- messages : 1314 - feat. & crédit : ryan reynolds - anniversaire : 09/02/1978 - activité : cardiologue - double compte : chad, ugo, rose, andrès et sib
(#)Sujet: be my personnal nurse please + Aylina & Léo | Ven 24 Aoû - 12:09
aylina and léo
be my personnal nurse please
Il était temps que j'appelle mon infirmière préférée. Depuis que je m'étais fais tiré dessus, toutes mes escorts passaient l'une après l'autre pour m'aider à manger, à me déplacer, me changer mon pansement, m'amener les médicaments... Se faire tirer dessus c'est bien mais la dépendance aux autres après c'est hyper relou. Je me déplace avec une béquille et encore j'ai pas mal mal. Le doc voudrait que je reste dans mon lit à rien faire et )à attendre les filles mais ce n'était pas possible. Non, à la place je leur demandais de m'aider à m'habiller, à me déplacer dans mon appartement, à faire à manger... Je souffrais énormément mais déjà rester enfermé dans mon appartement était une vrai galère alors dans mon lit? Jamais. Je me remettais tout de même pas mal bien de jour en jour et le doc pensait que d'ici une semaine et demi au pire je pourrais vivre à peu près normalement. Les gars s'occupaient de ma petite affaire de leur côté. Je les appelais presque toutes les deux heures pour faire un point. Je récupérais mes esprits alors mon aide leur était considérable. C'est mon gang après tout. Ce n'est vraiment pas simple de rester écarté, d'être celui qui doit guérir et se reposer. Malheureusement je ne pouvais pas me permettre de vouloir aller trop vite car ça ne ferait que rallonger la souffrance mentale autant que physique. Bref, aujourd'hui je savais que j'aurais la physique de ma préférée : Aylina. J'adore mes escorts, attention, mais Aylina c'était autre chose. Cette nana là venait d'une famille de foufous gangsters dans mon style, elle avait l'habitude. Quand je l'ai rencontré par hasard dans Miami, elle avait accepté de soigner mon équipe quand il le faudrait. Pour les grands soins je réserve tout ça à Doc, mais les visites médicales à domicile c'est pour elle. Aujourd'hui, c'était mon tour. Rien que pour ça j'étais content de m'être fait tiré dessus. Elle était obligée de passer me voir. Elle n'avait jamais voulu de notre fric, ce qui m'arrangeait bien faut dire. Elle était douée dans son domaine... dans tous ses domaines. Oui Aylina est une autre de ces filles avec qui j'aime passer du bon temps en dehors du business. Faut bien se faire plaisir dans la vie. Un de mes gars l'avait prévenue de mon état et lui avait demandé de passer quand elle le pourrait. J'attendais sagement chez moi qu'elle n'arrive à la porte, en cette fin de matinée. Je n'attendais pas trop loin de la porte pour pas qu'elle attende une heure que je me déplace. Quand j'entendais le son de ses pas derrière la porte je me levais doucement. Elle avait le temps de toquer et j'ouvrais la porte. salut beauté fatale lui fis-je alors en souriant. Elle était une de ces nanas que je protégeais - encore. Elle avait quand même un sacré potentiel et une belle vie que je ne voulais pas qui soit gâchée pour aucune raison. Vu son entourage et son passé, je préférais prendre des précautions. Pour autant, je savais que Aylina était une nana qui savait se défendre - autre chose qui faisait qu'elle avait très vite attiré mon attention. C'est plus fort que moi, de protéger les gens qui m'entourent. Pourtant, j'étais persuadé qu'elle ne m'accordait pas une phalange de confiance. Cela m'amusait. Je la laissais entrer et la suivais, difficilement mais quand même. si j'avais pu faire exprès de me prendre une balle pour que tu me soignes, j'aurais pas fais mieux. lui fis-je alors en allant m'asseoir dans le salon. comment ça va? lui demandais-je alors. Les études, le boulot tout ça. une conversation qui commençait normale mais qui dévierait sûrement rapidement.
AVENGEDINCHAINS
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(#)Sujet: Re: be my personnal nurse please + Aylina & Léo | Dim 26 Aoû - 23:06
be my personnal nurse please
aylina & léo
Elle fait tellement semblant que tout va bien dans sa vie. Pourtant, chaque nuit, elle fait des cauchemars de son passé, de sa vie à Tijuana, capitale de la drogue et des trafiquants d'armes. Elle se réveille parfois en sueur, en criant. Elle dit voir un psy pour parler de ce qu'elle a vécu et de ce qu'elle a vu, mais elle ment. Parce qu'Aylina, c'est la plus grande menteuse, c'est pas une balance, bien que le FBI l'a torturé pour qu'elle balance ses frères mais elle ne l'a jamais fait, parce que la famille c'est la famille. Mais personne ne sait que sa famille l'a trahit bien plus d'une fois. Alors quand elle ne va pas bien, elle ne dit rien, elle garde tout pour elle mais celle qui pleure tard le soir, c'est elle. Aylina elle n'a jamais peur, elle se méfie de tout mais elle n'a jamais eu peur de prendre une balle pour un proche. Mais surtout quand elle va mal, elle va voir le seul qui peut encore la comprendre, elle ne lui dit rien mais elle le regarde faire sa petite vie, elle se rassure en le regardant vivre enfin surtout en l'aidant la plupart du temps mais elle se dit que si elle le perdrait elle serait bien triste. Oui c'est homme c'est Léo. Ils ont presque la même histoire, elle se retrouve en lui, du moins elle guérit ses blessures quand elle est avec lui. Ils se connaissent depuis très peu de temps mais elle a vu en lui un ami, un ami dont elle se méfie mais un ami quand même qu'elle n'hésite pas à défendre et à soigner ainsi que son gang quand il le faut. Ça lui rappelle, ses frères au Mexique, elle jouait déjà l'infirmière mais le plus souvent sur elle, elle savait se défendre à l'époque. Quand elle est arrivait ici et qu'elle a rencontré Léo et son gang, elle a hésité à les rejoindre parce qu'elle sait qu'on oublie jamais d'où on vient et qui on est vraiment.
Elle finit par se lever de son lit, espérant que cette journée sera une bonne journée. Elle sourit quand elle voit que léo a besoin d'elle. Un de ses gars l'avait prévenu de son état mais étant occupé entre les cours et l'hôpital, elle ne pouvait pas passer avant aujourd'hui. Elle sourit en voyant son message, il l'attendait. Une bonne heure après, elle finit par être prête à partir. Elle prend son sac avec ses outils pour le soigner. Qu'est ce qu'il ferait sans elle finalement. Elle arrive quelques minutes après chez Léo, qui habite non loin de chez elle. Elle se dirigeait vers la porte, à peine, elle a toqué à la porte qu'il lui ouvra. Elle esquisse son plus beau sourire, un si rare sourire qu'elle peut faire dans sa vie. C'est l'effet Léo surement.
"Je vois que rester au lit, tu connais pas." Elle dépose un bisou sur sa joue. Elle rentre et avance vers son salon. Après avoir inspecter la pièce, elle se rappelle, un moment de dérapage avec Léo dans ce salon. Une histoire que personne ne doit savoir, Léo est un homme à femme et aylina a autre chose à faire que se remettre dans des histoires comme celle-ci. Léo passe son temps à vouloir la protéger, mais la brunette n'a en aucun cas besoin de protection, si un jour elle venait à être énervé contre lui, c'est lui qui devrait avoir besoin de protection. "Tu ne devrais pas faire le malin, Léo, imagine si ça avait été plus grave". Elle ne rigolait pas vraiment avec ce genre de choses. "Bien que je sais que tu aimes me montrer ton corps" Elle éclate de rire. Elle s'assit à coter de lui dans le salon. Elle baisse les yeux et finit par lui répondre. "Oui ça va pour le mieux et toi, à part le fait que tu dois rester allongé dans ton lit, ce que tu ne fais pas d'ailleurs, n'est-ce pas ?" Elle lui sourit. Un sourire faux, et encore des mensonges. La liste s'allonge, elle devrait faire attention. Léo n'est pas dupe, elle finira par se faire démasquer.
nightgaunt
Benjamin Lewis
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(#)Sujet: Re: be my personnal nurse please + Aylina & Léo | Lun 27 Aoû - 9:47
aylina and léo
be my personnal nurse please
Avec Aylina c'était... une drôle d'histoire. Elle était une de ces femmes que je n'avais eu aucun mal d'amener au lit, comme on dit. Et pourtant, ce n'était pas un au revoir tu ne me verras plus jamais. Au contraire, elle était devenue l'infirmière number one de mon petit gang à moi. Je l'avais décrété ainsi. Quand elle le pouvait, évidemment, elle rendait visite à mes grand blessé. Cette fois-ci, c'était moi le blessé et je devais avouer que de réclamer sa présence pour me soigner me faisait du bien. Peut-être que je voulais me voiler la face, regarder dans une autre direction pour m'éviter d'encore souffrir. Cette balle, je l'avais prise pour Jade. J'étais peut-être du genre trop protecteur, finalement. Même envers Aylina je l'étais, même si elle n'en avait pas franchement besoin, elle. C'était une dure à cuire. Des mecs comme moi, elle a grandi avec. Elle a vécu le même genre de vie avec sa famille et je le sais. Alors se défendre elle sait faire. Ce n'était pas trop le cas de Jade, en tout cas pas dans des fusillades ou autre qui se rapprochent d'un grand danger. J'avais pris cette balle pour elle pour la plus stupide des raisons : l'amour. Je suis un homme à femmes, peut-être, mais je suis aussi un homme amoureux. Contradictoire, me direz-vous, et pourtant si logique dans mon caractère. On fonctionnait comme ça, jusque maintenant, avec Jade. On a jamais été ensemble mais on sait que l'un et l'autre s'aiment et on se rend fou. Depuis plus d'une semaine, elle avait décidé qu'elle ne voulait plus me voir. Depuis qu'elle avait appris qu'elle était enceinte, en fait. Je lui en voulais. Je tentais de la haïr, je lui avais lancé des remarques froides qui la rassuraient sûrement dans le fait qu'elle veuille que je l'oublie. Evidemment, ça n'arriverait pas comme ça. Il était évident que j'aimais Jade d'une manière bien trop forte pour que ce soit si simple. Je souffrais. Intérieurement et physiquement à cause de cette balle. Cette balle qui n'a rien changé. Elle avait fui à peine m'avait-on ramené à la maison. Depuis je n'avais aucune nouvelle. Rien.
Peut-être donc que de me raccrocher à des nanas comme Aylina était ma manière de me soigner intérieurement. A peine arrivée, elle me rouspétait à propos de mon non-repos apparent. t'as toqué, comment voulais-tu que je t'ouvre si je restais au lit? lui fis-je alors, le sourire en coin amusé. Mais non, j'étais incapable de rester au lit. Déjà parce que ça faisait trop vulnérable et faible et aussi parce que j'avais trop le temps de réfléchir une fois allongé. pardon maman il me faut la fessée pour ne pas prendre tout ça au sérieux lui fis-je alors qu'elle devenait sérieuse à propos du repos dont j'avais besoin. Je ne prenais pas du tout ça au sérieux. Quelque part, j'aurais préféré en mourir de cette blessure. Mais ça, je n'allais jamais le dire à voix haute. Je voulais me punir d'une certaine manière. Puis elle blagua aussi sur le fait d'être nu face à elle. eh merde tu as compris fis-je en faisant une mine faussement vaincue. Je lui demandais comment elle allait. Même si on était pas très officiellement proche, je tenais assez à elle pour avoir envie qu'elle aille toujours bien. Je plissais tout de même les yeux : son regard vers le bas avant sa réponse positive et bizarrement rapidement remise sur mon sort me faisait douter de sa sincérité. si tu restes avec moi je resterais beaucoup plus facilement "allongé dans mon lit" fis-je en mimant les guillemets et en lui faisant un clin d'oeil. Malheureusement dans mon état, j'allais pas faire grand chose de ce qu'on aime garder secret elle et moi. tu sais j'suis pas con. ton p'tit air de ça va mais j'regarde par terre tu m'l'a fais pas à moi. alors soit tu me racontes toutsoit tu m'avoues juste que ça va pas, mais pas de mensonges entre nous mademoiselle lui fis-je alors en prenant soudainement un air très sérieux. moi j'me suis pris une balle volontairement. Tu crois qu'on peut dire que ça va? j'tourne en rond pendant que les loulous bossent sans moi et m'appelle pour avoir les bonnes choses à faire... ça m'rend fou. Même me défouler tu sais comment j'peux pas encore. alors les filles viennent me rendre visite, m'aider à manger... elles au moins j'suis sûr de pas avoir d'idées... pour m'occuper. Aylina savait que je ne touchais pas à mes escorts. Elles étaient canons évidemment mais c'était ma règle number one. Je me mettais à essayer de retirer mon tee-shirt, non pas sans grimace, elle dû m'aider. un véritable handicapé fis-je une fois le tee shirt loin et la blessure à vue. vas y fais moi mal déconnais-je alors en lui souriant ensuite. Je voyais tellement peu de personne que dès qu'une passait la porte, ils avaient tous droit au grand Léo en pleine forme. Enfin en général ça durait le temps qu'ils étaient là. Je m'effondrais après.
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