Ca faisait 2 semaines deux semaines que j'étais dans cet hôpital à tourner en rond. Bien sur j'avais des cours de réeducation pour marcher, car rester allonger ça n'aidait pas les muscles. Le soucis j'avais l'impression de plus savoir marcher, je marchais sur les pointes à chaque fois, au fond de moi je sais que c'est pas comme ça que je marchais, enfin si mais je ne sais plus. J'étais tellement embrouillé. J'avais des flashs de mémoire qui venait ici et la quand je dormais, c'était bizarre cette sensation. Mais quand je me réveillais, il ne restait plus rien. Ma sortie allait bientôt avoir lieu, d'ici quelques jours j'avais hâte de reprendre un train de vie différent. Retrouver le travail surtout, car ça, j'avais besoin de bosser et tout le monde le sait, même ceux qui viennent me voir. Mon assistante était venue me voir d'ailleurs pour me dire qu'ils avaient gérer les dossiers en cours au travail. J'étais surpris de savoir que j'avais aussi un empire ici à Miami. J'avais hâte de voir ce que j'avais crée ici aussi. L'infirmière passe et repasse, j'avais moins de machines qui étaient reliées à moi, ça faisait du bien d'être plus libre. Je n'avais plus besoin d'oxygène c'était top, je pouvais me lever des fois enfin m'asseoir et respirer. .
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Je fais de grands efforts pour marcher, et aujourd'hui je me lève alors de mon lit seul, je m'avance vers le miroir en face de moi et je me regarde en soulevant mon T-Shirt.. Ce pansement... Je voulais voir ce qu'il y avait en dessous mais il devait encore rester la pour que ça puisse se soigner comme il fallait. Mon infirmière a dit que ce n'était pas vraiment beau à voir. J'étais curieux tout de même... En marchant un peu dans ma chambre, j'entend un bruit, je me retourne d'un coup et je vois une personne une jeune femme brune, qui avait l'air assez jeune, enfin je ne sais même plus comment je suis moi même. 23 ans, 31 ans.. Je voyais bien ma date de naissance et mon prénom à mon poignet et j'avais encore du mal à croire qu'on était en 2017. C'était donc ça le futur? C'était bizarre, un autre monde, ça n'avait pas vraiment changer. "Bonjour.. Je.. Vous connais?" C'était définitivement la question que je posais le plus en plus en ce moment, ça en était insupportable. Je détestais à un point leur demandé tout ça, mais il le fallait pour que je puisse enfin m'en sortir. Heureusement avec Alysse maintenant c'était différent, je l'a reconnaissais, elle venait tellement souvent me voir que ça me mettait du baume au coeur, quelqu'un qui tient à moi. Enfin bon je repose mon regard en m'assaillant sur mon lit en regardant cette fille. Elle était pale, brune, les cheveux longs, mais je ne sais pas, elle m'apaise rien que sous son regard. Surement son âge, elle devait avoir quoi? 16 ans? 20 ans maximum? "Au faite, moi c'est Wane Taylor... Enfin je pense que vous devez savoir tout ce sait ici... " Tout le monde savait que j'étais sous observation et que j'étais avec les flics, des agents étaient positionnés dans l'hôpital, j'étais le fameux "Etrangleur de Miami" d'après ce qu'on avait dis. Ca m'avait fait sourire, j'avais enfin pu garde ce surnom ici aussi et des années après Sydney. J'avais passe ma main dans ma barbe, j'étais pas encore habituer à avoir cette grosse barbe, vivement que je reprenne le travail pour me raser. Me reprendre en main. Ici je me laisse aller. Ne rien faire, je déteste ça.
Encore une belle journée à Miami. Je commençais à me faire à la ville et aux gens. Je me demandais même si j'allais rester définitivement en ville. En même temps, je n'avais plus personne en qui je pouvais faire confiance et retourner dans ma cage dorée risquerait de me rendre complétement folle.Quant au travail, je commençais à bien aimer travailler dans ce cabinet. Je me demandais comment quelqu'un d'aussi jeune avait pu fonder un empire en si peu de temps. Mes clientes étaient des femmes fragiles, ce genre de personnes qui m'avait envie de faire un tel métier. Ca me donnait une raison de me lever le matin. Puis mon assistante était plutôt sympathique, toujours avec un sourire aux lèvres.
Ce matin, j'avais pris plus de temps pour me préparer car je voulais rencontrer l'homme que je remplaçais : Wane Taylor. De réputation, il était un des avocats du moment et en voyant son cabinet je le comprenais parfaitement. Il avait une équipe à la fois rapide et efficace, ce qui était très agréable lorsque l'on travaille sur plusieurs dossiers en même temps. Je voulais faire bonne impression alors j'enfilais une robe noire et chic avant de prendre quelques dossiers dans mon sac à main direction l'hôpital. Connaissant son assistante, elle devait l'avoir averti de ma venue deux minutes après que je lui ai annoncé. Au moins, j'étais sûre qu'elle faisait bien son travail. Si elle pouvait parler un peu plus de notre patron ça me rendrait service. Je ne savait rien que ce que les personnes qui m'avaient engagées m'avaient dit.
Je pris un taxi pour partir à l'hôpital bien qu'il faudrait peut être que je pense à m'acheter une voiture. Ca serait à la fois plus pratique et ça me donnerait une raison de plus de rester en ville. Une fois la course payée, je pris un café à la cafétéria de l'hôpital en pensant à ce que je pouvais lui dire. Les médecins m'avaient dit qu'il avait perdu la mémoire et qu'il fallait y aller doucement avec lui alors quelle était ma surprise lorsque je vis des agents de police devant la porte. Je passais alors devant eux sans même leur dire bonjour. C'est ainsi que je rencontrais un homme assez perdu dans ses mouvements, pas très adroits et le regard interrogateur. Ca ne devait pas être simple pour lui de savoir s'il connaissait ou non la personne auparavant.
"Bonjour... non on ne se connait pas encore, je vous rassure."
Je dis ça avec un léger sourire aux lèvres, il avait l'air plutôt charmant, je comprenais pourquoi son assistante le regrettait autant. Je passais une mèche de cheveux derrière mon oreille avant de m'approcher de lui. Lorsqu'il se présenta il ajouta une phrase qui me laissa perplexe. Il devait certainement ignorer que je n'étais pas originaire de la ville.
"Moi c'est Arya Stanford, je vous remplace dans votre cabinet. Je suis simplement venue me présenter et discuter avec vous. Pourquoi tout ce sait à Miami? Désolée pour la question mais je suis originaire de New York. D'ailleurs pourquoi il y a des policiers devant votre chambre?"
Il fallait bien que je sache si les policiers dehors avaient une bonne raison d'être là ou il faisait cela simplement pour le plaisir d'embêter une personne malade.
Cette jeune femme m'avait fait sortir de mes pensées, j'étais entièrement perdu c'est vrai en plus de ça elle était brune. J'avais une sorte d'attirance malsaine sur les brunes je l'admet, c'était difficile d'admettre ça mais j'aimais les violer et les tuer. J'étais un peu fou sur les bords mais chaque jours en cherchant dans ma mémoire des petits points important de ma vie je remarque que je suis fou depuis pas mal d'année mais que c'était en moi cacher. Surtout qu'ici ils ont mis une brune comme infirmière je ne vous dis pas les fois où je bandais devant elle car elle me donnait envie, j'étais en manque de sexe mais vénère et elle me touchait, me changeait. J'avais surtout bien envie de l'a tuer aussi, l'étrangler. Elle m'avait raconté la première fois qu'elle avait croiser mon regard, elle avait peur de mon regard noir et je lui avais serrer le poignet tellement fort. Elle avait des marques pendant au moins une semaine. C'était une victoire de guerre. Bref je repose mon regard sur la nouvelle venue que je regarde de haut en bas. elle était très jeune, elle avait l'air jeune peut-être qu'elle ne l'était pas en faite. Elle s'appelait Arya Stanford? Ca me dit entièrement quelque chose, mon assistante m'en avait parler par mail. "Ah oui, Mlle Stanford, c'est vous, Mlle Jones, mon assistante m'en avait parlé pr mail. Enchanté de vous rencontrer." Elle s'occupait de mes dossiers pendant que je n'étais pas là, tant mieux mes clientes méritaient que leur dossier soit toujours en route et pas oublier pendant mon absence.
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Elle se présente comme venant de New York, et qu'elle ne savait pas vraiment comment les choses se savaient rapidement à Miami. Elle avait surement pas entendu les informations ou simplement les policiers devant ma chambre ne lui avait pas parler de qui j'étais. Tant mieux elle n'avait aucuns préjuger sur moi. Je ne l'a quitte pas du regard. "J'avais compris que vous venez de New York, votre accent du Nord." Je souris, elle avait un accent différent que les personnes travaillant ici dans cet hôpital. Je me redresse alors en fronçant le regard. J'avais de toute façon cette force de lire dans le regard des gens et ça à toujours déstabiliser les personnes en face de moi. "Asseyez vou donc!" Je lui montre le siège qui était en face de mon lit, je pose ma main sur mon ventre en grimaçant, ça faisait mal et surtout le pansement tirait sur ma peau et mes poils du bas ventre. C'était pas génial. Je lui répond alors pour le soucis des policiers devant ma chambre. "On va dire... Que je suis pas quelqu'un de bien gentil... Je suis même un homme dangereux mais ça c'est un détail. Du moins c'est qu'on m'a dit." Je souris, j'avais des sombres pensées mais je n'étais jamais vraiment passer à l'acte du moins pas de ce que je m'en souvienne c'est ça le soucis. Je l'allais pas non plus lui dévoiler qui j'étais, il ne fallait pas qu'elle s'inquiète après tout elle travaille pour moi maintenant. "Je comprend donc que vous avez pris ma place enfin mes dossiers du bureau c'est bien ça? Je ne sais plus quels dossiers j'avais en route je suis vraiment désolé mais j'espère qu'ils avancent bien et que les audiences auront lieu rapidement." Je m'inquiète toujours quand c'est à propos de mes dossiers. C'était l'homme d'affaire qui parlait. J'avoue elle préférait surement que je sois en costume qui sait et pas en T-Shirt bordeau avec une grande barbe et un regard fatigué. Je ne suis pas clean sur moi. Bizarrement j'avais envie de l'a connaitre car si elle bossait pour moi c'est qu'elle avait le potentiel. Je ne prenais pas des stagiaires qui n'allaient pas aller loin dans la vie. Je savais très bien ce que je veux. Et Mlle Jones le sait aussi très bien, elle me connait, elle travaille avec moi depuis que je suis avocat.
Je ne savais pas pourquoi ces policiers étaient devant la porte, si mon patron était véritablement dangereux mais cela m'importait peu. Je n'écoutais pas ce que les gens pensaient car sinon je ne serais pas sortie avec Aaron. Mauvais exemple mais vous comprenez où je voulais en venir. Il avait l'air d'être une personne intéressante à qui on pouvait parler de tout. Puis il était plutôt pas mal même s'il était un peu négligé. Je n'allais pas lui en vouloir parce qu'il n'était pas au top de sa forme. Tout le monde sait que les hôpitaux n'étaient pas le meilleur endroit pour se refaire une beauté.
Comme je l'avais prédit son assistante avait parlé de moi. J'espère qu'elle n'avait pas parlé de mon père. Je ne voulais pas être collée à son image et à sa grande carrière. C'était aussi la première raison pour laquelle j'avais sauté sur ce travail. Tous les avocats de New York tremblaient devant le nom de Stanford, le grand avocat alors sa fille devait être à sa hauteur. Je pris alors le soin de lui sourire lorsqu'il parla de mon accent. A croire qu'il était aussi flagrant que ma petite taille.
"Je suis également enchantée mais appelez moi Arya. On m'a dit que mon accent faisait mon charme. Je vais pas vous cacher que je vous voyez plus vieux du genre la cinquantaine."
Il ne devait avoir que quelques années de plus que moi. Il me fit signe de m'asseoir à côté de lui. J'obéissais après avoir retiré ma veste parce qu'il faisait bien trop chaud dans cette chambre d'hôpital. Lorsqu'il me précisa qu'il était un homme dangereux je ne pu m'empêcher d'échapper un rire. Il avait l'air doux comme un agneau et ce n'était pas une raison d'être entouré de policiers. Il avait déjà pris une balle, il n'avait pas besoin que les flics le suivent partout où il va.
"Je préfère me faire mon propre avis sur les gens et si vous voulez mon avis vous m'avez l'air tout à fait charmant."
Non, je ne drague pas mon patron, je lui disais simplement la vérité et je devais être transparente avec ma patronne. Je regardais toujours Wane dans les yeux, histoire de le cerner mais rien. Il faisait certainement la même chose. Je comprenais parfaitement qu'il ne travaillait pas avec n'importe qui et qu'il devait avoir confiance en sa collaboratrice. Bon je n'étais pas du genre à bâcler mon travail sinon je serais déjà au chômage. Avant de parler des dossiers je me leva d'un bon pour aller voir les policiers, je ne voulais pas qu'ils entendent la conversations. Je leur tendis deux billets de cent dollars et leur demanda de nous laisser une bonne demi heure et que j'appellerais les infirmières au moindre problème. Je retournais alors m'asseoir à ma place.
"Au moins on est tranquille! Je n'aime pas parler des dossiers quand je sais que d'autres personnes entendent ce que l'on dit. Pour répondre à votre question j'ai repris les dossiers que votre assistante m'a confiée. Pour les affaires les plus urgentes, j'ai déjà eu les audiences et elles se sont très bien passées. Vous n'avez pas à vous inquiéter. J'ai aussi préféré m'installer dans un autre bureau, je ne voulais pas toucher à vos affaires personnelles. Je déteste les fouineurs donc j'évite de faire la même chose. Vous avez d'ailleurs le bonjour de Mme Snow, une de vos clientes qui vous souhaite un bon rétablissement. D'ailleurs si vous avez d'autres questions n'hésitez pas à les poser, je suis là pour ça."
Au moins, s'il voulait poser des questions sur certaines clientes ou me demander mon avis sur certaines affaires il pouvait le faire en paix. Il fallait bien que ma richesse passe quelque part puis c'était mon père qui m'avait enseigné cette technique. Et ça ne fera pas trop de mal à Wane d'avoir un peu la paix.
J'étais content d'être de moins en moins fatigué, je pouvais comme ça profiter de ce qu'il passait autour de moi et essayer de continuer de comprendre pourquoi j'avais perdu la mémoire et quand j'allais l'a retrouver. C'était vraiment chiant de ne pas savoir comment se situer dans l'histoire, il y avait ce moment trouble et quand on ferme les yeux des petits flashs qui reviennent mais pas assez lent, trop rapide, trop furtif, pas assez pour que je puisse me souvenir de quelques choses. Alysse m'aidait beaucoup, on parlait de tout et de rien, elle reprenais depuis le départ à chaque fois pour que j'assimile bien. Ma mémoire de courte durée était en bonne état, je me rappelais de ce qu'on me disait il y a 3 jours, ça marche bien mais la longue durée c'est pas encore ça. Les médecins m'ont dit qu'un jour dans mon cerveau tous les liens vont se refaire d'un coup e tout va s'éclaircir et ba je peux vous dire que j'avais bien hâte. Enfin bon assez parler de ma mémoire de poisson rouge, je voulais apprendre à mieux connaitre cette jeune femme qui me remplace. Elle avait un air si calme, si posé. C'était surement pour ça qu'elle était avocate aussi. "Je pense que votre accent, ainsi que votre allure et votre sourire font votre charme Arya. Cinquante ans? Vraiment? Oh non, on m'a dit que j'avais juste 31 ans, pas 50. Heureusement... J'ai construit mon empire dès que j'ai eu mon diplôme a vrai dire. Je l'ai eu jeune. " Je souris. Je voulais fonder ma propre entreprise et maintenant je peux voir par tout ce que les personnes ont oser me dire que je régnais sur cette spécialité. J'en étais très fier. "Et vous, quel âge avez vous? Vous semblez si.. jeune?" Je me trompais surement, elle avait ce regard d'enfant qu'on venait de mettre dans ce monde de brute. Trop précieuse, il ne fallait pas lui donner des responsabilités comme ça. Je fronce mon regard tendant de l'analyser. Elle avait de la répartie j'aime ça. C'était une qualité en plus de ça en tant d'avocat d'avoir cette sorte de répartie. Je l'a regarde d'autant plus quand elle dit que j'étais charmant. Je rigole. Elle me voyait dans un état si.. déplorable... "Charmant? Vraiment... Et encore vous m'avez pas vu en costume belle Arya." Je lui fais un clin d'oeil. J'étais en vulgaire T-Shirt, un costume, une chemise et une cravate ça change un homme ça je peux vous le dire. J'avais surtout la barbe dans un état et mes cheveux n'en parlons pas. Bientôt je serais capable de me lever tranquillement et prendre ma douche seul, le bonheur.
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Je l'a regarde ensuite se lever et je regarde au loin alors qu'elle parle avec les deux policiers qui se trouvaient devant ma chambre. Normalement bientôt ils ne seront plus là car mon audience ne va pas tarder et ils vont partir, car je suis totalement incapable de me rappeler quoi que ce soit et sur les meurtres dont ils m'accusent. Oui j'ai fais de la prison et je suis sortit car il n'avait plus assez de preuve contre moi. Il parait que je cachais bien mon jeu. Oui c'est vrai, j'aime ça. En tout cas cette balle je l'avais pas pris pour ces soucis la, donc je ne comprenais pas non plus ce qu'ils faisaient là à me surveiller. Il parait que je suis un homme dangereux comme ils le disent. Je suis juste un homme qui veut sortir d'ici au plus vite pour découvrir son appartement, enfin son dupleix comme on me l'avait dit. "Vous avez gagné les affaires j'espère au du moins la plus part? Je ne me rappelles plus d'aucuns dossiers et je vais m'en vouloir pour les clientes... Oh mes affaires personnels? J'ai quoi dans ce bureau de personnel? Je veux dire, ce n'est pas dans mes habitudes de mettre des photos ou je ne sais quoi sur mon bureau, après tout je suis célibataire." Je rigole, je ne sais pas si maintenant j'étais célibataire, marié, ou même père? Non je ne sais pas, Alysse m'avait dit que j'avais souffert en amour mais on en avait pas plus parler que ça car elle devait partir. Elle me parle d'une de mes clientes, bien sur je ne l'a connais pas mais elle tient à moi? C'est donc ça mes clientes tiennent toutes à moi J'étais assez surpris, moi qui était froid quand je travaillais. L'âge à du donner une raison de mon charisme. "Décrivez moi, mon bureau? On m'avait dit que je possédais tout l'immeuble où est mon cabinet est-ce vrai?" Elle était maintenant la mieux placé pour savoir tout ça. Puis après tout elle voulait que je lui pose des questions c'est ce que je vais faire, pour essayer de savoir comment on est ma vie actuellement. 31 ans, qu'est ce que j'ai construit? Si seulement je le savais. En tout cas cette petite Arya, m'intéresse beaucoup. Il faudrait qu'elle parle d'elle a un moment donner. Besoin de savoir qui elle est, elle vient de New York ok, mais de quel milieu? Pourquoi être avocate? C'était un des métier ok les mieux payer je le conçois mais pourquoi? Il y avait tant d'autre métier. Surtout dans le droit.
Pour une fois qu'une visite dans un hôpital me mettait de bonne humeur. Sans mentir, la plupart des fois où j'y vais pour le boulot, je retrouvais des clients ou des témoins dans un sale état. Je voulais pas dire que mon patron semblait péter la forme mais que j'avais vu pire. Il avait les traits tirés mais il était beaucoup plus jeune que ce que je ne pouvais m'imaginer. Wane avait un genre de charme ténébreux et les traits tirés ne gâchaient rien à ce charme. Il avait eu son empire bien jeune contrairement à mon père qui l'avait obtenu peu de temps après ma naissance. Je rougissais légèrement à sa remarque, je n'étais pas vraiment habituée à de tels compliments de la part des hommes.
" C'est très gentil de votre départ. Pour ma défense mon père a fondé son empire assez tard mais je vous rassure vous faites votre âge."
Il devait avoir bien du courage pour rester ainsi, laisser quelqu'un gérer son bien le plus précieux et tenter de se souvenir de nouveau d'une partie de sa vie. C'est quand il m'a demandé mon âge je ne pus m'empêcher de rire. C'est vrai que je faisais beaucoup plus jeune que mon âge mais il fallait toujours se méfier des apparences. Je choquais généralement les gens avec mon véritable âge mais maturité reprenais toujours le dessus. Quant à moi c'est ma remarque sur son charme qui le fit rire.
"Je viens d'avoir 28 ans si on en croit ma carte d'identité et oui je fais beaucoup plus jeune.... Pour ce qui est du costume j'aurais la chance de vous voir ainsi si on continue à travailler ensemble."
Oui je tenais à mon travail et a enfin me faire un nom même si je n'étais pas réellement spécialisée dans le domaine dans le droit des femmes. Je soutenais plus généralement les victimes de tout types d'agression. Bref, je pourrais bien voir avec le temps ce que ça risquait de devenir. Au moins j'avais réussi à faire partir les agents de devant la porte de sa chambre. Je vous l'ai dit il faut se méfier des apparences, je suis beaucoup plus redoutable que j'en ai l'air. Quand on se remit à parler boulot, je craignais sa réaction, qu'il ait fait le mauvais choix. Bien entendu j'eus le toc de jouer avec la bague qui ornait mon annulaire afin de trouver les mots pour présenter ce que j'avais accomplis en quelques semaines. "Concernant vos affaires, j'ai gagné toutes celles qui sont en cours. Vous aviez bien préparé chacun des dossiers alors les plaider était pour moi un jeu d'enfant. Donc au moins vous n'avez pas à vous en vouloir, vos clientes sont entièrement satisfaites. Quant à votre bureau, je suis désolée mais je n'y ai jamais mis les pieds. Pour ça il faut demander à votre assistante c'est elle qui m'a confié tous vos dossiers ou tout simplement à l'un de vos amis. "
A vrai dire, je ne savais pas grand chose de lui hormis sa réputation et ce qu'il venait de me dire. La seule chose que je pouvais faire était de décrire le bâtiment dans lequel je travaillais tous les jours.
"Je peux confirmer que vous possédez tout l'immeuble, qui est d'ailleurs magnifique. Je pensais que l'on ne pouvait en trouver qu'à New York. A la fois sobre et moderne. Quand à l'intérieur, tout est assez sobre mais luxueux, l'architecte que vous avez engagé a bien fait son travail. C'est d'ailleurs l'un des plus beau dans lesquels j'ai eu la chance de travailler ... "
Je ne pouvais m'empêcher de repenser à New York en pensant à tous les buildings de Manhattan. Un léger sourire nostalgique apparu sur mes lèvres comme si je ne retournerais jamais dans la ville où j'avais vu le jour. Je relevais la tête en remarquant que je m'étais perdue pendant quelques secondes dans mes pensées.
"Désolée, j'étais un peu ailleurs... Vous voulez savoir quelque chose d'autre ? Si je peux vous aider je suis là pour ça."
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(#)Sujet: Re: Let's talking • Arya | Mer 1 Mar - 20:37
J'avais tout de même hâte de quitter l'hôpital, mais il fallait pour cela que j'arrive à me lever plus facilement. Mais c'était dure puisque ma cicatrice me faisait énormément de mal, ça tirait de dingue mais mon infirmière me disait que c'était normal. Il fallait le temps que mon corps se réadapte à la vie et au fait que mes muscles se réveillent. Mais ça va aller, je suis un combattant... En tout cas ma journée va aller clairement mieux maintenant qu'il y avait Arya dans ma chambre. Je pouvais enfin parler boulot, j'avais envie de parler boulot. Je suis un homme qui aime son métier et qui passe beaucoup de temps sur ses dossiers enfermé dans son bureau. Elle avait beaucoup de culot, j'aimais bien son caractère, elle avait dégagé les policiers avec juste une classe et des mots propres. J'aimais. Mais maintenant elle me donnait alors carrément envie d'en apprendre un peu plus sur elle, sur pourquoi elle est là, pourquoi ce métier? Et surtout d'où elle vient. On parle de mon âge en premier lieu, son père hum... Elle a un père dans le business? Intéressant. Je l'a regarde de haut en bas, son nom me disait pas grand chose. Une fille à papa? Elle n'avait pas l'air pourtant. Elle se débrouille assez bien ici dans son élocution et ses actes. Elle me dit alors qu'elle allait avoir 28 ans, et beh je suis comment dire.. Choqué? Surpris? Bon je ne m'y attendais pas qu'elle soit de cette tranche d'âge, elle fait vraiment jeune. Mais c'était un compliment pour les femmes n'est ce pas. "28 ans? En effet je suis surpris de votre âge. En tout cas vous êtes très belle et même resplendissante. Qui a dit que beaucoup travailler ça faisait vieillir plus rapidement." Je souris, ah oui c'est sur elle va me voir en costume hyper rapidement. Dès que je sors d'ici je retourne bosser là où est ma place. Je retrouve mes dossiers que je vais devoir relire tous les uns après les autres. Et appeler les clientes pour prévoir des rendez vous. Les rencontrer.
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Mon regard était plongé sur elle, elle jouait avec une bague, une alliance? Ca en avait tout l'air. C'était pas le moment de lui demander, après tout.. On ne se connait pas assez. Elle me parle du coup des affaires que j'avais en cours avant mon accident et qu'elle les avait tous gagné ou presque. Je souris, j'en étais bien fier. Je ne supporte pas quand l'autre partie gagne. "Vous avez gagner les affaires? Mais c'est excellent. J'ai hâte de vous voir plaidoyer dans ce cas. Vous savez donc y faire avec les juges. Mon assistante vous a très bien choisie. Ca va être un joie de travailler avec vous bientôt. Pour mon bureau.. Vous en faites pas je le découvrirai bientôt." Je l'allais pas rester dans ce trou à rat pendant des années après tout. Maintenant on parle de mon immeuble, j'avais l'immeuble entier? Je souris, j'avais enfin réussi ma vie en tant qu'avocat renommé. Je suis content j'avais gravis des échelons, d'un côté il y avait vraiment de l'argent à prendre dans ce domaine, il y avait beaucoup de femmes battues par leur conjoint et c'était bien triste. J'avais des honoraires tout à fait raisonnable enfin je ne sais plus combien je prend maintenant. Quand je serais adapte il faudrait que je regarde rapidement mon compte en banque. Savoir ce que je gagne, savoir où j'en suis niveau argent. Elle me décrit l'intérieur, je souris sobre et luxueux? Vraiment? C'était magnifique, j'avais hâte d'y mettre les pieds ou les remettre peu importe. "Je pense que j'ai voulu mettre les clientes à l'aise dès l'entrée de la porte, pour qu'elle soit entièrement en confiance. Merci en tout cas." J'étais content de savoir que c'était l'un des plus beaux immeubles dans lesquels elle ai jamais travailler. Ca fait vraiment plaisir à attendre surtout que d'après ce que j'ai compris elle venait de New York vu qu'elle m'a dit qu'elle pensait en trouver des immeubles du genre seulement à New York. J'avais totalement envie d'apprendre à la connaitre un peu plus. Elle semblait dans ses pensées, je me redresse et je l'a regarde en souriant. Bon c'était le moment d'en savoir un peu plus. Elle était de nouveau présente, elle me demande si je voulais savoir autre chose. Je secoue la tête. "Non mais j'ai envie d'apprendre à vous connaitre un peu plus. Dites moi d'où vous venez... Et je pense qu'on peut se tutoyer n'est ce pas?" Je souris, j'étais dans la même tranche d'âge qu'elle. J'étais certes son patron mais pas ici, ici je suis Wane simplement un malade qui n'a plus de mémoire... "Tu m'as parlé de New York... Tu viens de New York c'est ça? Ton père travaille là bas?" J'étais assez curieux je le sais. Mais j'aimais ça, en savoir un peu plus sur les gens.
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(#)Sujet: Re: Let's talking • Arya | Mar 7 Mar - 18:29
Let's talking
Wane & Arya
Parler de moi ce n'était pas mon genre et l'avantage dans mon métier c'est que l'on parlait très peu de soi. Le client a bien assez de problème pour que je leur ajoute les miens. Bon la question de l'âge était toujours sur le tapis mais elles comprenaient très vite que l'âge ne faisait pas le talent. Je souriais à cette remarque car il faut dire que se faire complimenter par un homme faisait toujours plaisir surtout dans ma situation.
"C'est très gentil et vous n'êtes pas le premier à être surpris. On me demande encore ma carte d'identité lorsque je vais dans les bars."
Je ne comprenais pas comment on pouvait me trouver resplendissante alors que je dormais à peine depuis mon départ de New York. Au moins on en revenait sur le boulot, je me sentais plus à l'aise pour parler travail. Il faut dire que je sais manier les pires dossiers avec une aisance qui surprenait mon père et ses associés. Je lâchais enfin mon alliance pour regarder le jeune homme dans les yeux.
"Disons que lorsque les dossiers sont très bien gérés, plaider est un jeu d'enfant. Puis c'est toujours simple de communiquer avec les juges toujours jouer sur la corde sensible après s'être bien renseignée. Bon je ne l'ai fait pas chanter mais lorsqu'ils sont parents c'est beaucoup plus simple de jouer sur leurs sentiments mais vous le verrez bien assez tôt."
Au moins, j'avais essayé d'être claire et précise tant pour mon boulot que pour décrire son lieu de travail. Bon ça ne devait pas être simple à décrire mais j'avais fait du mieux que je pouvais. Puis il se mit à nouveau à parler de moi, commençant à me proposer le tutoiement. A vrai dire c'était plutôt logique on avait à peu près le même âge. Parler de New York était simple mais de mon père un peu moins. Tous les avocats le connaissaient de réputation et ma vie à New York était terminée depuis le jour où je me suis retrouvée seule le jour de mon mariage.
" Oui je suis née et j'ai grandi ici. Mon père est l'un des plus grands avocats de la ville en droit des affaires avant de devenir sénateur. Puis tu sais ce n'est pas simple d'être la fille d'une telle rock star et disons simplement que j'en ai eu marre d'être dans son ombre. Plus rien ne me retiens à New York professionnellement parlant et personnellement je suis libre comme l'air. Bref je n'ai pas envie de t'embêter avec mes problèmes..."
Je ne pouvais m'empêcher de stresser un peu en parlant de mon ancienne vie comme si tout allait me rappeler la magnifique épreuve que j'avais subi il y a peu de temps. Il était déjà à l'hôpital alors je ne voulais pas l'embêter avec ma vie sentimentale vouée à l'échec.