It's always the same.

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Désolée, je n'ai pas encore trouvé les icons pour aller avec la fiche et c'est pas hyper long, je ferais mieux la prochaine fois. It's always the same. 2963741636

Son sac sur l'épaule et son téléphone en main, Lyhanna marchait précipitamment dans les rues de Miami. Jetant un coup à l'heure, ses yeux s'agrandir avant qu'elle ne presse le pas. Le métro qu'elle empruntait partait exactement dans sept minutes et c'était le dernier de la journée, autant dire que la brunette devait se dépêcher si elle souhaitait être à leur au travail. Dévalant les escaliers menant à l'arrêt de métro près de chez elle, elle sorti rapidement sa carte d'abonnement, se hâtant à la passer devant le petit endroit pourvu à cet effet et passer en vitesse pour se rendre sur le quai. C'est à la dernière minute qu'elle monta dans le métro en courant presque. Ce n'est que quand la porte se ferma et que son wagon se mit à bouger que la brunette souffla en fermant les yeux. Ne pas louper son métro, c'était ok.

Elle commença par regarder si des places assises étaient libres, mais comme d'habitude se ne fut pas le cas. Et puis, étant montée la dernière, elle ne devait pas s'attendre à un miracle. Elle se décida donc à trouver un endroit auquel se tenir. Une des barres a cette effet n'était occupée que par une personne, et c'était donc sans réfléchir qu'elle décida d'aller se tenir à celle-ci. Fixant le sol, elle était décidé à ne regarder personne, la brunette n'était pas là pour sympathiser avec les gens, clairement pas non. Cependant elle releva la tête légèrement et aperçu le visage de son voisin, si l'on peut qualifier cela comme tel. Bordel, c'était Eggsy. C'est dingue, à chaque fois ils avaient le don de se retrouver au même endroit sans même le vouloir, aucunement même. Lyhanna moins elle le voyait, mieux elle se portait et il était quasi sûr que c'était la même chose pour lui.

Décidée à faire comme si de rien était et l'ignorer, la brunette baissa la tête, regardant le sol et de temps à autre son téléphone. Elle espérait que le trajet passe vite, pour qu'elle puisse rapidement partir et surtout être à l'heure au travail.

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It's always the same.

LYHANNA
&
EGGSY

Ma journée avait été plus longue que prévu et j'étais totalement épuisé. Je ne rêvais que d'une chose, me retrouver sous la couette. Et c'est sûrement ce qui allait se passer. Avec cette heure tardive, je n'allais pas avoir à m'occuper d'Enzo. Il devait déjà dormir à cette heure, surveillé par ma gentille voisine. Heureusement qu'elle était là parce que payer une nounou ce n'était clairement pas possible financièrement. Comme quoi, certaines personnes ont un bon fond !

Quoi qu'il en soit, j'étais dans le métro qui devait me ramener chez moi. Depuis quelques jours j'évitais de prendre le volant à cause de ma douleur à l'épaule. D'après mon médecin, c'est une douleur qui me suivrait tout au long de ma vie mais avec différentes intensité heureusement ! Les arrêts aux différentes stations se suivaient. La mienne était la dernière.... Comme souvent à cette heure-ci, il n'y avait aucune place assise mais par « chance », les places debout ne manquaient pas. Je m'accrochais à une barre, regardant les stations défilées avant qu'une personne ne me rejoigne. Au départ, je n'y prêtai pas attention. C'est vrai, les gens défilent dans le métro alors prêtait attention à chaque personne rentrante était impossible ! Cependant, pour une raison inconnue, mon regard dévia sur cette personne en particulier.... J'aurais dû m'abstenir … Lyhanna. Pas qu'on ne s'appréciait pas mais.... un peu quand même ! Enfin, à la base, c'est elle qui ne m'appréciait pas. Moi, j'avais juste suivi le mouvement... J'étais certain qu'elle m'avait reconnu. Elle regardait son portable et le sol.

Je regardai son manège quelques instants. C'était plutôt comique en fait. A la station d'après, des gens sortirent, libérant des places assises. « Tu vas pouvoir à nouveau regarder devant toi ! » dis-je en me déplaçant jusqu'à une place non loin de là. Je repensais à notre dernière entrevue qui n'avait pas été de tout repos. Nous avions faillit nous faire tuer. Bon, ce n'était pas la première fois pour ma part, mais jamais dans ces circonstances. Cela faisait déjà plus de six mois et je n'avais pas cherché à prendre de ses nouvelles après ça. En même temps, ce n'était pas comme si on s'appréciait et que son sort m'importait. A la sation suivante, le wagon fut quasiment déserté, ce qui était franchement appréciable.

MAY