edward & elizabeth.

Edward ne voulait plus fuire, il voulait affronter et si il comptait appeler les policiers pour de l’aide, je voulais bien le laisser faire car ça allait faire en sorte qu’il ne soit pas en danger, seul, face à ce fou de Leo. Il m’avait mit dans un état assez intense juste à faire des menaces sur mon mari, je voulais ce dernier en sécurité plus que tout. J’avais de la chance de l’avoir, il était mon petit trésor juste à moi et il était tellement compréhensif. J’avais eu peur de lui dire pour le test de grossesse car à voir le résultat, ça m’avait attristée un peu donc je me disais que ça allait être la même chose pour lui. Si c’était le cas, il ne le montra pas, restant bien optimiste pour la suite. Il disait que l’important c’était d’être ensemble et de s’amuser… et pour s’amuser, ça me resta bien en tête. Disons que je m’étais rapidement laissé emporter par une proximité, allant même jusqu’à informer le beau jeune homme de mon envie de lui.

« Entièrement moi… tu me fais beaucoup d’effet. »

Naturellement, je compris bien rapidement que l’idée était un peu dingue… sachant où on était. La meilleure solution serait de prendre une douche froide, ce qui fit rire Edward avant que finalement, il me fit comprendre son intérêt de faire l’amour, là, maintenant lui aussi. Il s’inquiétait toutefois pour moi dans tout ça.

« Je crois vraiment pas que ça va nuire à mon état. »

J’avais pas mal physiquement, j’avais fais une crise de panique. Bon, oui ok je m’étais évanouie mais je me sentais mieux depuis que j’étais ici. Bref, il savait très bien que j’étais plus attentive que quiconque à mon corps avec les petits problèmes que j’avais. Je n’aurais pas essayer de coucher avec lui présentement si je n’étais pas bien. Je lui fis donc comprendre que tout allait et c’est en souriant que je le regardai se lever du lit pour aller fermer totalement la porte et verrouiller cette dernière. J’espérais bien qu’une infirmière ne tente pas d’entrer entre temps et se demande ce qu’on faisait à verrouiller le truc ainsi. Ça faisait louche un peu. Bref, c’était pas le temps de penser à ça… mon mari revenait contre moi dans le lit pour qu’on se colle, qu’on s’embrasse et que la chaleur continue de monter. Sentir ses mains sur mon corps me faisait complètement perdre la tête, je ne comprenais pas ce désir soudain, bon oui… j’avais toujours énormément envie de lui mais là, ça avait été assez incontrôlable. Edward s’occupa de me retirer ma petite culotte et son t-shirt pendant que je me redressai pour enfin, enlever cette jaquette pas très jolie. Je comptais bien enfiler un pyjama à moi ensuite. Je me recouchai tandis que mon mari me souleva un peu pour me glisser plus au centre du lit, sous lui et continuer les baisers. Le lit était assez petit mais c’était pas vraiment un problème, il y avait de quoi faire. Je me permis de détacher son pantalon pour le descendre du mieux que je le pouvais avec aide et ensuite, glisser ma main à l’intérieur de son boxer pour le caresser un peu. C’était toujours satisfait de voir dans son regard le bien que ça pouvait lui faire, je trouvais ça vraiment sexy, surtout quand je voyais qu’il avait plus de confiance et d’assurance dans ce qu’on faisait tous les deux. L’espace de cet instant, je réalisais même plus où on était. Je n’étais qu’avec lui, qui venait de retirer ses derniers vêtements pour soulever mes fesses afin de mieux se fondre en moi. Mes mains se promenaient à son dos jusqu’à ses fesses pendant que mon bassin venait à la rencontre du sien pour faire monter la cadence et l’intensité de nos respirations également. Mes lèvres se perdaient à son cou alors que d’une main, je décidai de retirer le draps par-dessus nous tellement il commençait à faire chaud. Cette même main se retrouva à attraper fermement le côté du lit lorsqu’un gémissement quitta mes lèvres. Par contre, cette même main venait d’accrocher la télécommande automatique du lit de sorte que le lit se mit à se dresser en position assise. En réalisant ma gaffe, j’éclatai de rire.

« Oh oh, pardon! Attention la gymnastique! »

Il était quand même couché par-dessus moi donc ça le ramena dans une drôle de position. Au moins, il se mit à rire avec moi avant que je ne refasse descendre le lit en position couché et qu’on reprenne où nous étions jusqu’à atteindre un orgasme qu’il fallait contrôler assez discrètement. C’était pas très subtil passer devant une chambre et entendre des gens jouir Toujours contre moi, on s’embrassa bien amoureusement avant que je me glisse sur le côté pour lui garder une petite place et ramenez le drap sur nos corps nus. J’éclatai toutefois de rire contre ses lèvres, ce qui me valu une interrogation du regard de la part d’Edward.

« Oh mon dieu, qu’est-ce qu’on vient de faire là? On est à l’hôpital! » dis-je en riant toujours. « Mais c’était vraiment parfait! Tu es parfait! je t’aime! » ajoutais-je en venant déposer un nouveau baiser sur ses belles lèvres.

Mais ça m’avait fait du bien, ça m’avait encore plus détendu le corps et après m’avoir inquiéter pour lui, je pense que je ne pouvais pas être plus satisfaite de sa présence et de l’avoir avec moi qu’en faisant l’amour ainsi.

« J’ai un peu peur pour demain… je sais pas trop ce qui m’attends avec les docteurs. J’espère qu’il ne vont pas me garder trop longtemps… j’aimerais pouvoir fêter mon anniversaire hors de ses quatre murs… »

edward & elizabeth.

Jamais je ne me serai douter pendant un instant qu'on finirait par faire l'amour à l'hôpital Eli et moi. Je dirais que c'était un peu stressant au début parce que je me souciais de son état, mais aussi qu'une personne entre dans la chambre. J'avais donc fait diminuer les facteurs de stress en lui demandant si ça allait bien et en allant verrouiller la porte. Je dirais que maintenant j'étais bien prêt à vivre un petit moment peu ordinaire avec ma femme. Je m'étais glisser à ses côtés dans le lit pour commencer à l'embrasser et je m'étais retrouvé sur elle pour la suite pour continuer de plus belle. Un lit étroit comme celui-ci, il fallait réduire les gestes, mais on était capable de faire bien des choses plaisantes à l'un et à l'autre. J'aimais sentir la peau d'Eli sous mes mains, je la trouvais magnifique et je dirais que j'étais en train d'oublier tout ce qui se passait autour. Il n'existait plus qu'elle et moi. J'aimais aussi sentir les mains d'Eli caresser doucement mon sexe, ça me faisait vivre de belles sensations et ça augmenta de plus en plus. Nous fîmes l'amour tous les deux dans le lit pendant que nous étions en train de vivre ce moment, on fut arrêter par le lit qui faisait des siennes. Ma femme avait accroché la petite télécommande. Ça nous avait bien fait rire tous les deux sur le coups.

- Tant que tu ne pèses pas sur le bouton pour faire venir l'infirmière ça va...

Nous rîmes à nouveau de ma remarque, ça serait assez malaisant merci qu'une infirmière se pointe et nous vois le cul à l'air. On ne perdit pas de temps pour recommencer là où on fut interrompus. Mes coups de bassins se firent de plus en plus rapides et de plus en plus forts je dirais. J'entends les gémissements discrets d'Eli qui étaient en train de monter en intensité et je pouvais en dire autant pour moi. On restait quand même plutôt correct niveau sonorité. Nous atteignîmes ensuite l'orgasme tous les deux et je dirais que j'étais bien heureux d'avoir vécu ce moment avec elle. Non seulement ça avait un effet relaxant, mais on était réunis tous les deux à nouveau. C'était assez incroyable, mais je dirais que ça faisait changement et on s'était bien amusé aussi.

- Tu es parfaite d'abord! Je t'aime aussi!

Je me collai contre elle pour l'embrasser à la nuque. Je ne voulais pas la quitter! Je voulais rester ici jusqu'à ce qu'elle peut quitter à la maison. On restait coller sous la  couverture tout nus.  Elle s'inquieta ensuite pour la visite des docteurs de demain.

- Ne t'en fais pas avec ça, je suis sûr que tout ira très bien. Tu vas surement sortir en fin de journée demain. Tu vas déjà mieux et il te faut prendre tes médicaments si c'est ce qu'il te faut.

Je n'étais pas pro des médicaments, loin de là même, je les invitais, mais si elle se sentait bien avec eux, c'était elle qui choisissait. Puis maintenant qu'on voulait des enfants, peut-être que le docteur allait lui donner autre chose... Bref, j'espérais que tout rentre dans l'ordre, qu'on ne pense plus à Léo ou à d'autres problèmes.

- Hey... Avec tout ça j'ai oublié de te dire...

Je cherchai ensuite mon boxer au sol et je le remis pour ensuite prendre dans ma poche de jean un papier plié en 4. Je lui tendis le papier qui me félicitait d'être bel et bien citoyen américain. La jolie blonde commença à ouvrir la feuille et lu doucement la feuille et je vis ses yeux s'écarquiller de bonheur.

- Voilà, plus aucun souci à s'en faire! Je peux rester aussi longtemps que je veux ici!

Ça avait été un vrai soulagement parce que sinon on aurait vraiment des problèmes avec l'immigration. Je ne me voyais pas retourner vivre au Canada loin de ma femme... Puis, je sais qu'elle aurait été déçue de moi si je n'avais pas pris la peine de remplir les papiers.

edward & elizabeth.

Je crois que ni Edward, ni moi on s’attendait à se laisser aller ainsi. Disons qu’on avait pas une vie sexuelle très spontanée. Dans le sens où on était surtout très rationnels et on évitait de se lâcher dans des endroits disons… inappropriés. Mais là, je ne savais pas trop ce qui m’avait prit, le coup de l’émotion sans doute, j’avais eu une envie assez soudaine et incontrôlable d’Edward. C’était de l’avoir avec moi, en sécurité… je me sentais bien et voilà quoi… c’était la même chose pour lui donc on s’était permis un beau petit moment d’amour. Malgré le petit arrêt à cause de l’accrochage de bouton du lit, on reprit de plus belle en se disant qu’au moins, c’était pas l’infirmière qui se pointait ici. Mon dieu que ça serait gênant! On s’était jamais fait surprendre jusqu’à maintenant et c’était tant mieux! Je crois que j’aurais envie de me cacher très loin si la situation se présentait un jour. Les jambes autour de lui, je laissai Edward continuer ses va-et-vient plus rapidement et plus fortement, nous faisait bien vite perdre le contrôle jusqu’à l’orgasme. Je pouvais sans aucun doute affirmer que niveau sexe, on était vraiment à des années lumières des débuts de notre relation. Edward avait gagné en expérience et surtout, en endurance… et j’osais espérer que niveau expérience… moi aussi. On resta dans les bras de l’autre à se dire qu’on s’aimait et à se serrer fort tout en s’embrassant. Il y avait rien de mieux que de sentir son corps nu contre le mien, c’était définitivement mon moment préféré de tous les moments qui existent. C’est à ce moment que je lui confiai un peu ma réticence et ma peur à voir les médecins le lendemain. En bon mari qu’il était, il tenta de me rassurer comme il le pouvait.

« J’espère que je vais rentrer demain! J’ai dit à James que j’allais garder Logan le soir… et j’ai pas trop envie de lui dire que je peux pas car je suis à l’hôpital. »

Il va se demander ce que j’ai et de savoir que j’ai des petits soucis d’angoisse et tout, peut-être qu’il arrêterait de me faire confiance pour m’occuper de son fils? C’était ma principale source de revenu… je voulais pas que ça arrive, je voulais garder sa confiance! Soudainement, Edward se leva du lit me faisant dire adieu à la chaleur de son corps. Je me redressai en gardant le draps près de mon corps tout en le regardant fouiller dans la poche de son pantalon. Intriguée, je pris le papier qu’il me tendit pour le lire et aussitôt, un large sourire se dessina sur mes lèvres.

« C’est bien vrai Edward? » Je pensais avoir des étoiles dans les yeux sur le coup et ouiiii il me confirma ne plus avoir de problème d’immigration! « Donc on aura pas besoin de déménager au Canada!!!! » ajoutais-je dans ma joie en brandissant la feuille dans les airs, beaucoup trop heureuse.

Je m’étais redressée à genoux sur le lit, oubliant totalement que je ne portais absolument rien pour approcher Edward de moi et attaquer son visage de pleins de bisous. C’était tellement une bonne nouvelle car ça en apportait une autre aussi.

« Donc on va pouvoir appeler et envoyer ton papier pour que notre mariage ne soit finalement plus suspendu! »

On était mariés depuis août, techniquement… mais au final, c’était que de coeur car légalement, son immigration avait posé problème dans les papiers et tout. Maintenant, c’était une bonne chose de faite! J’enroulai mes bras autour de son cou pour l’embrasser de nouveau et c’est lorsque je sentis ses mains sur mes fesses que je réalisai que… j’étais toujours nue moi Oups! Je débarquai du lit pour indiquer à Edward que j’allais prendre ma douche. Il me donna mon sac avec mes effets puis une fois bien propre, on se recoucha dans le petit lit ensemble. On avait pas beaucoup de place mais c’était pas grave, j’aimais ça être collé contre lui. Le lendemain matin, on nous donna la permission d’aller prendre le petit-déjeuner à la cafétéria, mon rendez-vous avec le docteur Watson étant à 9h30. J’avais décidé d’y aller seule finalement, j’appréciais le fait qu’Edward était prêt à m’accompagner mais il y avait quelques petits trucs que parfois, on aime bien garder pour soi. On partageait pas mal de chose tous les deux, mais ce genre de rencontre… disons que je tenais pas à ce que ça soit particulièrement le cas. Il m’avait donc attendu dans la petite salle d’attente bien sagement et s’était levé en me voyant arriver. Je lui fis un petit sourire en coin et on se dirigea vers ma chambre afin que je puisse ramasser mes trucs et tout lui expliquer.

« Je vais pouvoir partir! On a parlé et je vais devoir venir en consultation une fois par semaine pour un suivi puisque j’ai décidé de ne pas continuer ma médication. Je veux vraiment avoir rien de chimique dans mon corps pour accueillir notre petit bébé. » Je voyais bien qu’au fond, ma décision faisait plaisir à Edward qui lui étant contre la médication. «  Il m’a conseillé des vitamines et quelques produits naturels si je désirais… Pour les troubles anxieux, il m’a dit que ce n’est pas nécessairement génétique d’en avoir mais que ça la génétique peut influencer une plus grande sensibilité à le devenir. C’est surtout l'environnement de la personne qui va rendre cette dernière anxieuse. » ajoutais-je en lui montrant ma feuille avant d’enrouler mes bras autour de lui et posai mon menton sur son torse en le regardant. « Je me suis dis que si toi tu y arrivais sans médication, moi aussi je suis capable. Je vais suivre les conseils que tu as à me donner. Je vais méditer avec toi chaque jour s’il le faut! »

J'étais motivée et j'avais retrouvé vraiment un bon moral! Je me penchai pour prendre mon téléphone et c'est à ce moment que je lis l'article de Nightmare, surtout le passage à mon sujet qui vint me briser le cœur en deux. Je me tournai vers Edward, les larmes aux yeux. Elle était clairement en train de dire à Edward de me faire mourir comme un chien avec la rage quoi...

« Mais comment quelqu'un peut être aussi méchant? Ça se fait pas vouloir la mort de quelqu'un comme ça... et dire que tout le monde va avoir lu ça ensuite... c'est fichu, James voudra plus que je m'occupe de Logan... J'aurai plus d'argent, on pourra plus payer rien je...  » 

Je n'eus pas le temps d'ajouter quoi que ce soit qu'Edward m'avait prit le visage pour que je le regarde... ok, j'étais même pas sortie d'ici que je paniquais de nouveau... ça allait pas être facile tout ça.

edward & elizabeth.

Elizabeth s'en faisait pour sa garde de ce soir, elle ne devait pas s'en faire. Je savais qu'elle ne voulait pas décevoir, mais là, elle devait s'arrêter un instant pour prendre du mieux. On ne pouvait pas prendre soin des autres si on allait pas bien avant tout. Je me permis donc de dire à Eli de prendre ça mollo.

- Eli, tu as le droit d'être malade des fois et je suis sûr que James va comprendre. Il va devoir se trouver un plan B parce que la priorité c'est que tu ailles mieux.

Je lui pris la main avant de la lui lâcher. Il fallait qu'elle pense à elle et qu'elle ne s'en fasse pas pour Logan, ni James. Je préférai changer de sujet pour lui annoncer que tout était en ordre pour mes papiers d'immigrants. Elle semblait ravie d'apprendre que tout allait être derrière nous et que nous n'aurons pas besoin de déménager au Canada. Je fus attaquer de plein de bisous ce qui me fit rire un peu parce qu'elle était nue.

- Oui, tout rentrera dans l'ordre! On est bel et bien marié et je suis bien un résident américain.

J'étais tellement content que cette partie là soit réglée. Elizabeth m'embrassa de nouveau et ensuite elle alla prendre une douche où je l'attendis patiemment. Le lendemain matin, on fit une grosse sortie à la cafétéria et je dois dire que je trouvais bon ce que j'y mangea avec surprise. Je l'accompagnai ensuite à son rendez-vous avec le docteur sans pour autant entrer dans la pièce. Une fois terminée, on se retrouva dans sa chambre et elle commença à tout me dire. Je fus surpris d'apprendre qu'elle avait prit une alternative à la médication, mais ça me rendait plus que content de sa décision. Bien entendu, je ne voulais pas qu'elle pense que tout sera réglé en deux jours, ça prenait du temps pour tout gérer.

- Très bien Eli, mais je ne veux pas que tu te mettes de la pression parce que moi j'y arrive. Si toi tu te sens bien avec la médication, tu peux la prendre, mais je comprends ton envie d'enlever le chimique vu qu'on veut un bébé. Je t'aime et je vais t'apprendre tous les trucs que je sais.

Elle allait avoir aussi un bon soutien donc, ça allait aider pour la suite des choses. En commençant à emballer tous ses trucs, elle ouvrit son téléphone pour me montrer l'article de Nightmare. C'était affreux ce qu'elle disait encore une fois. Je pouvais dire qu'elle mettait souvent les conflits cette mystérieuse femme. Je lui pris le visage quand je sentis qu'elle était en train de se morfondre et de se rabaisser.

- Ne dit pas ça... James te connait et puis elle aime bien inventer des trucs aussi là. Eli, je te connais mieux que personne et je sais que tu es la plus parfaite des femmes que je connaisse, tu es gentille, attachante, aimable... Ne laisse pas cette étrangère gâcher ta journée okay? On va commencer par rentrer à la maison. Un pas à la fois. On appellera James pour lui dire que tu dois prendre du repos. Sinon, je peux le garder moi Logan!

Ça ne devrait pas le déranger, souvent j'étais absent, mais des fois j'avais la chance d'être avec Logan pour jouer avec lui. On s'amusait bien tous les trois. Je pense que je rassurai un peu Elizabeth parce qu'elle me sourit et je lui pris ses bagages pour ensuite la diriger vers ma voiture à l'extérieur. J'espérais que Léo ne se mêle plus de notre vie.