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 (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré.

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(#)Sujet: (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré.  |   Dim 10 Fév - 16:44
Blake

Harmon

☽ ☆ ☾

“You are not special. You're not a beautiful and unique snowflake. You're the same decaying organic matter as everything else. We're all part of the same compost heap. We're all singing, all dancing crap of the world.”
ft. Bob Morley


Blake Bronson Harmon
28 ans, né(e) le 01/01/1991
A New York City, Américain
Célibataire
Hétérosexuel
Hockeyeur professionnel

☽ ☆ ☾
Lâche. C'est sans doute le trait de caractère qu'on utilise le plus pour me décrire. Blake le lâche. Cela m'a valu bien des gifles. Les filles n'aiment pas vraiment les hommes lâches. Ni les fuyards. Un autre trait assez conséquent de ma personnalité et de mon rapport aux femmes. En vérité, je suis surtout phobique de l'attachement. Tomber amoureux, dépendre d'une femme... Dépendre de quelqu'un ou avoir quelqu'un qui dépend de moi, tout simplement... Cela me fait flipper complet... Même encore maintenant, alors que j'ai décidé de tout faire pour être responsable et tenir mes engagements et mes promesses auprès de la fille qui compte le plus au monde : la mienne.

On dit aussi de moi que je suis discret. Pas vraiment un grand bavard. Si je suis une oreille attentive, je dévoile peu le fond de ma pensée et n'exprime que rarement mes propres ressentit. Je ne parle pas pour rien, en général et si je n'ai rien à dire, alors je me tais. Il en va de même pour les problèmes. Je les garde généralement pour moi. En revanche, je suis un très bon ami quand j'accorde ma confiance. Fidèle et loyal. Je suis toujours là en cas de besoin. Je suis également très protecteur envers ceux que j'aime, même s'il est mission impossible de m'arracher ce genre de mots de la bouche. Je n'ai dit qu'une fois à quelqu'un que je l'aimais : ma mère, le jour où j'ai quitté New York.

(001) Sportif depuis toujours, je suis un grand fan de la plupart des sports, même si mes favoris restent le hockey et le patinage artistique. Si le premier est enfin devenu mon métier, je garde un amour certain pour le second et je ne me sens réellement en paix que sur la glace. (002) Je me suis fait tatoué un S dont le graphisme se rapproche d'un signe infini sur le poignet droit, un hommage à ma mère : Selina. (003) Il déteste les films qui portent sur le sport, en revanche. Voir des acteurs d'Hollywood jouer de grands sportifs qui vont gagner un match perdu d'avance à la dernière seconde parce que se sont les héros... Ça l'ennui profondément. (004) Plus jeune, il avait un gros crush pour Sarah Connor. (005) Il se gratte derrière l'oreille quand il est nerveux. (006) Il a une forte dépendance à l'adrénaline. Biberonné depuis tout jeune au stress des compétitions, il a besoin de sentir son cœur battre la chamade régulièrement sous peine de mourir d'ennui. (007) Pour les mêmes raisons, il a passé son permis moto il y a dix ans et roule essentiellement en deux roues (d'autant que c'est bien plus pratique pour éviter les embouteillages entre Miami et Sunrise). (008) Il cuisine très bien, mais très peu de gens le savent. (009) Il y a deux mois, je me suis fait tatouer un cheval et un lapin à l'intérieur de mon avant-bras gauche, près du coude (si si, je vous jure que ce sont un cheval et un lapin,... pour une petite fille de deux ans en tout cas) tiré du dessin que j'ai reçu d'Ana. J'ai rajouté son prénom au-dessus. (010) Il fait profiter, à diverses associations, de sa notoriété, soit en parlant d'elles dans les médias, soit en acceptant de participer à des événements et fait régulièrement venir à des matchs des enfants malades.
☽ ☆ ☾
PSEUDO ☽ spf. AGE ☽ trop âgé pour le dire ^^. PAYS/VILLE ☽ france. FREQUENCE DE CONNEXION ☽ autant que possible. COMMENT ES-TU ARRIVE(E) SUR LE FORUM ? ☽ prd of course. ES-TU UN SCENARIO ? ☽ Ouiiii ce merveilleux bijou. AS-TU ENVOYE TES DEUX SECRETS A NIGHTMARE ? ☽ Yep Wink UN PETIT MOT ? ☽ Potatoes ! CHOIX DE GROUPE ☽ Action.
Naissance

Pauvre Mom. Un enfant sur les bras, c'était vraiment pas ce dont elle avait besoin et pourtant, c'est bien ce à quoi elle a eu droit pour fêter dignement le nouvel an de l'année 1991. La légende veut que je sois arrivée un peu plus tôt que prévu. Mais vous savez ce qu'on dit des légendes...
Enfin, ce qui est certain, c'est qu'elle n'avait pas anticipé mon arrivée et que des photos de moi traînent encore dans mon « berceau » (aka l'évier de la cuisine, une couverture repliée plusieurs fois dans le fond pour que je sois « confortablement installé ») le prouvent. C'est qu'entre tout, Mom n'avait pas vraiment eu les moyens d'acheter un vrai lit, ni d'élever un enfant. On se demande presque pourquoi elle m'a gardé. La vérité est toute simple : l'amour. Elle m'a aimé dès le premier regard, si bien que l'idée même de me donner à quelqu'un d'autre, même pour mon bien, lui était insupportable. Elle avait fait une boulette avec ce type que je ne pourrais qualifier que de « géniteur », mais elle dit encore aujourd'hui que je suis sa plus belle boulette.

Enfance

New York, Le Bronx. L'image collective est faite de gris, de rouge, de crasse nauséabonde et de son de revolver en arrière-plan... Ce n'est pas vraiment celle que j'en garde. Oh, bien sûr, j'ai quelques copains qui se sont fais suriner ou ont été retrouvés une balle dans le bide, mais plus jeune, c'était plutôt fun de vivre dans un des quartiers pauvres du Bronx. On jouait au football avec les vitres du magasin de « One eye » comme but (on disait qu'il avait perdu son œil dans une guerre des gangs, mais la vérité était bien moins excitante). On jouait au hockey sur bitume, avec une boite de conserve et des barre de fer. Déjà à l'époque, on apprenait à jouer à la dure. Le hockey, c'était pas pour les mauviettes qui ne voulaient pas revenir à la maison blessée.
Mom était folle, chaque fois que je rentrais à la maison avec des bleues ou des plaies, mais je sais que dans le fond, elle était surtout soulagée que je me fasse ça en jouant à des sports dangereux avec mes copains plutôt qu'en jouant les mules pour un dealer ou un autre.
Un jour, je devais avoir huit ans, on a tiré trop fort avec la canette et la vitre de « One eye » a été fissurée. On a jamais couru aussi vite que ce jour-là, mais « One eye » était très rapide et vous savez quoi ? Les coups de balais, ça fait mal ! Le lendemain, Mom m'a obligé à me présenter à lui pour m'excuser et à lui offrir mes services jusqu'à ce que j'ai remboursé le coût des réparations. Après six mois, je suis rentré à la maison, heureux de mon dernier jour de travaux forcés après l'école. J'ai trouvé Mom en train de pleurer. Sa vieille voiture sentant le moisie avait rendu l'âme et elle n'avait pas les moyens d'en acheter une autre. Elle venait de faire le calcul du coût des trajets en bus et savait qu'elle ne pourrait pas tout payer.
Le lendemain, je suis retourné voir « One eye » et je lui ai demandé si je pouvais continuer de travailler, moyennement quelques dollars. Même une misère. N'importe quoi, tant que je pouvais aider maman à acheter un ou deux tickets de bus supplémentaire. C'est comme ça que j'ai obtenue mon premier job, à l'âge de huit ans.

Adolescence

Dix-sept ans et des paradoxes à n'en plus finir. J'étais l'homme de la maison, mais encore un enfant (aux yeux de Mom, de l'école, du monde). Je travaillais à l'école, je travaillais en dehors de l'école (« One eye » était mort il y a cinq ans et le repreneur de l'épicerie n'avait pas voulu m'embaucher, m'obligeant à faire d'autres types de boulots, toujours au black), j'arrivais à trouver du temps pour m'amuser avec mes potes, mais pas pour une soirée ciné avec ma copine. Je préférais me payer une entrée à la patinoire plutôt que d'acheter ce bouquin dont on avait besoin pour le cours d'anglais... Je disais adorer que ma copine soit ma copine, mais matais cette blondinette virevoltant sur la glace...
Un jour, la blondinette m'a proposé de tester le patinage artistique avec elle. D'abord réticent (je voulais jouer au hockey, je ne voulais pas tourner sur la glace en body à paillette), j'ai fini par accepter. Déjà parce que voltiger sur la glace apportait de toutes nouvelles sensations que je me suis vite pris à aimer, ensuite parce que danser avec elle avait un goût de paradis. Je ne dirais pas que tout fut simple. Entre l'école, le boulot, les entraînements de manière sérieuse était une complication supplémentaire dans une vie où je faisais de plus en plus beaucoup de choses, mais rien très profondément. Ensuite, il fallut un moment, quand même, pour qu'on s'apprivoise, elle et moi. Enfin, un gamin du Bronx, dans un justaucorps à paillette... Ça avait de quoi m'attirer quelques ennuis.
Oui, mais voilà, il y avait Lysia, l'impression de faire quelque-chose de fou et les avantages à progresser en haut niveau. Les voyages, d'abord (moi qui avait travaillé depuis l'enfance pour aider ma mère, je me retrouvais à l'emmener partout où elle n'avait jamais été, jusqu'en Europe ou en Asie) et l'argent, ensuite. Gagner était synonyme de gain. Rien de mirobolant, bien sûr, mais largement assez pour avoir enfin un appartement avec deux chambres, une assurance maladie et une voiture qui roule comme il faut... Enfin...

Âge adulte

Vingt-deux ans. Championnat du monde 2013. On le voulait ce deuxième titre de champion du monde. On était en finale et on avait gagné l'année précédente. On pouvait gagner cette fois-ci aussi. J'en étais persuadé. Grisé par le succès, j'avais décidé de mettre 'Lysia au pied du mur. Elle ne sentait pas la figure maîtresse de notre programme court. On ne la réussissait qu'une fois sur trois. J'étais persuadé qu'on pouvait faire la fois sur trois au moment fatidique. Je l'ai donc contrainte à le faire, au dernier moment. Je me disais que débarrassé de l'angoisse de l'anticipation, elle parviendrait à se lâcher... C'est moi qui l'ai lâché. Forfait, urgences, opérations. On a perdu le titre et la possibilité de revenir en force l'année suivante. Après l'angoisse, la culpabilité. J'ai fait ce que j'avais le mieux appris à faire au cours de ma vie pour tout ce qui ne concerne pas ma mère : j'ai fui. Je suis resté loin de l'hôpital, loin d'Aloysia et j'ai pensé à la seule chose que je pouvais faire – que je DEVAIS faire – j'ai tourné la page.
J'avais besoin de gagner des compétitions, de gagner de l'argent, de promettre à ma mère qu'on s'en sortirait, elle ne le pouvait plus, alors j'ai rompu notre contrat et je suis partie en quête de ma nouvelle partenaire. Emily Roberts était parfaite. Moins intuitive qu'Aloysia, mais talentueuse. Avec un peu d'entraînement, cela pourrait être parfait.
Ça ne l'a jamais été. Pendant deux ans, on a enchaîné les entraînements, les compétitions, sans jamais aller très loin. On a surtout été trop loin sur le plan personnel. Un bar, le verre de trop (ou peut-être les) et je me suis réveillé à côté d'elle, avec uniquement de vagues souvenirs d'une nuit torride, mais pas suffisante pour rattraper la galère. J'ai préféré couper court à toute idée de romance, mais nos relations n'ont fait que se dégrader, jusqu'à ce qu'il devienne évident que je ne gagnerais jamais plus avec elle. J'ai fini par rompre le contrat, une fois de plus sans un mot, pour n'oser lui reparler que six mois après pour de piètres excuses qu'elle a malgré tout acceptée.
J'ai fini par aller à Miami, retrouver Aloysia et la supplier, à genou, de me reprendre. Je voulais gagner, je devais gagner et je n'étais bon qu'avec elle. Notre relation changea peu à peu, sans que je ne m'en rende vraiment compte, jusqu'à ce qu'on couche ensemble. Dieu, ce moment... Aujourd'hui encore, il m'arrive d'en rêver à en devenir fou. Lysia a toujours eu ce genre de pouvoir sur moi qui me transforme en cette chose effrayante de besoin de l'autre et s'il y avait bien une chose que j'avais apprise au court de ma vie, c'était de ne jamais avoir besoin de quelqu'un d'autre pour survivre.
Pourtant, c'était tout ce qu'elle faisait de moi : un type capable de se mettre à genou devant une femme pour qu'elle accepte de redevenir sa partenaire de danse. Un type capable de briser son propre cœur en prétendant ne pas avoir eu le meilleur sexe de sa vie avec cette femme et en décidant de reculer et refuser une relation avec elle. Un type capable de dire oui quand cette même femme lui demande d'éjaculer dans un flacon pour lui faire un bébé, quand la seule idée de le faire de manière traditionnelle peut le conduire à la folie...
C'est quand elle quitta Miami que je réalisais que je ne pouvais pas la laisser faire. Elle portait mes bébés. Elle était tout ce dont j'avais besoin et portait en son ventre tout ce que je pouvais laisser de mon passage sur Terre. Je ne pouvais pas la laisser partir. Pas comme ça. Pendant quelques mois, l'avenir se profilait merveilleux, malgré l'immense douleur de la perte d'un de nos bébés... Jusqu'à ce que je découvre combien j'avais été le dindon de la farce.
Maîtresse d'un autre. Cette perfide femme, alors qu'elle réclamait mon matériel génétique pour un enfant, était la maîtresse d'un autre homme. Pire : l'amante de mon demi-frère. La pilule était difficile à avaler et le doute s'insinua en moi, vicieux. Et si Anastasia n'était pas ma fille ? Si elle était la sienne ?

Âge de raison

Je pris la fuite, une fois de plus. Ne pas s'attacher. Ne pas faire confiance. Ne pas compter sur une autre pour être ce dont on a besoin pour survivre. J'aurais dû le savoir pourtant. Mon plus grand regret dans cette histoire fut d'abandonner ma fille... Enfin... De laisser le doute s'insinuer et me faire penser qu'Ana pouvait ne pas être ma fille. Je mis longtemps (beaucoup trop longtemps), à passer le cap de la colère pour regarder la vérité en face.
En attendant, j'avais quitté Miami pour Sunrise et j'imaginais que je n'étais pas parti assez loin. Le patinage artistique, c'était fini depuis longtemps, plus de neuf mois, depuis qu'elle avait décidé de mettre sa carrière entre parenthèses pour avoir un enfant et je devais travailler. Je revins à mes amours premiers et à mon grand étonnement premier, passait les tests avec succès pour intégrer les Panthers de Floride. Signer ce contrat tomba au bon moment et même si je me retrouvais à seulement une demi-heure de Miami, j'avais assez à faire pour m'occuper l'esprit. M'entraîner en premier lieu, modifier ma silhouette en second. Le patinage m'avait taillé en long, des muscles longs et fin pour une silhouette harmonieuse. Pour devenir un vrai hockeyeur, je devais prendre de la masse. Le plus possible. Je suis assez fier d'y être parvenu en un temps record et d'assurer, aujourd'hui, comme défenseur chez les Panthers.
J'appris l'accident de 'Lysia dans l'entre deux, lui appris que j'étais le géniteur de sa fille (j'avais quand même fini par obtenir une réponse claire grâce à un test ADN) et repartit, la laissant avec ça, partir en Europe, emportant ma fille loin de moi.
Ce n'est pas tout de suite que j'ai réalisé que j'avais été le dernier des crétins. Non, en vérité, c'était presque un an après, quand je reçus par la poste un dessin d'Ana, alors âgée de deux ans, Elle ne méritait pas toute cette merde. Elle ne méritait pas de payer les pots cassés de sa mère. Je réalisais que peu importe, même si je n'avais pas été son véritable géniteur, j'avais donné mon sperme pour qu'elle vienne au monde, j'avais regardé le ventre de sa mère grandir, j'avais rêvé cette enfant, son défunt jumeau, aussi. J'avais pleuré la perte et j'avais pleuré lorsque je l'avais eu pour la première fois dans mes bras, si petite chose fragile et tendre. J'avais rejeté le sentiment à l'époque, ne l'ayant jamais connu avant (ou plutôt ayant peur de le ressentir pour quiconque d'autre que ma mère). L'amour. J'étais tombé sous le charme de mon enfant et je l'avais aimé dès le premier regard. Exactement comme ma mère me l'avait si souvent raconté lorsqu'elle m'avait vu pour la toute première fois. Et j'avais pris peur, une fois de plus. J'étais censé être le géniteur, pas le père. Je ne voulais plus l'être. Je ne voulais plus être juste le type qui avait donné son sperme en 2015 et ne faisait que s'enquérir à l'occasion de l'état de sa progéniture. Je voulais être son père. J'allais tout faire pour le devenir.
Apprendre qu'Aloysia vient de revenir à Miami m'a mis en grande joie. Enfin, je peux tenter la manière diplomatique pour obtenir ce que je veux. Alors, me revoilà de retour à Miami. J'ai vendu ma maison à Sunrise et j'accepte de faire tous les jours le chemin jusqu'à là-bas pour les entraînements. J'ai besoin de vivre à Miami si je veux voir ma fille.
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Alexie R. Wilson
Alexie R. Wilson
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- anniversaire : 18/02/1991
- activité : agente enquêtrice en chef
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(#)Sujet: Re: (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré.  |   Dim 10 Fév - 16:56
OH MON DIEU!!! Toi tu vas faire des heureux! (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 776115001 Je te souhaite la bienvenue ici! (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 3355466223 Et bonne chance avec ta fiche (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 776115001
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(#)Sujet: Re: (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré.  |   Dim 10 Fév - 17:03
En général, j'ai cet effet sur les gens (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 1652907826
Merci la belle (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 2341561406
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(#)Sujet: Re: (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré.  |   Dim 10 Fév - 17:13
AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 3365305062 (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 2933984248 (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 3355466223 (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 1297117441 (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 856107933 (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 2933984248
Tu l'auras compris, très heureuse de te voir parmi nous!! Je dirai même plus, très très très heureuse!!! (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 776115001
Bref, si tu as des questions sur Blake, sur notre lien, n'hésite pas (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 776115001
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(#)Sujet: Re: (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré.  |   Dim 10 Fév - 19:07
(Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 2933984248 (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 3465334165 (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 2577391662 J'ai hâte de rp avec toi ! Ca fait hyper plaisir de te voir ici (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 776115001 (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 776115001
Bon courage pour ta fiche (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 3355466223
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(#)Sujet: Re: (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré.  |   Dim 10 Fév - 20:03
Mon petit Blake d'amourrrrrr (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 3355466223 Je t'attendais de nouveau (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 3877631104

Bienvenue et si tu as des questions tu n'hésites pas!
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(#)Sujet: Re: (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré.  |   Dim 10 Fév - 20:15
Haaaaaaaaaaan les plus magnifiques (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 1759587035 J'en ai de la chance quand même d'avoir d'aussi belles femmes autour de moi (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 1552150214 (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 2577391662 (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 2791632355 (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 224571584
Merci à vous trois. Je n'y manquerais pas en cas de besoin Wink
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(#)Sujet: Re: (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré.  |   Lun 11 Fév - 1:21
Ca va pour moi (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 3877631104 hâte de rp avec toi !!!
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(#)Sujet: Re: (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré.  |   Mar 12 Fév - 2:04
On va attendre qu'Aloysia soit d'accord avec ta présentation pour te valider Wink
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(#)Sujet: Re: (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré.  |   Mar 12 Fév - 7:40
Niquel pour moi aussi (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré. 776115001
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(#)Sujet: Re: (Blake) La vie n'est pas un conte de fée. Si tu perds ta chaussure à minuit, c'est que tu es bouré.  |  
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