La jeune femme que j’avais ramassé dans la rue complétement bourrée sembler complétement désorienté depuis son arrivée au poste de police comme si venir ici la rendais complétement hystérique. A mesure que je lisais ce qui avait dans son dossier, la jeune femme commencée à perdre complétement les pédales, elle commencé à enchainés blague sur blague, qui n’était pas du tout drôle et qui des fois était complétement incompréhensible, je me doutais un peut que la jeune femme n’avait pas bu que de l’alcool et que si on lui fait un dépistage de drogue sa serait sans surprise qu’on y en trouve dans son organisme.

Dans l’état ou se trouvé la jeune femme, c’était impossible que je puisse l’interroger, elle était totalement incontrôlable, je décide donc de l’emmené en cellule pour qu’elle puisse ce reposé et qu’elle reprenne ses esprits. Mais elle n’avait pas été du même avis que moi puisque lorsque je me suis levé de ma chaise en m’approchant d’elle, elle est devenue complétement parano et une nouvelle fois hystérique en se levant de sa chaise comme une folle en me criant dessus en m’interdisant de l’approché en balancent sa chaise vers moi à mesure que je m’approche d’elle. Wouah wouah, calmer vous, je suis là pour vous aider, pas pour vous faire du mal. Dis-je en levant mes bras devant la jeune femme en gardent tout même mes distances on ne s’est jamais ce qu’elle pouvait avoir derrière la tête.

Puis la jeune femme se sentis aussitôt mal en sentent venir des nausées, elle était très pale pour vous dire et sans plus attendre elle court vers la poubelle en vomissant tout ce qu’elle surement bu avalé. Quant à moi une petite grimace s’affiche sur mon visage voir ce genre d’image n’est jamais très cool, je pose une main sur l’une de mes hanches et l’autre je me frotte le front et la repose aussitôt sur mon autre hanche à l’entendent que la jeune femme finisse son affaire. Une fois qu’elle ait fini, elle se retourna vers moi avec un air de désoler pour la poubelle, honnêtement je m’en foutais de la poubelle, je n’étais pas désolée pour cette poubelle mais pour elle, désoler qu’elle soit dans un état lamentable, désoler qu’elle détruise sa vie.
   

Le comportement hystérique ne me surprenais pas j’ai déjà été confronter à ce genre de comportement et je sais que les gens qui se comportement comme tel cacher un mal profond d’eux, quelque chose qui l’es aurait brisé ou bien qui il leur manque quelque chose dans leur vie pour qu’il soit complétement heureux et qu’ils arrêtent de se faire du mal. Je n’ai pas besoin d’être psychologue pour savoir que cette jeune femme que j’avais en face de moi souffre de quelque chose sa se voit en plein milieu de la figure c’est pour ça qu’elle se détruit avec l’alcool et la drogue, j’étais pas dupe je savais qu’elle prenait aussi de la drogue est pas que de l’alcool et mélanger ces deux merdes était un cocktail mortel.

Il fallait absolument que cette jeune femme se fassent aider rien qu’entendre le mot cellule la rend immédiatement hystérique et saccage tout sur son passage, es qu’elle aurait était enfermer dans un placard ou autre quand elle était petite ou bien était -elle claustrophobe ? Allez savoir, à l’entendent qu’elle voit un psychologue elle ira faire un petit somme en cellule parce clairement elle n’était pas sobre pour voir un psy.

Je la laisse donc finir de vomir dans la poubelle qui était à ses coter l’image que j’avais devant n’était pas agréable à voir c’est pour ça que j’avais retourné ma tête parce si je la regarde faire je pense que j’y passerait aussi, j’avais mis la main devant ma bouche que de l’entendre vomir honnêtement j’avais hâte qu’elle finisse mais ce n’était pas de sa faute si elle était dans cette état. Après une bonne dizaine de minute la jeune femme avait fini de vomir, elle c’était dirigé vers la porte et me lance qu’elle était prête à aller en cellule parce qu’elle en voulait en finir avec cette histoire, le hic c’est que cette histoire était loin d’être fini.

J’ouvre la porte en prenant doucement le bras de la jeune femme pas la peine de lui mettre les menottes vues dans l’état qu’elle est actuellement je ne pense pas qu’elle tentera de s’enfuir et si c’est le cas elle irait pas bien loin. Nous sortons tous les deux de la salle interrogatoire puis je la conduis jusqu’à sa cellule. Vous saviez je ne suis pas là pour vous juger, au contraire je suis là pour vous aider. Dis-je en m’adressent à la jeune femme en ferment la porte de la cellule derrière elle puis je pars dans mon bureau pour contacter un psy que je connais bien et qui pourra surement aidé la jeune femme.