(#)Sujet: Re: enlève le balai de ton cul, please. | Mer 7 Mar - 4:14
sebastian and emma.« Fais pas ta tapette! »
Il m’avait regardé comme si il avait pas saisi que ce que j’allais faire. Voyons, une seringue dans le cul, ça s’enfile pas aussi facilement. Il pouvait bien faire GENRE qu’il voulait pas mais il avait très réceptif. Et voilà… que c’était comme s’il venait d’avoir soudainement une illumination et là, ça allait plus du tout de s’amuser… Son regard vira au noir il me tira les cheveux, m’enleva ma culotte puis me plaqua fortement la face première contre un mur. Je fus sonnée pendant quelques secondes alors qu’il fouillait dans mon sac pour en sorte une deuxième seringue dont il m'insèra le contenu en me tenant fermement. Il m’avait pas préparé comme je l’avais fais avec lui, je grimaçai un peu alors qu’il était en train de me dire qu’il allait me baiser fort et que j’allais plus être capable de marcher. Je le sentais mal là… c’était pas du fun, c’était de la colère et c’était jamais bon.
« Seb, calme-toi là! »
D’un coup, il me pénétra et je lâchai un cri de souffrance assez fort sortir de ma gorge. La musique du club enterrait ce dernier mais ça empêchait pas les larmes de quitter mes yeux jusqu’à mes joues. C’était féroce, ça faisait mal et la situation faisait en sorte que j’en retirais aucun plaisir. Je pouvais sentir sa colère à travers ses coups de bassin et je m’étais promis que plus jamais j’allais laisser qui que ce soit me traiter ainsi. Ça aurait été facile de le laisser faire ainsi, de le laisser me blesser mais j'avais pris sur moi pour lui piler fortement sur le pied avec mon talon. Je le faisais se reculer en lâchant un juron. Ce petit moment me permit de lui ramasser un coup de poing sur le nez et le pousser sur le petit fauteuil. J’étais tellement en colère qu’il ait osé me faire ça! Je pensais qu’on était des amis et voilà qu’il venait d’avoir été complètement dégueulasse avec moi. J’essuyai mes yeux à la va-vite en me positionnant sur ce dernier, à moitié assist sur le fauteuil et un peu étourdie. Mes deux mains s’enroulèrent autour de son cou en tenant sa tête contre le mur derrière lui. Je voyais noir, je n’en revenais tout simplement pas!!!! Là, je l'empêchait de bien respirer, parce que j’en avais décidé et la force que je pouvais avoir grâce à ma frustration était pas mal assez pour l’empêcher de faire quoi que ce soit. La vulnérabilité mon cher Mckay, en plein comment je m’étais sentie quelques minutes plus tôt.
« Si t’es pour jouer croche comme ça, mange de la marde! Tu peux faire ton frustré autant que tu veux avec tes petites putes de merde mais moi j’demande un minimum de respect et ça toujours été le cas. Si t’es pas capable de me le donner, criss ton camp parce que je me gênerai pour pour t’éclater le crâne sur le mur ou appuyer juste un peu trop fort ici. » dis-je en serrant encore plus mes pouces sur sa gorge pour le faire étouffer un peu.
Je pouvais pas croire que j’avais pris la peine de penser à cette soirée pour qu’il s’amuse et c’était en me violant presque contre un mur qu’il me remerciait! Espèce d’enfoiré de merde quand même! J’enlevai mes mains en voyant son visage se détendre un peu. Les deux on avaient les respirations méga rapides à se regarder sans rien dire… je ne savais pas trop pendant combien de temps. La meth commençait son effet, je le savais car c’était également mon cas. Ça allait le calmer pas mal, mon coeur s’emballait encore plus dans ma poitrine.
(#)Sujet: Re: enlève le balai de ton cul, please. | Mer 7 Mar - 19:58
sebastian and emma. Je ne vis pas arriver le coup de poing en pleine figure que je reçu, me faisant reculer et me tenant le visage. Je m'aggripai de justesse au petit rideau pour ne pas sortir le cul à l'air dans le bar. Je me ramassai assis sur le petit fauteuil afin de reprendre mes esprits. Ça n'allait pas bien du tout dans ma tête. Emma se rapprocha de moi pour me prendre par la gorge et serrer sans aucun doute du plus fort qu'elle ne le pouvait. Bien entendu, ça eut comme effet de bien serrer, ainsi m'empêcher de respirer. Je ne pouvais que la regarder et entendre ce qu'elle me disait. J'avais pas du tout allumer ce que je venais de faire parce que j'avais tout simplement perdu le contrôle. Une vraie dérape! Le fait d'ingérer de la drogue avait carrément fait monter la pression. Sans oublier qu'Emma m'avait entrainer dans cet endroit. Je pouvais bien le dire que c'était sa faute, mais le seul vrai coupable ici c'était moi. Emma relâcha son emprise, je n'avais pas chercher à forcer de mon côté. J'étais frustré, mais je savais que je venais de franchir une limite dont Emma avait été la victime. Tout ce qu'elle espérait maintenant c'était que je m'excuse. Je toussai un bon coup parce que l'air me grattait la gorge un instant. Je remontai ensuite mon pantalon. Le mieux c'était de filer d'ici. Je sentais par contre la drogue dans mon organisme, provoquant chez moi un sentiment de légèreté en même temps d'être en mesure de tout capté autour de moi. Je regardai au sol un instant pour parler à Emma.
- Excuse-moi, je ne sais pas ce qui m'a pris... pfff.. on ferait mieux de rentrer.
Sincèrement, je venais de la violer et je ne pouvais pas croire que j'avais été jusque là. Nos jeux n'avaient jamais été dans ce sens là. Elle ne méritait pas que je la traite comme ça... ni personne d'ailleurs. Elle devait me prendre pour un vrai malade! Je l'avais laissé me frapper, de toute façon c'était la seule façon de m'arrêter. Il y avait des choses encore que je ne comprenais pas toujours venant de moi-même. Je me sentais soudainement surexcité et j'avais extrêmement chaud. Je défis ma chemise, je cherchais de l'air où il en avait pas dans cet isoloir.
- Caliss, ça fait effet!
J'imagine qu'Emma aimait mieux rentrer de son bord, mais pour l'instant je pense que j'allais rester là un instant pour reprendre mes esprits. Je fermai les yeux et m'essuyai le nez comme si un tic nerveux venait de faire son apparition.
- T'es chouette comme fille, si tu veux me frapper encore tu peux, je le mérite vraiment! Tabasse-moi solide!
Je pouvais bien lui proposer de me faire un procès, mais ça c'était pas à conseiller. Ça faisait longtemps que je ne m'étais pas sentis comme ça, c'était comme si je retrouvais enfin cet état euphorique, une force oubliée. Je sais pas si Emma voulait plus d'explications parce que je n'avais pas envie d'aborder ce sujet là avec elle, mais pas du tout.
(#)Sujet: Re: enlève le balai de ton cul, please. | Ven 9 Mar - 0:53
sebastian and emma.Je pouvais pas croire qu’une des seules personnes à qui je faisais confiance dans ce monde de fou venait de me violer, la tête dans un mur. J’avais toujours su que Seb n’était pas un enfant de coeur, qu’il avait le comportement ébranlé comme moi mais jamais je ne l’aurais pensé capable de me faire un truc dans le genre. Et même si j’en étais pas à ma première fois, on s’habituait jamais à ce genre de chose. Il n’y avait rien de plus humiliant, de plus arrangeant pour l’estime et l’amour de soi-même que de se faire baiser sans qu’on le demande, et d’une manière aussi brutale également. Ça n’avait rien à voir avec ce qu’on faisait d’habitude et il savait pertinemment que je n’aimais pas ça… mais il continuait. Car il était en colère, va savoir pourquoi, ça avait été le jour et la nuit en une fraction de seconde. J’avais été sa victime mais je refusais d’en rester une, c’est pourquoi je lui avais pilé fortement sur le pied avant de me servir de cette longueur d’avance pour lui foutre un coup dans la gueule et le perdre l’équilibre jusqu’au sofa où je lui empoignai fermement la gorge en lui faisant bien comprendre qu’il avait été un connard de première. J’allais pas le dire mais Sebastian venait de me faire énormément de peine. Tranquillement, je défis mon emprise en me retirant de sur lui, lui demandant toutefois de s’excuser, c’était la moindre des choses, bien que je ne me doute pas qu’il allait le faire réellement. Je me penchai pour récupérer ma robe et l’enfiler rapidement, disons que j’avais plus du tout envie de rester nue en sa compagnie. Puis, il fit ce dont je me doutais pas : il s’excusa… mais je ne répondis rien car je n’avais plus envie de lui parler, pas du tout même. Et on pouvait comprendre non? En plus de ça, j’étais dans un buzz incroyable qui venait d’être gâché par ce putain de moment dégueulasse. Sebastian manquait d’air et moi, je tenais plus sur place. Je me penchai pour ramasser les aiguilles au sol ainsi que mon sac à main tout en me mordillant les lèvres. Lorsqu’il reprit la parole, je laissai mon sac tomber.
« Ouais, j’suis une fille super qui voulait te faire passer une soirée super car t’es en train de virer fou à jouer les enfants de coeur. Très belle reconnaissance de m’avoir baiser comme un foutu malade mental. »
Il voulait que je lui défonce la gueule et à peine avais-je fini ma phrase et je lui foutu mon poing très bien placé sur le nez, je devais lui avoir cassé… il se mettait à saigner comme une vraie chute. Partout sur ses vêtements. Pendant ce temps, j’en profitai pour ramasser mon sac à main ainsi que son trousseau de clés qui reposait au sol. Il était trop occupé par son nez pour s’en rendre compte mais je quittai l’isoloir avec le tout. Me voyant ébranlé, Steve me demanda si je voulais qu’il lui pète la gueule. Je secoua négativement la tête.
« Je m’en ai déjà chargé. Il va s’occuper de payer. »
C’est d’un pas énergique que je quittai avec la voiture de Sebastian, passant un coup de fil rapide à quelques uns de mes contacts. Une nouvelle voiture comme la sienne, ça ne me prit pas 20 minutes de la vendre sur le marché noir. Après tout, c’était une voiture volé hein, je pouvais pas l’afficher n’importe où. En un rien de temps, j’avais une tonne de frics dans les mains et sa voiture était dans un gros conteneur prêt à se faire envoyer je-ne-sais-trop où. C’était une belle vengeance oui, mais j’avais encore de travers au fond de la gorge le geste qu’il m’avait fait. En plus de ça, j’étais totalement high encore. Je ne pouvais pas rentrer chez moi ainsi, un plan pour qu’il réalise ce que j’avais fait et qu’une autre crise de colère lui prenne. Faut dire que pour la peine, j’avais un peu peur de lui maintenant. Je décidai donc de me rendre ailleurs pour la nuit.
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