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 you're a coward

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(#)Sujet: you're a coward  |   Sam 2 Mai - 0:46
Julian &
Astrée

You hated your father, didn’t you? I saw the way he made you cry. The memory of his cowardice is forever burned into my mind.
Haydan on va être en retard! Ou pile à l'heure. Fort heureusement, Nonna ne dirait rien. Nonna c'est "la grand-mère", celle de substitution, celle qui a vu Astrée grandir, celle qui a vu Haydan grandir et celle qui s'en occupe parfois quand le lieutenant Wallace est censée être au poste, comme aujourd'hui. A toute hâte, elle filait à travers la ville, les deux mains sur le volant, l’œil sur le rétroviseur, sur son fils, dans ses pensées. Parfois, elle aimerait s'immiscer à l'intérieur de sa tête juste pour le comprendre, juste pour compatir un peu plus à ses souffrances. Haydan, comme la plupart du temps resta silencieux durant tout le trajet, à fixer cette pluie s'abattre contre la vitre près de son siège. Le véhicule cessa sa course devant la demeure de la vieille dame qui se précipita à sa porte pour accueillir l'enfant Wallace. «Je te récupère à 16h.» Elle jetait un oeil à l'arrière pour soutenir ses propos par un sourire, celui d'une mère aimante, d'une mère confiante. Le petit garçon détacha sa ceinture, quitta le véhicule et eut le droit à un "je t'aime" par sa génitrice juste avant de claquer la portière.

Aussitôt partit, aussitôt le sourire sur les lèvres de la blonde s'évaporait lui aussi, l'inquiétude vint à nouveau brouiller son esprit et ce jusqu'au commissariat ou elle retrouverait ses collègues, ses partenaires et ses amis. Comme à peu près tout les jours, elle eut droit à un café chaud, servi par son meilleur ami, Jake posé sur son bureau, ou un mont de paperasse s'y trouvait. Rien que de voir toutes ses feuilles manuscrites sur la surface boisée du bureau suffisaient pour la faire souffler de désarroi.  Elle n'avait pas encore eu le temps de ranger le désordre présent et il lui faudrait un certain temps pour mettre de l'ordre dans ses affaires et ranger tout ce qui ne lui est pas utile dans les casiers derrière elle. C'est ce qu'elle s'apprêtait à faire quand un dossier dont elle n'avait nullement connaissance avait attiré son attention. Il se tenait la, comme le st graal, en plein centre de son bureau, portant une couleur bleu qui n'aurait pas pût échapper à son œil de lynx. Intriguée, elle s'y approcha, les sourcils froncés. Dessus, il y avait un nom, et le nom qu'elle pût lire la figea instantanément. Julian Connor. Julian Connor. Le Julian Connor? Impossible. Cela faisait bien passé  sept ans qu'elle ne l'avait pas revu. «J-Jake !» Mais son meilleur ami ne répondrait pas. Elle pensait à une vilaine farce, et espérait que ce dernier pourrait la sauver de ce cauchemars, mais non, à la place ce fut un officier qui se présenta à son bureau pour annoncer l'arrivée du fameux Julian Connor qui souhaitait s'entretenir avec le lieutenant en charge de l'affaire du meurtre de sa femme.

Abasourdie, elle ne sût quoi répondre. Trop d'informations lui vint à l'esprit. Le retour surprise de Julian, sa femme, un meurtre, elle, en charge de ce même dossier? Impossible. Lieutenant? L'officier restait immobile, sur l'ouverture de la porte, à attendre une réponse. «JAKE!» Jake ne serait pas la pour la sauver cette fois, il fallait qu'elle fasse face à ses démons du passé, malgré elle. Rien n'aurait pût être pire que ça et personne ne l'avait préparé à ça. «Bien.. Faîtes le entrer.» Respire Astrée, ça va aller. Comment ça pourrait aller alors que son ancien compagnon de vie et père de son propre enfant se présenterait à elle? Ce même père de famille qui, apparemment semblait avoir refait sa vie tranquillement pendant que elle s'amusait à élever leur enfant, celui qu'il avait renié, celui qui avait sept ans aujourd'hui et qui se renfermait de plus en plus sur lui même à cause de ce père manquant, à cause de l'absence de sa mère qui au lieu d'être à ses côtés présentement devait régler une affaire de meurtre, le meurtre de la femme de l'homme qu'elle avait aimé par le passé.

Une boule de nerf vint aussitôt se nicher au creux de sa gorge et sa poitrine s'était mit à rugir, la colère faisait bouillir son sang et elle ferma les yeux, s'était mise à expirer calmement pour éviter de s'emporter et d'envoyer ce mont de paperasses à même le sol. A travers la porte vitrée de son bureau elle pouvait le voir arriver, l'heure de la confrontation avait sonnée et bientôt Julian se tiendrait la, face à elle, assis sur cette foutue chaise, à parler de sa femme, celle qu'il a aimé terriblement avant qu'elle ne meurt prématurément.

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(#)Sujet: Re: you're a coward  |   Sam 2 Mai - 17:13
Julian &
Astrée

You hated your father, didn’t you? I saw the way he made you cry. The memory of his cowardice is forever burned into my mind.
Depuis quelques jours j'avais appris que l'affaire du meurtre de ma femme avait été transférer ici à Miami même, surpris et en ne comprenant pas ce geste surtout que le meurtre a eu lieu à New-York et non à Miami, j'avais donc appeler mon avocat pour en savoir plus, il m'avais confier que le lieutenant qui devait s'occuper de cette affaire avait été transférer à Miami et que du coup l'affaire à été transférer aussi pour que justement ce lieutenant puisse poursuivre cette affaire et résoudre enfin le meurtre de ma femme. Enfin ça fait deux ans que j'attends enfin que ce meurtrier soit trouvé et qu'il paye pour ce qu'il a fait, deux ans que j'attends pour que Hailey repose enfin en paix d’avoir retrouvé son meurtrier. Même si ça fait deux ans qu'elle n'est plus là j'ai toujours autant du mal à tourner la page, à trouver la paix, elle me manque terriblement.

Aujourd'hui, j'avais décidé d’aller au commissariat pour rencontrer justement ce lieutenant qui était chargé de l'affaire et aussi me présenter à lui et si je peux aussi l'aider à faire avancer l’enquête avec ce que je sais, ça pourrait sûrement l'aider. Installer sur ma terrasse ma tasse de café dans ma main, je jette un œil vers la plage qui était déserte ce matin, pourtant quelques personnes s'y trouver deux, trois joggeurs qui court par si par là et un couple qui promène leur chien, je repose ma tasse sur la table et récupère mon téléphone, je compose un numéro et plaque le portable contre mon oreille. Bonjour Tiphaine, je souhaiterais que vous repoussiez mes réunions et mes rendez-vous de ce matin, je ne serais pas présent au bureau ce matin, j'ai quelque chose à régler, je serais là au début d'après-midi. Dis-je à mon interlocutrice. C'est parfait, merci Tiphaine, à tout à l’heure et bon courage. Puis je raccroche en rangeant mon portable dans la poche de mon pantalon, je me lève de ma chaise puis la femme de ménage arrive pour débarrasser ce qui avait sur la table. Vous savez quoi Denise, faite comme chez vous, profiter pour vous reposer, d'accord. Dis-je envers cette dame qui depuis qu'elle travaille pour moi, elle a été d'un soutien pour moi, elle était comme une deuxième mère.

Je lui adresse un dernier sourire puis entra à l’intérieur de ma villa et récupère mon manteau qui était poser sur le canapé du salon, je l'enfile puis je me dirige vers la porte de l'entrée pour y sortir, je caresse mon chien avant de quitter ma maison et montai dans ma voiture direction le commissariat. Une demi-heure de trajet c'est ce qui m'a fallu pour arriver au commissariat, je me gare au parking prévu pour les visiteurs puis entra à l'intérieur de ce commissariat, je regarde autour de moi, honnêtement je n'aime pas ce genre d'endroit, ça me rappel pas mal de mauvais souvenir. Je souffle un bon coup puis je m'avance vers l'accueil pour me présenter. Bonjour, je suis Monsieur Julian Connor, je souhaiterais m’entretenir avec le lieutenant qui est en charge de l’affaire du meurtre de ma femme si vous plais. Dis-je au policier que j'avais en face de moi, il m'invite à m'asseoir à l’une des chaises vide qui était en face et qu'il viendra me chercher quand il aura prévenu l'inspecteur en question. Je prends compte place et attends qu'on vienne me chercher.

Je regarde ma montre, ça fait dix minutes que je suis assise sur cette chaise et pourtant ça me paraît très long, finalement le policier qui était à l'accueil revient vers moi et m'annonce que le lieutenant aller me recevoir et m'invite à le suivre jusqu'au bureau de l'inspecteur, je me lève donc se la chaise en prenant mon manteau que j'avais enlevé plutôt dans les mains et suivi le policier en restent derrière lui. Nous prenons les escaliers puis nous entrons au premier étage pour pas mal de bureau s’y trouve, nous marchons encore un peu avant de s’arrêter devant la porte du bureau. Je remercie le policier puis retourne mon visage vers l'inspecteur en question, je perds aussitôt mon sourire, mon sang ne fait qu'un tour lorsque je pose mes yeux sur elle, non, je ne peux pas le croire ça ne peux pas être elle…


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(#)Sujet: Re: you're a coward  |   Sam 2 Mai - 21:14
Julian &
Astrée

You hated your father, didn’t you? I saw the way he made you cry. The memory of his cowardice is forever burned into my mind.
Personne ne l'avait préparé à faire ce bond de huit ans presque dans le passé. Alors que Haydan n'était qu'un pauvre petit embryon et que sa survie au sein même de l'utérus de sa mère était menacée. Jamais elle n'aurait crût un jour revoir cet homme qui se tenait aujourd'hui face à elle. Le revoir fût un véritable choc. Sept ans, et il n'avait pas changé ou presque. Ses traits vieillissaient, quelques poils de plus sur le menton et les joues, mais il avait toujours cette lueur dans le regard qui l'avait fait fondre huit ans en arrière. Julian Connor, leur rencontre avait été par hasard, un coup de foudre, quelques rires échangés, un peu de flirt. Les choses s'enchaînaient rapidement entre eux. Cet homme, l'un des seuls qu'elle avait véritablement aimé du plus profond de son être. Ils étaient jeunes à l'époque mais s'étaient imaginés un bel avenir commun. Ils songeaient à une belle maison, à un gros chien en guise de gardien et tout un tas d'enfants courant dans l'herbe fraîche. Le genre de cliché qui fait sourire bien nombre de personnes. Astrée ne voyait sa vie qu'avec lui et personne d'autre, alors, quand elle avait apprit qu'elle portait en elle le fruit de leur amour, elle avait été le voir, un large sourire aux lèvres qui finirait par disparaître face à la réaction du concerné. Julian avait prit peur, tout ça allait bien trop vite pour lui. Il voyait déjà sa jeunesse lui échapper, et l'idée qu'un nourrisson viendrait bientôt lui casser les oreilles avec ses cris stridents fût l'une des raisons qui le poussa à prendre la poudre d'escampette. Il s'en était allé, comme ça, du jour au lendemain, en la laissant seule, en l'abandonnant à son triste sort. Le lâche. Il ne devait pas l'aimer autant qu'elle l'avait aimée pour faire une telle chose. Peut-être qu'en partant il pensait qu'elle abandonnerait d'elle même l'enfant, qu'elle mettrait un terme à cette grossesse, mais ce ne fût pas le cas. Haydan est né, et Haydan est devenu ce qu'elle a de plus cher sur cette planète.

«Monsieur Connor. Installer vous.» Sa voix est froide, tranchante. Elle reste assise sur la chaise de son bureau, sans même le saluer plus que ça. D'un signe de tête elle demande à son subalterne de refermer la porte pour les laisser en intimité le temps qu'elle ouvre le dossier désormais entre ses doigts pour y lire les rapports et y découvrir les clichés prit par ses compères. «Comme vous vous en doutez, c'est désormais moi qui est chargé de l'affaire du meurtre de vôtre regrettée épouse. Et je ne vais pas vous cacher que je découvre à peine le dossier aujourd'hui, donc, je ne peux pas plus vous en dire sur le sujet.» Le vouvoyer était terrible et faire semblant qu'elle ne le connaissait pas également mais c'était peut-être le seul et unique moyen qu'elle avait trouvé pour prendre du recul sur le passé. Tourner la page sur cette regrettable histoire et l'oublier, faire semblant qu'il n'a jamais existé dans sa vie. Difficile pourtant quand ce même homme s'avérait être le père biologique du petit garçon qu'elle avait confié à la nourrice il y a de cela même pas une heure.«Mais peut-être que de vôtre côté, il s'est passé d'autres choses, vous avez d'autres choses à me confier en plus de ce qui est mentionné dans le dossier?» Le simple fait qu'il ouvre la bouche et que le son de sa voix lui parvint aux oreilles lui faisait déjà peur. Les années ont filées depuis, Julian avait refait sa vie avec une femme qui malheureusement n'était plus de ce monde, qui s'était faîtes assassinée soudainement, brusquement. Une femme qui avait eu la chance d'avoir un anneau autour de son doigt et qui était également propice à lui offrir les fameux enfants dont ils ont tout deux rêvés autrefois. Un enfant, il en avait un, un qu'il avait renié, un qui aujourd'hui manquait cruellement d'un père, qui avait sept ans mais qui restait, malgré tout un brillant étudiant et un amour d'enfant.

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(#)Sujet: Re: you're a coward  |   Dim 3 Mai - 21:43
Julian &
Astrée

You hated your father, didn’t you? I saw the way he made you cry. The memory of his cowardice is forever burned into my mind.
J'avais décidé que ce matin je n'irai pas bureau, non parce que j'avais l'intention d'aller au commissariat pour rencontrer le nouvel inspecteur qui était en charge du meurtre de Hailey ma femme, j'avais appris ce changement par le biais de mon avocat, déterminer à savoir en était l’enquête et aussi aider le nouvel inspecteur s’il ou elle parce que je ne sais pas si l'inspecteur est un homme ou une femme, je le serais quand je serais au commissariat. Après avoir prévenu le bureau que je serais absent et avoir pris mon petit déjeuner en vitesse je me rendais aussitôt au commissariat, je me présente donc à l’accueil en leur disant qui j’étais et que je désirai rencontrer l’inspecteur qui était en charge sur l’enquête du meurtre de Hailey.

Après avoir attendu quelques minutes dans la salle d'attente dans le hall du commissariat, on me conduit à présent au bureau de l'inspecteur et lorsque je croise son regard, je perds automatiquement mon sourire, mon passé me revient en pleine face, je me revois sept ans en arrière, le jour qu'elle m'a annoncer sa grossesse, le jour où j'ai pris mes jambes à mon cou et j'ai pris la fuite comme un voleur, le jour où je me suis le pire des lâche en la laissant gérer cette partie de notre vie seule. A cette époque je n’avais pas été prêt à devenir père, moi il était bien trop tôt, certes nous avions eu des projets, de mariage, de la maison, du chien et même des enfants mais une fois que nos études était terminée et qu'on aille un meilleur avenir tous les deux avec notre famille. A cet époque je n'avais pense que à mes études et à rien d'autre mais quelques mois plus tard après avoir couper les ponts avec celle que j'ai aimer plus que tout dans ma vie, j'ai regretter mon choix et aussi mes gestes, c'est pour ça que j'ai tenter de la recontacte mais une amie à elle m’avait informer qu'elle avait quitter de la ville de New-York et qu'elle voulais plus jamais me revoir, c'est donc pour cela que je n'ai pas plus insister que ça, je lui avait déjà fait beaucoup de mal et du coup j'ai refait ma vie avec Hailey.

Le fait qu'elle me considère comme un étranger aujourd'hui me fait mal au fond de moi, après tout ce que nous avons vécut ensemble aujourd'hui elle me vouvoyer, elle était froide envers mon égard et je comprends tout à fait son attitude, je l'ai tellement fait souffrir qu'elle doit ressentir que de la haine envers moi, je prends place en face d'elle en la lâchant pas du regard, elle n'a pas changer, toujours aussi belle mais je lis dans ses yeux de la colère mais aussitôt de la tristesse de me voir en face d'elle, je pense que ni elle et ni moi nous étions préparer à nous voir, parce que ça nous fait du mal enfin plus à elle parce que je suis le mec qui l'abandonner en étant enceinte, d'ailleurs avait elle garder le bébé ? Est-ce que j’étais père ? Je ne pouvais pas lui demander, je n'en avais plus le droit depuis 7 ans. Elle rester ferme et professionnels en mon égard et m'expliqua qu'elle avait eu l’affaire très récemment et qu'elle n'avait pas eu encore le temps de s'y plonger totalement mais si j'avais des choses à lui dire par rapport à cette affaire c’était le moment de lui dire. Tout ce que j'avais à dire est noté dans le dossier, ce soir la je suis rentrer tard chez moi et j'ai découvert son corps dans le jardin. Lui dis-je en baissant quelques minutes mon visage au sol, s’était toujours aussi douloureux de raconter cette scène qui me hantais chaque nuit lorsque je ferme les yeux, puis relève mon regard vers le sien. Je n’aurais jamais imaginé te revoir Astrée. Ajoutai-je en gardant mes yeux fixe sur son regard.


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(#)Sujet: Re: you're a coward  |   Dim 3 Mai - 22:05
Julian &
Astrée

You hated your father, didn’t you? I saw the way he made you cry. The memory of his cowardice is forever burned into my mind.
Une sordide affaire lui était assignée, celle d'un meurtre en l'occurrence. Une pauvre femme avait été retrouvée morte dans son jardin, poignardée à plusieurs endroits. Vidée presque de son sang, elle n'a malheureusement pas eu le temps de se défendre ni se débattre qu'elle avait dû subir la folie de son agresseur. Du moins, c'est ce que les experts et le compte rendu de l'affaire mentionne. Les photos sont particulièrement détestables à regarder et même si, quelque part, elle aurait pût maudire cette femme d'avoir eu la chance d'épouser l'homme qu'elle avait aimé auparavant, Astrée restait sensible et peinée de voir ce genre de choses. Julian n'avait donc pas eu cette vie de rêve auquel il aspirait certainement. Celle qui devait lui offrir les enfants et la situation stable de sa vie s'en était allée rejoindre un monde meilleur et, ironiquement, ce fût son ex fiancée qui était chargée d'enquêter sur cette affaire. Le monde est si petit. Doucement, elle referma le dossier, jeta un œil vers le brunet face à elle. Le voir était douloureux, autant que l'affaire dont elle avait la charge. Elle restait attentive aux lignes qui auraient pût être rajouté à l'affaire, mais Julian semblait déjà s'être confié sur l'histoire et ce qu'il racontait aujourd'hui était exactement la même chose rédigé sur le papier à l'intérieur du dossier bleu. Elle n'en saurait, de ce fait, pas plus à l'heure actuelle. Il fallait qu'elle poursuive l'enquête, qu'elle demande l'aide de ses camarades pour interroger des suspects potentiels même si ils n'étaient pas spécialement nombreux. «Très bien.» Elle soufflait, s'apprêtant à lui poser quelques questions quand ce dernier reprit la parole, les yeux dans les yeux. Il mentionnait son prénom, et le cœur de la blonde fit un bond en l'entendant.

Son cœur souffrait de l'abandon de Julian, de ce jour ou il était parti, ou il avait disparu en emportant avec lui ses affaires. Le supplier n'aurait servi à rien, quoi qu'elle puisse dire, faire, il partirait de toute façon sans même jeter un œil à ce ventre qui contenait à l'intérieur son propre enfant, sa chair, son sang. «Et bien surprise! Tu m'as revu.» lança t-elle d'une voix plus ou moins colérique. Quel dommage pour lui. Lui qui avait fuit à toute enjambée et qui s'attendait certainement à ne plus jamais la revoir, au final, le passé l'a rattrapé et le karma était censé s'occuper du reste. Il lui avait fait du mal, avait créé un trou béant dans sa poitrine lorsqu'il était parti, et il n'imagine pas une seule seconde la souffrance et la douleur qu'elle a pût ressentir alors qu'elle donnait vie à leur enfant, seule. Comme à ses habitudes, elle s'était montré brave et courageuse, avait serré les dents aussi fort que possible pour supporter la douleur et ce n'est que lorsque Haydan poussait ses premiers cris qu'elle s'était effondrée à son tour en larmes, tremblante de tout ses membres lorsqu'on lui posa le corps du nourrisson contre sa poitrine dénudée. Haydan était un cadeau du ciel, le plus beau et le plus précieux et pour rien au monde elle ne regrette ses choix et ses décisions. Elle avait voulu l'assumer et aujourd'hui encore, elle continuait de l'assumer et ce même si ce n'était pas évident tout les jours.

Haydan était la prunelle de ses yeux, il était omniprésent partout, dans sa tête et même autour d'elle et particulièrement sur ce même bureau en désordre ou un cadre tenait encore debout. Un cadre contenant justement une photo du garçon à ses côtés, l'une des rares photos ou Haydan sourit, ou il pourrait presque paraître heureux et stable. «Enfin.. Je demanderais à l'un de mes hommes de mener une enquête dans les environs pour voir si on trouve des pistes exploitables pour ton affaire.» Elle reparlait affaire, après tout, c'était bien pour ça qu'il était la non? Même qu'elle avait déjà l'idée d'envoyer Jake faire un petit tour pour elle histoire de remplir ce dossier presque vide. «Un de mes collaborateurs t'appelleras dès qu'ont a du nouveau.» Malheureusement ça ne serait pas pour tout de suite, la plupart des hommes étaient prit en ce moment un peu partout alors en trouver un qui pourrait l'aider durant son enquête risquait d'être assez compliqué. C'est malheureusement comme ça partout, on blâme souvent les forces de l'ordre pour le temps qu'ils mettent à résoudre des affaires, mais les gens n'imaginent pas une seule seconde la montagne de travail qui les attends quand ils arrivent au bureau. Entre sa paperasse et parfois le terrain, Astrée elle même était parfois déboussolée et en plus elle devait prendre soin de Haydan en parallèle et régler ses affaires à l'école, autant dire que sa vie était loin d'être ennuyante, loin de la.

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(#)Sujet: Re: you're a coward  |   Dim 3 Mai - 23:12
Julian &
Astrée

You hated your father, didn’t you? I saw the way he made you cry. The memory of his cowardice is forever burned into my mind.
Qui l'aurai crut que mon ex fiancée serait en charge  de l'affaire du meurtre de ma femme, celle que j'ai tellement aimé sept ans en arrière aller enquêter sur le meurtre de celle qui m'a rendu heureux pendant cinq ans, cinq ans c'est trop court dans s'un mariage, même si j'ai pas oublier Astrée et qu'il m'arrivait de pensé à elle durant mon mariage avec Hailey en me demandent ce qu’était devenu et je me poser en arrêt la question si elle avait garder le bébé ou non, j'avais été heureux avec ma femme, les projets que j'avais eu avec Astrée je l'ai commencer à le construire avec ma femme en commencent par le mariage, la maison et le chien, bien sûr avec Hailey on parler d'enfants mais elle n’était pas prête à devenir mère, alors que moi j’étais prêt à devenir père et aujourd'hui Hailey ne sera jamais mère, alors que moi je pourrais devenir père un jour et qui c'est je le suis peut être déjà, si Astrée n'a pas avorter de notre enfant.

Je ne pouvais pas la vouvoyer, ce n’était pas possible pour moi de vouvoyer la femme que j’aimais de plus que tout dans ma vie et qui est mon premier amour, je ne pouvais pas l’ignorer non ce n'est pas possible, même si je suis surpris de la voir en face de moi, ça me fait mal de la voir et je pense que sa doit la faire aussi souffrir de me voir puisque je suis celui qui la détruit, celui qui a détruit notre avenir ensemble à cause de ma peur de paternité. Je lui confiai que je n’y attendais pas de la revoir un jour et le ton qu'elle avait pris avec confirme qu'elle ne ressent que de la colère et de la haine à mon égard, elle me regarde avec du dégoût dans les yeux, elle doit se dire comment elle a pu aimé un homme comme moi. C'est une sacrée surprise en effet. Ne dis-je en ne savant pas trop quoi lui dire surtout qu’au moindre son de ma voix la colère monter en elle.

Puis elle reprend à nouveau la parole, non pas pour parler de nous deux et de ce que je lui avais fait sept ans en arrière mais parler de l'enquête, après tout c'est pour ça que je suis la, pour voir où en était l’enquête, même si j'aimerai savoir comment elle aller et ce qu'elle est devenu depuis ces sept ans dans ce voir mais je pense qu'elle n'a pas vraiment envie de me parler et qu'elle aimerait que je partent de son bureau et qu'on se revoit plus jamais, mais ça sera difficile puisque elle est en charge de l’affaire de Hailey et qu'on sera amener à nous revoir. D'accord, je t'en remercie tout de même de t'occuper de cette affaire, même si ça ne doit pas être facile pour toi, je vais y allez, je ne veux pas de te déranger plus longtemps. Lui dis-je en détachant mon regard du sien prêt à me lever de ma chaise pour ne plus la déranger, mais avant que je ne prenne mon manteau dans les mains, quelque chose sur le bureau attire mon attention, je m'approche plus prêt et prend ce cadre dans les mains en examinant la photo que j'avais sous mes yeux, Astrée était en compagnie d'un petit garçon au large sourire. Je n'arrivais plus à détacher mon regard du petit garçon sur la photo, j'examiner chaque parcelle de son visage et j'avais cette sensation que ce petit gars était mon fils, mon cœur commence à s'accélérer. C'est… C'est… Dis-je en arrivant pas sortir le mot.



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(#)Sujet: Re: you're a coward  |   Dim 3 Mai - 23:38
Julian &
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You hated your father, didn’t you? I saw the way he made you cry. The memory of his cowardice is forever burned into my mind.
Julian était principalement la pour le meurtre de sa regrettée femme et malheureusement pour lui, celle qui était en charge de cette affaire n'était autre que son ex fiancée, celle qu'il a aimé sept ans plus tôt, celle avec laquelle il avait fait un enfant, un enfant qu'il avait regretté, qu'il avait abandonné sans aucun remords. Les premiers mois de grossesse n'ont pas été des plus simples, elle avait apprit à haïr le jeune homme aussi fort qu'elle ne l'avait aimé. L'amour qu'elle avait éprouvé pour lui s'était métamorphosé en haine, en rage. Elle le maudissait de lui avoir fait toutes ses belles promesses, il lui promettait une vie de rêve, qu'il décrocherait la lune pour elle et au final, il l'avait laissé sur terre pendant que lui irait s'envoler ailleurs, vers d'autres cieux, quelque part ou le mot "enfant" serait tabou, inexistant. Elle, elle avait donné naissance à cet enfant, elle l'avait aimé du plus profond de son être, l'avait protégé des menaces environnantes, l'avait vu grandir, avait pût assister à toutes ses réussites, à tous ses échecs. Elle avait été la pour l'aider à surmonter la pente, elle avait été la pour répondre à ses questions, même si dernièrement, les questions devenaient quelques peu, indiscrètes. Haydan avait déjà plus d'une fois mentionné son père, mais en grandissant, il savait que c'était un sujet tabou qu'il ne fallait pas abordé, il avait apprit à vivre sans, et se contenté bien de sa vie actuelle. Jamais il ne pourrait croire que ce dernier se trouvait face à sa mère à l'heure actuelle, et qu'il avait pût refaire sa vie quand celle qui le portait était en pleine souffrance de son côté.

Astrée est lieutenant de police depuis maintenant deux ans, en plus de mener à bien plusieurs affaires, elle gère également parfois une petite équipe lors de missions sur le terrain. Son charisme fait d'elle un leader respecté qui n'a pas besoin d'hausser la voix pour que les ordres soient exécutés. La plupart de ses coéquipiers lui font confiance, tout comme elle leur accorde la sienne. Un travail d'équipe, une équipe soudée, voilà ce qu'elle tente d'instaurer à chaque missions. On ne délaisse personne et personne n'est mit à l'écart. Chaque personne à son rôle à jouer. La paperasse, en temps normal, elle n'aime pas ça, mais quand il s'agit en plus d'un dossier sur son ex fiancé, autant dire que c'est pire que tout. Agissant à chaque fois avec professionnalisme, Julian pouvait lui faire confiance sur ce qui était des recherches qu'elle mènerait et ce malgré leur passif à tout les deux. Sans émotion particulière dans la voix, elle lui fit part de la suite de la procédure, de l'enquête qui démarrerait sous peu dès lors qu'elle en aurait averti Jake, si ce dernier acceptait de lui venir en aide, et dès lors qu'il eu l'information, Julian était disposé à prendre congé et quitter le bureau aussi vite qu'il n'était arrivé.

C'est ce qu'il s'apprêtait d'ailleurs à faire, bien qu'avant de tourner les talons, son regard s'était posé, malheureusement sur ce cadre. Cette photo de la jolie blonde et de son fils. Un vrai portrait de famille sur lequel le père de l'enfant ne figurait pas. A eux deux ils formaient une famille, ils n'ont pas besoin de Julian pour s'en persuader. Les yeux un peu plus ouverts, elle observe sa réaction. Il balbutie, ne trouve plus les mots. «Mon fils. Haydan.» Ce gamin pourtant avait aussi les traits de son père. Rapidement elle se leva de son siège pour s'approcher de Julian histoire de lui arracher le cadre des mains et le faire retrouver sa place initiale. Ce n'est qu'un cadre mais il est hors de question qu'il continue d'y poser ses sales paluches. «Tu t'apprêtais à partir il me semble.» Elle le tutoie, le toise, se faufile entre le bureau et lui histoire que son regard se détache du cadre en question. Elle refuse même qu'il le regarde ce cadre, qu'il admire l'enfant qu'il n'a pas vu grandir, qu'il n'a pas protégé du mal. Comme une mère louve prête à sortir les crocs pour protéger son enfant. Pourtant elle savait que Julian finirait par lui poser des questions, à moins qu'il ne fasse comme ce qu'il a fait sept ans plus tôt, disparaître à nouveau. C'était peut-être la meilleure solution d'ailleurs. Qu'il disparaisse et ne cherche pas à connaître cet enfant qui au final n'avait jamais fait parti de sa vie jusqu'à présent. L'idée que Julian sache pour Haydan et qu'il veuille le revoir la tétanisait en réalité, ce n'était pas le moment. Haydan était un garçon un peu chamboulé, qui avait un peu de mal dans sa vie sociale et ce n'était pas le moment de lui révéler que son père biologique était en ville et qu'il souhaitait peut-être le revoir.  

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(#)Sujet: Re: you're a coward  |   Lun 4 Mai - 18:26
Julian &
Astrée

You hated your father, didn’t you? I saw the way he made you cry. The memory of his cowardice is forever burned into my mind.
Au départ ma venue ici dans ce commissariat était se rencontrer le nouvel inspecteur qui était en charge du meurtre de Hailey et si besoin de lui venir en aide, jamais je n'aurais imaginé que lorsque de ma venue, je serais tombé dans mon passé, celle qui était mon premier amour, celle avec qui j'ai partagé mes joies et mes peines aussi, celle qui peut être avait attendu un enfant de moi et que j'ai lâchement abandonné de peur de devenir père, était en face de moi. Je sais clairement que je suis de trop dans son bureau, que je n'étais pas le bienvenu non plus, pour abréger ses souffrances de me voir, nous avons fait le tour en quelques minutes pour le dossier et les étapes qui vont suivre sur l'enquête, elle m'informa tout cela en une vitesse pour que je puisse vite partir de son bureau.

Je m'apprête donc à partir puisque nous avons fait le tour et au vu de sa haine envers moi qu'elle me montre dans son regard, dans ses gestes et aussi dans ses paroles, ce n'était pas une bonne idée que nous parlions tous les deux, même si j'aimerai discuter avec elle, même si ça me déchire le cœur de la voir remplie de haine en mon égard, je comprends qu'elle ne veuille plus entendre parler de moi, je l'ai tellement fait souffrir, je l'es abandonné alors qu'elle était enceinte. Sur ce coup là j'ai clairement merder, j'ai fait n'importe de quoi, je n'ai pensé cas ma petite personne en continuant ma vie de mon côté. Mais avant de quitter son bureau une chose m'avait attiré l'œil, cette chose était poser la sur son bureau.

Et sans lui demander la permission je prends le cadre dans mes mains ou je découvre une photo d'elle et d'un petit garçon qui devait à voir environ sept ou huit ans et je me rends bien vite compte que ce petite gars était l'enfant que j'avais rejeter sept ans en arrière, celui qui m'avait hanter durant toute ces années parce que oui même si je n'avais rien dit à personne cet enfant toujours était dans un coin de ma tête et ne me quitter pas une seule seconde. Sans que je puisse dire quelque chose étant donner que ça ne voulait pas sortir de ma bouche, Astrée s’était lever de sa chaise et m'avait arracher des mains le cadre que j'avais entre les mains comme si elle refuser que je contemple mon fils, enfin notre fils et me poussa vers la sortie. Sans un  mot je lui lance un regard et prends mon manteau dans les mains et m'avance vers la porte, je pose ma main sur la poignée pour ouvrir la porte mais au même moment j'ai eu comme un flash, je me retrouve sept ans en arrière au moment où je laisse tomber Astrée avec sa grossesse et je réalise que je ne voulais plus être ce lâche que j’étais y a sept ans, je sais que ce petit garçon est mon fils.

Je me retourne brusquement en balançant ma veste sur la chaise en posent mes mains sur son bureau en posant mon regard dans le sien. Je sais que ce petit gars est mon fils. Ne dis-je en la lâchant pas du regard. DIT LE MOI ASTRÉE. Dit-je en levant la voix pour qu'elle me regarde enfin et qu'elle me confirme que c’était bien mon enfant aussi.



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(#)Sujet: Re: you're a coward  |   Lun 4 Mai - 22:31
Julian &
Astrée

You hated your father, didn’t you? I saw the way he made you cry. The memory of his cowardice is forever burned into my mind.
Ce cadre, plein de faux semblants aurait presque pût laisser paraître une famille heureuse et unie mais ce n'était pas le cas. Derrière les sourires se cachait une profonde tristesse, un désarroi que rien ni personne ne pourrait panser. Haydan manquait cruellement d'un père, il avait besoin d'une figure paternelle pour s'identifier à cette dernière. C'est ce que font tout les enfants de son âge, vouloir ressembler à tout prix à leur géniteur. Haydan n'avait pas cette chance, bien que ses derniers temps, il appréciait la compagnie d'Alexander au sein du foyer. Le policier s'intéressait à ce qu'il faisait, s'intéresser à son petit univers, son monde et rien n'aurait pût faire plus plaisir à Haydan que ça et ce même si il restait peu démonstratif sur ses ressentis et sentiments. Julian tenait ce cadre entre ses doigts, son regard se posait sur celui de cet enfant figé sur la photographie, comme s'il cherchait des traits similaires aux siens. Ce simple regard suffit pour la mettre hors d'elle et rapidement, elle s'empressa de lui arracher le fameux cadre en question pour le déposer à nouveau sur son bureau.

Elle l'invita à prendre la porte et à partir, aussi vite qu'il n'était arrivé de préférence et c'est ce qu'il s'apprêtait à faire, encore une fois. Ce n'était pas la première fois qu'elle le voyait partir, et la dernière fois qu'il avait fait cela, c'était lorsqu'il lui avait avoué que tout était terminé entre eux, et que jamais il ne pourrait accepter l'arrivé d'un enfant. C'était un obstacle à leur bonheur, un obstacle à leur vie de couple. Faut croire que son amour n'était pas aussi fort pour elle qu'elle pour lui. Il avait disparu et il s'apprêtait à faire de même aujourd'hui, à moins que.. De retour à son bureau, elle s'apprêtait à se replonger dans la paperasse et les dossiers, songeant à appeler Jake pour lui filer un coup de main quand Julian revint à la charge brusquement, plus angoissé et colérique que jamais. Il fit abattre ses deux mains sur la surface du bureau, son regard était dur et le soutenir était vraiment quelque chose de très complexe. Il ouvrait la bouche une première fois, elle sentait son cœur se comprimer, puis une deuxième fois, sauf que cette fois il s'était mit à lui hurler carrément dessus. «IL N'A JAMAIS ÉTÉ TON FILS!» elle aussi s'était mise à crier sans songer un seul instant que n'importe qui pouvait les entendre si un collègue passait par la en même temps. Heureusement, les murs étaient épais, histoire de garder une certaine intimité avec les personnes qu'elle pouvait recevoir sur différentes affaires, mais ce n'était pas une raison d'hausser la voix à ce point la.

Ce fût plus fort qu'elle. Comment osait-il qualifier Haydan comme étant son fils alors qu'il n'a jamais cherché en sept ans à le connaître, ou au moins s'assurer qu'il se porte bien. «Comment oses-tu me demander une telle chose Julian alors que jusqu'à présent tu ne t'es jamais soucié ni de moi, ni de lui?! » râla la blonde en lui lançant un regard noir, venant même se relever de sa chaise pour être à sa hauteur. Pour qui se prenait-il? Il venait dans son bureau pour une affaire et se permettait maintenant de lui demander des comptes sur son propre enfant? Celui qu'elle avait éduqué et élevé? «Tu crois quoi au juste hein? Que je vais te dire "Oui Haydan est ton fils! Tiens d'ailleurs j'organise un dîner ce soir à la maison t'as qu'à te joindre à nous pour qu'il constate par lui même à quel point son père n'est qu'un pauvre enfoiré qui ne s'est jamais soucié de lui une seule seconde de sa misérable vie? Tu veux que je te dis ça Julian? Et bien non, je ne te ferais pas ce plaisir et je ne briserais pas la vie de mon fils à cause de toi!» Elle continuait d'hausser la voix à son tour, sa présence lui était déjà détestable mais la façon dont il s'était adressé à elle, la façon dont il lui avait demandé des comptes fut la goutte qui fit déborder le vase. Un surplus qu'il fallait qu'elle décharge histoire, peut-être de se sentir mieux intérieurement. Vider ses émotions, lui cracher son mal être sur le visage, lui faire comprendre qu'elle pauvre merde il avait pût être d'abandonner celle qu'il avait aimé et son enfant, né sans père.  Ses yeux brillaient, les larmes n'attendaient qu'une seule chose: Couler sans s'arrêter. Ça ne serait pas des larmes de tristesse mais de colère. Elle était en colère contre lui, contre le bonheur qu'il a pût avoir jusqu'à présent avant que la vie ne s'occupe de lui.

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(#)Sujet: Re: you're a coward  |   Mar 5 Mai - 17:58
Julian &
Astrée

You hated your father, didn’t you? I saw the way he made you cry. The memory of his cowardice is forever burned into my mind.
Mon regard était rester figé sur cette photo, c'est comme si mes yeux ne voulait plus se détacher du regard du petit garçon qui était sur cette photo, au fond de moi je sentais qu'il était mon fils, ma chair et mon sang, j’avais perdu sept ans avec lui a cause de stupide peur de devenir père et croire que cet enfant aller cacher ma vie, en faite ce qui a cacher ma vie c'est le fait d'avoir priver cet enfant de moi, j'avais été égoïste de ne penser cas moi alors que j'aurai du pense à Astrée et à cet enfant, les deux aurait dû être ma priorité depuis le départ mais malheureusement je ne peux rien faire pour changer le passé même si je le souhaiterai de tout mon cœur. Je continuer à contempler ce petit gars quand Astrée m’arrache violemment le cadre que j'avais dans les mains, pour elle je ne devais pas regarder cette photo et je devais disparaître de sa vie pour toujours.

Si elle avait réagi comme ça avec moi c’est qu'il y a quelque chose qu'elle me cache et qu'elle souhaite que je ne le sache pas mais je sais que cet enfant est le mien et je compte bien lui faire avouer, alors qu'elle pensé vraiment que j'allais partir comme j'ai pu faire sept ans en arrière, je la surprend en train de poser mes mains sur son nouveau et lui demande de m'avouer que Haydan  était mon fils en soutenant son regard et sans me vraiment compte j’avais lever la voix alors que je n'aurai pas du mais j’avais besoin de savoir la vérité même si je le mérite pas après tout j'ai abandonné cet enfant alors qu'il était à peine dans le ventre de sa mère. Astrée se met elle aussi à lever la voix en m'interdisant de dire que Haydan était mon fils j’en avait perdu le droit quand je suis partie il y a sept ans.

Je lis dans ses yeux de la colère, oui elle avait pleins de rancœur envers moi et je ne peux pas lui en vouloir, elle me déteste alors que je l'ai abandonné au moment où elle avait eu le plus besoin de moi, elle me déteste parce que j'ai refait ma vie avec une femme, elle me déteste parce que nos projets que nous avons eu ensemble j'ai commencé à le construire avec une autre femme, mais y avait aussi le fait que je n'ai jamais chercher à retrouver mon enfant et de prendre de ses nouvelles. Avec tout ça elle avait le droit de me haïr, je l'ai tellement fait souffrir et je l'ai détruite aussi par mon attitude et mon absence et si elle réagit comme cela c'est aussi pour protéger son enfant de moi de ce père absent. Je comprends que tu m'en veuille pour tout ce que j'ai fait, de mon absence pour le petit, le fait que je l'ai abandonné à cause de ma stupide peur de devenir père parce que à cette époque ce qui compter pour moi était mes études et qu'on s'en sorte bien dans notre avenir, je sais que j'ai été égoïste à cette époque, je n'ai pensé cas moi et non à toi et à lui non plus. Je sais que tu ne vas pas me croire mais j'ai pensé à lui pendant sept ans, il était là au coin de ma tête, tout les jours, je me suis demander si tu l'avais garder et si oui à qu'il ressembler, tu n'imagine pas à quel point ça été dur pour moi aussi, j'ai regretter cet abandon et je le regrette encore aujourd'hui. Lui avouai-je en passant une main mes cheveux et je n’avais pas lâcher une seule seconde son regard à chaque mot que je lui avais dit mais je sais pertinemment qu'elle ne croit à aucune de mes paroles je le lis dans ces yeux et puis je la connais aussi.



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