Je voyais bien qu'elle était consciencieuse dans son travail. Elle me faisait penser à moi quand j'étais en service. Toujours sérieux. J'étais un homme de loi, on ne pouvait pas me faire dévier de ça, mais de voir Madison à l’œuvre, ça me donnait le goût de faire autrement et de la déstabiliser. Elle me questionna sur mes blessures que j'avais eu en Irak. Je n'étais pas tenu de dire ce qui s'était passé, mais pour ce qui était de mes blessures, je pouvais toujours dire la vérité.

« Qu’est-ce que vous avez eu exactement ? »

- Et bien, plusieurs choses me sont arrivés, mais vous voyez la marque là, c'est des éclats de balles que j'ai reçu... même que j'ai reçu plusieurs bonne blessures, mais comme vous le voyiez, je suis toujours là docteure... je suis un dur à cuir comme on dit!

Puis, elle m'ordonna de me déshabiller entièrement, sauf mon boxer bien sûr ce qui m'avait permis de lui lancer une plaisanterie qu'elle ne rit pas bien sûr... Le rôle de docteur lui allait très bien, même que c'était sexy à souhait. Par contre, elle avait bien compris ce que je lui avais dit parce qu'elle m'avait dit que j'étais lent à enlever mes vêtements. Ça m'avait décrocher un sourire. Je me couchai ensuite sur cette chaise/lit/table où elle m'étala du gel sur le ventre avec son machin et je dois dire que c'était vachement froid ce qui m'avait fait me raidir, mais ça me fit mal en même temps. Je m'efforçai de faire ma plus belle grimace de douleur quand même pour lui montrer que j'étais un dur à cuir.

« En réalité, c’est ma passion. Je suis faite pour ça et j’aspire  sauver le plus de vie possible. Et entre nous, parfois, on a l’occasion d’opérer de beau spécimen. »

- De beaux spécimens? Je sais que je suis beau, mais j'espère juste qu'on ne doive pas m'opérer.

J'avais dis ça en me raidissant à nouveau, car son truc sur mon abdomen, ça ne me faisait pas du bien, mais pas du tout. Elle se promenait ici et là sur mon corps... Ça me donna envie de redire quelque chose, mais je me tus pour une fois. Je ne voulais pas passer pour un gros pervers non plus. Elle essuya ensuite son truc avant de prendre une serviette et m'éponger le gel...

- Avant que vous ne me disiez que je suis en train de mourir, est-ce que je peux vous inviter à dîner? Ou bien prendre un verre... enfin... si vous êtes libre bien sûr.... célibataire? C'est pas bien de ne pas ne pas accepter à ma dernière volonté....

Je lui fis un sourire tout en restant étendu sur le dos sur cette chaise. Elle était très jolie, je la trouvais professionnelle et surtout elle était intrigante comme femme. Beaucoup de charisme et je dois dire qu'elle ne me laissait vraiment pas indifférent. Bref, j'espérais qu'elle accepte mon invitation même si j'avais du mal à tenir debout.

∞ catch me if you can.

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J’étais intéressée par le passé de mon nouveau patient. En effet, ce n’était pas de la curiosité mais plutôt une nécessité qui me permettrait de comprendre ce qu’il pourrait actuellement avoir. Mon but étant de lui garantir les meilleurs soins, je n’avais pas d’autre choix que de m’immiscer quelque peu dans sa vie privée. « Et bien, plusieurs choses me sont arrivés, mais vous voyez la marque là, c'est des éclats de balles que j'ai reçu... même que j'ai reçu plusieurs bonne blessures, mais comme vous le voyiez, je suis toujours là docteure... je suis un dur à cuir comme on dit! » Répondit le jeune homme, ce qui me fit légèrement sourire. Comment peut-on prendre les choses ainsi quand on a une douleur comme la sienne… Cet homme est assez drôle, je dois le reconnaître. « Quel homme vous êtes mon cher monsieur ! » Lui répondis-je le sourire aux lèvres sur un ton ironique pour le taquiner quelque peu.
Il était à présent en boxer et allongé, rien de plus normal. Et alors que je commençais à chercher ce qu’il pouvait avoir en passant du gel et le scan sur son abdomen, ce dernier se mit à me faire la conversation. C’était assez sympa puisque parfois, les patients ne disent pas un mot et rende la situation peu attrayante. De beaux spécimens? Je sais que je suis beau, mais j'espère juste qu'on ne doive pas m'opérer. Répondit le jeune officier. Forcément, un rire se manifesta. Je ne pouvais pas faire autrement, cet homme sort beaucoup trop de bêtise. « Je ne l’espère pas non plus surtout que j’ai tendance à être une vrai charcutière. Je fais d’un beau spécimen une grosse monstruosité. » Répondis-je à mon tour en affichant un large sourire sur mon visage. J’étais même mise à rire suite à mes paroles. Ce patient me fit perdre quelque peu mon sérieux. Néanmoins, j’étais rapidement parvenue à me reprendre pour continuer. Je pouvais d’ailleurs constater qu’il n’était pas très bien, il s’était même raidi quelque peu. « Ne vous inquiétez pas, c’est bientôt terminé. » Lui dis-je pour le rassurer en posant ma main sur la sienne. C’est important d’accompagné le patient et de le mettre en confiance et c’est bien ce que j’essaye de faire.
Lorsque mon action fut terminée, je pris une serviette afin d’éponger le gel présent sur son torse. Je pense qu’il n’aura pas besoin de grand-chose à part un traitement de fond et des antibiotiques. C’est assez rassurant mais il était préférable que je l’examine avant toute chose. « Avant que vous ne me disiez que je suis en train de mourir, est-ce que je peux vous inviter à dîner? Ou bien prendre un verre... enfin... si vous êtes libre bien sûr.... célibataire? Ce n’est pas bien de ne pas ne pas accepter à ma dernière volonté.... » Avait sorti l’officier sans que je ne m’y attende vraiment. C’était comme sortit de nulle part et c’était même presque inapproprié mais dans la mesure où je l’ai rencontré en dehors de l’hopital et que je ne l’ai pas rencontré en tant que patient, il n’y aurait rien de mal à ça. « Puisque c’est votre dernière volonté, j’accepte. Mon petit copain imaginaire n’y verra aucun inconvénient, j’en suis certaine. » Plaisantais-je alors en le regardant. « Rhabillez-vous, je vous chercher votre échographie en imagerie. » Souriais-je avant de quitter la pièce pour effectuer ce que je venais de lui dire.
Les échographies appuyait mon opinion, ce charmant jeune homme n’aura pas besoin d’opération. Il a simplement une petite infection qu’il devra soigner rigoureusement. J’avais donc fait sortir une ordonnance à son nom avant de le rejoindre de nouveau.

Madison avait bien pris soin de moi et maintenant qu'elle avait vérifier mon abdomen et me l'essuyer avec l'aide d'une serviette. J'avais donc tenter d'inviter Madison pour dîner avec moi parce qu'elle me plaisait tout simplement et quelque chose me disait que je lui plaisais aussi dans sa manière de me parler et de me sourire.

«Puisque c’est votre dernière volonté, j’accepte. Mon petit copain imaginaire n’y verra aucun inconvénient, j’en suis certaine. »

- Hé bien il sera peut-être jaloux, mais peu importe, c'est que vous acceptiez! Je veux vous remercier pour tout ça.... Vous arrêtez les méchants, vous me soigner... est-ce qu'il y a quelque chose que vous en faites pas docteure?

J'étais vraiment content, là tout de suite qu'elle ait accepté ce rendez-vous sur le vif. J'avais haussé un sourcil pour savoir ce qu'elle allait me répondre, car je dois dire que déjà elle m'avait beaucoup aidé et je ne pouvais pas passé à côté d'une jolie demoiselle comme ça.

Rhabillez-vous, je vous chercher votre échographie en imagerie. »

Je me levai de la table pour reprendre mon uniforme et le remettre tandis que le docteur Campbell allait chercher mon échographie. Ça faisait drôle d'entendre ça quand même. Une fois la ceinture bien mise, j'attendis quelques minutes qu'elle revienne. J'avais du mal à rester dans la même position et j'espérais qu'elle pourrait peut-être m'offrir quelque chose pour me soulager. Quand elle revint dans la salle j'étais prêt à entendre ce qu'elle allait me dire, elle avait déjà un pot de médicaments à la main et je dois dire que j'étais soucieux de savoir ce que c'était.

- Ça va guérir vite?

Peu importe, c'est certain que ça allait bien guérir, je m'en faisais pas avec ça, depuis que je faisais la guerre, j'avais eu mon lot de blessures. Mais là, j'avais eu droit à un traitement de faveur hors pair et je comptais bien que Madison soit mon invitée pour dîner.

- Vous pouvez ce soir... ou bien un autre jour? Parce que peu importe, je suis d'attaque.

Je ne savais pas si vraiment elle avait un chiffre à faire à l'hôpital ou bien qu'elle était venue juste pour moi ici. Je fis un petit sourire à mademoiselle Campbell parce que je savais déjà que j'allais passé une bonne soirée en sa compagnie.

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« Hé bien il sera peut-être jaloux, mais peu importe, c'est que vous acceptiez! Je veux vous remercier pour tout ça.... Vous arrêtez les méchants, vous me soigner... est-ce qu'il y a quelque chose que vous en faites pas docteure?  »  M’avait demandé le jeune officier par la suite. Un leger rire se dégagea avant que je ne lui offre un énième sourire. Je suis une femme de nature souriante pour la simple et bonne raison que ne pas sourire me rendrait légèrement plus désagréable à regarder.  « Je n’essuie pas les fesses de mes patients. Mais c’est un secret, il ne faut pas le dire.  » Lui  répondis-je en continuant d’afficher ce petit sourire sur mon visage.
J’avais ensuite demandé au jeune homme de se rhabiller pendant que je partais chercher son échographie en imagerie.  Là-bas, l’échographie appuya mon avis. Il devra simplement prendre son traitement sérieusement et ses douleurs ainsi que son infection passeront.
J’étais donc reparti le rejoindre avec son ordonnance en main et son traitement. Ça va guérir vite?  S’intérogea l’officier. J’avais donc grimacé légèrement en le regardant avant de lui repondre :   « Vous ressentirez encore des douleurs pendant cinq à six jours mais au bout d’une semaine en principe, ça devrait aller. »  Lui dis-je alors en le regardant avant de poursuivre :   «  Par contre, je suis désolée mais je vous ais prescrit un arrêt de travail de deux semaines. Le repos est impératif en plus du traitement. De toute façon, vos  médicaments vont  vous faire somnolez quelque peu… Et voici votre ordonnance ainsi que vos médicaments. » Lui dis-je très sérieusement en laissant mon regard posé sur le sien. Je suis un docteur consciencieux et même si j’ai sympathisé avec cet officier, je n’en oublie pas mon travail.
« Vous pouvez ce soir... ou bien un autre jour? Parce que peu importe, je suis d'attaque.»  M’avait-il ensuite demandé. Face à la tournure de sa phrase, je n’avais pu m’empêcher de rire avant de réponde : « Vous êtes d’attaque pour quoi au juste ? Vous donnez l’impression de parler à une prositué. »  Plaisantais-je alors en le regardant avant de reprendre : « Je suis libre ce soir mais je préfère remettre ça à un autre jour. Je préfère que vous vous reposiez pour le moment. » Lui souriais-je simplement avant de retirer ma blouse car oui, ma journée est terminée depuis bien longtemps. Je suis revenue pour cet officier et je compte bien rejoindre mon amie Geane au centre-ville comme prévu.  

Peu importe ce que je pouvais dire contre ce léger incident, j'étais tombée sur Madison, donc ma journée n'étais pas aussi moche que ça. Je la trouvais plutôt intéressante puisqu'elle semblait avoir beaucoup de caractère. Ça ne me laissait pas indifférent. Maintenant que j'avais en mains les médicaments que j'avais besoin, je voulais savoir si ça allait bien guérir.

« Vous ressentirez encore des douleurs pendant cinq à six jours mais au bout d’une semaine en principe, ça devrait aller.  Par contre, je suis désolée mais je vous ais prescrit un arrêt de travail de deux semaines. Le repos est impératif en plus du traitement. De toute façon, vos  médicaments vont  vous faire somnolez quelque peu… Et voici votre ordonnance ainsi que vos médicaments. »

- Quoi? Deux semaines? Non!!! dis-je de façon outré. Je ne m'attendais vraiment pas à ça je dois dire. Peu importe ce que je disais, Madison me disait que me reposer allait me faire du bien. Je n'étais pas du tout convaincu. J'allais foutre quoi chez moi pendant 2 semaines? Le seul point positif dans l'histoire c'était que ça allait me faire dormir comme il se doit. Depuis mon retour d'Irak j'avais bien du mal. J'avais remis mes vêtements et nous étions sur le point de nous quitter avant que je ne tente de l'inviter pour dîner. Madison accepta sans hésiter ce qui me rendit à nouveau mon sourire. J'étais prêt qu'on fasse ça ce soir si elle était disponible.

« Vous êtes d’attaque pour quoi au juste ? Vous donnez l’impression de parler à une prosituée. »

- Loin de là... Je suis d'attaque pour un bon repas en bonne compagnie. Ça vous va mieux? répondis-je en plaisantant également.

« Je suis libre ce soir mais je préfère remettre ça à un autre jour. Je préfère que vous vous reposiez pour le moment. »

C'était plus fort que moi, j'avais écarquillé les yeux. Si je n'avais pas Madison ce soir, ça risquait d'être compliqué ou bien justement mes deux semaines de congé allaient aider...

- Bien, je n'avais pas vraiment l'intention de me reposer... Mais si vous me promettez qu'on dînera ensemble durant mes deux semaines de convalescence, ça me va! J'ai besoin qu'un médecin veille sur moi après tout, ajoutai-je à la blague.

Je ne sais pas pour elle, mais moi je me disais que je venais faire toute une rencontre. Elle était en plein mon genre de fille... Belle, intelligente et surtout amusante. Pour un médecin, elle était loin d'être chiante! Son petit côté supérieur me plaisait bien aussi, ça laissait présager qu'elle était prête à prendre les devants et elle devait savoir ce qu'elle voulait dans la vie. Peu importe, Madison avait décidé qu'on se verra un autre jour. J'avais donc sortit mon téléphone de ma poche pour attendre qu'elle me donne son numéro.

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« Quoi? Deux semaines? Non!!! »  Il n’était pas ravie de cet arrêt de travail mais pourtant, il n’aura pas le choix. Il doit se reposer et se rétablir, c’est comme ça que ça marche. Sinon il trainera ça un moment et un jour, tout lâchera. Il sera mort et une fois dans les limbes, il sera trop tard pour avoir des remords.  « Oui, deux semaines ! Je peux vous faire confiance ? Vous pouvez me promettre que vous vous reposerez et que vous le ferez pour moi si ce n’est pas pour vous ? » Lui demandais-je en posant ma main sur son avant-bras. Je voulais vraiment qu’il se repose, c’était important, on ne joue pas avec la santé et on s’en moque encore moins.  
Je m’étais ensuite mise à sourire lorsqu’il me dit qu’il était d’attaque pour un bon repas en ma compagnie. C’est vrai, tournée comme il l’avait tournée, sa phrase paraissait beaucoup trop perverse à mon goût. C’est ensuite que je lui avais confiée mes disponibilités mais aussi mes préférences. Je pouvais le voir ce soir mais je préférai le voir un autre jour. «  Bien, je n'avais pas vraiment l'intention de me reposer... Mais si vous me promettez qu'on dînera ensemble durant mes deux semaines de convalescence, ça me va! J'ai besoin qu'un médecin veille sur moi après tout. »  Je m’étais naturellement mise à rire avant de saisir son téléphone pour y inscrire mon numéro. Cet officier a l'air moins con que les autres. Généralement, je ne peux pas les voir. Ils se prennent pour les rois de la rue, pour les commandant suprême alors qu'il ne valent pas la moitier de ce qu'ils pensent. Sauf que lui, Nathaniel Wilson, il est clairement différent. Il est drôle et cache en lui une part de mystère. « Je vous promet d’être le meilleur ange gardien que vous n’ayez jamais eu ! »  Lui souriais-je alors avant de lui rendre son téléphone portable.   «  Maintenant que vous avez mon numéro, que diriez-vous qu’on se tutoies ? Ce serait beaucoup plus sympa. » Me permettais-je de dire en remettant mes cheveux en place, le regard poser sur ce bel officier.

Ça ne me disait vraiment pas d'être en congé pendant 2 semaines chez moi. J'aimais mon travail et les autres allaient dire que j'étais une vraie chochotte. J'avais soupiré face à l'annonce du Docteure Campbell parce que je savais que ça ne serait pas une partie de plaisir.

« Oui, deux semaines ! Je peux vous faire confiance ? Vous pouvez me promettre que vous vous reposerez et que vous le ferez pour moi si ce n’est pas pour vous ? »

- Hummmm... mouais... Je crois que je pourrais bien faire ça...

Mais si Madison ne voulait pas me voir pour un rendez-vous, je ne crois pas que j'allais respecter ce qu'elle venait de me donner comme repos. Ça devait transparaitre dans mon visage que je n'étais pas bien content d'apprendre que je serai chez moi pendant 2 semaines. J'avais donc demandé un rendez-vous et Madison y avait été favorable tout en ajoutant son numéro dans mon répertoire de mon téléphone. Cela me convenait vraiment parce que la jolie blonde était bien jolie et surtout de mon goût.

« Je vous promet d’être le meilleur ange gardien que vous n’ayez jamais eu ! Maintenant que vous avez mon numéro, que diriez-vous qu’on se tutoies ? Ce serait beaucoup plus sympa. »

- Je suis bien d'accord!

Elle me rendit mon téléphone entre temps et maintenant il était le temps que je reparte chez moi, mais je devais m'appeler un taxi. Madison devait avoir une journée bien chargée c,est pourquoi je ne voulais pas la retenir.

- Je compte donc t'appeler bientôt, mais là, je vais te laisser travailler parce que je sais que mon corps si musclé te fait envie, mais tu as des vies à sauver!

Je lui fis un léger clin d'oeil charmeur tout en prenant soin de la saluer gentiment. J'avais mal à chaque pas que je faisais et tout ce que je voulais maintenant c'était d'aller dormir. Finalement, avoir un rendez-vous ce soir n'aurait certainement pas été bien génial. Je quittai donc la jolie blonde avant de me rendre dans le hall d'entrée de l'hôpital pour m'appeler un taxi.