sky adams & chad tate.  

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Ça y est, c’était le temps pour moi de me lancer. Ça faisait pas loin d’un an que ça durait, que j’étais la conne qui ne savait pas sur quel pied danser et ma conversation avec Edward, ainsi que mon petit moment avec lui m’avait fait ouvrir les yeux sur certaines choses. J’avais terriblement peur oui, car je savais que j’étais sur le point de sauter dans l'inconnu, et peut-être même de me ridiculiser mais je me disais que si je n’y allais pas, j’allais éventuellement regretter. Je ne savais pas du tout ce qui m’attendait en me pointant chez Chad, à court et à moyen terme mais je me disais que j’avais besoin justement de ça dans ma vie : de sortir de ma zone de confort, de vivre de nouvelles choses. Je m’étais cloisonnée longtemps et peut-être qu’à l’intérieur de moi, j’avais besoin de me détacher de mes habitudes un peu. J’avais toujours su que Chad était bon pour ça avec moi, dès le tout début et il l’était encore, j’étais certaine. C’est donc, assez tard dans la soirée, je me rendis chez lui, sans même savoir s’il allait être présent. Je savais très bien ce que je voulais dire mais je ne pouvais pas garantir de quelle façon tout ça allait sortir. Me connaissant, et sachant à quel point j’étais stressée, ça allait probablement être une catastrophe en fait.

C’est le coeur battant à la chamade que je me dirigeai vers la porte de son appartement. Prenant une grande respiration avant de cogner. Mon dieu, allais-je m’évanouir? J’y pensais sérieusement et la crainte était là! Au bout de quelques secondes à peine, le jeune homme m’ouvrit la porte, bien naturellement surpris de se retrouver en face de moi. Aussitôt, je me lançai : « Ok je sais, c’est bizarre mais laisse-moi parler jusqu’à la fin... » Bon, c’était légèrement agressif tout ça, même pas de bon jour, ça devait être le stress qui faisait en sorte que je voulais aller droit au but. « J’ai pensé… et ça fait longtemps que je pense.. crois-moi, je suis dans ma tête depuis trop longtemps maintenant, à me rejouer nos moments ensemble, à tout ce que tu m’as dis pendant que moi, je savais pas trop où me placer par rapport à tout ça, à hésiter, à te faire mal, à nous faire mal en fait… et je m’en veux encore d’avoir été cette foutue idiote parce qu’au fond j’me rends compte que j’ai envie d’être avec toi. Du moins j’ai… j’me dis que j’suis incapable de pas ressentir quelque chose pour toi et j’ai envie d’essayer, j’ai envie de voir où ça peut nous mener tout ça. J’ai terriblement peur mais… voilà je peux pas m’arrêter de penser à tout ça et… j’ai plus envie qu’on soit indéfinie, j’ai envie qu’on soit nous… et qu’on soit bien. » J’avais dit tout ça tellement rapidement, tellement que je dû reprendre mon souffle à la toute fin. Je ne savais même pas s’il avait tout entendu ou même comprit ce que je venais de lui lancer à la figure. « Dis-moi qu’il n’est pas trop tard… » soufflais-je, pour finir en soutenant son regard, l’air inquiète.
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Mine de rien, ça en prenait du courage pour se rendre chez Chad afin de lui ouvrir mon coeur. J’avais trop longtemps hésité, j’avais trop longtemps pas su quoi faire et voilà que maintenant, je me risquai à lui proposer qu’on tente quelque chose tous les deux. C’était vraiment l’inconnu, ça me foutait la trouille mais je savais bien que si je n’essayais pas, j’allais regretter toute ma vie d’être passé à côté de lui. J’avais envie de vivre de nouvelles choses et j’avais envie que ça soit avec lui! Je lui avais fait un petit discour. un pied de sa porte pendant qu’il me regardait, la surprise et le choc plein le visage. Je me demandais s’il était trop tard, s’il m’en voulait beaucoup ou bien va savoir, il ne ressentait plus rien pour moi mais je fus soulagée que ça ne soit pas le cas. Il m’invita d’abord chez lui m’expliquant en premier lieu à qui était le deuxième chien qui n’était pas Jack. La jeune femme prénommé Joy que j’avais pu voir sur son instagram était finalement sa coloc’ et donc, il ne devait rien se passer entre eux comme j’avais pu penser. C’était soulageant. Je trouvais mignon Chad à chercher ses paroles, je l’écoutai attentivement alors qu’il avait du mal à terminer concrètement une phrase. Je compris toutefois l’essentiel.  « Promis, on est honnêtes l’un envers l’autre. C’est la base quoi et je veux aussi que tu m’en parle si t’es pas bien avec quoi que ce soit. » Il s’était peut-être imaginé des choses me concernant et j’allais peut-être le décevoir aussi au final, sait-on jamais! Je voulais pas qu’on fasse semblant : je voulais que ça soit simple et vrai, tout simplement.

Après quelques caresses à mon ami Jack, très content de me revoir, visiblement, je me laissai prendre dans les bras de Chad, le serrant très fortement à mon tour. Son odeur m’avait manqué, comme tout lui en entier quoi! « Ouais, désolée d’être venue aussi tard… j’ai pas trop réfléchie » Disons que l’heure avait été qu’un simple détail lorsque j’avais eu ma bonne dose de courage. Le jeune homme m’informa qu’il m’avait cru à Londres puisque je n’avais pas répondu à son dernier SMS, envoyé plus tôt. « Non, en fait j’étais en train de faire les 100 pas dans ma chambre pour me donner le courage de venir ici! » lâchais-je en levant les yeux au ciel. Je jetai un coup d’oeil au dessin que je lui avais fais sur son bureau en souriant. J’étais contente car j’y avais mis beaucoup de temps et ça semblait lui plaire. C’était pas le meilleur cadeau de Noël qui soit, mais il venait du coeur! « J’y vais toujours! Je pars demain en après-midi seulement. » lui expliquais-je alors, Colton avait voulu passer du temps avec Eliott avant notre départ et je ne pouvais pas empêcher mon fils de voir son père non plus! Même si ça allait pas très bien entre Colton et moi. Chad m’informa qu’il acceptait de me laisser partir, à condition que j’accepte de bien vouloir dormir avec lui ce soir. Naturellement, mon sourire s’élargit aussitôt en penchant ma tête un peu contre mon épaule. « Oh, il se pourrait que j’espérais fortement cette invitation et que mon sac avec mes vêtements et tout… attend dans ma voiture. » lâchais-je en levant les yeux en l’air avant de rire avec lui. « Je reviens!!! » ajoutais-je, soudainement bien heureuse en quittant son appartement en vitesse pour courir jusqu’à ma voiture et revenir tout aussi rapidement. « Bon, est-ce qu’on peut s’embrasser maintenant? » Oui, ça avait le don d’être clair et je lui laissai même pas le temps de répondre que je m'approchai de lui d’un pas décidé. « Tu sais quoi? Pas le peine de répondre, j’ai décidé que tu étais consentant! » Je ris avant de lui sauter dans les bras pour l’embrasser à pleine bouche, le laissant me soulever du sol pour enrouler mes bras autour de son corps. Il me rendit mon baiser avec passion. Comme je pouvais me sentir bien!

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J'avais encore du mal à réaliser de qui venait d'arriver. J'avais passé une année entière à aimer cette femme à moitié en secret. Elle le savait, pour ainsi dire, mais je ne montrais pas la moitié de tout ce que je pouvais bien ressentir à son égard. J'avais tout essayé, durant cette année. Elle avait commencé par la fusion de nos corps, tout de même, avant que je ne sache qu'elle était en fait mariée. Après ça, j'avais refusé de la toucher à nouveau par respect pour son mari, même si ce n'était pas l'envie qui m'en retenait. Elle m'avait toujours dit qu'elle ne savait pas, mais qu'elle ne pourrait jamais me perdre. Moi, comme un con, je m'étais laissé embarquer dans cette histoire de "on sait pas ce qu'on est mais on est bien à deux" et je m'étais fais souffrir comme jamais. j'avais eu de sacré discussion avec mon entourage, que ce soit avec James, Dani ou même Joe. Cette dernière avait été celle qui m'avait ouvert les yeux et il y a quelques semaines de cela j'avais décidé de dire à Sky que je n'en pouvais plus de souffrir et de l'attendre ainsi pour n'avoir rien en retour et que je souhaitais mettre un terme à tout cela. Tu parles. ça n'a pas marché du tout. C'était pire. pourtant, j'avais même essayé d'aller à l'autre bout du monde pour l'oublier, cet été, et ça n'avait déjà pas marché. Enfin, j'avais même décidé de regarder les autres femmes et je m'étais retrouvé au lit plusieurs fois avec une seule femme en réalité qui était ma colocataire Joy. Pour moi, il n'y avait rien de plus que cela. On était très amis, on se confiait tout et n'importe quoi, on allait courir ensemble, on sortait les chiens, on faisait les courses, on sortait en boîte et de temps en temps ça finissait au lit... Je pensais peut-être que c'était ma manière d'oublier Sky. Je me persuadais d'y arriver, d'y parvenir et pourtant, Sky devant moi là en cette heure tardive à me dire qu'elle a envie d'essayer que je lui manque itout itout, je ne pouvais rien lui refuser, encore une fois. A sa simple vue je recommençais à être celui qui ferait n'importe quoi pour elle, qui donnerait son rein, qui passerait des journées entières à lui construire un monde parfait, qui la câlinerait, qui la regarderait sourire, qui la ferait rire.. Enfin Chad amoureux de Sky, quoi. Je souriais comme un idiot, en lui disant tout de même le fond de ma pensée. je ne voulais plus qu'on se cache quoique ce soit, je voulais qu'on soit honnête l'un envers l'autre si quelque chose n'allait pas, et surtout je voulais qu'elle dorme avec moi avant de partir pour Londres le lendemain. Elle me fit rire quand elle m'annonçait que c'était prévu, qu'elle y comptait bien. Elle partit dans sa voiture et je n'eu pas encore le temps de me rendre compte de la situation qu'elle était revenue et me réclamait un baiser. Et plutôt deux fois qu'une, je n'eu le temps de rien dire qu'elle était déjà perchée à mes lèvres, bras autour de mon cou et que je la portais contre moi. J'avais l'impression de revivre. Mon cœur battait à nouveau. Ses lèvres sur les miennes eurent l'effet d'un véritable feu d'artifice. Tout ce que j'avais enfoui en moi jaillissait de nul part. Je la serrais contre moi, fermant la porte à l'aveugle derrière elle. J'étais heureux, à l'instant précis, et je pouvais le dire. Je souriais comme un idiot. je n'arrive pas à réaliser soufflais-je contre ses lèvres avant de les reprendre en otage. Je prenais son sac à l'aveugle, la portant elle aussi, j'allais le poser dans ma chambre en fermant la porte derrière nous. tu m'as tellement manqué lui soufflais-je toujours contre ses lèvres alors que mes baisers se faisaient plus longs, plus haletants. tu es tellement belle continuais-je la posant sur le lit doucement, ne quittant pas ses lèvres pour autant. Mes mains baladèrent alors doucement au dessus de ses vêtements pour se faire un chemin vers sa peau nue de ses reins auxquels je m'agrippais doucement pour la garder contre moi. Ma respiration devint plus forte. J'avais juste envie d'elle, maintenant. J'avais juste envie de lui prouver que je l'aimais encore et que je ferais tout pour que ça fonctionne.

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Tout se passait bien finalement. Tant de temps à stresser de sa réaction, à l’éventualité où il allait me dire que ce n’était pas possible, qu’il ne voulait plus de moi ou bien qu’il avait quelqu’un dans sa vie finalement. Il faut dire que ça aurait très pu être possible sachant que techniquement, ça faisait maintenant près d’un an qu’on avait couché ensemble pour la première fois. C’était au jour de l’an, l’an dernier que l’inévitable s’était produit, que j’avais été infidèle oui, mais qu’on avait assoupi ensemble, une passion qu’on faisait grandir depuis longtemps déjà. Les mois avaient passés et émotivement, rien n’avait été facile : autant pour lui que pour moi. Entre retrouvailles, séparations, questionnements… j’avais finalement envie de nous laisser une chance, de voir ce que la vie avait à nous offrir en tant que « nous ». J’en étais venu à la conclusion que je m’en voudrais pour toujours de ne pas avoir été jusqu’au bout avec cet homme, avec qui je me sentais si bien. Cet homme qui dès le début de son entré dans ma vie, avait su me faire sentir bien, me faire sentir moi. J’avais besoin de vivre de nouvelles choses et c’était avec lui que j’avais envie de vivre tout ça. Pour mon plus grand bonheur - TRÈS GRAND BONHEUR - Chad semblait tout aussi d’accord avec moi, sur ce que je lui disais, sur mon envie qu’on tente tous les deux d’être ensemble, de créer une belle petite bulle d’amour où on allait être bien, où on allait se construire un petit truc rien qu’à nous.  

On m’invita à passer la nuit ici, et c’était tout ce que j’espérais. Ce fut donc bien heureuse que je quittai le beau jeune homme - que quelques secondes à peine - pour aller chercher mon sac de vêtement de d’effet personnels dans ma voiture. Il faut dire que j’étais préparée à l’éventualité que ça soit positif… et puis, si ça ne l’avait pas été, ça aurait été bien dévastée que je serais retournée chez moi. Mais là c’était pas le cas!!!! Je retournai bien rapidement vers Chad pour lui sauter dessus avec grand espoir qu’on allait pouvoir s’embrasser, se coller et ne plus se séparer. Je fus soulever du sol alors que mes lèvres vinrent bien amoureusement se joindre aux siennes pour ne plus les quitter. Tout doucement, ce dernier m’apporta vers sa chambre, fermant la porte derrière nous d’un petit coup avec son pied. J’avais ce sourire débile sur les lèvres qui ne voulait plus quitter mais je pensais bien que c’était ça, un vrai moment de bonheur. « C’est dingue hein? j’arrive pas à le réaliser non plus. Tu devrais peut-être me pincer! » dis-je en souriant contre ses lèvres avant de le sentir me pincer une fesse, j’éclatai de rire avec lui. « Ok, t’es bien là… c’est bien réel! »  Ce dernier affirma que je l’avais manqué et c’était tellement réciproque, j’étais d’ailleurs bien triste de devoir le quitter dès le lendemain pour plusieurs jours mais là, il ne fallait pas penser à ça, nous étions ensemble et on était tellement bien! Chad me posa doucement sur le lit, prenant place au-dessus de moi pour continuer à m’embrasser, laissant glisser ses mains sur mon corps.  J’avais des frissons qui me traversaient le corps au complet, c’était définitivement la meilleure sensation qui soit!  « Je suis tellement heureuse d’être là avec toi! » chuchotais-je pendant que ses lèvres se perdaient à ma joue, puis jusqu’à mon cou… bordel, il allait me tuer! Je laissai un soupir de bien être en fermant les yeux, glissant mes mains le long de son dos, dans son t-shirt. T-shirt que je ne voulais définitivement plus voir sur lui et dont je m’occupai de retirer pour balancer plus loin dans la chambre, prenant l’initiative d’inverser les positions pour me retrouver par-dessus lui. « C’est un beau tableau que vous m’offrez là monsieur Tate! » déclarais-je en faisant parcourir mes lèvres sur son torse bien chaud, bien musclé. Je le trouvais tellement beau, tellement sexy que j’avais envie de le toucher partout, de l’embrasser partout et de sentir chaques parcelles de sa peau contre la mienne.  Je me redressai au bout de quelques baisers, retirant mon t-shirt sous son regard admiratif, me faisant sentir comme si j’étais la plus belle chose qui soit, qu’il avait eu la chance de poser ses yeux dessus. Je souhaite à toutes les femmes de ce monde de se faire regarder comme ça au moins une fois dans sa vie, c’était spécial! Toujours ce foutu sourire sur le coin des lèvres, je me penchai vers lui pour capturer ses lèvres de nouveau, détachant son pantalon au même moment dans le but de  glisser ma main dans son boxer et le caresser doucement. Sa respiration augmenta considérablement, me donnant envie de plus c’est pourquoi j’entrepris de descendre son pantalon et son boxer pour commencer à lui faire du bien avec ma bouche. Rendu là, j’espérais bien que sa coloc dormait et qu’elle n’entende pas ce qui se passait dans la chambre ici, je pouvais pas garantir être en mesure de contrôler les bruits suspects.  


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C'est au lit que tout cela finissait, évidemment. Elle m'avait manqué comme jamais et j'avais juste envie d'elle, maintenant. je voulais lui faire sentir combien elle était importante pour moi, combien j'étais heureux qu'elle soit ici avec moi maintenant. Rien d'autre. Je fermais la porte de ma chambre derrière moi. Les murs étaient assez épais je pense et la chambre de Joy assez loin pour ne pas qu'on la réveille. Je pensais pas vraiment à ça, là tout de suite. Je l'embrassais sans m'arrêter, après que nous nous soyons dis tout ce qui avait à être dit. Je savais que le lendemain me séparait d'elle et qu'il fallait que je profite maintenant. Je le faisais comme il le fallait. Je la serrais contre moi, la faisant tomber sur le lit. Elle se débarrassait rapidement de mon tee shirt qu'elle envoyait à l'autre bout de la chambre. Là, elle prit le dessus. je souriais, la regardant faire et me faisant un petit commentaire qui me fit rire. Elle commençait à embrasser mon torse qu'elle venait de commenter et fila sa main sous mon boxer. Ma respiration se fit forte, c'était bon. Faut dire, vu comme il était tendu elle n'avait pas grand chose à faire. Elle retira à son tour son tee shirt, se dévoilant en sous vêtement. Elle était belle, tellement belle que j'en mourrai. Je la regardais avec ce regard que j'avais perdu depuis la dernière fois, qui me faisait du bien. Je re-profitais de son corps, de ce magnifique corps que je n'avais pas vu depuis la dernière fois. Je n'eu pas le temps de lui dire qu'elle était belle qu'elle m'embrassa, qu'elle retirait mon pantalon, mon boxer et s'emparait de mon sexe entre ses lèvres. Je lâchais quelques râles, ne pouvant m'en empêcher. Là, je voulais lui rendre la pareille. Si elle continuait de toute façon, vu mon niveau d'excitation, je cracherai dans sa bouche. Ce n'était pas ce que je voulais. Je voulais lui faire l'amour. Avant ça, je décidais quand même qu'elle méritait une autre gâterie. Je me redressais, attrapant doucement son visage que je venais kidnapper ses lèvres. Je vins attraper ses jambes pour les mettre autour de mes hanches. Nous nous retrouvions assis l'un en face de l'autre. Je l'embrassais comme un fou, lui montrer combien ce qu'elle venait de faire était bon. Puis, je la faisais basculer à son tour, caressant ses seins au passage avant de retirer ce qui restait dessus. J'embrassais, je caressais sa poitrine avant de m'attaquer au bas. Je caressais son sexe par dessus ses vêtements afin de sentir la chaleur qu'il émanait et je m'en débarrassai très vite. qu'est-ce que tu es belle soufflais-je, me retrouvant face à son corps nu. Je déposais mille baisers sur son ventre avant de m'immiscer dans son intimité. Je lui donnais une de mes mains à mordre quand je sentais que ses cris se faisaient entendre. Je sentais bien sous ma langue qu'elle était aussi excitée que je l'étais. Je le faisais plusieurs minutes avant de relever la tête, avec un sourire au bord des lèvres. viens là toi soufflais-je en me frottant la bouche rapidement, l'attrapant pour qu'elle se redresse et se retrouve dans la même position que tout à l'heure. C'est nos torses collés, assis l'un contre l'autre que je la pénétrais. Une main derrière sa fesse pour la guider dans mes va et vient et l'autre dans ses cheveux, je respirais mal tellement c'était bon. Je l'embrassais sous tous les angles, ne me lassant guère de ses lèvres auxquelles j'avais tant rêvé ces nuits où j'étais séparé d'elle. Je la laissais tomber en arrière au bout d'un moment et j'avais une vue extraordinaire sur son corps alors que je continuais mes va et vient et qu'elle était, tête en arrière, haletante. J'étais doux et violent à la fois, tendre et sincère. Je revins sur elle pour la regarder gémir, jouir, lui faire face, l'embrasser pour étouffer ses cris. C'était tellement bon, j'allais jouir à mon tour. Sky... soufflais-je alors que c'était le dernier round. Je lâchais des râles en sentant que ça venait, la serrant contre moi. On ne faisait qu'un, enfin.

Nus l'un contre l'autre, je la serrais contre moi, son dos contre mon torse. J'avais mon nez niché dans ses cheveux, je m'en droguais. Dire que toutes les nuits je m'efforçais de t'imaginer dans mes bras, mais maintenant tu es là. soufflais-je alors. Je ne me rendais même pas compte que je n'avais pas laissé de lumière mais, j'étais tellement apaisé que je fermais les yeux presque dans la seconde qui suivait pour dormir jusqu'au lendemain matin. Je me réveillai et je lui rapportai le petit déjeuner au lit. Je caressais sa joue pour la réveiller tendrement. Quand ses yeux s'ouvraient, j'embrassais tendrement son front. Bonjour toi. Je sais que tu es pressée mais je me suis dis que tu pourrais au moins t'offrir un petit déjeuner... lui soufflais-je alors doucement pour ne pas la brusquer. Je caressais sa joue, elle était tellement mignonne à se réveiller doucement. tu vas me manquer, toi lui soufflais-je alors. je me rendais compte que je ne l'aurais plus pendant plusieurs jours. Ca me faisait bizarre, maintenant qu'elle était à moi. J'acceptais tout de même, évidemment, je ne l'empêcherai pas de partir. Je fronçais alors doucement les sourcils. ce n'était pas un rêve, hmm? lui demandais-je alors doucement, un peu plus sérieusement. J'avais rêvé tellement de fois à une soirée pareille que j'avais peur qu'encore une fois... ce fut ainsi.

sky adams & chad tate.  

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Tant d’amour ressentie, il fallait absolument l’extérosié les deux ensemble. C’était comme si on s’était retenu tellement longtemps que ça allait de soi, après de telles révélations communes de se sauter dans les bras avec la bonne intention de plus se décoller jusqu’au lendemain matin. Entre baisers et caresses, le moment était parfait. La chaleur de nos corps ensemble, le symbiose du moment de se retrouver ainsi, je ne pouvais pas demander mieux et je ne voulais pas non plus être ailleurs que dans ce lit avec lui, à se donner de l’affection, à se déshabiller et à profiter de ces belles retrouvailles. J’étais bien, et je sentais que je prenais la bonne décision car j’avais réellement envie de vivre quelque chose avec lui, et je me donnais enfin le droit de le faire. On se retrouvai bien rapidement nu, à se faire du bien l’un l’autre avant d’en venir à se répondre par nos deux corps dans un tout complètement dingue. Il savait comment s’y prendre pour faire monter le plaisir à son comble, pour me faire perdre complètement la tête. Assise sur lui, je bougeais du bassin, soutenant parfois son regard, d’autre temps, sentant mon corps se crisper au fur et à mesure que nos vas-et-vient augmentaient. La position était incroyable, je le sentais bien en moi et je ne voulais pas du tout que ce moment ne s’arrête. « C’est… trop bon. T’arrêtes pas!  » soufflais-je, haletante en sentant mon coeur tellement battre fort que j’avais l’impression qu’il allait sortir de ma poitrine ou finir par s’arrêter complètement! Sa façon de me prendre, de me faire sentir à la fois désirée, désirable avait le don de m'exciter à un point où je ne pensais pas l’avoir déjà été dans ma vie. Heureusement qu’il vint plaquer ses lèvres contre les miennes pour étouffer mes gémissements puisque rendu là, c’était impossible pour moi d’arriver à me contrôler, surtout en tapant le 7ième ciel de cette façon.

Complètement épuisée mais incroyablement comblée, je me laissai tomber sur le matelas, le petit sourire sur les lèvres en sentant mon bel homme se coller contre moi, contre mon dos pour me serrer bien fort. J’adorais son parfum, j’adorais sentir son corps si parfait contre le mien. « Je suis là et je reste là… tant que tu me le permet! » dis-je en souriant, les yeux fermés tout en caressant son bras autour de mon ventre. Je sentis ses lèvres venir se nicher à mon cou pour me donner un peu d’affection à coup de bisous. C’était une belle façon de tomber endormie, ainsi… juste l’un contre l’autre sans tracas pour une fois… que du bonheur! En parlant de bonheur, avait-il sérieusement quelque chose de mieux que de se faire réveiller avec un petit-déjeuner au lit. « Wow… je me sens comme une vraie reine là! » déclarais-je, toute endormie en me passant les mains sur les yeux avant de recevoir un gros bisou sur le front qui me fait bien sourire. « Je suis pas si pressée que ça… j’ai encore le temps… surtout pour ce bon petit repas là… oh et pour toi aussi hein! » ajoutais-je, pour rigoler… comme si je l’avais oublié dans l’équation : impossible! « J’ai la solution alors : viens avec moi! » Comme ça, on allait pas se manquer! Non? Bon ça semblait si facile dit comme ça mais c’était un peu fou comme décision, non? Et puis… il devait avoir des plans et ma famille se poserait des questions. Bon ok… fallait pas précipiter le tout! « Non, c’est pas un rêve et heureusement! Maintenant, viens ici et laisse-moi profiter de toi un peu! » Je le tirai pour qu’il se couche à mes côtés et je grimpai dessus en un rien de temps pour l’attaquer de bisous un peu partout. Bon, j’étais une petite toute nue là, à l’attaquer mais monsieur avait pas l’air de se plaindre non plus! Après ce petit moment d’affection, je me résignai à me rasseoir confortablement dans le li, ramenant le drap pour cacher un peu ma nudité. « Bon, c’est le temps de goûter à tout ça!!! Ça l’air délicieux! J’espère que tu vas m’aider car je finirai jamais ça toute seule! » dis-je en apportant une fraise à ses lèvres pour le faire croquer en le regardant attentivement. J’étais incapable de décrocher mon regard de sur lui, je le trouvais terriblement sexy! « Alors raconte-moi tes plans pour les fêtes. J’imagine que tu vas fêter Noël avec ta soeur? » demandais-je en le regardant, bien intéressé pendant que je croquais dans mon super petit-déjeuner tout fabriqué avec amour!

sky adams & chad tate.  

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Le lendemain matin, je me levais et je la regardais longtemps. J'avais vraiment du mal à y croire. Je me refaisais la scène, Sky débarquant chez moi pour me dire qu'elle pensait à moi et me demandait une chance d'essayer malgré tout. Sur le coup, je n'avais pas su réagir. Cela faisait plusieurs jours que je tentais de l'oublier. Néanmoins, il était certain que j'étais loin du résultat. La preuve était qu'à peine avait-elle apparue sur le devant de ma porte que mon cœur se remettait à faire son cirque. Je ne lui avais pas dis non, ça c'est certain. Et j'étais là, Sky endormie, nue, près de moi. C'était comme un rêve. Je finissais par me résigner à la quitter quelques minutes pour aller préparer un petit déjeuner. Quand je revenais avec, elle se réveillait doucement. Je souriais parce qu'elle était incroyablement adorable, belle. On s'était dit que ce n'était pas un rêve, que c'était la réalité. Je m'étais déjà dis en la regardant qu'elle ne pouvait pas être réelle. Pourtant, elle était bien là. Elle me remerciait pour le petit déjeuner, me disant qu'elle n'était pas si pressée que ça. Cela me rassurait car je n'étais pas tout à fait prêt à la laisser s'en aller. Surtout que je savais que je ne pourrais pas l'accompagner à l'aéroport, puisqu'elle irait sûrement avec Colton en tout cas, elle passerait par la case Colton et ça c'était exclu. Elle me proposait de venir avec elle. Je trouvais ça adorable mais je n'abandonnais jamais personne moi et j'avais promis des tas de trucs à Joy. Puis je travaillais. J'aurais adoré. lui fis-je alors en l'embrassant sur la joue tendrement. Sa proposition me touchait tout de même, elle y pensait et c'était important pour moi. Elle me demandait de venir avec elle, histoire de profiter. Je souris et je me laissais faire. Elle me tirait contre elle et mangeait alors ce qui se trouvait sur le plateau. Evidemment que j'allais l'aider, ce n'était pas que pour elle. Nous n'étions ensemble que depuis moins de vingt quatre heures mais je connaissais déjà beaucoup d'elle : son estomac de moineau en faisait parti. Mais avant ça, elle m'attaqua tout à coup de pleins de bisous, nue sur moi. Dur de ne pas recraquer comme la veille, c'est vrai. Mais je trouvais ça adorable, je riais. Son dernier baiser fut sur mes lèvres et je le faisais durer un peu. Je lui souriais alors qu'elle se remit assise contre le bord du lit pour manger. Je lui souris, mangeant aussi. Elle ne me lâchait pas du regard. Faut dire, je ne la lâchais pas du mien non plus. Je profitais au mieux de ces moments. Elle engagea alors la conversation en me demandant ce que je faisais pour Noël, me parlant de Dani. Je fis oui de la tête. Hmmhmm oui on le fait avec Dani le 25. J'ai hâte de revoir Sara, sa petite fille. Je pense que je ne verrais pas son mec à elle vu la dernière fois.. Je sais pas comment je vais rattraper ça! fis-je alors repensant à l'énorme dispute qu'on avait eu, mais ce jour-là c'était une vengeance pour ma sœur. Je n'avais pas supporté ce que Dani t'avait dit et disons que... je me suis un peu vengé.. depuis il refuse un peu de me voir. fis-je alors en souriant. Je levais les épaules. m'enfin, je me rattraperais et bientôt ce sera un truc dont on parlera en riant! lui dis-je alors en prenant un pancake. Sinon le 24 et le 31 j'ai promis à Joy de le faire avec elle. Je ne sais pas ce que Joe fera, elle, mais on se verra après, comme toujours. En attendant, Joy n'aime pas trop les fêtes normalement et je compte bien changer ça. Elle n'a pas eu une enfance géniale, la pauvre. M'enfin.. moi non plus! Mais Noël ça reste important, faut pas gâcher ça, t'es pas de mon avis? lui fis-je alors en souriant. J'avais de la peine pour Joy. Je voulais fêter Noël et Nouvel An avec elle parce que je savais que sinon, elle ne ferait rien de particulier et ne le fêterait pas. C'était horrible de penser ça, je ne pouvais pas la laisser faire en tant qu'ami. Tu te souviens du nouvel an de l'année dernière? fis-je alors à Sky, souriant doucement. Perso, je m'en souvenais très bien. Je n'oublierais jamais ça.

sky adams & chad tate.  

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Je me sentais comme une vraie princesse, avec ce petit-dej au lit… et que dire de l’homme qui venait me l’apporter! C’était difficile de ne pas avoir envie de le coller et de rester ainsi à juste lui donner des bisous et profiter de ce beau moment avec lui. Je me laissai aller à un peu d’affection avant de me résigner à manger, bien qu’il ne fallait pas trop me tordre le bras : ça avait l’air délicieux et.. ce l’était! Ça aurait été bien qu’il vienne avec moi à Londres mais c’était trop rapide, trop précipité et ce dernier avait visiblement des plans aussi de son côté, ce qui était normal. D’abord avec sa soeur, bien entendu mais également avec cette Joy dont j’avais entendu parlé que depuis hier… mais que j’avais vu à quelques reprises sur son instagram, ils avaient l’air de bien s’aimer tous les deux. Même que j’avais pensé pendant un moment que c’était sa nouvelle petite-amie. Visiblement, non… car ça semblait être moi maintenant, sa petite-amie, hihi. « Je suis bien d’accord, c’est un peu triste de se retrouver seule dans ce temps de l’année. » J’avais un petit truc de travers dans la gorge - non pas un morceau de fraise ou quoi que ce soit mais dû à ce qu’il m’avait dit concernant la jeune femme. Je me demandais qui elle était, car je n’avais jamais entendu parlé d’elle comparativement à Joe, par exemple. « Et vous vous êtes rencontrés où tous les deux? J’imagine que je vais faire sa rencontre éventuellement puisqu’elle semble vivre avec toi désormais, c’est bien ça? » Est-ce que c’était normal que je trouvais ça un peu bizarre? Non pas que ça me dérangeais, Chad faisait bien ce qu’il voulait mais… j’avais vu des photos de cette femme et elle était carrément belle. C’était comme si je me sentais un peu menacé pour la peine… à travers mes questions, j’espérais me faire rassurer en quelque sorte, je crois. Chad me fit sourire en me demandant si je me souvenais du jour de l’an de l’année dernière. C’est en le regardant pas que je lâchai un petit rire avant de croiser son regard de nouveau. « Comment est-ce que je pourrais oublier? » Ça avait été le début de tout… et au final, à près d’une année plus tard, les choses avaient terriblement changées et voilà qu’on se retrouvait ensemble à vouloir travailler sur notre relation, à vouloir bâtir quelque chose ensemble tous les deux. Je n’aurais probablement jamais pensé que ma vie allait être ça, il y a de ça quelques mois… et j’étais certaine que c’était la même chose pour lui. « Je dois partir bientôt et j’en ai pas envie! » fis-je, suivie d’une petite moue… je déposai le petit-déjeuner, presque entièrement terminé sur la table de nuit dans le but d’attirer le bel homme devant moi, contre moi et l’embrasser. « Et si on profitait entièrement du peu de temps qu’il nous reste? » murmurais-je en venant frotter mon nez contre le sien avant de sourire en même temps que lui. « J’ai trop envie de toi! »  Et hopppppp, je m’occupai d’enlever le sous-vêtement de monsieur alors que mes lèvres ne quittèrent pas une seule seconde les siennes. On se perdit de nouveau dans un vrai moment de tendresse qui nous propulsa tous les deux jusqu’à l’orgasme. Chad savait comment s’y prendre, je ne pensais pas avoir déjà ressentis ce genre de chose autrefois et je sentais que j’allais devenir bien accro - en fait, je pensais bien l’être déjà. « Oh mon dieu... tu vas me tuer! » À bout de souffle, je restai tout contre lui, ne voulant pas du tout que ce moment se termine. « Je veuuuux pas partiiiiiiiiiiir!!!! Je veux rester avec toi ici pour toute la journée… et toute la semaine aussi!  » déclarais-je en enfonçant ma tête dans le creux de son cou, là où ça sentait bon, ça sentait lui. J’étais si faible! Je soupirai. « Ok… pas le choix… » Je venais de me résigner à me redresser pour m’asseoir sur le bord du lit et récupérer un peu mes vêtements au sol et approcher mon sac pour sortir mes nouveaux. Cependant, Chad avait autre chose en tête car ses lèvres commencèrent à se frayer un chemin le long de mon dos jusqu’à mon épaule puis jusqu’à mon cou. Je me pinçai les lèvres se le bien qu’il pouvait me faire, mes yeux se fermèrent automatiquement. « C’est pas juste… » soufflais-je doucement en glissant ma main à l’arrière pour caresser ses cheveux. « Tu me fais beaucoup trop d’effet…. je serai jamais capable de partir Chad, tu dois m’aider! » Je laissai un petit rire, bien que j’avais pas envie de rire, j’avais juste envie de lui sauter dessus à nouveau.

sky adams & chad tate.  

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je profitais de ma petite amie tant que je l'avais avec moi. J'allais bientôt la laisser partir pour Londres pendant presque deux semaines, après une soirée pareille, ça n'allait pas être facile. Je lui avais fais une matinée de princesse. J'avais préparé un petit déjeuner, je la couvrais de bisous, de caresses. Tellement qu'elle avait bien de la peine à s'en aller. On parlait de Joy, mon amie et colocataire. je sentais qu'elle dérangeait Sky, pourtant je voulais que mes deux relations soient compatibles, j'y tenais vraiment. Pourquoi? Parce que je tenais autant à chacune d'elles, simplement. Je lui souris alors qu'elle me demandait si elle allait beaucoup la croiser et comment on s'était rencontré. Elle est très sportive, comme moi. C'est comme ça qu'on a sympathisé, un matin au parc. Nos chiens jouaient ensemble. Elle avait un appartement ridicule pour un prix exhorbitant, alors oui elle est à la maison. Mais on pourra aller chez toi, non? Comme ça, tu ne me feras pas de tête comme ça. fis-je pour l'embêter en caressant son visage et l'embrassant sur le bord de ses lèvres. Elle me proposait de profiter de notre temps ensemble. je souriais et je répondis à son baiser. Tout s'emportait, mes pensées furent prises dans le néant. Je ne pensais qu'à elle, il n'y avait qu'elle. Je la serrais contre moi, je la caressais, je l'embrassais, je la prenais. Je lui faisais l'amour et je l'entendais jouir. Je ne pourrais jamais me lasser de ça. Me rappeler qu'il y avait presque un an tout avait commencé, ça me donnait envie de ne plus la laisser, en effet. Je l'avais, elle était à moi dorénavant. Pourtant, je devrais bien la laisser rejoindre sa famille. Je ne devais pas être égoîste. Pourtant, à peine avions nous finis que je recommençais à la caresser, à l'embrasser dans le dos, l'épaule, le cou. Elle râlait, disant que c'est pas juste et que je devais l'aider. Je ne m'écartais pas pour autant. hmmm je suis désolé mais tu es irrésistible lui fis-je alors passant un doigt dans ses cheveux. mais je ne suis pas égoiste je vais te laisser t'en aller, t'inquiètes pas. je fais juste une intro de ton retour. lui soufflais-je enfin. Je continuais un peu avant de me reculer doucement. pour t'aider je vais me rhabiller un peu. lui fis-je alors avec un petit rire. Il fallait bien la laisser. Cela n'allait pas être facile du tout, mais j'avais déjà fais pire pour elle. J'allais jusque sa voiture avec elle. Elle se retournait et je la tirais vers moi. Je l'embrassais alors comme il le fallait, la serrant, une main dans le creu de son dos. prends soin de toi pour moi. lui soufflais-je alors entre deux baisers. allez, oust fis-je à contre cœur. Je la regardais s'en aller.