- messages : 2616 - feat. & crédit : zacouille la fripouille - anniversaire : 13/05/1992 - activité : dirige sa propre salle de sport - double compte : la team et "o" et des "iii"
(#)Sujet: Re: It's one in a million, the chances of feeling the way we do | Jeu 18 Fév - 20:47
libby & chad
You know I'll catch you threw it all
Nous avions une conversation non prévue dès le matin. C'était pas évident à avoir mais il le fallait. J'avais toujours eu du mal à communiquer mais je voulais qu'avec Libby ça fonctionne alors je faisais tout pour - dont dire ce que je pensais tout de suite et pas me faire mille pensées et péter un câble pour rien. Donc direct je lui parlais de mon problème avec le côté Dean de cet article, lui demandant ce qu'il en était de leur relation. D'abord, elle me répondait au tac-o-tac comme si je lui posais un entretien de police alors que non puis la suite fut plus naturel. Même si elle me posait une question que j'appréciais peu, c'était déjà moins flic. Elle me disait qu'il avait été là pour l'aider et qu'il avait proposé d'être là si y'avait pas une solution possible. je serrais les lèvres quand même. Je n'aimais pas tellement l'idée quand même, c'était plus fort que moi. tu me connais, j'ai fais des efforts mais je reste possessif et je n'aime pas que des mecs soient autour de toi... alors en plus une idée pareille... ça me rend fou. lui fis-je alors avant qu'elle ne me pose la fameuse question. Je faisais non de la tête. j'aurai accepté que si tu me disais ne pas m'aimer en retour. lui répondis-je alors limite froidement mais c'était parce que je ravalais la pensée même de l'imaginer. C'était impensable pour moi. Il y aurait du sang dans ce scénario.
Elle finissait par me montrer son portable en m'expliquant qu'il savait pour moi et qu'il était OK avec cette relation. Je baissais son téléphone en fronçant les sourcils. je te fais confiance, Libby. Je n'ai pas besoin de preuves. Tu me dis que c'est faux, c'est faux. Tu as le droit d'avoir des amis et une vie intime. Tu es toi avant d'être avec moi, d'accord? Je sentais bien des réflexes de "mariage forcé" là dedans. Je n'aimais pas ça du tout. je voulais changer ses habitudes, qu'elle comprenne que dans ce couple sa personne était importante. ça lui ferait bizarre et ça lui prendrait sûrement du temps mais c'était comme ça. je suis désolé d'être si possessif. Je te promets de faire attention, je ne veux pas que tu penses que tu dois t'interdire certaines choses à cause de moi. Je veux que tu sois heureuse, c'est tout. lui soufflais-je alors simplement, enfin ce n'était pas simple à dire mais simple au final dans les mots.
Je redevenais doucement moi-même alors que je remarquais sa peur que maintenant. Elle avait peur que ça se sache à cause de l'article, c'était logique et je m'en voulais de ne pas y avoir penser. Je cherchais à la rassurer, lui dire que ça n'irait pas plus loin, c'était trop sérieux pour être vraiment cru de ce côté là. Je lui rappelais que je la voulais heureuse, d'où cette idée de mariage. ne dis pas n'importe quoi. c'est toi qui fait le plus gros du chemin dis-je alors qu'elle me disait ne pas savoir ce qu'elle serait sans moi. Elle me proposait alors d'appeler l'avocat dont je parlais. Je souris. allez fis-je en composant le numéro. On lui apprenait qu'on acceptait d'entamer les procédures et il proposait d'aller directement à son cabinet pour que ce soit concret et qu'il explique tout. Alors je proposais l'après-midi même et ce fut possible. On raccrochait. viens là toi fis-je alors en attrapant la main de Libby, la tirant vers la salle de bain et la déshabillant doucement, l'embrassant tout à coup. Tout ça m'avait donné juste envie d'elle avant de passer au concret au cabinet, et même après ça je pense que j'aurais encore envie d'elle. Je passais vraiment par toutes les émotions! Mes lèvres dans son cou, je la serrais contre moi en faisant glisser son short de nuit. je ne pensais pas que me marier m'exciterait autant, j'avoue lui soufflais-je alors avec le sourire. Me marier tout court, je n'y aurais jamais pensé. Mais que ce soit elle était une suite logique, je brûlais depuis toujours pour son joli visage.
(#)Sujet: Re: It's one in a million, the chances of feeling the way we do | Mer 24 Fév - 15:53
libby & chad
You know I'll catch you threw it all
Cette conversation n’était pas simple. Elle voyait sur les traits de, ce qu’elle ose appeler maintenant, son fiancé qui souffrait de la situation. Elle l’avait vu rager pour moins que ça une décennie plus tôt. Elle savait combien c’était pas simple pour lui de faire confiance aux inconnus, qu’il avait peur de la perdre encore une fois et qu’il y aurait sans doute que c’est papier qui calmera cette angoisse qui les ronge tous les deux doucement. C’était pour ça qu’elle avait parlé de l’avocat. Fallait en finir avec cette souffrance. Ce ne sont pas les circonstances adéquates pour un mariage, mais si une bague pouvait leur acheter la paix et la tranquillité, tout le monde en ressortira vainqueur. Le sourire sur le visage de Chad en était bien la preuve. Ses traits s’étaient adoucis, elle retrouvait celui qui l’avait fait craqué dans le parc de New York. Elle le laissa faire le dit appel des papillons dans le ventre. Ça n’avait rien à voir avec son premier mariage, mais étrangement il sera au deux partout dans ses pensées. Il la tira vite dans la salle de bain. La couvrant de baisers, il avait délaissé son cou le temps de lui souffler quelque mots qui donna une idée à l’Hindou. Tu sais que, c’est pas l’envie qui manque là… Il lui avait déjà enlevé son short et une partie d’elle voulait vraiment succombé, sauf que ce jour de mariage n'avait absolument rien de traditionnelle. Et si… on attendait? Pas qu’ils avaient attendu le mariage depuis le début de leur rencontre, mais le jour du mariage, les mariés ne sont généralement pas ensemble. Faudra faire la lune de miel à la maison, mais on se rejoignait là-bas? Il avait quelques heures avant de se dire oui. Ça donnerait le temps à Libby de trouver une robe blanche et de se faire une beauté dans son van avant de le rejoindre au bureau de l’avocat. C’est de la mal chance ici, voir la mariée dans sa robe, pas vrai? Par chez elle, les festivités durent une semaine. Ça avait été une semaine exigeante émotionnellement. Là, si elle pouvait s'enfermer avec son futur époux pendant une semaine après avoir rencontré l’avocat, elle ne sera pas déçue. Je te ferai ce que tu veux après. Si elle trouvait une robe rapidement, elle pourrait même trouver un petit déshabillé pour rendre cette nuit de noce pas tout à fait comme les autres. Tu en dis quoi? Elle avait continuer de l’embrasser pour le taquiner quand même, elle en avait autant envie que lui, mais lui résister quelques heures rentraient peut-être ce jour un peu moins comme les autres pour leur futur souvenir.
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(#)Sujet: Re: It's one in a million, the chances of feeling the way we do | Ven 12 Mar - 18:38
libby & chad
You know I'll catch you threw it all
Une fois que l'idée de l'avocat sur le tapis, j'avoue que j'avais eu une horrible envie d'elle. Forcément, tout ce dont je rêvais depuis plusieurs semaines allait se concrétiser. Me marier n'avait jamais été au programme de mes projets de vie, mais je pense que s'il y avait bien une personne avec qui j'aurai pu l'envisager, c'était bien elle. Même si vous m'aviez posé la question quand je l'avais perdue de vue, j'aurais sans doute répondu son prénom. Elle avait été la première et la seule à me faire un effet pareil. De toute façon, j'ai toujours eu énormément de mal avec les sentiments de manière générale à cause de mes parents, alors à partir du moment où une nana réussit à me convaincre que c'est possible, elle avait tout gagné. Et cette nana là, c'était Libby à New York quand nous étions des adolescents et elle seulement.
Tout le chemin que nous avions parcouru, toute la vengeance qu'elle avait face à la vie, toute cette croyance autour du mariage qu'elle comme moi devions apprendre à connaître... tout ça brûlait en moi quand je m'approchais d'elle dans la salle de bain. Puis, elle initiait un petit jeu. Elle me disait alors en avoir terriblement envie mais qu'attendre après ce mariage avec l'avocat semblait être bien pour rendre une petite tradition à l'institution du mariage. Je fis la moue en continuant doucement de la caresser alors qu'elle aussi jouait avec mes nerfs en m'embrassant. hmmm c'est cruel fis-je alors en essayant de mettre cette idée dans mon esprit alors que mon corps refusait tout bonnement. mais okkkkk je ferais tout pour madame Tate lui fis-je alors en la regardant dans les yeux. omg cette phrase m'avait encore plus donné envie d'elle, malheur. Je la serrais contre moi, souffle fort, mon front contre le sien. tu finiras par avoir ma peau lui fis-je alors en feignant une souffrance extrême. N'empêche qu'elle m'avait donné l'idée de sortir LE costume pour l'événement. Bon, je lui avais promis une seconde demande et un autre mariage plus "typique" et plus "amoureux" mais pourquoi pas rendre ça le plus romantique possible malgré les circonstances. j'ai intérêt à avoir ce que je veux, après lui fis-je alors en l'embrassant une dernière fois et je reculais doucement d'elle pour la laisser à ses occupations. Dès qu'elle était sortie de la maison, j'allais aux miennes et je me préparais.
Comme proposé, nous nous retrouvions chez l'avocat. j'arrivais en premier et j'avais papoté avec lui du divorce là-bas, de comment ça se passait etc. il m'avait rassuré en me disant que je n'avais qu'à me marier ici, tranquillement avec lui et la loi américaine et que le reste il en faisait son affaire. Son boulot était, disait-il, de nous donner le moins possible à faire et que tout se passe dans notre bonheur le plus total et je le remerciais mille fois pour son travail pour nous. Bon, faut dire que l'indien n'avait rien en sa faveur et que l'état américain protégeait bien ses résidents. N'empêche qu'il faisait un boulot d'or et que je comprenais sa réputation. J'avais mis un de mes plus beaux costumes, un bleu qui faisait ressortir la couleur de mes yeux, avec les chaussures parfaites etc... Que j'avais fait sur mesure quand j'avais ouvert ma salle de sport. Evidemment, je prévoyais de m'en faire un autre pour la fois où je la re-demanderai en mariage, vraiment. Mais je savais qu'il ferait son effet pour cette fois-ci.
Nous arrêtions de parler avec Maître Tremblay quand sa secrétaire annonçait l'arrivée de Libby. Mon sourire s'afficha instantanément figé sur mon visage. Elle était vraiment belle. Elle avait sorti une belle robe pour l'occasion et un joli maquillage ainsi qu'une jolie coiffure. Enfin, elle était toujours belle à mes yeux mais là c'était fou. J'avançais vers elle pour attraper sa main et être assez "loin" de l'avocat pour lui glisser un tu es vraiment très belle avant d'échanger un regard qui en dit long sur les battements actuels de mon coeur. Je retournais avec elle cette fois-ci vers le bureau de l'avocat où nous nous asseyions face à lui. Comme je disais à votre futur époux, dans l'annulation de votre mariage dans votre pays natal, vous n'avez pas à vous inquiéter. Tout ce que je vous demande à partir de maintenant, c'est d'être heureux. Même s'ils essaient la technique d'envoyer la surveillance des fraudes à l'immigration de toute façon, vous ne risquez rien. Donc, après ce rendez-vous, soyez simplement heureux. Cet homme avait une sensibilité et avait vu clair qu'un véritable amour nous unissait et qu'il sauvait notre couple en travaillant de la sorte. Je ne le remercierai jamais assez. Etes⁻vous prêts? demanda t-il alors, je serrais la main de Libby avant de tourner doucement la tête vers elle, souriant.
Nous voilà unis en ce jour pour célébrer l'union de deux êtres s'aimant avec passion, Melle Libby Emani et M. Chad Tate. Par les pouvoirs que m'a conféré la loi en tant qu'avocat et témoin de cette union, je vous demande ceci : Melle Libby Emani, voulez-vous prendre pour époux M Chad Tate, ici présent? Prévenez-moi quand je dois reprendre ma respiration.
(#)Sujet: Re: It's one in a million, the chances of feeling the way we do | Dim 21 Mar - 17:08
libby & chad
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C’est rempli de désir l’un pour l’autre que les futurs mariés se sont quittés quelques heures. Libby se surprenait à avoir des papillons dans le ventre plutôt que de l’angoisse. Les festivités de son premier mariage ont duré plusieurs jours, comme les traditions indiennes le demandent. Ça la rassurait presque de savoir cette deuxième chance plus simple. Leur parcours avait été si long et rempli d'embûches, un union simple est ce qui parle le plus à son cœur. C’était pour eux ce mariage et personne d’autres. Ils avaient besoin d’aucun témoin. Elle a trouvé une boutique vintage un petit ensemble un peu hippie comme elle les aime blanc pour être dans les couleurs des mariages typiquement américain même si leur union n’a rien de typique. Elle le rejoint presque en retard au bureau de l’avocat tellement elle avait voulu être parfaite pour l'occasion. Elle a retrouvé son fiancé avec un sourire ravageur dans le bureau de l’avocat qui les aidait si aimablement. Émue de le voir dans son habit. La gamine de seize ans en elle en avait tant rêvé dans leur année ensemble à New York, mais son père l’avait fait rentrée avant même qu’elle puisse l’inviter au bal de promo. T’es pas mal non plus. Lui renvoyant son compliment si naturellement, il en ferait rêver tellement ce Chad. Attentionné, créatif, charmeur, talentueux, respectueux, Libby avait de la chance que d’être celle qui l’accompagne aujourd’hui. Fébrile, elle le suit jusqu’à l’avocat qu’elle remercie humblement plusieurs fois avant qu’ils ne se lancent dans les démarches qui les uniront officiellement pour toujours. Rassurée d’entendre le mot annulation. Elle avait l’impression que sa vie était sur le point de démarrer véritablement quand il commence réciter les passages officielles à mentionner lors d’un mariage. Sa main nouée à celle de Chad depuis qu’il leur a demandé s’ils sont près, son sourire parlait pour elle. Sa main avait trouvé sa place il y a si longtemps, mais voilà qu’elle sera dans celle de Chad pour toujours. Je le veux, Trois mots qui réveillent tellement d’émotions dans l’indienne tremblant de joie face à son premier amour. L’avocat récite le même paragraphe à son futur époux qui répond la même chose dans sa voix si parfaite qu’elle peut à peine attendre l’approbation de l’officiant pour embrasser son époux pour la première fois. Un long et tendre baiser rempli de passion qu’elle lui réserve pour la maison. Ils signent les papiers officiels avant de quitter le bureau et enfin se trouver juste à deux dans les rues de Miami près de la voiture de Chad. Elle s’était rendue en taxi. Viens là toi, Elle tire sa main qu’elle n’avait pas quitté pour attraper son visage et l’embrasser avec moins de pudeur qu’elle l’avait fait dans le bureau. Elle entrevoit la bague à son doigt et même si elle en a porté une dix ans, jamais ça ne lui a paru si réel. Je vous aime Chad Tate. Elle ne voulait pas quitter ses bras, mais ils devaient se rendre à la maison. On va célébrer cher époux? Une question avant de retrouver ses lèvres pour les savourer un peu plus longtemps.
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(#)Sujet: Re: It's one in a million, the chances of feeling the way we do | Mar 6 Avr - 22:21
libby & chad
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Même si ce n'était pas le vrai mariage, même si je savais que je lui en devais un dorénavant, même si je savais que ce n'était pas le mariage que je voulais lui offrir, mon coeur battait comme si c'était le cas. Je n'aurais jamais pensé avoir envie de me marier un jour, d'engager quelconque vraie relation sérieuse avec quique ce soit. Faut dire, d'où je viens, c'pas tellement l'ambiance. Déjà aimer quelqu'un sans Libby j'aurais jamais su, de base. Faut pas oublier qu'elle est quand même mon premier amour, et qu'à l'époque déjà je foutais n'importe quoi. Je regrettais pas mal de choses. Et même par la suite, j'ai jamais été foutu d'aimer quelqu'un correctement. Moi, l'histoire de couple, de passer du temps régulier ensemble, de s'avouer des trucs tout rose, d'imaginer passer sa vie avec l'autre... c'est pas du tout mon délire de base. j'ai pas été élevé comme tout le monde, faut dire. Avec un exemple comme mes parents, c'est sûr que j'ai pas le même objectif que les gens normaux qui est d'avoir une famille et une vie amoureuse digne d'un conte de fée. Moi, je me battais pour survivre aux conneries de mon père pour fuir et sauver ma petite soeur, c'était tout ce qui m'importait. Je n'imaginais jamais ce qui m'arriverait une fois réussi, car j'avais du mal à voir le bout. Encore longtemps quand nous étions arrivés ici, j'imaginais qu'il nous retrouve et refoute le bordel.
Alors forcément, à être là, face à Libby, j'avavais deux émotions. La première, celle juste de ressentir ce truc de malade à vouloir vivre avec quelqu'un jusqu'à la fin de mes jours, et en plus l'émotion juste d'avoir cette émotion. Compliqué, non? Mais en même temps, tellement logique que ce soit avec elle, vous trouvez pas? Celle qui a donné à ce coeur de pierre sa première lueur de jour, celle qui a été la première à me soutenir, à vouloir me donner une vie meilleure, celle qui a vécu le pire mariage qu'on puisse imaginer, un mariage forcé, qui n'y croit pas non plus, qui en a même peur, en qui je vais aussi redonner espoir en la chose. Tout était comme écrit. Deux personnes se retrouvant face à une situation possible qu'avec l'un et l'autre.
Elle tirait ma main une fois sorti du bureau de l'avocat pour m'embrasser langoureusement, dans sa belle robe blanche. Je l'attrapais derrière les hanches pour la coller à moi alors que je lui rendais avec passion ce baiser. Je ne saurais mettre de mots sur tout ce qui se passait dans mes tripes, c'était fort, trop fort. Je t'aime. lui répondis-je alors, mes yeux azur pétillants d'amour et de bonheur. Je revoyais un tas de moments avec elle à New York, des bons, des moins bons mais tous me faisaient du baume au coeur. Oh oui allons célébrer fis-je alors en souriant, comprenant ce qu'elle voulait dire par là. Je l'attrapais alors pour la porter jusque la voiture en riant avant de démarrer pour la maison, notre maison.
Une fois arrivés, Jake nous sautait dessus mais je lui lançais vite un jouet pour avoir la paix. La porte claquée, les choses sérieuses pouvaient commencer.
Nus sur le lit, je jouais avec ses cheveux que j'ai toujours tant aimé et d'un coup, alors que nos respirations étaient encore fortes, je sortais mon idée : ça te dit qu'on retourne à New York quelques jours? une sorte de lune de miel? lui proposais-je alors. J'y pensais depuis quelques jours, et c'était là.