami.
As-tu envoyé deux terribles secrets sur ton personnage par message privé à Nightmare? C'est obligatoire. ▽ Oh oui.  
Fréquence de connexion : ▽ Trois fois par semaine, minimum.
Votre avis sur le forum ▽ Il est beau, il est bon, il est chaleureux, il est inspirant, il est accueillant.
Tu es un scénario? De qui? ▽ Non.

[/b][/b]

Code:

[b]AMANDLA STENBERG[/b] [color=#ffffff]▽[/color] HAILEEN THOMPSON.

   Abandonnée par ton frère chéri En espérant que s'il revient ce sera pour de bon Dans tous les cas, on va bien rire

   Je t'annonce que tu es maintenant validé(e)!  Alors bienvenue officiellement dans la superbe famille de Love Me Like You Do. Là où il y a des tonnes de fou-rires, de la complicité à l’état pur, des tas de rebondissements et juste assez d’inceste pour être encore socialement acceptable.  Sans blague, c’est une joie de pouvoir te compter parmi nous et nous espérons sincèrement que tu sauras trouver ton petit bonheur ici, car nous t’aimons déjà beaucoup.

   Maintenant, tu es apte à faire tes demandes mais aussi que tes liens et  tes topics. Si ce n’est pas déjà fait, il serait bien d’aller jeter un petit coup d’œil aux règles du forum afin que tout soit bien compris.

   N’hésite pas non plus à participer aux jeux ou à l'événement en vigueur. Il nous fera plaisir de te compter parmi nous et de pouvoir s’amuser avec toi. Nous avons également la chatbox et pleins de jeux flood super amusants!

   Si tu as des questions, n’hésite pas communiquer avec le staff, ils sont souvent là… presque 24/24. ( L’avantage d’avoir des français et des québecois, héhé! )  

   Alors voilà, c’est tout. Viens faire chauffer ton clavier en notre compagnie maintenant.