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 you're a coward

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(#)Sujet: Re: you're a coward  |   Mar 5 Mai - 21:18
Julian &
Astrée

You hated your father, didn’t you? I saw the way he made you cry. The memory of his cowardice is forever burned into my mind.
En réalité, la colère était en train de dévorer son âme de l'intérieur. Revoir Julian lui rappelait tout un tas de souvenirs, des bons comme des mauvais qu'ils ont tout deux pût partager par le passé. Elle se souvient de cette relation qui semblait avoir un bel avenir devant elle. Elle se souvenait de ses promesses, de cette envie d'aller jusqu'à la mort ensemble, avant que Haydan ne vient tout chambouler. Et elle aurait pût détester cet enfant en elle, parce qu'il était la cause indirectement de sa rupture avec Julian. Elle aurait pût le haïr, mettre un terme à sa vie, mais c'était plus fort qu'elle, ce petit être, aussi minuscule pouvait-il être au départ était son enfant, sa chair, son sang, sa vie désormais. Julian était parti, et sept années se sont écoulées depuis. Les choses ont changées, ils ont tout deux refait leurs vies, Julian en épousant une pauvre femme qui finirait morte, Astrée en prenant soin du petit Haydan du mieux qu'elle le pouvait. A l'époque, elle était cadette au sein de la police, aujourd'hui, il la voyait en lieutenant, une promotion méritée, un grade mérité pour une femme qui n'a jamais abandonné, qui a toujours relever la tête et ce malgré les coups. Elle s'était battue pour se faire respecter auprès de ses camarades. En général, les hommes ont tendance à croire qu'ils sont supérieurs à la femme dans plusieurs domaine alors autant dire qu'une "femme flic" ça ne plait pas à tout le monde. Elle avait sût se faire respecter elle par ses semblables même qu'aujourd'hui c'était elle qui tenait les rennes lors de certaines missions, c'était elle qui tirait les ficelles et qui gérait une équipe la plupart du temps composé d'hommes. Julian comme elle ont tout deux évolués dans des domaines différents, il a toujours été pour les études quand elle préférait agir plutôt que d'apprendre. Elle s'était offerte corps et âme au peuple et leur a promit de les protéger et de faire son possible pour faire régner l'ordre et la loi, à Miami dans le cas présent.

Malgré tout, sa plus grande fierté, au delà de son statut professionnel, restait Haydan, son fils. Sa différence le rendait unique. Parler avec lui était un pur bonheur, observer ses traits durant des heures était sa plus belle thérapie contre ses problèmes. Haydan était réellement ce qu'elle avait de plus sur cette terre. Alors, quand Julian se permet de revenir comme une fleur pour lui balancer son monologue comme quoi il regrette de ne pas avoir été présent pour lui, autant dire que l'envie d'exploser de rire prenait le dessus sur la tristesse. Clairement, elle n'avait qu'une seule envie: C'était de lui offrir la plus belle gifle de sa vie, mais la encore, elle s'était abstenue. Elle l'écoutait, que diable cherchait-il? De la pitié? Il a frappé malheureusement à la mauvaise porte et ce n'est certainement pas Astrée qui le prendrait en pitié. Ce mec n'était qu'un pauvre connard fini qui n'a pas assumé sa paternité. L'affaire en reste la. «pardon? non mais je rêve c'est pas possible autrement!» et elle levait les yeux au ciel en se demandant si ce qu'elle avait entendu était bien vrai. «T'as quand même un sacré culot tu trouves pas? De me dire que tu as pensé à lui nuit et jour alors que tu n'as jamais fais aucune démarche, aucun geste pour tenter de nous retrouver lui et moi.» Si Haydan l'avait tant que ça fait cogiter à de multiples reprises alors pourquoi attendre sept ans? Et encore, c'est bien parce que le destin les as forcés à se retrouver sinon il n'aurait jamais rien sût et aurait continuer de vivre dans le déni le plus total. «Sept ans Julian. SEPT ANS.» elle lui rappelait. ce n'était pas la que quelques mois mais bien sept longues années. Il n'a pas vu son fils naître, il ne l'a pas vu évolué ni grandir, il n'était pas la lors de ses chagrins, il n'était pas la lors de ses réussites. Il n'a jamais été la et la, Monsieur se permettait d'émettre des regrets? C'est l'hôpital qui se fout de la charité. La mâchoire serrée elle quitte sa place pour s'approcher de lui, lui lançant ce regard dédaigneux qu'il méritait. «Si tu as tant que ça eu des regrets tu aurais au moins pus chercher à me recontacter pour t'assurer qu'il était bien la! Vivre avec des regrets c'est moche pas vrai? A moins peut-être que tu t'es rendu compte à ce moment la à quel point t'as pus être lâche et con. Parce qu'aujourd'hui Julian, je vois pas trop ce que tu pourrais être d'autre. Tu es lâche et con, et je pèse mes mots.» Astrée a du répondant, elle en a toujours eu, elle ne s'est jamais laissé marcher dessus par quiconque, c'est une vraie lionne prêt à abattre quiconque chercherait à lui nuire. Une femme de caractère qui a un tempérament de feu, qui sait comment dissimuler sa fragilité, à croire qu'elle a été entraînée toute sa vie pour ça.

Son visage se rapprochait dangereusement et à l'intérieur de ses prunelles, il ne pouvait y déceler que de la haine et du dégoût pour cet homme qui osait se lamenter sur sa misérable vie et sur les regrets qu'il a pût ressentir alors qu'il n'a jamais eu l'audace de porter ce qui lui sert de couilles. «Ne t'imagines même pas que je vais te laisser approcher Haydan. Tu ne toucheras pas même une mèche de ses cheveux. T'as su tenir pendant sept ans sans le voir, t'es bon à attendre l'éternité maintenant. Haydan est MON fils tu m'entends?» Elle était loin la femme qu'il avait aimé, la pauvre et naïve Astrée qui s'était laissée séduire bêtement, qui avait tout accepté, qui pleurait les larmes de son corps suite à la trahison et à la lâcheté de l'homme de sa vie. Elle était loin cette Astrée la, très loin et il devait faire avec la nouvelle, il en avait pas le choix désormais.

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(#)Sujet: Re: you're a coward  |   Mar 5 Mai - 23:19
Julian &
Astrée

You hated your father, didn’t you? I saw the way he made you cry. The memory of his cowardice is forever burned into my mind.
Je n’aurais jamais cru que lors de ce rendez-vous dans ce commissariat je me retrouverai en face de mon premier amour, je peux dire mon grand amour, parce que c’est avec elle que je sais su vraiment ce que s’était le verbe aimer, même si j’ai était élever dans une famille aimante et que j'ai jamais manquer d'amour, étant enfant j’étais un gamin qui était solitaire et qui rêver d'aller dans l'espace, vivre des trucks extraordinaire qui sortait de mon imagination. Jamais je n'aurai pensé que aujourd'hui que j'allais découvrir que j’étais père depuis sept ans, elle avait gardé l'enfant que j'ai rejeter, l’enfant que je n'ai pas désirer, ce statut de père je l'ai perdu il y a sept ans quand je n'ai pas voulu de lire et que j’ai abandonner sa mère lorsqu'elle enceinte de lui, je découvre que j'ai un petit garçon, un beau petit gars qui ressemble beaucoup à sa mère à ce que j'ai pu voir sur la photo avant qu'elle me l'arrache des mains. Pour elle je ne devais en aucun cas, regarder comment il était, comment il aller, si il était un bon élève, quel était son sport préférer, pour elle ne n'avait aucun cas de savoir tout ça de sa vie et elle avait totalement raison parce que je n'avait pas été capable d’être la pour lui sept ans en arrière, elle était avant la maman qui protège son petit de ce qui pourrait le faire souffrir, je sais que j'ai perdu tout les droits en tant que père mais en sachant qu'il était bien née me soulager au fond de moi, le savoir qu'il existe me donne vraiment envie de le connaître, je veux connaître mon fils et je veux que mon fils me connaisse.

Je sais que je ne peux pas revenir dans la vie de Astrée comme une fleur ce n’est pas possible, je pense que j’aurai réagis pareil si les rôles auraient été inverser, j'aurais tout fait pour protéger mon enfant mais, l'amour d'une mère n’est pas comparable à une autre forme d'amour, l'amour d'une mère a son enfant est bien plus fort et bien plus puissant. Je tente de lui expliquer le comment je ne me sentais pas rapport à cette situation que j'avais totalement chercher, si nous sommes la aujourd'hui c’est entièrement de ma faute que j'ai fait passer ma future carrière avant la vie de famille que j'aurai pu avoir avec Astrée et Haydan. Certes je n’aurai pas eu la vie que j'ai vécut avec Hailey, j'aurai eu ma vie avec ma vie, ce qui m'arrive aujourd'hui je peux m'en prendre cas moi-même. Comme je l’avais pu deviner elle n'a pas crue une seule seconde de mes paroles alors qu'il était sincère, je pense qu'elle doit se dire que je suis en train de l'amadouer pour qu'elle me pardonne et qu'elle me laisse voir notre fils et ce n’est pas ça du tout, pour elle je n’étais qu'un lâche qui n'a pas su porter ses couilles pour assumer mon fils et elle avait totalement raison là-dessus. Je t'es chercher, oui je t'ai chercher, quelques jours après notre rupture je suis revenue à l'appartement ou avons vécut toi et moi et lorsque je suis entrer à l’intérieur de l'appartement tout était vide, y avait plus rien, une amie à toi qui est venue chercher le dernier carton qui rester m'a dit que tu avait déménager dans une autre ville, que tu ne voulais pas que je sache ou tu vivais, tu ne voulais plus rien savoir de moi, tu voulais que je te fiche la paix. Lui dit-je en la regardent sincèrement dans les yeux et c'est ce que j'ai fait je l'ai laissé tranquille, je l'ai laisser faire sa vie parce que j'avais fait assez de dégât comme ça.

Et ce malgré j’essaye de me justifier, je savais au fond que je n’étais qu'une merde, un lâche, un connard. Et tu as raison je ne suis qu'une merde qui n'a pas de couille parce que j'ai lâchement abandonné la femme que j'ai aimé qui porter mon enfant, je suis une merde parce que j'ai raté sept ans de la vie de mon fils, je l'ai pas vu naître, je l'ai pas vu faire ses premiers pas, je l'ai pas entendue dire ses premiers mot, mon premier anniversaire, je sais que j'ai raté pas mal de chose dans sa vie et aujourd'hui je ne veux plus de ça, je ne veux plus rater quoi ce soit de sa vie, j'ai envie de le connaître As. Tentai-je de la convaincre mais s’était peine perdu, pour elle il était hors de question que je connaisse Haydan, il était hors de question que je m'approche de lui, pour elle je n’étais pas son père, pour elle il n’était pas mon fils mais son fils à elle rien cas elle, ses mots et son regard me font très mal, je déteste de savoir que aujourd'hui elle me déteste, l'amour qu'elle avait pu ressentir pour moi n'est plus la, seule la haine qu'elle avait envers moi se voit dans ses yeux, elle me déteste plus que tout au monde. Pourtant c'est mon fils aussi Astrée. Dis-je en gardent mes yeux ses yeux avec une voix casé.


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(#)Sujet: Re: you're a coward  |   Mer 6 Mai - 14:26
Julian &
Astrée

You hated your father, didn’t you? I saw the way he made you cry. The memory of his cowardice is forever burned into my mind.
Des regrets. Voilà ce qu'il ressentait actuellement. Il regrettait de ne pas voir été présent pour son fils, lui qui ignorait totalement en avoir un.  comment peut-il regretter une telle chose alors qu'il ne savait même pas si oui ou non elle avait gardé l'enfant?  Ce fils, sa chair et son sang, si il tiendrait tant que ça, il aurait remué ciel et terre pour tenter de le voir, pour tenter de recoller les morceaux et aspirer à être le modèle paternel rêvé par Haydan. C'était trop simple de s'excuser, de regretter, mais les mots ne suffisent pas, seuls les actes comptes. Sans aucun scrupule, elle s'était rapprochée de lui pour lui cracher toute sa haine au visage mais aussi et surtout pour l'aviser. Il était hors de question qu'il voit Haydan ou qu'il veuille s'immiscer dans sa vie. Haydan était en phase de reconstruction mentale. Grâce à l'aide précieuse d'Alexander, l'enfant commençait à mettre des mots sur ses pensées, à confier ses ressentis. A défaut d'être enfermé dans sa chambre, il sortait, jouait même au football. Il rêvait de choses nouvelles, et elle espérait qu'il continue de suivre cette voie de lumière plutôt que de sombrer à nouveau dans l'obscurité. Revoir son père est une des choses qui le ferait basculer à coup sûr.

Julian lui confie l'avoir cherché, être revenu à leur appartement après leur violente dispute et leur séparation mais lorsqu'il avait posé pieds la bas, il était tombé face à des murs blancs et des pièces vides. Elle avait pliée bagages pour retourner chez ses parents, ou du moins pour récupérer la maison familiale le temps de mettre de l'ordre dans ses affaires avant de rejoindre Miami. Elle s'était faîtes discrète pour justement, qu'il ne la retrouve pas. Elle n'avait plus rien à lui dire, tout avait été dit ce soir la ou il avait refusé sa paternité. L'affaire close, elle avait poursuivit sa vie en faisant attention au petit être qui poussait en elle au fil des semaines et des mois. Cela ne fait que deux ans qu'elle est à Miami, Haydan a connu New York, et par chance, il n'a jamais croisé la route de son paternel jusqu'à présent.«Pourquoi j'ai du mal à y croire Julian à tout ton baratin?» C'était douloureux de l'entendre se chercher des excuses alors qu'il n'avait qu'à avouer qu'il avait était un connard fini et qu'il n'a jamais cherché à la revoir elle et l'enfant. C'était tellement plus simple de dire la vérité plutôt que de mentir et faire croire d'autres choses à la personne déjà blessée de base. Il l'avait blessée plus qu'aucun autre homme ne l'avait fait jusqu'à présent. Elle avait eu mal, terriblement mal. Le soir ou il quittait l'appartement, les larmes coulaient à flot sur son visage, elle s'était mise à crier de douleur comme ci quelqu'un venait tout juste de la poignarder. Ses ongles agrippaient ce ventre encore plat et elle tremblait à l'idée de donner naissance à son enfant seul, sans que le père de ce dernier ne soit en mesure de l'accompagner, d'offrir tout l'amour qu'un enfant à besoin à cet âge la. Elle ne s'est jamais laissée abattre par quiconque mais c'était bien la première fois qu'elle goûtait au bitume. Mise plus bas que terre, abattue par un homme qu'elle pensait amoureux.

Alors oui, son caractère à commencer à changer et sa fragilité avait laissé place à une femme forte et solide, le visage souvent stoïque qui continuait à en bouffer du bitume par ses supérieurs hiérarchiques. Elle savait que tôt ou tard, elle occuperait la place qui était la sienne aujourd'hui. Tôt ou tard, elle prendrait sa revanche sur les hommes qui pensent les femmes faibles et inutiles au sein de la société. Aujourd'hui, c'était elle qui gérait plusieurs équipes et parfois composées uniquement d'hommes. La femme faible avait disparue, elle était devenue mère et leader à la fois. «T'es tellement à plaindre pauvre de toi tu m'ferais presque de la peine!» Ironie. «Je viens tout juste de te le dire et je me répéterais pas deux fois. Tu ne t'approcheras jamais de Haydan tu m'entends? Grave le bien dans un coin de ta tête. Jamais tu ne pourras rattraper ses sept années de sa vie et tu sais pourquoi? Parce qu'aujourd'hui Haydan va mal, parce qu'aujourd'hui il te déteste sans même te connaître, parce que à cause de toi il subit constamment des moqueries et que je ne suis même pas la dans ses moments la pour tirer les bretelles de ceux qui s'en prennent délibérément à lui!» Elle avait la gorge nouée en lui avouant tout cela, toute cette vérité qui lui bouffait de l'intérieur.  Elle repenser notamment à ce coup qu'il avait donné à un de ses camarades qui l'avait ouvertement insulté et moqué parce qu'il n'avait pas de père. ce n'était pas rare que Haydan était la victime de certains de ses petits camarades et cela commençait sérieusement à peser sur les épaules d'Astrée qui s'en était prit à son fils en lui interdisant toute activité plaisante pour la simple et bonne raison qu'il s'était défendu légitiment, même si la violence pour le coup, ne résout pas tout.

«Ce n'est pas ton fils Julian. Si ça le serait, tu serais avec nous à l'heure actuelle.Et ce n'est pas le cas..» Il avait même refait sa vie d'ailleurs. «Tu ne t'es pas soucié de lui le jour ou tu as épousé t'as pauvre défunte femme.» Ses yeux brillaient d'une profonde tristesse et colère, mais pas une larme ne fut versée. «Moi, j'ai passé ma vie à me consacrer entièrement à lui. Je me suis promise à moi même qu'un jour j'y arriverait, que je lui offrirais la plus belle des vies. Je lui ais promis quand il n'était qu'un tout petit bébé que sa mère se battrait pour se faire respecter, pour qu'il ne s'inquiète jamais sur son sort. Je n'ais jamais songé une seule seconde à me trouver un autre homme pour te remplacer, parce que j'avais l'espoir qu'un jour tu nous reviennes et que ton absence n'était en réalité qu'un mauvais rêve et que je me réveillerais au petit matin avec ton corps auprès du mien.» Sauf que ça n'est jamais arrivé. Aux yeux d'Astrée, Julian avait finit mort et enterré, du moins, dans sa tête et dans son cœur. «Aujourd'hui, j'ai le droit au bonheur et t'as pas le droit de venir me l'arracher comme ça. Je ne te le permettrais pas Julian. Tu n'existes plus pour moi.. Et tu n'as jamais existé pour Haydan, alors laisse nous en paix.» qu'elle termina en ravalant cette boule de nerf coincée à l'intérieur de sa gorge. Plus il restait la, et plus il faisait ressurgir en elle cette Astrée du passé, fragile et vulnérable et c'était tout ce qu'elle ne voulait pas être. Aujourd'hui, de beaux jours semblent se profiler à l'horizon, et Julian devait respecter cela, ce qui appartient au passé doit rester au passé elle en était persuadée désormais Astrée.

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(#)Sujet: Re: you're a coward  |   Mer 6 Mai - 21:33
Julian &
Astrée

You hated your father, didn’t you? I saw the way he made you cry. The memory of his cowardice is forever burned into my mind.
Je sais ce que j'ai fais y a sept ans en arrière est impossible à pardonner j'ai abandonner la femme de ma vie, certes j’avais épouser Hailey, bien sûr je l'avais aimé mais pas comme j'ai pu aimé Astrée, avec Hailey ça avait été un autre amour mais moins fort que j’ai eu avec Astrée, avec Astrée on en a vécut pas mal de chose ensemble des bons et des mauvais moment au moment où j'ai donner le coup fatale à notre histoire en refusant ma paternité, en refusant de l'accompagner dans cette grossesse, en refusant de connaître mon enfant, au final aujourd'hui j'ai tout perdu, j'ai perdu Astrée, j'ai perdu l'enfant que j'ai jamais connu et que je connaitrais probablement jamais je ne peux m'en prendre cas moi-même C’est ma punition pour les avoirs abandonner et d'avoir pensé à ma carrière avant tout le reste, avant ma famille que je n’ai pas su construire avec elle et notre fils.

Quoi que je dise ou quoi je ne fassent, rien pourra la convaincre que aujourd'hui j’ai des remords, que je m'en mords les doigts, je sais que c'est facile de dire ca après sept ans d'absence et que pour elle je ne suis qu'un lâche, un connard, une merde à ses yeux mais c'est ce que je ressens aujourd'hui je souffre de l'avoir perdu, je souffre d'avoir perdu cet enfant que je n'ai pas désirer au début mais que j’étais revenu sur ma décision quelques jours après notre rupture en me disant qu'on pouvait très bien s'en sortir avec un bébé mais malheureusement tout était déjà trop tard, quand j’étais revenu dans l’appart ou nous avons vécut tous les deux et la j'avais découvert cet endroit vide, elle était partie se la ville, elle était partie de ma vie et elle n'a pas plus jamais voulu entendre parler de moi et moi comme un idiot au lieu de remuer ciel et terre pour la retrouver je l'ai laissé faire sa vie et moi la mienne en épousant une autre femme qu'elle. Ce n'est pas du pas baratin, appel ton amie Clara et elle te dira la même chose que moi. Dis-je en la regardent bien droit dans les yeux pour lui faire comprendre que je ne mentais pas.

Elle ne pardonnera jamais cet abandon, je le vois dans ses yeux, dans ses paroles, aujourd'hui elle n'a plus d'amour pour elle, elle n'a que de la haine, du dégoût et de la colère envers moi, pour elle je n’hésite plus depuis sept ans c'est comme si j’étais mort à ses yeux alors que je suis bien la en face d'elle, elle n'a aucune onze de pitier, elle essaye de me faire mal dans ses paroles très mal même et le fait très bien, parce que oui ses mots me font souffrir mais c'est tout ce que je mérite après tout ce que lui est fait, elle me pardonne pas non plus de l'avoir remplacer par une autre femme et ça je le comprends tout à fait, parce que je sais que j'aurai du mal à la voir avec un autre homme que moi, qu'un autre homme se fassent appeler papa par mon fils et d’ailleurs je suppose que ça doit être le cas aujourd'hui, elle a s'en doute refait sa vie avec un autre homme, rien que t'y pensé ça me rends malade et fou de jalousie. Qu'est ce que tu veux que je te dise à par que je suis désoler et que je m'en veux terriblement de vous avoir abandonné tous les deux, je sais que j'ai merdé et que aujourd'hui j'ai tout perdu, si tu savait à quel point j'aimerai avoir une machine pour revenir en arrière pour refaire les choses différemment mais je ne peux pas malheureusement, ça peine de savoir que Haydan ne pas va pas bien à cause de moi, il peine dans sa vie à cause de moi, ça me rends malade de savoir mon petit garçon souffrir à cause de mon absence alors que j'aurai du être la depuis le début pour lui et pour toi aussi, je me doute bien que ça n'a pas du être facile pour toi de l'avoir élevé toute seule, tu t'es battu comme une lionne pour lui et encore aujourd'hui tu le fait encore je le vois dans tes yeux. Dis-je en marquant une pause. Je ne te dit pas ça pour que tu me pardonne, ou essayé de d'amadouer, non tout ce que j'ai dit ça vient de la. Dis-je en tapant sur ma poitrine ou la mon cœur se situe.

Elle avait raison, je ne pouvais pas revenir dans leur vie et tout chambouler tout ce qui avait construit à deux, elle n'a pas refait sa vie parce qu’au fond d'elle avait espérer un retour de ma part, elle espérer que nous formions la famille que nous avons toujours voulu tous les deux et son rêve s'est pas réaliser parce que je ne suis jamais revenu et j'ai épousé une autre femme en sachant pas que la mère de mon enfant m'attendais auprès d’eux. Aujourd'hui elle ne m’attends plus, aujourd'hui elle est passé à autre chose, elle ne me voulais plus dans sa vie, elle me voulais pas dans la vie de notre fils, la seule chose qu'elle me demande c'est les laisser tranquille Haydan et elle, pour elle je devais faire comme ils n’étais pas la et que je l'ai jamais recroiser, je dois renoncer encore une fois à ma vie, je n'ai plus le droit au bonheur et je n'ai pas le droit de cacher leur bonheur. D'accord, je vais respecter ta décision, même si ça me goûte de pas pouvoir le voir, au moins je l'aurai vu quelques secondes sur cette photo, il te ressemble beaucoup. Dis-je avec un petit sourire triste puis je me décale d'elle pour récupérer ma veste qui était poser sur la chaise dans mes mains et me dirigea vers la porte d'entrée. Je demanderai à un autre inspecteur s’il peut reprendre l’affaire, comme ça tu n'auras plus à me revoir. Dis-je en lui lançant un dernier regard. Au revoir As. En me retournent assez rapidement pour essuyer rapidement une larme qui coule sur ma joue pour ne pas qu'elle ne la voit, cette rencontre et cette conversation avec elle m'a complètement bouleversés mais aussi détruire parce que je me rends réellement compte que j'ai perdu ma famille à tout jamais.



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