emma, sawyer

Tinder. J'en étais à là. Pour pouvoir me vider tranquillement il fallait que j'aille sur un site de rencontre. Bon heureusement pour moi, j'avais trouvé des filles qui ne recherchaient pas spécialement le grand amour. Et heureusement pour moi je n'étais pas tellement en manque autrement j'aurai du me la jouer grand Prince charmant pour avoir ce que je voulais, juste une partie de jambes en l'air. J'en étais capable ceci dit. Je l'avais fais plusieurs fois alors pourquoi pas une autre? Mais une a tout particulièrement capté mon attention. Elle s'appelait Emma et ce qu'elle cherchait c'était vraiment un plan cul. En vu des photos sur le site et de celle qu'elle m'a envoyé cet après-midi par sms, elle était carrément bonne. Je devais me la faire, au moins une fois. Fallait pas laisser filer si facilement ce genre de meuf. Mais je devais quand même me la jouer normal en répondant limite comme un canard. D'ailleurs le coup du coeur brisé me donnait envie de me frapper moi-même. Je ne connaissais pas ce sentiment là, ni l'amour d'ailleurs. Mais je voyais à travers nos sms qu'elle n'était une fille facile et encore moins sentimentale. Parfait. Du coup, ce soir j'avais un entretient avec elle. Parce que ouais en plus la nana veut qu'on lui éclate les pattes arrière jusqu'à ne plus pouvoir marcher. Exigeante en plus de ça. Alors derrière mon écran, j'avoue être totalement mort de rire me demandant si j'arriverais à faire ce pour quoi elle me donne rendez-vous. Et je savais que je ne pouvais pas jouer ce jeu du mec tout à fait normal bien longtemps, mes pulsions referont surement surface lorsque je serais entrain de me la taper. Mais je m'en foutais un peu pour le moment, ce soir j'allais pouvoir me vider les couilles c'est tout ce qui m'importait. Mettant mes chaussures, évitant de me changer ou paraître plus présentable, mon jean noir avec un trou sur le genou - fait lorsque je tabassais un mec fera l'affaire. J'avais pu avoir son adresse très rapidement d'ailleurs. Elle qui voulait venir chez moi, il en était hors de question. J'avais pas de chez moi. J'avais une roulotte et je comptais pas la faire emmener dans ma chariote par peur qu'elle se barre en courant. J'y tenais à mon plan de ce soir. Alors je roulais jusque chez elle, lui envoyant un message pour lui dire que j'étais en bas mais que personne ne répondait à la sonnerie. Alors je m'allumais une cigarette, adossé contre un arbre, n'espérant pas m'être fait avoir car j'avoue que là je ne pourrais contenir mes nerfs bien longtemps. Déjà que je n'aimais pas que l'on m'impose des règles ou même que l'on me mette une sorte de pression, si en plus de ça elle se foutait de moi, elle ne resterait pas sur sa faim. Recrachant la fumée de ma cigarette, je sentis mon téléphone vibrer et voir Emma me répondre.

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Le message d'Emma me fit arquer un sourcil sur le moment. Etrange de donner l'adresse de son voisin, mais rapidement je fis le rapprochement qu'elle pensait sans doute avoir affaire à un autre homme que moi. Alors je fis demi-tour pour traverser la rue et monter les escaliers qui me séparaient dorénavant de mon nouveau plan du soir. Bon fallait pas chier, elle était vachement bien gauler cette meuf. Elle pourrait même faire bander un gay rien qu'en marchant devant lui. Un regard perçant à la limite de l'aguicheur et des lèvres pulpeuses qui feraient bonne compagnie à mon pénis. Parce que ouais, en plus d'avoir un beau corps -du moins avec ses vêtements- elle avait aussi un très joli visage que j'espérais ne pas trop amocher ce soir. Jetant la fin de mon mégot par terre en bas des escaliers, je recrachais la dernière fumée en sa direction, lui offrant un sourire en coin. « C'est donc pour ça le coup du voisin. » Je fis mine de comprendre son petit jeu précédent, entrant après elle une fois qu'elle m'en autorisait. D'ailleurs, dos à moi, je ne me gênais en aucun cas pour lui mâter les fesses. Aucun mec saint d'esprit ou non ne l'aurait pas reluqué. Et il y avait de quoi, d'ailleurs le simple fait de l'avoir sous les yeux m'offrait de belles images dans ma tête de ce que je pourrais faire avec. « Très jolie déco. » Peut-être penserait-elle que je parlais réellement de sa décoration d'intérieur, et peut-être que je le faisais, mais de toute évidence, je ne parlais pas du même intérieur qu'elle. « J'suis un puceau des sites de rencontre si tu veux tout savoir. Mais j'ai l'impression que toi, c'est pas ta première fois. » Entrant dans la salle principale, je fis comme chez moi pour m'installer directement sur un fauteuil de libre. A vrai dire je ne savais pas s'il fallait que je lui saute dessus maintenant ou s'il fallait attendre pour faire causette. Et pour être honnête, la deuxième option n'était pour moi clairement pas envisageable. « Au moins le côté positif c'est que t'es aussi bien foutue en vrai que sur les photos. » Une mine amusée, mon regard croisait un instant le sien pour qu'à la seconde d'après, mes yeux s'abaisse au niveau de tout son corps, comme pour la passer aux rayons X. J'étais entrain de faire ce qu'elle m'avait fait quelques minutes auparavant avant que je rentre dans son appartement. Décidant de ne pas perdre plus de temps pour ne rien faire, je me levais d'un coup pour m'approcher lentement de la jeune femme. Posant ma main droite sur sa hanche que j'agrippais légèrement, je la fis se reculer jusqu'au premier mur que nous rencontrons. « J'espère que tu ne comptes pas me faire passer un entretien avant de parler affaire. » Je parlais avec un peu plus d'entrain, ce qu'elle ne me connaissait pas des SMS échangés. Une fois que j'étais chez elle, je pense pouvoir me montrer comme j'étais réellement, ce n'était que pour un soir donc je me fichais un peu de l'image qu'elle pouvait avoir de moi. Au meilleur des cas elle pourrait devenir un plan cul régulier, au pire je me la serai tapée ce soir. Remontant légèrement ma main, je passais cette dernière sur son dos pour la faire poser sur ses reins, que je caressais lentement.

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Avec son approbation, je rentrais à l'intérieur de son appartement, regardant autour de moi sans vraiment y faire attention, car une fois mes yeux posés sur sa paire de fesse, tout autour de moi devenaient beaucoup moins important. J'me disais même avoir gagné le gros lot ce soir, mais il se pouvait aussi qu'elle ne soit pas à la hauteur de ce qu'elle montrait et que je me fasse plus chier qu'autre chose. Au fin fond, je ne l'espérais pas, je la voyais bien entreprenante, prenant même les rênes. Mon téléphone me sortit de mes rêveries lorsqu'il se mit à vibrer dans ma poche. Le regardant distraitement, je voyais un message, me demandant d'accomplir un défi. Le supprimant à la suite, je levais les yeux au ciel sans y faire attention. Après quelques échanges qui ne m'intéressaient guère, je m'étais assis le temps de quelques secondes ou quelques petites minutes, j'avoue ne pas avoir senti le temps passer. Et mon regard continuait de joncher le sien, comme en essayant de découvrir quelque chose d'elle par le simple pouvoir visuel. Mon regard se fit d'ailleurs plus insistant lorsque je me levais d'un coup, pour m'avancer lentement vers elle et la plaquer contre le premier mur que l'on rencontrait, ma main baladeuse, se terrant au niveau de ses reins. Alors qu'elle parcourait mon corps de ses mains, me disant qu'elle était beaucoup plus une femme d'action que de parole, un léger sourire vint se dessiner sur le bord de mes lèvres, acceptant sa réponse comme elle venait. Décidant d'à mon tour, profiter de la situation, j'agrippais de mes mains, sa paire de fesse sans ménagement qui me titillait depuis mon arrivée. « J'en ai complètement rien à péter de tout ça. » D'une voix rauque, je la regardais s'agenouiller et enlever mon pantalon ainsi que mon boxer pour titiller mon pénis qui ne tardait pas à durcir sous sa bouche chaude. En même temps avec une bouche comme la sienne, on ne pouvait qu'être bien servit. Tout du moins, elle savait s'y faire car la fellation qu'elle me faisait actuellement me rendait complètement barge. « Putain... » Murmurais-je, entre mes dents serrés. Le désir montait d'un cran au dessus et ce n'est pas mes grognements qui allaient dire le contraire. Ne me gênant pas d'une seconde, je me permis d'enfoncer un peu plus mon pénis dans sa bouche, profitant du moment de répit et d'extase qui m'habitait. Jugeant cependant la durée de la fellation correcte, et surtout parce que je voulais m'occuper d'elle à mon tour, je m'enlevais de sa bouche et la relevait sans ménagement pour lui enlever son haut, si ce n'était même le lui arracher, la portant en posant mes mains sur ses fesses, et limite la jeter dans le canapé que je trouvais le plus proche. Je voulais la sentir se mouiller, se cambrer. S'il y avait bien une chose qui m'excitait encore plus, c'était d'entendre les femmes gémir. Que ce soit par plaisir ou douleur mais, pour cette nuit, tout du moins, je voulais qu'elle prenne son pied, je voulais la démonter, qu'elle n'y reconnaisse plus rien à l'intérieur. Je voulais simplement l'amener dans l'extase. Alors brusquement, le reste de ses vêtements, y compris sous-vêtements passaient à la trappe. Y allant doucement pour commencer, je lui écartais les cuisses, retrouvant mes genoux à terre et elle, semi allongée dans une position qui ne devait sûrement pas être très confortable mais au fond, je n'étais pas venu pour m'assurer que son dos était bien posé. Ma langue effleura à plusieurs reprise son bouton de chair. Jugeant l'attente convenable, je croisais un instant son regard intense et me mit à enfin pratiquer ce cunnilingus. Ma langue allait et venait le long de sa vulve alors que ma main droite glissa jusqu'à sa poitrine où je titillais entre mon pouce et mon index, son téton durci. Et ma main gauche, elle, vint caresser mon pénis comme l'excitation montait de plus en plus.

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La petite pipe que Emma était entrain d'appliquer était tout bonnement géniale. Forçant par moment pour enfoncer mon pénis un peu plus loin dans sa bouche, je décidais rapidement de reprendre les choses en mains, et c'était sur le canapé que nous allions commencer. Arrachant ses vêtements sans ménagement, je m'appliquais à jouer avec son clitoris à l'aide de ma langue. Je sentais, entendais et voyait qu'elle en prenait un grand plaisir, je levais mon regard vers elle et voir son visage tiré par l'excitation que ma langue lui procurait m'incita à aller plus vite. Lui bouffant littéralement la chatte jusqu'à ce qu'elle ne lève la tête après avoir atteint son premier orgasme, me demandant très explicitement de la baiser. Je ne me fis pas prier à deux fois. Essuyant d'un revers de main le jus de son objet du désir sur et autour de ma bouche, j'agrippais ses hanches une fois qu'elle fut retournée à moi. M'amusant un peu à coller mon sexe contre ses fesses, je fis quelques mouvements pour me donner encore plus de plaisir et enfila un préservatif, fourré dans ma poche de jean. Revenant, je lui rentrais carrément dedans sans lui demander son accord, sans qu'elle ne le sente venir. Son cri de surprise me faisait dessiner un sourire sadique sur le visage. « T'es bonne putain. » Grognais-je, continuant mes vas-et-viens au même rythme. Son langage m'avait même perturbé au bout d'un moment. C'était la première femme que je baisais au monde qui osait me parler comme ça, d'un langage aussi cru, sans gêne. Ca commençait même à m'amuser, alors, ne répondant rien pour le moment, je me contentais d'exécuter sa demande, glissant sur elle, mon torse sur son dos, mes coups de reins se fis beaucoup plus vifs, brusque et profonds. Sans pouvoir même le contrôler, je donnais une forte claque sur ses fesses, laissant la marque de mes doigts dessus. Prenant à nouveau ses cheveux, je les tirais sans ménagement pour qu'elle puisse se redresser et poser sa tête contre mon épaule, de façon à ce que je puisse avoir pleine vue sur le devant de son corps, ma main de libre sur son sein que je palpais, ses tétons que je tordais et je laissais à nouveau glisser ma main le long de son ventre jusqu'à son sexe pour pouvoir titiller à nouveau son clitoris. Et d'un coup, je m'arrêtais. La poussant brusquement, je me retirais d'elle pour la prendre par le bras et la jeter contre un meuble.Ne sachant si je venais de lui faire mal ou non, et ne voulant pas le savoir car c'était le cadet de mes soucis, je la portais une nouvelle fois, faisant en sorte que ses jambes soient bien écartées pour la pénétrer une seconde fois, d'un mouvement brusque. M'enfonçant au plus profond d'elle, mes vas-et-viens devenaient plus intensifs, plus soutenus et plus pressants. Je la sentais se renfermée sur moi et j'aimais cette sensation. Ma bouche s'accaparait de ses seins, sa putain de poitrine qui en ferait bander plus d'un, léchant ses tétons un par un pour les mordiller ensuite. Levant mon visage vers le sien, ma main vint se poser sur son cou, que je serrais fermement, mais pas assez pour l'étranger, je susurrais à son oreille. « Appelle moi Lapinou.... si tu savais comme ça m'excite. » Je ne la regardais pas, mais je sentais ma mâchoire se crisper. Pour ce que je voyais depuis notre rencontre y'a quelques minutes, j'étais pas franchement sûr qu'elle ne le fasse. « Fais-le! » Mais le désir reprenait le dessus, alors je le faisais plus fort, faisant claquer mes boules contre ses fesses, sentant son pubis coller contre le mien à chaque vas-et-vient. Mes grognements se fient plus rauque, plus présent. J'voulais la baiser toute la nuit, l'entendre gueuler comme une vache jusqu'à ce qu'elle ne vienne et ait reçu ce qu'elle voulait. Je voulais qu'elle fasse ce qu'elle me disait.

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Elle était foutrement bonne cette meuf. Elle avait aussi l'air d'aimer avoir mal. Non pas que ça me dérangeait plus que ça car j'aimais les parties de sexe violente, même si là encore, ce n'était rien comparé à ce que je pouvais réellement faire. Mais je préférais lorsque la femme s'en plaignait, me demandait d'y aller mollo. Ce ne sera sûrement pas pour ce soir mais au moins, j'aurai les couilles vides et ça, c'était le principal pour moi. Je commençais à avoir de plus en plus chaud avec toute cette dose de sexe. Je lui tapais dans le fond, je voulais entrer tout entier en elle, la faire hurler qu'elle ne puisse plus se relever. Ma tête enfouie dans son cou, lui mordant le lobe de l'oreille sous mes coups de reins, je sentais ses ongles s'enfoncer lorsque je lui disais de m'appeler lapinou, insistant sur ce fait. Apparemment, elle n'était pas d'accord avec ça, et au fond de moi j'étais bien heureux qu'elle n'ait pas à le faire. N'insistant pas plus que ça, mes coups devenaient plus violent, une montée de chaleur s'empara de moi lorsque j'entendais Emma venir, ses gémissements plus fort, sentant un liquide chaud couler contre nous, un sourire satisfait sur mes lèvres, je continuais quelques va-et-vient, m'enfonçant plus profondément jusqu'à venir à mon tour, lâchant tout dans la capote, un râle de plaisir sortant de ma bouche. Essoufflé, je me retirais de cette dernière, alors qu'elle marchait vers la salle de bain pour se nettoyer, faisant de même, retirant ma capote, la jetant à la poubelle. Ne faisant pas réellement attention à sa blessure, me demandant même quand est-ce qu'elle s'était faite ça. Me baladant nu, j'attrapais la canette de bière au vol, l'ouvrant pour boire de longues gorgées, lâchant un rot au passage. « J'ai plus de capote. » Je lui réponds aussitôt, buvant une énième gorgée du breuvage blond, frais. « Si t'en as une autre qui traîne. » Je ne savais pas spécialement qu'il y aurait un round 2, je voulais simplement me la taper et rentrer dans ma chariote, pensant qu'elle avait eu son compte mais en fait non. Elle en redemandait cette cochonne. Je n'allais pas me défiler, si elle avait un autre préservatif je pourrais la prendre maintenant car la vision de son corps nue et luisant m'excitait vachement en fait. Je pourrais même lui bouffer le cul que j'en serai tout autant satisfait. C'était pas le genre de femme qu'on laissait sur le rebord d'autoroute sans se la taper jusqu'à ce qu'on s'en lasse.