PARTIE I : Un début de vie prometteur... Un amour sordide.. Je suis née un 6 mars 1990 dans la belle ville de Seattle, de la belle Jane Purple, femme de Karl Purple, mon père. A priori, j'étais destinée à devenir la parfaite petite fille modèle dans une belle famille bourgeoise et richissime.. Mais le destin avait décidé autre chose pour moi. Tout fut parfaite jusqu'à mes 5 ans.. j'étais heureuse, même si mon père était plutôt absent avec son boulot de PDG dans une entreprise automobile il me semble. Mais lui et ma mère avait un amour inconditionnel à mon égard et cela me donnait la joie de vivre. Je souriais beaucoup, était casse-cou aussi, me retrouvant souvent avec des bleus tant je tombais tout le temps. Mais après mes 5 ans, tout changea... Ma mère, qui était agent immobilier a eu un accident qui lui coûta la vie. Pendant une visite, la maison qu'elle visitait avec des clients s'est effondrée sur eux, trop ancienne et non adapté à l'habitation.. les futurs acquéreurs voulaient y faire des travaux.. mais les fondations se sont effondrés sur eux. Ils ont été tous les trois conduits à l'hôpital, mais ma mère ne survit pas au voyage. Elle décéda avant même d'être prise en charge par les urgences. Ce jour marqua à tout jamais ma vie et surtout, mon quotidien. Mon père ne fut plus jamais le même après cela.. distant, froid et surtout encore plus absent, il se plongea dans le travail pour oublier son chagrin et ses regrets et me délaissa au prix d'une gouvernante que je détestais. C'est à cette époque que je passai le plus de temps chez April Watts, ma première meilleure amie. J'adorais sa famille, ses sœurs et son père, c'était mon super héros, mon amoureux et mon fiancé comme je disais.. j'ai passé des moments magiques avec eux lorsque j'étais petite et j'ai aussi pu grandir dans le bonheur de cette façon.. en oubliant mon père et mon passé douloureux, avec la mort de ma mère. Cela dura jusqu'à mes 15 ans, à mon entrée au lycée. J'étais une jeune fille sage, modèle avec de bons résultats scolaires.. Mais tout cela changea également avec l'arrivé de William, 25 ans... Je me rappelle, j'étais assise sur les marches de l'église, révisant mon prochain devoir lorsqu'il est apparu, chevauchant sa moto. Ce fut la première fois que mon ventre papillonna de la sorte. Il émanait la liberté et il était si beau avec tous ses tatouages et ses piercings.. J'en tombai tout de suite amoureuse, sans le connaître, tant la naïveté m'aveuglait. Il m'aborda, et nous avons tout de suite accroché.. On s'est mit à sortir ensemble, c'était magique. J'ai commencé à sécher les cours, je me suis teint les cheveux en rose, fait des piercings.. Je devenais une vrai rebelle.. Je dû vite retirer tout ça lorsque mon père m'a vu. Pendant un mois, j'étais interdit de sortir, jusqu'au soir au William tapa à ma vitre et entra dans ma chambre. Il était si beau, si mystérieux et le danger dans ses yeux était excitant. Il avait 25 ans, moi 15 mais je m'en fichais parfaitement. Il était entré dans ma chambre, sans faire un bruit, pour que mon père n'entende rien, encore dans son bureau à cette heure. Il s'est assit sur mon lit, et m'a demander de partir faire le tour des états unies avec lui sur sa moto. J'étais aux anges, comme une petite fille à qui on offre la liberté, lui laissant libre choix de voler au lieu d'être dans une cage. Je voulais me rebeller, je ne voulais pas ressembler à la petite fille parfaite que voulait mon père. Je l'ai embrassé, on s'est embrassé.. J'étais si jeune, mais je l'aimais, j'étais si naïve. Il est venu s'allonger sur moi, passant sa main dans ma petite culotte, et j'ai ressenti ces choses.. bien trop jeune, mais je ne pouvais rien y faire. J'ai paniqué au début, mais je me suis ensuite sentie bien. Mais William n'avait jamais été quelqu'un de délicat... Ma première fois ne fut pas idyllique, ni magique. Il m'a arraché ma culotte, m'a mordu les seins et ne m'a pas laisser le temps de lui dire que j'étais vierge... A peine avait-il finit de découvrir tout mon corps de ses mains, il m'a tirer contre lui et à ouvert juste le bouton de son jean.. je n'en avais jamais vu, mais là.. j'allais le voir de près. Je m'en souviens encore, cette nuit n'étais pas magique, n'était pas une première fois de rêve. Cela ressemblait plus à un porno.. Mais je m'en fichais, je ne disais rien. J'avais toujours si peur qu'il me quitte, comme une pauvre idiote, je l'ai donc laisser faire. Je me rappelle encore la façon dont il a saisit mes cheveux.. c'était immonde.. mais mon corps réagissait tout de même, je finis même par un peu aimer ça.. la façon donc il faisait les choses si violement, pour finir par délivrer son fluide.. restait malgré tout excitant pour une fille qui n'avait jamais rien vécu de sexuel. Je me rappelle qu'à se moment j'ai voulu lui dire que j'étais vierge, pour qu'il se calme un peu, mais encore une fois, je n'ai pas eu le temps. Il m'a saisit et ma mit à quatre pattes sur mon lit.. oh mon dieu, c'était horriblement gênant, j'avais les fesses nu et complètement à la vue de son visage. Il n'a pas hésité, pas une seule seconde.. j'ai sentit une énorme claque sur ma fesse droite, me faisant sursauté, et un frisson parcouru ma colonne vertébrale.. J'ai eu droit à plusieurs fessés, très violente, retenant mes cris dans mon oreiller.. William était violent.. je ne le savais pas encore, mais je commençais à le découvrir... ça faisait mal mais en même temps... ça faisait du bien.. Mais le pire était à venir. Il m'a tirer les cheveux au même moment qu'il me pénétra, avec violence et d'un coup sec.. pour que je vois toute la scène dans le miroir de ma chambre en face de nous.. j'étais rouge de honte et la douleur était atroce, je le sentait au plus profond de moi.. Il était encore tout habillé et n'avait aucun respect pour moi, me prenant comme si je n'étais qu'une chienne soumise.. ce que j'étais. Mais je l'aimais et j'étais aveugle.. j'aurais tout fait pour lui. Il n'a pas chercher à comprendre mon cri de douleur ni le sang qui coula quand il me pénétra et ne prit même pas le temps de prendre son temps.. non il fut tout de suite rapide et abrupte, claquant mes fesses et tirant mes cheveux, en me grognant de jouir. Je sentis enfin le plaisir que beaucoup plus longtemps plus tard, et je me mis à hurler de plaisir sans comprendre pourquoi.. sans me contrôlé, tant il allait vite et loin en moi. C'était du viol en faite.. mais je ne m'en rend compte qu'aujourd'hui. J'ai donc fuit avec lui, après que mon père nous est découvert dans cette position, et moi hurlant sur le matelat, complètement dominée.. il était entré dans la chambre et je ne pus rien dire. William avait rit en me plaquant la main sur la bouche sans même arrêté ses mouvements, fixant mon père pour le provoqué. Il aimait le fait de faire voir à mon père comment il m'avait pervertit... et avait laisser mon père regarder, choqué, le temps qu'il se vide en moi une nouvelle fois, grognant en me tirant encore plus les cheveux et me laissant malgré moi hurler de plaisir à mon tour, les larmes coulant sur mes joues, devant mon père abattu de voyait sa fille de 15 ans avec un homme de 25 ans, se faire prendre sauvagement comme une vulgaire pute... j'aurais pu me défendre, lui expliqué que j'aimais William.. mais j'ai préféré partir, le détestant de toute façon.
PARTIE II : Tu ne me feras plus jamais de mal.. retour au source : Je suis partie sur la moto de William, pauvre sotte que j'étais avec une simple sac à dos et des rêves pleins la tête. Mais ce fut loin d'être un conte de fée. William était un vrai salop et je le découvris durant cet année.. J'ai découvert ce qu'étais la vrai vie de rebelle, volant pour vivre et pour m'amusant et découvrant l'alcool et la drogue... William avait tout sauf une bonne influence sur moi et je ne compte plus le nombre de fois où je me suis retrouvée en cellule de dégrisement avec lui où les fois où on s'est fait arrêté pour atteinte à la pudeur à s'envoyer en l'air n'importe où dans des lieux publics. C'était surtout ma vie sexuelle avec lui qui était le plus chaotique.. je me suis retrouvée dans des situations de vrai salope.. orgie, plan à plusieurs, lesbianisme, tournage de film amateur et surtout.. une fois je me suis retrouvée dans une partie de jambes en l'air collectif avec plusieurs hommes autour de moi, complètement ivre et drogués.. Je ne me souviens pas de tout, seulement m'être réveillé le matin sur un canapé, complètement nue et endolorie et couverte de semence... J'ai honte de cet époque. Par chance, cela s'est calmé peu à peu quand j'avais 17 ans. Nous avions quitté Los Angeles et cela faisait plusieurs mois que nous étions dans l'Ohaio pour se faire un peu d'argent. William dealait depuis pas mal de temps et son plus gros client se trouvait dans les parages. Mais un soir, j'ai découvert que j'étais enceinte, et j'ai complètement paniqué. Je suis rentrée dans le motel miteux où on créchait depuis plusieurs semaines et j'étais stressée comme jamais. William me frappait souvent, et nos rapport sexuel était en proie au meilleur film de domination qui pouvait sortir dans les baques.. Mais j'étais toujours naïve et surtout, je ne savais pas comment me sortir de cette situation, perdue au milieu de nulle part sans personne pour m'aider. Je subissais donc cette vie, malgré le malheur qui m'assaillait. Mais là.. il ne s'agissait plus de ma vie mais aussi de celle de l'être que je portais dans mon ventre et je me sentais soudainement en proie à une mission humanitaire pour me sauvé afin de sauver cet être. Mais je devais lui dire, je devais voir s'il m'aimait vraiment où si je n'étais juste qu'un amusement depuis ces deux ans.. car après deux ans, m'aimait-il réellement où était-ce devenu une habitude pour lui d'être avec moi.. je savais qu'il couchait avec d'autre fille. Je le savais parce que j'avais déjà été forcé à regarder.. attaché à une chaise. En faite il était vraiment psychopathe, le pire de tous. Il me disait que c'est comme ça que je devais réagir lorsqu'il me baisait, comme cette salope qui hurlait de plaisir en se soumettant à lui, habile dans toutes les positions farfelues qu'il faisait et roulant des hanches comme une déesse. Je me rappelle qu'après ce jour, je voulais être parfaite pour qu'il ne refasse plus jamais ça et je suis donc devenue une sorte de bombe sexuel, connaissant toutes les pratiques.. ou presque. Mais là, je ne pensais plus à ça et devant la porte de la chambre du motel, j'étais comme tétanisé.. je savais comment il allait réagir, j'avais juste l'espoir de me tromper. Lorsque je suis rentrée dans la chambre, il était sur le lit en train de regarder la télé, picolant et comptant son argent et sa drogue avant de les vendre. Moi, mon cœur battait à cent à l'heure. Il ne m'a même pas calculer mais lorsque je me suis raclée pour qu'il m'écoute, son regard s'assombrit. Il s'est approcher de moi pour comme d'habitude venir mettre sa main dans ma culotte, qui en l’occurrence était un tanga à cet instant et m'embrassait et me mordit dans le cou.. Je voulais le repousser comme toujours, mais les mots sortir tout seul : « je suis enceinte » Sur le test, il était marqué que j'avais dépassé les quatre moi.. et pourtant cela se voyait à peine quand j'y repense. Il s'est arrêté et m'a regardé, pour finir par éclaté de rire.. il m'a jeté mes affaires et m'a dit de dégagé... simplement et directement avec un ton si sarcastique et mauvais. Mes larmes se sont mit à coulées, j'étais désespérée et terriblement seul. Je l'ai supplier, agrippant à lui presque à me mettre à genoux, mais l'alcool et la drogue l'on rendu fou et il s'est mit à me frapper si fort, si fort que je hurlais de peur et de douleur. J'ai rampé jusqu'au lit pour attraper son arme.. et j'ai tirer. La balle l'a percuté en plein dans la poitrine, il m'a regardé, comme surpris et s'est écroulé au sol. Je me suis relevée, et j'ai encore tirée et encore et encore jusqu'à être sur qu'il serait mort, mes larmes coulant sur mon visage. J'ai tant pleuré et j'étais tétanisée. Mon corps tremblait et je ne savais pas quoi faire, je venais de tuer un homme... l'homme que j'avais aimé et qui m'avait détruite. J'ai nettoyé l'arme avec de la javel et l'ai laissé à côté de lui et je suis partie, emportant l'argent avec moi. Sans me retourné. Je suis arrivée Seattle, complètement crasseuse et perdue, choquée et ne sachant plus où allé. Je suis arrivée chez mon père, qui fut sous le choc en me voyant et m'a accueilli pour écouter ce que j'avais a dire. Il semblait si froid et rancunier mais j'étais sa fille et il m'a donc reprit avec lui, pour que je finisse ma grossesse. Mais il ne me parla pas de son horrible projet... j'allais être détruite une deuxième fois
PARTIE III : Le bonheur si vite trouvé et si vite arraché... :J'ai vécu les derniers mois de ma grossesse enfermé chez mon père, à faire des projets et à acheté tout ce qu'il fallait pour devenir une bonne mère. Je savais que j'étais jeune, et que je n'avais pas de diplôme, mais je savais que mon père m'aiderais. Du moins c'était que je pensais. J'avais 18 ans et des poussières lorsque j'accouchai. Je me rappelle de ce jour avec un immense souvenir. J'étais dans la cuisine en train de préparer le repas quand j'ai sentie ma première contraction.. Ce n'était pas une horrible douleur en comparaison de ce que j'avais pu vivre auparavant mais c'était tout de même désagréable.. Ce fut lorsque je perdis les eaux que je commençai à paniquer réellement. J'ai appelé mon père aussitôt qui se trouvait à son bureau à son travail et il m'a dit de ne pas bouger et qu'il se dépêchait. Il mit plus d'une demi heure à venir ce con, mais je ne me doutais pas qu'il avait mit tant de temps car il préparait son mauvais coup... son coup impardonnable. Lorsqu'il est arrivé, j'étais écroulé devant l'escalier, les contractions devenant de plus en plus rapproché, hurlant de douleur à chacune d'entre elles. Il m'aida à me lever pour que l'on se rende à l'hôpital, totalement serein et détendu, roulant plutôt vite malgré tout. Je suis arrivée à l'hôpital et on m'a tout de suite prise en charge me disant que j'étais déjà dilaté à Neuf et que mon bébé descendait déjà et qu'il manquait de s'étouffer avec le cordon ! Je pleurais, j'avais mal et j'étais morte de fatigue. Les sages femmes me tenait la main et me réconfortait, la moitié d'entre elle étant au courant de ce qui se passait, sans savoir que je n'en savais rien. J'ai mit une bonne heure pour sortir ma fille, avant qu'on ne vienne me la mettre dans les bras. J'ai pleurer, souriant en voyant son magnifique visage et je pouvais lire la douceur mais aussi l'incompréhension dans le visage des sages femmes qui se demandait pourquoi je semblais aimer cet enfant.. Je lui caressai le visage en la regardant. Elle ouvrit ses petits yeux vers moi après avoir pleurer et ses pleurs cessèrent, elle m'observa et je lui chantai une petite chanson en pleurant, sentant la fatigue laissé place à l'euphorie. Puis je relevai la tête vers mon père dans l'encadrure de la porte et mon visage se ferma.. pourquoi avait-il cet air si désolée et coupable. Tout d'un coup, je vis une femme à ses côtés et une sage femme me prit mon bébé. Mon père me dit alors que je lui pardonnerait un jour, et j'ai compris. Mon bébé fut mit dans les bras de cette femme si bien habillé à l'allure professionnelle et emmena ma fille loin de moi... pour toujours. Je me mis à hurler, à pleurer si bien que les infirmières durent me maintenir près du lit et me rassurer venant de comprendre alors qu'il ne s'agissait que d'une conspiration contre moi. L'une d'entre elle me serra contre elle, tout près et me murmura des mots réconfortant, hurlant à mon père de dégager de là, et je me laissai à pleurer de désespoir.. je venais de perdre la vie à jamais, devenant une simple coquille vide. Je sortis de la clinique après trois jours, rentrant chez mon père sans dire un mot, sans lui adresser un regard, mes larmes coulant toujours et une haine profonde s'installant en moi. Lorsque j'arrivai chez lui en sa compagnie.. il semblait s'en vouloir tellement, et me pria de l'excuser. Il dit qu'il avait fait ça pour mon bien, que je n'avais pas besoin d'une bâtarde dans la famille qui me rappelle la honte que j'étais dans la famille. Et sans un mot, sans une parole, je l'ai giflé avant de remonté dans ma chambre où je préparai alors mon départ. Je devais partir, loin de lui, loin de cette vie, loin de ce passé qui continuait à me déchirer. C'est ainsi que j'arrivai à Miami Beach, sans savoir quoi faire, ni comment vivre. Je me forgeai une carapace et une personnalité dure à toute épreuves. Mon père m'avait acheté un appartement, à mon nom, que j'avais choisi et il me promit de m'envoyer de l'argent tous les mois. Il ne comprenait pas que ce n'était pas ainsi qu'il rachèterait sa faute.. Je me suis donc installée, dans cette ville où je ne connaissais personne et je me suis mise à faire la fête et reprendre petit à petit goût à la vie.. enfin, ce qui ressemblait à la vie. Entre soirée, alcool et conquête, je vivais une vie sans prise de tête et je réussis même à me faire des amis, qui me voyait autrement que comme la garce allumeuse que je laissais paraître. Aloysia, fut ma première amie sur Miami et la meilleure ! Je rencontrai également Blake et Charlie, deux amis qui me sont très cher et sans oublier Alayna.. une fille qui me ressemblait traît pour traît et avec qui je passais des soirées énormes.. J'ai passé des mois, des années même à vivre au jours le jours jusqu'à mes 25 ans où tout bascula.. Je partais de conquête en conquête et mettait mon passé de côté.. mais à croire que le semblant de bonheur que j'avais restait tout de même passager...
PARTIE IV : Une douleur horrible.. Une agression inoubliable.. une âme déchirée de nouveau :Je menai une vie qu'on pouvait qualifié de parfaite. Je ne travaillais pas, m'achetais ce que je voulais, flirtais autant que je voulais, était épanouie sexuellement, ne m'engageais pas, menais les hommes à la baguette et j'avais des amis extraordinaire. Ils étaient peu nombreux mais ils étaient absolument parfait. Mais mon petit paradie changea bien vite... trop vite. Six ans de tranquillité semblait trop beau... trop idyllique. Un soir que je rentrai chez moi après un repas chez des amis, un homme m'a sauvagement agressé dans un cimetière. Pire encore, il m'a violé.. il m'a souillé et je me souviendrais à jamais de son visage près du mien. Il m'a frappé si fort que je me souviens encore de chacune des marques qu'il a laissé sur mon corps meurtri. Je ne me suis pas laissé faire évidemment, et je me rappelle encore lorsqu'il eut fini de jouer en moi et de m'emplir de sa semence, se mêlant au sang coulant sur mon ventre. Je me rappelle l'avoir frapper jusqu'à ce qu'il sombre dans l'inconscience.. je devins complètement folle.. complètement folle. Peu de temps plus tard, personne sauf Charlie était au courant, étant donné qu'il est passé chez moi à l'improviste alors que je me prostrais comme une folle furieuse affolée. C'est aussi à ce moment que je rencontrai Wane Taylor, mon avocat. Je voulais coincé cet enflure mais.. notre rencontre fut au delà de toutes mes attentes. Cet homme a tout de suite eu une un impact sur moi, ce dont je me méfie car j'ai toujours eu le chic pour craquer pour les mauvais garçons. Notre entretien sensé être professionnel a limite fini de manière érotique et nos échange mail ensuite en était d'autant plus pervers... cet homme me rendait complètement dingue, je rêvais de lui la nuit et je ne pensais plus qu'à lui et qu'à mon violeur. Puis, je décidai enfin de sortir de ma grotte parce que Blake insista fortement pour que je me socialise de nouveau et m'entraîna limite de force jusqu'à une fête à la plage. J'avoue avoir passé une super soirée, et j'y ai même rencontré le frère jumeaux de Aloysia, James avait qui j'ai tout de suite sentit une affinité et une complicité se créer. Mais la soirée fut gâché par un viol suivit d'un meurtre qui me fit radicalement paniqué à ne donner aucune description.. je fus emmené loin par Wane qui était présent et je me retrouvai de nouveau cloîtré chez moi, sans espoir de sortie. Malgré tout, mes mails érotiques et sensuel continuait avec Wane... Et en parallèle, je commençais des discutions skype avec James, qui réussissait à lui seul à me faire sourire et je rencontrai son fils , Logan à la caméra.. Il était adorable et franchement, j'en oubliais mes soucis en les voyants tous les deux. Mais le pire arriva... mon violeur refit surface, entrant chez moi une nuit pour me faire de nouveau du mal, mais cette fois-ci je ne me laissai pas faire et me surpris moi-même par ce que je fis. Je me rappelle la façon sordide dont il m'avait obliger à ressentir du plaisir. Il aimait avoir le contrôle, donc je lui ai donné ce qu'il ne voulait pas.. je me suis offerte à lui, le provoquant et l'embrassant. Ce qui me surpris fut qu'il m'embrasse en retour.. surpris lui aussi, il décida de fuir, et je ne l'ai plus jamais revu. Mais s'en fut trop pour moi... beaucoup trop. Plusieurs semaine après, je ne pouvais plus vivre cette vie par mon ordinateur et je fis la morte.. ne répondant plus à personne.. je devais faire quelque chose, je devais réagir. Je trouvai alors la solution.. Je fis alors mes valises, et parti... le plus loin possible de Miami, laissant tout derrière moi. Je devais réfléchir, prendre mon envol et me reconstruire, seule...
ARTICLE VI : Un nouveau départ loin de tout... Pour mieux se retrouver .... Un bordel sans nom.. les hommes à mes pieds...:Je fis le tour des états-unis, pour m'arrêter enfin à New york, la grosse pomme. Cette ville était pleine de vie et de rebondissement, l'endroit parfait pour trouver ma place dans la vie et pour répondre à mes questions. Je rencontrai pas mal de monde, et sortie pas mal en soirée. Puis un jour, alors que j'étais en soirée karaoké.. je fus interpellé par une femme d'une cinquantaine d'année qui me proposa un petit contrat de quelques semaines afin de voir ce que je pouvais offrir à son entreprise. Je trouvais l'idée intéressante, n'ayant jamais été assez fière et sûre de moi pour me lancer derrière les caméras et les flashs des photos. C'est comme ça que je débutais dans le monde du mannequinat et j'ai vraiment adoré. Je me suis sentis belle et pour la première fois, je me sentais femme. On me demandais même mon avis et de prendre des décisions. En un mois, j'ai pris plus de maturité que dans tout le reste de ma vie et j'ai réaliser quelque chose de primordiale dans ma vie. J'aimais la beauté, la mode.. le monde artistique en général, sauf que je ne m'étais jamais intéressé réellement à ce que j'aimais faire ou non. C'est pour quoi je parlai de mon idée avec la dame qui m'avait recruté et elle me promit de m'aider comme elle le pouvait. Mais je voulais retourner à Miami.. ma vie me manquait, mes amis aussi, et je recevais sans cesse des messages et des appels de ceux qui m'était chers. Je ne pouvais continuer à les inquiéter. Je cassai donc mon contrat, le disant que je serais disponible à la moindre occasion, et je filais de nouveau vers Miami, angoissé à l'idée de me retrouver dans cette ville où j'étais arrivé en larme, et où j'étais parti en larmes.. Mais là, c'était différent. Je me sentais assumé et femme, sure de moi et prête à faire quelque chose de ma vie. C'est pour cela que lorsque je suis arrivée, je me suis de suite mise à la quête d'un emploi, sans grand succès au départ.(...) C'est ainsi que je passai par la case serveuse pendant quelques temps ce qui fut une aventure enrichissante.. J'acceptai toujours l'argent de mon père, en me disant que de toute manière il pouvait bien faire cela et je me rapprochai de nouveau de Wane... mais surtout... surtout.. l'impensable arriva. Je tombai amoureuse... Irrévocablement, irresistiblement et incontrôlablement amoureuse. James. Je tombai amoureuse de James Mayer. Le frère jumeau de ma meilleure amie Aloysia et j'envoyai tout promener. J'avais mis un certain temps avant de l'accepter mais ce fut magique une fois que je pris conscience que l'amour me comblai de joie. Il me rendait femme, unique et merveilleuse et je sentais qu'avec lui je pouvais vivre une vie de rêve. Mais voilà, tout n'était pas toujours rose dans la vie et la déception fit que... je ne fut pas choisis...Mon coeur se brisa mais je décidai de rester forte... Et le miracle arrive.. j'ai retrouvé ma fille.. oui ma fille. Celle qui m'avait été arraché.. Par le malheur de celle-ci, lors de la perte de ses parents adoptifs dans une accident de voiture d'où elle survécu j'ai pu récupérer sa garde après de long mois d'examen et de rendez vous avec une assistante sociale. Ce ne fut pas facile au début.. le lien ne se mit en place réellement qu'un an après l'avoir retrouver dans ma vie. Puis, alors, au nouvel an.. alors que je songeais à ne jamais guérir de mes blessures.. alors que je commençai à accepter de vivre un amour à sens unique... une nouvelle chose arriva. Charlie... mon ami qui m'avait découvert le lendemain de mon viol.. lui et moi nous sommes embrasser et avons passer une nuit ensemble. Cela aurait pu être quelque chose... quelque chose d'inoubliable même. J'avais simplement envie de retrouver une vie normal. Alors que nous nous évitions depuis un mois, je décidai de le mettre face à ses choix et ses démons, la peur de s'engager.. tout semblait partie pour bien se passer. Mais à défaut de ne pas avoir été choisis par James.. Charlie lui choisis la fuite. J'en fut profondément blessé mais.. pour la première fois de ma vie. Je décidai de ne pas me laisser abattre.
C'est ainsi que je pris la décision de me concentrer sur ma fille et sur mon travail.. Jusqu'à cette annonce pour un jeu de mariage à l'aveugle qui me fit de nouveau faire une terrible erreur. Je me sentais si seule après avoir été une nouvelle fois rejeté.. Je décidai donc de me prêter au jeu.. Sans vraiment me rendre compte de ce que cela signifiait. Je me suis donc retrouvé mariée à un parfait inconnu qui prit peur lorsque je parla de ma fille. Si bien qu'en revenant de notre lune de miel, ce fut le silence radio pendant plusieurs mois. Je fus un moment en colère.. Puis je n'y pensai plus réellement, me concentrant REELLEMENT sur ma fille, qui à mes yeux, méritait que je n'aime qu'elle à présent. Les hommes n'avaient plus d'impact sur moi.. Jusqu'à ce que j'apprenne que Wane était en prison.. Pour ses crimes. Je lui avais pardonné ce qu'il était, et on ne s'était pas vraiment revu. J'appris que sa femme avait fuit avec son enfant.. Ce qui me peina et je fus donc présente pour lui.. Mais en le revoyant, des sentiments que je croyais éteinds revinrent en moi et en lui.. Lorsqu'il sortit de prison, nous nous embrassames.. Mais nous étions tous deux mariés. Je voulais faire les choses bien, voulant une histoire simple sans embûche.. Ce fut sans compter sur la balle qui prit et la mémoire qu'il perdit. Ce fut un nouveau coup en plein cœur pour moi... mais j'encaissai de nouveau, encore et toujours debout. Il ne savait plus qui j'étais.. Je voulu rester là pour lui mais.. Je ne pus pas, je n'en pouvais plus. Un soir en faisant le bilan sur ma vie, je me rendis compte comme les hommes et l'amour avait pu me faire perdre tant d'énergie, tant de larme, tant d'année de ma vie. Je pris donc la décision, pendant les vacances de ma fille, d'aller faire un breack.. Et je pris donc contact avec mon père à New York.. Avec qui je renouai des liens, dans le but de trouver, qui sait... un semblant de famille pour Amylia. Je ne répondis pas au message de Wane, ni de sa sœur.. À personne sauf à Aloysia, ma meilleure amie. Je l'avais tant mis de côté mais aujourd'hui, j'étais aussi la marraine de sa fille et je ne voulais plus la mettre de coôté et prendre le risque de la perdre.
Me voilà enfin de retour après deux mois d'absence.. Je dois revenir pour que ma fille ne prenne pas trop de retard à l'école. J'ai pris la peine de lui faire cours moi-même pendant deux mois mais.. Je dois reprendre le travail mais.. Si je ne suis pas revenue plus tôt, c'est parce que j'ai apprit sa mort. Wane.. Wane est mort. Il s'est suicidé... et tout est ma faute. Je n'ai pas ouvert la bouche pendant une semaine, le temps de faire mon deuil et d'apprendre à ressentir et vivre avec cette culpabilité. Car.. Tout est ma faute. Mais je dois tourner définitivement cette page. Cette grande page qu'est ma vie passé, ma vie de douleur.. Je le dois car.. Ma fille approche des neuf ans, des 10 ans.. Elle grandit si vite. Et je veux être un exemple pour. Mais par-dessus tout, je ne veux plus souffrir. Non.. La douleur.. C'est fini.