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 mental health begins with me.

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(#)Sujet: mental health begins with me.   |   Mer 15 Jan - 17:27

alexander & ellie

mental health begins with me.


Assise sagement sur sa chaise, la blondine semble à peine réveillée et pourtant déjà de bonne humeur. Les rayons du soleil illumine son doux visage alors qu'elle contemple fièrement sa jolie plante qu'elle avait prit soin d'installer dans sa salle à manger histoire de rendre d'avantage les lieux chaleureux et plein de vie. Son appartement n'est pas bien grand mais suffisamment pour elle qui venait tout juste de débarquer à Miami.  Au creux de ses mains, une tasse de thé encore chaude l'accompagne durant sa contemplation. Le temps passe et il est bientôt l'heure de prendre la route. Ça ne lui dérange pas, elle aime ce qu'elle fait, elle aime prendre soin des autres. Passer du temps en compagnie de ceux qui en manque cruellement est un vrai bonheur pour elle, et le simple fait de voir ses gens sourire après son passage suffit bien souvent pour apporter de la gaieté à son existence. Comme tout les jours, elle envoi un message à ses parents, restés à Helena, au Montana avant de déposer sa tasse dans l'évier et de mettre les voiles dans Miami. Comme à ses habitudes, elle s'occuperait des habitués aujourd'hui, mais aussi d'un nouveau patient qui lui avait été confié par un de ses confrères à l'hôpital.

Entre deux feux de circulation, elle jetait un œil sur le dossier du jeune homme, sur l'histoire de sa pathologie et sur ce qu'il avait eu réellement. Elle avait prit soin d'emporter avec elle le matériel nécessaire pour s'occuper de lui. Elle l'avait avisé de sa visite et espérait qu'il ne l'ait pas oublié. Au bout de plusieurs minutes de route, elle s'était arrêté non loin de l'appartement pour continuer à pieds, sa mallette médicale noire entre les mains. Ce n'est que peu après qu'elle vint frapper à trois reprises sur la porte d'entrée, attendant sagement que quelqu'un daigne venir lui ouvrir. Ce fût rapidement chose faîtes, un homme se présenta à elle. Son regard se planta sur son faciès, et dès lors qu'elle l'avait vu, elle s'était mise à sourire, poliment, gentiment histoire d'avoir sa confiance. Monsieur Roberts? Alexander Roberts? qu'elle commença avant de poursuivre toujours d'une voix très douce et posée.Je suis Ellie Myers, l'infirmière.Je vous ais contacté il y a de cela quelques jours pour vous signaler mon passage aujourd'hui. Est-ce que je peux entrer? Je viens m'occuper de vos soins. qu'elle finit par dire en attendant sagement d'avoir l'autorisation d'entrer pour s'occuper de ce jeune patient qui lui faisait face.

Ce n'est qu'une fois à l'intérieur, qu'elle déposa sa mallette sur la table, jetant un oeil sur les ordonnances et les papiers lui étant spécialement adressée à elle dans lesquels il était stipulé que Alexander Roberts nécessite des soins infirmiers à domicile jusqu'à cicatrisation complète de sa plaie. Comme elle avait pût le savoir, Alexander avait bénéficier d'une Néphrectomie soit une opération délicate des reins. Il avait donc eu droit à une belle cicatrice qu'elle allait devoir nettoyer proprement à l'aide d'une solution avant de la recouvrir d'un nouveau pansement et ce tout les deux jours. Sur le compte rendu médical, il était également stipulé que le jeune homme devait bénéficier d'un bilan sanguin complet et d'un traitement anti-coagulant par injection sous cutanée pendant deux semaines. Une surveillance avait été mise en place, et le patient devait à nouveau être vus 6semaines plus tard par le chirurgien. Bien. Alors, aujourd'hui je vais m'occuper du pansement si ils ne l'ont pas déjà fait à l'hôpital, de vôtre injection d'anti-coagulant et en même temps du bilan sanguin. Ça peut paraître beaucoup, mais c'est nécessaire vous vous en doutez. Qu'elle lui avait simplement dit en cherchant dans son sac une paire de gants stériles, un simple coton et un peu d'alcool pour désinfecter l'endroit ou elle ferait l'injection.Vous pouvez soulever vôtre t-shirt? Ça ne sera pas long. Il fallait juste qu'elle pince la peau au niveau de son abdomen pour laisser l'aiguille pénétrer sa chair et laisser le produit circuler dans son organisme. Une fois que cela sera fait, elle pourrait alors procéder au nettoyage de la cicatrice, et enfin, à la prise de sang que bien des gens redoutait en temps normal.
 

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(#)Sujet: Re: mental health begins with me.   |   Jeu 16 Jan - 22:28

alexander & ellie

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Un peu plus tôt cette semaine, Alexander a appris qu’il pourrait quitter l’hôpital vendredi en après-midi si tous les examens sont concluants. Vivre à l’hôpital n’est clairement pas ce qu’il préfère le plus au monde. Ça fait deux fois en un an qu’il monopolise un lit alors sortir d’ici est une très bonne nouvelle pour lui. Sortir de l’hôpital ne veut malheureusement pas dire qu’il sera libre comme l’air. Son médecin l’a bien averti qu’une infirmière passera quelques fois pas semaine pour nettoyer sa plaie et changer son pansement. Alexander préfère que quelqu’un vienne chez lui parce qu’il en a assez de l’hôpital. Il est évident que sa convalescence sera plus facile et plus rapide s’il se retrouve chez lui dans ses affaires, dans son lit.

Quelques heures avant d’avoir son congé, Paisley est venue le retrouver à l’hôpital. Ils ont discuté, le temps est passé assez vite. Ensemble, ils ont rigolé. De voir son amie lui a fait un bien fou parce qu’il ne l’a pas vue depuis l’accident. À sa connaissance, elle ne est jamais venue le voir ici. Pourquoi? Il n’en sait rien et c’est peut-être mieux ainsi parce qu’il ne voudrait pas que sa réponse puisse le décevoir. Bref, elle est venue le chercher et ils ont quitté l’hôpital après avoir eu l’accord du médecin. Pailsey est restée quelques heures avec Alexander à l’appartement. Elle lui a fait un petit repas qui était malgré tout délicieux.

Samedi matin, Alexander est seul à l’appartement parce qu’il attend la visite de l’infirmière qui est supposée venir s’assurer que tout se passe bien, qu’il cicatrice bien. Comme c’était l’un des compromis pour qu’il puisse retourner chez lui, il l’attend tranquillement. C’est en attendant cogner à la porte qu’il se lève tranquillement du canapé pour venir ouvrir.
ALEXANDER : « Oui c’est moi, entrez, je vous en prie. »
Il fait entrer l’infirmière dans l’appartement, passant ainsi à la cuisine. Il la laisse lire différents papiers et attend sagement.

Elle lui explique ce qu’elle va lui faire et Alexander comprend quand même assez. Une injection, une nettoyage de plaie, un changement de pansement et une prise de sang. Il ne faut pas un diplôme universitaire pour comprendre tout ça. Tout naturellement et comme demandé, il soulève son t-shirt.
ALEXANDER : « Je vous avertis tout de suite, ce n’est pas très beau mais vous êtes sans doute habituée avec votre métier de voir des cicatrices et des blessures. »
Dit-il simplement.
ALEXANDER : « Vous avez toujours voulu faire ce métier? »
Il faut être fait fort pour exercer un tel métier. Il ne faut surtout pas être dédaigneux. Alexander ne pense pas qu’il aurait été capable d’exercer ce travail. Disons-le, être infirmière est une vocation tout comme être professeur et religieux le sont aussi.
 

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(#)Sujet: Re: mental health begins with me.   |   Jeu 16 Jan - 23:07

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Ses mains et son talent ont étaient mit au service de l'humanité. Aider les autres n'est pas une simple volonté, c'est une vocation innée chez elle, et ce depuis sa plus tendre enfance.Certains la trouves cupide, naïve, un peu trop innocente, too pure for this world, mais il en faut des personnes comme elle pour rendre l'humanité et le monde meilleur. Ellie, elle ne se plaint jamais, dans sa bonne santé comme dans sa maladie. Elle accepte les choses et ne manque pas de remercier sans cesse son dieu pour tous ce qu'il a pût lui offrir jusqu'à présent. Ellie, cette infirmière malade, cette narcoleptique qui n'a jamais parlé à quiconque de sa pathologie. Elle refuse la pitié des autres, elle n'en a pas besoin de toute manière. Depuis sa plus tendre enfance elle est atteinte, et depuis sa plus tendre enfance elle avait apprise à vivre avec. Elle ne compte plus ses jours de traitement vain, et si, enfant, la maladie ne semblait pas véritablement l'atteindre, ses derniers temps, ce fût tout l'inverse. Elle pouvait s'endormir n'importe quand, à n'importe quel endroit, et ce même au volant de son propre véhicule. Elle avait bénéficié d'un traitement un peu plus important dont l'unique but était de l'aider à équilibrer ses phases d'éveil et de sommeil, histoire d'éviter les crises en pleine journée, mais même comme ça, la narcolepsie l'a rappelait sans arrêt à l'ordre. Et si ses parents s'inquiétaient énormément pour elle, Ellie, elle, continuait de sourire, continuait d'aider le monde autour d'elle, dans la joie et la bonne humeur.

Comme aujourd'hui ou elle s'était rendu au domicile d'un dénommé Alexander Roberts. Un compte rendu détaillé de son intervention lui avait été délivré, dans lequel les médicaments et dosages prit à l'hôpital ont étaient stipulés. Elle avait notamment sût qu'il avait dû être sonder et mis sous morphine. L'intervention n'était pas rien, et le jeune homme se devait d'être prudent pour éviter d'aggraver son cas. Comme à ses habitudes, elle lui rappellerait les mesures d'hygiènes à adopter pour sa complète cicatrisation et convalescence mais en attendant, elle procéderait aux soins, élément principal qui l'avait fait venir dans cet appartement. Après avoir préparé soigneusement son matériel, elle lui demanda d'une voix extrêmement douce de soulever son t-shirt. L'homme s'exécuta, en lui offrant un petit commentaire qui la fit doucement sourire. Je ne suis pas la en tant que juge Monsieur Roberts.Mon but est d'apaiser vôtre douleur et de faire en sortes que cette plaie cicatrise au mieux. qu'elle l'avait rassuré en s'approchant finalement de lui.Je peux? Toucher la peau d'un individu quelconque était toujours chose délicate, et si Alexander semblait, à première vue, à l'aise, certains étaient bien plus pudique, et l'idée qu'une inconnue ne touche leur peau à l'aide de ses doigts pouvait être détestable. Dans un premier temps, elle passa sa compresse alcoolisé sur l'endroit précis ou elle piquerait, puis ses doigts pincèrent la peau de son abdomen et c'est toujours avec une extrême douceur et un respect de son patient qu'elle approcha l'injection.J'y vais. L'aiguille pénétra sa chair et le fameux liquide censé protéger le jeune homme de pathologies plus ou moins graves vint s'écouler dans son organisme en l'espace de quelques secondes.

L'injection faîtes, elle vint jeter la seringue dans un compartiment adapté et scellé se trouvant dans sa mallette avant de venir cette fois préparer un pansement neuf, de nouveau de l'alcool pour désinfecter la cicatrice, une pince pour faufiler ses morceaux de cotons entre les agrafes ayant suturer la peau et ses fameuses compresses.Je crois que vous allez devoir retirer entièrement vôtre t-shirt, ça sera mieux pour moi, pour la bonne visibilité de vôtre cicatrice. A moins qu'il ne préfère tenir le tissu durant les soins, mais ça ne risque pas d'être confortable du tout, ni pour elle,ni pour lui. Elle s'en voudrait que maladroitement son t-shirt retombe sur la cicatrice sens que celle ci ne soit recouverte du pansement nécessaire.

Elle attendit qu'il s'exécute pour commencer à préparer le tout, prête au bout de quelques minutes finalement pour commencer son deuxième soin. Durant ce temps, elle vint lui répondre à sa précédente question, histoire de lui faire un peu oublier qu'il subissait des soins et que cela pouvait encore être douloureux au vu de la fraîcheur de la plaie. L'opération était récente, et il est fort à parier que malgré les anti-douleurs, il pouvait encore souffrir de quelques maux de ventre, ou même être prit de vomissements soudains.Pour répondre à vôtre question.. Oui. J'ai toujours voulu faire ce métier la, depuis que je suis toute petite.J'ai ce besoin de vouloir aider mon prochain, d'être la pour ceux qui en ont le plus besoin.. qu'elle avoua en gardant un sourire aux lèvres alors qu'elle retirait lentement l'ancien pansement pour observer cette plaie. Elle n'est pas vilaine du tout cette cicatrice. C'était une manière de le rassurer. Elle est assez propre, mais pas encore assez pour être exposée à l'air libre. Est-ce que l'hôpital vous ont donné les consignes pour une bonne cicatrisation? Comme ne pas porter de charges lourdes pendant au moins un mois, se reposer au maximum, éviter les bains pour minimiser les infections?.. avait-elle ajouté en attrapant un coton imbibé d'alcool à l'aide de sa pince pour l'approcher de l'ouverture ayant été faite au niveau de son rein.Ça risque de piquer un peu.. Inspirer profondément. Elle savait que la puissance de l'alcool pouvait être un vrai enfer pour les patients fraîchement opérés, et elle espérait que le jeune homme n'ait pas trop mal face à son traitement.Son but était de le soulager et elle tentait de faire ça bien. Ça va? qu'elle demandait d'une voix douce et posée en tentant de croiser son regard pour le rassurer au maximum à l'aide du sien. C'était la moindre des choses après tout.


 

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(#)Sujet: Re: mental health begins with me.   |   Ven 17 Jan - 19:18

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Ce ne sont pas tous les êtres humains qui trouveront leur vocation au cours de leur vie. Cette femme a trouvé la sienne tout comme Alexander a aussi trouvé la sienne. Il était important pour lui de faire un métier utile à la société même s’il met sa vie en danger à tous les jours. Cela dit, se retrouver deux fois à l’hôpital entre la vie et la mort en un an l’amène à se poser des questions. Est-ce qu’il veut continuer à pratiquer ce métier au risque de mourir pour vrai la prochaine fois? Dans quoi pourrait-il se recycler? Peut-être qu’il pourrait devenir pompier... enfin s’il a la forme et qu’il passe les examens d’admission. Peut-être aussi qu’il devrait uniquement attendre d’être totalement rétabli et décider par la suite ce qu’il fera de son avenir.

Alexander reçoit aujourd’hui la visite de l’infirmière qui est supposée venir à quelques reprises pour ses soins. Ce qu’il a subi n’est pas une petite chose, on lui a enlevé un rein. La convalescence sera longue mais au moins il peut la passer chez lui. Il pourra tranquillement se reposer chez lui et reprendre des couleurs en dormant dans son lit. Il ne demandait rien de plus qu’être chez lui. Bref, l’infirmière arrive tout juste chez lui. Il lui ouvre la porte et l’invite à entrer dans l’appartement.

Alexander laisse la dame préparer son matériel et relève son t-shirt comme elle lui demande. Pour détendre un peu l’atmosphère, il lui fait une petite blague comme quoi sa cicatrice n’est pas très belle bien qu’il sache qu’elle a sûrement vu des tonnes de cicatrices avec son métier. Il ne faut surtout pas être dédaigneux en exerçant un tel métier. Il ne faut pas avoir le cœur fragile tout comme il ne faut pas avoir peur du sang. C’est un métier qu’Alexander n’aurait pu faire parce qu’il se sent mal et faible lorsqu’il met les pieds à l’hôpital. Il n’est peut-être pas aussi homme que ça ce pauvre Alexander.
ALEXANDER : « Oui, allez-y. »
Elle a un travail à faire alors qu’elle le fasse. Il ferme d’ailleurs les yeux lorsqu’elle le pique parce qu’il ne sait pas si cela lui fera mal. Nous ne savons jamais à quoi s’attendre réellement, mais maintenant Alexander le sait et il peut dire que ça ne fait pas mal... du moins la piqûre à cet endroit ne fait pas mal. Il doit maintenant espérer que cette piqûre sera toujours donnée au même endroit.

Sans plus tarder, il retire complètement son t-shirt. Alexander est là pour guérir alors il fait tout ce que la dame lui dit de faire. Tout ce qu’il désire c’est de guérir le plus rapidement possible. Il veut guérir, il veut reprendre une vie normale. Pour guérir il doit mettre en actes tout ce qu’on lui dit de faire, il ne doit rien laisser de côté. Il écoute d’ailleurs l’infirmière qui répond à sa question.
ALEXANDER : « Un peu comme moi avec mon travail de policier, j’aime les gens à ma manière. Je sais que nous ne sommes pas toujours aimés des gens en raison de certains policiers qui font des conneries, mais nous avons tous, pour la grande majorité, envie d’aider les gens. Nous consacrons notre vie à la population. »
Tout a été dit à Alexander, mais c’est bien qu’elle lui rappelle. Après tout, c’est son métier d’aider les gens malades et parfois lorsque nous sommes malades nous oublions certains bouts.
ALEXANDER : « Oui, absolument. »
Dit-il en souriant.
Suivant le conseil de l’infirmière, il inspire profondément et serre les dents au moment où l’alcool vient toucher sa plaie. Ça lui brûle un peu la peau, sensation plutôt désagréable. Dire qu’il devra subir une telle chose aux deux jours le décourage un peu.
ALEXANDER : « Ça surprend à quel point si peu d’alcool peut piquer autant. »
Il faut ce qu’il faut pour guérir.
ALEXANDER : « En tout cas, vous semblez douée dans ce que vous faites. Vous avez beaucoup de patients à visiter à tous les jours? Est-ce que vous travaillez aussi dans les hôpitaux ou les cliniques? »

 

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(#)Sujet: Re: mental health begins with me.   |   Sam 18 Jan - 8:15

alexander & ellie

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Elle se voulait douce et rassurante histoire de ne pas effrayer son patient. Elle n'avait pas besoin d'user d'un quelconque subterfuge, elle l'était naturellement et elle espérait que le jeune Alexander soit suffisamment en confiance pour qu'elle puisse poursuivre ses soins naturellement. Le premier avait été une injection d'anti coagulants prescrit par l'anesthésiste et chirurgien ayant prit en charge le policier. Le but de cette injection était de lui éviter le pire tel qu'une phlébite ou encore une embolie pulmonaire. En temps normal cette simple piqûre n'est pas douloureuse bien que certains patients peuvent ressentir une sensation désagréable lorsque le produit pénétre dans la chair. Son regard s'était porté sur le sien qui lui s'était éteint. Il apprendrait certainement la douleur, mais il n'avait rien à craindre. L'injection n'était en rien douloureuse J'ai terminé vous pouvez ouvrir les yeux.  quelle lui avait dit d'une voix douce et cristalline. Dès lors que l'injection avait été faite, elle isola l'aiguille dans un contenant adapté et commença à préparer le matériel nécessaire pour le nettoyage de sa plaie.

Cotons, alcool, pansement et pince, elle avait tout préparé pour s'occuper de sa cicatrice. De ses doigts delicats elle retira l'ancien pansement pour ausculter la plaie tout en lui expliquant le comment du pourquoi elle aimait tant sa profession actuelle. A son tour, il lui expliqua qu'il avait cette envie, lui aussi, d'aider les autres et ce même si parfois, son métier n'était pas autant valorisé qu'un autre et que certains habitants de Miami ne semblaient pas les porter dans leurs cœurs. C'est tellement injuste. Après tout ce que vous faites pour nous, vos sacrifices.. Je trouve ça tellement triste que vous ne soyez pas autant valorisés. qu'elle lui avait répondu avant d'observer avec plus d'attention sa plaie. La cicatrice était conséquente mais propre, suturée et refermée à l'aide d'agrafes qu'elle allait devoir certainement retirer par elle même plus tard. Ils vous ont mit des agrafes, je verrais l'évolution de la cicatrisation et si d'ici deux jours je peux commencer à en enlever quelques une histoire que vous soyez un peu plus tranquille à ce niveau là. elle imbiba rapidement un coton d'alcool qu'elle vint saisit avec sa pince pour ensuite l'approcher de sa cicatrice, une nouvelle fois elle l'avisa sur la douleur ressentie au contact du liquide sur sa peau.

Cette fois il grimacerait et même un surhomme aurait eu mal dans tout les cas. La plaie était encore fraîche d'où les picotements et la sensation de brûlure. Si ça brûle un peu c'est que ça fait effet. Ça ne sera pas long, promis. même qu'elle fit usage d'une extrême délicatesse et lenteur pour désinfecter la chose sans que ça ne soit davantage douloureux pour lui. Il lui parlait, c'était une bonne chose, au moins cela lui permettrait de se concentrer sur autre chose que ce ses gestes médicaux.

Il s'intéressa à elle. Au nombre de patients, à son travail et cela lui fit énormément plaisir que quelqu'un le fasse. En général, les patients ont tendance à simplement vouloir de leurs soins sans s'intéresser à celle qui les pratiques, mais il faut croire que Alexander était une exception. Merci pour le compliment.. A moi seule j'ai 12 patients à visiter par jour. commença telle avant de réfléchir à sa deuxième question.

Ellie ne travaille pour personne, elle est infirmière libérale ce qui veut dire qu'elle a son propre cabinet avec ses propres patients, elle pratique principalement le domicile car elle sait pertinemment que tout le monde ne peut pas se déplacer jusqu'à elle pour obtenir des soins. Elle ne sne plaint pas, bien au contraire, cela lui permet d'établir une plus belle relation de confiance avec ses patients, detre plus proche d'eux. Pour ce qui est de l'hôpital elle travaille parfois pour eux, durant ses temps libre, bénévolement. Elle apporte un peu de gaieté et d'amour à ceux qui n'en ont pas. Je suis ma propre patronne mais il m'arrive oui de travailler pour l'hôpital durant mes temps libre, bénévolement. et pour dire vrai, cet homme face à elle, elle le connaissait déjà en fait.

Alexander avait été dans la coma pendant un certains temps et ne semblait pas bénéficier de visites constantes. Alors, il lui arrivait de passer dans sa chambre pour juste apporter un peu de lumière, de clarté dans la pièce pour la rendre plus chaleureuse et moins morose. Il lui arrivait également de s'installer sur la chaise présente à ses côtés pour lui parler, pour lui raconter des histoires qu'il ne retiendrait pas. Qui sait si il se souvient du son de sa voix, lui qui semblait perdu entre le monde réel et le paradis. J'aime donner de mon temps pour ceux qui se sentent seuls et démunis. finit elle par dire avant de poser le pansement neuf sur sa peau. Et voilà ! s'enthousiasma t-elle avant jeter le matériel plus loin. il me reste la prise de sang et ça sera tout bon pour moi. La encore ça risquait de ne pas être une partie de plaisir mais, la encore elle continuerait de faire usage de sa douceur pour l'apaiser, le mettre en confiance même si elle se doutait que c'était déjà le cas quelque part.

 

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(#)Sujet: Re: mental health begins with me.   |   Sam 18 Jan - 16:58

alexander & ellie

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Alexander se passerait bien de ces soins, mais il n’a pas le choix de les subir. Il doit avoir de bons soins pour se rétablir facilement, ne pas avoir de complication et pour reprendre une vie normale plus rapidement. Il reconnaît la chance qu’il a de pouvoir se rétablir chez lui. Il mettra donc toutes les chances de son côté. Il ne veut rien négliger et surtout ne pas être désagréable envers cette personne qui vient gentiment chez lui pour lui prodiguer des soins.

Alexander est un homme et pourtant il n’aime pas nécessairement les piqûres. Il ne tombera pas dans les pommes pour ça, mais moins il en a, plus les seringues sont loin de lui mieux il se porte. Il ne sait pas vraiment pourquoi il n’aime pas ça. Alexander n’ira pas le crier sur tous les toits puisqu’il a un orgueil et qu’il ne veut pas passer pour un faible. Ses petites peurs il les gardent uniquement pour lui. Le tout reste dans son jardin secret dont personne n’aura accès. Bref, il ouvre les yeux au signal de l’infirmière et lui sourit.
ALEXANDER : « Je m’attendais à pire. »
Il était convaincu que de se faire piquer à cet endroit lui provoquerait beaucoup plus de mal étant donné qu’il n’a pas beaucoup de gras à ce niveau.

Lorsqu’il a choisi ce métier il savait bien qu’il ne serait pas le plus aimé du monde étant donné que les policiers ont un peu mauvaise réputation partout dans le monde. Les gens ont tendance à mettre toutes les mêmes personnes dans le même panier. Les personnes ont tendance à juger facilement, à croire que toutes les personnes ayant la même couleur de peau, la même religion, etc sont les mêmes. Alexander ne pense pas avoir le jugement facile. Il ne pense pas juger les gens par leur couleur, leur métier ou encore leur croyance religieuse. Il faut avoir de la tolérance, surtout dans mon monde comme le nôtre.
ALEXANDER : « Quand nous choisissons ce métier nous le savons bien que nous ne serons pas nécessairement accueillis à bras ouverts par la population. J’ai toujours fait ce que j’avais à faire. »
Cela dit, il ignore s’il continuera ce métier lorsqu’il sera rétabli. Pour le moment ce n’est pas nécessairement dans ses plans et sans doute qu’il aura une conversation avec ses parents pour savoir ce qu’ils en pensent.

Les agrafes sur la peau provoquent toujours une drôle de sensation. Avoir du métal dans la peau n’est pas de tout repos. Il doit faire attention à tout ce qu’il fait puisqu’il ne voudrait pas que les agrafes tombent ou encore que ça lui déchire la peau s’il devait accidentellement les accrocher avec ses vêtements ou encore un objet. Si sa plaie s’ouvre il devra retourner à l’hôpital...
ALEXANDER : « Disons que ce n’est pas une sensation des plus agréables d’avoir des agrafes dans la peau. J’ai toujours peur de les accrocher et là je m’imagine le pire. »

Prenant une grande respiration, Alexander tente de rester calme le temps qu’elle lui désinfecte sa plaie. La visite de cette infirmière ne sera jamais reliée à de beaux souvenirs parce qu’il sait qu’il aura toujours des petits picotements lorsqu’elle sera présente. C’est pour penser à autre chose qu’il lui pose des questions. Il s’intéresse quand même à ce métier qu’elle pratique. Elle semble très passionnée par ce qu’elle fait.
ALEXANDER : « Douze patients par jour c’est beaucoup de déplacements ça. L’important est que vous aimiez ce que vous faite. »
En plus de travailler fort elle fait même du bénévolat. Cette femme est un vrai ange, elle consacre vraiment sa vie aux gens dans le besoin. Si seulement le monde pouvait être comme elle sans doute que la planète se porterait mieux.
ALEXANDER : « Je n’ai jamais rencontré quelqu’un d’aussi passionné que vous. Je vous lève mon chapeau. »
Dit-il en souriant.

Une prise de sang, elle risque d’avoir de la difficulté un peu puisqu’on lui a toujours dit que ses veines sont fuyantes. Elle est mieux de s’armer de patience si elle veut le piquer comme il faut. Quoique si elle a vraiment la vocation elle y arrivera peut-être facilement, plus facilement que les autres infirmières qui lui ont déjà fait des prises de sang.
ALEXANDER : « Il paraît que mes veines sont fuyantes alors bonne chance. »
Lui souhaite-t-il en souriant.

 

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(#)Sujet: Re: mental health begins with me.   |   Lun 20 Jan - 10:14

alexander & ellie

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Je m'attendais à pire. elle était heureuse de l'entendre dire. Ce n'est jamais très agréable de voir un patient ressentir de la douleur et que cette dernière se lit sur ses traits de visage ou sur ses attitudes. Alexander était très courageux il fallait l'admettre. elle s'en serait presque voulue de devoir lui faire subir tout cela, mais il devait savoir et comprendre que cela était pour son bien. L'hôpital avait signé ses papiers de sortie avec pour seule condition que le jeune homme fasse attention à lui et que ses soins soient poursuivis à domicile. Ellie se souvient très bien du jour ou son confrère l'avait appelé pour lui confier le cas "Alexander". Professionnellement, il lui avait décrit tous ce qu'ils avaient pût faire sur le jeune homme, les circonstances et les conditions de son hospitalisation. Elle avait eut droit à un rapport détaillé et l'avait étudié minutieusement. La encore, juste avant d'arriver chez lui, elle avait jeté un oeil dessus pour ne pas se tromper et faire les choses bien. Avec une certaine minutie et douceur, elle avait procédé à son injection sous cutanée d'anti-coagulants, avant de s'attaquer par la suite au pansement.

Durant ce temps, elle avait insisté pour discuter avec lui afin de lui faire penser à autre chose qu'à ses soins, afin que ses derniers passent plus rapidement et qu'ils soient le moins douloureux possible. Tout comme elle, Alexander semblait être un homme du peuple, de ceux qui seraient capable de se sacrifier pour des personnes qu'il ne connaît ni d'Adam, ni d'Eve. C'est ce que sont les forces de l'ordre. Des gens au service de la citoyenneté, valeureux, courageux, mais malheureusement peut valorisés. Elle était de ce qui les appréciaient à leur juste valeur et fût terriblement désolé d'apprendre ce que Alexander venait lui révéler sur sa profession. Vous êtes courageux..Et je sais très bien que ça ne doit pas être facile pour vous tout les jours. Au delà de ceux qui vous méprises, il y a aussi ceux qui vous admires.. Elle en faisait partie de ce genre de personnes la.Si vous pensez que ce que vous faîtes est bon et juste pour l'humanité, alors faites le, tôt ou tard, vous n'en serez que récompensé. finit-elle par lui dire avant d'observer la plaie, la cicatrice et lui faire part de son avis sur cette dernière. La plaie était loin d'être vilaine, bien au contraire. Sa peau semblait plutôt bien supporter les agrafes et commençait même à cicatriser. Délicatement elle posa le doigt contre. Elle restait quand même encore légèrement fragile pour pouvoir les enlever, mais d'ici deux ou trois jours, la balance pourrait jouer en sa faveur et il est fort à parier que d'ici milieu de semaine elle pourra lui retirer les fameuses agrafes, histoire de le soulager un peu lui qui semblait inquiet à l'idée d'en accrocher une avec ses vêtements. Il faut être patient et laisser le temps à la cicatrisation. Si je vous les retires maintenant, la plaie peut s'ouvrir à nouveau et cela vous vaudra un nouveau passage à l'hôpital pour la suturer à nouveau. Je penses que d'ici quelques jours je pourrais commencer à vous les retirer, une sur deux dans un premier temps puis la totalité par la suite.. Puis elle s'était mise à désinfecter la cicatrice, espérant ne pas décrocher plus de grimaces sur le visage de son patient.

A nouveau ils s'étaient mis à parler, toujours parler pour détourner la chose. Il s'intéressait à elle, à ce qu'elle faisait, à sa profession et c'est avec des yeux presque brillants qu'elle lui parlait de ses fonctions. Elle aimait son métier et semblait définitivement heureuse de vivre de cela, d'être sa propre patronne avec ses propres patients. Elle avait sût à travers le temps, établir une relation de confiance avec eux. Elle les aimaient tous, à sa façon, et aux yeux de bien du monde, elle avait cette faculté d'être un vrai petit rayon de soleil dans leur vie obscure et monotone. Le genre ange gardien qui veille à leur bien être comme elle veillerait sur celui de Alexander désormais. Au vu de ses confidences sur sa vie professionnelle, le jeune homme semblait surprit et sa réaction la fit doucement sourire, rire même. Oui elle avait douze patients à aller voir en plus de son bénévolat à l'hôpital et de ses week-end ou elle aidait l'église pour différentes missions humanitaires, si ce n'est pas à la chorale de cette dernière qu'elle se trouvait.Merci une nouvelle fois pour le compliment. lui avait-elle dit, fière, en gardant son sourire sur le bout de ses lèvres.Au delà du métier, c'est plutôt le côté humain qui me plait. Le contact avec les autres. J'ai besoin de sentir les gens biens pour être heureuse, comme ci leur bonheur impactait directement sur le mien. Je sais, c'est bizarre à dire comme ça, mais je me sens vraiment bien qu'en les autres le sont, quand mes patients le sont. Je dors plus sereinement.. dit-elle en riant doucement à nouveau. Quand certains se fichent du malheur des autres, elle pense à les rendre heureux, à sa façon, et même si les soins ne sont pas suffisants, parfois un regard, un sourire, quelques paroles échangées suffisent pour rendre les gens psychologiquement de bonne humeur.

Elle s'attaquerait par la suite à la prise de sang. Le jeune homme prit soin de lui informer qu'il avait quelques veines plus ou moins capricieuses. Ainsi, elle prépara son matériel en fonction de ce détail décrit, elle ferait d'abord usage de la classique aiguille pour piquer et si vraiment ses veines se mettaient à rouler, alors elle userait d'un autre système pour obtenir le sang désiré.Vous n'êtes pas le seul patient à avoir les veines capricieuses je vous rassures. Et c'est pour ça.. que j'ai tout prévu. Elle prépara soigneusement le tout et invita le jeune homme à s'installer sagement sur une des chaises présentes autour de la table. A son tour elle en prit une et prit soin également de lui montrer les deux cathlons dont elle ferait usage au cas ou.Je vais d'abord tenter la voie habituelle, celle du pli du coude avec cette aiguille la. Elle lui montra la dite aiguille avant d'en prendre une bien plus petite mais plus précise.Et si vraiment je n'y arrive pas.. on utilisera celle la sur le dos de la main. Entre nous, je préférerais que vos veines ne soient pas trop capricieuses avec moi car je m'en voudrais de vous piquer la ou l'hôpital l'ont déjà fait.. C'est généralement à la main que sont placées les perfusions à l'hôpital et au vu du petit hématome présent sur la main gauche du jeune homme, il est fort à parier que lui aussi en a bénéficié d'une, certainement pour les perfusions de morphine, d'antalgiques, les premiers jours d'hospitalisation.Bon allez. C'est parti? Elle lui souriait toujours en approchant un garrot de son biceps histoire de faire compression autour de ce dernier et de faire, de ce fait, ressortir les veines présentes au pli de son coude. Serrez le poing. Sa main gauche récupéra une de ses compresses baignées par l'alcool tandis que l'autre main cherchait,en une palpation de son bras, les fameuses veines à piquer. Comme il avait pût lui dire, ses fameuses veines semblaient avoir l'habitude de fuiter. Elles étaient présentement capricieuses, mais elle ferait en sortes de les dompter pour sa prise de sang. Son index et majeur joints ensemble, elle vint les tapoter pour les faire ressortir un peu plus.Vous allez me détester.. qu'elle disait en gardant pourtant un semblant de sourire sur ses lèvres. Finalement, une d'entre elles semblait apte à être piquée et elle ne perdit pas de temps, Ellie, pour nettoyer l'endroit à l'aide de sa compresse avant de se munir de son aiguille pour piquer.Inspirer profondément, j'y vais.. L'aiguille fut plantée, le tube posé à l'extrémité, et pour son plus grand bonheur, ce dernier semblait bel et bien se remplir du sang du policier.Elles n'ont pas étaient capricieuses longtemps avec moi. avait-elle ajouté, réjouie à l'idée de ne pas avoir du le faire souffrir d'avantage. Dès lors que le premier tube fut rempli, elle l'enleva pour en sortir un deuxième et elle ferait cela jusqu'au troisième, prenant soin de lever sa tête et ses yeux vers ceux du garçon pour tenter de savoir si il se portait bien.Ça va? Elle planta ses yeux marron clair dans les siens quelques secondes avant de se concentrer à nouveau sur sa prise de sang. Elle lui demanda par la suite de desserrer le poing alors que d'une main habile elle retirait le garrot autour de son biceps. L'aiguille fut qu'en à elle extirpée de sa peau et rapidement serait remplacée par un nouveau coton et deux morceaux de scotch pour le maintenir.Promis je vous embêtes plus. Elle se relevait de sa chaise pour jeter tout le reste dans son collecteur d'aiguilles et retira finalement ses gants stériles pour les jeter elles aussi. Vous avez été courageux aujourd'hui. Demain, vous aurez droit qu'à l'injection d'anti-coagulants. Autour de ses tubes de sang, elle avait prit soin de mettre l'étiquette ou était inscrit son nom, prénom, sa date de naissance et son adresse. Ses trois tubes iraient directement au laboratoire pour être analysés.  Le tout rangé dans sa mallette, elle s'occupa cette fois de l'administration en revenant s'installer sur la chaise, nota dans son dossier ce dont il avait bénéficié aujourd'hui. Tout semble bon pour moi. Vous avez quelques questions? Vous voulez discuter de quelque chose en particulier? N'hésitez pas, j'ai tout mon temps. Prendre le temps de discuter de tout et de rien avec ses patients, voilà ce qu'elle avait l'habitude de faire après ses soins. Elle n'était pas le genre d'infirmière pressée qui faisait les choses en deux trois mouvements avant de s'éclipser aussi vite qu'elle n'était arrivée. Qui puis est, Alexander avait bénéficier d'une opération assez délicate, il avait été dans le coma pendant plusieurs jours et devait certainement, encore aujourd'hui, avoir des séquelles autant psychologiques que physiques, alors si elle pouvait le rassurer sur certains points, lui apporter un peu de gaieté à lui aussi, elle le ferait sans aucune hésitation.

 

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(#)Sujet: Re: mental health begins with me.   |   Ven 24 Jan - 1:31

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Tous les métiers ont leurs bons et leurs mauvais côtés. Être policier n’est pas fait pour tout le monde. Il faut être observateur, surtout lorsque nous faisons des rondes de quartier ou encore des surveillances lors de certains événements. Être policier c’est comme être parent, il faut des yeux tout le tour de la tête. Bref, tout ça pour dire que c’est un travail que nous devons prendre au sérieux puisque nous devons sécuriser le plus possible  la population. Les gens comptent sur les policiers...

Alexander n’a pas été chanceux dans son métier, il a été victime de drames à deux reprises qui ont mis sa vie en danger. Il se relève à chaque fois parce qu’il est fort. Cette fois-ci, Alexander s’en est sorti en raison de ce pendentif que Paisley lui a offert pour Noël. Il faut se trouver des raisons pour se battre, il faut se trouver des portes-bonheurs, des buts et des envies. Alexander aurait pu lâcher prise et se laisser emporter par la mort, mais non il s’est battu et probablement qu’il se battra toujours.
ALEXANDER : « Je pense tout de même de plus en plus à changer de carrière. Peut-être pompier si physiquement je peux passer les tests. Sinon, peut-être ambulancier. Je veux juste faire un métier qui fera en sorte que je sois encore utile à la société. »
Par contre, cela veut dire qu’il doit retourner aux études pendant quelques années. Aura-t-il le courage de faire une telle chose? C’est quelque chose à laquelle il doit réfléchir comme il faut avant de se lancer.

Alexander voudrait guérir rapidement, mais il n’a pas ce pouvoir. Il doit laisser le temps faire, mais s’il met toutes ses chances de son côté il devrait guérir assez rapidement et reprendre une certaine forme de vie normale. Il regarde Ellie et l’écoute attentivement.
ALEXANDER : « Parfait. »
Elle fera ce qu’elle a à faire, Alexander lui fait confiance. Elle sait ce qu’elle fait puisque c’est son métier. Elle n’irait pas mettre sa carrière en jeu pour une histoire de mauvais soins. Cette femme aime ce qu’elle fait, cette femme est passionnée par son métier. C’est beau de voir des gens avec une véritable passion.
ALEXANDER : « Ce n’est pas étrange, c’est beau. »
Dit-il en souriant.

Alexander préfère mettre la dame au courant au sujet de ses veines plutôt difficiles à piquer parfois. Cela ne semble pas lui faire peur puisqu’elle a tout son matériel avec elle. Il la laisse faire, il la laisse le préparer pour cette prise de sang. Alexander espère que tout ira bien, qu’elle n’aura pas trop de difficulté puisqu’il n’a pas envie d’avoir des piqûres partout. Il fait confiance à Ellie, elle y arrivera parce qu’elle a la passion et sûrement des tonnes de trucs.
ALEXANDER : « Oui. »
Il serre le poing comme demandé. Quelques instants plus tard, voilà qu’elle réussit à le piquer. Alexander la regarde en souriant.
ALEXANDER : « Disons que ce n’est pas quelque chose que j’aime mais oui ça va. »
Ce n’est pas quelque chose qu’il voudrait faire à tous les jours.

ALEXANDER : « Juste ça demain? Vous viendrez à quelle heure? »
Parce que s’il a à sortir il saura quand il devra revenir chez lui pour recevoir ses soins.
ALEXANDER : « Vous avez d’autres patients? Sinon je peux peut-être vous offrir un café ou un jus. »

 

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(#)Sujet: Re: mental health begins with me.   |   Ven 24 Jan - 10:42

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Tout comme elle, Alexander avait cette envie d'aider les autres, de venir au secours du peuple, de la citoyenneté quitte à en mettre sa propre vie en danger. Ne pas avoir de reconnaissance devait, quelque part, certainement le peser, à moins que ça ne soit la peur du danger qui le pousse à vouloir changer de voie. En soit, celle des pompiers n'est guère meilleure, si ce n'est ils risquent encore plus leur vie. C'est à méditer, et elle ne doute pas une seule seconde que le jeune garçon y réfléchirait à deux fois avant de vouloir changer de vie du tout au tout, du jour au lendemain.C'est à vous de faire un choix.Personne ne peut le faire à vôtre place. A vous de peser le pour et le contre, et de voir, ce qui vous conviendrait le mieux. Pour ce qui est de vôtre "utilité" dans la société, je vous trouves un peu trop négatif.. Tout le monde est utile à la société, à sa manière, c'est ce qui rend le monde plus beau. Ou du moins, c'était sa vision des choses à elle. Elle n'aimait pas parler "d'utilité" quand il s'agissait d'une vie humaine. Une vie humaine est utile, précieuse, et si ce n'est pas pour l'ensemble d'une collectivité, alors elle l'est pour quelqu'un d'autre, pour une autre vie humaine.

La vie n'est pas une course, un combat contre les autres, il faut la sentir cette envie au plus profond de ses tripes pour aider ceux qui en ont le plus besoin; les nécessiteux. Depuis toute petite, Ellie l'avait en elle. Elle l'a toujours eu cette envie de venir au secours des autres, d'apporter un peu de sa lumière à ceux qui broient constamment du noir. Le partage est un maître mot dans son vocabulaire, dans sa façon d'être et de vivre. C'est ce que sa religion lui ordonne également de faire. Partager, tendre une main quand bien des gens n'oseraient le faire. Sourire, parler, écouter, des choses qui peuvent changer une vie. C'est avec des yeux brillants qu'elle s'était confiée à Alexander, sur ce qu'elle aimait par dessus tout à travers sa profession. Le contact humain était ce qu'elle aimait le plus, communiquer avec les autres, panser leurs plus profondes blessures, soulager leurs souffrance, il n'y a rien de plus précieux que de voir un être humain guérir peu à peu des sévices de la vie. Elle était l'ange qui veillait sur le bien être des autres, qui n'hésitait pas à faire plusieurs heures supplémentaires pour être présente pour ceux qui en ont le plus besoin. Elle était la lumière dans l'ombre, le bonheur dans la tristesse, le remède dans la maladie, la petite touche de blanc dans le noir. Ellie elle était tellement le contraire de certains habitants de Miami. Et elle se doutait que sa façon de voir les choses pouvait être bizarre pour certains, mais pas pour Alexander apparemment. Il trouvait son raisonnement "beau", et elle ne pût s'empêcher de sourire en l'écoutant dire.

Ce qui serait moins "beau" en revanche c'était cette prise de sang. Elle avait l'habitude des patients au veines "roulantes", et s'était muni pour l'occasion d'un matériel supplémentaire dont elle ferait usage au cas ou la voie principale ne fonctionnerait pas pour le recueillement de sang. Par chance, elle y était parvenue, sa douceur, sa précision et sa minutie y étaient parvenues. Trois petits flacons de sang , ce fût le fruit de sa récolte. Sagement, elle les enferma dans un plastique après y avoir apposés une étiquette portant le nom, prénom, date de naissance du jeune homme à ses côtés. Elle prit soin de lui dire qu'il aurait une meilleure chance demain sur les soins et qu'elle ne l'embêterait que pour une simple piqûre d'anti-coagulant. Oui juste ça.. Elle s'était mise doucement à rire sur sa remarque avant de lancer une petite plaisanterie à son égard.Mais si vous insister je peux refaire une autre prise de sang et un pansement, bien qu'entre nous ça sera inutile. Il lui demanda l'heure à laquelle elle comptait venir, certainement pour être présent à son domicile en fonction de cela.Je comptais venir à la même heure, mais je peux passer plus en fin de journée, début de soirée, ça ne me déranges pas. Il suffit juste que vous me dîtes une heure et je viendrais. Elle était disponible pour tous, et cherchait constamment à ce que tout soit convenable pour tout le monde, quitte à déplacer quelques rendez-vous pour satisfaire ses patients. En bonne infirmière à l'écoute, elle ne négligerait aucun détail, et serait disponible, jour comme de nuit, c'était ça aussi son travail, mettre sa vie en second plan pour se préoccuper des autres.

Ses affaires soigneusement rangées, elle s'apprêtait à partir, bien qu'avant cela elle prit quelques minutes pour s'entretenir verbalement avec le jeune homme. Manquait-il de quelque chose? D'informations? De dialogue? Souhaitait-il qu'elle reste un peu pour s'entretenir avec lui de tout et de rien? Une compagnie peut parfois faire beaucoup de bien. Il lui proposa un café, un jus de fruit si seulement elle n'avait pas tout une ribambelle de patients derrière lui qui attendaient patiemment leurs soins.J'ai quelques patients oui. Mais je peux bien vous accorder un peu de temps, ils ne me gronderont pas promis.Comment lui gronder dessus à elle? Si douce, si souriante, si belle. Jamais elle ne s'était faîtes engueuler bêtement par un de ses patients, il la savait disponible pour tous et étaient prêts à la "partager" avec les autres. C'était ça qui faisait la beauté du "libérale", elle avait sa propre liste de patients qu'elle côtoyait tout les jours. Tout les jours les mêmes patients avec qui elle avait l'habitude de se familiariser, c'était bien plus que des noms et des numéros de dossier pour elle, comme des membres de sa propre famille. Je veux bien un jus de fruit.. qu'elle finit par lui dire en gardant son éternel doux sourire sur ses lèvres. Elle déposa sagement sa mallette sur le sol, en attendant qu'elle puisse avoir droit à son fameux jus de fruit, bien que même comme ça, elle ne pouvait s'empêcher de se montrer serviable.Vous avez besoin d'un coup de main? Pour apporter deux verres et un jus de fruit, certainement pas, mais c'était plus fort qu'elle, il fallait qu'elle met son petit grain de sel pour se montrer courtoise, polie, aidante.
 

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(#)Sujet: Re: mental health begins with me.   |   Dim 26 Jan - 1:03


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Seul Alexander peut choisir ce qu’il fera de sa vie prochainement, lorsqu’il sera totalement remis sur pied. Il ne sait pas combien de temps durera sa convalescence, mais il sait qu’elle sera malheureusement longue. Il ne retrouvera peut-être jamais totalement ses capacités. Deux accidents en moins d’un an marquent un homme et même si Alexander le dira jamais il est inquiet maintenant et cela jouera peut-être sur son humeur et son caractère. Cela dit, il essaie de rester zen.
ALEXANDER : « Peut-être que je suis négatif c’est vrai... mais parfois je préfère voir la vie comme elle est vraiment. »
Dit-il en la regardant.

C’est maintenant le moment de la prise de sang. Alexander n’en a pas trop envie, mais il n’a pas vraiment le choix de la passer. Il espère que ses résultats seront bons pour éviter de recommencer une fois de plus. Après tout, il croit qu’il s’est assez vidé de son sang lors de l’explosion. Si ça continue ainsi il n’aura plus de sang, aura besoin d'une transfusion sanguine et ça il n’en a surtout pas envie.
ALEXANDER : « Non, merci. Si je peux m’en passer je le ferai! »
Savoir quand elle passera est important puisqu’il pourra organiser sa journée ainsi. Il lui sourit gentiment.
ALEXANDER : « Vous pourriez venir en dernier comme ça vous pourrez manger avec moi si vous voulez. »
Demande-t-il simplement comme ça. Il ne s’attend pas nécessairement à une réponse positive, mais ne sait-on jamais.

Offrir quelque chose à boire à cette femme est la moindre des choses qu’il puisse faire. Il aime bien cette personne, sa manière de voir les choses, cet amour inconditionnel pour ses patients. Elle est libre de refuser, mais non elle accepte, ce qui fait en sorte qu’Alexander sourit.
ALEXANDER : « D’accord. »
Elle désire un jus de fruit, chose qu’à Alexander ira lui chercher dans les prochains secondes. Besoin d’aide? Il regarde.
ALEXANDER : « Peut-être pour prendre les verres sur la tablette. Il y a une petite tension quand j’étire trop mes bras. »
Dit-il en souriant.

 

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