Eileen Kate Vaughan
Bonjour, je m'appelle Eileen Kate Vaughan, mais on me surnomme parfois Eileen. J'ai actuellement 29 ans, car je suis née le 25 juillet 1985 à New York et je suis américaine. Il m'arrive parfois de faire quelque chose de ma vie et si je ne suis pas entrain d' écrire ou lire , je suis avocate au bureau du procureur. Si vous voulez tous savoir je suis plutôt aisée, vu que je n'ai aucun secret pour toi, tu peux aussi savoir que je suis hétérosexuelle et je suis situation amoureuse. On me dit souvent que je ressemble à Shantel Vansanten Je suis dans le groupe des Winter
comment on peut me reconnaître ?
Caractère J'ai le coeur brisé mais ne le montre pas, je suis une femme forte ok? Je préfère rire et faire rire mais un rien peut me faire basculer dans la mélancolie - en gros, je suis lunatique - mais je pleure toujours chez moi, loin du regard des gens. Quand je me sens d'humeur fragile, j'aime les câlins autant que je les redoute car ils peuvent me faire craquer comme le vent souffle un château de carte. J'offre mon sourire facilement, on dit de moi que je suis pétillante (Comme du 7up Cherry gloups!). J'ai beau prendre mon travail très au sérieux, j'utilise l'humour quand il peut m'aider à marquer des points lors d'un procès. Ceci fait de moi une avocate atypique mais efficace. J'ai décidé de faire de ma maladresse une force comique mais je fais des efforts pour éviter de renverser mon café sur chacune des personnes que je croise. Je suis fidèle et loyale et par conséquent, je peux me montrer dure quand on me trompe ou me trahi. Je suis quelqu'un d'entier, et si je vous adopte et vous fait une petite place dans ma vie, mon attachement sera sans limite. Rassurez-vous, je suis pas étouffante quand même. Esprit libre, je déteste qu'on me dise quoi faire et quoi penser mais je sais écouter les conseils et prendre du recul avant de faire un choix.
Ma gourmandise est légendaire alors quand je vois quelqu'un arriver avec une boîte entière de cupcakes, de bonbons ou de donnuts, il peut tout me demander. Mais il y a une limite à ma corruption.
Je sais que je suis jolie, que je peux plaire et je pourrais en jouer bien plus que je ne le fais, mais j'aime beaucoup passer inaperçu alors je me fais discrète. Je préfère aussi que l'on me juge sur mon travail plutôt que sur ma tenue ou mon physique.
Je sais très bien écouter mais je sais aussi parler, parler, parler... Surtout quand je suis nerveuse ce qui renforce malgré moi mon côté amusant ou ridicule, au choix.
Je ne supporte pas les tensions, ni les disputes, y compris quand je ne suis pas concernée. J'ai l'impression d'être une éponge à sentiment et si ça ne va pas autour de moi, ça n'ira pas chez moi. J'évite donc les conflits ou cherche à les régler en un claquement de doigt. Bien sur, ça ne marche pas toujours, et dans ce cas là, je prend mon mal en patience - sauf que je ne suis pas patiente -.
Bon par contre, si tu me cherches, si tu veux la bagarre petite tête, alors tu aura le droit à quelques étincelles. Fais attention à ne pas te brûler.
Je ne suis pas opérationnelle avant mon café du matin mais je carbure ensuite au thé pour le reste de la journée.
Je crois que je vous ai déjà dit que je pouvais être bavarde, mais si vous êtes arrivé jusque là, vous en aurez déjà une idée.
Physique Je suis assez grande (1m75) et il parait qu'un rien m'habille. Personnellement, je n'ai jamais essayé de rien porter, je préfère les jeans et les t-shirt sympa au quotidien, les jolies robes en soirée, et mes tailleurs-pantalon au boulot (ça donne un air sérieux et confiant; c'est fou l'effet que peut faire un bout de tissu!). J'ai de long cheveux dont la teinte va du blond au châtain clair, c'est comme les feuilles des arbres, ça change selon les saisons. Quand ils m'embêtent je les attache, de façon plus ou moins sophistiquée, mais je suis souvent flemmarde et passer 2h dans la salle de bain juste pour eux ne me tente pas. Je les garde alors détachés et évite de les rejeter en arrière en disant "parce que je le vaux bien". (humour à deux balle, bonjour!)
Mes yeux, c'est comme Kaa - Aie confiaaaaaance, crois en moi -, je t'hypnotise avec mon p'tit gars. Non en fait, ils sont juste bleus-verts, ça change aussi avec la saison, mais surtout avec mes émotions. Si je t'aime bien, tu le sauras en un regard. Si je ne t'aime pas... Crois moi, tu le sauras encore plus vite.
Je suis gourmande, gourmande, gourmande... Mais ça se voit pas. Oui, peut être que c'est mon métabolisme de base qui est top de chez top pour compenser (je déteste ces filles qui utilisent cette excuse quand elles n'ont mangé qu'une seule et unique feuille de salade), mais je pense surtout que ce sont les heures passées à courir qui font que j'évite de produire de la brioche et de la mousse au chocolat autour de mon petit bidou.
J'ai toujours autour du cou un pendentif ayant appartenu à ma maman et un bracelet constitué d'un anneau attaché par une cordelette très élégante et discrète. (Et tu sauras pas ce qu'il représente à moins de lire mon histoire plus bas! ah ah)
Quelque chose te différencie ? Bien sur... Je suis unique... Donc différente de toi, de toi ou encore de toi. Mais à part ça, je suis une personne on ne peut plus normale. Sauf quand j'ai 8 ans d'âge mental et que je joue à la game boy color dans le métro.
Tu veux connaître mon histoire ?
Il était une fois, une jolie princesse qui avait rencontré un beau prince. Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants. J'aurais pu être la princesse, mais la vie est une s... une belle chose précieuse mais pas toujours juste dirons nous.
Je suis née à New York, il y a 29 ans. Ne me parlez pas du cap de la trentaine si vous voulez qu'on reste ou qu'on devienne amis. J'ai un grand frère, que je trouvais particulièrement ennuyant quand j'étais petite mais que j'adore à présent. Malheureusement, il est militaire, souvent en mission et on ne se voit pas souvent.
A la maison, le silence était une chose rare. Entre un père qui joue de la guitare, une mère du piano et un frère qui expérimente la batterie, ça déménage. Moi-même je me met à la musique, je casse les oreilles de tout le monde avec la grosse caisse mais je montre plutôt douée avec les touches blanches et noires du piano. C'est une passion que je pratique encore, même si j'aime aussi retrouver le silence en écrivant beaucoup et en dévorant des livres.
Ma famille fait parti de celles où l'amour est roi, ou tout le monde trouve sa place. On ne manque de rien, on est heureux. On a de la chance et on le sait. Mais je l'ai dit, la vie elle, elle est injuste et ma mère tombe malade alors que j'ai 15 ans. On affronte, soudés, ce satané cancer, on lui déclare la guerre et maman est en première ligne pour donner les coups. Elle se bat, pendant un an et demi et puis ce traître finit par emporter la bataille. Il m'a volé ma mère mais pas son souvenir. En l'emportant par contre, il a fragilisé ma famille. Ma mère était le coeur de cette famille au sens propre comme au figuré et petit à petit, le deuil se faisant, mon père s'est éloigné de nous. Il a finit par rencontrer quelqu'un d'autre, par refaire sa vie. Sa nouvelle femme était très bien mais mon frère et moi, comme des vestiges d'un passé trop douloureux qu'il voulait oublier, nous étions de trop. Aujourd'hui, j'ai des contacts réguliers avec mon père mais la chaleur humaine n'en fait pas partie. Et entre mon père et mon frère c'est pareil. Ne reste alors que deux enfants qui se serrent les coudes quand ça ne va pas. J'aime mon père mais j'ai l'habitude de dire qu'à la mort de ma mère, je suis devenue orpheline. Je suis dure, je sais.
Côté étude, j'ai toujours été bonne élève. Pas très travailleuse au début, se reposant souvent sur mes lauriers mais j'ai fini par avoir le déclic après le lycée. C'est-à-dire qu'arrivée en fac de droit après avoir passé le concours d'entrée, j'ai vite compris que sans travail, je n'allais pas y arriver.
J'ai bossé, bossé, potassé encore et encore et puis au bout, j'ai été diplômée. Avec les honneurs messieurs dames. j'étais avocate. Une petite avocate prête à défendre les innocents. Et puis j'ai vite déchanter, parce qu'on fini par défendre aussi des ordures. On idéalise souvent son métier avant de prendre une claque. Mais après tout, ça fait parti du jeu et je suis d'accord avec le principe suivant : Chacun d'entre nous a le droit à un avocat. J'ai persévéré, j'ai rejoins un bon cabinet d'avocat, j'ai fais mes armes, j'ai beaucoup appris et puis j'ai eu envie de changement. Pourquoi?
L'amour. Non, pas l'amour du droit. L'amour, le vrai, celui avec un grand A. Je suis tombée amoureuse de Thomas et ça a tout dévasté sur son passage comme une véritable tornade. C'était l'amour passionnel, celui qui vous porte, qui vous fait effleurer les étoiles mais celui aussi qui peut vous laisser retomber en chute libre sans parachute. Mais c'était vrai, c'était fort et puisque ça avait l'air d'être le destin, on a voulu se marier.
Et alors il y a eu cette question, cette question qui m'agace et m'horripile à chaque fois que je la vois dans un film ou une série. Pourtant elle m'a ouvert les yeux. "Si quelqu’un a quelque raison que ce soit de s’opposer à ce mariage, qu’il parle maintenant, ou se taise à jamais !". Elle ne s'est pas tu. Elle s'est même levée et j'ai vu mon fiancé se retourner vers elle. J'ai vu les lèvres de celle qui allait déclencher le désastre s'agiter mais je n'ai rien entendu. Comme si on venait de me poser un casque anti-bruit sur les oreilles. Mais mon cerveau à compris. Celui qui depuis des mois faisait l'autruche a décidé de se réveiller alors que j'étais dans ma jolie robe blanche, devant l'autel, prête à prononcer ce "oui" que j'avais répété mille fois devant la glace. J'ai revu les absences, les erreurs de téléphone, les excuses bidons de mon cher fiancé qui était si parfait. Et j'ai revu ses sourires à elle, faux, sa façon de se comporter et pourquoi parfois elle m'avait parue bizarre. J'ai revu leur complicité et je n'ai plus vu l'amitié. J'ai vu leurs sentiments et le goût amer de la trahison a envahi mon palais.
Humiliation totale. Voila ce que j'ai ressenti en le voyant descendre les marches pour la rejoindre. En plus de ne plus rien entendre, j'ai commencé à me sentir aveuglée et j'ai senti mes jambes se dérober. A mon réveil, ma demoiselle d'honneur avait invité les gens à profiter du buffet puisqu'ils étaient là, Thomas et sa maîtresse avaient disparu. Ma demoiselle d'honneur s'était occupée de tout, mais il y a une chose qu'elle ne pouvait pas réparer : ma fierté, mon honneur et mon coeur.
J'ai gardé l'alliance qu'il aurait du me passer au doigt. Je l'ai fais monter plusieurs semaines après le presque mariage, sur une jolie cordelette élégante pour faire transformer cet anneau en un bracelet. Je ne l'ai pas gardé par nostalgie pour Thomas, ou en me disant qu'un jour il reviendrait me le passer au doigt. Non, je suis beaucoup plus masochiste que ça. Je le porte sans arrêt pour me rappeler que lorsqu'on baisse trop sa garde, on finit par laisser quelqu'un approcher suffisamment près pour prendre votre coeur, le jeter par terre et le piétiner.
New York m'étouffait après ça, j'en avais marre de ces gens, de ces proches, de ceux qui se disent amis et qui en fait se réjouissent de pouvoir raconter à tout nouvel arrivant dans le groupe comment je me suis faite larguée le jour de mon mariage devant l'ensemble des invités. Histoire bien trop croustillante pour être passée sous silence voyons!
Alors forcément, quand à Miami, le bureau du procureur cherchait un nouvel élément, j'ai posé ma candidature. Et comme je suis beaucoup plus douée pour mon métier que pour ma vie sentimentale, j'ai décroché le poste. Nouvelle ville, nouvelle vie, nouveau départ. Mais j'ai appris de mes erreurs et l'amour, ça craint bien trop pour que je me laisse encore avoir une fois.
Qui se cache derrière l'écran ?
Prénom/pseudo : Dragibus
Age : 111 ans
Où as tu trouvé le forum ? Top Site
Comment le trouves-tu ? Plutôt très joli, pour le reste, je me ferai une idée avec le temps :)
Ta fréquence de connexion : 3/7 voir plus.
Un dernier mot ? mot (ah ah...)
Je veux bien vous aider avec la célébrité, je remplis le code à la suite : - Code:
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Shantel Vansanten [color=#FF0000]✱[/color] Eileen K. Vaughan