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 les enfants terribles. (léo)

 :: sujets et autres

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(#)Sujet: les enfants terribles. (léo)  |   Mer 8 Jan - 11:05

( les enfants terribles)

léo.léo. do you remember the time? nôtre première rencontre, nos premiers déboires, nos premières foutues conneries, nos premiers cap ou pas cap? Tu te souviens à quel point c'était bon de se foutre du monde, de ne pas penser à l'avenir, de vivre l'instant présent, juste l'instant présent, intensément, passionnément? Tu te souviens comme ont avaient pût être libres à l'époque? On pensaient à rien, on s'amusaient comme des fous et le malheur nous semblait si loin.Ah la belle époque. Léo.Léo. tu te souviens comme ont avaient pût s'aimer? Ça, ça n'a pas changé, pas d'un poil. Qu'est-ce qu'elle me manque nos folles cavales, cette sensation ou nos poumons peinent à nous fournir l'oxygène nécessaire pour survivre dans ce monde de taré. Léo. Si tu savais bordel o'combien tout ça me manque.

Je me souviens, gamine, de ce jour ou ce type face à moi avait les poches pleines. pleines de jolis billets verts. Tu sais ce qu'ont dit, "l'appât du gain" est parfois plus fort que tout. je sentais au plus profond de mes entrailles cette envie de les lui arracher, de les lui subtiliser, emprunter? il me toisait, je souriais. C'était plus fort que moi, je savais dans ma petite tête que cinq secondes après il serait la, à me courir après, à me hurler dessus, à m'insulter de tout les noms d'oiseaux possible et imaginable. Un oiseau, c'est ce que j'étais à l'époque. Libre de voler ou bon lui semble. un foutu sourire rieur sur mon faciès,je m'étais mise à courir aussi vite que possible, aussi loin que je le pouvais. l'air commençait à me manquer cruellement au bout de plusieurs minutes, mes poumons s'embrasaient littéralement, ma gorge me brûlait terriblement et pourtant je continuais toujours de courir, sans jamais m'arrêter, laissant parfois même un rire presque trop féminin sortir de ma bouche pour narguer l'humanité toute entière.

Une rue, deux rues, trois rues. je parvenais à me faufiler telle une petite souris parmi la foule, les liasses de billets toujours entre les cinq doigts de ma main droite. Pas besoin de valser pour faire voler les jupons de ma robe, une simple cavale suffisait. je savais exactement ou me rendre,  à l'endroit précis même. le destin lui même n'aurait jamais prévu le coup. c'était vers toi que je courais parce que je savais que la bas, je serais en sécurité, parce que la bas, je te retrouverais, enfin. Oui, la bas tu m'attendrais, c'est la bas qu'ont s'étaient donnés rendez-vous. Cap ou pas cap? Cap. tu te n'attendais certainement pas à ce que je le sois. Les problèmes ne faisaient que commencer.«Léo.» il suffisait d'un mot pour t'alerter, mais tu n'aurais pas le temps de te retourner que mon corps se presser au tiens pour t'éteindre presque un peu trop chaleureusement.«Cap Léo. Cap.» cap de voler quelqu'un, de lui prendre toute sa tune et de repartir avec. Ouais, j'étais cap de le faire. mieux encore, je l'avais fais et c'est fièrement que je lui apportais mon butin, que je faisais voler tous ses beaux billets devant ses yeux. on étaient presque des gosses à l'époque, mais pour lui, j'étais cap de tout, jusqu'à la mort j'étais cap.



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Benjamin Lewis
Benjamin Lewis
Desigual

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(#)Sujet: Re: les enfants terribles. (léo)  |   Jeu 9 Jan - 23:43

( les enfants terribles)

pais, pais. do you remember the time? Une des meilleures périodes de ma vie. Celle que j'ai partagé avec toi, Paisley. Je n'en ai jamais parlé avant que tu ne débarques de nouveau dans ma vie. Cousine, tu te rends compte? Le destin nous a lié à vie. C'est vrai, malgré notre passif assez passionné, on peut le dire, j'ai Jade maintenant. Mais la vie a décidé de te lier à moi autrement, afin que je t'ai à mes côtés d'une manière ou d'une autre. Tu ne peux pas savoir à quel point je remercie ce destin, Paisley. Depuis ce fameux jour où j'ai passé la porte du bar et où je t'ai trouvé toi sous la casquette de "nouvelle cousine". Je n'ai pas eu peur une seconde, au contraire. Tu me connaissais vraiment comme le réel moi. Je savais que je n'aurais aucun jugement, aucun moment où je devrais avoir peur de la réaction de cette nouvelle cousine, ni peur de ne pas pouvoir l'inclure dans ma vie. Tu y étais déjà, quelque part au fond de mon inconscient, attendant de revenir vers moi plus belle que jamais.  

Je t'ai trouvé belle dès le premier jour, dans ce foyer, alors qu'on t'avait perdu toi aussi. Tu n'avais pas été abandonné, de ton côté. Tu n'avais pas eu ce malheur, mais un autre. Et pourtant, on s'était vite compris, toi et moi. C'était comme écrit. On est vite devenu les inséparables, les enfants maudits. Nous étions gamins et pourtant rien ne nous faisait peur, toi et moi. Main dans la main, on bravait les pires conneries. On fuguait, on fuyait. J'avais une confiance aveugle en toi, moi qui ait toujours eu tant de mal à accorder la moindre confiance en quiconque. Je t'aimais beaucoup, énormément même. Je serais allé au bout du monde pour toi. Tu es vite devenu une de ces personnes pour qui je ferais tout. Que je protégerais malgré tout. Et pourtant, on se mettait gravement en danger toi et moi. Cap de voler un type? c'était ton cap actuel. Je t'attendais à l'endroit prévu, sagement. Je savais que tu y arriverais. Je savais que je te reverrais le fric en main devant moi dans quelques minutes. Et ce serait mon tour. Je savais déjà ce que j'allais faire par la suite. Je te prenais dans mes bras automatiquement. J'aurai pu avoir les yeux fermés, je sentais quand tu étais là. Comme une connexion physique. Aveugle, je te reconnaîtrais dans une foule. Bref, tu avais le fric, je savais que tu y arriverais. à moi maintenant. soufflais-je alors que tu m'avais répondu au cap. J'attrapais sa main dans la mienne et je l'emmenais vers le centre commercial.

Le prochain cap serait d'acheter la veste en cuir qu'elle voulait tant, tout en repartant avec un autre article qu'on volerait sous le nez de la vendeuse. La manipulation, c'était le plus simple pour moi. J'ai toujours été un expert en la matière. Je concentrais la vendeuse sur la veste qu'essayait Paisley alors que je préparais un jean et une écharpe en plus. Je les faisais mettre directement à Paisley, sur elle, avant de passer en caisse. Je continuais mon numéro de jeune amoureux qui voulait faire tant plaisir à sa petite amie en payant sagement la veste en caisse, tout en continuant de parler et de déconner avec la vendeuse. Elle n'y voyait rien. J'ajoutais même un bijoux au tout. Je gardais mon sourire alors que Paisley savait ce qu'il se tramait. Puis on sortait le sac à la main comme si de rien était. Puis je la faisais courir vers la fontaine extérieure, en riant. avec plaisir, princesse. fis-je alors en souriant et je l'embrassais alors. L'embrasser avait toujours été un vrai bonheur. On ne le faisait jamais pour rien. C'était souvent après une victoire comme celle-ci. Mais c'était toujours un vrai plaisir. Harley et le Joker. que souhaite son altesse, maintenant?



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(#)Sujet: Re: les enfants terribles. (léo)  |   Ven 10 Jan - 16:55

( les enfants terribles)

léo.léo. do you remember the time? Qu'elle belle ironie. Si on m'avait dit Léo que nos routes se croiseraient à nouveau. Dis moi, t'es cap de me supporter durant toute ta vie, durant l'éternité? Mais l'éternité, c'est long Léo, et entre nous? Je crois pas que t'en serais capable. T'as toujours eu cette belle gueule de con, enfin ça, c'est pas moi qui le disait. je t'aimais trop pour penser ça. j'en avais besoin de ta gueule de con, de ton sourire de con, de ta bouche de con, comme une droguée en manque. sans toi, la vie était fade, sans aucune saveur. tu apportais cette petite touche piquante dont j'avais besoin pour me sentir bien. je t'aimais Léo. je t'aimes toujours et je t'aimerais toujours autant,je t'en fais la promesse. Toi et moi, à la vie à la mort, on se l'est promit, juré, craché comme des gosses qui savent pas ce que c'est la vie, la vraie vie. On a pas besoin de ça de toute façon parce qu'ont est libres, libres de faire ce bon nous semble sans jamais se soucier des conséquences de nos actes.

tu t'imagines pas o'combien j'étais impatiente de te retrouver, de sentir la chaleur de tes bras, ton palpitant battre contre le mien. je courais sans jamais m'arrêter, sans jamais me retourner et je savourais pleinement ce vent frais sur mon visage, la voix éclatante, rieuse en entendant l'imbécile derrière, le poing levé, dépité de s'être fait voler. ma destination approchait à grand pas, je n'étais plus qu'à quelques mètres de toi et sans un seul mot, sans un seul battement de cil, mon corps percutait le tien pour de réjouissantes retrouvailles, comme ci il n'avait attendu que ça depuis bien longtemps. cap Léo. Cap. Ses billets verts volaient sous ton nez. J'étais fière, si fière d'avoir tenu le pari, comme ci j'avais à te prouver que j'étais capable de le faire. Et ce fut à ton tour..  un nouveau sourire étira mes lèvres, j'étais comme une gosse, impatiente de te voir à l'oeuvre, amusée par avance de toutes ses conneries qui pouvaient guider nos pas.

Ses derniers nous avaient conduits jusqu'au centre commercial, dans une boutique particulière. Je la reconnaîtrais entre milles. on y était passé y'a de cela quelques temps, et mon regard n'avait sût se décrocher de cette jolie veste en cuir. c'était simple: je la voulais, et je finirais par l'avoir quoi qu'il m'en coûte.  j'étais pas dupe , je savais que j'avais été grillée, que t'avais vu ce putain de regard pétillant que j'avais en la regardant cette jolie veste que j'aurais de toute façon du mal à me payer, et aujourd'hui, t'étais prêt à me la prendre, t'aurais été capable de tout pour revoir ce regard brillant. le plan semblait plutôt simple, et la vendeuse derrière sa caisse n'y avait vu que du feu.  du bout des doigts je touchais tous ses vêtements, ça en fait du fric,pendant que toi, petit lutin farceur, tu t'étais amusé à te la mettre dans la poche. ce jour la, je n'étais pas partie qu'avec la veste en cuir, mais presque avec un ensemble complet. soit les gens sont plus naïfs qu'ont ne le pensent, soit c'est nous qu'ont est bien trop doués pour eux. Du génie ou de la chance? ouais, j'en sais rien en fait, c'est pas ça le plus important.

tu sais ce qui a été le plus important pour moi ce jour la Léo? C'était de t'entendre rire. Plus tu riais et plus je me sentais bien. j'avais besoin que de ça pour être heureuse dans ma vie. J'avais besoin de nos deux rires, à l'unisson, puis tes lèvres percutant les miennes. J'ai jamais su oublier cette sensation, comme elle était belle cette sensation Léo. «T'as osé. Pour moi. T'es un vrai taré.» Un beau taré mais le seul taré surtout à faire autant d'efforts pour moi, à chercher constamment à me faire oublier un peu toutes nos misères. parfois, on a pas besoin de grand chose pour ça, et ta présence suffisait pour oublier tout mes chagrins, pour éponger mes larmes.«ce que je veux? partir au bout du monde avec toi, plus jamais revenir ici. juste partir, tout claquer, on a rien à perdre léo..»juste toi et moi. c'était fou je le sais mais j'avais plus besoin de rien à l'époque. «le truc c'est que, on sait pas combien de temps ça durera, tu sais, tout ça.»je levais les mains dans le vide pour montrer que nos mascarades ne seraient pas éternelles malgré mon envie. Je savais que tôt ou tard on pouvaient nous choisir pour vivre une petite vie bien tranquille dans une belle famille de riche. l'idée de te perdre m'était insupportable. alors je voulais t'emmener loin, aussi loin que je le pouvais pour t'enlever du monde. égoiste, t'avoir que pour moi, avec moi à tout jamais.



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(#)Sujet: Re: les enfants terribles. (léo)  |   Jeu 13 Fév - 11:07

( les enfants terribles)

pais, pais. do you remember the time? Les inséparables, les fous. Comment nous définir à cette époque-là? Rien ne nous faisait peur. J'aurais tout fais pour elle, je faisais tout pour elle. Je n'avais jamais eu peur de grand chose. Mes parents m'avaient abandonnés et j'avais décidé de faire ma vie seul. Même quand la famille de Sky m'avait adopté, aussi adorables étaient-ils et ô combien l'amour que je pouvais leur porter, j'avais été forcé de les quitter. Je n'étais pas fais pour avoir un cadre, mais pour le créer. J'ai toujours décidé de où je vivais, de ce que je faisais. Et là, je décidais de faire ma vie avec Paisley. Elle était mon soleil, mon étoile, jour et nuit. Je l'aimais profondément et je savais pour sûr que ce serait toute ma vie. Peu importe ce qui arriverait, même si ce n'était pas cet amour là, je savais que je l'aimerais pour le restant de mes jours.

On se faisait un jeu de cap ou pas cap et c'était parti. Elle piquait du fric à un vieux con et à mon tour je décidais de l'emmener au centre commercial. Je voulais lui faire plaisir, parce que son sourire n'avait pas de prix. On sortait avec une tenue complète alors que je ne payais que la veste. C'était profiter des faiblesses des gens. Deux ados en couple qui font les magasins et le petit ami mignon qui paie la veste de ses rêves à sa copine, ça attendrissait les adultes. C'était évident. Je ne faisais pas de la magie, je manipulais simplement. J'étais un maître en la matière et je le resterais. Elle me disait que j'étais un taré. je ferais tout pour toi. et oui je suis taré, c'est pas nouveau. lui fis-je alors en souriant alors que nos lèvres se rencontraient. Un amour juvénile, un oeu naïf et pourtant si fort, si fou. Les lois ne nous faisaient pas peur, puisque le système avait décidé de nous abandonner. On enchaînait les folies, les unes après les autres.

Je lui demandais ce qu'elle voulait faire, à présent. Je voulais continuer à vivre sans réfléchir. Nous respirions, c'était notre droit. Et puis elle me disait de vouloir aller au bout du monde avec moi. Je la regardais. ça me tentait, mais on avait pas tant d'argent que ça. hmmm ok. fis-je en prenant le fric qu'on avait amassé. à la limite, on peut aller voir les chutes du niagara. ça te dit? lui proposais-je alors en souriant. on verra ce qu'on fait après ça! oui, comme j'ai dis, peur de rien. Je ne cherchais même pas à penser au reste. Juste au fait qu'elle voulait voyager à mes côtés et c'était trop adorable pour que je ne cède pas. un jour je t'offrirais le bout du monde. et on ira où tu voudras. il nous faudrait plus de fric que ça. Les petits vols, ça rapportait, mais pas autant. Il faudrait que je réfléchisse à autre chose. Je prenais sa main dans la mienne. on y va?



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