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 (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.

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(#)Sujet: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.   |   Mar 5 Juil - 0:28

La différence entre le possible et l'impossible réside dans la détermination qui sommeil en toi
FLASHBACK : FOUR MONTHS BEFORE
« Fitz ? A 22h00 on attend tes services dans un petit studio de journalisme, pour l’anniversaire de l’une des employées. Je compte sur toi pour faire de l’effet, et surtout ramener un petit pactole » Immédiatement, un sourire se dessinait sur le coin de mes lèvres. Ah, ce que j’aimais ce taff. Je voyais de tout, j’avais toujours des surprises, et puis c’était divertissant, voir toutes ces filles ne plus en pouvoir devant mon corps. Je n’étais pas du genre à me vanter, mais je savais pertinemment que j’avais des atouts que certains hommes n’avaient pas, et je devais avouer que parfois, j’en jouais pas mal. Ce soir, j’enfilais ma tenue de pompier complète, enfin, j’enfilerais le casque au dernier moment, et montais dans ma décapotable. Merci papa pour le cadeau. Je me tapais des petits kiff sur la route lorsque je me retrouvais seul, plein phare, j’avouais parfois appuyer sur le champignon histoire de m’amuser un peu. Arrivé à l’adresse indiquée je descendais, et sonnais, là une des collègues répondait à l’interphone et m’ouvrais, m’indiquant l’étage et la porte à prendre. Là, en sortant de l’ascenseur une main m’attrapais le poignet et m’attirais avec elle. Je me retrouvais devant une charmante jeune femme, je lui lançais un sourire charmeur, et elle m’expliquait rapidement comment ça allait se passer et me décrivais la jeune femme pour qui j’intervenais ce soir. Je mis mon casque de pompier sur la tête et me frottais les mains impatient de me retrouver face à cette jeune femme. Je me rendais donc devant la porte 405, et frappais, un sourire malicieux glissait au coin des lèvres. Là, une brunette ouvrait la porte, ce n’était pas elle, la jeune femme m’avait décrit ma proie comme étant blonde, et elle était loin d’être blonde. Elle regardait la fille en question, dans le fond, j’avais envie de sourire, mais je devais garder mon sérieux, pour être un minimum crédible. Toutes les filles me regardaient surprises, enfin, elles semblaient surprises histoire de duper leur collègue. Je rentrais alors dans la pièce d’un pas décidé. « On m’a dit qu’il y avait le feu par ici, et je crois bien que c’est le feu qui brûle en toi que je dois éteindre » lâchais-je en m’approchant de la jeune fille en question. Une blondinette, vraiment jolie, plutôt jeune, la vingtaine, mais plus près de vingt que vingt-cinq, tout ce que j’aime. Ses pommettes devinrent subitement rouges, et c’est alors que je me lançais dans mon show. Toutes les filles ne pouvaient s’empêcher de me toucher, ou de me regarder, toutes sauf une. Une blondinette, encore, elle était plus occupée par son article visiblement, plutôt que par le spectacle qui s’offrait à elle. Je me retrouvais désormais plus qu’en boxer, mais rien n’y faisait. Etonnamment, je me surprenais à la regarder avec insistance tandis que je me déhanchais sur la jeune fille qui était elle aussi très mignonne, mais c’était différent. Elle m’accordait de l’importance, l’autre pas même un regard. Et j’aimais ça. Ne dit-on pas que l’inaccessible attire ? C’était le cas. Elle avait cette façon d’agir, qui me donnais encore plus envie de la découvrir. De la chercher, subtilement. Subtile, je l’avais été. Parce qu’en partant de la pièce, je l’avais suivi de près puisque le show était terminé, et j’étais tombé sur un flyer qui était tombé de son sac, et ce que j’avais lu m’attirer plus que je n’aurai pu l’imaginer, je m’étais donc rendu à cette soirée, et franchement, je n’avais pas été déçu du voyage. Mais derrière ce voile, j’aurai juré que c’était elle. Oui, cette italienne qui ne m’avait pas adressé un regard dix jours auparavant. J’en aurai mis ma main à couper tant cette silhouette m’étais familière. Je ne tardais pas à confirmer mon idée lorsque je la voyais sortir de cette loge. Je restais là, discret et silencieux. Elle passait à mes côtés sans même s’en rendre compte. C’était elle. La journaliste. J’ai donc eu cette idée. Rédiger un article sur « comment mener une double vie » en donnant des exemples concrets, comme elle et son côté danseuse burlesque, et moi et mon côté stripteaser. Nous communiquions comme ça pendant presque trois mois, par articles, seulement je connaissais son identité, tandis qu’elle ne connaissait pas la mienne, et je crois que c’est ce que j’aimais le plus, ce côté mystérieux entre nous.
TODAY :
Voilà désormais quatre mois. Et au bout de quatre mois. Je décidais enfin d’arrêter de la faire tourner en bourrique. Peut être était-il temps qu’elle découvre qui j’étais vraiment ? Je trouvais cela amusant, mais bon, j’avais aussi envie de voir sa réaction. J’ignorais si elle était seule ou si elle avait quelqu’un, mais dans le fond, je m’en fichais pas mal. Mon métier m’avait appris à me foutre de pas mal de choses. Faire des striptease à des filles en couple, c’était un domaine que je connaissais désormais. Donc quand bien même elle aurait quelqu’un, qu’est-ce que cela pouvait bien me faire ? Tout ce que je voulais s’était rompre le mystère. Même si j’aimais ça, il fallait tôt ou tard qu’elle le découvre. Ca ne serait pas drôle sinon. J’étais passé quelques jours auparavant à son bureau au studio de journalisme histoire de lui donner un indice. Qui la menait à un autre, puis encore un. Au final, tout ces indices la menaient à mon bureau dans l’école maternelle où je travaillais, et où par conséquent je l’attendais. Enfin. Non. Mon bureau l’attendait. Moi, je me trouvais dans la salle de classe, qui donnait sur mon bureau. Seulement voilà, la porte de mon bureau était ouverte, tandis que celle de ma classe était fermée à clé. Je regardais sur la petite caméra de surveillance, qui gérait l’entrée de l’école, et voilà que l’italienne arrivait enfin. Mama. Quelle beauté. Woh, Isaac. C’est pas le moment. Restes concentré. Ok, j’avoue que je ne me gênais pas pour la regarder. Elle était vraiment belle à regarder. Son déhanché lorsqu’elle marchait. J’aurai presque eu envie de poser mes mains sur ses hanches, et de me faire bercer par son déhanchement de déesse. Elle approchait. J’entendais le bruit de ses talons claquaient sur le sol de mon école. Bientôt je devrais intervenir. Je jetais un furtif coup d’œil en sa direction, elle était là, devant mon bureau. Hésitait-elle à rentrer ? Peut être bien. Je me renfermais discrètement dans la salle, et lorsque j’attendais quelques minutes entendant des bruits de pas, je ressortais de nouveau la tête de la salle pour constater qu’elle était sans doute rentrer dans mon bureau. Clé en main, je sortais et me rendais discrètement à la porte de mon bureau que je fermais à clé, enfermant ainsi la demoiselle à l’intérieur. Elle ne devait rien comprendre. Quand à moi, je faisais le tour, et me rendais dans ma salle de classe pour ensuite ouvrir la porte de mon bureau, vêtu de cette tenue de flic que j’avais emprunté au club. Bon, je n’avais pas forcément le droit d’utiliser mes vêtements de soirée à mon propre insu, mais, là, je faisais une exception. Lunettes sur les yeux. Je sortais le « faux » badge qui faisait plus réaliste qu’autre chose. « Police! Vous êtes en état d’arrestation, tout ce que vous direz sera retenu contre vous » Et tout en lançant le discours typique du flic de base, je me glissais derrière elle, liant ses mains par une paire de menottes. J’en avais profité pour avoir glissé la chaîne des menottes, autour d’un tuyau qui longeait l’un des murs de la pièce. Elle se retrouvait par conséquent bloquée. En plus de ne pas pouvoir utiliser ses mains, elle ne pouvait plus s’enfuir. Je m’asseyais alors à mon bureau, posant mes pieds sur mon bureau, croisant ses derniers. J’ôtais le képi que je déposais sur mon bureau également, puis glissais mes lunettes dans mes cheveux. « Vous savez au moins de quoi vous êtes accusée mademoiselle ? » Mon regard venait se planter dans le sien. Je la revoyais toujours penchée sur son article, alors que je me retrouvais à quelques mètres d’elle. En réalité, ce côté inaccessible était vraiment plus attirant qu’autre chose. Dans le fond, c’était l’une des première fois où une fille réagissait ainsi, et cela ne me laissait pas de marbre, je n’avais pas pour habitude qu’une fille ne me calcule pas. Je me levais alors pour me rapprocher d’elle. Je m’amusais alors d’abord à caresser sa joue du bout des doigts avant de prendre son menton entre mon pouce et mon index. « Essais de te souvenir de moi. Je suis sûr que tu peux y arriver » lui soufflais-je au creux de l’oreille, d’un air malicieux. Je reculais ensuite mon visage avant de rire légèrement, tournant les talons pour m’éloigner d’elle. J’en profitais pour défaire les boutons de ma veste de policier pour laisser apparaître mon torse nu. Je me retournais alors vers elle, et glissais l’une de mes mains dans ma chevelure. « Il fait un peu chaud, tu ne trouves pas ? » Dis-je avant d’ôter ma veste et de la lui lancer à ses pieds. Être stripteaser c’était des années d’entraînements. Elle devait me prendre pour un dingue, mais en même temps… J’étais complètement dingue, et j’assumais cette facette de moi. J’étais quelqu’un qui avait besoin de faire le con. Sans cesse. A n’importe quel moment de la journée ou de la nuit. J’étais fou. Capable de tout. On pourrait me dire d’aller faire le tour de la ville à poil. Je le ferais. Sauter du pont dans le lac rempli de rocher. Je le ferais en priant pour ne pas m’éclater le crâne contre l’un d’entre eux. Et j’en passe. J’aime le goût du risque.
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(#)Sujet: Re: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.   |   Dim 31 Juil - 21:49

les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.
isaac and charisma (charisaac)
En arrivant à mon bureau il y a de cela quelques jours, je fus surprise d’y trouver une enveloppe à mon nom. Ce n’était pas un courrier habituel. Il n’y avait même aucun cachet. Seul mon prénom était écrit en grosses lettres. Intriguée, j’avais amené cette enveloppe à mon nez en sentant une odeur peu commune. Il s’agissait d’une odeur de fleur mais impossible pour moi de reconnaître de quel fleur il s’agissait. N’ayant aucun autre indice, je m’étais arrêté chez le fleuriste le plus proche qui m’expliqua que cette fleur n’était présente que dans le parc floral au nord de la ville. J’y étais donc parti en espérant avoir plus d’informations. Cependant, en arrivant là-bas, un homme vint à ma rencontre. Visiblement, il m’attendait. Etrange… Mon regard s’était donc posé sur lui en attendant une explication de sa part. « Charisma, voici pour vous. » Dit-il en me tendant un bouquet de fleur. C’était bien la même odeur, aucun doute là-dessus. Amusée, je m’étais mise à sourire mais l’homme s’en alla en courant. Surement de peur que je lui pose trop de question. Je m’étais alors mise à le poursuivre mais en talon, l’affaire s’avérait être assez difficile. Je ne voulais cependant pas renoncer et je continuais ma course à la recherche de cet homme. Seulement, il m’avait semé et là, ce fut l’énervement le plus totale. Je me suis mise à parler italien et à l’appeler par des jolies noms d’oiseau.
Quelques temps plus tard, alors que je regardais le bouquet en long et en large, j’aperçu une petite carte qui était lié à un bon de réduction dans un centre commercial. Je n’avais pas perdu de temps pour m’y rendre et m’acheter une nouvelle paire de talon dans le magasin correspondant. La caissière m’appela par mon prénom à son tour et me donna un livret scolaire d’un enfant de maternelle. Les informations confidentielle était grisé. Excepté l’adresse de l’école. Je commençais à trouver ce petit jeu amusant et j’étais persuadée qu’il s’agissait de l’homme inconnu avec qui j’échange depuis quelques temps. Inconsciente du danger dans lequel je pourrai foncer, j’étais parti faire mes ongles avant de me rendre au lieu du rendez-vous mystérieux.
Face à l’école, je remis mes cheveux en place ainsi que ma tenue. Je portais une ravissante jupe haute et un beau chemisier. Je ne suis pas journaliste pour rien et je pense qu’on peut facilement le voir dans la camera présent à l’entrée. L’école, aussi bizarre que cela puisse paraître, était ouverte. Je m’étais alors permis d’avancer de quelques pas avant de trouver suspendu une nouvelle enveloppe. Elle m’indiquait les pas à faire. Ce que je fis et ce que j’entendis puisque mes talons raisonnaient dans l’établissement.
Les pas m’avaient mené jusqu’à un bureau, ouvert lui aussi. J’hésitais un peu à entrer mais au bout de quelques secondes, je m’étais avancée pour visiter cette pièce et chercher un autre indice. Mais la porte se ferma soudainement et un tour de clé se fit entendre. Prise de court, je m’étais avancée rapidement pour ouvrir mais rien à faire. J’étais prise au piège. Et surtout… je ne trouvais plus ce jeu amusant du tout. Je m’apprêtais à chercher une solution pour sortir quand la porte s’ouvrit doucement pour laisser apparaître un policier. Un policier avec une carrure intéressante et assez captivante. Assez étonnée, je le regardais de haut en bas. Il était grand et dégageait une certaine prestance. Très honnêtement, il était sexy. Voire très sexy. Il me montra son badge sans hésitation avant de me sortir le discourt typique du flic de base pour lier mes mains avec ses menottes. « C’était ouvert ! Je ne suis pas rentrée par effraction et si ma présence ici vous dérange, je ferai venir mon avocat ! » Dis-je pour me défendre bien que sa présence derrière moi me déstabilisait.
Loin de me douter que cela puisse arriver, il m’avait sans aucune gêne attaché à un tuyau. Je me sentais énervée mais je réussissais à garder mon calme. Il me demanda d’ailleurs si je savais de quoi j’étais accusé et c’est très calme que je lui répondis : « Oui, vous pensez que je suis entrée ici par effraction mais croyez-moi, vous faite erreurs. Ca va vous paraître dingue mais on m’a mené jusqu’ici à travers des indices. Je peux vous les montrer si vous voulez ? Et en arrivant, c’était ouvert. Je ne suis pas une voleuse. » ]C’était quand même le comble. A cause d’une personne, je me retrouve dans cette position inconfortable. « Donc s’il vous plait, détachez moi. Je suis dans une position inconfortable. Vous le voyez bien ! Je porte des talons, j’ai une jupe haute mais courte… Libérez-moi s’il vous plait. » Ajoutais-je sérieusement en essayant de l’amadouer. Cependant, il n’avait pas l’air d’humeur à me détacher. Monsieur était installé derrière le bureau, les pieds dessus et croisés. Le comble !
Il se leva par la suite pour marcher vers moi. Mon regard fut intrigué. Je crus reconnaître cette démarche. Je l’ai déjà aperçu mais où ? Gros mystère. Il déposa le bout de ses doigts sur ma joue, ce qui me fit frissonner mais ce qui me fit peur tout de même. Avec tout ce que l’on entend, j’avais peur d’être tombée sur un gros porc de flic. Le genre de flic pervers qui ne cherche qu’une chose. Inutile de préciser laquelle. Mes craintes s’accentuèrent au moment où il prit mon menton entre ses doigts pour murmurer quelques mots à mon oreille. Je compris alors qu’il s’agissait de la personne qui m’a fait venir jusqu’ici. Je suis journaliste… Je le sais que ce genre de chose reste dangereuse mais ça ne m’a pas empêché de le faire quand même. Je suis qu’une italienne inconsciente ! Cela m’apprendra. Mais en attendant, je dois me sortir de là. Ce taré me file la chair de poule.
Il s’éloigna quelques instants avant de se retourner la veste déboutonné. Punaise… Dans quoi je me suis embarquée encore. Je commençais réellement à avoir peur. Mais le pire c’est de ne pas pouvoir s’enfuir ou réagir. Je ne pouvais rien faire au risque de faire un faux pas. Les psychopathes, aussi sexy qu’ils puissent être, peuvent être dangereux si les choses ne se passent pas comme ils le souhaitent. Je m’étais donc mise à le regarder. Il avait de beaux abdominaux bien tracé. C’était malheureusement agréable à admirer. Mais lorsqu’il retira sa veste sous prétexte qu’il faisait chaud dans la pièce, je n’avais pas hésité à en placer une. « Au lieu de te dévêtir, pourquoi n’irais tu pas à la piscine ? Tu pourrais continuer de sculpter ce joli corps. » Dis-je en le regardant. Je sentais que ma remarque était inutile mais il faut avouer que je ne savais pas quoi dire d’autre. Ma seule envie était de lui donner des noms d’oiseaux en italien, chose qui ne me serait pas profitable.
Mon regard était donc resté posé sur lui, je me sentais mal. J’étais un peu gênée d’imaginer la suite. Je ne voulais pas y penser mais plus je le regardais et plus je me rappelais. Cet homme… Je le connais ! Mais oui, c’est lui ! Le stripteaseur du journal ! Je l’avais à peine regardé parce que je préférai rester concentré et puis je ne suis pas intéressé par ce genre de personne. Elles étaient toutes en chaleur et je n’appréciais pas. Mais j’avais bel et bien regardé son petit numéro une fois ou deux discrètement. C’est lui ! « Ne bougez plus ! Je vous ais reconnu ! Vous êtes le stripteaseur de l’enterrement de vie de jeune fille qui a eu lieu dans mon journal ! Je le sais ! Ne me touchez pas ou vous aurez de grave problème ! Vous entendez ? De grave problème. » Dis-je de manière très autoritaire en ne quittant pas son regard. « Libérez moi maintenant ou je risque d’appeler la police. Et je ne parle pas des autres gigolos de votre espèce. Dis-je en parlant de ses collègues stripteaser. J’étais mal placé pour faire la maligne étant donné que je suis une danseuse burlesque et que je me cache en plus en de ça mais lui ne le sait surement pas.

Emi Burton
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(#)Sujet: Re: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.   |   Mer 3 Aoû - 15:17

La différence entre le possible et l'impossible réside dans la détermination qui sommeil en toi
Il était désormais tant que les masques tombent. Cela faisait presque quatre mois que nous jouions au chat et à la souris. J'étais persuadé qu'elle ne se doutait pas le moins du monde de la personne que cela pouvait être. Et cela m'amusais de jouer de la sorte avec elle. Elle était comme mon pantin réel. J'avais toujours été un grand joueur. Je n'avais peur de rien. J'avais ce besoin de tester mes limites, et je devais avouer que j'étais sans doute allait trop loin, que ce petit jeu avait duré bien longtemps, c'est pour cette raison que je décidais enfin d'un face à face avec cette italienne à l'allure ultra sexy. Je lui avais crée une petite chasse au trésor, qui la mènerait tout droit à mon bureau. Cette petite chasse au Trésor m'avait prit du temps. J'avais tout mis en oeuvre pour qu'elle me rejoigne au point de rendez-vous. Après l'avoir observé pendant ces quatre longs mois, j'avais pu réussir à cerner le personnage. Elle représentait la figure féminine par excellence. Elle était toujours bien apprêtée, toujours bien pomponnée. Avec ce doux parfum qu'elle dégageait à chaque pas qu'elle faisait. Cette silhouette et ses formes si bien dessinés. Ce maquillage parfaitement réalisée. La belle femme par excellence. J'optais dans un premier temps pour une rose. Une rose orange. Cette rose avait sa signification. Elle exprimait l'admiration, mais également le désir charnel. J'ignorais si elle s'y connaissait en matière de rose, mais en tout cas, c'est ce que cette fille dégageait. C'était aussi un indice rappelant son côté danseuse burlesque, c'est derrière ce drap qu'elle dégageait cette passion, ce désir, l'envie de la découvrir, mais devoir se contenter de la beauté de son corps. J'avais engagé un homme, vous savez, le genre d'homme qui se balade dans les parcs avec son bouquet de roses à vendre, et bien là, il se baladait dans le parc avec un bouquet de 24 roses oranges plus exactement, et il avait pour interdiction de les vendre à quiconque, je lui avais donné une somme assez conséquente pour qu'il les donne à la journaliste. Dans ce bouquet, j'y avais glissé une carte cadeau dans une boutique de chaussures précises. Là encore une fois, j'avais laissé un indice qu'une vendeuse devrait lui remettre. Tout était calculé dans les moindres détails. Si tout se passait comme il faut, elle ne tarderait plus à arriver dans mon bureau. C'était une mise en scène complètement dingue, je le savais, mais j'étais comme ça, j'étais complètement dingue.
Quant à moi, je me retrouvais dans mon bureau, assis sur mon fauteuil. J'avais déjà toute la scène en tête, dès lors où elle mettrait un pied dans l'école. J'étais vêtu de mon uniforme de policier, celui que j'utilisais lors des enterrements de vie de jeune fille. J'observais la petite télé qui donnait sur plusieurs caméras de l'école, quand je vis une jeune femme à l'entrée de l'école. Je pouvais l'observer se remettre en place sa longue chevelure blonde, ainsi que la tenue dans laquelle elle était. Elle avait sorti le grand jeu. Elle portait une robe qui selon moi, et en toute objectivité lui allait comme un gant. Comme elle pénétrait dans l'enceinte de l'école, je me glissais dans la salle à côté, salle qui n'était autre que la classe dans laquelle j'enseignais. L'avantage est que cette salle était collée à mon bureau, et c'était un avantage, lorsque je recevais des coups de téléphone, ou que j'avais besoin de quoi que ce soit. Entendant ses claquements de talons retentirent dans le préau, je me penchais discrètement pour la voir, à l'entrée de mon bureau. Curieusement, elle finit par entrer et moi, je vins fermer la porte de mon bureau à clé. Je l'entendis alors se jeter sur la porte pour l'ouvrir, c'est ainsi que je fis diversion, et passais par ma salle de classe pour entrer dans le bureau en me présentant comme étant flic, je sortais mon badge qui était un faux, mais de loin, elle n'y prêtait pas attention, et puis je pense que lorsque nous nous retrouvons face à une personne habillée de cette uniforme, on ne cherche pas trop si c'est vrai ou faux, et on panique. Chose qui était entrain de se produire, j'attrapais ses mains pour les menotter ensembles pour ensuite l'attacher au tuyau pour qu'elle soit piégée. Attendez, vous êtes entrain de me dire que quelqu'un vous aurez tendu un piège ? Vous ne trouvez pas cette excuse un peu... Cliché ? Effectivement, votre arrivée était attendue ici, vous ignorez vraiment pourquoi vous êtes là ? Ou vous faites juste semblant pour... lâchais-je en m'approchant d'elle avant de glisser mes lèvres au creux de son oreille, essayer de me duper ? Un sourire machiavélique se glissait sur mes lèvres tandis que je me reculais de cette dernière pour pouvoir l'observer de plus loin. Elle semblait inquiète, et moi, j'avais l'impression d'être un psychopathe, mais cette situation était plus amusante qu'autre chose. Surtout quand on savait que j'étais loin d'être comme ça. Mais cette fille avait suscité en moi l'envie de la torturer un peu, je n'abuserais jamais d'elle, je ne me le permettrais pas, mais j'avais envie de lui faire un peu peur, sans pour autant la traumatiser, je comptais tout simplement l'amener sur le chemin, qu'elle se souvienne de moi. Tant qu'elle n'y parviendrait pas, je continuerais de la torturer. Prenant place à ma chaise, en posant mes pieds croisés sur le bureau, cette dernière me suppliait de la libérer. Mais ça serait bien trop facile si je le faisais maintenant. Après quelques instants, je décidais de me relever, pour me rapprocher d'elle, de manière mystérieuse, puis j'attrapais son menton entre mes doigts, pour lui murmurer d'essayer de me souvenir de moi. Ca serait la seule issue pour que je la libère, mais elle n'avait pas l'air décidé à trouver, et comme il faisait grandement chaud ici, je me mis dos à elle et retirais ma veste pour laisser paraître mon torse nu, je lui lançais la veste à ses pieds, avant de me retourner vers elle pour planter mon regard dans le sien, à la fois surprise et quelques peu apeurée. Tandis qu'elle me lançait une remarque qui me fit automatiquement rire, je me rapprochais d'elle, caressant son visage du bout des doigts. N'ai pas peur comme ça, je ne compte pas te faire de mal, lâchais-je subtilement, avant de venir la torturer de baiser le long de son cou. Je sentais sa respiration s'accroître, sans doute dû à la peur qu'elle pouvait ressentir. C'est alors que lorsque je fis un pas en arrière, avec ce même sourire sur les lèvres, une lumière s'éclairait au dessus de sa tête. Elle se mit alors à s'emporter, me disant de ne plus la toucher, que sinon, il m'arriverait de graves ennuis. Mais en même temps, qui prouvait quoi que ce soit ? Je ne faisais rien de mal, elle était en parfait santé, elle n'avait aucune contusion, et puis, j'étais directeur, j'étais quelqu'un de sérieux, qu'est-ce qu'elle pouvait prouver contre moi ? Rien. On t'as déjà dit que tu étais particulièrement sexy quand tu employais ce ton autoritaire ? lâchais-je malicieusement avant de plonger l'une de mes mains dans l'une de mes poches pour en dénicher la clé des menottes. Tu vois, pas de panique, je voulais juste que tu te souviennes de moi, lâchais-je avant de me rapprocher d'elle, me collant volontairement à elle pour que nos visages ne soient plus bien loin l'un de l'autre. Mon regard se plantait alors dans le sien. Je ne comptais pas démordre. Me forcerais-tu à dévoiler ton petit secret ? déclarais-je en la regardant d'un air amusé. Et ne me mens pas, je sais que c'est toi qui danse le soir derrière ce drap blanc. Je t'ai vu, soufflais-je avant d'entrer la clé dans la menotte et de la libérer, lui faisant comprendre que je connaissais son petit secret. Je me reculais alors de quelques pas. Je ne comptais pas te faire de mal, j'essayais juste d'attirer ton attention, ce soir là, tu me semblais un peu trop perdue dans tes articles, je me suis dis que tu méritais bien un petit spectacle en tête à tête pour te détendre un peu, mais visiblement, t'es toujours aussi tendue, lâchais-je avec ironie. Si nous étions partis sur de bonnes bases par article, je doutais fortement que là on ait gardé ces mêmes bases positives. Mais ce n'était pas grave, une chose est sûre, elle se souviendrait longtemps de moi. Et au passage, cette école, c'est mon école, j'en suis le directeur, je l'avais ouverte uniquement pour que les masques tombent entre toi et moi, conclus-je à l'égard de l'italienne.
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(#)Sujet: Re: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.   |   Mar 9 Aoû - 20:43

les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.
isaac and charisma (charisaac)
C’est ce qu’on essaye de faire comprendre au plus jeune chaque jour, il ne faut pas parler aux inconnues. Il ne faut pas avoir de contacts avec des personnes que nous n’avons jamais vue. Il ne faut pas entretenir de relation de quelque nature que ce soit avec une personne étrangère à son entourage. C’est une règle que j’ai souvent mise à l’épreuve durant ma jeune carrière de journaliste mais c’était jusqu’à maintenant nécessaire. Sauf qu’aujourd’hui, je n’en suis plus si certaine. Je me suis amusée mais peut-être était-ce un peu trop malsain ? Suivre des pistes, accepter ces cadeaux venant de la part d’une personne que je ne connaissais pas pour finir menotter dans une salle de classe ? Ce n’est pas le meilleur choix que j’ai pu faire dans ma vie mais ce qui est fait et fait. Voyons voir comment je vais réussir à me sortir de cette situation dès plus originale.
J’avais fini par comprendre que cet homme était derrière tout ça. La seule chose que j’ignore c’est le bienfondé de son uniforme. Est-il réellement policier ou n’est-ce qu’un costume ? Je dois rester prudente mais je dois aussi découvrir toutes ses intentions. « Très bonne question officier. Je cherchais justement à vous la poser mais il serait plus judicieux pour moi de vous avertir que l’habit ne fait pas le moine. » Dis-je le plus simplement du monde pour lui délivrer un message. S’il est assez malin, il comprendra où je veux en venir. Et bien que je ne sois pas aussi à l’aise que j’aimerai le prétendre, j’essayais de garder mon sang froid. Il me fichait quand même la chair de poule. Qui a dit un jour qu’un homme charismatique ne pourrait pas être dangereux ? Personne. Je dois faire attention, rester prudente et surtout rester calme. En revanche, quelque chose ne collait pas. Il n’avait pas l’air malsain lors de nos échanges. Parce que même si je sais qu’il est facile de jouer un jeu, je n’ai pas envie de croire que ce lien et cette tension qui existait dans nos mots, n’est qu’un ramassis de mensonge et de manipulation.
Lorsqu’il s’était approché de moi, le torse dévêtu et qu’il m’informa qu’il ne comptait pas me faire de mal, je me sentais soulagée. Je dois l’admettre. Mais je n’avais pas pour autant apprécier son comportement. M’embrasser le long du coup plusieurs fois n’était pas acceptable. Je l’avais d’ailleurs bougée immédiatement même si j’avais ressentie certains frissons. Paradoxalement, j’avais envie qu’il recommence mais c’est quelque chose que je m’efforcerai de garder pour moi. Je continuais d’ailleurs de jouer le rôle de la fille apeurer et déterminer à ne pas se laisser faire. Je ne voulais pas m’écraser face à cet homme. C’était plus fort que moi, je voulais lui tenir tête, je voulais être forte. Je voulais un combat, c’était clair. C’est ce qu’il me faisait ressentir. « Tout les jours. Et toi ? T’as ton déjà dit que tu méritais un bon coup de talon dans le cul ? » Dis-je ne le regardant avec une once d’arrogance. C’était tout moi. Rebelle quand je ne suis pas à l’aise. Plus il avançait et moins je l’étais d’ailleurs. Je ne sais pas comment expliquer ça mais lorsqu’il a amené son visage près du mien et que nos regards se sont croisés, je n’ai rien pu faire. Comme aimantée, hypnotisée, conquise, j’avais laissé mon regard plongée librement dans le sien. Je ne pouvais pas m’en défaire. C’était le moment le plus intense de ma journée. C’était aussi déstabilisant intérieurement qu’inévitable extérieurement. Son regard pourrait me faire suffoquer. J’avais d’ailleurs l’impression d’être encerclée par des flammes dans une pièce d’un bâtiment incendié.  Quel homme… magnifique. Cependant cette pensée s’estompa rapidement lorsqu’il me fit comprendre qu’il connaissait mon secret. C’était horrible ! Je ne voulais pas qu’il soit mêlé à ça de quelque manière que ce soit. Je devais faire attention à ce que j’allais dire ou tout pourrait tomber à l’eau. Si je mens… il se posera des questions et là, je risque d’être dans de beaux draps. « Qu’est-ce que tu attends pour dévoiler mon petit secret si tu es persuadé que je suis cette femme qui gesticule derrière des draps blancs ? »  Lui dis-je alors sèchement. Je me demandais tout de même comment il est parvenu à me reconnaître sachant que nous ne nous sommes vues qu’une seule fois.
Il recula de quelque pas après m’avoir libérée. Je me sentais beaucoup plus sereine et beaucoup plus à l’aise dans un sens mais j’étais toujours dérangée qu’il puisse avoir quelque chose pour me faire chanter pour le moment. J’espère que cet homme n’est pas aussi dérangée et mal attentionné qu’il en l’air. « Je comprends mieux. Tu as mal pris mon manque d’attention à ton égard ce soir-là ? Tu t’es vexé parce que je ne me suis pas mise à fantasmer sur ton corps et toute la mise en scène que tu as faite. Donc aujourd’hui, tu cherches à te venger ? »  Lui dis-je en le regardant avant de reprendre aussitôt derrière sans lui laisser le temps de répondre. « Ou peut-être que tu veux des excuses pour ça ? Si c’est ce que tu attends, tu n’en auras pas. Ecoute, t’es un bel homme. Je mentirai si j’affirmais le contraire. T’es charmant, séduisant, charismatique. Tu es très sexy, tu as un regard prenant et enchanteur. Je pense qu’on te l’a surement déjà dit. T’es très beau mais  tu étais entouré de plusieurs filles qui se donnaient à cœur joie, qui prenaient plaisir à gémir comme des poules donc je n’avais pas spécialement envie de participer à ça. Ce que je veux dire c’est que mon attention n’à rien avoir avec toi. C’était la situation qui ne m’intéressait pas… Et puis je travaillais sur une affaire sérieuse. » Dis-je pour clarifier les choses et surtout justifier que je n’étais pas tendu.
Il s’expliqua ensuite sur notre présence ici. Chose qui m’amusa énormément.  Je m’étais alors approchée de lui lentement en posant une main sur son torse. Plus précisément sur l’un de ses pectoraux. Cette sensation me rendait confuse. C’était électrique. «  Ah bon ? Et bien je crois que j’ai trouvé le titre de mon prochain article « La double vie d’un directeur d’école maternel ». Je suis certaine que les parents n’aimeraient pas du tout ça ni l’académie d’ailleurs. Ce qui m’amène à être confiante. Mon secret est entre de bonnes mains pas vraies ?  Murmurais-je en souriant.

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(#)Sujet: Re: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.   |   Mer 10 Aoû - 17:57

La différence entre le possible et l'impossible réside dans la détermination qui sommeil en toi
C'était la première fois que je me retrouvais à faire une chose pareille. Et étrangement, cela m'amusais. Bon, au vue de l'attitude de la jeune fille qui se trouvait face à moi, cela était loin de l'amuser. Elle devait surement me prendre pour un psychopathe tout droit sorti d'un asile de fou. Pourtant je ne lui avais rien fais de mal, si ce n'est qu'elle se retrouve menottée à un tuyau. A quelques mètre d'elle, j'essayais de jouer au mieux mon rôle d'officier de police. J'étais loin d'en être un, mais j'avais déjà suivi plusieurs séries policières, et je me retrouvais à être plus crédible que je n'aurais pu l'imaginer, ou alors... Etait-elle entrain de rentrer dans mon jeu, et jouer tout autant que moi. Si tel était le cas, je lui tirais mon chapeau puisqu'elle jouait son rôle divinement bien. Sa remarque me fit décrocher un sourire en coin des lèvres. Je tournais les talons pour marcher dans mon bureau. Rester face à elle, statique, ce n'était pas mon genre. J'avais besoin de bouger. Et je savais que si je restais trop près d'elle, il pourrait nous arriver des bricoles, tant la tension était palpable. Bien que je me sois dévoilé à elle, ou du moins, qu'elle ait enfin reconnu mon identité, je n'avais pas pour autant remis ma chemise d'officier. Je me devais de la rassurer, tant elle semblait inquiète. Tournant les talons, je revenais pas à pas vers elle. Je l'observais, et malgré l'attitude crispée qu'elle pouvait avoir, il n'en demeure pas moins qu'elle restait une très belle femme, et je ne pus me retenir de venir parsemer son cou parfumé de baisers. Je sentais qu'elle n'était pas à l'aise. Et je pouvais le comprendre, mais c'était plus fort que moi. Elle était belle, vraiment belle. Son parfum m'enivrait. Et chaque courbes de son corps me criaient de la toucher. Mais bien ce que j'avais pu faire, je restais tout de même quelqu'un qui respectait la gente féminine, et ne m'autorisais pas à ce genre de chose. J'avais beau la chercher, je ne comptais pas abusé de cette situation pour faire ce que je voulais faire, ce n'était pas correct. Et même si à mon sens elle devait sans doute avoir une mauvaise image de moi, je ne comptais pas continuer de l'entretenir plus longtemps, de ce côté là. Suite à ce qu'elle me dit. Un sourire se glissait sur mes lèvres. Tu as des talons, dis-je en plongeant mon regard dans le sien. Essais toujours, lâchais-je en serrant par la suite les dents, ne quittant pas mon regard du sien. Je finis par plonger ma main dans ma poche pour en dénicher la clé des menottes, et c'est alors que j'approchais mon visage tout près du sien, sentant son souffle chaud caressait mon visage. La proximité entre nos lèvres étaient vraiment faible. L'envie de goûter au goût de ses lèvres était plus fort que moi, mais je chassais ses pensées en lui dévoilant que j'étais au courant de son petit jeu la nuit. Je l'avais vu. J'étais sûr que c'était elle. En sortant des loges. Je me revoyais l'observer à sortir de cette loge, sa chevelure blonde tombant le long de ses épaules, avec sa démarche si particulière. Alors qu'elle prenait un ton sec, je me mis à sourire d'un air amusé. Elle savait pertinemment que je savais que c'était elle. Je posais ma main sur sa joue avant d'attraper son menton entre mes doigts, et de m'amuser à effleurer ses lèvres avec le bout de mon pouce. Peux-tu m'expliquer ce que cela m'apporterais de plus à dévoiler ton secret au grand jour ? Absolument rien. Sur ces mots, je la lâchais de mon emprise, et reculais de quelques pas, m'éloignant ainsi de cette dernière. A cet instant même, elle semblait soulagée. Comme si jusqu'au bout elle pensait que j'allais lui faire quoi que ce soit, la torturer, abuser d'elle. Comme si j'avais la tête d'un psychopathe. Surement pas. Je contournais mon bureau pour attraper la chemise que j'avais laissé tomber aux pieds de la demoiselle et la renfiler tandis qu'elle reprit la parole. Je relevais alors la tête pour la regarder et lui donner toute mon attention. Elle m'expliquait alors sa théorie sur ma façon d'agir. J'avais presque envie de rire. A ses yeux, c'était une vengeance. Comme si je n'avais que ça à faire. Des filles, j'en côtoie très souvent, mais si je m'étais attardé sur elle, c'est parce qu'elle avait ce quelque chose en plus qui la démarquait de tout le reste. Et si elle ne m'avait pas autant fasciné ce soir là, je n'aurais pas pris la peine de jouer au chat et à la souris comme nous avons pu le faire durant ces quatre derniers mois. Ce qu'elle me dit par la suite ne pouvait pas me déplaire. Je semblais être le genre d'homme qui pourrait lui plaire et au vue de la façon dont laquelle elle me décrivait, c'est qu'elle avait prit le temps de me regarder.  Donc si je comprends bien, tu es entrain de me dire que tu penses qu'en réalité toute cette mise en scène était une pure et simple vengeance de ton manque d'attention ce soir là à mon égard ? Je plantais une nouvelle fois mon regard dans le sien. Dieu ce qu'elle avait un regard envoûtant. C'est que je me perdais presque à l'intérieur. Mais je ne pouvais pas me le permettre. Elle représentait le mal. Et d'une certaine manière, elle représentait aussi une faiblesse. Je ne saurais l'expliquer, mais il y avait quelque chose chez elle qui m'attirait. Et si je n'avais pas ma bonne conscience qui se logeait juste là, au dessus de mon épaule, je pense que j'aurai surement pris possession de ses lèvres qui ne cessent de m'appeler. Heureusement que je savais me retenir. Cette affaire devait être vraiment sérieuse alors, soufflais-je avec un petit sourire en coin. Une nouvelle fois, je me détachais d'elle. Et après avoir fait quelques pas, je finis par lui avouer qui j'étais exactement, à savoir le directeur de cette école et que je ne l'avais ouvert uniquement pour que les masques tombent entre elle et moi. Cela faisait quatre mois que nous jouions au chat & à la souris. Quatre mois que je savais qui elle était tandis qu'elle devait se demander qu'elle était mon identité. Et bien désormais, elle le savait. A son tour, elle s'avançait vers moi. Je restais là, à la regarder s'approcher de moi. Qu'était-elle entrain de faire ? Ma chemise n'étant pas fermée, cette dernière en profiter pour poser l'une de ses mains sur mon torse. J'essayais de faire comme si cette situation ne me faisait rien, mais elle rendait la chose encore plus difficile. Elle rendait la situation encore plus électrique. C'est comme si d'un coup, le chauffage s'était mit en route dans la pièce chassant cette once de frais pour y donner un bon coup de chaud. J'attrapais son poignet avec ma main droite et le tenais fermement, sans lui faire mal, bien entendu. Les paroles qu'elle me murmurait m'amusait plus qu'autre chose, comme si elle me mettait au défi, comme si elle engageait le deuxième round. Je la fis reculer d'un coup de sorte à ce qu'elle se retrouve dos au mur qui était tout près de nous, et me retrouvais contre elle. Toujours ce même regard malicieux plongeait dans le sien. Je lâchais sa main toujours posée sur mon torse, et posais mes mains de part et d'autre de sa tête, contre le mur. Je trouve que ça ferait un très bon article, je pourrais même t'aider à le rédiger si tu veux, lançais-je d'un air malicieux. Une mèche de ses cheveux vint glisser sur le côté de son visage. Je détachais ma main du mur pour venir attraper cette mèche du bout des doigts, et la replaçais avec une certaine dextérité derrière son oreille, replaçant par la suite ma main à sa place initiale. Pour information, toute cette mise en scène était loin d'être une vengeance. Si je n'avais pas eu envie de te revoir, je n'aurais jamais pris la peine de faire tout ça, lâchais-je mon regard toujours plongé dans le sien, avec une telle assurance dans ma voix. Et effectivement, ton secret est entre de bonnes mains, lâchais-je en lui faisant un clin d'oeil. Quel intérêt aurais-je à divulguer son secret ? Je pense que j'étais le plus à-même à la comprendre quand on savait que de mon côté je menais une double vie, et cette double vie me convenait parfaitement, et sans doute que la sienne lui convenait aussi. Si j'avais fais tout ça, c'était uniquement dans le but d'ajouter une certaine tension entre nous. C'est alors que je finis par la libérer une nouvelle fois de mon emprise. Tu es libre. Tu peux t'en aller maintenant, lâchais-je en rattachant chaque bouton de ma chemise. Je m'étais assez amusé avec elle pour aujourd'hui. Elle devait surement avoir autre chose à faire qu'à rester ici avec moi. Une chose est sûre, désormais elle savait qui j'étais, et elle savait que j'étais au courant de sa double vie.
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(#)Sujet: Re: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.   |   Mer 10 Aoû - 23:01

les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.
isaac and charisma (charisaac)
Livrée dans une situation dès plus paradoxale,  j’avais l’impression de me contre dire à chaque moment. Je pensais des choses, je disais des choses mais je voyais d’autre chose qui me faisait ressentir d’autres choses encore. Rien n’était cohérent. C’était étrange de se sentir comme ça. Moi qui est toujours eu l’habitude d’être droite, en accord avec moi-même et sûre de moi. Cependant, le plus difficile dans tout ça, c’était d’être à la fois mal à l’aise et à l’aise. Comme si seul son regard pouvait tout faire changer. Comme si cette tension inévitable entre nous changeait mon état d’esprit en permanence. Je n’ai jamais vécu quelque chose d’aussi intense je crois et mine de rien, c’était suffisant pour me rendre complètement désorientée.  
Décidée à lui faire comprendre que je n’étais pas du genre à me laisser faire, je lui avais clairement dit sans langue de bois qu’il mériterait de recevoir un bon coup de talon dans les fesses. Sans aucune surprise, sa réplique me fit dessiner un petit sourire. Son regard ne quittait pas le mien, il était toujours aussi prenant. Je ne pouvais pas le fuir du tout même si je l’aurai voulu. « Si je n’étais pas liée à ses menottes, je l’aurai fait avec plaisir. » Dis-je en le regardant toujours de la même manière. Dieu… Que c’était difficile de rester de marbre. Je n’avais qu’une envie… Capituler mais je n’étais pas certaine de savoir comment les choses évolueraient tant la tension était grande.  Heureusement qu’il avait fini par me confier qu’il connaissait mon secret pour que toutes mes mauvaises pensées, appelons les comme ça, prennent le dessus. Dieu seul sait ce que j’aurai pu être amené à faire si ça ne m’avait pas refroidi étant donné que je sentais l’intérieur de mon corps s’étirer dans tous les sens lorsque je le regardais très franchement. D’ailleurs son petit numéro qu’il avait entrepris en caressant doucement mes lèvres avec son pouce ne m’avait pas déstabilisé. Dieu merci. «  Je n’en sais rien. Tu m’as bien attaché à un tuyaux avec des menottes et pourtant, ça ne t’a rien apporté. » Dis-je à faible allure avant de caresser le bout de son pouce avec ma langue sans m’en rendre compte quand celle-ci se baladèrent sur ma lèvre inférieur.  
Naturellement il recula puis s’éloigna quelque peu, ce qui me soulagea car je sentais la tension reprendre place. Chose que je ne voulais pas. Dans la vie, j’ai toujours réussi à me contrôler. Il est hors de question que cela change aujourd’hui. Enfin je dis ça mais je sens quand même que la situation m’échappe énormément. J’émettais des hypothèses, j’essayais de sortir des arguments pour expliquer ce qui se passait mais je n’étais pas certaine d’en être complètement convaincue. «  C’est bien ce que je suis entrain de te dire oui. Et comme je ne t’ai pas donné d’attention la dernière fois, tu cherches à en avoir maintenant. Je me trompe peut-être et si c’est le cas, l’erreur est humaine. Mais j’aimerai savoir… Je me trompe ? »  Demandais-je en soutenant son regard dès plus charmant. Le genre de regard qui me donnait envie de me pincer les lèvres même si je ne l’avais pas fait jusqu’à maintenant étant donné que je mettais tout en œuvre pour ne pas laisser cette tension prendre le dessus sur mon esprit. « Tu n’as pas idée. »  Répondis-je à propos de cette affaire. Elle était liée à mon secret et c’est pour cette raison que je ne pouvais pas me permettre de ne pas faire les choses correctement. Sa venue l’autre fois me gênait, je voulais me concentrer. J’étais très sérieuse, c’était un sujet sérieux et c’est encore un sujet sérieux.
Sans même réfléchir, je m’étais mise dans une situation de proximité avec lui. Je m’étais rapprochée, j’avais posé la main sur son corps et pas à n’importe quel endroit. A un endroit où la tension pouvait rapidement grimper soit sur l’un de ses pectoraux. Je lui faisais clairement comprendre que nos secrets restaient entre nos mains puisque si l’un de nos secrets tombe, l’autre aussi. Ca semblait plus l’amuser qu’autre chose. Surement à cause de l’évocation du titre de mon prochain article, qui était à prendre au second degré puisque je ne m’aventurerai jamais à faire ça sachant que je pourrai mettre en péril toute mon affaire s’il était amené à divulguer ce qu’il savait.  Je crois bien qu’il n’était plus du tout concentré sur ce que je venais de dire puisqu’il avait saisi mon poigné et m’avait fait reculé jusqu’au mur pour se retrouver très proche de moi. Toute fois, je n’étais pas du tout mal à l’aise à cause de cette proximité alors que je l’étais bien plus tôt. Paradoxe quand tu nous tiens… « Tu m’aiderais à écrire l’histoire de ta vie ? C’est bon à savoir... » Dis-je en me pinçant les lèvres complètement devant lui. C’était une sorte de démonstration non contrôlé. J’avais envie de saisir ses lèvres. Oh mon dieu oui, j’en avais envie. J’étais même prête à le faire mais mon esprit était assez fort pour résister. Donc pour le moment, je tache de me retenir et de ne pas faire n’importe quoi. Un tel comportement ne me ressemblerait pas mais en même temps… Est-ce qu’il y a quelque chose qui reste dans la norme ? Tout n’est qu’un grand mélange de paradoxe, de tension et d’action incontrôlable entre nous de mon côté. Et il semblerait que de son côté, ce soit la même chose. Il ne cesse de venir et repartir depuis toute à l’heure. C’est une sorte de lutte entre nous, je le sens bien. Sa position actuelle me faisait d’ailleurs pensée à un combat. Je me sentais coincée comme si je devais déclarer forfait. Sauf que je ne le ferai pas, cela allait de soi. Mais encore une fois, aussi paradoxale que cela puisse être, j’ai apprécié le ressentie lorsqu’il a replacé cette mèche rebelle qui m’appartenait. J’étais très certainement enivrer par lui-même si je me débattais sans cesse pour ne céder à mes plus profonds démons. «  Tu as fait tout ça simplement parce que tu avais envie de me revoir ?  Demandais-je doucement sans hésitation. C’était inattendu. C’est vrai… On ne se connaissait pas. On ne s’était même pas parlé. Et il a ressenti l’envie de me revoir ? Je ne savais pas qu’un homme était capable d’être aussi patient… De mettre en place une espèce de jeu pour aboutir à une rencontre quatre mois plus tard. C’était mignon, il n’y avait rien d’autre à dire. J’étais éprise par son geste et je m’étais naturellement mise à rougir légèrement.
J’étais bien consciente que mon secret ne sortirait pas de cette pièce et j’aimais être aussi confiante à ce propos car tout mon travail ne serait pas mis à néant.  Seulement… quelque chose semblait vouloir me retenir. Cette tension entre nous peut-être ? Parce que malgré ses dernières paroles, je ne ressentais peut-être plus le besoin d’être libre comme je pouvais le vouloir au démarrage. C’était bizarre…  Je le regardais rattacher ses boutons un à un avant de marcher jusqu’à la porte de sa salle de classe et de m’arrêter. Je regardais devant moi et après avoir attendu quelques instants, je m’étais retournée pour le regarder d’un peu plus loin. Je m’étais mise à sourire lorsque mon regard croisa le sien. C’était comme contempler un paysage hypnotisant. «  Je… Dis-je soudainement avant de marcher soudainement dans sa direction et de l’embrasser spontanément en ouvrant sa chemise une nouvelle fois. Qu’est-ce que je suis en train de faire ? Pourquoi j’agis de cette façon ? Ce n’est pas dans mes habitudes. Et pourtant… je ne pouvais pas m’en empêcher. C’était tellement fort que je n’avais pas réussi à quitter la pièce.

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(#)Sujet: Re: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.   |   Jeu 11 Aoû - 18:49

La différence entre le possible et l'impossible réside dans la détermination qui sommeil en toi
En dépit de cette situation, la demoiselle essayait de tout faire pour garder son sang froid. Elle avait un sacré répondant, elle ne se démontait pas face à moi. J'aurai pu être un psychopathe digne d'un film d'horreur que ça n'aurait rien changé à l'attitude qu'elle a décidé d'opter face à moi. Elle semblait tellement sûre d'elle. Elle ne me lâchait pas du regard. Evidemment, j'arrivais à percevoir cette certaine inquiétude qu'elle dégageait malgré tout, mais quoi qu'il arrive, elle faisait comme si de rien était. Et j'aimais cette façon qu'elle avait d'être. Peu de femmes auraient réagi de la sorte. Elles auraient sans doute tout fait pour fuir, elles se seraient débattues, auraient crié tant elles auraient pu alors qu'elle. Elle restait là. De marbre, sans bouger, menottée à ce tuyau, à me tenir tête. Elle avait un caractère bien trempé, et ça me plaisais, disons que ça m'encourageais à continuer sur cette lancée. A pousser le vice encore plus loin. C'était dans ma nature de tester les limites, d'aller au plus loin. C'est alors qu'elle m'annonçait que je méritais un coup de talons aux derrières, c'est alors que sans hésité, je lui fis remarquer que j'avais bien vu qu'elle portait des talons et l'invitais même à soulager son envie, seulement voilà, elle me rappelait qu'elle était attachée à ce tuyau. Je la regardais, d'un air amusé, me retrouvant non loin d'elle. Quelques mètres seulement nous séparés. Ce sont tes mains qui sont menottées, tes jambes sont encore libres, à moins que tu veuilles peut être que je remédie à tout ça ? la questionnais-je avec une once de malice. Je ne me permettrais pas une telle chose, je pense que les menottes aux mains étaient suffisantes, et puis, je n'avais pas non plus 36 paires de menottes sur moi. Mais bon, j'avais envie moi aussi de tester ses limites, de voir jusqu'où elle était capable d'aller. Si elle voulait jouer, on pouvait jouer, j'étais plutôt quelqu'un qui aimait ça, donc ce n'était pas pour me déplaire. Et puis, jouer avec une personne comme elle, cela me donnais encore plus l'envie. A force de jouer, je finis par cracher le morceau, lui avouant connaître son secret. J'avais bien remarqué ce soir-là, dans les loges qu'elle restait plutôt discrète quant à son rôle de danseuse burlesque. Je ne comptais pas le crier haut et fort, je n'étais pas comme ça. Mais elle, avait tout de même des doutes sur ma personne, et je pouvais le comprendre quand on sait que le type à créer toute une mise en scène pour finir par menotter la fille à un tuyau. C'était complètement dingue, mais dans le fond, c'est tout ce que j'aimais. Les choses complètement folles. Je savais aussi que c'était risqué, elle pourrait très bien filer aux flics porter plainte contre moi une fois que je l'aurai libéré, c'était à mes risques et périls, et j'en prenais l'entière responsabilité, mais je ne sais pas, quelque chose en moi me disait qu'elle ne le ferait pas. Et qu'au contraire, elle garderait cet épisode de sa vie entre elle & moi. De mon côté, je n'irai surement pas en parler à tout va. Non pas que je n'étais pas fier de la chose, mais tout simplement car personne n'avait besoin de savoir cela. Et puis, c'était une façon très atypique de faire tomber les masques. En même temps, j'aimais les choses atypiques, tout ce qui sortait de l'ordinaire, je trouvais ça tellement plus excitant.
Une nouvelle fois, je m'étais rapproché d'elle, lorsqu'elle me parlait de son petit secret. Dans le fond, elle devait surement être inquiète, car elle savait que si je divulguais son petit secret, je mettais sa carrière professionnelle en péril, mais je n'étais pas ce genre d'homme. Mais le fait qu'elle pense ce genre de chose laisser croire que j'avais une certaine emprise sur elle, emprise qui m'amusais plus qu'autre chose, mais je ne me servirais jamais de tout ça pour la faire chanter. Tout ce qui se passe dans mon bureau, reste dans mon bureau. C'est alors qu'en l'écoutant parler, je m'amusais à lui caresser les lèvres avec le bout de mon pouce, mon regard toujours plonger dans le sien. Je laissais mon pouce faire des allés-retours sur ses lèvres pour qu'il y ait une certaine barrière entre ses lèvres et moi, car si je m'écoutais, il y a longtemps que j'aurai pris possession de ses lèvres. Je ressentais une certaine envie de l'embrasser. Mais elle restait menottée, et je ne souhaitais pas qu'elle pense que je veuille abusé d'elle, même si mon attitude portait à croire le contraire. Il est vrai que je m'étais permis de l'embrasser par-ci, par-là dans son cou, mais je comptais malgré tout ne pas aller à l'encontre de ses choix. C'est vrai, tu marques un point, déclarais-je lorsqu'elle précisait que j'avais bien été capable de l'attacher avec des menottes à ce tuyau, ce qui sous-entendait que pour elle, j'étais capable de tout. Résultat, elle suscitait en moi l'envie de laisser planer le doute, le mystère, qu'elle pense que j'en serais capable alors que finalement pas. Je sentis sa langue venir caresser mon pouce à son tour. Elle faisait ça d'une manière si sensuelle que je préférais m'éloigner d'elle au risque de craquer. Cette situation me rendais dingue quelque part. Elle m'attirait comme un aimant. Son regard m'envoûtais, tandis que chaque parcelle de son corps m'appelait. J'avais envie de laisser mes mains la découvrir, mais je ne le pouvais pas. Je me contentais alors de la libérer. C'est alors qu'elle émettait une théorie des plus amusantes qui soit quand à mon choix de l'avoir fait venir ici. Si j'en croyais sa théorie, à ses yeux, toute cette mise en scène n'était qu'une pure et simple vengeance de son manque d'attention ce soir-là. Un sourire amusé se glissait sur mes lèvres. Rien que l'idée qu'elle puisse penser une telle chose m'amusais. J'aimais bien écouter ses idées totalement faussées. La façon de penser des femmes me fascinera toujours, lâchais-je simplement avant d'émettre un léger rire amusé. Etant désormais libérée, moi je me contentais de récupérer ma chemise qui se trouvait au pied du tuyau auquel je l'avais menotté pour ensuite la remettre sur mon dos. Lorsque je me retournais, la jeune femme ne perdit pas de temps à rompre les quelques mètres qui nous séparaient l'un de l'autre, posant par ailleurs l'une de ses mains sur mes pectoraux. Je jetais un furtif coup d'oeil sur sa main, avant de me reperdre dans son regard d'un bleu azur dans lequel je me perdais totalement, mais où j'arrivais toutefois à garder ce côté complètement sûr de moi. Je pense être le plus à-même pour t'aider à écrire l'histoire de ma vie, au final, tu ne connais rien de moi, à part mon statut de stripteaser, et celui de directeur et professeur d'une école maternelle. Subtilement, je venais la plaquer contre le mur non loin derrière nous, laissant toutefois sa main posée sur mon torse nu, n'ayant pas eu le temps de reboutonner les boutons de cette dernière. Mes mains vinrent l'encercler en se posant de part et d'autre de sa tête. C'est alors qu'une de ses mèches rebelles fit des siennes, venant cacher une légère partie de son visage. Je me permis alors de lui dégager délicatement avec ma main droite, la replaçant doucement derrière son oreille. Je ne me détachais pas de son regard dont j'étais totalement envoûté. Il y avait cette tension entre nous. J'ignorais si elle ressentait les mêmes envies que moi, pour le coup, là, je n'arrivais pas vraiment à la cerner de ce côté là, mais une chose est sûre, si je pouvais prendre possession de ses lèvres, je l'aurais fait depuis un bon moment déjà. C'était comme électrique entre nous. J'avais l'impression qu'on était dans une bulle dans laquelle d'innombrables petits éclairs ne cessaient de jaillir de part et d'autre de cette dernière. Pour finir, je lui avouais que toute cette mise en scène n'avait pas été crée par pur hasard et encore moins dans le but de me venger de quoi que ce soit, mais tout simplement parce que j'avais simplement eu envie de la revoir. Elle semblait alors surprise par mes mots. Je finis par me détacher d'elle et la libérer complètement de cette emprise que j'exerçais depuis son arrivée. Je déclarais même qu'elle était enfin libre, et qu'elle pouvait partir. Elle me demandait alors si c'était vrai, si j'avais fais ça uniquement pour la revoir. Je n'aurai jamais usé de mon temps comme j'ai pu le faire pour toi si je n'avais pas eu envie de te revoir. Je ne m'amuse pas à faire ce genre de chose à tout bout de champ, déclarais-je tout en arrangeant le col de ma chemise. J'étais plutôt direct. Je n'étais pas du genre à faire comme si de rien était. C'est vrai. Cette fille m'avait fasciné dès lors où mon regard s'était posé sur elle, et effectivement, contrairement aux autres filles, elle avait été la seule à ne pas m'avoir regardé de la soirée, alors que pourtant, je n'étais qu'à quelques mètres d'elle. Elle avait quelque chose qui m'intrigué, il faut aussi dire que c'était une belle femme avec un physique des plus avantageux qu'il soit. Et de ce fait, toutes les conditions étaient réunies pour que j'ai cette envie de la revoir dans d'autres circonstances, et il est vrai que j'avais apprécié débuté cette "relation" aussi étrange que cela puisse paraître de cette manière si atypique. Une chose est sûre, elle se souviendrait surement longtemps de moi après ce qu'il s'était passé là.
Alors que je pensais que cette dernière allait prendre ses jambes à son cou et partir une fois qu'elle serait enfin libérée, elle restait là. Dans mon bureau. C'est alors que je la regardais, tout en rattachant chaque bouton de ma chemise que je n'avais pas eu le temps de faire puisqu'elle avait volontairement posé l'une de ses mains sur mon torse avant que je n'eus le temps de le faire précédemment. Je tournais les talons pour attraper mon téléphone portable qui se trouvait dans un coin du bureau lorsque cette dernière émit un son, je me retournais pour lui donner toute mon attention, mais c'est alors que je la voyais s'approcher de moi pour prendre possession de mes lèvres avec un tel entrain. Ma chemise que je venais tout juste de reboutonner fut rapidement de nouveau déboutonner par la blondinette cette fois-ci. Fichtre les valeurs et les principes. Ce n'était pas moi qui m'étais jeté sur elle, mais l'inverse, et je ne me voyais pas la repousser, clairement, je n'en n'avais aucunement envie. Je la collais contre mon bureau, puis tout en l'embrassant je prenais soin de dégager ce dernier de ma paperasse pour la soulever et l'asseoir sur ce dernier. L'une de mes mains se voyait être baladeuse et venait déboutonner les premiers boutons de son chemisier, faisant glisser délicatement l'une des manches de son chemisier sur son épaule puis je détachais mes lèvres des siennes avec une certaine difficulté pour laisser mes lèvres découvrir une nouvelle fois la douceur de sa peau. Je venais déposer tout un tas de baiser le long de sa nuque, puis sur son épaule, en la serrant contre moi. Cette fille me rendait complètement dingue. Elle me faisait littéralement perdre les pédales. Allez savoir pourquoi, mais moi-même je l'ignorais. Ma main libre venait se loger au creux de ses reins avant de remonter le long de sa colonne vertébrale pour venir se glisser dans sa douce chevelure blonde, puis je reprenais possession de ses lèvres dans un baiser fougueux avant de laisser ma langue venir jouer avec la sienne, timidement au début, attendant une réaction de sa part, car toutes les filles n'aimaient pas forcément ça. Son parfum m'enivrais. Je sentais les battements de son corps venir frapper ma cage thoracique, une sensation plus agréable qu'autre chose. La chaleur était une nouvelle fois remonter dans mon bureau. Je brûlais de désir pour cette dernière. Sa serait que de moi, je lui retirerais ce petit chemisier et cette jupe qui lui allaient pourtant à ravir.
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(#)Sujet: Re: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.   |   Jeu 11 Aoû - 23:59

les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.
isaac and charisma (charisaac)
Je commençais à cerner chez lui une certaine facilité à avoir réponse à tout. En plus de parler de manière malicieuse la plus part du temps, il semblait aussi avoir l’habitude de rétorquer de manière humoriste. Généralement, les plaisantins ne sont pas aussi prestigieux. Ils ne dégagent pas grand-chose de séduisant. Hors, ce n’était pas le cas avec lui. Même inquiète, il parvenait à me faire rire et c’est quelque chose d’assez difficile à réaliser avec moi.   « Je ne fais pas partis de ton club de séquestration. Je suis dans l’obligation de refuser ta proposition. Mais je ne m’inquiète pas pour toi, tu trouveras bien une tarée sur internet qui se pliera à tes idées tordues. » Dis-je tel une femme provocante. Je ne cherchais pas les ennuies mais je n’avais pas réussi à empêcher mes paroles de quitter ma bouche. Je semblais aimer ça, le provoquer.
Un laps de temps plus tard, j’aurai pu m’enfuir. J’étais libre. Je n’avais qu’à courir et quitter cet établissement mais je ne l’avais pas fait. J’étais restée dans la salle. J’avais toute une théorie à lui faire part. Cela semblait l’amuser… Quel idiot. Il était fasciner par la façon de penser des femmes, ce qui signifiait qu’il ne les comprenait pas et qu’il en a fréquenté plus d’une. « On raisonne avec plus de matière que les hommes, c’est vrai. Mais dis-moi ? Combien as-tu séquestré de femme durant ta carrière de psychopathe ?  » Dis-je en continuant de le chercher du regard. Instinctivement, je pense que je savais que je n’avais aucune crainte à avoir de lui. Autrement, je serais bien stupide d’agir de cette façon. D’ailleurs, dans mon élan, je m’étais avancée près de lui cherchant la proximité alors qu’il venait tout juste de me libérer. J’étais libre, je pouvais partir, je pouvais courir et m’enfuir mais non, je m’entêtais à lui tenir tête. Je m’étais même permise de toucher son corps avec ma main sans aucun scrupule. Tu as voulu jouer hombre ? Très bien, jouons. «  C’est là que tu fais erreur jeune stripteaseur. Je sais beaucoup plus de chose de toi que tu ne le penses. Maintenant que je sais à quoi tu ressembles, je pourrai faire une description très proche de la réalité. En plus de ça, je pourrai évoquer les raisons qui font de toi un psychopathe. Je parlerai aussi de ta facilité à aborder la peau de tes victimes en énonçant tes baisers audacieux sur le seuil de ma peau… »  Dis-je doucement à faible allure encore une fois. C’était prenant de converser avec lui et aussi très étonnant car je semblais ne plus éprouver de crainte à son sujet. Comme si le personnage était percé à jour. Paradoxale encore une fois. En revanche lui ne semblait pas l’être, il n’avait pas hésité à me coller contre le mur à sa manière et à me faire ressentir des choses déstabilisante. C’était plus qu’électrique entre nous, c’était une combustion qui ne pouvait pas s’arrêter. Je me battais catégoriquement avec moi-même pour lutter contre ce que je ressentais mais l’odeur de son parfum ou de sa peau, je n’en savais trop rien, commençait à me rendre toute chose. C’était aussi dérangeant que plaisant. Mais le plus surprenant dans tout ça, c’était ses paroles. Pas ce qui concernait ma liberté car ça, je le savais depuis un moment mais plutôt ses confessions. Je venais de comprendre que rien de tout ça n’était une vengeance. C’était au contraire un acte touchant, presque une déclaration. Pas de langue de bois, c’était une déclaration. Je lui plaisais. Et malgré qu’on puisse pensé que tout ça n’était qu’une mise en scène malsaine, je trouvais ça tellement mignon et captivant. Enfin bon, la tension semblait redescendre quelque peu grâce à son éloignement mais quelque chose se passait en moi. Ca s’amplifiait progressivement je crois. « C’est agréable à entendre… »  Pensais-je sans le lui dire. Je m’étais retournée, prête à partir sauf qu’une force, je ne sais pas laquelle, m’empêcha de partir. Rassurons-nous, c’est au second degré. Je pouvais partir, rien de physique ne m’en empêchait mais je n’en avais à priori pas envie du tout. C’était plus que difficile d’imaginer mon départ. La seule chose que j’apercevais dans mes pensées, c’était son visage. Son sourire. Son rire. Son regard malicieux. Je le revoyais bouger et rire. Je le revoyais heureux d’être dans cette pièce et peut-être que ses dernières explications m’ont permise de comprendre qu’il ne faut pas laisser passer des choses aussi inexplicable. Mon dessin animé préféré disait « Vie ta vie en couleur, c’est le secret du bonheur. » Et là, tout semblait coloré. Peter Pan avait raison. Et c’est dans une élan de non reflexion que je m’étais retournée pour parler sans le faire car un seul son était sortis de ma bouche. Au lieu de continuer, je m’étais avancée vers lui pour poser mes deux mains sur son visage et l’embrasser spontanément avant de déboutonner sa chemise d’un seul coup. Certains boutons s’étaient retiré du tissus mais était-ce important ? Non. La seule chose qui comptait, c’était cette force magnétique entre cet homme et moi. Un homme dont je ne connais toujours pas le prénom. Néanmoins, monsieur XXX, était réceptif. Ses baisers en disaient long. Ni une ni deux, je m’étais retrouvée assise sur son bureau. Il avait tout dégagé pour que je m’y retrouve. C’était à la fois virile et très sexy. La température était montée d’un cran. Je n’avais pas tardée à laisser mon esprit s’évader pour profiter de tous les mouvements qu’occasionnaient ses lèvres. C’était intense. C’était chaud. Il avait sans attendre déboutonné les premier boutons de mon chemisier afin de faire descendre une première manche et libérer mon épaule. D’où cette état d’esprit évadé. Mais tous les esprits évadés doivent revenir au bercail à un moment ou à un autre. Ce fut le cas pour moi lorsqu’il déplacer finalement ses lèvres jusqu’à ma bouche pour m’embrasser avec énormément de fougue et entreprendre un jeu timide entre nos langues. J’ai été surprise car je n’avais pas pour habitude d’embrasser de cette façon mais c’était loin d’être désagréable et sans savoir pourquoi, je l’avais encouragé à ranger sa timidité en l’embrassant de la même façon mais avec beaucoup plus d’entrain. J’avais peut-être l’air d’une novice, je n’en savais rien mais j’essayais de suivre le rythme et ça semblait fonctionner. Je sentais de nombreuses vibrations parcourir mon corps, c’était dynamique et très prenant. Je n’avais d’ailleurs pas attendue pour lui retirer complètement sa chemise. Je ne lui avais pas défait les boutons pour rien. C’était donc justifié. Je pus apercevoir du coin de l’œil son torse parfaitement sculpté. Bon dieu, que j’aime voir une musculature pareille. Ça me rend tellement joyeuse. D’autant plus qu’on continuait de s’embrasser avec encore plus d’intensité. C’était totalement bestial. Néanmoins, même si je n’avais pas le temps de réfléchir plus que ça. La seule chose que j’aurai pu me demander, c’est bien sûr la répercussion que pourrait avoir mes prochaines actions sur notre relation. Coucher avec un homme aussi soudainement, ça ne me ressemble mais pourtant, c’est ce que j’ai envie de faire. Je n’arrive pas à lui résister. Enfin plus vraisemblablement, je n’arrive pas à résister à tous mes désirs. Au diable les principes et le code des bonnes conduites ! Je pourrai bien mourir demain ! Je n’avais alors pas tardé à glisser mes ongles le long de son dos avant d’arriver  à sa taille et de les faire naviguer jusqu’à la boucle de sa ceinture. Boucle qui était défait. Je n’avais en effet pas perdu de temps et puis toujours aussi rapidement, j’avais déboutonné son pantalon tant j’avais hâte de vivre ce moment.  
Dans l’optique de poursuivre, j’avais engendré un tas d’action mais honnêtement, je ne savais pas comment je m’étais débrouillée pour avoir se résultat. Son dos était  plaqué contre un tapis où était dessiné des routes. Les enfants y jouent certainement avec leurs petites voitures. Tandis que j’étais sur lui, poitrine contre son torse.  Je m’étais mise à rire légèrement en le regardant. Ce qui venait de se passer avait été plus amusant qu’autre chose finalement. Tout a commencé lorsque je me suis élancée bien trop fort vers son cou. J’avais pris un élan involontaire avec mes mains, ce qui le fit basculer. Cependant, il ne m’avait pas lâché et heureusement pour moi. Auquel cas, je me serais fait terriblement mal. Son pantalon s’est baissé soudainement et ses pieds n’ont pas réussi à garder leur stabilité puisque ses pieds se sont mis à reculer et l’un d’eux à même réussi à sortir du pantalon. Sauf que voilà, le mouvement était si brusque qu’il a basculé en arrière. Mon poid y jouait aussi peut-être beaucoup. Et résultat des courses, nous voici dans cette position. « Ca va ? Tu ne t’es pas fait mal ?. » Dis-je en terminant de rire avant de dégrafer mon soutien-gorge. «  Parce que je serais très déçue de devoir m’arrêter et de réaliser que tout ce qui pourrait se passer n’aurait pas lieu…  Dis-je d’une façon malicieuse. C’était à mon tour de jouer avec lui. Je m’étais donc mise à califourchon en me levant légèrement pour retirer le seul tissus qu’il lui restait c’est-à-dire son boxer car j’avais décidé de ne pas prendre ses chaussettes en compte.
J’étais surprise par le calibre de ce dernier. Ce n’était pas tous les jours qu’on avait la chance de voir ça. Il était parfaitement bien proportionné. Grand, avec un diamètre généreux. Mais après tout, c’est un stripteaseur, c’est justifier. Je les associe aux stars osées si vous voyez ce que je veux dire.

Emi Burton
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(#)Sujet: Re: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.   |   Ven 12 Aoû - 14:05

La différence entre le possible et l'impossible réside dans la détermination qui sommeil en toi
Elle avait vraiment du répondant. J'aimais ça. Elle ne se laissait pas faire, prête à nous rentrer dedans si elle le pouvait. C'était ce que j'aimais chez une femme, la force de caractère. Je pense que la situation aurait été bien moins amusante si j'étais tombé sur une femme qui aurait eu peur, et qui aurait répondu amen à tout ce que j'aurai pu lui demander. Avec Charisma, oui, je connaissais son prénom, je l'ai entendu le soir où je me suis rendu à la soirée burlesque. L'un de ses collègues a prononcé son prénom lorsqu'elle est sortie de sa loge. Je n'avais encore jamais entendu ce prénom, et autant vous dire que je trouvais qu'il lui allait à ravir. Ce prénom dégageait une once de sensualité, sensualité qu'elle dégageait à chaque mouvement qu'elle entreprenait. « Mais, c'est que tu es plutôt intelligente comme fille, je n'avais encore jamais pensé à aller sur internet pour me trouver une marionette avec qui jouer, mais grâce à toi, je vais remédier à tout ça » rétorquais-je  avec sérieux, bien qu'intérieurement, je ne l'étais absolument pas. Mais bon, je ne pouvais me retenir de rentrer dans son jeu, c'était plus fort que moi, si elle voulait jouer, j'étais prêt à jouer, et ce jusqu'au bout, quitte à me brûler les ailes, cela ne me faisait pas peur, bien au contraire, cette situation m'amusais vraiment beaucoup au point de n'avoir aucune envie que ce jeu prenne fin entre nous. Je ne tardais plus à la libérer. Selon moi, c'était le moment de la laisser partir, mais contrairement à ce que j'aurai pu imaginer, elle restait là, dans mon bureau. Je me demandais pourquoi elle ne partait pas, après tout, être libérée, c'est tout ce qu'elle attendait, et puis, elle avait toutes les raisons du monde de partir, mais pourtant, elle était là, vêtue de sa jupe et de son petit chemisier, je ne me cachais pas pour l'observer, la regarder, l'admirer. Son regard était hypnotisant. J'essayais de ne pas perdre pied, mais c'était bien difficile, et encore plus lorsqu'elle décidait de rompre cette proximité entre nous pour se retrouver là, à quelques centimètres de mon corps, sa main résidant désormais sur mes pectoraux. Elle ne savait pas dans quoi elle s'aventurait. « Si je te disais le nombre de filles que j'ai pu séquestrer tu ne tarderais pas à t'enfuir » dis-je, cependant, je ne lui laissais pas le temps de faire quoi que ce soit, puisque je la plaquais contre le mur derrière elle. Enfin, plaquer est un bien grand mot, j'avais fais ça de manière douce et intelligente. Seulement voilà, elle se retrouvait prise au piège entre le mur et moi-même, n'ayant aucune issue de secours. C'est fou ce qu'elle dégageait en moi. Cette envie de la sentir contre moi. J'essayais de me retenir. Je serrais la mâchoire, respirant normalement pour ne rien laisser paraître, ne pas lui montrer que d'une certaine manière, j'étais quelque peu destabilisé par cette dernière.  C'est alors qu'en plongeant son regard dans le mien, elle m'évoquait le titre de son futur article. Evidemment, cette provocation me fit plus sourire qu'autre chose, par conséquent, je lui proposais même mon aide, lui assurant qu'elle ne connaissait pas tant de choses sur moi qu'elle le pensait, mais je m'étais sans doute trompé, et j'avais surement sous-estimé ses talents de journaliste. « Je t'en pris, vas-y, je ne te retiens pas » lançais-je avec un brin de malice dans l'intonation de ma voix. Si elle voulait jouer à ça, je pouvais la laisser jouer. Je me reculais, lui laissant le choix de partir pour aller me dénoncer, dire ce que je lui avais fais dans les moindres détails. J'en assumais l'entière responsabilité, et je le lui prouvais de part mon attitude serreine.  Entre nous, je ne m'inquiétais pas, elle ne me faisait pas peur. Au fond de moi, je commençais à cerner son personnage, tout ce qu'elle aimait, c'était me chercher, me provoquer, voir jusqu'où nous étions capables d'aller. Cette petite mise en scène semblait l'amuser autant qu'à moi. Elle essayait de comprendre le pourquoi du comment. Selon elle, tout ceci n'était que pure et simple vengeance. Je trouvais cela amusant qu'elle puisse penser une telle chose. Quelque part, je devais être complètement malade pour aimer me faire passer pour un fou. J'avais l'impression à cet instant même d'être possédé par l'âme du Joker. Le genre de personnage complètement barjo, prêt à faire tout et n'importe quoi, et ce avec le sourire perché aux lèvres. Je passais clairement pour un fou, et cela m'amusais, quel homme censé réagir de la sorte. Pourtant, j'avais toute ma tête, mais j'aimais me sentir différent des autres. J'avais cette facilité à ne pas me comporter comme la normale. Et ça me convenais. C'est de cette manière là que j'arrivais à me démarquer de la gente masculine. Seulement, je finis par lui avouer avec une telle sincérité, et une telle assurance que si j'avais planifié tout ça, ce n'était pas dans le but d'une vengeance, mais plutôt dans le but de la revoir. Elle pouvait trouver ça étrange, car j'avais mis quatre mois à attendre avant de la revoir, mais cela avait rendu la relation encore plus amusante. Communiquer avec un étranger de la manière dont nous nous y étions prit était plutôt excitante à mon goût. Et je pense que si je n'avais pas planifié tout ça, l'attraction entre nous ne serait pas aussi électrique qu'elle peut l'être à l'heure actuelle. J'avais l'impression qu'elle avait autant de mal que moi à lutter, ce n'était pas facile d'aller contre ses démons. Ma bonne conscience perchée sur mon épaule me disait de ne rien faire, de me comporter comme un homme un vrai, tandis que ma mauvaise conscience faisait pousser le vice toujours plus loin. Mais j'essayais d'écouter ma bonne conscience, et la libérais de mon emprise.
Je me rattachais la chemise. Le jeu prenait fin, du moins, c'est ce que je pensais, une nouvelle fois, j'entendais ses talons claquer le sol, comme si elle quittait la pièce. Je me retournais en sa direction, c'est alors qu'elle en fit de même, nos regards se croisèrent. Une nouvelle fois, on pouvait sentir cette tension. Elle s'approchait de moi, d'un pas décidé. Je ne la lâchais pas du regard. C'est alors que ses lèvres pulpeuses vinrent se plaquer contre les miennes, et en un rien de temps elle m'arrachait la chemise. Je ne tardais pas à la porter pour la poser sur mon bureau et intensifier ce baiser qu'elle venait de me donner. Mes mains se voyaient être baladeuses. Tandis que nous nous embrassions avec une telle passion, mes mains déboutonnaient les premiers boutons de son chemisier, faisant délicatement descendre l'une des ses manches libérant son épaule. Je détachais mes lèvres des siennes pour découvrir le haut de son corps avec mes lèvres, en l'embrassant par-ci, par-là, descendant jusqu'à ses épaules. Mais, je sentais que mes lèvres réclamaient les siennes, alors je la regardais, droit dans les yeux, avant de faire remonter l'une de mes mains le long de son dos, jusque dans sa chevelure blonde pour l'embrasser une nouvelle fois, plus fougueusement cette fois-ci. Elle avait eu raison de retirer ma chemise car je commençais à sérieusement avoir chaud, mais c'était elle qui faisait monter cette température en moi. Je me frayais un chemin entre ses lèvres pour aller jouer avec sa langue, au début, j'étais plutôt timide dans mes gestes, parce que je savais combien cela pouvait déranger certaines filles, et si elle n'en n'avait pas envie, je ne continuerais pas, cependant elle me surprit à jouer à son tour avec la mienne. Mes mains vinrent finir leur travail en lui déboutonnant les derniers boutons de son chemisier pour lui ôter ce dernier et le lancer dans la pièce. Je quittais alors ses lèvres, la regardant un instant, dieu ce qu'elle était belle. Elle avait une jolie poitrine cachée par un joli soutien-gorge. Je m'en mordillais la lèvre inférieur avant de venir l'embrasser sur le haut de sa poitrine, des baisers remplis d'envie. Puis je sentais ses ongles glissaient le long de mon dos, ce qui me faisais me redresser, l'une de mes mains vint alors se poser sur le haut de sa cuisse, caressant cette dernière avant de la glisser sous sa petite jupe, tandis qu'elle défaisait ma ceinture pour déboutonner mon jean et le faire tomber le long de mes jambes. Seulement voilà, l'envie était désormais bel et bien présente entre nous, et nous ne nous en cachions plus. Nous nous étions tellement retenus durant tout le début de notre entrevue, que là, nous ne nous contrôlions plus, à tel point que lorsqu'elle se jetait brusquement autour de mon cou, j'en perdais l'équilibre tombant à la renverse. Elle se retrouvait alors sur moi, et je ne pus me retenir de rire face à cette situation, ceci dit, voyons le bon côté des choses, dans ma chute, j'en avais retiré mon pantalon. Je replaçais ses cheveux d'un geste de la main en arrière, tandis que cette dernière me demandait si je ne m'étais pas fais mal, rien de tout ça ne m'avait coupé l'envie que j'avais d'elle. Ses mains passèrent derrière son dos pour dégrafer son soutien-gorge. « Viens par ici » lâchais-je dans un murmure avant de poser mes mains sur son visage et de l'attirer vers moi pour reprendre possession de ses lèvres. Mes mains vinrent caresser sa poitrine avec un tel entrain tandis que nous cessions se baiser pour que la demoiselle se mette en califourchon sur moi, et me retirer le dernier vêtement qu'il me restait, à savoir mon boxer. Subtilement, je retirais mes chaussettes avec mes pieds, hors de question de passer à l'acte avec ça sur les pieds, je ne supportais pas et je ne trouvais cela en rien sexy.  Par contre, il était hors de question de faire ça sans protection, et c'est alors que je nous fis basculer pour me retrouver au dessus d'elle. « Ne bouges pas » lâchais-je avant de me lever et de rapidement aller récupérer un préservatif dans mon porte feuille, dieu merci, j'en avais toujours un sur moi. Et je ne comptais prendre aucun risque avec cette dernière et faire les choses bien. Cela ne m'avais prit que quelques secondes, puis je revenais en me repositionnant sur elle. J'attrapais le petit sachet que j'arrachais avec les dents et enfilais le préservatif. Je plaçais mes mains de chaque côté de sa tête et me baissais pour venir l'embrasser, descendant mes baisers le long de son corps, pour arriver jusqu'à son bas ventre, là, l'une de mes mains venait m'aider à baiser son dernier sous-vêtements, pour laisser paraître son intimité. Je venais déposer quelques baisers avant de m'amuser à la titiller un peu avec le bout de ma langue. Je voulais lui faire plaisir, je voulais rendre ce moment unique, qu'elle se souvienne de cette journée, de cette première fois à tous les deux.  Je voulais m'occuper d'elle comme il se devait. Lui donner l'envie de ne faire qu'un avec nos corps.
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(#)Sujet: Re: (charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.   |   Sam 13 Aoû - 0:42

les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.
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Je ne manquais pas d’argument pour aller à l’encontre de ses paroles. J’en tirai une telle satisfaction que je ne pouvais pas m’en empêcher. Cependant, je ne respectais en rien les valeurs et le code de conduite que je devais suivre. Etant principalement l’une des héritières de la famille royale Grimaldi, je devrais sans conteste être plus discrète. Parler avec beaucoup plus de vocabulaire. Et surtout, je devrais être hautaine. Mais je suis également italienne et même si je viens d’une famille haut placé, je n’ai aucune envie de faire partie de ce milieu. Je vais donc laisser ma nature continue son parcours en veillant à ne jamais me laisser marcher sur les pieds. « Oh mon dieu, j’ai participé à la création du plus gros psychopathe de Miami. La foudre va s’abattre sur moi… C’est d’une tristesse… » Dis-je en me surprenant moi-même. Je m’étais mise à plaisanter soudainement en prenant les choses au second degré. Cet homme va me rendre chèvre…
Et surtout lorsque je me trouve à quelques centimètre de lui et que je peux ressentir des frissons rien qu’en touchant l’un de ses pectoraux. Il y a quelque chose qui m’attire en lui. Quelque chose d’incontrôlable. J’ai l’impression d’être un animal prêt à bondir tant l’excitation qui effleurait mon esprit et mon corps était grande. « J’ai déjà ma petite idée. La ville toute entière. Il ne te manquait plus que moi à rajouter à ton palmarès n’est-ce pas ? Mais désolé de te décevoir. Tu ne sortiras pas d’ici vivant parce que la véritable psychopathe ici, c’est moi. » Dis-je de manière très malicieuse. Je n’avais pas été aussi malicieuse depuis mon adolescence je crois. Signe que cet homme me rendait complètement dingue.
Il me rendait tellement dingue que je n’avais pas réussi à m’enfuir et à quitter l’école. En effet, nous avions terminés sur le tapis de voiture pour enfant après une belle chute hilarante. Je lui avais demandé s’il avait eu mal car je ne voulais pas qu’il souffre sur ce tapis alors que j’avais envie de faire souffrir nos corps d’une toute autre manière. C’était un moyen pour moi de m’assurer que rien n’allait s’arrêter sur ce tapis et qu’au contraire, tout allait continuer. Celui m’attira vers lui en m’ordonnant de venir pour saisir une nouvelle fois mes lèvres, ce qui répondit à ma question. Je m’étais mise à frémir en sentant ses mains sur ma poitrine. C’était intense, il était intense. Tellement intense que je m’étais décidée à être intense à mon tour en retirant son boxer pour libérer la bête. C’était tout aussi hypnotisant que lui. Elle semblait captivante. Mais je n’eus à peine le temps de la voir puisqu’il nous fit basculer pour se retrouver en position de force. Il s’éclipsa rapidement pour aller chercher des protections qu’il ouvrit avec ses dents une fois de retour au-dessus de mon corps. C’était viril et excitant. Je trouvais ça tellement sexy. Aussi sexy que sa façon de venir m’embrasser une nouvelle fois et de descendre ses baisers le long de mon corps jusqu’à mon bas ventre. Son intention fut simple à comprendre. Il voulait retirer ce tissus en dentelle qui cachait mon intimité et c’est bien ce qu’il fit. Les choses sérieuses allaient enfin commencé. Je crois qu’intérieurement, je ne tenais plus et j’étais loin d’imaginer qu’il commencerait la partie en mettant la barre aussi haute. Le mouvement qu’il entreprit avec sa langue sur les bords de mon intimité me rendait folle Mes orteils se sont pliée soudainement tandis que mes jambes c’était écarté un peu plus. Il avait énormément d’expérience c’était indéniable.
Brulante de désir pour lui, j’avais posé mes mains sur ses fesses quand il remonta ses baisers vers ma nuque afin de les caresser vivement. Elles étaient ferme et bien construire, j’appréciais la balade que j’étais entrain de faire dessus. Mais mon envie me fit dévier ma trajectoire. Tandis que l’une de mes mains retournait parcourir son dos, mon autre main pris possession de son sexe pour l’entourer bien chaudement et le caresser. J’aimais la tenir dans ma main et effectuer des mouvements avec cette dernière. J’aimais voir le bien que cela lui procurait.  J’avais donc décidé de faire quelque chose que je n’avais jamais osée faire avant aujourd’hui. Quitte à ne pas agir comme d’habitude, autant le faire à fond. J’avais donc réussi à me faire un chemin en descendant mon corps pour que ma poitrine se retrouve à la même hauteur que son intimité. Et à l’aide de mes deux mains, après avoir embrassé le bas de son torse, j’ai pris possession de ma poitrine pour capturer son sexe et effectuer des mouvements verticaux en modifiant le rythme régulièrement pour lui donner le plus de plaisir possible.

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(charisaac) les folies sont les seules choses qu'on ne regrette jamais.

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