Dylan G. James
Bonjour, je m'appelle Dylan Genifer James, mais on me surnomme parfois Dylan ou Didy. J'ai actuellement 26 ans, car je suis né(e) le 17 Mars 1989 à Alice Springs et je suis Austalienne. Il m'arrive parfois de faire quelque chose de ma vie et si je ne suis pas entrain de dessiner, je suis Professeur de Danse. Si vous voulez tous savoir je suis plutôt aisée financièrement, vu que je n'ai aucun secret pour toi, tu peux aussi savoir que je suis bisexuelle et je suis célibataire. On me dit souvent que je ressemble à Claire Holt Je suis dans le groupe des Autumn
comment on peut me reconnaître ?
Caractère Dylan est quelqu'un en soit d'assez peu patient. Elle aime que les choses aille dans le sens qu'elle a prévu qu'elles aillent, et elle n'hésite pas à dire les choses qui lui déplaisent. Elle est très franche, parfois trop, ne faisant pas la différence entre franchise et délicatesse. Dylan s'est créée une sorte de barrière. Elle ne parle jamais de son passé, et le fait qu'elle ne partage pas forcément ses souvenirs la fait passer pour quelqu'un d'extrêmement froide. C'est quelqu'un de passionné, tant par le dessin que par la danse, et elle n'a aucun mal à transmettre sa passion. C'est quelqu'un de sincère, et de loyal. Quand elle apprécie quelqu'un, elle fait tout pour ne pas blesser cette personne, même si ce n'est pas toujours chose facile. Quand elle parle, il lui arrive souvent de signer ce qu'elle dit, par habitude, vu que sa mère est devenue sourde après un accident, et dans sa famille, tout le monde a dû apprendre. Elle passe son temps à se frotter l’intérieur du poignet, surtout lorsqu'elle converse avec quelqu'un qu'elle connaît assez peu, on dit que c'est un signe de timidité et d'insécurité. Pourtant, Dylan reste une jeune femme qui a confiance en elle, quoiqu'un peu rêveuse, et qui sait ce qu'elle vaut, sans se sous-estimer. Il lui arrive de faire preuve d'arrogance quand on essaie de lui montrer qu'elle ne vaut rien, et elle ne se laisse pas vraiment marcher sur les pieds.
Quand Dylan réfléchit, elle se tripote le percing sur l'oreille gauche.
Physique Dylan mesure 1m69, elle. Si autrefois, elle était légèrement en surpoids, désormais, Dylan pèse 54 kg et entretien au mieux sa forme physique. Elle est blonde, aux yeux bleus, et a deux tatouages : un en frise tribale à la cheville, et une inscription au poignet disant de ne jamais abandonner. Aussi, Dylan a l'oreille gauche percée. Elle est gauchère, ce qu'elle n'était pas enfant, mais qui a été forcé après s'être cassé le poignet droit ce qui l'a empêché d'écrire et de dessiner. Elle s'est alors forcée à écrire de l'autre main, tant qu'au final, elle se débrouille bien mieux en tant que gauchère que droitière.Dylan a été adoptée et parle la langue des signes. Elle est végétarienne.
Quelque chose te différencie ? Dylan parle la langue des signes.
Tu veux connaître mon histoire ?
Aujourd’hui, tout va bien. Pour la première fois depuis longtemps, en fait, depuis que je suis arrivée à Miami Beach, quand je le dis, c’est sans la moindre once de mensonge. L’Australie, et la petite ville d’Alice Springs me manque, c’est indéniable. Mais je pense que je me suis faite, au bout de plus de dix ans à vivre à Miami Beach, au fait de ne plus y vivre, de vivre avec mon parrain, dans ce continent qui pour moi présente encore bien des mystères. Je vis avec mon parrain car mes parents adoptifs ne pouvaient pas quitter Alice Springs. Je n’ai jamais trop compris leurs raisons de leur presque emprisonnement là-bas. Mais je peux comprendre qu’il est difficile de commencer une nouvelle vie dans un endroit qui n’a rien à voir avec ce à quoi on est habitué. Je ne leur en veux pas. Même s’il m’arrive de constater le manque qu’ils ont laissé en moi. Ils sont autant, peut-être même voir plus précieux que ne pourraient l’être des parents biologiques. Mais quand le manque devient trop présent, je prends le premier vol que je trouve, et je vais en Australie. Bien que la séparation qui en résulte me fasse beaucoup de peine, c’est bien mieux comme ça. De toute façon, je n’aurais jamais pu faire de bonnes études en restant à Alice Springs. Bon, d’accord, je suis devenue professeure de danse, mais je pense que ce n’est qu’une question de temps avant que je ne reprenne les études de psychologie, ce que j’ai fait jusqu’à maintenant, pour avoir un emploi à long terme, et puis, la danse ne serait à nouveau plus qu’une passion.
Depuis que je suis à Miami Beach, j’ai vu et rencontré plus de monde que je n’aurais jamais pu imaginer. Les gens sont tous plus ou moins différents. Et on a envie d’aller les connaître, ce qui ne m’était encore jamais arrivé dans le quartier où je vivais à Alice Springs. Les gens se connaissaient tous, et racontaient toute sorte de ragots sur vous. Alors qu’ici, à Miami Beach, ce n’est pas vraiment le cas. Les gens sont patients, avenants, bref, ils sont vraiment gentils. Je ne m’étais jamais fait d’amis avant, en Australie. D’un autre côté, j’étais la petite fille qu’on mettait de côté, dont on ne se souciait pas. J’étais la fille bizarre qui dessinait parce qu’on l’isolait, et le fait de dessiner m’isolait encore plus. Autant le dire, mon enfance à l’école n’a pas toujours été simple. Et en arrivant ici, les débuts ont été difficiles, parce qu’être la nouvelle arrivée, avec un accent bien particulier, bonjour la loose. Non, vraiment, au début ça n’a pas été facile. Surtout qu’à quinze ans, on est quelqu’un de sensible, notamment au changement. Ou peut-être que c’était un truc plus particulièrement prononcé parce qu’il s’agissait de moi. Je ne sais pas, et je ne pense pas être à la meilleure place pour répondre à cette question, à vrai dire. Quoi qu’il en soit, il a tout de même été plus facile de s’intégrer à cette nouvelle vie en un an qu’en presque dix dans mon « ancienne vie » comme j’aime à l’appeler.
La vie à Miami Beach pour moi, ça a signifié beaucoup de nouveautés. En plus de m’y faire des amis, j’y ai rencontré mon premier amour. Le vrai grand amour, de ce que je pensais. On a passé l’été ensemble. Je crois que je n’avais jamais été aussi heureuse. Il n’était pas d’ici, il venait juste passer des vacances ici, comme n’importe qui d’autre. Il passait la majeure partie de ses étés à visiter des villes. Et puis, à la fin de l’été, il a du repartir. On s’était promis de rester en contact. De se voir de temps à autres. J’étais même prête à venir chez lui, au Canada. On est bête, quand on est jeunes. On pense que tout est très simple, et que tout se passera comme on l’espère, et comme on le prédit dans nos têtes. Sauf qu’en vrai, tout est différent. Il est parti. On s’est envoyé des messages pendant quelques mois. Et puis un beau jour, plus rien. L’absence est telle que j’ai cru ne jamais m’en remettre. Et puis, j’ai pu compter sur mes quelques amis, sur mon parrain, sa femme. Et puis, tout finit par aller mieux. Enfin, au moins un minimum.
Pour ce qui est de l’école, tant en Australie qu’ici, en Amérique, j’avais de très bonnes notes. Certes, elles n’étaient pas aussi bonnes qu’à l’époque ou je n’avais pas la moindre vie sociale, mais je me débrouillais. J’avais beaucoup d’espoirs pour la vie future qui m’attendait. Je voulais mettre toutes les chances de mon côté pour pouvoir faire le meilleur choix. Devenir un chirurgien de renommée mondiale, un grand juge que tout le monde respecterait ou encore la patronne d’une immense firme multinationale que j’aurais créé. Quand on est plus jeune, on ne sait pas vraiment ce qu’on va faire, qui on va devenir, ni même qui on est vraiment. Je crois que si je l’avais su, il aurait été clair que de ces trois propositions, aucune ne me conviendrait vraiment. J’aimais déjà le dessin, et je m’étais essayée à la danse. Aussi, je trouvais intéressant d’écouter mes amies me raconter leurs soucis pour les aider. Jamais je n’aurais imaginé qu’après avoir obtenu sans grand problème mon diplôme, je me serais dirigée vers la psychologie, et qu’après deux ans et demi d’études, j’aurais arrêté pour enseigner la danse, tant moderne que de salon. Ça aurait été bien trop loin de ce que j’aurais pu penser. Pourtant, c’est ce que j’ai fait. La fac, au moment où j’étais entrée, ce n’était pas pour moi. Peut-être plus tard, mais à même pas vingt ans, on a souvent autre chose à penser que le boulot. Je pensais plus à mes amis, à sortir avec eux, profiter de ma jeunesse. Et les études, c’est une sorte de frein. Je ne voulais pas de ce frein, j’aspirais à beaucoup plus. Certes, il m’est arrivé de déchanter. Mais au moins, je peux dire que j’ai pu profiter de ma liberté. Et ce n’était pas mes quelques heures à donner des cours à des gens de tout âge qui aura grandement changé quelque chose. Sauf que désormais, j’aimerais, en même temps de mon travail, reprendre les études. Après tout, on est jamais trop vieux pour commencer -ou recommencer- quelque chose.
Qui se cache derrière l'écran ?
Prénom/pseudo : Naïs
Age : 19 ans
Où as tu trouvé le forum ? Sur un top partenariat avec un autre forum
Comment le trouves-tu ? J'adoooooooore
Ta fréquence de connexion : au moins deux jours par semaine (le weekend) et puis le reste, c'est en fonction de mon emploi du temps
Un dernier mot ? Let's goooooo
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CLAIRE HOLT [color=#FF0000]✱[/color] Dylan G. James