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 ON FAIT LA PAIX ? II Madison et Hayden

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(#)Sujet: ON FAIT LA PAIX ? II Madison et Hayden  |   Dim 10 Jan - 2:06

Hayden D. Fitzduncan et Madison Campbell


ON FAIT LA PAIX APRÈS TOUT CE QUI S'EST PASSÉ ?

La journée avait été terriblement longue, j’étais épuisé, je devais songé à prendre quelques jours de repos, où je passerais probablement mon temps à dormir dans mon vrai lit. Il y a une semaine, j’avais revu mon père dans la salle de conférence avec mes avocats, où je prévoyais de divorcer avec Geane, sauf que ça n’avait pas pu se faire, j’étais toujours marié à elle, ça me travaillait de plus en plus. On s'était connu il y a des années elle et moi, Geane était encore vierge, et elle était mon premier amour. Comment avait-il pu faire ça ? Et surtout, comment il a pu être au courant que j’allais divorcé ? Ça n’avait pas de sens. Il me tardait de revoir June, je voulais l’a revoir, mais je voulais être prêt pour aller la voir, et surtout, je prévoyais lui annoncer que j’étais enfin un homme divorcé, mon histoire était bien trop compliqué. Après de longues heures de travail, je décidais de me précipiter dans les vestiaires des chirurgiens, j’ôtais ma blouse, puis je prenais quelques affaires dans mon sac, en me dirigeant vers la douche, j’avais besoin d’une bonne douche avant de rentrer, j’avais fais pas mal d’opérations, ça avait été rude de tenir presque 24h d’affilées, en plus j'ai eu affaire à un enfant qui était autiste, ça avait été très difficile d'avoir de la patience qu'il faut. J'avais hâte de rentrer chez moi, de me mettre un film de Brad Pitt, et aller me coucher. Je me savonnais, et je tâtais ma cicatrice sur le torse qui avait été faite durant l’accident au château, quelque part, je l’aimais bien, car ça nous avait rapproché June et moi. Sans plus tarder, je me rinçais et je sortais de la douche, j’attrapais une serviette pour me nettoyer, pour enfiler ensuite mes vêtements, qui était un haut kaki, ainsi qu’un simple jean, avec des converses noires. Les couleurs militaires m’allaient toujours aussi bien, je rangeais le tout dans mon casier, et je secouais mes cheveux encore mouillés. J’attrapais mon sac avec le bandeau que je mis par dessus mon épaule en sortant. Je me promenais dans la rue devant de l’hôpital quand j’aperçut une chevelure blonde un peu plus loin, ça ne pouvait qu’être Madison. On ne s’était pas revu depuis la naissance de Riley à New-York, voire même suite au mariage de Geane et moi, c’était durant cette période aussi où elle a apprit que je m’étais plus ou moins allié à Sebastian pour pouvoir tuer quelqu’un. J’avais été déçu de sa réaction, je pensais qu’elle me comprendrait mieux que quelconque, mais ce ne fut pas le cas. « Madison. MADISON. » Interpellais-je, jusqu’à ce qu’elle se retourne, il faisait déjà nuit à Miami, il devait être aux alentours de 22h, ça me surprenait qu’elle terminait tôt, bon sans aucun doute parce qu’elle souhaite réviser ses examens. Une fois arriver à son niveau, je lui adresse un signe de tête, je ne peux pas lui sourire, et faire comme si rien ne s’était passé entre nous. On avait eu une histoire, et quelque part, je l’aimerais toujours. « On peut se parler s’il te plaît ? » Demandais-je à celle-ci, cependant, elle était toujours aussi radieuse. Je me mis en face d’elle pour l’empêcher de continuer la route, j’avais vraiment besoin de l’a retrouvé. « S’il te plaît Madison, ne me fuit pas encore, pas une fois de plus. » Lâchais-je simplement.

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(#)Sujet: Re: ON FAIT LA PAIX ? II Madison et Hayden  |   Dim 24 Jan - 18:54




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La journée avait été plutôt courte. En effet, le chef me permet d’alléger mon planning afin de pouvoir étudier. Ce n’est pas tous les jours que l’une de ses résidentes passe ses examens pour devenir titulaire avec quelques années d’avance. En effet, lorsque je suis entrée en internat, je ne fessais pas partis du même programme que les autres. A l’époque, j’étais riche et j’ai eu la chance de pouvoir me payer un programme accéléré. Ce n’était pas si simple mais j’y suis aujourd’hui et c’est ma seule chance car si je rate… je n’aurai pas les moyens de financer un nouveau programme. C’est d’ailleurs pourquoi, je n’ai pas hésité à délégué mon rôle de chef des résidents.
En arrivant dans la salle des résidents, je n’ai pas perdu de temps pour atteindre nos vestiaires afin de me changer sans oublier de me recoiffer. Même si mon compte en banque n’est plus aussi garni qu’autrefois, j’ai gardé mes habitudes. Mon apparence est importante, il m’aide à me sentir bien. S’aimer, c’est primordial.
Vêtue d’une robe bustier bleu, d’une paire de talon noir et de mon sac à main du même coloris, j’étais sortis de l’hôpital le sourire aux lèvres. Ces derniers temps, j’avais ce petit sourire continuel sur mes lèvres. Je pense que j’étais assez heureuse de ce que j’avais. « Madison. MADISON ! » Entendis-je. Je n’eus aucune difficulté à reconnaître cette voix. C’était celle d’Hayden. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, même si nous travaillons ensemble, Hayden et moi ne nous adressions plus un seul mot. Je ressens tellement de dégoût à son égard que j’ai toujours refusé tous dialogue. Néanmoins, je m’étais retournée, l’air ennuyé. Je ne voulais pas lui parler et surtout pas maintenant. Il est vingt-deux heures. « On peut se parler s’il te plaît ? » Demanda le jeune homme. Mais malgré son insistance, j’avais fait un petit pas afin de montrer mon envie de partir. Néanmoins, il ne bougea pas. « S’il te plaît Madison, ne me fuit pas encore, pas une fois de plus. » Ajouta ce dernier. Mon regard quitta le sien pour se diriger sur le côté de la route. Je réfléchissais. J’hésitais entre le poussé pour partir et lui dire de se pousser et partir. Clairement, je n’avais rien de plus à lui dire. « Si c’est au sujet de ton père, c’est bien moi qui lui ais appris ton mariage avec Geane. J’ignorai qu’il n’était pas au courant. » Lui dis-je alors en le regardant.   « On s’est disputé en fait. Il m’a appelé puisqu’apparemment, tu ne lui donnes pas de nouvelle. Il m’a critiqué et comme tu t’en doutes, je ne me suis pas laissé faire et puis ton mariage avec Geane est sorti sans que je m’en rende compte. Mais au moins, il sait à quoi s’en tenir maintenant. » Lui dis-je alors en le regardant. « Tout est dit, je m’en vais. Pousse-toi. »  Terminais-je simplement sans montrer d’hostilité. Je fessais preuve de maturité. En effet, je n’ai plus les mêmes réactions qu’à l’époque. Aujourd’hui, j’ai des projets plein la tête, une vie que je tente de mettre en place et je n’ai plus de temps à perdre. J’ai complètement laissé l’adolescente que j’étais pour la femme que je suis devenue.

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(#)Sujet: Re: ON FAIT LA PAIX ? II Madison et Hayden  |   Lun 1 Fév - 3:51

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Je venais de finir mes heures à l’hôpital, la journée avait été éprouvante tout de même. Je ne m’attendais pas spécialement à rencontrer Madison dehors, mais je l’interpelais tout de même, on avait pas encore eu l’occasion de discuter depuis New-York, lors de l’accouchement de Geane. Certes nous avons un passé tout les deux, mais tout de même, elle avait été importante à mes yeux, et elle le sera encore, puisqu’on a failli avoir un enfant ensemble, jusqu’à ce que Sebastian nous arrache ce bonheur. Je ne m’étais pas encore pardonner de l’avoir abandonné quand je devais partir en Irak, on commençait quelque chose quand ça été détruit si brutalement. J’arrivais donc à sa hauteur et j’essayais de la stopper, la priant de ne pas me fuir une fois de plus, elle se tourna vers moi d’une manière agacée visiblement, mais je m’en fichais, on devait parler, un jour ou l’autre, on devra mettre les points sur les i qu’elle le veuille ou non. J’étais du genre à être coriace tout de même. « Si c’est au sujet de ton père, c’est bien moi qui lui ais appris ton mariage avec Geane. J’ignorai qu’il n’était pas au courant. » Dit-elle avec toute franchise, or, je ne venais pas la voir pour ça, je voulais savoir si elle allait bien. Même si nous étions plus ensemble, je me préoccuperai toujours d’elle. « On s’est disputé en fait. Il m’a appelé puisqu’apparemment, tu ne lui donnes pas de nouvelles. Il m’a critiqué et comme tu t’en doutes, je ne me suis pas laissé faire et puis ton mariage avec Geane est sorti sans que je me rende compte. Mais au moins, il sait à quoi s’en tenir maintenant. » Dit-elle en m’expliquant, j’ignorais tout ça, j’étais surpris, ce qui expliquerait pourquoi mon père à débarquer dans la salle en s’opposant à ce divorce. « Tout est dit, je m’en vais. Pousse-toi. » Dit-elle, alors qu’elle s’apprêtait à partir, je lui attrapais le bras pour la retenir, il était hors de question que je l’a laisse partir une fois de plus. On avait encore un tas de choses à se dire, je sais qu’elle m’a aimé, et que ça lui a fait mal ce que j’ai fais. « Je ne venais pas pour ça. Mais c’est bon à savoir… Je ne peux plus divorcer comme je le souhaite. Tu connais mon père mieux quelconque, et pourquoi tu es toujours en contact avec lui?? » Dis-je en l’a regardant avec sérieux, je voulais me séparer de Geane pour qu’elle puisse vivre sa vie tranquillement, tout comme moi aussi, mais visiblement la tâche s’était un peu compliqué. « Je venais pour voir si tu allais bien, et si tu t’en sortais avec tes examens. » Lâchais-je avant de rajouter. « Et pour qu’on puisse discuter tout les deux, ça fait un bon moment. Depuis New-York vrai à dire. » Dis-je en relâchant son bras gentiment, j’espérais vraiment qu’on puisse se parler puisque je m’étais calmé depuis, et j’avais évolué. « Je refuse que tu partes encore une fois. Tu as compté pour moi Madison, et encore aujourd’hui, une partie de moi t’aimera toujours. Parce qu’on a eu une histoire, donc, s’il te plaît… Ne pars pas encore. » Dis-je, en réalité, je ne pourrai pas le supporter.

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(#)Sujet: Re: ON FAIT LA PAIX ? II Madison et Hayden  |   Jeu 11 Fév - 3:52




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N’ayant aucune motivation en ce qui concerne une éventuelle discussion avec Hayden, je n’avais pas mis beaucoup de temps pour me décider. Je ne voulais pas rester là, près de lui. Pourquoi le ferais-je ? Hayden est devenu ces dernières années une personne que je méprise. En effet, Hayden est en réalité le genre d’homme capable de faire le pire. Il a aidé l’homme qui a tué ce qui aurait dû être notre bébé. C’est une chose que je n’arrive pas à concevoir. Sebastian m’a privé d’une chose que la majorité des femmes n’aimeraient pas perdre. Et en l’aidant, Hayden m’a donné la sensation de recevoir un coup de poignard dans le dos en appuyant très violemment lorsque la lame est entrée en contact avec ma peau.
Cependant, Hayden attrapa mon bras. Il n’avait pas l’intention de me laisser partir. Mes yeux s’étaient alors ouverts un peu plus. J’étais surprise de son geste. En effet, je n’ai plus donné d’importance à son existence depuis un long moment maintenant. Depuis la naissance de mon filleul, Riley, pour être honnête. « Je ne venais pas pour ça. Mais c’est bon à savoir… Je ne peux plus divorcer comme je le souhaite. Tu connais mon père mieux quelconque, et pourquoi tu es toujours en contact avec lui ? » Ajouta ce jeune garçon. Un soupire s’était alors échappé de ma bouche. Le genre de soupire agacé. J’avais envie de lui que c’était bien fait pour lui mais puisque cela concernait ma meilleure amie, je ne pouvais pas dire ça. Entendre ça me dérangeait puisque d’une certaine façon, je suis en quelque sorte responsable. Si je n’avais rien dit à son père, ils pourraient surement divorcés. Mais d’un autre côté, ce n’était pas volontaire et si elle n’avait pas fait l’erreur de se marier à cet imbécile, nous n’en serions pas là. « Ton père est un connard, ce n’est pas nouveau. Tel père tel fils de toute façon. Mais quoi qu’il en soit, ne t’imagine pas que j’ai gardé contacte avec ton père. Je ne l’aime pas. C’est juste que lui est resté persuadé que notre avenir était ensemble. Donc d’un côté mon petit coco, moi, votre histoire, ça m’arrange et puis ça me débarrasse. Je n’aurai plus aucun Fiztduncan dans ma vie et ça m’ira très bien. » Lui répondis-je en le regardant sérieusement parce que oui, j’étais sérieuse. Hayden a massacré mon cœur et je dois vivre avec certaines choses. Choses que j’ai fini par acceptés mais qui restent néanmoins douloureuses dans le fond. « Je venais pour voir si tu allais bien, et si tu t’en sortais avec tes examens. Et pour qu’on puisse discuter tout les deux, ça fait un bon moment. Depuis New-York vrai à dire… Je refuse que tu partes encore une fois. Tu as compté pour moi Madison, et encore aujourd’hui, une partie de moi t’aimera toujours. Parce qu’on a eu une histoire, donc, s’il te plaît… Ne pars pas encore. » Rajouta cet imbécile. Ce qu’il venait de me dire eu le don de m’énerver. Toute fois, je pris sur moi. Je le regardais un instant avant de prendre la parole : « On va faire quelque chose Hayden. Puisque je ne te porte pas assez dans mon cœur pour te frapper, tu vas rentrer chez toi et je vais rentrer chez moi. Tu vas oublier que j’existe et je ferai de même. » Lui dis-je dans un premier temps avant de reprendre en croisant mes bras. « Mais avant ça, tu vas m’écouter bien attentivement pour la dernière fois. Ne fais pas mine de vouloir de mes nouvelles ou de t’intéresser à mes examens. Ta grande hypocrisie, tu peux te la garder. Et surtout, ne me redis plus jamais que tu m’aimeras toujours sauf si tu veux que je t’enterre vivant en dessous d’une fausse commune.  » Lui dis-je simplement en sentant mon rythme cardiaque se bloquer. Impossible que je fasse une crise cardiaque en ce moment. Non, ce n’était pas possible.  
Sans plus attendre, je m’étais retournée pour essayer de retrouver un rythme correct en essayant d’attraper de grande bouffée d’air frais. Ca semblait marcher… Et lorsque mon regard recroisa celui d’Hayden, je pris la décision de lui balancer ce que je retenais en moi depuis bien trop longtemps. « Tu veux que je te dise ce que tu es pour moi ? Tu es pire que Sebastian. Tu es un monstre. Et je vais te dire pourquoi ! Parce que contrairement à Sebastian, tu étais censé avoir des sentiments pour moi, nous allions avoir un enfant ensemble. Mais tu as été capable de l’aider dans une affaire de meurtre en sachant pertinemment ce qu’il m’a fait. »  Lui dis-je sans me rendre compte qu’une larme, voire deux, étaient en train de tomber.. « Il a d’abord pointé une arme face à mon visage avant de tirer une balle à quelques centimètres de ma tête. Il m’a kidnappé puis séquestrée pendant plusieurs jours dans le sous-sol de son bar. Il m’a torturé ! Toi qui a été au combat, tu sais ce que veut dire le mot torturé ? Il m’a fait hurler à de nombreuses reprises en m’infligeant un tas de blessures. Il m’a marqué le visage. Il a même été jusqu’à percé ma main avec une perceuse. Tu imagines la douleur que j’ai pu ressentir ? Tu imagines le nombre de larmes qui ont coulés sur mes joues ou encore le volume sonore qui s’est échappé de ma bouche ? Tu imagines tout ça Hayden ? » Continuais-je en sentant toutes ses larmes tombés les unes après les autres. C’était le moment pour tout lui balancer, j’étais enfin prête à le faire. « Il m’a affamé, désorienté. Il m’a fait croire que mes derniers instants sur terres allaient se passer comme ça. Il m’a fait croire que j’allais mourir dans le bar de son sous-sol. Tu imagines le traumatisme que ça été pour moi ? Parce que oui, Madison est une femme forte, oui Madison est capable d’endurer tout ça, oui Madison a continué sa vie mais la vérité, c’est que je ne m’en suis toujours pas remise. La vérité Hayden, c’est que j’en fais toujours des cauchemars. La vérité, c’est que je continuerai sans doute à en faire toute ma vie parce que ce qu’il m’a fait, c’est inoubliable. Il m’a retiré mon enfant et en plus de ça, il m’a retiré la chance d’en avoir à nouveau. Il m’a rendu stérile Hayden ! Tu entends ? Il m’a rendu stérile ! » Poursuivais-je en séchant moi-même mes larmes avec ma main. Je ne voulais pas qu’elles tombent mais on n’a pas toujours le choix. « Alors tu vois, tes états d’âmes, j’en ai rien à foutre. Que tu ne puisses pas divorcer, j’en ai rien à foutre. Que ce soit de ma faute, je n'en ai rien à foutre. Et que veuilles prendre de mes nouvelles, j’en ai rien à foutre non plus. » Terminais-je en affrontant son regard. Aussi bizarre que cela puisse paraître, je me sentais soulagée. Je me sentais beaucoup mieux. J’ai mis du temps à le sortir. J’ai mis du temps à lui dire que Sebastian m’a rendu stérile mais je suis heureuse de l’avoir fait aujourd’hui. Hayden sait maintenant plus que jamais pourquoi je le déteste.    

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(#)Sujet: Re: ON FAIT LA PAIX ? II Madison et Hayden  |   Jeu 11 Fév - 4:39

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« Ton père est un connard, ce n’est pas nouveau. Tel père tel fils de toute façon. Mais quoi qu’il en soit, ne t’imagine pas que j’ai gardé contacte avec ton père. Je ne l’aime pas. C’est juste que lui est resté persuadé que notre avenir était ensemble. Donc d’un côté mon petit coco, moi, votre histoire, ça m’arrange et puis ça me débarrasse. Je n’aurai plus aucun Fitzduncan dans ma vie et ça m’ira très bien. » Répondait-elle à ma question, je voulais juste comprendre pourquoi elle avait agit de la sorte, et je pouvais très bien comprendre qu’elle était en colère après moi. Elle avait toutes les raisons de m’en vouloir, de me faire du mal, même si je ne le montrais pas forcément qu’elle me faisait souffrir d’une certaine manière, mais après tout, je ne peux pas nier que je l’ai vraiment aimé cette femme. Elle a été très importante dans ma vie, et je suppose qu’elle le sera toujours, parce que je me déteste aussi de lui avoir fait autant de mal.

Je restais en face d’elle, en l’écoutant tout ce qu’elle avait à dire sur le coeur, et chaque paroles où je l’écoutais, ça me brisait un peu plus que je ne l’étais il y a quelques minutes. Ses larmes coulaient sur ses joues, elle tentait de se retenir mais rien à faire, ça coulait tout seul, tandis que je pinçais mes lèvres, c’était difficile pour moi d’entendre tout cela, je n’avais jamais su tout ce qui lui était arrivé, et je ne pouvais pas l’a forcé de me dire tout cela, elle avait besoin d’espace tout comme moi j’en avais besoin. Une fois qu’elle ai fini de parler, je restais planté devant elle en planquant mes mains dans les poches de mon pantalon, en prenant une grande inspiration, je comprenais maintenant pourquoi elle se sentait blesser. « Je suis désolé, je pourrais te le dire un million fois que je suis désolé, parce que je le pense vraiment. » Commençais-je à mon tour, avant de soupirer doucement en l’a regardant. « Ce n’est pas à propos de toi, ou à propos de ce… » Déglutissais-je, je voulais éviter de prononcer son prénom, c’était un connard. Si j’en avais eu la chance, je l’aurai tué moi-même. « C’était à propos de moi. Je sais ce que ça fait d’être agressé, d’avoir mal, que tu n’en peux plus, tellement que tu souhaites mourir pour ne plus à avoir recommencer encore, et encore ce cauchemar. Et tout ce que tu veux, c’est d’avoir cette vengeance, en pensant que ça t’apportera la paix intérieur, mais tu as tort… Cet homme, je voulais juste lui faire vivre ce que j’avais vécu, il m’avait détruit à l’intérieur tout qu’extérieurement Madison! Je voulais lui faire payer. » Dis-je, c’était la vérité, j’espérais vraiment qu’elle m’écoutait, c’était important pour moi tout comme pour elle. Elle devait le savoir, que je tenais à elle par dessus de tout, du moins ça l’était quand nous étions ensemble, car je sentais qu’on se comprenait, non seulement Sebastian lui a prit tout ça, mais il a aussi prit ce que nous étions, on avait plus aucune communication, on ne se comprenait plus, on était devenus de parfaits étrangers depuis le jour où elle est partie de l’hôpital après son opération de la main qui lui a presque valu sa carrière. « Ce n’était pas une question d’aider ce … C’était une question de trouver la paix pour moi. Et je ne l’ai pas trouvé… Je serai toujours comme ça. Je pensais être soulagé de savoir qu’il était mort, mais quelque part par là, il vit encore, puisque je revis ces souvenirs encore, et encore! » Expliquais-je à celle-ci, difficilement. Je m’approchais doucement vers elle, en posant. « Je suis désolé qu’il t’ai fait mal, mais ce qui me fait mal Madison, c’est que tu penses que j’ai fais ça pour lui alors que c’était pour moi. Si il te toucherait encore, je ferai tout pour te protéger, encore! » Lâchais-je en haussant la voix, je voulais me faire entendre, oui, je tenais à elle, énormément.  « Je sais qu’il t’a prit tout ce que tu avais, ta carrière, la possibilité d’avoir un enfant… Il nous a même prit NOTRE enfant. Ne pense pas que ça me fait rien, ça a failli me détruire! J’ai encore du mal à accepter aujourd’hui… J’imagine à tout ce qu’il aurait pu être. » Dis-je, difficilement, je reniflais doucement, avant de serrer la mâchoire et mon poing en face d’elle, avec de gros yeux, j’étais très en colère, mais pas contre elle, contre celui qui lui a presque prit sa lumière et ses nuits en paix. « Ça me fait plus mal de savoir que je te fais mal plus qu’il ne t’en a fait. Tu n’imagines pas… » Finissais-je en soupirant pour évacuer ce que je ressentais à mon tour.

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(#)Sujet: Re: ON FAIT LA PAIX ? II Madison et Hayden  |   Jeu 11 Fév - 21:23




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Je me sentais quelque peu libérée à présent. J’avais encore un tas de chose à dire mais disons que le plus important est déjà sorti. Le reste n’est pas si utile. Cependant, Hayden ne semblait pas comprendre. Il ne semblait pas comprendre que je ne partage pas son envie de discussion. La seule chose que je souhaite, c’est qu’il continue son chemin et qu’il me laisse continuer le mien. Je n’y arrive plus. Je ne peux plus le voir. Son visage me donne des sueurs chaudes et l’envie d’être féroce. Pourtant, à cet instant précis, son image est à mes yeux tellement bas qu’il ne m’est pas nécessaire de lui porter encore plus d’attention que je lui en ai déjà donnée. « Je suis désolé, je pourrais te le dire un million fois que je suis désolé, parce que je le pense vraiment.  » Ajouta tout de même ce dernier malgré ce que je venais de lui dire. J’étais égarée, voire saoulée par son obstination mal placée. « Au cas où tu ne l’aurais pas saisie, ça aussi, j’en ai rien à foutre Hayden. Ton devoir n’était pas bien compliqué. Ton seul devoir d’ailleurs. Tu aurais du protéger la mémoire de notre enfant mais tu ne l’as pas fait. Et ça, je ne te le pardonnerai jamais. J’ai eu un père pitoyable mais finalement le destin a empêché notre enfant d’ne avoir un aussi. C’est la seule chose positive dans tout ça. » Ajoutais-je clairement sans prendre de pincette. Je ne voulais pas parler et s’il me forçait à le faire, j’allais lui faire savoire mon opinion la plus sincère.
Cependant, il continua et cette fois, je ne l’avais pas coupé. Je préférai l’écouter, ça réduira le temps de l’échange et puis ça me donnera l’opportunité de calmer ma peine. C’était d’ailleurs assez difficile parce que plus il parlait et plus je mourrai d’envie de laisser mes larmes s’extérioriser. La peine que j’éprouvais était malheureusement bien grande. « Il y a quelque chose que je trouve très choquant. Tu me manques même de respect. Je sais que tu es faible, je le sais depuis bien longtemps mais de là à ce que tu cherches à prendre la place de la victime dans cette histoire, c’est scandaleux. » Lui dis-je tout d’abord en continuant de porter mon regard vers le sien. « Arrête de trouver des arguments, ça ne sert à rien. Ce que tu as fait, c’est pathétique, point finale. Tu ne vaux pas mieux que Sebastian. Autrement dit, tu ne vaux rien. Et je ne dis pas ça dans le but de te rabaisser ou de te blesser, c’est simplement ce que tu es à mes yeux et ce que tu diras n’y changera rien. Tu ne nous as pas protégé, tu as faillis à ton rôle et c’est juste impardonnable pour moi. C’est d’ailleurs bien pour ça que je ne regrette pas de t’avoir quitté. C’est l’une des meilleures choses que j’ai accomplie dans ma vie. Tu ne m’aurais rien apporté. J’aurai eu l’impression d’être à la fois l’homme et la femme parce qu’au même titre que ton père, tu n’as pas suffisamment de couille. Tu n’es pas un homme. Tu n’es qu’un lâche et je m’arrête là auquel cas je risquerai de te sortir tous les adjectifs qui me viennent en tête. » Terminais-je en passant la main dans mes cheveux pour me calmer un peu. Je vais même partir sinon son existence risque de s’arrêter maintenant. « Et pour ta gouverne Hayden, tu ne m’as jamais protégé. Pas une seule fois et c’est pour cette raison que tu ne dois jamais redire que tu me protégeras encore s’il me touche. L’option super-héros n’existe pas pour toi. Tu n’as pas ce qu’il faut pour ça. Trouve la paix. »  Lui dis-je avant de poser ma main sur épaule en guise d’au revoir.

r p . c l ô t u r é .
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