(#)Sujet: Re: say it to my face. | Lun 10 Fév - 10:08
(Tell me, what's the situation?I've been rackin' on my brain,just want some answers if I ask you, but I know you'll never say it to my face )
Vexée était son état. Incompréhensible était vraiment le mot. Quand elle et Arlo avaient prit une habitude de finir dans les mêmes draps à l'époque, voilà qu'aujoud'hui, il jouait les bons samaritains serviables qui se souciait de l'état de santé de celle qu'il avait prit l'habitude de mettre dans son lit. Ça ne lui ressemblait pas, ce n'était pas le Arlo qu'elle avait apprit à connaître, le même qu'elle aimait tant, celui qui l'aidait parfois à oublier sa peine et son chagrin. Il avait juste à ouvrir la bouche et à lui parler pour la faire sourire et rire aux éclats. Sa douce compagnie était des plus plaisantes, au point qu'il était devenu l'une de ses rares personnes dont elle ne pouvait se passer à l'heure actuelle. Simple. Quand Arlo n'était pas la, c'était Paisley qui partait le chercher. C'était plus fort qu'elle. Tout était si simple entre eux, ils ne se prenaient pas la tête, s'amusaient ensemble, vivaient intensément au jour le jour sans se soucier de l'avenir. Aujourd'hui, la brunette avait l'impression que le monde entier s'était ligué contre elle, que les choses étaient devenues bizarres, trop bizarres pour qu'elle puisse les comprendre, les assimiler. Elle aurait presque pût être en colère contre lui. Le monde pouvait changer que cela lui était bien égal tant qu'Arlo reste Arlo. «Tu ne veux pas compliquer le tout?» Qu'elle le répétait en plissant les yeux, fronçant les sourcils. Le cours des événements semblaient véritablement lui échapper et elle ne comprenait pas pourquoi Arlo s'entêtait à ne pas profiter de ses faveurs quand elle s'offrirait presque à lui.
C'était agaçant. Non énervant en fait. Chiant à souhait d'être prise pour une belle idiote. Elle avait finit par croiser les bras contre sa poitrine, avant de finir assise sur ses jambes. La tête tournée du côté droit, elle s'était tût et semblait presque "bouder" son jeune ami face à elle. Et voilà qu'il s'était mit à lui balancer ça en plein visage. I think I’m falling for you. Sans plus attendre, ses yeux s'écarquillaient, elle tournait une nouvelle fois la tête vers la sienne pour croiser son regard, pour tenter de comprendre, d'assimiler ce qu'il venait de lui révéler. Arlo. Amoureux. D'elle. «What did you say?» qu'elle demandait complètement chamboulée, perdue par ses mots. Elle n'avait pas rêvé, il venait clairement de lui dire qu'il commençait à tomber amoureux d'elle.«Depuis quand Arlo?» qu'elle demandait froidement cette fois, prenant une expression faciale bien trop dure pour lui. Elle n'avait pas l'habitude d'être hostile envers lui mais voilà qu'il lui balançait ça en pleine face. Si soudainement.. «Depuis combien de putain de temps Arlo?» qu'elle grognait entre ses dents. Oh non, ce n'était pas contre lui qu'elle était énervée, mais bien contre elle. Si elle avait sût que des sentiments avaient commencer à naître dans le cœur du beau rouquin, elle aurait certainement cessé de lui offrir son corps quand ce dernier le désirait plus que n'importe lequel. Elle n'était pas méchante Paisley, il lui semblait que tout avait été clair entre elle et Arlo, ils étaient de grands amis tout les deux. Non. En fait Arlo était une espèce de "Sexfriend" pour elle. Le genre bon copain qu'elle aimait plus que tout et avec qui, parfois, elle échangeait bien plus qu'une simple discussion. Leurs deux corps s'étaient apprivoisés et elle avait tellement aimé cela. Pas un jour elle n'avait pensé qu'il aurait des sentiments pour elle.
Perdue, elle posait une main sur son front en baissant les yeux, trouvant finalement le courage de sortir de ses jambes pour se relever du lit et faire les trois cent pas dans la chambre d'ami. Les mots d'Arlo résonnaient encore dans sa tête. Ce "Je t'aime" soufflé maladroitement et elle lui en voulait en même temps de n'avoir rien dit avant, de ne pas lui avoir mit les barrières, un frein bien avant que son cœur ne s'emballe pour elle. «Pourquoi t'as fais ça?!» qu'elle lui hurlait finalement.«Pourquoi tu ne m'as pas repoussée avant quand tu sentais que ça devenait dangereux Arlo!?» Et elle s'était mise encore une fois à se maudire elle aussi fort que possible d'avoir été suffisamment conne pour laisser les choses dégénérer. Voilà qu'aujourd'hui elle le ferait souffrir, lui, celui qui était si cher, si important à son coeur, à ses yeux, comme Léo et Jade, comme ce quatuor qu'elle avait formé et qui faisait tambouriner son coeur.
(#)Sujet: Re: say it to my face. | Mar 11 Fév - 3:32
“say it to my face ” &Oh que Arlo se détestait. Il savait avant même de lui admettre ses sentiments qu’il regretterait son aveux. À voir son visage changer, son ton de voix devenir sérieux. Ça semblait tellement la déranger. Il n’en fallu pas plus pour qu’Arlo comprenne qu’il n’avait aucune chance. On cri pas au visage d’une personne qui nous plait suite à ce genre de confidence. Son coeur craquait plus qu’il ne voulait l’avouer. Ravalant son égo pour rester calme et essayer de répondre aux questions que lui bombarde son amie. Depuis peu. Il aurait pu utiliser plus de deux mots. Il aurait même dû prendre le temps de lui expliquer qu’il était confus lui aussi, qu’il cherchait à démêler ce qui l’habitait de la réalité. Mais la colère montait en elle, alors que la peine montait en lui. Je viens de le faire Pais. J’aurais pas abuser de la situation en disant rien. Il aimait Paisley, c’était une amie en or, quelqu’un qu’il ne voulait pas perdre. Dans la nuit, la fatigue et la confusion, il la voyait crier, perdre patience et était persuadé que ses craintes se réalisait. Il venait de ruiner cette amitié avec quelques mots. Il était en colère contre sa propre personne lui aussi. Elle n’était plus dans le lit et vite il fit son chemin hors de celui-ci. Même s’il voulait mettre de la distance entre eux, il ne pouvait pas. C’est sur le fauteuil dans le coin de la chambre qu’il alla s’installer. Il lui avait promis que personne d’autre qu’eux entrerait dans cette chambre ce soir. Léo était sorti et ne pouvait pas prendre la relève, mais elle avait besoin d’une présence. Et qu’elle le veuille ou non, elle avait un ami en Arlo. Oublies tout ça s’il te plait. J’ai rien dit. Voilà qu’il se renfermait sur lui-même. Il ne voulait pas le faire, il voulait être disponible pour elle, mais c’était difficile avec la réaction qu’il avait eu droit. J’suis désolé. Il fallait qu’il s’excuse. Il n’aurait jamais dû écouter son coeur. Là, il l’avait blessé aussi. Arlo n’avait jamais eu de relation sérieuse et il ne comprenait pourquoi. Si ça faisait si mal, ça ne valait pas du tout le coup d’essayer. On est fatigué, je n’ai pas les idées claires. J’ai compris, ce n’est pas du tout réciproque. Pas de problème, mais je t’ai promis de veiller sur toi cette nuit. Je peux rester assis ici si tu préfères ou me rasseoir avec toi. Il se répétait un peu, mais il ne voulait pas expliquer à quelqu’un en colère comment il avait pu se perdre dans ses sentiments. Il n’était pas en mesure de le prendre. Son coeur lui faisait mal, il allait apprendre à le gérer. Laisser derrière la relation que Paisley et lui avait pris l’habitude d’avoir. Il resterait présent pour elle quoi qu’il arrive. Le bien être de la jolie brune l’important plus que le sien. Tout le monde se fait briser le coeur, tout le monde survit. Il en serait pas l’exception. Il fallait juste qu’il apprenne à gérer la peine qui venait avec le rejet qui venait avec prendre une chance. Elle aurait pu réagir de mille et une façon, mais celle-ci, il ne l’avait pas vu venir. C'était maladroit, mais c'était sa façon de lui démontrer qu'il serait toujours là pour elle. Qu'il serait son ami encore longtemps si elle le laissait l'être. C'était Arlo, loyal avec ceux qui lui sont cher peut importe l'histoire qui les unis. Et même si cette conversation menait à la fin de leur histoire, il serait prêt à la soutenir no matter what.
(#)Sujet: Re: say it to my face. | Jeu 13 Fév - 13:21
(Tell me, what's the situation?I've been rackin' on my brain,just want some answers if I ask you, but I know you'll never say it to my face )
Les deux mains de chaque côtés de la tête, les pas nerveux dans la chambre d'ami, elle avait du mal à réaliser ce qu'elle venait tout juste d'entendre de la bouche d'Arlo. Il venait clairement de lui avouer qu'il s'était éprit d'elle, qu'il commençait à éprouver des sentiments à son égard, qu'il en était amoureux. Elle s'était mise à lui hurler dessus presque. C'était plus fort qu'elle, elle avait tendance à faire ce genre de chose quand elle sentait que la situation lui échappait et qu'elle n'était pas en mesure de la gérer. Elle était autant fautive que lui dans l'histoire, si seulement elle ne s'était pas laissée aller dans ses petits jeux de coucherie avec lui, peut-être qu'il n'aurait jamais rien éprouvé pour elle, juste une précieuse amitié. Depuis peu. Les sentiments étaient récents, frais, peut-être qu'il finirait par l'oublier finalement, aussi vite que ne sont apparus ses sentiments à son égard. Elle l'espérait tellement, elle qui refusait de le faire souffrir lui, certainement pas lui. Elle s'en était tellement voulu, terriblement même de lui avoir fait croire des choses, mais elle lui en voulait tellement à lui aussi de ne pas l'avoir repoussé jusqu'alors. C'était plus fort qu'eux, plus fort qu'elle, l'alchimie avec Arlo était puissante et quand elle se disait mentalement qu'ils n'échangeraient que quelques paroles et de bons fous rires, elle finissait toujours ou presque dans ses bras, totalement nue. Il lui demandait d'oublier, mais comment pouvait-elle le faire? En un claquement de doigt? Impossible. Elle s'était mise à rire nerveusement, en levant finalement les yeux sur le plafond. «Oublie tout ça? Mais comment tu veux que j'oublies tout ça justement Arlo?..» Et elle tourna la tête vers lui, les sourcils froncés, les yeux plissés.
Il continuait de parler, s'excuser de sa maladresse, enchaînait tellement vite qu'elle eut énormément de mal à assimiler. Il était clairement mal à l'aise et cela se ressentait. C'était bien la première fois d'ailleurs qu'elle le sentait si tendu en réalité.«Tu m'donnes mal au crâne.» qu'elle soufflait finalement en venant s'installer sur le rebord du lit, une main sur son cœur douloureux. Et Arlo était tellement loin d'elle, et elle aurait tellement aimé qu'il se rapproche à nouveau, qu'elle puisse poser sa tête contre son épaule rassurante tout en fermant les yeux. Elle aurait tellement aimé lui offrir ses mains qu'il puisse les serrer aussi fort que possible. Et elle aurait tant aimé qu'il lui raconte des blagues pour la faire rire, pour détendre l'atmosphère comme il savait si bien le faire en temps normal. Elle aurait tant aimé qu'il reste .. Arlo.«T'avais pas le droit de me dire ça..» qu'elle soufflait tristement en baissant les yeux sur le sol de la chambre. Et elle avait l'impression que plus rien désormais ne serait comme avant, que tous ce qu'ils avaient pût partager jusqu'à présent venait de s'envoler très loin sans qu'elle ne soit en mesure de les rattraper pour les retenir égoïstement contre elle. «J'peux pas te faire ça Arlo..» Putain mais pourquoi elle a envie de pleurer? Pourquoi elle se sent aussi mal intérieurement? Sa peine de la veille semblait s'être éveillée, mélangée avec cette incompréhension soudaine, l'impression que ses plus proches alliés finiraient par la quitter, par disparaître, la laissant seule face à son triste sort.«J'ai pas envie que tu partes. J'ai pas envie que tu me laisses. J'ai besoin de toi dans ma vie Arlo.» et elle lâcha une petite larme, le cœur serré, la gorge nouée. Elle avait besoin de lui plus que jamais et ce même si elle savait que plus rien ne serait comme avant, peut-être même qu'il finirait par s'éloigner de lui même d'elle. Elle n'en savait rien à vrai dire, mais une chose était sûre: Elle aurait besoin d'entendre son rire, le son de sa voix des années encore à venir, si bien sûr, il veut bien d'elle dans son existence..
(#)Sujet: Re: say it to my face. | Ven 14 Fév - 4:04
“say it to my face ” & C’était assez difficile pour Arlo. Il voulait être un bon ami pour Paisley. Il voulait être avec elle pour les meilleurs moments et les pires. Présentement, elle vivait ce qu’il espérait un des plus bas, puisqu’il voulait qu’une chose: qu’elle remonte la pente. Qu’elle soit heureuse. Avec ou sans lui. Qu’elle sourit sincèrement. Qu’elle vive ses rêve. Et Arlo, il serait le meilleur ami qu’il pouvait être. Même si ça voulait dire que son coeur saignera en secret pendant un moment. Ses sentiments l’importe peu. Il avait l’habitude de devoir les taire. Déjà enfant du système, il n’était jamais entendu par les adultes autour de lui. Il avait appris à shut down quand c’était trop lourd. Et cette nuit qui semblait interminable, c’est ce qu’il fit. Il avait pris quelques minutes de trop pour le faire. Avait mis de la distance entre Paisley et lui, la laissant faire les cent pas alors qu’il s’était assis dans le coin de la chambre puisque c’était tout ce qu’il pouvait vraiment faire. Elle lui criait sa colère et la partie colérique en lui voulait hausser la voix aussi. Lui crier qu’il voulait ce qu’il a de mieux pour elle. Qu’il lui donnerait tout ce qu’elle lui demanderait si elle lui laissait sa chance. C’était pourtant clair dans son regard, sa façon de bouger, ses mots que jamais il ne pourra même tenter de lui prouver qu’il pourrait être un copain à la hauteur de ce qu’elle mérite. Alors il s’était éteint comme il l’avait fait trop de fois dans le passé. Je sais. Je te demande pardon. Elle avait raison. Il n’avait pas le droit de lui dire ce que son coeur ressentait dans un moment comme celui-ci. Je voulais attendre, mais je pouvais pas te mentir non plus. En la repoussant ce soir, elle aurait eu des questions. Elle croyait même quelques instant plus tôt qu’il ne la désirait plus alors qu’il trouvait qu’elle était une des femmes les plus désirables qu’il avait bien plus croiser. Son regard, ses lèvres, ses courbes. Il voulait toucher une dernière fois à cette peau si douce, mais malheureusement les cris de Paisley ce soir marquaient la fin de leur passé. À croire qu’il était celui qui déplaisait à la jeune femme vu sa réaction face à son aveu. Soupirant après les derniers mots de son amie. Elle ne voulait pas qu’il parte. Et encore déchiré, Arlo soupira. Une partie de lui voulait partir le plus loin possible. Il avait honte. Il avait de la peine. Il voulait que son coeur arrête de battre si ça voulait dire qu’il ne bat plus pour elle, mais ce n’était pas si simple. Des sentiments ne se dissipent pas si simplement. Se levant pour retourner dans le lit où elle s’était assise. Je m’en vais nulle part. Je te l’ai déjà juré et ça ne change rien à ma promesse. Elle pleurait. Laissant grandir la colère en Arlo. Oh qu’il s’en voulait de la mettre dans cette état. Il aurait pu pleurer lui aussi, mais il avait décidé de taire ses émotions pour être présent pour lui. Son coeur pouvait souffrir en silence, tant qu’il était le bon ami qui lui avait promis d’être. La prenant même dans ses bras pour la bercer chaleureusement alors que son coeur était serré. Je serai toujours ton ami Pais’. Je m’en vais nulle part. Se répétant une dernière fois. À présent, il ne savait pas si c’était ses mots qui l’avait mené aux larmes ou si c’était les événements de la veille qui s’étaient permis de remonter à la surface. Peu importe, pleurer lui ferait surement du bien, elle qui gardait toujours tout sous sa carapace pouvait souffler un peu. Il resterait là mon Arlo, jusqu'à ce qu’elle s’endorme à force de pleurer s’il le faut. Il aimait sa Paisley le rouquin, il restera toujours à ses côtés même s’il devait se contenter d’une belle amitié.
(#)Sujet: Re: say it to my face. | Mer 19 Fév - 16:29
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Arlo venait tout juste de lui avouer ses sentiments à son égard. Des sentiments loin d'être uniquement amicaux, mais bien amoureux. La nouvelle avait été plutôt dure à digérer sur le coup et en même temps, elle aurait dû tellement s'en douter. Cela faisait plusieurs fois maintenant qu'ils couchaient ensemble, qu'il offraient un bout de leur personne l'un à l'autre. Arlo était l'un des rares à savoir le passé tragique de Paisley, celui dans lequel ses deux parents avaient tragiquement disparus lors d'un accident d'avion. Il était l'un des seuls à qui elle s'ouvrait entièrement, un peu trop d'ailleurs. Sa présence lui faisait un bien fou, énorme même et elle craignait que cette nouvelle ne change tout entre eux. Elle le voyait déjà si loin d'elle, si distant et cela lui brisait par avance le cœur. Arlo lui était précieux, cher à son cœur et l'imaginer loin d'elle était une horreur, elle ne le supporterait certainement pas.
A nouveau, elle ne pût s'empêcher de se confier à coeur ouvert à lui,et face à cette réaction, cette tristesse qui avait commençait à poindre dans ses yeux, Arlo s'était rapproché à nouveau pour la tenir contre lui, pour lui promettre qu'il ne disparaîtrait pas, qu'il tenait à elle, qu'il serait la pour elle quoi qu'il arrive. Il disait ça sur l'instant, mais qu'en sera t-il de l'avenir? Il disait ça parce qu'il pouvait la sentir fragile, il sentait qu'elle était à deux doigts d'exploser, de part les récents événements. Elle était fragile et il refusait de lui faire du mal, de blesser un peu plus son cœur déjà à terre.«Tu dis ça maintenant..» qu'elle lui soufflait au creux de ses pectoraux, venant humer à plein poumons son parfum d'homme alors que ses doigts agrippaient déjà le haut du rouquin pour le garder près d'elle. Elle avait pas le droit de le retenir égoïstement, Arlo était en droit de partir après tout et après sa déception, il avait le droit de ne pas vouloir être auprès d'elle bien que cela soit sa crainte, elle se doutait que les choses ne seraient plus jamais comme avant et cela lui faisait mal, terriblement mal. «Tu peux pas me promettre que rien ne changera entre nous Arlo.. Les choses changerons, j'en suis certaine.» qu'elle ajoutait tristement en reniflant fortement pour retenir ses larmes au coin de ses yeux.«T'es important pour moi.. T'as toujours été important. A tes côtés, je me sens bien, je retiens mon sourire quand lui veut partir. Tu m'fais rire et j'ai pas envie que ça change et j'ai peur que ça change.» qu'elle continuait alors qu'elle agrippait un peu plus son haut, qu'elle se collait un peu plus à lui pour fermer les yeux.
Elle n'était pas prête à ce que change, elle refusait que ça change pour l'instant. Arlo était la, présent pour elle et l'instant présent vint compter encore plus qu'il ne l'aurait du. Elle avait peur qu'au petit matin prochain, Arlo s'en serait allé, qu'il l'oublierait, qu'il essayerait de la chasser de son esprit troublé. Elle savait de ce fait qu'elle ne pourrait pas rester d'avantage ici, et qu'il fallait qu'elle retourne chez elle, dans son appartement aux côtés de Mackenzie, déjà pour tenter de reprendre le cours de sa vie, mais aussi pour permettre à Arlo de digérer la chose, de se remettre de cette douleur nouvelle qui avait atteint son cœur, autant que celui de la brunette qu'il tenait pourtant à l'heure actuelle contre lui, au creux de ses bras.
(#)Sujet: Re: say it to my face. | Jeu 20 Fév - 20:15
“say it to my face ” & C’était une soirée difficile pour Arlo. Avouer ce genre de sentiment prend toujours du courage. Et puis là, Paisley le prenait très mal. Ça l’énervait qu’elle n’arrête pas de se projeter dans l’avenir à dire que les choses allaient changer. Il était toujours là Arlo, a éteindre la flamme inutile en lui. À se rappeler qu’ils seraient à présent juste amis. Leur relation s’arrêterait là. Il se déplacerait encore à n’importe quelle heure pour elle. Il voudrait briser les dents de n’importe quel idiot qui jouerait avec son coeur. Il restait silencieux à présent, ça ne servait à rien de défendre sa parole. Il ne pouvait que lui prouver qu’il ne laisserait pas son faux pas se mettre entre eux. Au final, les choses changeraient si elle traitait différemment Arlo maintenant. Et à part terminer leur histoire d’amants, Arlo resterait loyal à leur amitié. Il n’avait pas de famille, ses amis étaient tout ce qu’il avait le rouquin. Je serai toujours à tes côtés quoi qu’il arrive Paisley. Promis C’était l’heure de laisser Paisley se reposer. Elle en avait besoin bien plus qu’Arlo qui la serra dans ses bras jusqu’à ce qu’elle laisse la fatigue l’emporter. Et comme il tenait à rester véritable, il resta dans la chambre jusqu’au levé du soleil. Sortant de la chambre quand elle fut bien assouplie simplement pour aller lui préparer des crêpes pour déjeuner alors que les oiseaux chantaient dehors. Elle se réveillait quand il rentra dans la chambre de nouveau avec un plateau. Il faut dire qu’il était bien heureux qu’elle ait réussi à se reposer malgré tout. Told you I wouldn’t go anywhere. Installant sur ses genoux le plateau, il s’installa à ses côtés pour partager un repas avec sa bonne amie. Sans plus. Bon, aujourd’hui, on te sort d’ici, tu as besoin de bouger. Il allait lui prouver que rien avait changé entre eux en passant une journée à lui changé les idées en ville. Paisley était une de ses meilleures amies avant tout. C’était sans doute pour le mieux que rien allait changé. Ainsi, ils ne se perdront plus jamais de vue.
“say it to my face ” & 
