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 We live in a dark and romantic and quite tragic world. (arlo)

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(#)Sujet: We live in a dark and romantic and quite tragic world. (arlo)   |   Jeu 10 Jan - 23:26



☾ We live in a dark
and romantic and
quite tragic world.

Arlo & Anteynara
☽ ☆ ☾

DETROIT, 18 septembre 2014. (Anteynara : 21 ans)

Elle était en ville pour deux semaines, pas une de plus, et une fois ce temps écoulé, elle comptait bien sauter dans un avion et partir pour Buenos Aires, où elle avait d'autres occupations. En attendant, elle était arrivée la veille, et avait déjà accompli une petite partie de son travail. Un client important l'avait chargée de récupérer quelques objets de valeur bien précis à droite et à gauche, et elle sortait présentement d'un grand restaurant avec au fond de son sac à main un collier en or massif et orné de quelques gros diamants. Elle venait de retirer ses escarpins pour les mettre dans son sac eux aussi, et d'enfiler à la place une paire de baskets un peu plus confortables. L'homme à qui elle avait dérobé le bijou ne s'en apercevrait certainement pas dans l'immédiat, puisqu'elle l'avait remplacé par une copie très ressemblante. Et le jour où il s'en rendrait compte, ça lui sera clairement impossible de définir à quel moment le vol a eu lieu et par qui. Elle se félicitait personnellement de son triomphe. Elle quitta l'avenue bordée de boutiques chics et d'hôtels de luxe, et s'enfonça à pieds dans les rues de Detroit enveloppées par une nuit de pleine lune. Le bling-bling de son début de soirée était bien loin, facilement effacé par le reste de la ville, et elle retrouvait un environnement qui lui était familier, dont les lois et coutumes lui ressemblaient plus naturellement que tous les faux-semblants de la haute, qu'elle maîtrisait pourtant de mieux en mieux. Elle tourna dans une ruelle et à peine l'angle passé, un bras tenta de lui saisir le cou. Il ne lui fallut pas longtemps pour réagir, ses réflexes étaient précis. Il ne lui fallut pas longtemps non plus pour constater qu'ils étaient trois. Trois types, plus grands et plus costauds qu'elle, tout simplement parce qu'ils étaient des hommes, mais ils n'avaient cependant rien qui ne sortait de la moyenne. Elle n'était pas spécialement inquiète ou paniquée, mais savait aussi que trois contre une, c'était un combat assez difficile. Et tout en se défendant, elle analysa méthodiquement la situation. Put établir qu'ils ne la connaissaient probablement pas, qu'ils n'étaient pas là pour elle spécifiquement, mais pour tomber sur la première personne qui passerait. Put conclure qu'ils commençaient à s'exciter en constatant leur échec et les moyens de défense qu'elle semblait avoir. Eut même entièrement conscience d'un quatrième type qui avança vers eux, au pas de course, peut-être dans le but d'intervenir. Avant qu'il ne s'approche, elle parvint à localiser une faiblesse chez un de ses agresseurs : un genou visiblement sensible. Le coup de pied qu'elle y claqua confirma sa théorie et eut raison de ce premier adversaire. Elle put profiter de cette seconde de surprise pour se dégager entièrement de l'homme qui avait son bras autour de son cou, et lui envoya une droite bien puissante qui le déstabilisa. Le troisième homme vint tenter sa chance, mais après une courte lutte, elle put le plaquer au sol et, s'emparant d'une brique, lui brisa la crâne sans hésiter une seconde de plus. Elle se releva et celui qui venait de se prendre le coup de poing, visage en sang et nez probablement cassé, était déjà à plusieurs mètres de là, en train de prendre la fuite. Le dernier, avec son genou explosé, gisait au sol et gémissait de douleur en essayant de se traîner. Elle s'approcha, et lui mit suffisamment de coups de pied en plein dans le visage, jusqu'à ce qu'il perde connaissance, visage en sang, os en miettes, et dents déplacées. Le réveil serait dur. Elle soupira, et se tourna vers l'autre, le quatrième. Arrivé en courant en pleine bagarre, et désormais adossé à un mur, bras croisés, l'air satisfait. Visiblement, il avait vite compris que son aide était inutile. C'était suffisant pour qu'Anteynara l'apprécie un tout petit peu. Du moins, ça posait de bonnes bases. « Le meilleur bar à whisky de Detroit. » elle annonça, le ton on ne peut plus neutre, avant de donner un coup de tête en direction d'une enseigne illuminée, indiquant un bar, au bout de la rue dans laquelle ils se trouvaient. Elle prit son sac, et se tourna pour se mettre en marche. « Me fais pas attendre » lui lança-t-elle par-dessus son épaule, se dirigeant vers le bar en question. Ce n'était pas du tout le meilleur bar à whisky de la ville, c'était juste un bar comme les autres, mais le patron était un ami de Jay, et c'était l'un des endroits de cette foutue ville où Anteynara se savait être la bienvenue, quelles que soient les circonstances. En l'occurrence, elle avait besoin d'un verre, et avait un nouvel ami à se faire.
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(#)Sujet: Re: We live in a dark and romantic and quite tragic world. (arlo)   |   Jeu 24 Jan - 23:54

( We live in a dark and romantic and quite tragic world. )
@Anteynara E. Carlson
T'es qu'un gamin. Un bébé presque. Tu es dans cette ville parce que une famille charitable on acceptée de prendre un adolescent à trouble à charge. Temporairement. Tu le sais. C'est toujours temporaire. Faut dire que tu essaies plus d'être sympa, du haut de tes seize ans tu penses que tu as du caractère. Que tu es fort. C'est peut-être la rage qui t'habitude à force d'être incompris qui te donne des airs plus mature. Ou toutes les nuits dans la rues sous ta ceinture. Tu as fuit tellement de famille. Tu attends impatiemment qu'on officialise tes dix-huit ans pour avoir te compte à rendre à personne.
Là, tu as pris la fuite dans la nuit. C'est qu'au réveil de ses adultes innocents qu'ils remarqueront ton absence. Si le système te retrouve, tu prendras la route vers la prochaine ville qu'ils te dicteront. Sinon, tu prévois vagabonder. Profiter des États-Unis du mieux que tu peux à ta propre façon. C'est la nuit, tu resterais en ville ce soir, mais demain tu veux partir vers le sud du pays. Te fondre dans la masse qu'on oublie qui tu es.
C'est dans une ruelle que tu la croises. Enfin, tu cours à sa rescousse inutilement. Vite, tu vois qu'elle se débrouille mieux que toi. Tu aurais finis avec un poing au visage. Tu aurais saigné pour aider une fille en détresse. Faut croire qu'une partie de toi est plus romantique que tu le crois. T'es jamais tombé amoureux, tu as pas le temps. Surtout que tu finis toujours par partir. Peut-être que tu cherches à protéger ton coeur ou celle que la demoiselle qui s'intéresserait à toi. Tu as eu des soeurs dans des maisons d'accueil. C'est important qu'on les respecte.
Elle est loin d'être une soeur, c'est une inconnu, mais tu es comme ça. Tu l'aurais aider si elle avait besoin. À la place, tu profites du spectacle. Belle leçon pour ces imbéciles qui l'ont ciblée. On s'attaque pas au plus petit que toi et pour toi, tu te rappelles qu'ile faut pas se fier à l'apparence.
Elle prononce une phrase et s'en va vers le bar en question. Ton esprit réagi vite. Tu espère simplement qu'on te laissera y mettre les pieds. T'es qu'un adolescent après tout. Tu la suis et heureusement ton te donne accès au bar. Où tu peux commander deux verres. C'est ton jour de chance. Tu t'assoies sur le tabouret à côté d'elle. J'suis déçu pour le meilleur, il est pas top. Tu fais référence au Whiskey, alors que tu y connais rien. Tu prends une chance. À ton âge, tu bois avec tes potes pour être ivre ou pour pas avoir trop froid les nuits dehors.
Tu les connaissais? C'était peut-être pas la meilleure des idées mentionner ses agresseurs, mais tu es curieux. Ils auraient même besoin d'un cours de leur victime. La prochaine fois, il gagnerait peut-être.


( Pando )
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(#)Sujet: Re: We live in a dark and romantic and quite tragic world. (arlo)   |   Mar 29 Jan - 23:38



☾ We live in a dark
and romantic and
quite tragic world.

Arlo & Anteynara
☽ ☆ ☾

Elle n'avait connu qu'un seul homme dans sa vie qui en valait vraiment la peine. Jay. Les autres avaient été des pions, des instruments, des jouets ou des ennemis. Et de toute façon, elle ne s'était jamais imaginé qu'après Jay, quelqu'un eut été capable d'être assez intéressant. Elle avait rencontré quelques mecs, certes, qui s'étaient montrés tout à fait respectueux, mais s'ils avaient été de taille pour une nuit ou deux, elle ne s'était jamais surprise à fantasmer d'une vie de couple. Peut-être n'avait-elle toujours pas digéré la perte. Ca faisait pourtant des années. Des années qu'il était mort, qu'elle était seule à parcourir le monde sans se soucier de qui que ce soit d'autre, sans adresse fixe car une vie mouvementée était tout ce dont elle avait besoin. Jay était mort, enterré, vengé. Et Anteynara n'était pas du genre à ressasser le passé ou à s'y accrocher. Ca ne servait à rien et elle n'avait pas de temps à perdre avec ça. Mais pour elle, Jay avait toujours été l'élément subversif, celui qui défiait les règles et les principes. Alors oui, peut-être qu'il était encore un peu là, trop présent dans sa vie pour un type mort depuis plus de 3 ans. Mais elle ne pensait pas à lui ce soir, pas exactement, mais plutôt aux hommes en général, alors qu'elle venait de mettre hors d'état de nuire le dernier de ses agresseurs. C'était tout de même dingue que ce genre de chose arrive. Ce n'était même pas rare, et ça n'arrivait pas qu'à elle d'ailleurs. La différence, c'était qu'elle était plutôt confiante, et qu'elle savait se défendre, maîtrisait des arts et techniques qui devaient faire rêver ces types-là. Ou pas, surement trop prétentieux pour penser avoir besoin de quelque autre technique que leurs gros bras. Tout ça restait classique, habituel. Ce qui l'était moins, c'était le quatrième type, car généralement, elle n'avait pas de public. C'est pourquoi, prise d'une soudaine envie de se socialiser, elle l'invita sur un coup de tête à la rejoindre dans un bar au coin de la rue. Antey entra et s'installa au bar, et quelques secondes seulement après elle, le rouquin arriva et prit le tabouret à côté du sien. Spontanément, il commanda deux verres. C'était un bon début. J'suis déçu pour le meilleur, il est pas top. Clairement il n'y connaissait rien. D'où sortait ce type ? Elle se contenta de lui adresser un regard rempli de jugement, haussant un sourcil, et ne répondit rien. Whatever. Elle dégusta son whisky. Tu les connaissais? il demanda alors. Elle étouffa un rire, parce que les cons n'avaient pas besoin de connaître qui que ce soit pour avoir subitement envie d'emmerder les autres. « Non » elle dit simplement. « Ils voulaient peut-être mon sac. Ou tirer leur coup. Ou les deux. Mystère » Probablement les deux. Elle ne savait pas dans quel monde il vivait, à quel point il avait conscience de ce qui l'entourait, s'il était un de ces mecs qui avaient les yeux ouverts sur ce qui se passait dans les rues, ou s'il vivait dans une illusion selon laquelle ce genre de choses était rare. Elle, elle était assez grande et concernée pour savoir que ce n'était pas occasionnel. « T'as un prénom ? » Façon légèrement brutale et pas du tout fine d'aborder les présentations. « T'as pas l'air d'être de Detroit » elle lança, sans vraiment le regarder, mais en faisant ce constat par rapport aux observations qu'elle avait faites avant ça. Elle non plus n'était pas d'ici, mais elle était plutôt bonne actrice, ça venait avec le job, tout comme son talent pour observer et remarquer les petits détails qui voulaient tout dire. C'était plutôt impressionnant, à quel point un corps pouvait hurler de choses sans produire le moindre son.
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(#)Sujet: Re: We live in a dark and romantic and quite tragic world. (arlo)   |   Jeu 31 Jan - 14:27

( We live in a dark and romantic and quite tragic world. )
@Anteynara E. Carlson
Tu as été placé dans trop de famille pour être naïve. Tu as connu trop d'absurdité du haut de tes seize ans pour être surpris de la noirceur qui habite ses hommes. Tu as déjà été victime de pratiquement la même colère habitant un autre homme dans un autre état. À force de bougé, tu as croiser beaucoup de personne. Remarquant des personnalités qui se multiplient. Pratiquement les mêmes personnes sans le savoir. C'est peut-être leur vie qui les rend si similaire ou simplement ce monde ou tout le monde aspire à être la même chose.
Toi, tu es loin d'être comme eux. Pas parce que tu es original ou parce que tu cherches à l'être. Ta vie t'a toujours poussé à chercher à fuir. Sans savoir qui tu étais ou où tu appartenais tu as toujours eu se pressentiment que où tu te situais n'était pas une option. Tu n'as jamais voulu appartenir à une famille ou une société puisque au fond tu avais été abandonner et la solitude était sans doute la seule partie de toi que tu comprenais vraiment. N'ajoutant aucun commentaire sur ces types tu réalises qu'il ne mérite pas une minute de plus de votre attention.  Tu passes plutôt à la prochaine étape que le demoiselle amène sur la table bien clairement. Arlo. Pas un surnom, un prénom trop court pour lui trouver un diminutif. Combien de fois on t'a demander d'où ça vient? Et combien de fois tu as inventer des absurdités pour pas raconter ton histoire d'orphelin. Tu ne veux pas en faire ton identité et pourtant ça te rattrape toujours. Toi? Tu penses qu'elle te donnera sans doute pas sa vrai identité. Tu avais été trop rapidement et n'avait pas chercher à mentir, mais une fille comme elle ne doit pas donner ses infos à n'importe qui. Même un prénom.
Non. Du tout. Je quitte ce soir ou demain. On verra. Tu es pas très mystérieux généralement, mais tu veux pas dévoiler ton âge et pourquoi tu fuis. Dans les deux cas, tu étais mineur et tu retournerait rapidement dans le système si on te trouvait dans ce bar. Tu veux une liberté qu'on ne t'a jamais accordé. Les deux années avant la majorité semblent bien trop long. Ton meilleur ami a déjà pris le contrôle de sa vie et tu comptes aller le rejoindre où il s'est installé. J'me promène beaucoup. Avant Detroit, j'étais dans une petite ville du Wisconsin. J'aime mieux les grande ville, je me promène jusqu'à ce que je trouve ce qui me plaira.
Tu penses sauter dans un train plus tard dans la nuit ou alors faire du pouce. Les options sont infinis quand on n'a personne pour nous dire quoi faire. Y'a un autre endroit que c bar que je devrais visiter avant de partir? Fallait bien visiter toutes ses villes avant de les quitter. Avoir des souvenirs à quoi t'accrocher parce que au final c'est tout ce que tu as.


( Pando )
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(#)Sujet: Re: We live in a dark and romantic and quite tragic world. (arlo)   |   Jeu 7 Fév - 18:20



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Arlo & Anteynara
☽ ☆ ☾

Il semblait différent. Il avait quelque chose qui le rendait intéressant en tous cas, et c'était la raison pour laquelle il avait été invité à passer un moment avec Anteynara, car ce n'était pas dans les habitudes de la jeune femme d'accorder du temps à des inconnus et de s'embêter avec eux. Installés au bar, ils passèrent rapidement sur le sujet de ce qui venait d'arriver quelques minutes plus tôt, dans la petite rue. Ce n'était pas très intéressant, et elle n'avait franchement rien à dire là-dessus. Elle se retint aussi de répliquer lorsqu'il émit une critique au sujet du whisky servi. Ce type ne savait pas de quoi il parlait. Arlo. il répondit quand elle lui demanda de se présenter. C'était un prénom étrange, mais elle était mal placée pour juger, avec celui qu'elle portait. Elle se demanda pendant quelques secondes s'il pouvait s'agir d'un surnom, d'un pseudonyme, d'un alias. Elle en doutait. Il avait une tête à s'appeler ainsi, tout compte fait. Toi? il questionna ensuite. « Antey » Parfois, elle se présentait sous la forme complète, parfois simplement sous son surnom, le seul surnom qu'elle avait et qu'elle acceptait. Un surnom qui lui collait à la peau depuis son enfance. Au final, tout dépendait de qui elle avait en face, et de ses ambitions sur ce que cette personne allait devenir pour elle. Il n'y avait pas de grande logique. Elle sourit mystérieusement, lui fit remarquer qu'elle avait bien compris qu'il ne venait pas de Detroit. Non. Du tout. Je quitte ce soir ou demain. On verra. confirma-t-il. Le verre au bord de ses lèvres, elle le laissa en suspension un instant pour regarder Arlo, avant de finalement boire une gorgée. Elle ne savait pas s'il voyageait simplement ou s'il fuyait quelque chose. Dans la lumière du bar, il paraissait plus jeune que ce qu'il dégageait. Il ne cachait peut-être pas autant de choses qu'elle, mais c'était facile de deviner qu'il avait lui aussi quelques secrets dans ses bagages, qui le suivraient peu importe où il irait. Elle leva doucement un sourcil sans le quitter des yeux. J'me promène beaucoup. Avant Detroit, j'étais dans une petite ville du Wisconsin. J'aime mieux les grande ville, je me promène jusqu'à ce que je trouve ce qui me plaira. Elle ne pouvait que comprendre. Anteynara était une fille de la ville, et si certaines personnes cherchaient plus que tout la tranquillité des campagnes, elle ne supportait pas cela. « Mmmh. » Elle n'était pas spécialement bavarde, c'était un fait. « C'est pas la ville la plus intéressante du monde. Mais ça a ses qualités » dit-elle en restant mystérieuse sur ce que ces qualités pouvaient être. Elle savait de quoi elle parlait, tous les criminels affectionnaient Detroit pour des raisons évidentes. Quant à Arlo, elle se demandait ce qu'il cherchait au final, puisqu'il sous-entendait attendre de trouver quelque chose pour... se poser ? Peut-être. Y'a un autre endroit que c bar que je devrais visiter avant de partir? il demanda ensuite, et elle avait quelques idées, mais tout dépendait de ce qui l'intéressait. Elle connaissait un club de jazz plutôt génial où Jay l'avait emmenée quelques fois, mais elle n'était pas certaine que cela puisse intéresser Arlo. Et puis ils n'étaient pas du tout fringués pour ce genre d'endroit. Elle changea d'idée, haussant les épaules. « J'connais un casino plutôt pas mal. Sinon, on peut aussi profiter de la piscine de mon hôtel. Ou les deux, tu choisis » elle proposa, lui offrant un vague sourire, avant de se commander un second whisky, et de faire de même pour Arlo. « Tu fais quoi dans la vie ? A part te promener » fit-elle, amusée, en faisant référence à ce qu'il avait dit quelques minutes plus tôt.
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(#)Sujet: Re: We live in a dark and romantic and quite tragic world. (arlo)   |   Dim 24 Fév - 15:32

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@Anteynara E. Carlson
Il y avait quelque chose d'amusant à prétendre. C'était peut-être des mensonges, mais pour une fois dans ta vie tu pouvais être qui tu voulais. Aucun dossier te suivait dans ce bar avec Antey. Combien de fois étais-tu arrivé dans une nouvelle famille d'accueille déjà préparer au pire par une travailleuse sociale? Tu étais déjà l'enfant que personne voulait avant même qu'ils te rencontrent. Surement au centre de la cause de toutes tes rebellions. Ici, tu pouvais être qui tu voulais et avec toutes ses options tu ne savais pas quoi en faire.  
J'ai connu pire. Vous parliez de Detroit que tu connais pas à peine. Encore entrain de découvrir cette endroit, tu quittais le lit dans cette chambre qu'on t'avait assignée dans une maison qui n'était pas tienne toutes les nuits pour apprendre à connaître l'endroit et il t'amusait déjà bien plus que des petites villes où tous est fermé à partir de vingt-deux heure.
La piscine serait pas de trop c'est jours-ci. Elle avait proposé d'aller à son hôtel nager. C'était le mois de Septembre, mais l'été persistait. C'était humide dans la grande vile et les nuits étaient bien plus confortable à l'extérieur que dans les quatre murs de ta chambre. Le Casino t'intéressait aussi, mais si on te demandais tes cartes ton identité imaginaire pour la nuit partait en vrille.
Je fais de la boxe. Tu réponds sans réfléchir. C'est pas ta carrière encore. Tu en rêve pourtant bien naïvement. C'est la seule constance dans ta vie depuis que tu as découvert ce sport. Peut importe la ville, tu peux toujours frapper sur un sac de sable ou te pratiquer seul dans ta chambre. Une passion qui te donne toujours envie de t'améliorer. Et toi? Elle a parler d'hôtel, mais naïvement tu as assumé qu'elle restait à cette hôtel pas qui lui appartenait.
Tu termines ton vers,  la conversation continue simplement. Tu ne sais pas si elle suspecte ton jeune âge. Généralement ta carrure tu permets de passer plus vieux quand tu en as besoin. Tu veux qu'on sorte d'ici? Tu lui poses la question alors que la conversation était bien entamé. Tu cherchais pas à aller le plus rapidement à son hôtel, mais tu n'étais pas à l'aise ici. Toujours craintif que ton secret soit dévoilé. Tu veux arrêter pour de la pizza quelque part? Je meurs de faim.   Y parait que la meilleure est à Detroit, mais tout le monde dit ça de sa propre ville. Tu devais y goûter avant de fuir l'État du Michigan. Une tradition que tu faisais dans toutes les villes que tu croisais.


( Pando )
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