Ce soir, c'était soir de fête. Alysse faisait garder sa fille par sa nouvelle colocataire. Cela faisait plus d'une semaine qu'elle n'avait pas bu une goutte d'alcool. Ce soir, elle voulait sortir, faire la fête et retrouver sa jeunesse. Elle s'était retrouvée dans un bar, rencontrant des jeunes de son âges pour une soirée karaoké et dansante. Elle adorait ça. Elle n'avait pas vu le temps passé, ni même compté les verres. Ce ne fut que tard dans la nuit qu'elle sortie du bar, seule en embrassant sur la joue ses nouvelles connaissances avant de disparaître dans la nuit en laissant entendre les talons de ses bottines marrons. Elle portait une jupe fluide qui arrivait au genoux, un collant chaire et un haut fluide rentrée dans sa jupe, à bretelle fine. Par dessus, elle portait un long manteau d'automne beige et son sac sur son épaule. Elle n'avait pas froid, l'alcool l'empêchant de ressentir la fraîcheur automnale. Ce fut en chatonnant qu'elle prit la direction de sa maison, qui se trouvait bien loin de là... appeler un taxi ne lui traversait pas encore la tête.

Titubant, ne marchant pas droit, elle se sentait sur un nuage et se laissa tourner en se laissant pendre à un lampadaire en chantant, alors qu'il commençait à pleuvoir légèrement. Puis, sans le voir bien sûr, tout d'un coup, elle percuta de plein fouet un inconnu qui passait par là. Alysse manqua de tomber et le retint en le tenant par les bras : « Hooooo pardon monsieur !! J'vous avais pas vu !! z'avez rien hein ?? » elle se mit à rire, s'appuyant plus à lui que lui à elle et le regarda à la lumière du lampadaire : « Z'avez pas bonne mine ! C'est pas prudent de traîner dehors quand on a pas bonne mine !! » elle parlait beaucoup trop fort et sentait la tequila à plein nez.. rien de très glorieux : « Boon ! Beh j'dois y aller !! » elle fit un pas et... trébucha lamentablement par terre : « ho !! Mais qu'est-ce que ces pavés font là !! rooh !! méchant pavé !! » elle se mit de nouveau à rire, en tentant difficilement de reprendre son équilibre et de se lever.

Les jours qui passent étaient devenus de plus en plus difficile pour moi, la maladie prenait clairement le dessus et je sais que c'est de ma faute si je suis dans cet état, si je voulais vraiment m'en sortir, j'aurais accepté l'opération tout suite, mais le problème, c'est que je ne veux pas me faire opérer, je m'y refuse, pourtant mon frère, ma grand-mère et aussi Elisha essayé par tous les moyen de me faire changer d'avis et que j'accepte enfin cette opération qui me sauvera la vie, mais c'était peine perdue parce que j'étais têtu comme une mule et ils savent que s'ils insisteront, je me braquerais contre eux, si j'ai cette maladie, c'est qui y a une raison.


J'en avait marre de tourner en rond chez moi à rien faire, enfin si regarder la télé ou encore aller sur l'ordinateur, mais j'en avait marre de tout ça, j'ai donc pris ma veste qui était posée sur le porte manteau dans le couloir, j'attrape également les clés de chez moi puis je sortis de chez moi. Une fois, dehors, je ferme la fermeture de ma veste jusqu'à mon cou, je sors mon bonnet de la poche de ma veste que je mets sur ma tête puis je mets mes mains dans les poches de ma veste et commence à marcher vers ou mes pas aller me conduire.



Ca fait à peu près deux heures que je marche et durant tout ce temps de marche, je n'avais pas arrêté d'être dans mes pensées, je n'arrive pas admirer les vues qui s'offraient à moi durant ma marche alors que ça serait s'en doute la dernière fois que verrait tout ce qui m'entoure actuellement, je n'arrive pas à pensé à autre chose que ma maladie. Toujours dans mes pensées quelque chose ou plus une personne me percute assez violemment, ce qui me retire directement de mes pensées.


Je tombe en face d'une jeune femme blonde qui était visiblement ivre au vu de son comportement et de l'odeur qui sortait de sa bouche, actuellement l'odeur de l'alcool me donne envie de vomir, pourtant, j'aime enfin, j'aimais boire une bonne petite bière de temps en temps histoire de décompresser de ma journée de travail, mais depuis mon traitement la bière m’écœurer au plus au point. La jeune femme qui était dans un autre monde s'excuse rapidement de mettre rentré dedans. Non ça va, mais c'est à vous de poser cette question. Regardai-je la jeune femme comme même inquiet de son comportement, même si j'étais suspendu à cause de ma maladie, je rester toujours un flic au fond de moi.


Rapidement, la jeune femme fit une remarque sur son visage du fait que j'avais une mauvaise mine et que je n'aurais pas dû sortir dans mon état, sa remarque me mit rapidement mal à l'aise, je me doute les effets de la maladie se fait voir sur mon visage en gros, j'avais une tête malade. La jeune femme m'annonce qu'elle devait partir, mais vu son état la petite dame n'ira pas très loin, puisque à peine qu'elle s'était retourner qu'elle trébucha et tombe près du trottoir puis elle commence à engueuler le trottoir, d'accord cette jeune femme à vraiment besoin d'aide. Je m'approche de la jeune femme et l'aide à se relever doucement, même si j'étais malade, j'avais encore de la force. Ça va vous n'avait rien de casser ? Demandai-je à la jeune femme qui avait posé sa tête sur mon épaule en accrochant son bras autour du mien quant à moi, je la tenais avec mes deux mains pour pas qu'elle tombe une nouvelle et qu'elle ne m'entraîne pas dans sa chute parce qu'on aurait l'air de deux idiots parterres. Tenez vous bien à moi surtout. Dis-je envers la jeune femme pour la déposé sur le banc qui était juste à coter de nous.

Elle faisait de son mieux. Pour toujours être la meilleure mère. Par le passé, elle avait fait de son mieux pour être toujours une bonne personne. Et elle continuait à être une femme aimante et douce malgré la noirceur qui aujourd'hui rongeait son âme et son cœur. Ce soir-là.. elle voulait essayer de retrouver cette femme.. forte et combative. Elle voulait aussi retrouver sa jeunesse le temps d'une soirée. Mais voilà... il fallait croire qu'avec les années la blonde ne tenait plus aussi bien la Tequila qu'à l'époque. Elle se retrouva donc en fin de soirée totalement ivre, si bien qu'en marchant dans la rue, sur les pavets, elle était tout bonnement incapable de se tenir droite et de marcher correctement. Elle ne voyait pas plus loin que le bout de ses bottines.. si bien qu'elle ne manqua pas de rentrer dans un homme, assez violement et de manquer de se ramasser par terre. Ce qu'elle ne manqua pas de faire quelques minutes plus tard, en riant comme une folle tout en engueulant les pierres sur le sol qui l'avaient faite trébuchée.

Le jeune homme aurait pu la laisser là. Mais il n'en fit rien. Tel un héros et son slip rouge il vint à son secours en l'aidant à se relever. La jeune femme pris son bras en otage tandis que sa tête, trop lourde, tomba sur son épaule. Il était plutôt grand (pas difficile vu qu'elle était ridiculement petite). Ils avancèrent en direction du banc quoique difficilement vu qu'Alysse n'arrivait pas vraiment à tenir debout : « Vous êtes un type bien monsieur ! T'es cool ! Je t'aime bien. Même si t'as l'air malade un peu quand meme... » elle se mit à rire un peu plus : « Non mais tu m'entends. Je suis bourrée et je me permet de faire des remarques à un mec alors qu'en plus il fait super sombre donc ça se trouve t'es juste bizarre sous la lumière d'un lampadaire." Mais voilà... plus elle riait.. plus son ventre lui faisait mal : « Ho... merde je crois que... » elle ne termina pas sa phrase et partie en avant pour vomir tripes et boyaux. Elle sentit des mains venir attraper ses cheveux. Une main quitta sa chevelure pour caresser son dos avec pitié. Elle sentit des larmes monter tant c'était douloureux.. et lorsqu'elle eut terminé, elle se redressa... se sentant soudainement mieux.

Elle s'empressa d'attraper dans son sac à un main une bouteille d'eau et son spray buccale mentholé pour ne pas avoir un goût de bile dans la bouche.. elle avait horreur de ça. Une fois lucide, elle se rendit compte que l'homme se trouvait juste derrière elle, lâchant doucement ses cheveux. Elle se retourna, la main devant la bouche et le regard empli d'une honte un peu enfantine. Elle baissa un peu les yeux, rougissant et lui dit alors : « … je suis désolée.. » elle était encore un peu ivre, certes.. mais plus lucide et elle se sentait mieux : « Vous ne vous attendiez j'pense pas... à tomber sur une pauv' fille toute seule et saoule comme une désespérée.. » elle passa sa main dans ses cheveux, mais vacilla encore un peu. Par réflexe, elle se retint à l'homme, attrapant son bras et resta donc accroché à lui : « Moi c'est Alysse.. » dit-elle alors en lui souriant un peu gênée.

Je crois que je suis destiné à croiser la route des femmes ivres, ce n'est pas possible depuis que je suis venue vivre ici, c'est la troisième femme que je rencontre qui soit ivre sur mon chemin à force, je ne devrais même plus être étonné. Notre rencontre à été assez violente, je dois dire, la jeune femme m'était rentré dedans avec une telle violence heureusement elle ne m'a pas fait mal malgré le fait que j'avais perdu un peu de force dû à ma maladie, j'étais resté tout même costaud, je ne pense pas que la jeune femme aille eu mal lord de notre rende dedans puis qu'elle rigoler comme une cinglée depuis quelques minutes.


En voyant son état, j'avais toute suite compris que la jeune femme était complétement saoul, elle riait toute seule, elle tenait à peine debout et elle articuler mal des mots qui sortaient de sa bouche, mais je comprenais comme même ce qu'elle me disais. Même si elle était bourrée la jeune femme remarque l'état de mon visage dû à ma tumeur ce qui m'était rapidement mal l'aise et je n'avais pas réagi et su attraper la jeune femme lorsqu'elle tomba sur le trottoir et encore une fois elle se mit rigoler tout en disputant le trottoir de l'avoir fait tomber.


J'aurais pu la laisser là sur le trottoir et la laisser se débrouiller toute seule, mais je n'étais pas comme ça, je culpabiliserai de la laisser toute seule, en plus il se fessait tard, elle pourrait tomber sur un type louche, elle n'était en état de se défendre toute seule autant que je reste avec elle et la raccompagner chez elle au moins je serais qu'elle sera en sécurité. J'aide donc la jeune femme à se relever tout en lui demandent si elle ne s'était pas fait mal et au vu de sa réponse, je pense qu'elle ne s'est pas fait mal, je l'aide en fessant attention qu'on ne tombe pas tous les deux comme des crêpes parce que je ne vous explique pas la honte qu'on se taperait tous les deux même s'il n'y avait pas un chat dans la rue actuellement.


Une fois debout la jeune femme s'accroche à mon bras, je la tien fermement pour pas qu'elle ne tombe une seconde fois et qu'elle m’entraîne dans sa chute et c'est avec quelques difficultés que nous nous avançons tous les deux vers le banc le plus proche, j'aide la jeune femme à s'asseoir comme il le faut, elle rester accrocher à moi, elle me remercie une nouvelle fois et me fessait tout un éloge comme quoi j'étais un type bien et qu'elle m'aimer bien et rajouta une couche sur l'état de ma tronche, ok c'est bon je sais que j'ai une tête bizarre mais pas la peine de me rappeler tout les cinq minutes non plus. Puis elle partit de plus belle dans son délire en m'expliquant qu'elle était bourrée comme un trou, ça, j'avais remarqué depuis le début, elle remarque rapidement qu'elle fessait constamment des remarques sur mon visage alors qu'elle me voient à peine dans la nuit. Je vous rassure je ne suis pas horrible que ça à la lumière du jour et je ne suis pas du tout bizarre. Dis-je en essayant de la rassurer même si je sais que c'était peine perdu.


Notre conversation avait coupé court lorsque la jeune femme se lève rapidement et se précipite vers un coin de la rue pour aller vomir, décidément, c'est bien ma veine, pourquoi je tombe toujours sur des gens qui boivent et qui vomis par la suite. Je me rapproche rapidement de la jeune femme, j'attrape ses cheveux que je tire en arrière pendant que la jeune femme continue de vomir, je caresse doucement son dos tout en regardent ailleurs parce que la vue du vomi me tire au cœur. Une fois que la jeune femme aille finit de vomir, je tenais toujours ses cheveux lorsqu'elle fouilla dans son sac à la recherche d'une bouteille d'eau et d'un petit machin qu'elle mit dans sa bouche, j'enlève mes mains dans ses cheveux, la jeune femme retourne vers moi avec une tête, on voyait qu'elle avait honte de ce que j'ai vue, mais elle ne le devais pas. Et pour la troisième fois de la soirée, la jeune femme s'excuse de son comportement. Ne vous excusez pas, je suis habitué à voir ce genre de chose, ce n'est pas la première fois que je porte secoure à une jeune femme saoule et qu'elle vomisse devant mes yeux. Expliquai-je à la jeune femme. Jake. Dis-je à la jeune femme lorsqu'elle m'avait donné son prénom. Je pense qu'il serait préférable que je vous ramène chez vous, vous net pas en état de continuer à faire la fête. Ajoutai-je envers la jeune femme.